BE509090A - - Google Patents

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BE509090A
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Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  .PROCEDE D'AUGMENTATION DE LA   PERMEABILITE   D'ACIERS AU SILICIUM, 
ORIENTES . 



   L'invention se rapporte à la fabrication d'acier au silicium pour des applications magnétiques, l'acierse distinguant par un degré élevé d'o- rientation dans une direction privilégiée et ayant des propriétés qui se mo- difient fortement suivant la direction. L'invention se rapporte plus parti- culièrement à la fabrication d'acieram silicium ayant le type d'orientation   cristalline suivant la direction du lamingage connu par la désignàtion [100] 1011]ou "cube-sur-arête", et'les dérivés d'une telle orientation.   



   L'invention a pour objet fondamental de fournir un procédé par lequel on réalise des degrés plus marqués d'orientation préférentielle dans les aciers au silicium et de réaliser certaines phases préliminaires de fa- brication qui exaltent efficacement le degré d'orientation préférentielle produit par d'autres phases ultérieures de fabrication, comme tout ceci sera expliqué dans'ce qui suit. 



   Un objet de l'invention consiste donc à établir une série de - phases de fabrication qui, exécutées préalablement aux phases comprenant un quelconque des processus connus pour fabriquer de l'acierau silicium forte- ment orienté, produiront un changement marqué et utile dans la-réalisation de l'orientation ainsi produite. 



   On réalise ces objets et d'autres objets de l'invention, qui se- ront développés -ci-après ou qui seront apparents à la lecture de ce texte pour les personnes qualifiées dans ce domaine, 'par ces séries de phases opératoi- res et de traitements dont-on va décrire ci-après certains exemples caracté- ristiques.

   La matière à laquelle se rapporte l'invention   est'Un   acier au si- licium ayant en général uneteneur an silicium de l'ordre de 2,5à   4     %.   Une analyse typique mais non   limitative   d'un tel acier .après recuit final s'éta- blit comme suit : 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 
 EMI2.1 
 
<tb> Carbc-ie <SEP> : <SEP> 0,005 <SEP> %
<tb> 
<tb> Manganèse <SEP> : <SEP> 0,1 <SEP> %
<tb> 
 
 EMI2.2 
 Phosphore : . 0, 00 r î- ' 
 EMI2.3 
 
<tb> Soufre <SEP> moins <SEP> de <SEP> 0,003 <SEP> %
<tb> 
<tb> Silicium <SEP> : <SEP> 3, <SEP> 2 <SEP> %
<tb> 
<tb> Etain <SEP> : <SEP> 0,02 <SEP> %
<tb> 
<tb> Cuivre <SEP> : <SEP> 0,15 <SEP> %
<tb> 
<tb> Aluminium. <SEP> :

   <SEP> 0,01 <SEP> %
<tb> 
 
Dans le domaine qui nous occupe, on connaît jusqu'à présent di- vers procédés pour fabriquer des aciers au silicium orientés. Ces procédés comprennent en général une forte réduction-au laminoir à froid suivie d'un re- cuit final à haute température pour développer les caractéristiques magnéti- ques finales.

   Certains processus comprenant 2 ou plusieurs réductions au la-   minoir' à   froid   avec   un recuit à découvert intermédiaire à une température de l'ordre de 815 à 1010 C, le recuit à température élevée venant à la suite du dernier laminage   à fr-oid.   Dans la pratique courante, on coule en lingots l'a- cier au silicium tel qu'il est produit au   four. à   réverbère ou par toute autre technique de fusion appropriée; les lingots sont chauffés dans les pits chauf- fés, puis laminés en brames sur un laminoir à blooms ou sur un laminoir à brames. On chauffe ensuite les brames dans un four à brames et les lamine au calibre voulu de laminage à chaud dans un laminoir à chaud continu comprenant des étages de dégrossissage et de finissage.

   L'acier laminé à chaud consti- tue alors la matière de départ pour un de ces processus comprenant les éta- pes de laminage à froid.et de traitement thermique qui ont été caractérisés ci-dessus d'une manière générale. On a reconnu l'intérêt d'un traitement ther- mique à la suite du laminage à chaud et avant le laminage à froid; ce traite- ment thermique peut se faire sous la forme d'un recuit en caisse'ou d'un trai- tement thermique continu entre 760 et   1095 C.   La matière subit un décapage avant le laminage à froid pour enlever les oxydes superficiels. 



   Vu que pour la plupart des applications on recherche une matière à basse teneur en carbone et à perte réduite dans le noyau, il est d'usage d'introduire un traitement de décarburation dans le processus. Bien que d'au- tres traitements puissent être utilisés, ce traitement sera de préférence un recuit à découvert dans un gaz décarburant vers   15 C   environ pendant un court laps de' temps qui varie avec l'épaisseur de la matière. Dans beaucoup de'pro- cédés, un tel traitement décarburant s'effectue à la suite de toutes les opé- rations de   laminage   à froid, et est suivi à son tour par un recuit final à haute température, qui est d'ordinaire un recuit en caisse en atmosphère d'hy- drogène sec vers   11200C   ou plus haut. 



   Il est de même reconnu depuis longtemps que le nombre d'opérations de laminage à froid, la corrélation des réductions spécifiques atteintes dans chacune de celles-ci, et les températures des recuits intermédiaires et du re- cuit final exercent un effet de réglage sur le degré d'orientation préféren- tielle produite. Ces variables ne seront pas discutées spécifiquement ici ni leur corrélation mise en évidence pour la raison que les nouvelles phases de fabrication renseignées ici s'appliquent à tous les procédés connus quels qu'ils soient servant à la production des aciers au silicium dits orientés. 



  On a trouvé que les nouvelles phases de fabrication renseignées ici produi- sent, lorsqu'on les applique à un quelconque de ces procédés, une exaltation utile du degré d'orientation préférentielle et par conséquent une parméabili- té plus élevée dans le sens du laminage. - 
Les perméabilités auxquelles il est fait allusion ici sont celles mesurées dans une direction parallèle au sens du laminage dans la matière exemp- te de tensions pour une intensité de champ de 10 oersteds en utilisant une densité d'essai de l'acier de 7,65. La perméabilité maxima possible, c'est- à-dire la perméabilité d'un cristal unique mesurée dans la meilleure direc- tion est supposée être comprise entre 1900 et 1950 pour l'acier avec une te- neur en silicium de 3,2 %.

   On n'atteint pas ces valeurs dans la pratique, et les divers procédés antérieurs à la présente invention n'ont produit, abstrac- 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 tion faite de que ques variations sporadiques, que des perméabilités qui sont éloignées des va¯leurs idéales. Dans les procédés comprenant les pha- ses' de fabrication suivant l'invention, on obtient régulièrement des per- méabilités allant jusqu'à 1835. On peut comparer cette valeur à la permea- bilité moyenne de 1450 avec la même matière dans les mêmes 'conditions mais mesurée dans une direction perpendiculaire au sens du la¯minage, et aux'va- leurs similaires pour l'acier.non orienté répondant à la même analyse', me- surée parallèlement au sens du laminage.

   En utilisant les phases de fabri- cation renseignées ici on peut compter sur une augmentation de 100 environ des valeurs de perméabilité obtenues jusqu'à présent par les processus spéci- fiques révélés dans les brevets antérieurs à la présente invention, et des améliorations aussi élevées que 280 avec certains processus. 



   Une autre base utilisée communément pour la comparaison des perméa- bilités est la mesure des perméabilités à.une induction constante de 16 kilo- gauss. Sur cette base une augmentation de 1660 (perméabilité habituelle dans l'acier au silicium orienté avant l'invention) à 1835, la mesure étant faite à intensité de champ magnétique constant de 10 oersteds, équivaut à une aug- mentation de 2900 à 23.000 à induction constante. Ceci constitue un perfection- nement très important puisque cela signifie que le courant d'excitation dans un transformateur opérant à 16   kilogauss   est environ 3 fois aussi élevé lors- qu'il est construit en une matière ayant une perméabilité de   1660   à 10 oer- steds que'pour un transformateur construit avec le même poids de noyau en une matière ayant une perméabilité de 1835.

   Par conséquent une faible augmenta- tion de la perméabilité à 10 oersteds amène une grande diminution du courant d'excitation requis dans l'induction normale d'opération. Une telle améliora- tion.du courant d'excitation est d'importance en ce qu'elle permet des éco- nomies substantielles dans le poids des noyaux et enroulements pourvu qu'elle s'accompagne d'une perte de noyau par unité de poids à une induction'donnée' telle (comme cela peut être le cas avec les matières   fabriquées.suivant   l'in- vention) que la perte   totale.d'énergie   du noyau plus léger.soit'comparable à celle du noyau plus lourd fait avéc les matières disponibles antérieure- ment. 



   Dans l'élaboration des processus de fabrication de feuilles ou de rubans de ferrite-silicium à perméabilité élevée, on concentrait jusqu'à pré- sent son attention principalement sur les degrés de réduction à froid dans les diverses phases de fabrication et sur les températures de recuits inter- médiaires et de recuit final. Bien qu'on était assuré d'obtenir des perméa- bilités relativement élevées, le produit se caractérisait en général par des irrégularités, des variations dans la perméabilité par exemple entre les parties des enroulements individuels obtenus et la non-reproductibilité des résultats dans de nombreuses circonstances. On a trouvé qu'il y a des varia- bles affectant l'orientation du produit qui n'ont pas jusqu'à présent été comprises ou considérées.

   Ces variables sont d'une telle importance dans la production de degrés élevés d'orientation qu'en y prêtant attention en ac- cord avec les enseignements révélés par le présent brevet on peut être assu- réd'obtenir des améliorations marquées et utiles de la perméabilité, comme cela a déjà été dit. De plus, en tenant compte de ces variables on tend à minimiser dans une large mesure les irrégularités mentionnées plus haut. 



   Jusqu'à ce jour certains ont parfois supposé, que la température de laminage à chaud pourrait affecter la perméabilité finale. On a trouvé présentement que les températures réelles de laminage à chaud comprenant la vitesse. de refroidissement   pendant.et   après   le.laminage   à chaud. et les tempé- ratures spécifiques à la fin de la réduction à chaud, bien qu'elles p'ésen- tent une certaine importance, ne produisent que des effets relativement mi- neurs.

   On a trouvé qu'une variable particulièrement importante qui n'a pas été reconnue jusqu'à ce jour est la température atteinte par la matière avant.le laminage à chaud en bandes et particulièrement sous la forme de bra- mes convenant pour le laminage à   chaud..--        
En accord avec l'invention on chauffe les brames à la température 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 la plus haute poss ble ne produisant pas la désintégration intergranulaire connue sous la   dénomination. 03     "brûlure".   On réalise le chauffage a la tem- pérature la plus élevée possible le plus commodément dans le four à brames en tête du laminoir continu à chaud;

   mais il est possible d'obtenir un ef- fet approché en redisant séparément les brames aux températures élevées, ' c'est-à-dire aux-environs de   1370 C,   et de les passer ensuite au laminoir à des températures plus basses,   c'est-à-dire,-   aux environs de 1260 C. Après le recuit séparé, on peut refroidir les brames puis les réchauffer ensuite aux températures plus basses dans le four à brames habituel . 



   La brûlure auquel il est fait allusion est une désintégration intergranulaire progressive due probablement à l'oxydation ou à la migra- tion des substances intergranulaires ou à ces deux phénomènes simultané- ment, et qui se produit d'habitude aux environs de 1425 C en atmosphère oxy- dante. Bien qu'on puisse utiliser avec sécurité des températures quelque peu supérieure dans un four à recuit séparé dans lequel on maintient une atmos- phère non oxydante, on préfère d'habitude effectuer le chauffage des brames dans des fours à brames ordinaires qui font partie de l'installation de   la-.ni-   nage à chaud continu.

   Vu que la mesure de ces températures élevées présente certaines difficultés et s'effectue d'habitude à l'aide   de.pyromètres   placés soit à la sortie du four à brames ou entre les étages de dégrossissement et de finissage du laminoir à cnaud continu, il faudra normalement calculer les températures réelles, bien   qu'il   soit possible d'utiliser un pyromètre' à rayon- nement à l'intérieur du four à brames. On trouvera qu'il est préférable d'opé- rer avec une marge de sécurité   en.dessous   de la température de brûlure. On a trouvé qu'on obtient d'excellents résultats par chauffage des brames à des températures situées substantiellement entre 1260 et 1400 C environ en recom- mandant   d'opérer.aux   températures les plus hautes pour obtenir de meilleurs résultats.

   Le laps de temps au cours duquel les brames sont maintenus à la température la plus élevée n'est pas d'importance capitale, mais on doit se rappeler que les mesures au pyromètre sont d'ordinaire des mesures de tempé- rature en surface, de sorte qu'on doit s'assurer que les parties internes des brames sont portées à la température désirée. Ceci s'accomplit le plus commo- dément en maintenant les brames à cette température pendant un certain temps. 



  Par exemple, on est assuré d'obtenir des résultats satisfaisants en chauf- fant des brames de 7 cm d'épaisseur à une température voisine de   14000C   si la température du four dépasse cette valeur et qu'on laisse les brames dans le four à brames pendant 30 minutes au moins après que leurs surfaces ont at- teint une température d'environ 1260 C. 



   On préfère chauffer les brames à des températures situées dans l'intervalle indiqué précédemment, de préférence à des températures voisines oudépassant 1370 C. 



   Un processus de fabrication typique mais non limitatif pour l'a- cier au silicium orienté comprenant les principes de l'invention s'établit par exemple comme suit: 
Chauffer les lingots vers   1290 C.   



   Laminer en brames à l'épaisseur appropriée, qui est ordinairement de 7 à 15 centimètres mais qui peut varier en fonction des dimensions à don- ner à l'enroulement. 



   Chauffer les brames au four à brames à la température maxima ne produisant pas de brûlure. 



   Laminer à chaud les brames aussi rapidement que possible à épais- seur 5,5 à 9 fois l'épaisseur finale. 



   Recuire à découvert la matière -laminée à chaud, à une températu- re comprise entre 760 et   1095 C   et décaper. 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 
 EMI5.1 
 '. ' -Laminer'a froid la matière recuite', à épaisseur comprise entre'1,3 et 2,5  5 fois-  l'épaisseur finale. 



    @   
Recuire à découvert la matière laminée à froid, à une   température   comprise entre   760     et-     10100C.   
 EMI5.2 
 Laminer)' à froid au calibre' fina1..-   @  
Recuire à découvert de préférence en atmosphère décarburante par exemple en atmosphère de gaz réducteur humide, vers 851 C 
 EMI5.3 
 Recuire en caisse-le produit en atmosphère d' hydxogênë sec à 10; 5 C ou plus haut, de préférence vers   1150 C.   



   Dans ce processus donné à titre d'exemple, l'élévation de-la   tem-   pérature des brades depuis   1150 C   environ jusqu'à la température la plus éle- ' vée ne produisant pas de,brûlure, c'est-à-dire.une température de l'ordre de 1400 C, toutes les autres conditions restant les mêmes, produit une augmenta- tion de 100 à 280 de la perméabilité mesurée à 10 oersteds. Le degré d'amélio- ration varie en fonction des valeurs choisies pour les variables du proces- sus dans les limites données en exemple. 



   On a également recherché d'autres variables en relation avec le traitement qui précède le laminage à froid. La température à laquelle on chauf- fe les lingots avant le laminage en brame exerce une certaine action, une aug- mentation de la température du .lingot produisant une augmentation relativement , petite de la perméabilité finale dans la direction de laminage. Il est préfé- rable par conséquent de chauffer   iès   lingots vers   1200 C   ou plus haut. 



     @   La température   réelle   à laquelle s'effectue le laminage à chaud . ne présente pas en soi une importance capitale. Il est à comprendre que   la,,   température à laquelle on termine le laminage à chaud soit conditionnée dans une large mesure par la température initiale des brames, de sorte qu'une tem- pérature élevée des brames conduit habituellement à des températures plus éle- vées de laminage à chaud. Là variable la plus importante du processus   avant.=    -Il   et pendant la phase de laminage à chaud est la température élevée atteinte par les brames comme il a été dit, et non pas la température à laquelle on   exécu-   te ou termine le laminage à chaud lui-même. 



   Il est toutefois oréférable de laminer à chaud les brames au cali- bre voulu rapidement et sans amener un refroidissement plus important que celui qui est inhérent à l'opération avec le genre d'appareil   qu'on.a   à sa disposi- tion. 



   Le chauffage des brames aux températures mentionnées dans le bre- vet "parait augmenter la grosseur de grain des brames et affecter.le résultat des opérations ultérieures dans tout processus de fabrication d'acier au si-   licium   orienté au point qu'on obtient une augmentation marquée et de grande valeur de la perméabilité finale et des.caractéristiques en jonction de la direction..   ' '   
 EMI5.4 
 REVEND 1 -G A T I 0 IV 5,.... 



  --------------------------- 
1. Procédé de fabrication d'acier, au silicium fortement orienté pour des usages magnétiques, cet acier contenant substantiellement-2,5 à 4% de silicium, comprenant un laminage à chaud initial de l'acier à partir de brames, suivi   d'un.,traitement   de; laminage à froid et d'un recuit final à haute température, caractérisé en ce qu'on chauffe avant le laminage à chaud les brames à une température substantiellement de   1370 C   (2500 F). 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. 2. Procédé de fabrication.d'acier au silicium fortement orienté pour des usages magnétiques, comprenant un chauffage des lingots d'acier <Desc/Clms Page number 6> au silicium contenant substantiellement 2,5 à 4 % de silicium, une formation des lingots en brames et un laminage à chaud de l'acier à partir des' brames suivi par au moins un tràitement de laminage à froid et par un-,recuit final en caisse à haute température, caractérisé en ce qu'on chauffe les lingots à une température d'au moins substantiellement 1260 C (2300 F) avant la con- version en brames et chauffe, avant le laminage à chaud, les brames à uné température supérieure à 1260 C environ, pouvant atteindre 14000C environ (2550 F) 3.
    Procédé de fabrication d'acier.au silicium fortement orienté pour des usages magnétiques, comprenant un laminage à chaud initial de l'a- cier contenant substantiellement2,5 à 4 % de silicium à partir de brames, suivi par au moins un traitement de laminage à froid et par un recuit fi- nal à haute température, caractérisé en ce qu'on chauffe, avant le laminage à chaud,les brames à des températures supérieures à 1260 C environ, pou- vant atteindre 14000C environ.
    4. Procédé de fabrication d'acier au silicium fortement orienté pour des usages magnétiques, cet acier contenant substantiellement 2,5à 4% de silicium, comprenant un laminage à chaud initial de l'acier à partir de brames, suivi de deux étages de laminage à froid et d'un recuit intermédiai- re, caractérisé en ce qu'on chauffe, avant le laminage à chaud, les brames à une température supérieure à 1260 C environ, pouvant atteinte 14000C en- viron.
    5. Procédé suivant la revendication 4, caractérisé en ce qu'on forme des brames à partir des lingots et qu'on chauffe les lingots avant la formation des brames à une température substantiellement d'au moins 1260 C.
    6. Procédé suivant la revendication 4, caractérisé en ce que le recuit intermédiaire est un recuit à découvert à une température substantiel- lement comprise entre 760 et 1010 C (1400 F et 1850 F).
    7. Procédé suivant la 'revendication 4, caractérisé en ce que le second laminage à froid est suivi d'un traitement de décarburation qui com- prend un recuit à découvert, et d'un recuit final en caisse.
    8. Procédé suivant la revendication 4, caractérisé en ce que le recuit intermédiaire est un recuit à découvert à une température comprise substantiellement entre 760 et 10100C et en ce que le second laminage à froid est suivi d'un recuit à découvert et d'un recuit final en caisse en atmosphè- re d'hydrogène sec à une température substantiellement de 1150 C (2100 F).
    9. Procédé suivant la revendication 8, caractérisé en ce que l'acier est recuit à découvert à une température substantiellement de 760 (1400 F) à 1095 C (2000 F) entre le traitement de laminage à chaud et le premier traitement'de laminage à froid.
    10. Procédé de fabrication d'acier au silicium fortement orienté pourdes usages magnétiques, cet acier contenant substantiellement 2,5 à 4 % de silicium, comprenant un laminage à chaud initial de l'acier à partir de brames, suivi d'au moins un traitement de laminage à froid et d'un recuit final à haute température, caractérisé en ce qu'on chauffe, avant le lamina- ge à chaud, les brames à des températures supérieures à 1260 C (2300 F) en- viron, pouvant atteindre 14000C (2550 F) environ, en ce qu'on refroidit les brames et en ce qu'on les réchauffe à une température appropriée pour le la- minage à -chaud. - '
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