BE507646A - - Google Patents

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BE507646A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B25HAND TOOLS; PORTABLE POWER-DRIVEN TOOLS; MANIPULATORS
    • B25DPERCUSSIVE TOOLS
    • B25D17/00Details of, or accessories for, portable power-driven percussive tools
    • B25D17/24Damping the reaction force
    • B25D17/245Damping the reaction force using a fluid

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Percussive Tools And Related Accessories (AREA)

Description


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  OUTIL PNEUMATIQUE. 



   On sait que les outils pneumatiques travaillant par percussions, transmettent à l'ouvrier qui les manipule des vibrations très fatigantes. 



   Pour remédier à cet état de choses, on a déjà proposé, dans les marteaux piqueurs ou outils analogues fonctionnant à l'air comprimée de mon- ter coulissants l'un par rapport à l'autre la poignée de manoeuvre et le corps de l'outil et d'interposer entre ces organes un élément amortisseur tel qu'un ressort ou un matelas d'air comprimée 
Dans des modes de réalisation connus de ce genre, on ménage entre les deux organes mobiles (poignée et corps) une chambre de dimensions réduites qui communique par un canal étroit avec la source d'air comprimée l'un des organes mobiles faisant office de cylindre et l'autre de piston. 



  Dans ces conditionslorsque ces deux organes mobiles se rapprochent, l'air contenu dans la chambre tend à retourner vers la source par le canal étroite ce qui produit un laminage qui amortit les vibrations. Toutefois, étant donné que la longueur de la chambre est faible lorsque les vibrations sont fortes ou lorsque l'effort exercé par l'ouvrier est trop intense, les or- ganes mobiles arrivent à se heurter et l'effet amortisseur est supprimée 
On a tenté d'améliorer ce dispositif en faisant en sorte quee quels que soient les déplacements relatifs du piston et du cylindre, il subsiste toujours entre eux un certain volume d'air   comprimé,   l'amortisse- ment des fortes vibrations se faisant alors non plus par laminage, mais par compression élastique de cet airo 
Les dispositifs amortisseurs du genre précité ne sont pas sa- tisfaisants car,

   que l'amortissement se fasse par laminage de l'air dans le 

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 conduit étroit ou par compression de cet airdes réactions sont toujours transmises à la poignée et, partant, à l'ouvrier; par ailleurs, la latitu- de de déplacement relatif des organes mobiles est trop faible pour que l'a- mortissement soit efficace dans un domaine suffisant. 



   La présente invention a pour objet un outil à air comprimé, dans lequel l'amortissement n'est plus réalisé par laminage ou compression élastique d'un volume d'air pratiquement limité, mais par interposition entre le corps de l'outil et la poignée d'une masse d'air communiquant sans perte de charge appréciable avec une source de fluide comprimé, masse d'air qui est donc à pression constante. Grâce à ce dispositif, l'ouvrier qui tient la poignée n'a à exercer sur l'outil que la poussée nécessaire à l'équilibrage de la réaction constante due à la pression du fluide et, par conséquence, ne ressent aucune vibration. 



   Dans l'outil qui fait l'objet de la présente invention, la poignée comporte une chambre réunie par des canaux de grandes dimensions, donc en fait sans perte de charge, à une source d'air comprimé. Cet air est amené au corps de l'outil par un tube calibré dont la section totale est déterminée pour donner à la force qui tend à séparer le corps de l'ou- til de la poignée une valeur compatible avec l'effort moyen que l'ouvrier doit exercer sur la poignée lors du fonctionnement. 



   Cet agencement permet d'obtenir de grands déplacements rela- tifs de la poignée et du corps de l'outil, et assure un excellent amortis- sement ainsi qu'une grande souplesse de fonctionnement. Des moyens sont prévus pour réaliser l'étanchéité au droit du tube calibré, quel que soit le jeu que puisse prendre le corps de l'outil par rapport à la gaine soli- daire de la poignée et dans laquelle il est monté. 



   A cet effet, le tube calibré qui peut être soit solidaire du corps de l'outil ou de la poignée, soit monté avec un certain degré de li- berté par rapport à ces deux organes, est combiné soit avec des organes élastiques, soit avec des organes munis de surfaces de glissement planes ou sphériques agencées de manière à rester en contact les unes des autres quelle que soit l'orientation que puisse prendre le tube. Le tube calibré peut avantageusement être aménagé pour permettre la commande du passage de l'air vers le mécanisme moteur de l'outil, ce passage n'étant ouvert que si l'ouvrier exerce sur la poignée une poussée déterminée et, éventuelle- ment, pouvant être coupé si l'ouvrier appuie trop fort. 



   Cette disposition présente un double avantage. En effet, elle permet à 1'ouvrier de régler correctement le fonctionnement de son appa- reil et supprime pratiquement la marche à vide, ce qui, d'une part,   augmen-   te notablement le rendement et, d'autre part, permet un allègement sensible de l'outil par suppression des organes destinés à absorber la force vive du piston de l'outil lorsque ce dernier travaille à vide, organes que l'on peut remplacer par un simple dispositif de butée servant uniquement à empê- cher le pic ou organe analogue de se séaprer de l'outil lors des manipula-   tions.   



   La description qui va suivre en regard du dessin annexé, donné à titre d'exemple non limitatif, fera bien comprendre comment l'invention peut être réalisée, les particularités qui ressortent tant du texte que du dessin faisant, bien entendu, partie de ladite invention. 



   La fige 1 est une coupe longitudinale schématique d'un mode de réalisation très simple d'un marteau piqueur conforme à l'invention. 



   Les figures 2 et 3 sont des vues analogues de marteaux piqueurs dans lesquels 1-'étanchéité au droit du tube calibré est réalisée par des organes montés élastiquement. 

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   La figure 4 est une coupe axiale partielle d'un marteau piqueur dans lequel le tube calibré commande l'arrêt à fond de course. 



   La figure 5 est une coupe axiale partielle d'un marteau piqueur dans lequel l'étanchéité du tube calibré, par rapport à la chemise dans la- quelle coulisse le corps du marteau, est assurée par des organes glissant les uns sur les autres et appliqués par la pression d'air comprimé. 



   La fig. 6 est une vue analogue d'un marteau piqueur dans lequel les organes d'étanchéité comportent un joint déformable. 



   La fige 7.est une vue en élévation avec coupe partielle d'un marteau dans lequel la pièce d'étanchéité s'appuie sur la partie correspon- dante de la gaine par une surface sphérique. 



   La fig. 8 est une coupe axiale partielle d'un marteau dans le- quel le tube réducteur de pression est non plus solidaire du corps de l'ou- til, mais de la gaine portant la poignée, l'étanchéité étant réalisée à l'aide d'organes s'appuyant les uns sur les autres par des surfaces sphé-   riques.   



   La fige 9 est une coupe axiale partielle d'un marteau dans le- quel le tube réducteur de pression n'est solidaire ni du corps du marteau ni de la poignée, mais s'appuie sur cette dernière par des organes compor- tant un joint sphérique, l'étanchéité par rapport au marteau étant réalisée d'une manière analogue. 



   La fige 10 est également une coupe axiale partielle d'un mar- teau dans lequel le tube réducteur de pression coulissant élastiquement dans la gaine, est réuni au corps du marteau par l'intermédiaire de piè- ces d'étanchéité glissantes appliquées élastiquement sur ledit corps. 



   La fige 11 est une coupe axiale d'ensemble d'un marteau pi- queur conforme à l'invention. 



   Dans les divers modes de réalisation représentés sur le dessin, le corps 1 du marteau pneumatique, qui peut être de tout type connu, est monté dans une gaine cylindrique 2 solidaire de la poignée de manoeuvre 3. 



  Le corps 1 peut coulisser librement dans la gaine 2 et des moyens sont pré- vus pour l'empêcher de s'échapper de ladite gaine. On peut, à cet effet, comme on l'a représenté sur les figures 1 et 2, prévoir,à l'extrémité de la gaine par où sort le corps   l'   une partie 2a de plus faible diamètre, con- tre laquelle vient buter, en fin de course, un épaulement   Il!   du corps 1. 



  La gaine présente encore des trous 2b qui mettent en communication perma-   nente avec   l'atmosphère le cylindre dans lequel se déplace le corps. Na- turellement, la gaine 2.est réalisée en autant de parties qu'il le faut pour permettre le montage et le démontage du marteau piqueur. 



   On sait que lors du fonctionnement du marteau pneumatiquece dernier est soumis à de très fortes vibrations qui, si le corps était ri- gidement lié à la poignée, fatigueraient rapidement l'utilisateur. 



   Le montage qui fait l'objet de la présente invention permet d'éviter ce grave inconvénient. En effet, le corps 1, qui coulisse li- brement dans la gaine, est repoussé vers l'extérieur de cette dernière par l'air comprimé amené par des moyens appropriés, qui actionne son mécanisme moteur ; la pression de cet air comprimé étant pratiquement constante (5 à 7 kilogs par cm2 habituellement) l'ouvrier n'a plus   qu'à   exercer sur la poignée la pression constante nécessaire pour équilibrer la force constan- te due à l'air comprimé et est pratiquement soustrait à l'influence des vibrations. 

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   Afin que ce processus soit efficace, il faut prévoir pour le corps l, une latitude de déplacement suffisante pour que l'effet d'amortis- sement dû à la masse d'air joue à plein dans de larges limites. 



   En outre,en vue de réduire à la valeur convenable l'effort pra- tiquement constant que doit exercer l'ouvrier., il est nécessaire de limiter la section réelle sur laquelle l'air comprime agit pour repousser le corps. 



  Avec de l'air à 7 kilos par cm2, par exemple, cette section doit être de l'ordre de 2 à 5 cm2 pour les engins usuels. 



   Les divers modes de réalisation représentés sur le dessin sa- tisfont à ces conditions. 



   Sur la fige 1, la gaine 2, dans laquelle se déplace le corps 1, est prolongée par un col 4 au sommet duquel est fixée la poignée 3. Dans l'alésage central 5 du corps 1 est monté, vissé, par exemple, un tube ca- libré 6 qui, lorsque le corps 1 se déplace, coulisse dans le col   4.   Le tu- be 6 est guidé, d'une part, par une collerette étanche 4a solidaire du col 4 et, d'autre part, par un bouchon 7 fixé à sa partie supérieure. Comme on peut le voir sur le dessin, la latitude de coulissement du corps 1 et du tube 6 est relativement grande, ce qui assure un domaine étendu d'amortis- sement . 



   Le tube 6 a,notamment, pour fin de limiter la section sur la- quelle agit l'air comprimé qui tend à repousser le corps hors de la gaine; dans le présent exemple, l'air comprimé est introduit par un ajutage 8   d'où   il passe par des canaux 9 dans la chambre 10 limitée par le col   4,   la poignée 3 et la collerette 4a. Le bouchon 7 comporte un certain nombre de canaux 7a livrant passage à l'air comprimé qui pénètre à 1,'intérieur du tube 6 par des lumières 6a pratiquées à la partie supérieure de ce der- nier. La section totale des canaux 7a et des lumières 6a est choisie suf- fisamment grande pour que les pertes de charge soient réduites au minimum. 



  De cette façon, la quasi-totalité de la pression de l'air agit, pour re- pousser le corps 1, sur une section qui est approximativement la section extérieure du tube 6. 



   Lorsque le marteau fonctionne le corps 1 subit des réactions variables et reste toujours soumis à l'action de la masse d'air comprimé située derrière lui, masse qui comporte non seulement l'air enfermé dans l'outil lui-même mais encore la masse d'air que contiennent les tuyaute- ries et la source d'air comprimé. Cette masse d'air étant importante et la latitude de déplacement offerte aux organes mobiles étant suffisante pour que, dans les conditions normales, aucun organe mobile ne vienne heurter la gaine 2 ou   la'poignée   3, on se trouve dans des conditions idéa- les d'amortissement des vibrations etla gaine 2 ne joue que le rôle d'un organe de guidage. 



   Afin de parer aux conséquences de trop grands efforts exercés par l'ouvrier sur l'outil, on munit la face supérieure du-corps 1   d'un   or- gane amortisseur constitué dans le présent exemple par une rondelle de caoutchouc 11 qui absorbe les chocs éventuels du corps contre la gaine, les chocs avertissent l'ouvrier qu'il appuie trop fort sur l'outil et l'in- citent à relâcher sa pression sur la poignée. 



   Outre ses fonctions de guidage et de limitation de la section utile offerte à   l'air   comprimé, le tube 6 sert également à la commande de l'outil pneumatique. En effet, lorsqu'aucune résistance ne s'exerce sur le pic 12 de l'outil, le corps 1 fait saillie au maximum hors de la gaine 2, et bute contre cette dernière. Dans ce cas, les lumières 6a sont masquées par la collerette 4a. L'air ne pénètre pas dans le mécanisme du marteau, et ce dernier ne fonction-ne pas. Lorsque l'ouvrier appuie le pic 12 sur la matière à défoncer, le corps remonte dans la gaine, les lumières 6a sont 

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 découvertes et le marteau se met à fonctionner.

   Si pour une raison ou pour une autre la résistance exercée sur le pic 12 vient à céder le corps 1 est repoussé au maximum hors de la gaine, les lumières sont masquées à nouveau et le mécanisme s'arrête. Le marteau ne peut jamais fonctionner à vide ou même sous l'effet d'une poussée insuffisante de la part de l'ouvrier, ce qui entraîne une amélioration notable du rendement. 



   Le fonctionnement du mode de réalisation représenté sur la fig.2 est identique   à   celui que l'on vient de décrire en regard de la fig. 1. 



   Dans cet exemple, le col   4   est supprimé et les fonctions d'étanchéité de la collerette 4a sont dévolues à une collerette 13b d'un organe cylindrique 
13 monté élastiquement sur-la gaine   2,   par exemple, à l'aide d'une partie 
13a en forme de disque intercalée entre deux coussins de caoutchouc 14 s'appuyant sur des épaulements 15 de la gaine. Dans ce mode de réalisation, l'étanchéité est assurée quel que soit le jeu que puisse prendre le corps 1 dans la gaine 2. 



   Le mode de réalisation de la fig. 3 concerne un outil   pneuma-   tique dans lequel le tube, guidé élastiquement par un organe tubulaire 13 comme dans l'exemple précédent, ne sert plus à commander le marteau. Dans ce cas, il faut prévoir un organe de commande qui peut être de tout type connu et que, par mesure de simplification, on n'a pas représenté. Sur la présente figure, l'amortissement des chocs provenant du trop grand en- foncement de la poignée est assuré par un ressort 16 fixé au corps 1, res- sort qui peut être prévu de façon à agir sur toute la course du corps ou, tout au moins, vers la fin de ladite course. 



   L'exemple de réalisation représenté sur la fig. 4 concerne un outil pneumatique dans lequel le tube 6 sert non seulement à commander l'arrêt du mécanisme lors de la marche à vide, mais encore à stopper ledit mécanisme lorsque l'ouvrier exerce une pression trop violente sur la poi- gnée 3. A cet effet, l'ajutage 8 d'amenée d'air comprimé n'est plus   prévu,   dans la poignée, en bout du tube 6, mais dans le col 4 de la gaine, en re- gard du tube 6. L'air comprimé, introduit par l'ajutage 8, pénètre dans une portion annulaire 17 de la chambre 10, limitée par deux portées 18 et 
19 du col   4.   Le tube 6 présente un certain nombre de lumières 6a.

   Ce tube,guidé rigidement avec étanchéité dans les portées 18 et   19,   est mon- té dans l'alésage 5 du corps 1 par l'intermédiaire d'un joint souple 20 en caoutchouc; par exemple. La face supérieure du corps 1 présente un ressort 
16 agencé, ici, pour n'agir qu'en fin de course. Le fonctionnement du pré- sent dispositif est le suivant : à vide, le corps 1 occupe sa position li- mite extérieure et les lumières 6a lesplus proches de l'extrémité 6b du tu- be 6 sont masquées par la portée 19. Le mécanisme du marteau ne fonctionne donc pas. Lorsque l'ouvrier appuie sur la poignée 3, le corps 1 coulisse vers l'intérieur de la gaine, les lumières 6a sont découvertes et l'air pénètre dans le corps et actionne le mécanisme.

   Si l'ouvrier exerce une pression trop grande, le tube 6 s'enfonce à fond dans le col 4 et les lu- mières 6a les plus proches du corps sont masquées par la portée 18, l'arri- vée d'air au corps 1 est coupée et le mécanisme s'arrête. Lorsque la pres- sion ou le choc diminue, sous l'influence du ressort 16 et de son poids, le corps 1 se déplace vers l'extérieur de la gaine et le fonctionnement re- prend. Le ressort 16 peut, naturellement comme dans l'exemple précédent, agir sur tout ou partie de la course du corps du marteau. 



   Dans les divers modes de réalisation représentés sur les figu- res 5 à 11, l'outil pneumatique, par exemple un marteau piqueur, comporte, comme dans les exemples précédents, une gaine   101   solidaire de la poignée 
102, gaine dans laquelle coulisse le corps 103 de l'outil. L'air compri- mé qui arrive par l'ajutage 102a de la poignée est transmis au corps du marteau par le tube calibré   104.   



   Afin que l'outil pneumatique fonctionne correctement, il est 

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 indispensable que le guidage du tube   104   dans les divers organes qu'il tra- verse pour réunir l'intérieur du corps du marteau à la chambre 105 dans la- quelle arrive l'air, soit assuré avec une étanchéité rigoureuse ou tout au moins suffisante. Il faut en outre que ladite étanchéité soit assurée in- dépendamment du jeu que peut prendre le corps du marteau ou outil équivalent par rapport à la gaine. 



   Dans la forme d'exécution représentée sur la fig.   5,   le tube   104,   monté rigidement sur le corps 103 du marteau, traverse avec un jeu important une cloison transversale 106 montée dans la gaine, par exemple par serrage entre des épaulements appropriés de la partie inférieure 101a de ladite gaine dans laquelle coulisse le corps 103, et de la partie supérieure 101b qui porte la poignée, ces deux parties étant, par exemple, vissées l'une sur l'autre.

   Le tube   104   coulisse sans jeu appréciable dans un manchon cy- lindrique 107 et l'étanchéité entre l'espace 105 déjà mentionné et l'espa- ce 108 situé au-dessus du marteau et réuni à l'atmosphère par des lumières 108a, est assurée au moyen d'aune pièce intermédiaire 109 qui comporte, d'une part, une surface plane 109a s'appliquant sur une surface   correspon-   dante 107a du manchon 107 et une face sphérique 109b épousant une face sphérique égale 106a de la paroi 106. 



   Le fonctionnement de l'outil pneumatique représenté sur la fig. 5 est le suivant : 
Au repos, sous l'influence de la pression qui règne dans l'es- pace 105, le corps 103 est repoussé à fond hors de la gaine et l'épaulement 104a du tube 104 s'appuie sur la face supérieure du manchon 107, les lu- mières 104b et 104c du tube 104 étant masquées. Le mécanisme moteur du marteau,privé d'air comprimé, reste immobile. Lorsque l'ouvrier appuyant sur la poignée applique le marteau sur la partie à travailler, le corps du marteau pénètre dans la gaine et le tube 104 coulisse à travers le man- chon 107 qui, lui, reste appliqué par la pression sur la paroi   106   par l'intermédiaire de la pièce 109. On peut au besoin associer au manchon   107   un ressort qui le maintient appliqué.

   Les lumières 104b et 104c sont démasquées comme on le décrira ultérieurement avec plus de détail en re- gard de la figure 11 et l'outil fonctionne. 



   Quel que soit le jeu qui puisse exister entre le corps 103 de l'outil et la gaine 101, en d'autres termes quelle que soit l'inclinaison que puisse prendre le tube 104 par rapport à la paroi 106, une étanchéité rigoureuse est assurée entre les espaces   105   et 108 du fait du glissement les unes sur-les autres des surfaces   107a-109a   et   109b-106a.   Il est évi- dent que l'on pourrait obtenir le même résultat en ménageant les surfaces sphériques entre les pièces 107 et 109 et les surfaces planes entre les pièces 106 et 109 ou en utilisant deux séries de surfaces sphériques. 



   Sur la fig.   6,   le tube 104 est également solidaire du corps   103   de l'outil. Il traverse encore avec jeu une cloison 106 montée, comme dans l'exemple précédent, entre les pièces 101a et 101b de la gaine 101 et coulisse toujours dans un manchon cylindrique 107. Dans le présent exem-' ple, l'étanchéité n'est plus assurée totalement par glissement mais par la combinaison, avec la pièce 109 qui porte toujours par sa face 109a plane ou sphérique sur la face correspondante 107a du manchon   7,   d'un joint élastique 110 constitué, soit comme dans l'exemple représenté par un anneau de caoutchouc, soit par un ressort à membrane.

   Il est à remarquer que l'on pourrait supprimer la pièce 109 en agençant le joint 110 de façon qu'il puisse permettre' soit par glissement, soit par déformation, un déplacement suffisant du manchon 107. Le fonctionnement de l'exemple représenté sur la fig. 6 est analogue à celui que l'on a décrit en regard de la fige 5. 



   Dans la variante que représente la fig. 7, et qui comporte tou- jours un tube 104 rigidement lié au corps 103 du marteau, l'étanchéité en- 

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 tre les espaces 105 et 108 est assurée non plus rigoureusement, mais.d'une manière à la rigueur suffisante, par simple glissement entre les.faces cor- respondantes 106a et 107a de la paroi 106 et du manchon 107,faces auxquel- les on donne la forme d'un plan ou d'une sphère de grand rayon, une bonne solution étant une sphère dont le centre 0 est situé en un point qui corres- pond approximativement au centre moyen d'oscillation du corps du marteau. 



  Le fonctionnement de cette variante est également le même que ceux que l'on a déjà décrits en regard des figures 5 et 6. 



   Dans les modes de réalisation représentés sur les figures 8 à 10, le tube 104 n'est plus rigidement lié au corps 103 du marteau. 



   Sur la fig. 8, le tube 104 est solidaire de la partie 101b de la gaine qui porte la poignée 102. Il pénètre dans le corps 103 du marteau par l'intermédiaire d'un dispositif de guidage et d'étanchéité qui compor- te un manchon 111 dans lequel le tube   104   coulisse sans jeu appréciable, manchon dont la tête 111a s'appuie par une portée sphérique lllb sur une rondelle intermédiaire 112 munie d'une surface d'appui 112a correspon- dante, rondelle qui à son tour repose par une autre surface sphérique 112b sur une bague 113 bloquée, par une rondelle filetée 114, sur le corps 103. 



  L'extrémité intérieure du tube   104   est également munie de l'épaulement 104a et de lumières   104b.   Le fonctionnement de ce mode de réalisation est éga- lement analogue à ceux que l'on a déjà décrits, le manchon 111 étant main- tenu appliqué contre la pièce 112 par la différence de pression qui existe entre l'espace   115   intérieur au corps du marteau et l'espace 108 relié à l'atmosphère par les lumières 108a. 



   Sur la fig. 9, le tube 104 n'est plus solidaire d'aucune des parties de l'outil, mais est monté, d'une part, par l'intermédiaire d'un joint à rotule   116   sur une paroi appropriée 106 intercalée entre les par- ties 101a et 101b de la gaine et, à son autre extrémité, dans un manchon de guidage 111 aménagé également en forme de rotule et s'appuyant sur'une bague 113 bloquée sur le corps 103 du marteau par un anneau fileté   114.   



   Le fonctionnement est également analogue à ceux que l'on a dé- crits, la pression dans l'espace 105 appliquant la rotule 116 contre la portée sphérique 106a de la paroi 106 et la pression dans l'espace 115 appliquant le manchon 111 sur son siège. 



   Sur la fig. 10, le tube 104 est guidé dans un manchon 117 monté dans la partie 101b de la gaine, de préférence par l'intermédiaire d'un anneau de caoutchouc 118 qui assure l'étanchéité entre les espaces 105 et 108. Ce tube est réuni au corps 103 du marteau, dans lequel il s'appuie sous l'action d'un ressort 119, par une rotule 120 agissant sur une bague 121 comportant, d'une part, une portée sphérique 121a et, d'autre part, une face plane 121b par laquelle elle peut glisser sur.un épaulement plan 122 du corps du marteau. Le fonctionnement de l'appareil est encore le même que celui des modes de réalisation précédents. 



   La fig. 11 représente un mode de-réalisation d'ensemble du mar- teau piqueur, comportant divers perfectionnements, en combinaison avec le dispositif d'amortissement élastique précédemment décrite Dans ce mode de réalisation, on retrouve encore la gaine 101 comportant la partie supé- rieure 101b solidaire de la poignée 102 et la partie inférieure 101a dans laquelle coulisse le corps 103 du marteau. L'air arrive au corps 103 par le tube calibré 104 terminé par l'épaulement   104a   et présentant les   lumiè-   res 104b et 104c. Le tube 104 est guidé dans un manchon 123 reposant par une portée sphérique 123a sur une portée correspondante 124a d'une bague de glissement 124 qui, à son tour $'appuie par une face plane 124b sur une paroi 106, montée entre les pièces   lola   et 101b de la gaine.

   Dans la face supérieure du manchon 123 est pratiquée une rainure annulaire 123b de di- mensions correspondant à celles de l'épaulement 104a du tube 104. Grâce à 

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 cette disposition, à l'arrêt, dès que la pression exercée par l'ouvrier sur la poignée 102 devient insuffisante, l'étanchéité entre les espaces 105 et 108 est totale du fait de l'application de l'épaùlement 104a sur le fond de la rainure 123b. 



   En outre la rainure annulaire 123b, dans laquelle l'épaulement 104a vient jouer le rôle de piston, assure, lorsque le pic du marteau ne rencontre plus d'obstacle, un amortissement du choc qui pourrait se produi- re entre l'épaulement 104a et la pièce 123, par utilisation du coussin d'air subsistant dans la rainure   123b.   Le léger jeu qui existe entre la rainure et l'épaulement permet d'ailleurs une évacuation lente de cet air, ce qui fait qu'au bout de peu de temps l'on obtient l'étanchéité parfaite dont on a parlé ci-dessus. 



   Comme on a déjà pu le remarquer en   examinant   les figures   5,   6 et 10, le tube   104   présente des lumières 104b et 104c de dimensions diffé- rentes et dont la signification va être donnée ci-après. Les dimensions de ces lumières qui ici sont au nombre de deux mais dont on pourrait pré- voir un plus grand nombre, vont en croissant à partir de l'extrémité libre du tube 104a, ce qui permet d'obtenir une ou plusieurs positions de ralen- ti avant la marche à pleine puissance, par découvrement successif des trous 104c et 104b, et, en   outre, .par   étranglement en début de course de l'arri- vée d'air entre l'épaulement 104a et la pièce 123. 



   Le cylindre   10'la   de la gaine, dans lequel coulisse le corps 103 du marteau, présente, à sa partie médiane, une large chambre annulaire 125 réunie à l'atmosphére par des fenêtres   125a,   chambre dans laquelle, en fonctionnement, sont situées la ou les lumières 125b par lesquelles l'air moteur s'échappe du corps 103. Ces lumières 125b sont prévues à un niveau tel que, lorsque le marteau est au repos elles soient masquées par la par- tie correspondante du cylindre 101a, ce qui empêche l'introduction des souillures. dans le mécanisme moteur. 



   Par un aménagement convenable de la butée en fin de course in- térieure, on obtient un amortissement des chocs de fond de course. Dans le présent exemple, le   manchon' 123   comporte un prolongement 123e sur lequel peut venir buter l'extrémité 103a du corps   103.   Lorsque ce choc se produit, le manchon 123 se soulève et l'air comprimé pénètre dans l'espace 108 qui, à ce moment, n'est plus ou pratiquement plus en communication avec   l'atmos-   phère, les lumières 108a étant masquées par le corps du marteau.

   Dans ces conditions, la pression à laquelle est soumis le corps du marteau est dé- terminée par la section de la chambre   106   et l'on obtient un palier de pres- sion nettement supérieur à la pression normale de fonctionnement et que l'ouvrier doit franchir avant de ressentir le choc. Ce palier a une valeur relativement élevée pour les outiles pneumatiques de construction courante et la présente disposition assure une protection efficace contre les chocs à fond de course.

   Des variantes de ce dispositif sont représentées éga- lement sur les.figures 8 et 9        .   Le pic ou outil analogue 126 du marteau est retenu, non pas, comme dans lés marteaux connus, par un organe solidaire du corps 103, mais par un capuchon 127 fixé au cylindre 101a de la gaine et contre lequel ce pic vient buter-par un épaulemement   126a.   La queue 126b du pic est guidée dans un manchon 103b du corps 103. Cette disposition présente l'avantage de ménager une grande latitude de déplacement du pic en fonctionnement tout, en assurant la possibilité de rentrer au maximum ce pic à l'arrêt dans le corps du marteau. En outre, le risque de dévissage du capuchon 127 est réduit au minimum,puisque cet organe est soustrait aux vibrations.      



   Le corps 103 du marteau estconstitué par enveloppe exté- rieure 128 et une chemise intérieure 129 entre lesquelles est ménagé un passage annulaire 130 dans lequel se répand l'air moteur pour venir agir 

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 sous le piston. Ce passage annulaire est isolé de l'intérieur du tube 104 par des moyens connuspar exemple par soudure du collet 129a par lequel la chemise 129 s'appuie sur l'embouchure du tube 104, par interposition de garniture d'étanchéité, emboîtement du collet dans le tube,   etc...   Au   som-   met de la chemise 129 est ménagée une chambre annulaire 131 dans laquelle arrive l'air moteur et qui est réunie, d'une part, par les lumières'132 avec l'intérieur du corps du marteau et, d'autre part, par des lumières 133 avec le passage annulaire 130.

   A la partie inférieure du marteau, le pas- sage 130 est réuni à l'intérieur du corps par des lumières 130a. Dans la chambre 131, est prévue une soupape 134 montée librement dans ladite cham- bre et constituée par un disque muni d'une ouverture 134a à sa partie cen- trale. 



   Le fonctionnement du mécanisme moteur ainsi décrit est le sui-   vant :    
A l'arrêt, on peu- supposer que le piston 135 est situé au bas de la chambre 136 du corps du marteau* L'épaulement   104a   est engagé dans la rainure 123b. Lorsque l'ouvrier appuie le pic sur l'obstacle à défoncer, le pic s'enfonce dans le corps du marteau jusqu'à ce que son épaulement 126a vienne buter sur le manchon   103b   le piston 135 dégageant alors les lumières 130a, puis le corps du marteau coulisse dans la gaine et l'air pénètre dans le mécanisme moteur d'abord modérément par la lumière 104c puis normalement par les lumières 104b et 104c.

   La soupape 134 masque les lumières 132 et l'air empruntant le passage annulaire 130 soulève le pis- ton 135 qui, en fin de course, d'une part, comprime l'air contenu dans la chambre supérieure 136a située au-dessus de lui et, d'autre part, démasque les lumières d'échappement 126b, mettant ainsi la portion inférieure   136b   de la chambre 136 en communication avec l'atmosphère. Sous l'action de la pression qui s'établit dans la chambre 136a, la soupape 134 se trouve sou- levée, masque les lumières 133 et démasque les lumières 132, par lesquel- les l'air s'engage dans la chambre 136a et chasse le piston sur le pic. 



  Dans sa course descendante, le piston démasque les lumières   125b,   la sou- pape 134 s'applique alors sur les lumières 132, l'air passe dans le pas- sage annulaire 130 par les lumières 133 et le cycle recommence. Pour ar- rêter le marteau, il suffit de le soulever, le corps 103 coulisse alors à fond dans la gaine, les lumières 104c puis 104b sont masquées et l'arrivée d'air dans le mécanisme moteur est coupée. 



   On peut remarquer que le présent mode de construction du mar- teau assure une grande simplicité du fait que le corps 103 et la gaine 101 peuvent prendre, l'un par rapport à l'autre, n'importe quelle orientation autour de leur axe commun du fait de l'admission centrale par le tube   104   et de l'échappement annulaire dans la chambre 125. On peut donc réaliser ces pièces cylindriques et se dispenser de tout ergot d'orientation. 



  Toutefois, la présence d'organes d'orientation entre la gaine solidaire de la poignée et l'outil ne gêne en rien l'application des dispositifs d'amortissement décrits ci-dessus. 



   En ce'qui concerne le fonctionnement'des outils pneumatiques réalisés selon l'invention, l'expérience montre que l'on obtient de bons résultats lorsque la   masse m   des organes solidaires de la poignée n'est pas trop petite par rapport à la masse m1 du corps du marteau et des orga- nes qui lui sont reliés. A titre d'exemple, on peut indiquer que l'on ob- tient un excellent amortissement lorsque le rapport de m2 à M = m1 +   m   est compris entre environ 0,3 et 0,7. 



   Pour évaluer la force d'enfoncement de la poignée, il faut te- nir compte de la moyenne dans le temps des forces exercées sur l'outil (pic par exemple), forces qui sont dues aux percussions et aux pressions, ainsi 

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 que du poids du corps du marteau proprement dit.   Pratiquement,   on calibre le tùbe d'alimentation de telle-sorte que le corps puisse être toujours suffisamment enfoncé dans la gaine pour que le fonctionnement soit satis- faisant dans tous les cas. Naturellement, la section utile du tube limi- teur de pression peut varier selon les caractéristiques du marteau. 



   Il va de soi que des modifications peuvent être apportées au dispositif d'amortissement qui vient d'être décrit, notamment par   substitu-   tion de moyens techniques équivalents, sans sortir pour cela du cadre de l'invention. 



   REVENDICATIONS. 



   1. Un outil pneumatique dans lequel le corps de l'outil et la poignée de manoeuvre sont montés coulissants l'un par rapport à   l'autre   caractérisé en ce que la poignée comporteune chambre réunie sans perte de charge appréciable à une source d'air comprimée l'air comprimé étant con- duit de ladite chambre., dans le corps de l'outil par un tube calibré dont la section extérieure est déterminée pour donner à la force qui tend à sé- parer la poignée du corps de l'outil une valeur compatible avec l'effort moyen que l'ouvrier doit exercer sur l'outil, en fonctionnement.

Claims (1)

  1. 2. Outil pneumatique selon la revendication 1, caractérisé en ce que le tube calibré est agencé pour commander l'arrivée de l'air compri- mé au mécanisme moteur.
    3. Outil selon les revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le tube calibré est monté sur le corps de l'outil et est guidé, avec étanchéité, dans une paroi de la chambre de la poignée.
    4. Outil selon la revendication 3, caractérisé en ce que la paroi dans laquelle coulisse le tube est constituée par une douille de gui- dage montée élastiquement dans la poignée.
    5. Outil selon la revendication 2 et les revendications 3 ou 4, caractérisé en ce que le tube est obturé à son extrémité libre et comporte dans ses parois latérales des lumières qui peuvent être obturées par la paroi dans laquelle coulisse le tube, l'alimentation en air comprimé du mé- canisme moteur étant alors interrompue.
    6. Outil se;on la revendication 2, caractérisé en ce que le tu- be est guidé dans deux parois opposées de la chambre de la poignée et com- porte des lumières qui peuvent être obturées par l'une ou l'autre des deux parois, cet agencement permettant de couper l'arrivée d'air comprimé au mé- canisme moteur lorsque le corps de l'outil atteint des positions extrêmes de coulissement par rapport à la poignée.
    7. Outil selon l'une des revendications précédentes, caracté- risé en ce que le tube est monté élastiquement sur le corps de 1-'outil.
    8. Outil selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce qu'au tube calibré sont associés des organes d'étanchéité munis de sur- faces de glissement planes ou sphériques agencées de manière à rester en contact les unes des autres quelle que soit l'orientation que puisse pren- dre le tube.
    9Outil selon la revendication 8., caractérisé en ce que le tube est solidaire du corps de l'outil et traverse avec jeu une paroi qui ferme la gaine dans laquelle se déplace 1-'outil., ledit tube coulissant sans jeu dans un manchon qui s'appuie avec étanchéité sur la paroi.
    10. Outil selon la revendication 9, caractérisé en ce que le <Desc/Clms Page number 11> manchon s'appuie par une surface sphérique sur une portée correspondante de la paroi.
    11. Outil selon la revendication 9, caractérisé en ce que le manchon s'appuie sur-la paroi par l'intermédiaire d'une pièce auxiliaire.9 l'un au moins des couples de faces d'appui de.la-pièce auxiliaire et de la paroi et du manchon étant sphérique.
    12. Outil selon la revendication 9, caractérisé en ce qu'un. or- gane d'étanchéité élastique est interposé entre le manchon et la paroi.
    13. Outil selon la revendication 12, caractérisé en ce qu'une pièce auxiliaire est interposée entre le manchon et l'organe d'étanchéité élastique.
    14. Outil selon les revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le tube est solidaire de la poignée et traverse la paroi supérieure du corps de l'outil par l'intermédiaire d'un manchon de guidage étanche s'ap- puyant sous ladite paroi par l'intermédiaire d'une pièce de glissement comportant au moins une face sphérique d'appui à laquelle correspond une portée correspondante du manchon ou de la paroi.
    15. Outil selon les revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le tube s'appuie, d'une part., par une portée sphérique sur une paroi fermant la chambre de la poignée et, d'autre part, traverse la paroi su- périeure du corps de l'outil avec interposition d'un manchon étanche s'ap- puyant par une face sphérique sur une portée correspondante de la paroi supérieure de l'outil. ' 16. Outil selon les revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le tube coulisse dans un manchon monté dans une paroi étanche fermant la chambre, de la poignée et est appuyé sur le corps de l'outil par l'in- termédiaire d'une pièce d'étanchéité, reposant elle-même sur le corps de l'outil par l'intermédiaire d'une bague glissant sur une portée correspon- dante du corps de l'outil.
    17. Outil selon l'une des revendications 9 à 16, caractérisé en ce que le tube est muni de lumières disposées de façon à être masquées par le manchon dans lequel coulisse le tube lorsque le corps de l'outil occupe par rapport à la poignée une position limite extérieure.,les di- mensions de ces lumières étant étagées de telle sorte que les lumières les plus petites soient masquées les premières et démasquées les dernières de façon à procurer une mise en train ou un arrêt au ralenti de l'outil.
    18. Outil selon l'une des revendications.9 à 17.., caractérisé en ce qu'à son extrémité libre, le tube est muni d'un épaulement destiné à former butée contre le manchon de guidage., en fin de course de l'outil.
    19. Outil selon la revendication 18, caractérisé en ce que dans la face sur laquelle vient buter l'épaulement, le manchon est muni d'une rainure périphérique assurant, par formation d'un coussin d'air, l'amortissement du choc de butée.
    20. Outil selon les revendications 8 à 19, caractérisé en ce que les organes d'étanchéité de glissement et le corps de l'outil sont' agencés de telle sorte qu'à fond de course intérieure, le corps de l'outil puisse venir déplacer l'un au moins desdits organes afin d'assurer le pas- sage vers la face supérieure de l'outil, de l'air comprimé qui vient ainsi s'opposer aux chocs importants, les lumières réunissant à l'atmosphère l'espace situé au-dessus de l'outil étant agencées de manière à être au moins partiellement masquées par le corps de l'outil dans la dernière par- tie de la course de ce corps. <Desc/Clms Page number 12>
    21. Outil selon la revendication 19, caractérisé en ce que le manchon dans lequel coulisse.le tube comporte un prolongement sous lequel vient buter la face supérieure du corps de l'outil.
    22. Outil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le.corps de l'outil est constitué par une enveloppe extérieure dans laquelle est montée une chemise intérieure, un espace annu- laire étant prévu entre ces deux organes et servant au passage de l'air qui va agir sous le piston de l'outil.
    23. Outil selon la revendication 22, caractérisé en ce que l'air comprimé fourni par le tube arrive dans une chambre communiquant, d'une part, avec l'espace annulaire et, d'autre part, avec le cylindre de l'ou- til, une soupape étant prévue pour diriger l'air alternativement,dans un ou l'autre de ces deux espaces.
    24. Outil selon l'une des revendications précédentes, caracté- risé en ce que la poignée est solidaire d'une gaine dans laquelle coulisse le corps de l'outil.
    25. Outil-selon la revendication 24, caractérisé en ce que les lumières d'échappement du cylindre de l'outil sont agencées de telle sorte qu'elles soient masquées par la gaine lorsque l'outil est repoussé à fond de course hors de cette dernière.
    26. Outil selon les revendications 24 ou 25, caractérisé en ce que le pic ou organe analogue de l'outil est maintenu en place par un organe porté par la gaine.
    27. Outil selon l'une quelconque des revendications précéden- tes, caractérisé en ce qu'un organe d'amortissement élastique est interpo- sé entre le corps de l'outil et les portées intérieures de la poignée con- tre lesquelles ledit corps pourrait venir buter.
    28. Outil tel que décrit et représenté sur le dessin.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2956999A1 (fr) * 2010-03-05 2011-09-09 Bidaux Marc Sa Dispositif d'outil a percussion

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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