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E. DOR, résidant à BRUXELLES.
PERFECTIONNEMENTS AUX CHASSES DE LIQUIDE.
La présente invention est relative à des perfectionnements aux qhasses de liquide. Elle est relative notamment à un dispositif d'amorçage du siphon d'un réservoir de chasse de liquide.
Suivant l'invention, un tel dispositif est constitué par au moins un corps solide destiné à être plongé dans le liquide de la chasse ou par au moins un corps replié sur lui-même, plongé dans le liquide et destiné à être étiré pour augmenter de volume, l'un ou l'autre de ces corps amenant une é- lévation du niveau dans le réservoir de la chasse et l'amorçage du siphon.
La présente invention est relative également à un dispositif d'admission de liquide dans un réservoir de chasse de liquide.
Suivant l'invention, un-tel dispositif d'admission comprend, en- tre le conduit d'amenée du liquide et la sortie de celui-ci dans le réser- voir, au moins une soupape destinée à être actionnée par la pression du li- quide pour obturer un orifice de sortie 4,'eau vers le réservoir, le fonction- nement de ladite soupape pouvant, soit ne pas être influencé ni par la force vive, ni par la force statique, ni par la force de friction du liquide, et ce aussi longtemps que le niveau désiré n'a pas été atteint dans le réser- voir, soit être influencé par ces forces en vue de l'obturation de l'orifi- ce de sortie ci-avant par la soupape susdite, lorsque ledit niveau a été atteint.
Dans une forme de réalisation, la soupape susdite est disposée dans une chambre dite chambre d'expansion communiquant avec l'arrivée d'eau par une ou plusieurs ouvertures prévues de manière que le liquide entre dans la chambre de manière sensiblement perpendiculaire à l'axe de ladite soupa- pe, et remplisse cette chambre pour sortir ensuite par un conduit menant ce liquide dans le réservoir.,
Dans une forme de réalisation encore, le conduit menant le liqui-
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de au réservoir présente une ouverture d'admission, formant siège, sur le- quel vient s'appliquer la soupape, de manière instantanée, lorsque le niveau déterminé de liquide est atteint dans le réservoir, l'ouverture d'admission de ce conduit restant donc toujours ouverte à son maximum tant que ledit ni- veau n'est pas atteint.
La tige de la soupape porte normalement à son extrémité un flot- teur émergeant dans le réservoir et destiné à amorcer le déplacement de la soupape vers le siège du conduit menant le liquide vers le réservoir, le dé- placement instantané proprement dit de la soupape étant toutefois assuré par le liquide lui-même.
Suivant un mode de réalisation particulier, la soupape est cons- tituée de deux parties, l'une formant soupape supérieure d'obturation pour l'ouverture d'admission du conduit menant le liquide au réservoir, l'autre partie, formant soupape inférieure, s'appuyant sur un siège entourant une portion de tige de soupape de diamètre supérieur à celui de la tige de la première soupape ci-avant, de manière que les surfaces effectives des deux soupapes, sur lesquelles peut agir. le liquide, soient différentes, cette tige de diamètre supérieur étant guidée dans un logement approprié et les deux sièges de soupape se trouvant dans la chambre d'expansion.
Dans une forme de réalisation préférée, le conduit d'amenée du liquide à la chambre d'expansion est pourvu d'un moyen de réglage, tel qu'un robinet,permettant d'obtenir toujours la même pression désirée dans la cham- bre d'expansion.
Dans une forme de réalisation particulière, le ou les conduits d'amenée d'eau à la chambre d'expansion peunt être prévus de manière que le liquide entre dans cette chambre de façon que le ou les jets de liquide viennent se briser sur les parois du siège de la soupape supérieure, les parois de ce siège étant de préférence de forme tronconique renversées
Enfin, toujours suivant un mode de réalisation préféré, le con- duit menant le liquide de la chambre d'expansion au réservoir est prévu pour que ce liquide soit libéré dans le fond dudit réservoir, ce qui a notamment .pour avantage de réduire au minimum les bruits habituels de remplissage.
D'une façon générale, la tige de soupape reliée au flotteur est dispbsée pour pénétrer dans le réservoir proprement dit par une ouverture prévue dans le conduit menant le liquide de la chambre d'expansion au réser- voir.
Dans une forme de réalisation préférée, cette tige est de diamè- tre nettement inférieur à celui de l'ouverture de passage, un joint, par exemple en caoutchouc, étant prévu sur ladite tige pour obturer ladite ou- verture du coté du réservoir lorsque la ou les soupapes de la chambre d'ex- pansion laissent ouverte l'admission du liquide dans le conduit menant celui- ci vers le réservoir, ledit joint s'écartant de l'ouverture lors du déplace- ment de la tige qui le supporte.
Dans un cas particulier de réalisation, à savoir lorsque le dis- positif de l'invention doit être utilisé avec l'axe de la ou des soupapes disposé sensiblement horizontalement, la tige de soupape est reliée au flot- teur par un jeu de leviers de manière que l'élévation ou l'abaissement du flotteur avec le liquide amorce un déplacement horizontal également, mais pouvant être légèrement oscillant, de la tige de soupape, le déplacement instantané de cette soupape étant toutefois assuré par le liquide lui-même..
L'invention est relative encore à un dispositif permettant la fermeture hermétique et momentanée d'une ouverture par laquelle doit passer une pièce mobile et ce sans intervention d'un bourrage. Un tel dispositif est d'intérêt particulier dans son application au dispositif d'admission de liquide ci-avant, notamment lors de l'utilisation de ce dispositif d'admis- sion dans une,position sensiblement horizontale au voisinage du sommet du
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réservoir de la chasse.
D'autres détails et particularités ressortiront de la descrip- tion suivante des dispositifs de l'invention, à titre d'exemples non limi- tatifs et avec référence aux dessins annexés.
La figure 1 est une vue en élévation et en coupe d'un dispositif d'amorçage du siphon.
La figure 2 montre une variante du dispositif de la figure 1.
La figure 3 est une vue en élévation et en coupe d'un dispositif d'admission de liquide dans un réservoir de chasse de liquide.
La figure 4 est une variante de réalisation du dispositif de la figure 3.
Le dispositif de la figure 1 comprend un réservoir habituel 1 et un siphon 2 qui doit donc être amorcé lorsque le réservoir 1 doit être vidé. Deux masses solides 3 sont prévues pour être enfoncées dans le liqui- de, ce qui a pour effet de faire monter le niveau de celui-ci et d'amorcer automatiquement le siphon 2.
La variante de la figure 2 consiste en un soufflet 4 qui, lors- que il est étiré, fait également monter le niveau du liquide pour amorcer le siphon 2.
On comprendra que la commande du déplacement des masses 3 ou de l'étirage du soufflet 4 peut être absolument quelconque.
Un tel dispositif d'amorçage présente plusieurs avantages. Le niveau du liquide dans le réservoir peut être quelconque, puisqu'il suffit d'enfoncer plus ou moins profondément les masses solides ou d'étirer plus ou moins le soufflet pour l'amorçage. Un tel dispositif fonctionne tou- jours sans raté possible. De plus, contrairement à tous les systèmes con - nus, toutes les pièces du siphon sont immobiles. Enfin, comme on le consta- te, ledit dispositif est particulièrement simple.
A la figure 3, est représenté un dispositif commandant l'admis- sion du liquide dans un réservoir de chasse d'eau.
Ce dispositif comprend une soupape d'admission dont la fermetu- re est assurée par le liquide lui-même, le flotteur prévu ne faisant qu'a- morcer le mouvement de fermeture. Cette soupape, à la figure 3, est consti- tuée de deux parties 11 et 12, appelées ci-après soupape 11 et soupape 12.
En fait, la soupape 11 pourrait suffire seule. Ces soupapes 11 et 12 sont normalement disposées de chaque coté d'une rondelle métallique 12a faisant corps avec les tiges de soupape.
Ces soupapes 11 et 12 se trouvent dans une chambre dite d'expan- sion 13 dans laquelle le liquide de remplissage est admis par des ouvertures 14 en provenance d'un conduit 15 auquel est reliée la tuyauterie d'amenée du liquide 16.
Le liquide qui a pénétré dans la chambre d'expansion 13 s'y é- lève et par le conduit 17 débord? dans la chambre 18 pour retomber, sous la cloche 27, par le passage 19, dans le fond du réservoir 20.
Le conduit 17 présente à sa base un siège 21 sur lequel doit ve- nir s'appliquer la soupape 11 lorsque l'alimentation du réservoir 20, en li- quide doit être coupée.
La soupape 12 est guidée dans un logement 22 par sa tige 23 dont le diamètre est supérieur à celui de la tige 24 de la soupape 11. La soupa- pe 12, à la figure 3, repose sur un siège 25 constitué par l'orifice supé- rieur du logement 22. Enfin, la tige 24 de la soupape 11 porte, à son ex- trémité supérieure émergeant dans le réservoir proprement dit, un flotteur 26-dont le rôle n'est pas du tout comparable à celui des flotteurs habituels,
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comme on le verra ci-aprèso
Le liquide étant arrivé au niveau désiré dans le réservoir 20, le flotteur 26 amorce le déplacement de la soupape vers le haut, celle-ci y étant alors instantanément plaquée contre son.siège 21 et étant maintenue par la pression du liquide de la chambre d'expansion 13.
C'est dans le but d'annuler l'effet de la force vive du liquide sur les soupapes 11 et 12 que celles-ci et le siège 21 sont placés dans la chambre d'expansion 13 dans la paroi de laquelle sont percés le ou les trous 14, de telle façon que le ou les jets qui en sortent dans la chambre 13 forment un angle voisin de 90 par rapport à l'axe 24 de la soupape.
Le ou les jets peuvent encore être introduits suivant un autre angle que ci- avant, comme on l'expliquera ci-après pour la figure 4. Dans le but de ré- gulariser et de diminuer la pression dans la chambre d'expansion 13, la sur- face totale du ou des trous 14 est, de préférence, assez bien inférieure à la surface du siège 21 de la soupape. Durant le remplissage du réservoir 20, cette pression restera constante dans la chambre 13 et n'y augmentera brutalement que lors de la fermeture instantanée de la soupape.
Le liquide en sortant de la chambre 13 longe la tige 24 et pro- duit de ce fait une force de friction sur cette dernière, avec l'effet que la soupape 11 a tendance à vouloir se déplacer vers son siège 21.
C'est pour annuler cette force de friction que l'on a prévu dans le bas de la chambre 13, un second siège 25 destiné à recevoir la soupape 12.
On a aussi prévu une différence de diamètres pour les tiges 24 et 23.
Lorsque la soupape 12 est poussée sur son siège par le'poids du flotteur 26, sa surface soumise à la pression du liquide est plus petite que la surface de la soupape 11, soumise à la même pression, ce qui permet l'obtention d'une force différentielle tendant à maintenir la soupape 12 sur son siège 25.
Toutefois,les diamètres des sièges ont été calculés de telle façon que la force différentielle soit égale à la force de friction ci-a- vant. Ces deux forces, étant égales et de sens opposés, s'annulent et n'in- fluencent donc pas les mouvements du flotteur. Il n'est pas difficile d'a- voir toujours la même pression voulue dans la chambre 13 grâce à un robinet prévu sur la conduite 16, et ce quels que soient donc les endroits où se trouve placé un tel réservoir.
Au moment où le liquide a atteint le niveau déterminé désiré dans le réservoir 20, le flotteur 26 décolle la soupape 12 de son siège 25, de sorte que l'équilibre de la force différentielle et de la force de fric- tion est rompu. Comme ces forces travaillent alors dans le même sens, la soupape 11 se fixera, de manière instantanée, sur son siège 21 de par donc l'action du liquide et non pas du fait du flotteur. Celui-ci, au lieu de tirer la soupape vers le haut, sera au contraire poussé vers le haut par cel- le-ci, si bien que le niveau déterminé ayant été atteint,'ce flotteur pèsera légèrement sur la soupape. La soupape 11 ne sera donc en aucune manière maintenue en place contre son siège 21 par la traction du flotteur mais bien par la poussée du liquide.
Le poids du flotteur 26 est calculé de telle façon que, le ré- servoir 20 étant vide, ledit poids soit suffisant pour forcer la soupape 11 à quitter son siège 21 de manière que la soupape 12 rejoigne son siège 25.
Ce dispositif d'admission de liquide présente de nombreux avan- tages sur les appareils existants.
L'entrée du conduit 17 est toujours ouverte au maximum durant toute la durée de remplissage et, de ce fait, ce dernier peut être plus ra- pide. Grâce à cette ouverture constante, qui peut d'ailleurs être plus fai- ble que d'habitude, il se produit beaucoup moins de bruit durant le remplis-
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sage. Il n'y a pas dans le cas présent, un laminage du liquide dû à une fermeture progressive, et on supprime donc ainsi les bruits dus à un tel laminage. Une autre cause habituelle de bruit dans les réservoirs de chas- se est supprimée. En effet, le présent dispositif se place dans le fond du réservoir; le liquide est donc admis dans celui-ci au voisinage du fond et il n'y a donc pas de bruit de chute.
La tige mobile 23 de la soupape étant toujours dans l'eau, il ne s'y produira pas de dépôt calcaire dû à l'évaporation de l'eau, contrai- rement à ce qui se produit toujours sur les mécanismes des flotteurs habi- tuels, ces dépôts déréglant l'action des flotteurs.
Enfin, le réglage du flotteur sera toujours le même pour un ni- veau déterminé, quelles que soient les pressions différentes des liquides de remplissage.
Il est prévu également un moyen de fixation de l'ensemble ci- avant au réservoir 20. A cet effet,l'enveloppe 34 présente une tubulure inférieure 35 traversant la paroi du réservoir 20 avec interposition d'un joint 36. La tubulure 35 est filetée extérieurement de manière qu'un écrou
37 puisse être vissé en fixant ainsi l'enveloppe 34 au réservoir, un joint
38 étant interposé.
Cette tubulure 35 peut également servir comme moyen de vidange, un chapeau de fermeture 39 pouvant être vissé intérieurement ou extérieure- ment à cette tubulure 35. Pour la vidange complète de la chambre d'expan- sion 13, le petit conduit 40 est prévu dans le bloc formant siège de soupa- pe 25 et part du bas de cette chambre d'expansion.
Le passage 28 (figure 3) prévu pour la tige 24 dans la cloche 27 peut être nettement plus large que le diamètre de cette tige. Dans ce cas, on prévoit sur cette dernière un joint 29, par exemple en caoutchouc, qui ferme le passage 28 lorsque la tige 24 est à son point le plus bas.
De ce fait, on aide l'action de fermeture de la soupape 11 et on évite toute friction de la tige 24 avec les parois du passage 28, une telle friction pouvant dérégler le bon fonctionnement du système..
Pendant le remplissage du réservoir, il se produit une certaine force sur la face inférieure du joint 29 du fait de la poussée du liquide sur cette face. Cette force tend normalement à décoller la soupape 12 de son siège. De ce fait, on prévoit que le siège de la soupape 12 soit.cal- culé de façon que la force différentielle susdite neutralise la force de friction précédemment citée et la nouvelle force sur la surface inférieure du joint 29.
Durant le mouvement de fermeture de la soupape Il., le liquide passera violemment pendant une fraction de seconde par le passage 28 et y produira sur la tige 24 une nouvelle force de friction qui augmentera la vitesse de fermeture de la soupape 11. Ce passage violent et momentané du liquide évitera toute formation de dépôt calcaire ou autre dans le passage 28, dépôt qui pourrait' nuire au bon fonctionnement du dispositif. Ce joint 29 sert également de butée lors de la chute du flotteur 26.
Ce système de joint 29 est particulièrement intéressant dans la forme de réalisation représentée à la figure 4.
On peut en effet prévoir une forme de réalisation, basée sur le même principe que ci-avant, mais pouvant se monter directement sur le tuyau d'arrivée du liquide, si cette arrivée est située dans le haut du réservoir, et ce en prévoyant à nouveau une introduction du liquide dans le réservoir, au voisinage du fond de celui-ci.
Le dispositif suivant l'invention est relié à la conduite d'a- menée de liquide 30 prévue, par exemple, latéralement dans le haut d'un ré- servoir 20. Le fonctionnement général du dispositif représenté à la figure
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4 est le même que celui du dispositif de la figure 3, et les mêmes notations de référence ont d'ailleurs été utilisées. Cependant, le conduit 15 (figure 3) n'est pas conçu de la même manière. En effet, il est remplacé dans la réalisation de la figure 4 par deux ou plusieurs conduits 41 et 42 prévus dans le bloc du siège de soupape 25.
Le liquide arrivant par le conduit 30 pénètre dans la chambre 43 et, de là, par les conduits 41 et 42, dans la chambre d'expansion 13 où les jets viennent frapper les parois latérales du siège de soupape 21, com- me indiqué par les flèches. L'effet obtenu est le même que dans l'exemple de la figure 3. La conduite 30 est fixée au dispositif par un écrou 44 avec interposition d'un joint 45.
Le liquide passant par le conduit 17 descend dans le fond du ré- servoir 20 par le conduit 18, de manière à éviter tout bruit de chute. Le joint 29 assure une étanchéité parfaite à l'endroit du passage 28 et il n'y a donc pas, à cet endroit, de giclage de liquide dans le réservoir.
Lorsque la tige 17 se déplace dans le sens de la fermeture de la soupape 11, par l'action du liquide sur les soupapes 11 et 12, après amor- çage du déplacement par le flotteur, le joint 29 s'écarte de l'ouverture 28 et permet un passage violent instantané du liquide, avec les mêmes effets que précédemment.
Dans le cas de la figure 4, le flotteur est relié par un levier coudé 32 à la tige 24, ledit levier 32 pouvant pivoter autour du point 31.
Lorsque le liquide soulève le flotteur 26 dans le réservoir, ce flotteur a- morce le déplacement de la tige 24 comme précédemment, le levier 32 étant articulé en 33 à la tige de soupape 24. Le passage large 28 est spéciale - ment intéressant dans ce cas; étant donné que la tige 24 ne réalise pas une trajectoire rectiligne de déplacement, vu le pivotement du levier coudé 32 autour du point 31.
Lorsque le flotteur 26 est admis à redescendre, il agit sur le levier coudé 32 de sorte que la soupape 11 s'écarté de son siège et que le joint 29 vient à nouveau obturer le passage 28.
Le système de la figure 4 présente le grand avantage supplémen- taire de pouvoir s'adapter aisément dans tous les réservoirs existants.
Il est évident, d'autre part, que le système à joint 29 peut s'appliquer à la fermeture hermétique et momentanée de toute ouverture traversée par une pièce mobile, telle qu'une tige, spécialement dans le cas où cette pièce mobile n'a pas une trajectoire rectiligne.
Il doit être entendu , enfin, que l'inventin n'est pas limitée aux formes de réalisation ci-avant, mais que bien des modifications pour--- raient y être apportées sans sortir du cadre de la présente demande de bre- vet.
REVENDICATIONS.
1. Dispositif d'amorçage du siphon d'un réservoir de chasse de liquide, caractérisé en ce qu'il est constitué par au moins un corps solide destiné à être plongé dans le liquide de la chasse ou par au moins un corps replié sur lui-même, plongé dans le liquide et destiné à être étiré pour augmenter de volume, l'un ou l'autre de ces corps amenant une élévation du niveau dans le réservoir de la chasse et l'émorgage du siphon.
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