MACHINE PDUR SEPARER LA PARTIE TISSULAIRE DES PRODUITS VEGETAUX!;,
DE LEUR PARTIE JUTEUSE.
L'objet de la présente invention est une machine par laquelle on obtient la séparation de la partie tissulaire des produits végétaux de leur partie juteuse.
Cette. machine, par conséquent, se prête au traitement de produits végétaux des types les plus différents, et particulièrement au traitement des fourrages;, des légumes, des fruits, des agrumes, du raison et des olives.
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complir mécaniquement -les premières phases du procédé d'utilisation intégrale des produits herbacés du sol, selon le système indiqué par le Prof. Guiseppe
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de compression des produits, de séparation du plasma des tissus et de désagrégation ultérieure des tissus.
La machine suivant l'invention comprend des moyens pour effectuer d'abord une désintégration des produits alimentés par une trémie de chargement, des moyens pour comprimer ces produits de façon à en exprimer la partie juteuse de la partie tissulaire et les moyens pour désagréger la partie tissulaire qui se trouve être comprimée en un tourteau compact, pour la rendre propre à la manipulation et à l'utilisation ultérieures.
Les moyens pour la désintégration des produits consistent essentiellement en une paire de cylindres rainurés, tournant à des vitesses différentes.
Les cylindres désintégrateurs sont pourvus de volants de manoeuvre qui agissent au moyen d'un système de pignons dentés, à ressort, placé à côté
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ner les cylindres, selon que l'on désire accroître ou diminuer leur pression sur les produits.
Eventuellement, au-dessus de ces cylindres, et dans la trémie
sous laquelle ils travaillent, on peut installer un dispositif de défibrage, réalisé de façon à pouvoir être aisément inclus ou exclu du cycle de travail, et qui est destiné à effectuer une première opération de défibrage,
par exemple dans le cas où l'on doit travailler des plantes fourragères à grandes tiges.
Le produit désintégré tombe dans une enveloppe substantiellement tubulaire contenant une paire de vis transporteuses, placées de façon que leurs axes soient espacés entre eux de moins que la somme des rayons des hélices qui forment les vis transporteuses.
Ces vis transporteuses, dans leur enveloppe, sont contenues dans une coque à entailles transversales, par lesquelles sort le jus qui est exprimé des plantes par suite de la rotation des vis.
Les vis transporteuses n'occupent pas toute la longueur de la coque où elles sont logées, et laissent libre à l'extrémité de cette coque une chambre où ont lieu la formation et ensuite la compression d'un tourteau formé par les produits au fur et à mesure qu'ils sont poussés par les vis transporteuses contre une cloison d'extrémité. La compression principale des pro-
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tion de ce tourteau.
L'action de compression sur les produits subit une augmentation progressive par suite d'une variation, en diminution, du pas des vis sur toute leur longueur et d'une augmentation du rayon de l'arbre sur lequel les vis sont montées.
La.partie juteuse sort par les entailles de la coque qui entoure les vis transporteuses, tombe dans le bas de l'enveloppe extérieure des vis et de là dans un bassin qui se trouve en-dessous et d'où elle est extraite par une pompe qui, pourvue d'un tuyau de longueur variable, permet de décharger le plasma dans les récipients collecteurs.
La chambre de compression où le tourteau se forme est fermée, comme indiqué ci-avant, par une cloison d'extrémité formant un volet, dont
la résistance à s'ouvrir peut être réglée par un ressort.
Lorsque la pression sur le tourteau atteint une valeur déterminée, on laisse s'ouvrir la cloison en diminuant la pression du ressort; on permet ainsi le passage du tourteau vers une grille animée d'un mouvement angulaire et formée par une paire de râteaux, animés d'un mouvement d'oscillation alternatif dans des plans verticaux, où tombe la masse tissulaire privée de plasma.
Chacun des deux râteaux a un mouvement en sens inverse de l'autre et par conséquent le mouvement d'oscillation des deux râteaux désagrège le tourteau qui sort de la chambre de compression et qui tombe sur les râteaux pour être apprêté pour les manipulations successives, et par exemple pour le séchage des produits privés de plasma, si ces derniers sont des produits herbacés.
Si la machine a comme but le traitement des olives, c'est-à-dire si elle doit être employée comme maillotin, la machine comporte une grille placée au-dessus des cylindres désintégrateurs. A travers cette grille passe un mélangeur tournant à dents, qui remue l'ensemble des olives amenées dans la trémie, et les prépare ainsi à tomber entre les cylindres désintégrateurs.
La coque qui renferme les vis transporteuses est pourvue de robustes renforts transversaux, en acier, qui l'entourent. Entre ces renforts on peut placer un filtre, par exemple en fibre de coco, pour filtrer la masse liquide qui s'exprime par suite de la compression du tourteau.
On peut même munir la cloison dont question ci-avant de ressorts de résistance différente, interchangeables de façon à permettre de régler 1' effort d'ouverture de la cloison d'après la quantité de jus qu'on désire tirer de la masse des produits soumis au traitement.
Une forme de réalisation préférée de l'invention est représentée dans les dessins annexés, où:
la Fig. 1 est une coupe verticale transversale de la machine,montrant le groupe des roues d�actionnement ;
la Fig. 2 est une vue de côté de la machine avec arrachement 'del'enveloppe externe ;
la Fig. 3 est une vue en plan de la machine, avec arrachement de la trémie d'alimentation et de l'enveloppe externe, et montrant en coupe la coque qui entoure les vis transporteuses;
la Fig. 4 est un détail de l'une des vis transporteuses ;
la Fig. 5 est un détail en perspective,vu de l'extérieur de la cloison de sortie des produits comprimés ;
les Figs. 6 et 7 sont respectivement une vue d'extrémité et une vue en plan du système éventuel de défibrage ;
les Figs. 8 et 9 sont respectivement une vue d'extrémité et une vue en plan des cylindres désintégrateurs;
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avec un système d9alimentation à bande transporteuse ;
la Fig. 12 est une vue de côté, de détail, partiellement en coupe, de la partie d'extrémité de la machine ;
la Fig. 13 est une vue du mélangeur à dents placé au-dessus des cylindres désintégrateurs, lorsque la machine est destinée au traitement des olives.
Comme le montrent les dessins, le dispositif est monté sur un châssis 49 (Figo 11) pourvu de roues 50, de façon que l'on puisse déplacer aiséme nt la auachine
Sur le châssis 49 est monté l'élément 1 (Figs. 2 et 3) supportant le moteur d'actionnement 31 (Figo 2) qui actionne tous les mouvements de la machine, et les arbres 51 sur lesquels sont montées les vis transporteuses
9 et qui les actionnent.
Les vis transporteuses 9 sont placées dans une enveloppe 25 {Fige
2) au-dessus de laquelle se trouve la trémie d'alimentation 26.
A l'intérieur de l'enveloppe 25, les vis transporteuses sont entourées par la coque 11 à entailles transversales.
Au-delà des vis transporteuses 9, la coque 11 présente une chambre où le tourteau constitué par la masse des-produits comprimés, se forme.
Il est à noter que la coque, étant données les valeurs atteintes par la pression qui s'exerce sur les produits, est renforcée par un bandage
62 en acier profilé, correspondant à la chambre de formation du tourteau.
Au-dessous de la trémie 26, dans la boîte 36, sont placés les deux cylindres désintégrateurs 44, à axes parallèles et tournant en sens inverses.
La surface de chaque cylindre est pourvue (Figs. 8 et 9) de rainures inclinées par rapport aux génératrices du cylindre, et ayant une courbure hélicoïdale à grand pas.
La vitesse des deux cylindres 44 est différente, de façon que les produits introduits par la trémie 26 soient soumis à une action qui en désintègre les fibres.
La différence de vitesse entre les deux cylindres 44 est obtenue par un ensemble de roues dentées qui comprend les engrenais 35 et 33 (Fig.
1), engrenés entre-eux, chacun étant monté sur l'un des axes des cylindres.
Pour obtenir la différence de vitesse de rotation, les diamètres des roues
33 et 35 sont différents.
L'engrenage 27 fait tourner la roue dentée 33 ; l'engrenage 27 est attaqué par l'engrenage 5 qui est commandé, par les pignons dentés-29 et
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tour est l'élément de première réduction pour l'actionnement des arbres des vis transporteuses.
Ces arbres, au moyen du pignon 3, de l'arbre 2 et de l'engrenage
37, sont actionnés par la poulie 48 qui est entraînée par la poulie 32 du moteur. L'ensemble des engrenages d'actionnement est contenu dans la boîte 28. Les engrenages 45 sont montés sur les arbres des vis transporteuses, et les obligent à tourner à la même vitesse.
Les produits désintégrés par les cylindres 44 tombent dans la coque 11 qui entoure les vis transporteuses, sont saisis par ces dernières et soumis à une action progressive de compression qui est due à la variation du pas des hélices qui forment les vis transporteuses, aussi bien qu'à la diminution de l'espace libre laissé à la disposition de la masse comprimée, par conséquent de la variation du'diamètre des àrbres 51 de chaque vis transporteuse.
L'action de compression produit la séparation de la partie juteuse de la partie tissulaire, laquelle forme la masse qui est poussée et comprimée par les vis transporteuses.
La partie juteuse, par les entailles de la coque 11, tombe dans la partie inférieure 25 de l'enveloppe et de là, par- le raccord 12, cette partie juteuse est déchargée dans le bassin 10 d'où une pompe à engrenages
8 l'aspire et l'envoie à l'extérieur.
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teuses 9 est fermée par une cloison à volet 23, par laquelle le tourteau peut sortir.
-La pression d'ouverture de la cloison 23 peut être réglée par le ressort 16, dont on peut régler la tension au moyen d'une vis de pression 21 qui s'engage dans un écrou taraudé porté par les étriers 20, et qui peut être actionnée par un volant de manoeuvre 22 (Figo 5).
En augmentant ou en diminuant la tension de ce ressort, ou en le remplaçant par un autre on peut régler la pression d'ouverture de la cloi-
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transporteuses donne au tourteau qui est formé par la masse tissulaire dépourvue du jus.
La possibilité de changer le ressort permet de régler la quantité de jus que l'on désire tirer de la masse traitée, avant de permettre sa sortie de la chambre de compression.
Au-delà de la cloison 23, lé tourteau est poussé dans un capot
17 (Fig. 12) où il y a une paire d'arbres parallèles 63 et 64, pourvus d'engrenages à l'une de leurs extrémités. Ces engrenages s'engrènent de façon que les deux arbres tournent en sens inverses.
L'extrémité de l'arbre 64 est commandée par la manivelle 65 qui, à son tour, est commandée par la bielle 66 et cette dernière par l'excentri-
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arbre 4 d'actionnement principal de la machine.
Les engrenages qui transmettent le mouvement de l'arbre 64 à l'arbre 63 sont placés à l'extrémité de ces arbres qui est opposée à celle où,
sur l'arbre 64, est montée la manivelle 65. Chacun des deux arbres parallèles
63 et 64 est pourvu d'un certain nombre de baguettes battantes 70 placées substantiellement dans un seul plan pour chaque arbre, de façon que, puisque
le plan qui contient les baguettes passe par l'axe de chaque arbre, la rotation de l'arbre 4 assure la continuité du mouvement alternatif des deux râteaux formés par les baguettes, en sens inverses.
Le tourteau qui tombe de la cloison ouvrante de la machine sur.11
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conditions les plus convenables pour les manipulations successives.
On a dit que dans le cas du traitement des plantes fourragères
à grandes tiges, une action de défibrage est nécessaire avant que les plantes soient saisies par les cylindres désintégrateurs. Les Figs. 6 et 7 illustrent un détail du système de défibrage qui est formé par deux rouleaux ayant une section en étoile 56 et 55, qui tournent dans la trémie au-dessus des cylindres de désintégration, en sens inverses, et qui sont actionnés, au moyen d' un engrenage 57 porté par un arbre, par les engrenages d'actionnement des autres éléments de la machine
Les arbres des deux cylindres sont en prise entre-eux par les roues dentées 59.
L'arrangement est tel que ces cylindres de défibrage peuvent être aisément inclus ou exclu du cycle de travail, selon la nécessité requise par les produits que l'on travaille.
La machine (Figo 11) peut être alimentée par un transporteur 60 d'un type connu en soi, placé à côté de la machine, et qui est à même de soulever les produits placés dans une trémie 61 pour les décharger dans la trémie 26 de la machine.
La pompe 8 d'extraction du jus du bassin 10 est actionnée par
une poulie 7 montée sur l'arbre 4 qui actionne les rouleaux désintégrateurs.
Il est possible de régler la vitesse de la pompe.
On a dit ci-avant que lorsque la machine doit être employée comme maillotin, on monte un mélangeur à dents, au-dessus des cylindres désintégrateurs au lieu des cylindres de défibrage.
Ce dernier dispositif, Fig. 13, est formé par un arbre 71 pourvu de bras 72 ayant tous la même longueur et placés selon une surface hélicoï-
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Ces bras 72 passent entre les éléments d'une grille placée au-
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arbre 71, par un système de transmission quelconque, commandé par le moteur de la machine, on remue complètement la masse d'olives qui est amenée dans la trémie se trouvant au-dessus des cylindres désintégrateurs, de façon à préparer efficacement cette masse à l'action de ces cylindres.
MACHINE TO SEPARATE THE TISSUE PART OF PLANT PRODUCTS!;,
OF THEIR JUICY PART.
The object of the present invention is a machine by which the separation of the tissue part of plant products from their juicy part is obtained.
This. The machine therefore lends itself to the treatment of vegetable products of the most different types, and particularly to the treatment of fodder, vegetables, fruits, citrus fruits, grape and olives.
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mechanically complete -the first phases of the process of integral use of the herbaceous products of the soil, according to the system indicated by Prof. Guiseppe
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compression of products, separation of plasma from tissues and subsequent tissue disaggregation.
The machine according to the invention comprises means for first performing a disintegration of the products fed by a loading hopper, means for compressing these products so as to express the juicy part of the tissue part and the means for disintegrating the part. tissue which happens to be compressed into a compact cake, to make it suitable for subsequent handling and use.
The means for the disintegration of the products consist essentially of a pair of grooved cylinders, rotating at different speeds.
The disintegrating cylinders are provided with handwheels which act by means of a system of toothed sprockets, spring, placed next
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Adjust the cylinders, depending on whether it is desired to increase or decrease their pressure on the products.
Possibly, above these cylinders, and in the hopper
under which they work, a defibrating device can be installed, made so that it can be easily included or excluded from the work cycle, and which is intended to perform a first defibration operation,
for example in the case where one has to work fodder plants with large stems.
The disintegrated product falls into a substantially tubular casing containing a pair of conveyor screws, placed so that their axes are less than the sum of the radii of the helices which form the conveyor screws from each other.
These conveyor screws, in their envelope, are contained in a shell with transverse notches, through which the juice which is expressed from the plants as a result of the rotation of the screws exits.
The conveyor screws do not occupy the entire length of the shell where they are housed, and leave free at the end of this shell a chamber where the formation and then the compression of a cake formed by the products take place. as they are pushed by the conveyor screws against an end wall. The main compression of pro-
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tion of this cake.
The compressive action on the products undergoes a progressive increase as a result of a variation, in decrease, of the pitch of the screws over their entire length and an increase in the radius of the shaft on which the screws are mounted.
The juicy part comes out through the notches in the shell which surrounds the augers, falls into the bottom of the outer casing of the augers and from there into a basin below and from which it is extracted by a pump. which, provided with a pipe of variable length, allows the plasma to be discharged into the collecting vessels.
The compression chamber where the cake is formed is closed, as indicated above, by an end partition forming a shutter, of which
the resistance to opening can be regulated by a spring.
When the pressure on the cake reaches a determined value, the partition is allowed to open while reducing the pressure of the spring; the cake is thus allowed to pass towards a grid animated by an angular movement and formed by a pair of rakes, animated by an alternating oscillation movement in vertical planes, where the tissue mass deprived of plasma falls.
Each of the two rakes has a movement in the opposite direction of the other and consequently the oscillating movement of the two rakes breaks up the cake which leaves the compression chamber and which falls on the rakes to be prepared for the successive manipulations, and for example for drying products deprived of plasma, if the latter are herbaceous products.
If the purpose of the machine is to treat olives, that is to say if it is to be used as a jerseyin, the machine has a grid placed above the disintegrating cylinders. Through this grid passes a rotating toothed mixer, which stirs all the olives brought into the hopper, and thus prepares them to fall between the disintegrating cylinders.
The shell which houses the augers is provided with strong transverse reinforcements, made of steel, which surround it. Between these reinforcements it is possible to place a filter, for example made of coconut fiber, to filter the liquid mass which is expressed as a result of the compression of the cake.
It is even possible to provide the partition referred to above with springs of different resistance, interchangeable so as to allow adjustment of the opening force of the partition according to the quantity of juice which one wishes to draw from the mass of the products. subject to treatment.
A preferred embodiment of the invention is shown in the accompanying drawings, where:
Fig. 1 is a transverse vertical section of the machine, showing the group of actuating wheels;
Fig. 2 is a side view of the machine with cutaway 'del'external casing;
Fig. 3 is a plan view of the machine, with cutaway of the feed hopper and the outer casing, and showing in section the shell which surrounds the conveyor screws;
Fig. 4 is a detail of one of the conveyor screws;
Fig. 5 is a perspective detail, seen from the outside of the compressed product outlet partition;
Figs. 6 and 7 are respectively an end view and a plan view of the possible defibration system;
Figs. 8 and 9 are respectively an end view and a plan view of the disintegrating cylinders;
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with a conveyor belt feeding system;
Fig. 12 is a side detail view, partially in section, of the end part of the machine;
Fig. 13 is a view of the tooth mixer placed above the disintegrating rolls, when the machine is intended for the treatment of olives.
As shown in the drawings, the device is mounted on a frame 49 (Figo 11) provided with wheels 50, so that the machine can be easily moved.
On the frame 49 is mounted the element 1 (Figs. 2 and 3) supporting the actuating motor 31 (Figo 2) which actuates all the movements of the machine, and the shafts 51 on which are mounted the conveyor screws.
9 and which actuate them.
The conveyor screws 9 are placed in an envelope 25 {Freeze
2) above which is the feed hopper 26.
Inside the casing 25, the conveyor screws are surrounded by the shell 11 with transverse notches.
Beyond the conveyor screws 9, the shell 11 has a chamber where the cake formed by the mass of the compressed products is formed.
It should be noted that the shell, given the values reached by the pressure exerted on the products, is reinforced by a bandage
62 in profiled steel, corresponding to the cake formation chamber.
Below the hopper 26, in the box 36, are placed the two disintegrating cylinders 44, with parallel axes and rotating in opposite directions.
The surface of each cylinder is provided (Figs. 8 and 9) with grooves inclined relative to the generatrices of the cylinder, and having a large pitch helical curvature.
The speed of the two rolls 44 is different, so that the products introduced through the hopper 26 are subjected to an action which disintegrates the fibers.
The speed difference between the two cylinders 44 is obtained by a set of toothed wheels which includes the gears 35 and 33 (Fig.
1), meshed together, each mounted on one of the axes of the cylinders.
To obtain the difference in rotational speed, the diameters of the wheels
33 and 35 are different.
Gear 27 rotates toothed wheel 33; gear 27 is driven by gear 5 which is controlled, by toothed pinions-29 and
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lathe is the first reduction element for actuating the conveyor screw shafts.
These shafts, by means of pinion 3, shaft 2 and gear
37, are actuated by the pulley 48 which is driven by the pulley 32 of the engine. The set of actuating gears is contained in the box 28. The gears 45 are mounted on the shafts of the conveyor screws, and force them to rotate at the same speed.
The products disintegrated by the cylinders 44 fall into the shell 11 which surrounds the conveyor screws, are grasped by the latter and subjected to a progressive compression action which is due to the variation of the pitch of the propellers which form the conveyor screws, as well as 'to the reduction in the free space left at the disposal of the compressed mass, consequently of the variation of the diameter of the shafts 51 of each conveyor screw.
The squeezing action results in the separation of the juicy part from the tissue part, which forms the mass which is pushed and compressed by the conveyor screws.
The juicy part, through the notches in the shell 11, falls into the lower part 25 of the casing and from there, through the fitting 12, this juicy part is discharged into the basin 10 from where a gear pump
8 sucks it in and sends it outside.
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teuses 9 is closed by a shutter partition 23, through which the cake can exit.
-The opening pressure of the partition 23 can be adjusted by the spring 16, the tension of which can be adjusted by means of a pressure screw 21 which engages in a threaded nut carried by the brackets 20, and which can be operated by a handwheel 22 (Figo 5).
By increasing or decreasing the tension of this spring, or by replacing it with another, the opening pressure of the wall can be adjusted.
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conveyors feed the cake which is formed by the tissue mass devoid of juice.
The possibility of changing the spring makes it possible to adjust the quantity of juice which one wishes to draw from the treated mass, before allowing its exit from the compression chamber.
Beyond the partition 23, the cake is pushed into a hood
17 (Fig. 12) where there is a pair of parallel shafts 63 and 64, with gears at one end thereof. These gears mesh so that the two shafts turn in opposite directions.
The end of the shaft 64 is controlled by the crank 65 which, in turn, is controlled by the connecting rod 66 and the latter by the eccentric.
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main drive shaft 4 of the machine.
The gears which transmit the movement of the shaft 64 to the shaft 63 are placed at the end of these shafts which is opposite to that where,
on the shaft 64 is mounted the crank 65. Each of the two parallel shafts
63 and 64 is provided with a number of beating sticks 70 placed substantially in a single plane for each tree, so that, since
the plane which contains the rods passes through the axis of each shaft, the rotation of the shaft 4 ensures the continuity of the reciprocating movement of the two rakes formed by the rods, in opposite directions.
The cake which falls from the opening partition of the machine on 11
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most suitable conditions for the successive manipulations.
It has been said that in the case of the treatment of forage plants
with large stems, a defibrating action is necessary before the plants are seized by the disintegrating cylinders. Figs. 6 and 7 illustrate a detail of the defibration system which is formed by two rollers having a star section 56 and 55, which rotate in the hopper above the disintegration cylinders, in opposite directions, and which are actuated, by means of 'a gear 57 carried by a shaft, by the actuating gears of the other elements of the machine
The shafts of the two cylinders are meshed with each other by the toothed wheels 59.
The arrangement is such that these defibrating cylinders can be easily included or excluded from the work cycle, depending on the need required by the products being worked.
The machine (Figo 11) can be fed by a conveyor 60 of a type known per se, placed next to the machine, and which is able to lift the products placed in a hopper 61 to unload them into the hopper 26 from the machine.
The pump 8 for extracting the juice from the basin 10 is actuated by
a pulley 7 mounted on the shaft 4 which actuates the disintegrating rollers.
It is possible to adjust the speed of the pump.
It has been said above that when the machine is to be used as a jerseyin, a tooth mixer is mounted above the disintegrating cylinders instead of the defibering cylinders.
The latter device, FIG. 13, is formed by a shaft 71 provided with arms 72 all having the same length and placed on a helical surface.
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These arms 72 pass between the elements of a grid placed at the
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shaft 71, by any transmission system controlled by the engine of the machine, the mass of olives is completely stirred which is brought into the hopper located above the disintegrating cylinders, so as to efficiently prepare this mass for the action of these cylinders.