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DISPOSITIF DE MANUTENTION.DE RECIPIENTS TRANSPORTABLES-
L'invention concerne un dispositif de manutention de récipients transportables et plus particulièrement un dispositif de cette nature au moyen duquel on fait passer des récipients d'un poids inférieur à la charge utile d'un camion entre divers types de dispositifs de transport dans un sens ou dans 19 autres ou entre une plate-forme de chargements etcet divers types de dispositifs de transport dans un sens . dans l'autre.
De nombreux dispositifs ont été préconisés jusqu'à présent pour faire passer des récipients d'un poids inférieur à la charge utile d'un camion entre divers dispositifs de transport ou entre une plate-forme de chargement, etc. et divers dispositifs de transport dans un sens ou dans l'autre. Ces dis- positifs connus ont divers inconvénients, qui résultent des appareils inutile- ment compliquée et coûteux au moyen desquels on transfère les récipients et c'est pourquoi ces dispositifs ne se sont pas répandus dans la pratique.
Ils comportent obligatoirement des installations mécaniques si encombrantes et vo- lumineuses pour effectuer le transfert des récipients que les dispositifs de transport avec lesquels ces installations mécaniques sont combinées ne peuvent plus servir qu'au transport de récipients spécialement construits de poids in- férieur à la charge utile d'un camion, et que ces récipients ne peuvent être transportés qu'avec ces dispositifs et ne peuvent pas être utilisés sous fome d9éléments séparés mobiles.
L'invention a pour but de remédier à tous les inconvénients de ces dispositifs connus et consiste dans un nouvel appareil et dispositif de trans- fert de récipients d'un poids inférieur à la charge utile d'un camion de cons- tructions si simples et cependant si robustes, qu'ils n'empêchent en aucune manière de se servir du dispositif de transport à d'autres transports que celui des récipients utilisés suivant l'invention. Ces récipients peuvent être dé- placés et manutentionnés par d'autres moyens que les dispositifs de transfert décrits ci-après et constituer des éléments séparés mobiles convenant au trans- port de charges complètes d'un point de départ à un point d'arrivée définitifs.
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On remédie aux difficultés propres aux dispositifs et appareils connus en disposant à chaque angle du récipient des petites roues actionnées mécaniquement qui peuvent monter et descendre., de sorte qu'on peut faire mon- ter facilement le récipient en amenant les petites roues en position de roule= ment et le faire descendre facilement de cette position de levée en le faisant reposer sur son fond et en amenant les petites roues au-dessus de ce fond.
Les petites roues sont combinées avec un dispositif mécanique mobile sur une voie disposée dans la plate-forme du dispositif transporteur et de préférence actionné par le moteur de ce dispositif de façon à faire rouler le récipient sur ses petites roues pour l'amener sur le dispositif de transport et l'en fai-- re sortir. Lorsqu'il s'agit de faire passer le récipient d'un dispositif de transport sur un autre ou d'un dispositif de transport sur une plate-forme de chargement,, etc. on se sert d'éléments en forme de pont qu'on place dans l'in- tervalle entre les dispositifs de. transport ou entre le dispositif de transport et la plate-forme de chargement, pour rattraper la différence de niveau entre eux et former une voie de roulement des petites roues et un support du récipient pendant son passage.
Le dispositif suivant l'invention est construit et dis- posé de façon à rendre tous ses éléments faciles à transporter et à pouvoir être utilisé et mis en place par le conducteur du dispositif de transport sans aucune aide, de sorte qu'un seul homme peut effectuer et commander le transfert de récipients de grandes dimensions, sans risque ni pour l'opérateur ni pour le récipient et son contenu. Le récipient comportant un support à roulettes à chaque angle peut être déplacé facilement d'une position à une autre et un dispositif permet de régler la position des petites roues de façon à pouvoir tirer ou pousser le récipient dans une position quelconque, et à permettre de transporter une charge d'un point de départ à un point d'arrivée définitif sans déplacer la charge du récipient.
En conséquence un des objets de l'invention consiste dans un nou- veau dispositif de transfert des récipients d'un poids inférieur à la charge utile d'un camion.
D'autres objets de l'invention sont les suivants un dispositif de transfert qui comporte un dispositif mécanique monté sur une voie disposée dans la plate-forme du dispositif transporteur et servant à amener le récipient sur ce dispositif ou à l'en faire sortira un dispositif au moyen duquel le récipient peut monter ou descendre mécaniquement sur des petites roues de support., de façon à faciliter son trans- fert et à former un récipient complètement mobile pouvant être utilisé sous forme d'élément séparé; un dispositif dans lequel l'énergie nécessaire au transfert du ré- cipient est fournie de préférence par le moteur du dispositif de transport du récipient, mais peut aussi être fournie par une autre source quelconque appro- priée;
un dispositif qui n'exige pas un remaniement important des types connus de dispositifs de transport pour les utiliser avec les récipients sui- vent l'invention et n'empêche pas d'utiliser ces dispositifs à d'autres trans- ports qu'à ceux des récipients précités; un dispositif relativement simple et peu coûteux à installer sur des types de dispositifs de transport existants et pouvant être utilisé par un personnel non spécialisé n'ayant reçu qu'un minimum d'instruction et d'en- traînement; un dispositif qui comporte de nouveaux dispositifs mécaniques mon- tés- sur des voies installées dans la plate-forme du dispositif - transporteur et s'accouplent avec le récipient pour le faire passer sur le dispositif de transport et l'en faire sortir;
un nouveau dispositif faisant monter et descendre les petites roues disposées à chaque angle du récipient; une nouvelle forme de construction de blocage des petites roues dans une position d'orientation quelconque pour transporter facilement les ré-
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3i]pients suivant l'invention sur leurs roues dans une direction quelconque; un nouveau mécanisme de freinage des roues suivant l'invention.- un nouveau dispositif en forme de pont;,' recouvrent l'intervalle variole entre le dispositif de transport et un autre dispositif de trans-
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port'ou plate-forme de charger-entg etc. supportant les roues pendant le passa- ge du-récipient et rattrapant les différences de niveau;
un nouveau dispositif poussant les voies qui supputent le dispositif mécanique au delà des bords du dispositif de transport-* @ un nouveau dispositif de commande des mouvements de montée et de descente des roues permettant de commander en synchronisme les roues d'une ex-
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trémité du récipient, ainsi que les roues de 79au. e extrémité de façon à réa- liser une répartition uniforme de la charge; un nouveau dispositif d'utilisation de l'énergie du dispositif de transports de fagon à actionner le dispositif mécanique provoquant le mouvement du récipient;
un nouveau dispositif qui permet de réaliser le transfert du récipient d'un cote ou de Vautre du dispositif de transport et dans un sens ou dans 1.!1 autre : un nouveau dispositif pouvant être facilement installé sur des types connus de dispositifs de transport sans leur faire subir de modifications
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importantes9 susceptible, de les empêcher d'être utilisée à d9 autres applica- tions; un nouveau dispositif qui permet de transférer le récipient dans le sens longitudinal du dispositif de transport ;
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un dispositif au moyen duquel le transfert du récipient seffectue rapidement et d9une manière efficace; un nouveau récipient ,d?¯noids inférieur à la charge utile d'un canion, à utiliser avec le dispositif suivant linvention et constituant par lui-même un élément mobile, indépendant;
un nouveau dispositif d'accouplement entre le dispositif mécanique et le récipient, dont la longueur peut être augmentée à volonté pour en augmenter la portée,
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D:1 autres caractéristiques de l'invention apparaîtront au. cours de la description détaillée qui en est donnée ci-après.
L'invention est susceptible de diverses formes de réalisations mé-
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caniques, dont 1'u-né est représentée sur le dessin ci-joint et est décrite ci- après à titre d'exemple. Il doit donc être bien entendu que cette forme de réalisation de 1invention citée à titre d'exemple ne doit être considérée en aucune manière comme la limitant.
Quoique cette forme de réalisation de l'in- vention comporte des dispositifs hydrauliques et des dispositifs mécaniques spéciaux, les dispositifs hydrauliques peuvent être remplacés par des disposi- tifs d'un autre type et les dispositifs mécaniques peuvent être modifiés, tout
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en restant conformes au principe de 19invention Sur le dessin ci-joint, donné uniquement à titre d9exemplea sur lequel les mêmes références désignent les mêmes éléments sur toutes les figures et sur lequel
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la figo l;:
représente -sous forme relativement schématique un camion équipé avec le dispositif suivant 1-linvention et servant â faire passer un ré- cipient transportable ou. cadre sur un wagon plate-forme de chemin de fer plus élevé que la plate-forme du camion, les divers éléments du dispositif suivant linvention étant dans la position qu'ils occupent au. commencement de ce trans- fert la fige 2 est une autre vue de la forme de réalisation de la figol sur laquelle le cadre a passé en partie sur le wagon plate-forme de chemin de
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fer, les dive éléments occupant la position au moment où lé transfert est en cours;
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la fig. 3 est une autre vue de la forme de réalisation de la figol sur laquelle le transfert du cadre du camion sur le wagon plate-forme est pres- que terminé; la fige 4 est une autre vue de la forme de réalisation de la figol sur laquelle le transfert du cadre du camion sur la plate-forme de chemin de fer est terminé; , la fige 5 représente le dispositif de l'invention suivant la forme de réalisation de la fige 1 où il s'agit de faire passer le cadre d'un camion sur un wagon plate-forme de chemin de fer situé plus bas que le camion, les divers éléments étant dans la position qu'ils occupent au commencement du trans- port la fige 6 est une autre vue du'transfert de la fig. 5, dans laquel- le le cadre a passé en partie du camion sur la plate-forme;
la fig. 7 est une autre vue du transfert de la fig. 5, dans laquel- le le récipient a avancé davantage pendant son passage du camion sur la plate- forme; la fig. 8 est une vue du transfert de la fige 5, dans laquelle le mouvement du récipient du camion sur la plate-forme est terminé;
la fige 9 est une vue en ,.plan par-dessus d'un camion pprtant un récipient à transférera en position le long d'un wagon plate-forme de chemin de fer, les divers éléments étant dans la position qu'ils occupent au commen- cement du transfert à partir du camion sur la plate-forme; la fige 9a est une vue en plan par dessus sous forme relativement schématique représentant la surface de support d'un dispositif de transporta convenant au transfert transversal ou en bout des récipients suivant l'inven- tion; la figo 10 est une élévation latérale d'un camion sur lequel est monté un récipient à transférer, les divers éléments étant représentés sous forme relativement schématique dans la position qu'ils occupent au commencement du transfert du récipient;
la fig. 10a est une élévation latérale relativement schématique du, dispositif suivant l'invention servant au transfert en--bout des récipients suivant l'invention d'un dispositif de transport sur un autre, sur un quai de chargement.. etc... la fige 11 est une élévation latérale du mécanisme moteur qui sert au transfert du récipient et représente le mécanisme de transfert monté sur sa voie posée sur la plate-forme du camion;
la fig. 11a est une coupe transversale du dispositif de la fig.11 suivant la ligne 11a-11a de cette figure, la fige 12 représente le mécanisme de la fige 11 observé du coté droit de cette figure, la figo 13 est une vue en plan par dessus d'une partie du mécanis- me moteur de la fige 11 et représente une partie de son train d'engrenage. la fig.
14 est une vue en bout de détail à plus grande échelle du crochet de la fige 11 et représente aussi un verrou d'extension, la fige 15 est une vue en plan de détail à plus grande échelle d'une portion de la voie sur laquelle fonctionne le mécanisme de transfert,, la figo 16 est une élévation latérale d'une portion du récipient à transférer suivant l'invention et représente en détail la forme de construc- tion du mécanisme faisant monter et descendre les roues, la fig. 17 est une vue en bout d'une portion du récipient de la fige 16 et représenta encore le mécanisme faisant monter et descendre les roues ainsi que la forme de construction des charnières des portes du récipient. la fig.
18 représente un dispositif mécanique'de montage du prolon-
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gement de rail soi" les côtés d5Jun camion et son mécanisas de blocage en posi- tion de déblocage9 la fige .8a représente le mécanisme de la figo 18 dont le prolon- gement du rail est en position de blocages la fige 19 est une élévation avec coupe partielle du nouveau méca- nisme .suivant 1 ?invention d'orientation des roues à chaque angle du récipient et représente le nouveau mécanisme de blocage des roues dans diverses positions
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ainsi que le nouveau mécanisme de freinage des roues suivant 19invention, la fige 19a représente de la fige 19 observé du coté Rauche-,
la fige 20 est une vue de détail à plus grande échelle du mécanis- me de blocage des fige 19 et 19a;
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la fig. 21 est une coupe transversale du mécanisme de la ìga 19 suivant la ligne 21-21 de cette figure; la fig. 22 est une vue en plan du nouvel élément formant pont qui
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sert à recouvrir 19intervalle entre le camion et la plate-forme pendant le pas- sage et dans lequel roulent les roues du récipient; la figo 23 est une élévation latérale d-9une portion de la fige ;22 et représente en détail la forme de construction de la semelle de support des ex- trémités de Isolément formant pont;
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la fige 24 est une vue éclatée de la portion .de la figea 22 repré- sentée sur la fig. 23 et indique de quelle manière la semelle s'assemble avec le pont,-
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la fig. 25 représente sous forme schématique un dispositif l1ydrau= lique appropriée monté dans le récipient à transférer suivant l'invention et
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dans la position dans laquelle il faut monter les 1'Óues au-dessus du niveau du plancher du récipient par une commande manuelle; - la fige 26 représente, sous- forme schématique; le dispositif hydrau-
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lique de la fig. 25 dans la position dans laquelle il fait descendre les roues. par une .commande à la main pour faire monter le récipient et faire reposer son poids sur les diverses roues;
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la fîg. 27 représente encore le dispositif hydraulique de la frigo 25 et indique de quelle manière fonctionne 19accumulateur lorsqu'on fait des- cendre le récipient pour le faire reposer sur son fond sans vider le disposi- tif hydr anlique; la fig. 28 représente, sous forme schématiques, l'enxemble du dis- positif hydraulique suivant l'invention qui comporte le dispositif hydraulique mont,é sur le camion et le dispositif hydraulique monté sur le récipient à trans- férer, les deux dispositifs étant accouplés pour faire agir l'énergie hydrau- lique sur les roues et les faire monter au-dessus du fond du récipient;
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la frigo 29 est une autre vue des dispositifs de la fig. 28 qui sont accouplés de façon à faire agir l'énergie hydraulique sur les roues et à faire monter le récipient en faisant reposer son poids sur les diverses roues;
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la fige 30 représente sous forme schématique, le dispositif hydrah- lique du camion accouplé au dispositif de transfert mécanique, de façon à fai- re fonctionner ces deux dispositifs en paal.é.e9 pendant le transfert du ré- cipientg et la fige 31 représente sous forme schématique le dispositif hydrau- lique du camion accouplé au dispositif de transfert mécanique, de façon à faire fonctionner ces deux dispositifs en série pendant le transfert du récipient.
Si on se reporte en particulier aux figa 1 à 10, on voit que cette forme de réalisation citée à titre d9exemple de l'invention comporte d'une ma- nière générale un dispositif permettant de transférer un récipient transporta- ble,désigné d'une manière générale par 50, entre un camion ou autre disposi- tif de transport appropriée désigné d'une manière générale par 51, et un antre type quelconque approprié de dispositif de transport, représenté sous forme
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de wagon plate-forme de chemin de fer ordinaire, désigné dune manière généra- le par 52, et inversement.
Le récipient à transférer 50 est. monte sur des roues orientables 53, une à chacun de ses angles et pendant le transfert, ces roues passent sur les éléments 54 en forme de pont, qui recouvrent l'interval- le entre le camion et la plate-forme. Les récipients à transférer 50 reçoivent leur mouvement sur les roues 53 pendant leur transfert par un ou plusieurs dis- positifs de transfert mécanique 55, qui y sont accouplés par un accouplement extensible 560 Les dispositifs de transfert mécaniques 55 sont montés sur des rails 57 transversalement disposés dans la plate--forme du camion 51 et venant affleurer Les rails 57 comportent des prolongements 58,dont la fonction sera décrite en détail plus loin.
Ainsi qu'il a déjà été dit., le dispositif de cette forme de réali- sation de l'invention, qui sert à faire monter et descendre le récipient à trans- férer 50 et à transmettre, l'énergie aux mécanismes de transfert mécaniques 55, est un dispositif hydraulique et l'énergie hydraulique est transmise aux dis- positifs de transfert mécaniques 55 par des tuyaux flexibles., désignés d'une manière générale sur ces figures par 59 et 60.
On remarquera que -les divers éléments du dispositif suivant l'invention tels que les ponts 54, les disposi- tifs de transfert mécaniques 55, le prolongement des rails 58 et les autres éléments décrits plus loin sont construits et disposés de façon à pouvoir être facilement levés et mis en place par le conducteur du camions sans aucune aide., de sorte que le transfert complet du récipient 50 peut être effectué par le conducteur du camion sans aucune aide et sans mécanisme et dispositifs autres que ceux qui sont décrits en détail ci-après.
Supposons que le récipient 50 repose sur son fond sur le camion 51 et quon désire le faire passer du camion 51 sur le wagon plate-forme 52. Le conducteur du camion 51 l'amène à cote du wagon 52 et aussi parallèlement que possible.
Il doit être bien entendu qu'il nest pas indispensable au fonction- nement du dispositif suivant l'invention que le camion 51 soit parallèle et à la même hauteur que le wagon plat 52, étant donné que les ponts 54 pouvant tenir compte des différences de parallélisme et de hauteur,, et les dispositifs de transfert mécaniques 55 sont assez puissants pour compenser des différences de hauteur au-dessus ou au-dessous du niveau du camion d'au moins 30 cm; le récipient 50 étant complètement chargé. après avoir amené le camion 51 à proxi- mité du wagonplat 52, le conducteur met les prolongements 58 des rails en pla- ce sur le cote du camion opposé au wagon plat 52 de façon à prolonger les rails 57 au delà du coté du camion.
Puis il monte les mécanismes de transfert méca- niques 55 sur les prolongements 58 des rails et il fixe les raccords 56 sur le côté du récipient 50 opposé au wagon plat 52. Le dispositif hydraulique suivant l'invention est alors, actionné de façon à faire monter les roues 53 au-dessus du niveau du plancher du récipient, ainsi qu'on le verra en détail plus loin, de sorte qu'on peut mettre les rails des ponts 54 en place au-des- sous des roues voisines du wagon plat 52 pour recouvrir l'intervalle entre le wagon plat 52 et le camion 51. Le dispositif hydraulique est alors actionné de façon à faire descendre les roues 53 pour faire monter le récipient au-des- sus de son fond et faire reposer son poids sur les diverses roues 53.
Puis on accouple le dispositif hydraulique aux mécanismes de trans- fert mécaniques 55, au moyen des tuyaux flexibles 59 et 60. Puis on fait ar- river l'énergie hydraulique dans les mécanismes 55, ce qui les fait avancer le long des prolongements des rails 50 en poussant le récipient 50 vers le wagon plat 52. De mouvement continue jusqu'à ce que les divers éléments soient venus dans les positions générales de la fig. 2 et à ce moment on peut inter- rompre l' arrivée de 1?énergie hydraulique dans les mécanismes 55 et renverser le sens de leur mouvement pour rallonger l'accouplement 56, s'il y a lieu com- me l'indique la figure 2 et ainsi qu'il est décrit en détail plus loin.
L'ac- couplement 56 étant allongé à ce moment., le récipient 50 peut être transféré complèthement sur le wagon plat 52 sans se servir des prolongements des rails 57 du côté du camion voisin du wagon plate Une fois les accouplements 56 al- longés,9 on actionne de nouveau les mécanismes mécaniques hydrauliquement pour terminer le transfert du récipient du camion sur le wagon plat par un mouvement sans à coups et continu en faisant rouler les roues sur les ponts 54. La fin du mouvement de transfert est indiquée sur les figo 3 et 4.
Il nest nécessaire
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d'allonger l'accouplement que lorsqu'on désire tirer pour pousser le cadre sur des wagons plats ou plate-formes;, etc. plus loin qu'il n'est normalement néces- saireo (Dans la plupart des cas on n'a pas besoin d'allonger le bras extensible
56).
Une fois le récipient 50 en place sur le wagon plat 52, on règle le dispositif hydraulique d'une manière appropriée de façon à faire monter les roues 53 et à faire descendre le récipient sur son fond sur le wagon plato
Le transfert est ainsi termine et le conducteur du camion débranche alors l'ac- couplement 56 du récipient et renverse le mouvement des mécanismes 55 de façon à les faire revenir en arrière sur les prolongements 58 des rails, puis il en débranche les accouplements flexibles 59 et 60, enlève les mécanismes des pro- longements des rails et les loge dans un compartiment quelconque approprié du châssis du camiono Il enlève les prolongements 58 des rails et les éléments de pont 54, et les installe dans un compartiment approprié ou sur des crochets du camion.
Le camion est ainsi prêt à servir à tout mitre usage ou à recevoir ,un autre récipient à transférer.
Lorsqu'il 81 agit d'effectuer le transfert du wagon plat sur la re- morque et que le récipient à transférer se trouve sur le wagon plat 52, on a- mène le camion 51 à côté du wagon 52 et on met les prolongements 58 des rails en place. Puis on monte les mécanismes mécaniques 55 sur les prolongements
58 et on raccorde les tuyaux flexibles 59 et 60. Puis on fait pour provoquer leur mouvement dans le sens transversal de la remorque 51 agir l'énergie hydrau- lique sur les mécanismes 55 en prolongeant les accouplements 56 s'il y a lieu et en les fixant sur le coté du récipient.
Puis on'fait monter les roues 53 du récipient 50, s'il y a lieu, pour pouvoir mettre en place les éléments de pont 54 et recouvrir l'intervalle entre la remorque 51 et le wagon 520 On fait agir lénergie hydraulique sur les roues 53 du récipient 50 pour faire monter le récipient au-dessus de son fond, en faisant supporter son poids par les roues
53. Puis on fait agir l'énergie hydraulique sur les mécanismes de transfert
55 pour faire rouler le récipient 50 sur ses roues 53 et le faire passer du wagon plat 52, sur les éléments de ponts 53 et sur la remorque 51.
Dès que le récipient 50 est venu complètement sur le camion 51, on actionne le dispo- sitif hydraulique pour arrêter le mouvement des mécanismes de transfert 55 et faire revenir les roues 53 en arrière de façon à faire reposer le récipient
50 sur son fond sur le camion 51. Les divers éléments sont alors débranchés de la manière décrite et on les loge dans des compartiments appropriés du camion
51 qui est ainsi prêt à partir en transportant le récipient;? étant entendu évi- demment que des dispositifs appropriés peuvent servir à attacher le récipient sur le camion ou sur le wagon plat et que ces dispositifs d'attache doivent être fixés et démontés suivant le cas au commencement et à la fin de chaque opération de,transfert.
Les fig. 5 à 8 représentent les diverses opérations décrites ci- dessus à effectuer pour faire passer un récipient 50 d'un camion 51 plus haut que le wagon plat 52. On opère exactement de la même manière que lorsque le camion est plus bas que le wagon ainsi qu'il a été décrit., et il y a lieu de remarquer quétant donné que les mécanismes mécaniques de transfert 55 sont montés sur des rails 57 et sont actionnés par un dispositif hydraulique,
il est impossible que ces mécanismes échappent et par suite il est possible de régler le mouvement du récipient 50 sans risque qu'il échappe à la commandée
On remarquera de plus que les divers mécanismes mécaniques de transfert 55 peuvent être commandés séparément et que par suite le mouvement du récipient 50 en cours de transfert peut être commandé jusqu'à la fin et que celui-ci peut être conve- nablement posé sur le wagon ou sur le camion suivant le cas.
Les figo 9a et 10a indiquent de quelle manière les rails 57 sont disposés sur le camion 51 et de quelle manière on pose les éléments de ponts
54 pour faire passer le récipient en bout au lieu de le faire passer latérale- ment de la manière décrite ci-dessus. Suivant la fig.
9a, les rails 57 sont posés sur le camion 51 dans le sens latéral pour faire passer le récipient la- téralement et un autre rail 57 est posé dans le sens longitudinal pour faire passer le récipient en bouto S'il s'agit de faire passer le récipient en bout, on fait reculer le camion 51 ou on l'amène de toute autre manière dans une po-
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sillon dans laquelle son arrière se trouve à cote de l'extrémité du wagon 52 ou autre surface sur laquelle doit être amené le récipient 50.
Puis on pose les éléments de ponts 54 de façon à recouvrir l'intervalle entre le camion 51 et le wagon 52 et on monte les mécanismes mécaniques 55 sur les rails longitu- dinaux 57 et on les accouple avec l'extrémité voisine du récipient 50. Puis on effectue le transfert du récipient 50 de la manière décrite ci-dessus sauf qu'il s'effectue sur l' extrémité etnon sur un côté du camion 51. Bien enten- du on peut disposer plus d'une voie longitudinale 57 et monter alors plus d'un mécanisme de transfert 55 et 1:1 accoupler avec le dispositif hydraulique pour obtenir 1?énergie nécessaire au transfert.
Si on considère les fig. 11, 11a et 12 on voit que les rails 57 et leurs prolongements 58 sont formés par deux fers en U 61 et 62 formant des canaux séparés par une barre d'écartement 63 et fixés par plusieurs vis 64 ou autre dispositif quelconque approprié traversant les fers en U 61 et 62 et la barre d'écartement 63. Les fers en U 61 et 62 sont fixés dos à dos par rapport à la barre d'écartement 63. Ils sont percés de trous régulièrement espacés 65 opposés au voisinage de leur bord supérieur pour loger les axes de galets 660 Ceux-ci sont séparés par des intervalles appropriés de façon à recevoir les dents d'un pignon de commande du mécanisme de transfert mécanique 55 ainsi qu'on le verra plus loin en détail.
La voie formée par les fers en U 61 et 62, la barre d'écartement 63 et les galets 66 est fixée dans la plate-forme du camion et peut être supportée par un canal métallique approprié 67.
Les prolongements 58 des l'ails 57 peuvent y être fixés d'une maniè- re quelconque appropriée. Suivant la fig. 11 ce dispositif de fixation consis- te en un crochet 68 fixé dans les prolongements 58 et pénétrant dans le rail 57 dans lequel il est bloqué par un mécanisme de verrouillage 69 quelconque approprié porté par le rail 57. Le mécanisme de verrouillage 69 comporte un verrou 70 mobile verticalement qui pénètre dans le crochet 68 et un second verrou 71 mobile verticalement qui pénètre dans une pièce 72 en forme de L fixée sur le prolongement 58 du rail par un gousset 73. Un levier de commande appro- prié 74 peut servir à actionner les verrous 70 et 71 pour bloquer les prolon- gements 58 dans leur position.
D'autres moyens peuvent servir à bloquer les prolongements 58 des rails dans leur position et les fig. 18 et 18a représentent un autre mécanisme équivalent qui sera décrit plus loin à propos de ces figures.
Si on considère de nouveau les fig. 11, 11a et 12 on voit quelles représentent un châssis d'un mécanisme de transfert mécanique 55 qui comporte deux plaques latérales 75 et 76 assemblées d'une manière appropriée et séparées par une plaque de base 77 sur laquelle elles sont fixées d'une manière appro- priée par exemple par soudure. 'Des galets appropriés 78 sont montés à l'inté- rieur des plaques latérales 75 et 76 et roulent dans les fers en U 61 et 62, en permettant ainsi au chassis de rouler librement le long des rails 67 et de leurs prolongements 58.
La plaque latérale 75 comporte une portion 79 dirigée vers le haut et la plaque latérale 76 une portion semblable 80 de façon à lo- ger un axe 81. Un accouplement extensible 56 est monté à oscillation sur l'axe 81 au moyen de deux goussets 82 et 83 qui sont fixés sur l'accouplement 56 d'une manière quelconque appropriée par exemple par soudure. Les goussets 82 et 83 sont de dimensions réduites à leurs extrémités opposées à l'accouplement 56 et sont séparés par une pièce d'écartement 84 à travers laquelle passe l'axe 81. L'axe d'oscillation ainsi formé permet à l'accouplement 56 de tourner sui- Vent un arc de cercle de longueur limitée autour de l'axe 81 de façon à tenir compte des différences de hauteur du récipient 50 pendant son transfert.
L'accouplement 56 a de préférence la forme d'un cylindre creux dans lequel un prolongement cylindrique ou bras 85 peut aller et venir librement.
Let brasr 85 se termine par un crochet approprié 86 qui ¯s' attache sur ' le récipient 50 pour provoquer son mouvement et se termine à son autre extrémité par un collier 85a qui peut coulisser dans le tube 56 et le récipient 50 comporte des goujons horizontaux ou autres dispo- sitifs appropriés sur lesquels le crochet 86 se fixe. Le bras 85 est retenu dans sa position de retrait par un verrou 87 et dans sa position d'extension par un verrou 88. Les verrous 87 et 88 sont d'une forme de construction iden- tique sauf qu'ils comportent respectivement des surfaces de came angulaire à
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droite et à gauche et sont représentés en détail sur la fig. 14. Ainsi qu'on peut le voir,, ils comportent une pièce transversale 89 oscillant autour d'un axe 90 sur un prolongement 91 fixé d'une manière appropriée sur un côté de l'ac- couplement 56.
La pièce transversale 89 comporte une patte 92 dirigée vers le bas et un ressort 93 est monté sur la patte 92 et sur l'accouplement 56 de façon à pousser la pièce transversale 89 en position de blocage. Un levier coudé 94 oscille sur l'autre extrémité de la pièce transversale 89 autour d'un axe 95 et dans une position empêche la pièce transversale 89 de tomber dans une encoche 96 découpée dans la partie supérieure de l'accouplement 56 et en face du bord du collier 85a de façon à bloquer automatiquement ensemble le bras 85 et le cylindre 56.
Le prolongement 85 coulisse librement dans l'accouple- ment 56 qui par suite peut s'allonger ou se raccourcir et les verrous 87 et 88 dans leurs positions appropriées bloquent automatiquement la pièce 85 dans sa position dextension ou de retraite
Les mécanismes de transfert mécaniques 55 sont montés sur le chas- sis roulant sur les rails 57 en formant l'enveloppe de ce châssis avec des pro- longements 98 qui passent au-dessous des pièces d'écartement 84, les enveloppes étant percées de trous transversaux tels que 99 qui logent des goujons 100 pas- sant dans des pattes 101 percées de trous correspondants et montées sur les plaques supérieures 77 o
Les fig.
11, 12 et 13.représentent un mécanisme de transfert méca- nique 55 qui comporte deux plaques latérales d'enveloppe 102 et 103 parallèles séparées par des pièces d'écartement 104 dans lesquelles passent des boulons appropriés 105. Un moteur hydraulique quelconque approprié 106 est monté sur la plaque d'enveloppe la? et l'arbre de commande de ce moteur se termine par -aile roue dentée, qui de même que l'arbre ne sont pas représentés, étant donné que cette forme de construction est absolument courante. Ce petit pignon com- mandé par le moteur engrène avec une grande roue dentée montée dans une boîte de transmission 107 sur un arbre 108.
Une petite roue de commande non repré- sentée est montée sur l'arbre 108 dans une boîte de transmission 109 fixée à l'extérieur de la plaque d'enveloppe 103. Une grande roue non représentée est montée dans une boîte 109, engrène avec cette dernière roue et est montée'sur un arbre 110o Une petite roue non représentée est montée à l'autre extrémité de l'arbre 110 et engrène avec une grande roue 111 qui est montée sur un arbre 112.
Un pignon de chaîne approprié 113 de commande est fixé sur la roue 111 et passe au-dessous des plaques d'enveloppe 102 et 103 ainsi que dans une échan- crure appropriée découpée dans la plaque supérieure 77 de sorte que le pignon 113 peut engréner avec les galets 660 Le train d'engrenage ainsi formé comporte un rapport de réduction quelconque approprié, qui dépend de la puissance et de la vitesse du moteur hydraulique 106 et il est évident que ces roues d'en- grenage peuvent être disposées de diverses manières suivant l'invention pour obtenir la vitesse de rotation du pignon 113 qu'on désire. On remarquera que l'enveloppe du mécanisme de transfert 55 doit être suffisamment échancrée à son extrémité antérieure 114 pour permettre à l'accouplement 56 de tourner de l'angle voulu autour de son axe 81.
Les tuyaux flexibles 59 et 60 accouplent le moteur 106 aux points 115 et 116.
@ Lorsque l'axe 100 est retiré,, il est facile de retirer le mécanisme 55 du châssis et par suite le poids du mécanisme de transfert 55 y compris le . châssis et l'accouplement 56 peut être choisi de façon à le rendre facile à manutentionner par un seul homme.
Le moteur 106 est un moteur hydraulique d'un type industriel courant quelconque et du type réversible, de sorte qu'on peut renverser son sens de rotation simplement en renversant le sens de circulation du fluide hydraulique.
Le sens de rotation du pignon 113 est donc facile à régler et le mouvement du -châssis sur le rail 57 peut être commandé dans un sens ou dans l'autre en com- mandant le fluide hydraulique arrivant dans le moteur 1060
Les figo 18 et. 18 , représentent un autre procédé de fixation des prolongements 58 sur les voies 57, lorsqu'on désire que les prolongements soient en une seule pièce avec les voies. Suivant cette forme de réalisation, les blocs d'écartement 63 sont échancrés à l'extrémité extérieure des rails 57 de façon à loger un"verrou 118 qui occupe l'espace entre les fers en U 61 et 62
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des prolongements des rails.
Les prolongements 58 sont supportés par des gous- sets 119 fixés sur leur face irférieure et dont les extrémités 120 rabattons en dedans en une seule pièce avec eux ou fixées sur eux comportent un bloc 121 qui est fixé sur elles et est monté à oscillation sur un axe 122 fixé d'une manière appropriée sur le châssis du camion. Le prolongement 58 du rail peut ainsi tourner autour de l'axe 122 et être amené dans une position dans laquelle il prolonge le rail 57 ou tourner dans le sens des aiguilles d'une montre, (figo 18a), pour venir dans une position au-dessous de la carosserie du camion lors- qu'on ne s'en sert pas. Un second verrou 123 est monté sur un axe 124 fixé sur le châssis du camion et peut tourner de façon à venir en contact ou hors de contact avec le verrou 118.
Un arbre 125 est monté d'une manière appropriée sur le châssis du camion et une poignée 126 permet de le faire tournera Un bloc de commande 127 est fixé sur l'arbre 125 et une butée 128 empêche le bloc 127 de dépasser la position verticale pendant qu'il tourne dans le sens des aiguilles d'une montre La longueur du bloc 127 est choisie de façon que lors- qu'il est en position verticale il fasse monter le verrou 123 en le faisant pénétrer dans le verrou 118. Un bras 129 se termine par un crochet 130 qui vient se placer autour d'un goujon 131 monté sur le bloc 127 et s'accroche à son autre extrémité sur un ressort 132, qui s'attache sur une patte 133 du chas- sis du camion.
Un bloc oscillant 134 est monté fou sur l'arbre 125 et se ter- mine à une extrémité par un appendice 135 qui peut venir en contact avec un goujon 136 monté sur l'extrémité supérieure du bloc 127. Le bloc oscillant 134 comporte un appendice 137 dirigé vers le bas qui peut venir en contact avec la surface supérieure du prolongement 1210
La fig. 18 représente les positions relatives des divers éléments du mécanisme de blocage, lorsqu'on fait basculer le prolongement 58 du rail vers le haut dans la position de blocage de façon à prolonger le rail 57. Dans cette position le bloc 121 est en contact avec l'appendice 137 et le bloc os- cillant 134 occupe une position plus ou moins horizontale, tandis que son pro- longement 135 est en contact avec le goujon 136 du bloc 127.
Lorsqu'on fait tourner le prolongement 58 du rail en sens inverse des aiguilles d'une montre, l'extrémité supérieure du bloc 121 s'applique contre l'appendice 137 et fait tourner le bloc oscillant 134 dans le sens des aiguilles dune montre.. Le mou- vement de rotation du bloc 134 dans le sens des aiguilles d'une montre fait tourner le bloc 127 dans le même sens puisque l'appendice 135 est en contact avec le goujon 136.
Ce mouvement de rotation continue jusqu'à ce que le mou- vement du goujon 131 ait suffisamment fait tourner le 'bras 129 pour que le res- sort 132 dépasse l'axe de ce bras et à ce moment, le ressort 132 fait tourner brusquement le bloc 127 dans le sens des aiguilles d'une montre autour de l'ar- bre 125, pour l'amener en contact avec le verrou 123 et pousser ce verrou 123 de bas en haut en position de blocage dans le verrou 118. Lorsqu'on désire dégager le verrou 123 du verrou 118, on fait tourner le levier 126 en sens in- verse des aiguilles d'une montre, pour faire revenir à la main les divers élé- ments de ce dispositif dans la position de la fig. 18.
Les fig. 16 et 17 représentent en détail le dispositif de construc- tion qui sert à faire monter et descendre les roues 53. Ce mécanisme comporte un cylindre 138, dans lequel est monté un piston à double action, non représen- té, auquel est fixé une tige de piston 139. Le cylindre 138 est fixé sur le récipient 50 par un dispositif quelconque approprié, représenté ici sous forme de console 140, fixée sur le récipient d'une manière appropriée, par exemple par des boulons 141.
Des pattes 142 peuvent aussi être fixées d'une manière appropriée sur le récipient 50, de façon à loger l'extrémité supérieure du cy- lindre 138, des goujons 143 servant à cet effet, Des tuyaux flexibles 144 et 145, qui communiquent avec le dispositif hydraulique du récipient, ainsi qu'il est décrit en détail plus loin, font arriver le fluide hydraulique dans le cy- lindre 138, pour y provoquer le mouvement de son piston. Des consoles 146 et 147 sont fixées sur le récipient 50 d'une manière quelconque appropriée, par exemple par des boulons 148, et une tige cylindrique 149 de support des roues est montée dans ces consoles et y reçoit un mouvement de va et vient. La tige 149 est articulée sur la tige de piston 139 par un axe 150.
Une nervure 151 est fixée sur la tige 149 et passe dans une rainure appropriée de la console 147, pour empêcher la tige 149 de tourner pendant son mouvement de va et vient.
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La roue 53 est montée à l'extrémité inférieure de la tige 149, ainsi qu'il est décrit en détail plus loin.
Les consoles 140, 146 et 147 comportent des axes 152, sur lesquels sont montés des charnières 153. Les charnières 153 sont fixées d'une manière appropriée sur les portes 154 du récipient 50. Etant donné que les consoles 140, 146 et 147 sont montées dans les angles du récipient 50 sur toute la lar- geur du récipient et de les faire tourner 'en -position d'ouverture en contact avec,les parois latérales du récipient en formant ainsi une large surface d'ac- cès dans le récipiento
Les fig. 19, 19a, 20 et 21 représentent une forme de construction appropriée du dispositif de montage des roues à l'extrémité inférieure de la tige 149, du dispositif de blocage'des roues dans cette position ainsi que de leur dispositif de freinage.
Ainsi qu'on peut le voir, la roue 53 est montée sur un essieu approprié 155 porté par des chapes 156 et 157. Les chapes 156 et 157 sont fixées sur un plateau circulaire 158, qui comporte plusieurs échan- crures radiales 159 dont la fonction sera décrite en détail plus loin. Un arbre conique central 160 est porté par la plaque de base 158 et se termine par une portion filetée 161 sur laquelle se vissent des écrous indesserrables 162 servant à y fixer un coussinet 163.
Ùn élément de portée cylindrique 164 est monté dans la tige 149 de la roue et.se termine par un épaulement circulai- re 165 dirigé dans le sens radial contre lequel vient en butée l'extrémité in- férieure de la tige 1490 L'élément 164 comporte des échancrures 166 et 167 dans lesquelles se logent respectivement des coussinets 168 et 169 qui coopè- rent avec l'arbre 1600 L'élément 164 comporte en outre deux pattes 170 et 171 dirigées en dehors et un verrou 172 oscillant y est monté autour d'un axe 173.
Le verrou 172 coopère avec les échancrures 159 et lorsqu'il y pénètre il blo- que la roue 53 dans sa position. Une lame de ressort 174 est montée derrière le verrou 172 et a tendance à le pousser dans les échancrures 159. Le verrou 172 comporte une fente 175 dans laquelle un levier de déclenchement 176 oscille autour d'un axe 1770 Le verrou 172 est percé d'un trou transversal 178 dans lequel sont montés deux goujons 179 et 1800 Des lames de ressort 181 et 182 sont fixées sur les bords extérieurs du verrou 172 et leur longueur est choi- sie de façon que, lorsque le verrou 172 est en position d'ouverture, ces lames de ressort viennent s'appliquer contre des épaulement 183 et 184 formés respec- tivement sur,les pattes 170 et 171.
Par suite, lorsqu'l'on fait tourner le ver- rou 172 dans le sens des aiguilles . d'une montre (figo 20), en le faisant sor- tir des échancrures 159, les ressorts 181 et 182 le retiennent hors de-ces ' chancrures et, par suite, les roues 53 peuvent tourner librement. Lorsqu'on désire bloquer les roues 53 dans une position quelconque donnée, on fait tour- ner le levier de déclenchement 176 en sens inverse des aiguilles d'une montre (fig. 19) en poussant ainsi les goujons 179 et 180 en dehors et écartant les' ressorts 181 et 182 des épaulements 183 et 184 et en dégageant ainsi le verrou 172, que le ressort 174 fait tourner pour le faire pénétrer dans l'échancrure 159 voisine.
En raison du poids du récipient 50, en particulier lorsqu'il est chargé, il peut être avantageux dans. certains cas de prévoir des freins pour les roues 53, de façon à les empêcher de tourner, ou à freiner leur mouvement de rotation. A cet effet on fixe des éléments de frein élastiques 185 et 186 dirigés en dehors sur Tes chapes respectives 157 et 156 et comportant des sur- faces intérieures dentelées telles que 187, qui viennent en contact avec les côtés des roues 53. Un boulon 1$$ -traverse les éléments 185 et 186 en¯dehors de la roue et est fixé sur l'élément 185 au point 1890 Le boulon 188 comporte à son autre extrémité un filetage 190 sur lequel se visse un écrou 191.
Une clef ou levier approprié 192 sert à faire tourner l'écrou 191 sur le filetage 190 pour amener les surfaces dentelées 187 en contact avec les roues 53 en exer- çant ainsi une action de freinage ou de blocage sur elles.
Le levier 176, le verrou 172 et le levier de frein 192 peuvent ê- tre actionnés à la main ou au pied. L'opération est ainsi rendue.plus facile en raison de la position relativement basse de ces éléments lorsque le récipient est supporté par les roues et est en mouvement sur le sol ou sur une plate-forme et de leur position relativement élevée lorsqu'il est en cours de transfert
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entre des dispositifs de transport, plate-forme etc. ou repose sur eux.
Les fig. 22, 23 et 24 représentent, une forme de construction appro- priée des éléments de pont 54 qui servent à recouvrir l'espace entre le camion et le wagon plat, sur lequel roulent les roues 53 pendant le transfert du ré- cipient. On voit sur ces figures que 1-'élément de pont 54 comporte une portion principale en forme de canal dune longueur quelconque appropriée. 193 et des bords verticaux 194 et 195 qui servent à le renforcer et à guider les roues 53 pendant leur mouvement sur l'élément de pont. Deux pattes dirigées de haut en bas 196 et 197 sont fixées d'une -manière appropriée à chaque extrémité du canal 193 et chacune d'elles comporte une échancrure 198 et est percée d'un trou 199 dans lequel se loge une goupille 200.
Chaque extrémité des éléments de pont 54 comporte un plan incliné formant semelle de support 201 qui peut tourner par rapport au pont suivant un angle limité de façon à rattraper les différences de niveau éventuelles entre le camion et le wagon plate Chacun de ces plans inclinés 201 consiste en un élément 202 en forme de rampe en U, à bords dirigés verticaux 203 et 204 servant à guider les roues 53 pendant qu'elles y passent. Chaque rampe 202 est montée sur une plaque de base 205 qui porte plusieurs tôles triangulaires verticales 206 sur lesquelles les ram- pes 202 sont fixées.
Un arbre cylindrique 207 est soudé sur l'extrémité inté- rieure de la rampe 202 dont la forme est choisie de façon à le loger et à en former le prolongement dans le sens radial et est également soudé dans des é- chancrures semi-circulaires 208 découpées dans les tôles 206. L'arbre 207 se prolonge au-delà des bords 203 et 204 de la rampe 202 et lorsque l'élément de pont est assemblé, cet arbre passe dans les portions échancrées 198 des pattes 196 et 197.
Les goupilles 200 qui passent dans les trous 199, fixent les élé- ment de la rampe sur la portion 193 en U, de sorte que les arbres 207 en for- ment le prolongement radiale L'angle des tôles 206 détermine l'angle de rota- )ion des plans inclinés 201 par rapport à la portion en U de l'élément de pont mais en raison'de cette forme de construction;, on obtient une surface de roule- ment continue pour les roues 530
Deux goujons 209 se dirigent vers le bas à partir de la plaque 205 à une extrémité de l'élément de pont et viennent se loger librement dans plu- sieurs paires de trous espacés 210 percés dans la plate-forme du camion.
Lors- que les goujons 209 pénètrent dans les trous 210, les éléments de pont 54 ne peuvent pas glisser pendant le passage du récipient 50, mais peuvent tourner librement suivant les besoins pour rattraper la différence de niveau entre le wagon plat et le camion, ainsi que pour régler leur mouvement latéral limité.
Le dispositif étant en service, on fait reposer de préférence l'extrémité de l'élément de pont 54 sur le camion et au voisinage de son axe, étant donné que le poids du récipient chargé à tendance à provoquer l'affaissement des ressorts du camion et qu'on obtient une répartition plus avantageuse des charges en po- sant l'élément de pont dans cette position. Etant donné que la distance et la différence de niveau entre le wagon plat et le camion sont variables, on dispose d'uns série de trous 210 pour pouvoir placer les éléments de pont dans une position appropriés et les faire passer toujours par-dessus le bord du ca- mion ou plate-forme,,
Les fig. 25, 26 et 27 représentent sous forme schématique le dis- positif hydraulique monté sur le récipient à transférer 50. :
Ainsi qu'il a déjà été dit, ce dispositif hydraulique est destiné à faire monter et descendre les roues 53. Il peut être alimenté par un fluide sous pression par des tuyaux le faisant communiquer avec une source de pression hydraulique actionnée par le moteur du camion, par une source d'énergie indépendante, ou par une pompe à main faisant partie du dispositif hydraulique du récipient. Les cylindres qui actionnent les roues 53 ont été désignés jusqu'à présent par le numéro 138, mais pour décrire ce dispositif hydraulique, il est nécessaire d'identifier séparément chaque cylindre et par conséquent, sur ces figures, un des cylin- dres est désigné par ce numéro et les trois autres cylindres sont désignés par les numéros 211, 212 et 213. Les extrémités inférieures des cylindres 138 et 211 sont reliées par un tuyau 214.
Le tuyau 214 communique par un tuyau 215 avec un tuyau 216 reliant l'extrémité. inférieure des cylindres 212 et 213.
Un tuyau 217 fait communiquer le tuyau 216 avec un côté d'une pompe à main 218 appropriée. Les extrémités supérieures des cylindres 212 et 213 sont reliées
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par un tuyau 219, qui pour des raisons indiquées en détail plus loin, 'communi- quent avec une soupape à main appropriée 220. Un tuyau 221 part de l'extrémité supérieure du cylindre 211 et aboutit à une soupape à main appropriée 2220 Un tuyau 223 part de l'extrémité supérieure du cylindre 138 et aboutit à une troisième soupape à main appropriée 224.
Un orifice de sortie de chacune des soupapes 220,222 et 224.communique par un tuyau 225 avec un tuyau 226, qui traverse le récipient et comporte à ses extrémités des soupapes de débranche- ment rapide appropriées 227 et 228 qui se ferment automatiquement au moment du dés accouplement. Un second tuyau 229 traverse le récipient, se termine à chaque extrémité par des soupapes 230 et 231, semblables aux soupapes 227 et 228 et communique avec le tuyau 215. Le troisième côté de chacune des soupa- pes 220, 222 et 224 communique avec un tuyau 232 avec le côté de l'admission de la pompe 218. Un accumulateur approprié 233 est monté entre le tuyau 232 et le tuyau 217 et une soupape de retenue et de décompression 234 est interpo- sé au voisinage du tuyau 217.
Cette soupape de décompression 234 est réglée pour une pression supérieure à la perte de pression de retour dans un réservoir 244. L'accumulateur 233 est chargé d'avance sous une pression suffisante pour y retenir à l'encontre de la soupape 234, un volume de fluide équivalent au volume différentiel maximum des cylindreso Ce volume différentiel reste tou- jours accumulé dans l'accumulateur 233 o Une soupape appropriée 23$'est montée dans le tuyau 217, à côté de la pompe 218 et communique par un tuyau 236 'avec le tuyau 226 et par un tuyau 237 avec le tuyau 232.
Lorsqu'on désire faire monter les roues 233 au-dessus du niveau du plancher du récipient 50, par exemple lorsqu'il s'agit de poser les éléments de pont 54 sous les roues 53, au commencement du transfert du récipient, et qu'on ne désire pas accoupler les tuyaux sous pression hydraulique avec le camion à cet effet,, l'opérateur amené les soupapes 220, 222, 224 et 235 dans les posi- tions qui conviennent (figo 25), et actionne la pompe 218 à la main. Le fluide hydraulique sous pression passe alors de la pompe 218, par le tuyau 217 au-des- sous du piston du cylindre 213, par le tuyau 216 au-dessous du piston du cylin- dre 212, par le tuyau 215 sous le piston du cylindre 211, et par le tuyau 214, au-dessous du piston du cylindre 138.
Le fluide hydraulique sous pression agis- sant au-dessous des pistons des divers cylindres, les fait monter et par suite fait monter les roues 53. Le fluide hydraulique présent au-dessus des divers pistons des divers cylindres, revient à la pompe 218 de la manière suivante.
Le fluide situé au,-dessus des pistons des cylindres 212 et 213, passe par le tuyau 219, la soupape 220 et le tuyau 232 pour arriver dans la pompe 218. Le fluide situé au-dessus du piston du cylindre 138, passe par le tuyau 223, la soupape 234 et le tuyau 232 pour arriver dans la pompe 218. Le fluide situé au-dessus du piston du cylindre 211 passe par le tuyau 221, la soupape 222 et le tuyau 232 et revient à la pompe 218. La pompe 218 comporte évidemment-dès soupapes de retenue appropriées, ainsi qu'il est connu, de façon à régler la direction de la circulation du fluide dans la pompe. L'excès de fluidecontenu dans le dispositif, qui résulte des types différents des cylindres, arrive dans l'accumulateur 233 de la manière décrite en détail ci-après.
Lorsqu'on désire faire descendre les roues 53, pour faire monter le récipient 50 et faire reposer son poids sur les roues, et qu'on désire se servir de la pompe 218 à cet effet., on règle le dispositif hydraulique, comme l'indique la fig. 26. On fait passer les quatre soupapes 220,222 224 et 235 dans les positions représentées et on actionne la pompe 218 à la main, Le fluide hydraulique sous pression passe alors de la pompe 218 dans la soupape 235 et le tuyau 236 pour arriver dans les tuyaux 226 et 225. Il passe du tuyau 225 dans la soupape 224 le tuyau 223 et arrive à l'extrémité supérieure du cylindre 138. Le fluide sous pression du tuyau 225 passe par la soupape 222 et le tuyau 221 et arrive à l'extrémité supérieure du cylindre 211.
Le fluide sous pression du tuyau 225 passe par la soupape 220, et arrive dans le tuyau distributeur 219, et aux extrémités supérieures des cylindres 212 et 2130 Le fluide sous pression des extrémités supérieures des-divers cylindres poaxsse leurs pistons de haut en bas en entraînant les roues 53-et en faisant monter le récipient 50. Etant donné que les cylindres 212 et 213 sont alimentés si- multanément par le tuyau 219 alimenté par l'intermédiaire de la soupape 220, si l'une ou l'autre des roues 53 doit supporter une fraction inégale du poids
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du récipient, une q8Ilti"r.é supplément-aire de fluide -sous pression passe dans 1'* autre cylindre, dont il pousse le piston de haut en b,s9 7qx:pa ce q-ue lei pressions $ x,exï 1:'t sur les del1.x roues soient égales.
Le fluide hydraulique situe au-dessous des divers pistonss revient à la pompe de la manière suivante. Le fluide situé au-dessous des pistons des cylindres 138 et 211 passe par le tuyau 214 puis par. le'tuyau 215. Celui qui se trouve au-dessous du piston du cylindre 2.2, arrive dans le tuyau 215 el- le fluide de retour du .tuyau 215 passe alors dans le tuyau 216, qui communique par le tuyau 2i' et la soupape 235 avec le tuyau 237 et la pampe 2 Le flui- de qui se trouve au-dessous du piston du cylindre 213 ? passe dans le tuyau 217, puis dans la pompe 218 par la soupape 235 et le tuyau 237. Ainsi qu'il a déjà été dit, les soupapes de retenue. combinées avec la pompe 218 commandent la cir-
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cula:tion du fluide dans la pompe et empêchent la direction de cette circulation de seinverser.
L'accumulat-eur 233 fournit la quantité de fluide qui est néces- oaire, pour tenir compte des différences entre les cylindres.
Lorsqu'on désire faire descendre le récipient pour le faire reposer sur son fond, et lorsqu'on ne désire pas prélever le fluide hydraulique dans le dispositif hydraulique du récipient, on amène les diverses soupapes du dis-
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positif hydraulique du récipient, dans les positions de la fig.
27" Les soupa- pes 220,222, 224 et 235 occupait les positions représentées, le poids du réci- pient agissant sur les pistons.des divers cylindres fait monter les pistons et'refoule le fluide hydraulique hors des divers cylindres et en même temps
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le fluide hydraulique arrive à la partie inférieure des cylindres" Le fluide hydraulique qui se trouve au-dessus des pistons des cylindres 212 et 213 est refoulé dans le tuyau 219 par la soupape 220 dans le tuyau 238, par la soupape de retenue 234 dans le tuyau. 217 et sur la face inférieure du piston du cylin- dre 213, et par le tuyau 216 sur la face inférieure du piston du cylindre 212.
Le fluide hydraulique qui se trouve au-dessus du piston du cylindre 211 passe par le tuyau 221, la soupape 222, le tuyau 232, la soupape de retenue 234, le tuyau 217, le tuyau 216 et le tuyau 215 pour arriver sur la face inférieure
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du piston du cylindre 21.0 Le fluide hydraulique qui se trouve au-dessus du piston du cylindre 138 passe par le tuyau 223, la soupape 224, le tuyau 232, la soupape de retenue 234, le tuyau 217, le 'tuyau. 216, le -tuyau. 215 et le tuyau 214 pour arriver sur la face inférieure de ce piston.
Etant donné que
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les divers cylindres et pistons sont du type différentiel, c'esà.-dire que le volume au-dessus du piston du cylindre est plus grand que le volume au-des- sous du piston, à cause du volume de la tige de piston, il est nécessaire de faire usage de l'accumulateur 233 . Pendant que les pistons montent dans leurs cylindres respectifs, le fluide est refoulé hors des cylindres delamanière décrite,
et passe dans le dispositif hydraulique pour arriver sur la surface inférieure des pistons= La quantité de fluide refoulé hors des extrémités supérieures des cylindres est plus grande que celle qui peut se loger si-des- sous des pistons à cause du volume occupé par les diverses tiges de piston et cet excès de fluide pénètre dans l'accumulateur 233 des que la contre-pression
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derrière les pistons est supérieure à la pression pour laquelle 1 y accUIi11.tlate-Xt" est réglée Il est donc possible, au moyen d'un accumulateur de volume appro- prié et chargé à une pression appropriée, de faire descendre le récipient et le faire reposer sur son fond à partir de sa position surélevée,
sans endomma- ger le dispositif hydraulique du récipient et aussi de faire agir le fluide
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hydraulique dans les cylindres en cas de besoin"
Pour faire fonctionner le dispositif hydraulique du récipient de la manière décrite ci-dessus, la pression actionnant les divers pistons a été fournie par la pompe à main 218. On considère que le procédé le plus courant consistera à se servir du dispositif hydraulique faisant partie du camion ou d'une source indépendante appropriée, pour obtenir le fluide hydraulique sous pression faisant fonctionner les divers pistons qui font monter et descendre les roues.
La fige 28 représente un dispositif hydraulique approprié, solidai- re du camion, et accouplé au dispositif hydraulique du récipient, les deux dis- positifs étant combinés de façon à faire monter les pistons dans les cylindres du récipient au commencement de l'opération de transfert, pour permettre de poser les rails du pont au-dessous des roues.
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Sur cette figure, une transmission 239 d'un moteur à combustion interne ordinaire, comporte un mécanisme ordinaire de prise de puissance 240 actionnant une pompe ordinaire 241. La pompe 241 comporte un tuyau de sortie ou de -refoulement 242 et un tuyau de retour 243 Un réservoir ordinaire' 244 du fluide hydraulique communique avec le tuyau 243. Un tuyau de dérivation 245 partant du tuyau de refoulement 242 et revenant au réservoir 244, comporte une soupape de décompression 246, qui, lorsque la pression dans le tuyau de refoulement 242 dépasse une valeur déterminée, s'ouvre et fait revenir le flui- de hydraulique sous pression dans le réservoir 244.
Le tuyau de refoulement 242 se termine par un accouplement à raccordement rapide 247 d'un typé quelcon- que appropriée Un tuyau de retour 248 communique avec le réservoir 244 et se termine par un accouplement à raccordement rapide 249 quelconque approprie.
Ce dispositif hydraulique peut être combiné avec le tracteur d'un camion du type ordinaire à tracteur et remorqueo
Le dispositif hydraulique décrit ci-après peut être combiné avec la remorque d'un camion du type de tracteur à remorque précitée La remorque comporter'un. tuyau 250 d'arrivée de fluide hydraulique raccordé par un accouple- ment 247 avec le dispositif.du tracteur et comportant un tuyau de retour 251, qui se raccorde par un accouplement 249 au tuyau de relier 248 du dispositif du tracteur. Les tuyaux 250 et 251 se terminent tous les deux par des accou- plements à raccordement respectifs 252, 253, de sorte qu'on peut accoupler à ce dispositif d'autres dispositifs hydrauliques si on le désire, par exemple lorsqu'il s'agit d'un tracteur avec remorque en tandem.
Le tuyau. 250 se rac- corde par un tuyau 254. avec une soupape de commande de renversement 255. Un tuyau 256 fait communiquer la soupape 255 avec le tuyau 251. Un tuyau 257 fait communiquer, .la soupape.,255 avec une seconde soupape 258 et avec un tuyau flexi- ble 259, qui se termine par un, accouplement à raccordement rapide 260 quelcon- que appropriée Un tuyau 261 fait communiquer la soupape 255 avec un tuyau flexi- ble approprié 262, qui se- termine par un accouplement à raccordement rapide 263 quelconque appropriée La soupape 258 communique par un tuyau 264 avec un tuyau flexible 265 quelconque approprié qui se termine par un accouplement à raccordement rapide 266 ;
un tuyau 267 fait communiquer la soupape 258 avec une soupape 268 qui communique par un tuyau 269 avec un tuyau flexible 270 se ter- minant par un accouplement à raccordement rapide 271. La soupape 268 communi- que par un'tuyau 272 avec le tuyau 261.
Lorsqu'on désire faire arriver le fluide hydraulique sous pression dans le dispositif hydraulique du récipient à partir du dispositif hydraulique du tracteur et de la remorque, on raccorde les accouplements 260 et 271 avec les accouplements 231 et 228 respectifs et on amené les soupapes 255, 258 et 268 dans les positions représentées. Le dispositif de prise de puissance 240 actionne alors la pompe 241, qui refoule le fluide hydraulique sous pression dans le tuyau 242 et par l'accouplement 247 dans les tuyaux 250 et 254, jusqu'à la soupape 255. En sortant de la soupape 255. Le fluide hydraulique sous pres- sion passe dans le tuyau 259 et par les accouplements 260 et 231, arrive dans le tuyau 229 du dispositif hydraulique du récipient.
Le fluide hydraulique ayant été utilisé dans le dispositif hydraulique du récipient, revient par le tuyau 226 de ce dispositif et par les accouplements 228 et- 271 dans le tuyau flexible 270 et dans le tuyau 269 jusqu"à la soupape 268. En sortant de la soupape 268, le fluide de retour passe par le tuyau 261 et par la soupape 255 dans le tuyau 256, puis dans le tuyau 251 et par l'accouplement 249 dans le tuyau de retour du dispositf du tracteur et, par le réservoir 244 et le tuyau 243, arrive du côté du retour de la pompe 241. L'excès de fluide hydraulique accumulé dans l'accumulateur 233 sort du dispositif hydraulique et arrive dans le réservoir 244.
Lorsqu'on désire faire monter les roues du récipient en utilisant l'énergie hydraulique du dispositif hydraulique du tracteur-remorque on ferme la soupape 235 et on amène les soupapes 220,222 et 224 dans les positions de la.fige 28.Le fluide hydraulique sous pression arrive dans le tuyau 229 et passe sur la face inférieure des pistons des divers cylindres par les tuyaux 215, 214 et 216. Il en résulte que les pistons mentent dans les divers cylin- dres, ainsi que les diverses roues. Le fluide hydraulique qui se trouve au- dessus des pistons des divers cylindres passe dans le tuyau de retour 226 du
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dispositif du récipient, puis revient dans la pompe, ainsi qu'il a été décrit ci-dessus.
Le fluide qui se trouve au-dessus des pistons des cylindres 212 et 213, passe dans le tuyau 219, puis par la soupape 220 dans le tuyau 225 et dans le tuyau de retour 226. Le fluide qui se trouve au-dessus des pistons des cylindres 211 et 138 passe respectivement dans les tuyaux 221 et 223, puis par les soupapes respectives 222 et 224 dans le tuyau 225 et dans le tuyau de retour 226.
Si on désire faire monter le récipient, de façon à faire reposer son poids entièrement sur les roues et utiliser le dispositif hydraulique du tracteur et;de la remorque, on raccorde le dispositif-hydraulique du récipient et les dispositifs hydrauliques du tracteur et de la remorque comme l'indique la fig. 29.''On règle les dispositifs hydrauliques du tracteur et de la remor- que de la manière décrite ci-dessus de façon à faire passer le fluide hydrau- lique sous pression sortant de la soupape 255 dans le tuyau 261, puis par le tuyau 272 dans la soupape 268 et par le tuyau 269 dans le tuyau flexible 270.
Etant donné que le tuyau flexible 270 se raccorde par les accouplements 271 et 228 avec le tuyau 226 du dispositif hydraulique du récipient, le tuyau 226 fonctionne sous forme de tuyau de refoulement. Le fluide sous pression sortant 226, passe par le tuyau 225 et la soupape 224,. puis par le tuyau 223, arrive dans le cylindre 138 au-dessus de son piston. Le fluide hydraulique sous pres- sion du tuyau 225, passe aussi par la soupape 222 et le tuyau 221 dans le cy- lindre 211 au-dessus de son piston.
Le tuyau 225 fait aussi arriver le fluide hydraulique sous pression par la soupape 220 dans le tuyau 219 qui le fait pas- ser dans les cylindres 212 et 213 au-dessus de leur pistonso Le fluide hydrau- lique sous pression qui se trouve au-dessus des pistons des divers cylindres les fait descendre et fait monter le récipient sur les diverses roues.
Le flui- de hydraulique qui se trouve au-dessous des pistons des divers cylindres passe dans le tuyau de retour qui est maintenant le tuyau 229 Le fluide qui se trou- ve au-dessous du piston du cylindre 213 passe de bas en haut dans le tuyau 216 puis dans le tuyau 215 et dans le tuyau 229. Celui qui se trouve au-dessous du piston du cylindre 212 passe par le tuyau 215 dans le tuyau 2290 Celui qui se trouve au-dessous du piston du cylindre 138 passe par le tuyau 214 dans le tuyau 215, puis dans le tuyau 229 Celui qui se trouve au-dessous du piston du cylindre 211 passe directement dans le tuyau 215, puis dans le tuyau 229.
Le fluide de retour du tuyau 229 passe par les accouplements 231 et 260 dans le tuyau 259, puis par la soupape 255 dans le tuyau 251 et revient à la pompe 241 par l'accouplement 249, le tuyau 248, le réservoir 244 et le tuyau 243.
L'excès de fluide de l'accumulateur 233 passe dans le réservoir 244, ainsi qu'il a déjà été décrit.
Une fois le récipient reposant sur ses roues, on peut débrancher les accouplements à raccordement rapide 260 et 271 de façon à se servir du dis- positif hydraulique du tracteur-remorque, pour actionner les mécanismes de trans- fert 55 Lorsqu'on fait arriver le fluide hydraulique dans les mécanismes de transfert 55 Pour les faire fonctionner, il est avantageux dans certains cas de les accoupler en série, pour obtenir un mouvement uniforme, et dans d'antres cas, il convient de les accoupler en parallèle pour les commander indépendam- ment l'un de l'autre et les faire fonctionner plus lentement.
Lé dispositif hydraulique du tracteur et de la remorque peut servir à cet effeto La fig. 30 représente ce dispositif réglé de façon à accoupler les mécanismes de;transfert 55 en parallèle, et la fig. 31 le représente schématiquement dans sa position de réglage correspondant à 1-'accouplement des mécanismes de transfert 55 en série.
. En se reportant à la fig. 30, on voit que le fluide sous pression de la pompe 241 passe par le tuyau 242 et l'accouplement 247 dans le tuyau 250, puis par le tuyau 254 et la soupape 255 dans le tuyau flexible 259 et arrive dans un des mécanismes de transfert 55 Le fluide hydraulique sort de ce mé- canisme 55 par un tuyau flexible 270, puis passe par le tuyau 269, la soupape 268, le tuyau 272, le tuyau 261 et le tuyau 256 pour revenir dans le tuyau. 251, le tuyau 248, le réservoir 244 et la pompe 241.
Le fluide sous pression pas- sant par la soupape 255 passe aussi dans le tuyau 257, puis par la soupape 258 dans le tuyau 265 et dans l'autre mécanisme de transfert 55 Le fluide hydrau- lique sortant du second mécanisme de transfert 55, passe par le tuyau 262, le
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tuyau 261, puis par la soupape 255 dans le tuyau 251, le tuyau 248 et le réser- voir 244, pour arriver du coté du retour de la pompe 241. On voit donc que les mécanismes de transfert 55 sont accouplés en parallèles.
Si on désire renverser le sens du mouvement des mécanismes de trans- fert connectés en parallèle (fig. 30), on renverse la position de la soupape 255 sans changer celle des soupapes 258 et 268. Le fluide hydraulique sous pression du tuyau 254 passe alors dans la canalisation qui constituait la ca- nalisation de retour décrite ci-dessus, tandis que la canalisation qui consti- tuait précédemment la canalisation de refoulement décrite ci-dessus devient la canalisation de retour. La position de la soupape 255 étant renversée, le fluide sous,-pression arrive dans le tuyau 261, puis par le tuyau flexible 262 dans un desmécanismes de transfert 55. Il arrive aussi dans le tuyau 272, puis par la.soupape 268 dans le tuyau 269 et dans l'autre mécanisme de transfert 55.
Le fluide sortant du premier des mécanismes de transfert 55, passe par @ le tuyau 265 et la soupape 258 dans le tuyau 257, puis par la soupape 255 dans le tuyau 256... et'revient dans la pompe 241. Le fluide qui sort de l'autre mé- canisme de transfert 55, passe par le tuyau flexible 259, et par la soupape 255 dans le tuyau 256 et revient par le tuyau 251 dans la pompe 241. Le dis- positif hydraulique du tracteur et de la remorque permet donc de renverser ra- pidement et facilement le mouvement des mécanismes de transfert 55 en renver- sent simplement la position de la soupape 255.
Il est donc évident que la di- rection du mouvement du récipient peut être facilement réglée au cours du trans- fert et que les mécanismes de transfert 55 peuvent être commandés à un degré quelconque en réglant la position des soupapes 258 et 268.
Si on désire accoupler les mécanismes de transfert 55 de façon à faire arriver dans chacun d'eux le volume total de fluide hydraulique venant de la pompe 251, il est nécessaire de les accoupler en série et la fig. 31 in- dique de quelle manière on règle le dispositif hydraulique du tracteur et de la remorque pour réaliser cet accouplement en série Le fluide sous pression passe alors de la pompe 241 par le tuyau 242 et l'accouplement 247 dans le tuyau 250, puis dans le tuyau 254 et dans la soupape 255 En sortant de "la soupape 255, le fluide hydraulique sous pression passe dans le tuyau flexible 259, puis dans le premier mécanisme de transfert 55.
Le fluide sortant du pre- mier mécanisme de transfert 55, passe par le tuyau flexible 270 et le tuyau 269 directement par les soupapes 268 et 258 dans le tuyau flexible 265, puis dans le second mécanisme de transfert 55. Le fluide sortant du second mécanis- me de transfert 55 passe par le tuyau flexible 262 et le tuyau 261, puis par la soupape 255 dans le tuyau 256 et dans le tuyau 251, pour revenir dans la pompe 241 ainsi qu'il est décrit ci-dessus.
On renverse le sens du mouvement des mécanismes de transfert 55 en renversant simplement la position de la soupape 255 La position de la sou- pape 255 étant renversée le fluide sous pression sortant du tuyau 254 passe dans le tuyau 261, puis par le tuyau flexible 262 dans le premier mécanisme de -transfert 55. Le fluide sortant de ce premier mécaniqme 55 sort par le tuyau. flexible 265 et arrive directement par les soupapes 258 et 268 dans le tuyau 269, le tuyau flexible 270 et dans le second mécanisme de transfert 55. Le fluide sortant du second mécanisme de transfert 55, passe par le tuyau flexi- ble 259, la soupape 255, puis par le tuyau 256 pour revenir dans la pompe 241 par les tuyaux-' 251 et 248.
Ce dispositif hydraulique constipas donc un moyen facile de régler avec précision et rapidité le sens du mouvement des mécanis- mes de transfert 55 accouplés en série et par suite un dispositif de commande simple et direct du mouvement du récipient en cours de transfert.
On voit donc que le dispositif suivant l'invention consiste dans un dispositif nouveau, permettant de faire passer des récipients d?un poids inférieur à la charge utile d'un camion d'un moyen de transport sur un autre, ou d'un moyen de transport sur une plate-forme, etc, dans les deux sens, ce dispositif permettant d'effectuer d'une manière efficace toutes les opérations décrites ci-dessuso
Il est évident pour les spécialistes que la forme de réalisation décrite ci-dessus à titre d'exemple de l'invention peut subir diverses varian-
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tes ou modifications, tout en restant conforme au principe de 1.'invention, par exemple,
les diverses soupapes du dispositif hydraulique pouvant être d'un ty- pe quelconque convenant à cet effet et comportant un nombre approprié dorifi- ce de soupapeo Dans certains cas, il peut être nécessaire de modifier ou de régler ces soupapes connues pour les adapter aux fonctions suivant l'invention ou d'y adjoindre des tuyaux de purge ou autres raccords pour les faire fonc - tionner de la manière qu'on désire, ainsi qu'il est évident pour les spécialistes.