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"Camero portative pour prises de vues miettes ou sonores,adaptable à la projection, à l'impression, au doublage,etc." La présente invention concerne une caméra cinématographique adaptée pour le prise de vues/muctte autant que sonore et pouvant servir, avec l'adjonction d'accessoires appropriés, comme appareil de projection, d'impression et de doublage.
L'appareil a été étudié surtout pour les films de petit for- mat et afin de pouvoir être porté. La réalisation d'une caméra du type portatif comporte la nécessité de résoudre les prblèmes as- sez compliqués que nous nous proposons d'énumérer ci-après.
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La cernera peut être construite pour des films de tout format courant, par exemple de 8, 9,5, 16,33 mm.
L'exemple que nous allons citer à titre purement indicatif se rapporte à une cariera de 16 mm, et à l'étude des divers organes spéciaux ; leur assemblage permet la construction de ce genre d'ap- pareils, comprenant la partie cinématique et électro-acoustique avec un encombrement et un poids extrêmement réduits. En fait, il n'y a pas de difficulté à réaliser une machine pour le format 16, d'un encombrement de 11 x 11 x 15 cm environ, et d'un poids d'ap- proximativement 4 kg.
La caméra comporte : la caméra proprement dite pour la cinématographie muette ; un groupe annexé pour le. prise de vue sonore, des accessoires spé- ciaux constitués d'une petite lanterne et d'un chargeur double et quelques organes normaux, microphone, batterie, câbles de connexion, etc..
Les dessins annexés montrent, à titre d'exemple, une machine de prise de vu selon la présente invention.
Les figures 1 à 9 montrent différentes vues de la caméra.
Les figures 10 à 22 montrent quelques détails.
La figure 4 montre une vue intérieure de l'appareil, compor- tant un moteur électrique à balai 1, fonctionnant à basse tension, l'arbre étant utilisé aussi bien à l'une qu'à l'autre extrémité.
:\ sa partie avant (vers l'objectif), l'appareil comporte une grif- fe de type spécial 2, servant au transport du film, et un obtura- teur 3, également spécial, tandis que, sur l'arbre arrière, sont prévus une vis sans fin 5 et un régulateur de vitesse 6.
Les figures 10 et 11 montrent le détail des griffes porte- film.
Sur l'arbre 38 du moteur estfixé, de manière solidaire, un organe desmodromique 39, lequel est accouplé de manière rigide à une came 40. Un ressort à lame 41, en forme de "U" ou en quadri-
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latère ouvert d'un côté, est renforcé au moyen de plaques 42 sur ses deux côtés les plus longs, de manière à rester rigide dans ces parties rectilignes et à n'être flexible qu'aux sommets du polygone.
Une plaquette 45, comportant deux ou plusieurs broches 44,consti- tuant les dents de la griffe, est fixée, par un moyen quelconque sur la partie la plus courte du "U" ou en fait partie. Un doigt 45, pré- férablenent en antifriction et insonore, est fixé perpendiculaire- ment et d'une façon solidaire à ladite plaquette.
Les deux bouts libres des branches du châssis élastique 42 sont repliés en dehors et fixés, au moyen de vis 46, sur la partie fixe de l'appareil ou sur son enveloppe.
Les vis 46 sont fixées à une distance déterminée du sommet 47, en vue de permettre une torsion dans la partie précédant le point de fixation des vis et destinée à permettre une rotation du plan de base du châssis autour de l'axe passant par les points d'ancrage du châssis sur le support. Par conséquent, la broche 45 repose, sous l'effet de l'élasticité de ces parties, sur la surface de l'organe desmodromique qui déplace, en tournant et à chaque déni-tour (ou autrement), le quadrilatère de son plan de base, vers un autre plan et ce, sous l'effet de sa flexibilité, aux sommets se trouvant au voisinage des points de fixation.
Par conséquent, le châssis sera soumis à deux mouvements dépen- dent de la rotation de l'arbre 38. Sous l'action de la came 40,tour- nant entre les côtés renforcés 42 du châssis, ce dernier va passer de la position dessinée en trait plein à la position dessinée en pointillé suivant une loi de mouvement imposée par le profil de la came (fig. 10) ; en même temps, sous l'action de l'organe desmodro- mique 39, le doigt 45 déplace le châssis (fig.ll) du plan représenté en trait plein au plan représenté en pointillé. Il s'ensuit que les petites dents 44 vont parcourir les côtés d'un parallélogramme sui- vant un diagramme déterminé d' avance.
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Selon la figure,48 étant le. trace du film, il est évident que ce mouvement permet de munir la griffe d'un nombre de dents quelcon- que (deux, trois, par exemple), avec l'avantage d'une meilleure fi- xation et avec une distribution ou répartition des efforts permet- tant une meilleure conservation du film, et, le cas échéant, la ma- chine devant servir à l'impression ou au doublage, l'avance aura lieu même en présence d'une perforation détériorée.
L'absence d'interruption permet de réaliser un mouvement par- faitement silencieux, sans compter la longue durabilité, étant don- né que, le système étant relativement élastique, l'adhérence des plans de travail est constamment assurée même et malgré un usage prolongé et l'usure en résultant.
L'obturateur est représenté à la figure 17.
Pour cet obturateur, on emploie deux secteurs de 180 , pouvant passer par toutes les valeurs, c'est-à-dire de la position d'ouver- ture maxima, dans laquelle les deux secteurs se trouvent superposés, à la position d'ouverture minima, tendant vers le zéro, dans laquel- le l'un des deux secteurs - se déplaçant de 180 par rapport à l'au- tre - vient constituer de la sorte avec celui-ci, un disque presque complet.
L'arbre moteur 38 comporte un alésage axial 49,dans lequel peut librement coulisser une tige 50.
La partie 51 de l'obturateur, solidaire de l'arbre 38, présente ainsi qu'il vient d'être dit, la forme d'une demi-circonférence.Sur l'extrémité de l'arbre est prévue une rainure hélicoïdale 52, incli- née de 45 par rapport à l'sxe de l'arbre 38 et occupant à peu près un quart de la circonférence dudit arbre 38.
Sur l'arbre 38 peut tourner librement le manchon 53, comportant l'autre partie 56 de l'obturateur conformé également en demi-cercle.
Ce manchon 53 comporte également une rainure hélicoïdale 34, incli- née de 45 environ par rapport à l'axe du manchon, cette rainure étant coaxiale, mais de sens contraire à la rainure 52 et couvrent
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également 90 environ de la circonférence du manchon.
La tige 50 comporte une broche 55 traversant les deux rainures, tandis qu'entre l'arbre lui-même et le fond du trou 49 est placé un ressort. Le manchon 53 conserve sa position par suite de la présence d'un dispositif d'arrêt quelconque fixé sur l'arbre 38, tel que, par exemple, une bague élastique 57, appliquée dans une rainure prévue sur l'arbre 38.. Il est évident que dans cette position, suivant que la poussée axiale sur l'arbre 50 est dirigée dans l'un ou dans l'au- tre sens, le glissement de la broche 55 dans les rainures 52 et 54 a pour effet le déplacement des deux obturateurs 51 et 56 de leur position, et leur rotation suivant la position occupée par la broche par rapport aux deux rainures.
En d'autres termes, le déplacement axial de la broche dans les rainures hélicoïdales oblige les organes dans lesquels sont prévues ces rainures, à tourner autour de leur axe.
Sur la partie extérieure de l'appareil 58 est montée une bague taraudée 59, à pas rapide et à plusieurs filets, dans laquelle est vissé un capuchon 60. muni d'un long levier de manoeuvre 61. Ce ca- puchon 60 s'oppose, par l'intermédiaire de la bille 62 (qui a pour rôle de diminuer le frottement) à la poussée exercée sur l'arbre 50 par le ressort 49.
Grâce au déplacement du levier 61, on obtiendra par conséquent, un mouvement de rotation du capuchon et, partant, un mouvement sur l'arbre 50, dérivant soit de la poussée exercée par le capuchon 60, soit du recul élastique effectué par le ressort 49. Il s'ensuit que ces mouvements de va-et-vient de l'arbre 50 se traduisent - ainsi qu'il vient d'être dit - par un déplacement subséquemment de la bro- che 55, qui, coulissant dans des rainures inclinées prévues soit sur le manchon 53, soit sur l'arbre 38, oblige ces organes à tourner en se déplaçant de leur position initiale, irais, corme l'arbre 38, en sa qualité d'arbre moteur, est dans l'impossibilité de tourner sous
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cette poussée, ce sera le manchon qui effectuera un mouvement dou- ble et qui entraînera, pr conséquent,
l'obturateur 56 dans un dé- placement rapide.
Lorsque les proportions desdits organes sont parfaitement exactes, il est possible d'obtenir - par une rotation de 180 du levier de commande 61 - un déplacement analogue de l'obturateur 56, de 180 , de manière que, sans devoir le constater de visu, l'opéra- teur se rende compte avec exactitude de l'ouverture de l'obturateur, ouverture qui correspondra parfaitement au déplacement du levier 61.
Cette disposition facilite notablement la prise de vues, puis- que l'opérateur est 2 mène de régler l'ouverture de l'obturateur 56 sans pour cela détacher son oeil du viseur.
Le régulateur de vitesse 6 (fig. 4), monté sur l'extrémité de l'arbre moteur vers le fond de la caméra, agit par la rupture du circuit électrique lorsque la vitesse dépasse la vitesse préfi- xée et rétablit de nouveau le circuit lorsque la vitesse ne dépasse plus sa valeur normale.
Ce régulateur a la caractéristique de permettre un réglage continu, allant depuis le zéro jusqu'à la vitesse maxime, du moteur, sans nécessiter la présence d'organes coulissants, et de pouvoir être réglé quand le moteur tourne, tandis que, contrairement aux types connus, il ne présente pas de contact sur la partie tournan- te, étant donné que les contacts eux-mêmes sont fixes, ce qui est particulièrement avantageux, surtout avec un petit moteur à faible tension et à intensité de courant relativement forte, du type uti- lisé dans l'appareil formant l'objet de la présente invention.
L'absence de contact tournant a pour conséquence, en dehors d'une simplification mécanique supprimant bagues et balais, une perte moins considérable, due à la résistance électrique et aux frottements mécaniques, de sorte que les frais sont considérable- ment diminués .
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A la figure 13, un croisillon 63, fixé en soil centre sur l'arbre 58 du moteur 1, comporte un levier 65 en "T", à branches inégales, dont l'une des branches pivote en 64 sur une extrémité du croisillon de manière que l'une des deux autres branches soit approximativement parallèle au croisillon et l'autre, à peu près perpendiculaire à ce- lui-ci.
La branche parallèle comporte à son extrémité un coussinet 66 en antifriction, de préférence pouvant être éventuellement isolant ; l'autre branche est de dimensions telles qu'elle puisse agir comme il sera décrit plus loin et elle peut être munie éventuellement d'un corps coulissant réglant son action, qui consiste à faire pivoter le levier en 64, sous l'effet de la vitesse du moteur 1.
Une partie fixe, constituée par un support 74 de toute forme convenable, généralement en équerre, comporte une vis de réglage mi- crométrique 68, et une lame élastique ou un ressort à lames 69 y est fixé par l'une de ses extrémités, son autre extrémité présentant une pointe de contact 70, de préférence platinée ou iridiée. Ce ressort à lames 69 porte, par exemple en sa partie médiane et y fixé de ma- nière rigide, un doigt 71, portant une bille en acier trempé 72 pou- vant librement tourner sur son siège, correspondant au coussinet 66.
La pointe 70 correspond à un contact 73,ménagé également sur la par- tie fixe du dispositif.-
74 et 75 désignent les points de raccordement du régulateur dans la ligne d'alimentation du moteur 1. Par la vis 68, on peut donner au ressort la tension nécessaire, proportionnelle à la vitesse de régime que l'on veut imposer au moteur.
Si la vitesse reste dans des limites fixées, la poussée du res- sort, s'exerçant par l'intermédiaire du doigt 71, de la bille 72 et du coussinet 66, sur l'extrémité de l'organe 65, sera suffisante pour contre-balancer la poussée opposée de l'extrémité 66 vers le doigt 71. due à la force centrifuge se développant dans le levier 65. Si, par
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contre, la vitesse du moteur tend à dépasser la valeur fixée, le dé- placement de cette branche s'accentue et il s'ensuit que le ressort à c lames 69, n'étant plus à mène de supporter- la poussée exercée sur le doigt 71 sera forcé de se déplacer et ouvrira le circuit du contact 70 - 73.
Lorsque la vitesse du moteur diminue, le contact est rétabli et ainsi de suite.
Il est à noter que la possibilité d'éloigner le doigt 71 du con- tact 70 permet d'obtenir une sensibilité donsidérable du système, é- étant donné que le déplacement des pointes 70 et 73 est notablement supérieur au déplacement du doigt 71. insi qu'il est évident, ce type de régulateur donne lieu à un frottement minimum, se localisant exclusivement au contact entre la bille 72 et le coussinet 66, et comme il s'agit d'un frottement de roulement, s'exerçant en un seul point, il est, partant, négligeable.
La démultiplication du déplacement produit par la force centrifu- ge est, ainsi que nous l'avons dit, considérable, de sorte qu'il en résulte une sensibilité extrême du système ; de plus, le réglage peut évidemment être effectué lorsque le moteur est en marche, dans de lar- ges limites.
La vis 68 est réglée de l'extérieur de la cmerau moyen du bou- ton 76 qui est gradué en nombre de photogrammes, de 0 - 64 par exme- ple, ou à la vitesse de 8 - 16 - 24- 64 avec, éventuellement des contacts fixes. misi- qu'il a été dit plus haut, une vis sans fin 5 (fig.4),so- lidaire de l'arbre moteur, entraîne le pignon denté 8, communiquant le mouvement à l'arbre pour l'entraînement supérieur et inférieur du film, et à la poulie 9, servant à commander l'enroulement à friction du chargeur supérieur, qui se fait à l'aide de la courroie élastique 10 (fig. 1), sur la poulie 77 du porte-film.
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Sur la partie avant de l'appareil (fig.3), se trouve une tou- relle porte-objectif 11, qui tourne autour de son axe et permet le. substitution à revolver des différents objectifs.
Les positions des objectifs sont déterminées par des déclics de sûreté intermédiaires.
L'appareil, complété par le porte-film il-), est limité au plan passant par la ligne par une fermeture à glissière latérale, de manière à constituer une caméra muette complète. Ladite glissière peut être remplacée par une partie annexée, comportant l'amplifica- teur.
Le porte-film 13 présente un système de fermeture spécial,muni de dispositifs de sûreté, permettant non seulement un chargement fa- cile en pleine lumière, mais excluant encore toute possibilité de fausse manoeuvre. Les détails de ce chargeur sont illustrés aux fi- gures 21 et 83.
Sur le socle du chargeur et correspondant à un assemblage ap- proprié,monté sur l'appareil, est situé le dispositif dont traite la description.
Les plaquettes 78 et 79,coulissant en direction longitudinale dans les deux sens, sont guidées à coulisse dons des rainures pré- vues dans le socle du chargeur.
L'une de ces plaquettes, et plus précisément la plaquette 78, fait fonction de verrou en vue d'assurer le blocage du chargeur sur l'appareil,tandis que l'autre remplit la fonction d'obturateur de la fenêtre 81 dans le passe-film du chargeur lui-même.
Dans le but de rendre l'exposé plus facilement compréhensible, il y c lieu de remarquer que dans ces types de chargeurs, la bobine ou le rouleau de pellicule vierge, contenu dans une bobine spécia- le, doit passer pour l'impression, du chargeur à l'intérieur de l'appareil et rentrer ensuite dans le chargeur où la pellicule est enroulée sur une autre bobine jumel'le, entraînée à friction.
Les deux plaquettes coulissantes sont maintenues en place à l'aide d'une autre plaquette qui.leur est superposée.
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L'une des plaquettes est pourvue d'une languette 82, pouvant pénétrer dans l'évidement 91 de la plaquette 79.
Cet évidement 91 s'élargit en 92 pour donner logement à un ressort 85, tendant à éloigner il. tune de l'autre les deux plaquettes coulissantes, en s'appuyant sur l'épaulement 97, et à liniter leur course de rapprochement. La plaquette 78 est solidaire d'un bouton 84, servant à vaincre la tension du ressort et à ramener en arriè- re la plaquette 78. Cette manoeuvre a pour but de faire sortir le chargeur de la machine, la fermeture étant automatique, de sorte que le verrou 78 vient s'enchâsser dans un assemblage situé sous le plan incliné ménagé sur l'appareil de prise de vues.
Le mouvement de la plaquette 79 est à son tour commandé de l'extérieur à l'aide du bouton 13 et sert à l'ouverture de la fente passe-film 81, au cours du chargement.
Outre cela, la course de ladite plaquette 79 est commandée en même temps par la broche 86, solidaire de l'arbre 93 du dispositif de fermeture et qui pénètre -ainsi qu'on le verra par la suite - dans la fente 85, prévue sur la plaquette 79. àprès avoir disposé dans le chargeur la bobine chargée et après svoir fixé l'extrémité de la pellicule à la bobine vide, on fera passer par un passe-film spécial, s'ouvrant sous la pression du bouton 13, le boucle qui doit ensuite être introduite, en plei- ne lumière, dans l'appareil, au moment du chargement pour l'usage.
Lorsqu'on lâche le bouton, le passe-film se referme dutomati- quement.
Pour fixer le chargeur dans l'appareil, il faut introduire la languette dans la rainure prévue à cet effet sur le côté supérieur de l'appareil, après quoi on rabattra le chargeur, et l'on amènera le verrou 78 dans la rainure opposée à la précédente qui, étant à plan incliné, fait rentrer d'abord le verrou 78 dans ses guides, pour faire déclencher ensuite le dispositif de fermeture.
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Cn obtient de la sorte la fixation du chargeur à l'appareil.
.-.près avoir fixe la pellicule à l'intérieur de l'appareil, on procédera, de la manière connue, à la fermeture de le- cernera.
La paroi 95 de la caméra qui vient d'être fermée, comporte une serrure 89, servant à une fermeture du type à baïonnette, prévue à l'extrémité de l'arbre 93 et indiquée sur le dessin en 88. l,a serrure 89 renferme un plan incliné de sorte que, Grâce à la rotation du levier 87, les tenons latéraux sont obligés de pénétrer plus profondément dans la serrure 89, de manière à contraindre le couvercle 95 à adhérer parfaitement à la caméra.
En même temps et sous l'effet de cette rotation, la broche 86 subit une rotation, qui la fait pénétrer dans la fente 05, ce qui l'amène à déplacer l'élément coulissant 79, vers le bas, tout en ou- vrant la fente passe-film 81. Lors du recul de l'élément 79, par sui- te de l'action susmentionnée, le ressort 83, qui s'appuie, ainsi qu'on l'a vu,sur 1' épaulement 97 de la plaquette 79, est comprimé ; cette pression exercée sur le ressort se traduit par une poussée ul- térieure de la plaquette 78 dans son assemblage, ce qui concourt à améliorer la fermeture.
Ensuite, le contact de la languette 82 avec le fond de l'évide- ment 91 de la plaquette 79 permet au verrou 78 de reculer et d'ou- vrir le chargeur, tandis que la fente passe-film 81 reste ouverte. n vue d'améliorer la fermeture, le levier 87 doit tourner jus- qu'à enclenchement avec la bille 90, montée élastiquement dans une cavité appropriée, ménagée dans ou sur la paroi 98 de la caméra.
Si ladite rotation ne s'effectue pas complètement, il est évi- dent que quelque corps étranger entrave le mouvement de l'appareil.
Celé permet après avoir rouvert l'appareil, c'est-à-dire en manoeuvrant en sens contraire le levier 87, de refermer la fente servant au passage de la pellicule 81 et de procéder à l'élimination de l'obstacle.
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La fermeture précitée ,peut être utilisée dans la construction de l'appareil avec ou sans amplificateur.
Il va de soi que les chargeurs peuvent avoir différentes ca- pacités et comporter, pour la bobine d'enroulement autant que pour celle de déroulement, un coupleur 14 (fig.l),
On peut aussi remplacer les chargeurs par d'autres , d'un type spécial, contenant deux ou quatre bobines pour les opérations ac- cessoires, dont il sera question plus loin, au paragraphe des ac- cessoires spéciaux.
Ainsi qu'il a été dit plus haut, la partie électroacoustique est contenue dans une boîte d'épaisseur moindre, applicable laté- ralement sur la partie contenant le groupe cinématique (fig.2).
Dans cette boîte est disposé l'amplificateur (figures 6 et 7) com- prenant un certain nombre d'étapes, par exemple trois, et les tubes du type "micro" 15. Ces tubes admettent une puissance de sortie de 1,5 Matt, suffisante pour une modulation de 100%,
La tension de plaque s'obtient à l'aide d'un survolteur rota- tif ou à vibration. Dans le premier cas, on peut prévoir un 'petit redresseur à oxyde, à tension universelle ; dans le second cas, une cellule redresseuse à oxyde, alimentée par le même transformateur survolteur, faisant partie de la batterie, mais employé en sens contraire pour la charge de l'accumulateur.
L'amplificateur comprend encore : la tête rotative 16, le volant régulateur du mouvement 17, l'enre- gistrement optique 18, le tube lumineux 19, la lampe d'enregistre- ment continu 20.
Un viseur 21 (figures et 7) comporte - comme il est connu- un encadrement variable, un indicateur électrique spécial à réso- nance 22 y incorporé et le régulateur de volume 23, indiquant la modulation excessive.
L'indicateur de vitesse 22 et le tube lumineux 19 ont été particulièrement perfectionnés dans l'appareil faisant l'objet de la présente invention.
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L'indicateur de vitesse (fig. 12) devient invisible lorsque la pellicule se déroule à la vitesse de régime et visible lorsque la vitesse varie.
De cette manière, l'indicateur de vitesse peut être intro- duit dans le champ visuel du viseur, sans nullement déranger l'opé- rateur lorsque la marche est régulière, mais il signalera instanta- nément une irrégularité de la marche (permettant ainsi une prompte intervention et évitant de la sorte tout gaspillage de pellicule).
Le dispositifconsiste en un collecteur 100, pourvu de plu- sieurs secteurs, en partie isolés et en partie reliée à la masse, par exemple quatre secteurs dont deux isolés et deux à la masse, tournant à l'aide d'un accouplement cinématique avec l'arbre moteur.
Sur ce collecteur glisse un balai 101, aboutissant à l'en- roulement 102 d'un électro-aimant 103, branché à son tour sur la source d'énergie électrique. Le circuit se referme sur la masse du collecteur 100, c'est-à-dire sur les secteurs à la masse.
La consommation de l'aimant de petites dimensions peut des- cendre jusqu'à la limite de 1 watt environ.
Le noyau de l'aimant peut avoir une forne en "U".
Sur l'une des branches 104 est montée, de manière quelconque (par exemple fixée par une vis), une lame magnétique 105 (en acier par exemple), qui ferme le circuit magnétique par la pièce 106 à travers un entrefer, c'est-à-dire sans que le contact mécanique avec l'élément 106 soit possible .
Grâce à la rotation du collecteur 100 et en fonction de la vitesse angulaire et du nombre des secteurs, le circuit électrique s'ouvre et se ferme, en déterminant une succession de flux magnéti- ques attirant la lamelle 105 vers l'élément 106 pour la relâcher ensuite à circuit ouvert.
On dispose de la sorte d'une série d'impulsions par suite desquelles la lame 105 vibre.
Cette lame, qui a une fréquence de résonance variable dans
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certaines limites par la vis de réglage 107 entrera en vibration, pouvant atteindre une grande amplitude lorsque la fréquence des im- pulsions correspond à la fréquence de résonance de la lame. Le nom- bre de ruptures et la fréquence de la lame seront fixés de manière à rendre invisible la lame elle-même, qui peut, par conséquent, être disposée au centre du viseur sans pour cela déranger la visée.
Lorsque la fréquence des impulsions s'écarte de la fréquence de résonance de la lame (par suite d'une variation accidentelle de la vitesse en plus ou en moins), l'oscillation de celle-ci diminuant, dérange la visibilité du champ visuel, l'opérateur est instantanément averti et sera à même d'effectuer toutes les rectifications nécessai- res.
Le tube lumineux est montré aux figures 19 et 20.
Il transforme les variations du courant microphonique en va- riations de lumière au moyen de l'interception du flux lumineux, in- terception qui varie linéairement et avec la pus grande fidélité possible par rapport aux variations du courant microphonique.
Les dimensions sont faibles (elles peuvent être réalisées, par exemple, en 30 x 20 x 8 mm.) et malgré cela, il est possible d'obtenir la régulation micrométrique des différents organes avec une consommation extrêmement réduite (par exemple, 0,1 Watt), ce qui permet d'utiliser un amplificateur de faible puissance et, par conséquent, une batterie de petite capacité et par suite de poids minimum.
La figure 19 montre une vue d'en haut du tube lumineux, pourvu des armatures extérieures de l'électro-aimant, dans le sens perpendiculaire à la direction du faisceau de lumière.
La figure 20 est une coupe selon -B de la figure 19, avec en sus, les armatures servant à la disposition des organes et des électro-aimants d'excitation.
L'appareil consiste essentiellement en deux rubans minces
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100a, voisins et normaux au flux magnétique et à un rayon de lu- mière, traversés par un courant alternatif et en série dans le circuit, l'un par rapport à l'autre.
Ces rubans seront attirés et repoussés entre eux, pour chaque demi-période, avec une amplitude qui dépend de l'inten- sité du courant.
Ce courant étant le courant microphonique amplifié, les variations du mouvement de l'ouverture des rubans devront être proportionnelles au courant microphonique et partant aptes à l'enregistrement acoustique ou à faire varier la section d'un rayon lumineux d'intensité constante les traversant, rayon qui, capté par l'objectif et optiquement concentré, vient noircir le film se trouvant en dessous avec une intensité proportion- nelle à celle du courant traversant les rubans.
A la figure 19, on voit le dispositif tendeur et enregis- treur des rubans.
Une pièce 101a en forme de "C", comporte un bloc de régu- lation 102a, comprenant deux vis de réglage 103a, traversant le bloc 102a et se vissant dans le bloc 10'La, et des vis de réglage 104a, vissées dans le bloc 102a et reposant sur la pièce lOla en forme d'arche.
La manoeuvre de ces vis permet d'opérer un déplacement de la pièce lOla dans le sens voulu, déplacement qui se tradui- ra par un réglage de l'orientation du ruban 100a.
En fait, à l'une des extrémités de la pièce lOla et élec- triquement isolé de celle-ci, est prévu un bras rigide 105a, fixé au moyen des vis 106a et dont la tête comporte la plaquette 107a, fixée par des vis et guidée par une cheville (ou de toute autre manière), retenant une des extrémités de l'un des rubans 100a.
A l'autre extrémité de la pièce 101a, fixée par les vis 108, est prévu un bras élastique 109, formé par deux lames
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élastiques, maintenues à une distance convenable entre elles à l'aide d'une pièce appropriée et formant un parallélogramme dé- formable portant une tête 110 (analogue à 107a), sur laquelle est ancrée l'autre branche du ruban 100a.
Une vis de réglage 111 permet de donner à la tête 110 un mouvement linéaire et parallèle à l'axe longitudinal de la pièce 101a.
Ce dispositif régulateur sert à donner une tension suffi- sante au ruban, en vue de porter son point de résonance hors des fréquences audibles, et, en sus, à compenser, au moyen de sa propre élasticité, les éventuelles dilatations du ruban 100a, dues à la chaleur et à l'allongement du matériel.
Ces arcs porte-rubans sont insérés entre deux armatures de fer 112-113, dont la première porte également l'objectif im- primeur et la deuxième, le condensateur de lumière, et ils forment en même temps un soutien des arcs porte-ruban.
Sur ces armatures, les arcs porte-ruban sont bloqués au moyen des vis 114, après que leur réglage a été effectué de la manière précitée. esdites armatures forment aussi des pièces magnétiques et viennent créer un champ sous l'effet de l'aimant 115, dis- posé de la manière représentée à la figure 20.
Pour revenir à la description de la machine dans son en- semble, il y a lieu de remarquer la présence d'un viseur pris- matique 24, servant à l'observation de l'envers du film. Il résulte de la présence des organes décrits ci=dessus que la ma- chine comporte les commandes et les raccordements nécessaires à l'extérieur, et, sur la boîte de l'amplificateur, le bouton 25, commandant la puissance (fig. 3), le raccordement du micro- phone 27, la prise de courant tripolaire 28 pour l'insertion du casque de haut-parleur , le casque pour le contrôle de l'enre- gistrement, le haut-parleur pour la reproduction.
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Un raccord 30 pour la modulation au deuxième stade et le raccord 31 pour le contrôle en cellule du système enregistreur.
Sur ce côté de l'appareil est également disposé l'oculaire du viseur prismatique pour l'observation de l'envers du film, organe qui, tout en constituant un accessoire commode pour la prise de vues, est en même temps indispensable pour l'impression et le mon- tage. Sur le côté opposé (fig. 1) sont situés, en plus du bou- 13 du dispositif de fixation des chargeurs, le bouton ton 33 d'ouverture xx de l'obturateur et le bouton de départ 34, qui peut occuper deux positions, l'une stable et l'autre instable, avec arrêt à cadre fermé, et qui a en outre pour fonction de met- tre le moteur en marche et d'allumer la lampe d'enregistrement.
Il y a lieu de remarquer le levier de commande 61 de l'obturateur, réglable avec une indication d'ouverture graduée de 0 à 180 .
On voit encore les commandes suivantes : réglage de l'inten- sité de la lampe à lumière continue pouvant être gradué logarith- miquement (26); réglage de la vitesse par le bouton 76 (figures 1 et 4). La lampe d'enregistrement s'allume graduellement en exploitant l'inertie du filament et atteignant son plein allumage lorsque l'entraînement de la machine vient d'atteindre sa vitesse normale, et en évitant la consommation d'énergie durant les es- sais du son, lorsque la machine n'enregistre pas.
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En ce qui concerne les opérations complémentaires, c'est- à-dire la projection et l'impression, le doublage et le montage, les accessoires prévus à cet effet peuvent facilement être mon- tés de façon amovible sur la caméra elle-même.
L'un de ces accessoires, nécessaire pour la projection et l'impression, est constitué par une lanterne spéciale, illustrée aux figures 14-15-16.
La figure 14 montre le détail de la chemise.
La figure 15 montre, en coupe partielle, une vue de la lanterne dépourvue de sa chemise extérieure.
La figure 16 montre une vue en coupe à hauteur du filament de la lanterne, munie de sa chemise.
La lanterne est constituée d'un corps central 116 de for- me carrée/ de préférence, comportant d'un côté le condensateur 117, aménagé dans une zone permettant le centrage du filament de la lampe 118.
De l'autre côté, elle est pourvue d'un verre opalin monté dans une douille 119, servant à diffuser la lumière pour l'im- pression.
La lampe 118 est montée avec un culot à baïonnette ou à filet dans une douille 120, pouvant être réglée selon les trais dimensions, de façon à pouvoir porter le filament 121 à la hau- teur du condensateur.
La partie supérieure comporte un rhéostat 122 à contacts multiples, servant pour le réglage linéaire de la lumière fournier par la lampe utilisée pour l'impression. un
La boîte 118 comporte sur deux côtés opposés xx culot à baïonnette (non visible sur le dessin) ou un culot d'un genre quelconque pour la fixation de la lanterne à la caméra cinémato- graphique dans la position de projection ou d'impression voulue.
Il est bon que les culots présentent un pas différent de manière à éviter de se méprendre sur la position de la lanterne dans ses deux applications-à la xxxxxx camera.
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Les coulisses 123-123' et 124-124' faisant saillie de l'en- veloppe 116 permettent l'enfilage de la chemise 125 dans deux positions différentes ainsi qu'il est montré en trait plein et en pointillé par la figure 16. Ladite chemise a la fonction d'in- tercepter, à volonté, soit la lumière provenant du condensateur, soit celle qui provient du verre opalin servant en même temps d'isolement thermique de protection contre les effet,$ dus à la manipulation de la lampe.
Il est à noter que la présente des rhéostats ne détermine pas un surchauffage de la lanterne, tant que la dissipation in- térieure varie de façon inversement logarithmique par rapport à la dissipation de la lampe, en raison de quoi la chaleur dégagée reste pratiquement constante.
Pour utiliser la caméra cinématbgraphique sur l'appareil de projection, on enlèvera la lentille extérieure du viseur pris- matique, inséré à babnnette, et on la remplacera par la lanterne insérée du côté du condensateur, et par la chemise du côté oppo- sé, ainsi qu'il est montré à la figure 9. Pour la projection so- nore, on introduit la cellule photoélectrique 36, contenue dans une enveloppe blindée, dans le logement prévu à cet effet dans l'appareil. La lecture de la bande est effectuée soit par casque, soit par haut-parleur, en insérant l'un ou l'autre de la manière précédemment décrite.
L'impression du cadre d'images s'obtient si l'on insère à la place de l'objectif} la lanterne du côté du verre poli à l'éme- ti (fig.8), ladite lanterne étant munie, ainsi que nous l'avons dit plus haut, de raccordements (culots) différents afin d'évi- ter toute méprise ors de son application.
L'intensité lumineuse est contrôlée à l'aide d'un viseur prismatique et le réglage en est effectué au moyen du rhéostat disposé au-dessus de la lanterne.
Pour l'impression de la bande et pour le doublage, il faut avoir recours à un autre adcessoire, constitué par un chargeur
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double. Ce chargeur double a des dimensions minimes, notablement inférieures à celles des autres types commerciaux, puisque la longueur, résultant de la conformation spéciale du chargeur donnée; est inférieure au double diamètre maximum des bobines utilisées, tandis que, dans les autres chargeurs, cette dimension est tou- jours supérieure au double diamètre maximum de la bobine utilisée.
La f ig.22 montre le chargeur en coupe longitudinale.
Les dimensions du chargeur sont déterminées par le type de la bobine que l'on veut utiliser. Si l'on désigne par "D" le diamètre de la bobine, la longueur en sera environ 1,5 D.
Il faut portant remarquer la considérable réduction de la longueur du chargeur.
A la fig. @ la boîte extérieure 126, étanche à la lumiè- re, comporte un soutien 127 supportant à l'aide d'un palier à billes un arbre de rotation 128. creux
L'arbre/confère une rotation à l'arbre coaxial 129.
Les deux arbres 128-129, tout en tournant ensemble, doivent cependant pouvoir disposer d'une certaine liberté dans leur posi- tion relative de manière à permettre un éloignement ou un rappro- chement au cas ou la tension du film doit âtre supérieure l'un par rapport à l'autre.
Dans ce but, chaque arbre est solidaire d'un disque de fric tion 130 et 131, tandis que la poulie 132 qui est à son tour soli- daire des deux disques de friction extérieurs 133 et 134 est com- prise entre les disques 130-131.
La friction peut être réglée par un bouton 135, apte à vaincre le ressort antagoniste 136.
On peut effectuer de la sorte le glissement d'un arbre par rapport à l'autre au cas ou un excès de tension sur l'mne des par- ties de la pellicule devait rendre une adaptation indispensable.
En vue de l'application spéciale à la machine cinématogra- phique, la poulie 132 correspond à la poulie du chargeur normal et par conséquent à la commande de la caméra cinématographique, per-
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mettant de la sorte l'utilisation de la même courroie sans aucun changement.
Les bobines seront montées voisines sur le même arbre 137, étant donné que les deux films doivent entrer dans la chambre pour l'impression ou le doublage, l'un superposé à l'autre, de manière à présenter les parties sensibles en contact, et puisque la seule fente d'entrée et de sortie est située au milieu de l'une des bobines et précisément de la bobine extérieure, il faut prévoir un dispositif permettant de déplacer le film de l'autre bobine jus- qu'à lui faire rejoindre la même sortie qu'à l'autre.
Cela s'obtient à l'aide de deux plans de guidage constitués d'une bande semi-circulaire 138, à surface parfaitement lisse, formant appui et guidage en tous points pour la pellicule y glis- sant sur le verso, c'est-à-dire sur la partie non emulsionnée, de façon à éviter toute probabilité de griffes ou de détériora- tions de la pellicule elle-même .
Aux extrémités des guides circulaires 138 sont aménagés quelques rouleaux de guidage en vue d'éviter le frottement contre les bords de ces guides.
Dès qu'une pellicule rejoint l'autre, toutes les deux sor- tiront ensemble et après avoir parcouru ensemble le trajet dans l'appareil pour les opérations nécessaires, elles reviendront dans le chargeur, sur les bobines portées par les arbres moteurs.
L'enroulement sur l'une des bobines voisines a lieu à l'ai- de d'une bande 138' analogue à la bande 138, mais disposée en sess opposé.
L'impression de la bande se fait à l'aide du chargeur pré- cité et sans amplificateur, utilisant comme organes d'impression la tête sonore, l'optique d'enregistrement et la lampe continue, l'intensité étant réglée au moyen de la résistance logée dans l'amplificateur.
Le chargeur double sert à doubler la pellicule en utilisant l'appareil comme projecteur et enregistreur sonore.