BE488831A - - Google Patents

Description

   <Desc/Clms Page number 1> 
 perfectionnements aux curseurs coulissants pour fermetures à agrafes. 



   La présente invention est relative aux curseurs pour fer- metures à glissière, du type à verrouillage automatique,   c'est-à-   dire dans lesquelles le curseur comporte un dispositif permettant sensiblement de le bloquer en position sur la bande d'agrafes pour empêcher tout déplacement involontaire du curseur, par exemple lorsqu'on effectue une traction latérale sur les extrémités des rubans qui portent les agrafes de fermeture se verouillant entr' elles. 



     L'un   des buts de 11 invention consiste à prévoir un curseur à verrouillage automatique dont la construction soit simple, la fabrication facile, et dont l'usage soit toutefois sûr. 



   Un autre but de l'invention consiste à prévoir un curseur à verrouillage automatique, lequel, en comparaison des curseurs connus, comprend un nombre réduit de pièces séparées devant être assemblées. 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 



   L'invention consiste en un curseur à verrouillage automa- tique pour une fermeture à agrafes, du type comprenant deux joues réunies à un certain écartement entr'elles par une partie rétrécie ou col, l'une des joues étant munie d'un élément de fixation au- quel s'attache un élément de traction, un ressort étant prévu de manière à appliquer élastiquement un ergot contre l'autre joue, une partie de l'élément de traction précité étant reliée à cet ergot de manière à le rétracter lorsqu'on exerce une traction sur cet élément de traction, l'invention étant caractérisée par le fait que cet élément de fixation, ce ressort et cet ergot forment un tout unitaire ou d'une seule pièce. 



   L'invention se compose également d'un ensemble unitaire, c'est-à-dire formé d'une seule pièce, pour un curseur à   verrouil-   lage automatique pour fermeture à agrafes, comprenant un élément auquel se fixe un organe de traction, un ressort et un ergot. 



   En outre,   l'invention   consiste en un ensemble unitaire pour curseur coulissant à verrouillage automatique pour fermeture à agrafes, comprenant une partie en forme de capot à laquelle se fixe un organe de traction, une partie formant une lame de ressort; une autre partie formant un ergot et enfin des moyens permettant de fixer l'ensemble sur le dessus d'un curseur proprement dit. 



   Pour permettre de mieux comprendre l'invention, celle-ci sera décrite ci-après en se reportant aux dessins donnés à titre d'exemple non limitatif et dans lesquels: 
Figure 1 est une vue à échelle agrandie et en perspective d'un curseur suivant l'invention. 



   Figure 2 est une vue à éléments séparés du même curseur. 



   Figure 3 est une vue en coupe du curseur de la figure 1, suivant la ligne III-III et en regardant dans le sens des flèches. 



   Figures 4 et 5 montrent deux phases différentes de la fa- brication d'un élément unitaire du curseur. 



   Figure 6 représente le même élément avec arrachement par-   tiel.   

 <Desc/Clms Page number 3> 

 



   Figure 7 est une vue en coupe, analogue à la figure 3, d'un autre mode de réalisation de l'invention et, 
Figure 8 est une vue analogue en coupe   d'un)troisième   mode de réalisation. 



   Si l'on se réfère d'abord aux figures 1 à 6, on voit que le curseur comprend une première joue 1 ou joue supérieure et une deuxième joue 2 ou joue inférieure comportant respectivement des parois latérales 3 et 4. Ces joues sont réunies entr'elles à une distance appropriée à l'aide d'une partie rétrécie 5 en forme de coin ou analogue, de façon à constituer entre les joues deux pas- sages inclinés entre eux et qui se fondent en un seul (voir figu- re 3), la joue supérieure 1 étant munie   d'un   étrier ou autre or- gane analogue de fixation désigné de faço générale en 10, auquel est attaché un organe de traction 6 permettant de déplacer le cur- seur le long des rangées d'agrafes pour fermer et ouvrir la ferme- ture.

   Dans les curseurs à verrouillage automatique connus jusqu'il on loge généralement un ressort sous l'étrier ou organe analogue fixation 10, ce ressort tendant normalement à introduire un ergot à travers une ouverture 7 formée dans la joue supérieure 1, de façon que l'ergot pénètre dans le passage 8 pour s'insérer dans l'espace qui sépare deux agrafes adjacentes de la fermeture, ce qui empêche tout déplacement intempestif du curseur.

   Ainsi, l'a- gencement de l'organe de fixation, du ressort, de l'ergot et de l'organe de tirage est tel qu'en exerçant une traction sur cet organe de tirage pour déplacer le curseur le long de la fermeture, l'ergot soit rétracté ou soulevé contre l'action du ressort, sor- te du passage 8 et par conséquent de l'espace précité entre les agrafes, de manière à libérer le curseur qui peut ainsi suivre la traction exercée sur l'organe de traction. Dans ces curseurs connus, l'organe de fixation,le ressort et l'ergot forment trois pièces séparées qu'il faut assembler et faire coopérer entr'elles* 
Contrairement à ce qui précède, dans un curseur à ver- rouillage automatique pour fermeture à agrafes suivant la présen- te invention, l'étrier ou organe analogue de fixation, le ressort 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 et l'ergot constituent une seule pièce. 



   Alors que le ressort ou l'ergot, ou même les deux à la fois, peuvent être fixés à l'étrier ou organe correspondant, par exemple par rivetage ou soudure, pour obtenir l'ensemble unitaire précité, il est préférable que l'étrier ou organe analogue de fixa- tion, le ressort et l'ergot constituent autant de parties d'une seule pièce de matière. 



   De préférence également, le ressort est formé par une lame et l'ensemble comporte des moyens destinés à en faciliter la fixa- tion à la joue supérieure du curseur qui comprend, bien entendu, des moyens de fixation complémentaires aux précédents. En outre, il est préférable que l'étrier ou pièce analogue se présente sous forme d'un petit capot allongé et creux dans lequel se loge le ressort précité. 



   Dans le mode de réalisation qui fait l'objet des figures 1 à 6, la forme générale de la pièce unitaire est celle d'un capot creux allongé qui constitue la pièce 10 qu'on appellera ci-après   "étrier".   L'étrier 10 (voir également figure 6) se compose d'une partie supérieure 11 et de deux parois latérales 12 descendant de part et d'autre de cette partie supérieure 11. près du centre ou au centre de chacune des parois latérales 12, on a prévu une   cavi-   té ou encoche 13 qui s'étend à partir du bord inférieur de la paroi latérale respective vers le haut et qui sert à former l'un des éléments par lesquels l'organe de tirage 6 s'articule sur l'étrier 10. Chaque paroi latérale 12 est munie à chaque extrémité de pat- tes permettant la fixation du capot 10 sur la joue supérieure 1 du curseur.

   Dans les figures 1 à 6, chaque paroi latérale 12 comporte deux pattes 14 qui s'étendent longitudinalement vers l'extérieur de l'étrier de façon à être alignées avec la paroi latérale cor- respondante 12 et au même niveau que son bord inférieur. 



   L'étrier 10 en forme de capot est de préférence formé dans un flan métallique d'une forme appropriée dont on poinçonne une pièce de la forme représentée figure 4. Cette pièce, indiquée d'une façon générale en 15, comprend deux encoches 13 prévues sur 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 les bords opposés, quatre pattes 14, une à chaque coin et un pro- longement 16 de forme allongée et d'épaisseur réduite de façon que cette partie soit rendue élastique et puisse agir comme une lame de ressort. A son extrémité libre, le prolongement ou lame de ressort 16 de la pièce 15 est muni d'un ergot 17. En même temps que l'opération de poinçonnage, ou après celle-ci, la pièce 15 est cambrée de manière à prendre la forme indiquée dans la figure 5.

   Sur cette figure, on   reconnaît   déjà   11 étrier   10 en forme de capot qui comprend la partie supérieure 11, les parois latérales descendantes 12 munies des cavités 13 et ayant à chaque extrémité des pattes 14. Une extrémité de la partie supérieure 11 de l'é- trier 10 est munie du prolongement allongé ou lame de ressort 16. 



    .L'ergot   17 est plié à 90  vers le haut. Le prolongement ou lame de ressort 16 est ensuite replié de manière à être finalement logé au-dessous de la partie supérieure 11 et entre les parois latérales 12 de l'étrier 10, comme on le voit dans la partie cen- trale de la figure 2, la figure 6 montrant le même étrier 10 en forme de capot mais dont la paroi latérale avant et une partie du dessous ont été arrachées. Maintenant, l'ergot 17 formé à l'ex- trémité du prolongement ou lame de ressort 16 s'étend vers le bas à partir de cette partie 16.

   Les dimensions des différentes par- ties sont prévues de façon que le prolongement ou lame de ressort 16 se termine, dans sa position définitive, au-delà des cavités 13 des parois latérales 12, tandis que l'ergot 17 à l'extrémité libre du prolongement ou lame de ressort 16 dépasse, vers le bas, le niveau des bords inférieurs des parois latérales 12. 



   La joue supérieure 1 du curseur présente sur le dessus deux attaches 18 en forme de T dont la disposition et les dimen- sions sont telles qu'après avoir logé la pa-rtie inférieur 19 de l'organe de traction 6 dans les cavités 13 de l'étrier 10, ce dernier puisse être placé entre les deux attaches 18 de façon que les pattes 14 de l'étrier 10 s'étendent au-dessous des têtes horizontales des attaches 18 en forme de T.

   Celles-ci sont ensui- te repliées vers le bas et vers l'intérieur de façon que leur 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 tête serre solidement les pattes 14 de l'étrier 10 de façon à maintenir ce dernier en position correcte sur la joue supérieure 1, dans laquelle l'ergot 17 s'étend à travers   l'ouverture 7   for- mée dans cette joue pour pénétrer dans le passage 8 et s'engager, en cours d'usage, dans un espace séparant deux agrafes adjacentes de la fermeture à glissière, tandis que l'organe de traction 6 s'articule sur l'étrier 10, la partie inférieure 19 de cet organe se trouvant entre le prolongement ou lame de ressort 16 et la jour supérieure 1, comme on le voit clairement sur la figure 3.

   Lors- qu'on exerce une traction sur l'organe 6 pour actionner le cur- seur, la partie inférieure 19 de cet organe 6 soulève le ressort 16 et entraîne l'ergot solidaire 17 pour le sortir du passage 8 jusqu'à la position indiquée en traits mixtes sur la figure 3, ce qui libère le curseur qui se trouve ainsi en condition de suivre la traction appliquée à l'organe de traction. 



   On constate ainsi que la lame de ressort   16,   l'ergot 17, et l'étrier 10 constituent un ensemble unitaire dont la   fabrica-   tion et la fixation au curseur est relativement facile, et qui permet en outre d'éviter l'assemblage de l'étrier, du ressort et de   l'ergot     s ép ar ément .   



   Au lieu de prévoir l'ergot sur la lame de ressort, en peut le prévoir sur la paroi latérale de l'étrier. Cette disposi- tion, représentée figure 7, est décrite ci-après. Sur cette fi- gure,   l' étrier   en forme de capot, indiqué d'une façon générale en 110, s'articule sur une patte 120 formée sur la joue supérieu- re 101 d'un curseur, l'assemblage de l'étrier et de la patte s'ef fectuant à l'aide d'un axe ou pivot   121.   Près d'une extrémité de l'étrier 110 l'une des parois latérales 112 est munie d'un prolon- gement vers le bas qui constitue un ergot 117 s'étendant normale- ment à travers une ouverture 107 formée dans la joue supérieure 101 du curseur, de façon à pénétrer dans l'espace qui sépare deux agrafes adjacentes.

   A l'autre extrémité, l'étrier 110 comporte un prolongement, de forme allongée et d'épaisseur réduite, replié de façon à constituer une lame de ressort 116 dont l'extrémité libre 

 <Desc/Clms Page number 7> 

 s'étend au-dessous des bords inférieurs des parois latérales et s'applique contre la joue supérieure 101 du curseur de manière que cette partie 116 tende à éloigner de la joue supérieure 101 l'ex- trémité de l'étrier à laquelle elle est rattachée, et à rapprocher l'extrémité portant l'ergot 117 de cette même joue supérieure 101. 



  Un organe de traction 106 s'articule dans une cavité 113 formée dans chaque paroi latérale 112 (une seule cavité étant représentée) de l'étrier, en un point situé entre le pivot 121 de l'étrier 110 et l'ergot 117, de manière que, lorsqu'on exerce une traction sur l'organe 106, l'ergot 117 soit dégagé du passage 108 contre la résistance du ressort 116. Des butées coopérantes 122 et 123 peuve être prévues sur l'étrier 110 et sur la joue supérieure 101 dans le but de limiter le pivotement de l'étrier lorsqu'on exerce une traction sur l'organe de traction.

   La patte 120 et le pivot 121 peuvent être éventuellement supprimés en prévoyant, de la façon indiquée figure 8, une joue supérieure   201   du curseur munie à une extrémité d'une ou de plusieurs attaches, 220, ces attaches com- portant des cavités 224 dans lesquelles s'engagent des pattes 221 de forme appropriée prévues à l'extrémité correspondante des pa- rois latérales 212 de l'étrier   210,   c'est-à-dire à l'extrémité opposée à celle munie d'un ergot 217 s'étendant vers le bas à partir d'une paroi latérale 212.

   Là où les cavités 224 de la ou des attaches 220 sont ouvertes à l'origine pour permettre l'intro- duction de la ou des extrémités libres de la patte ou des pattes 221 dans la ou les cavités   224.   Là où les attaches 220 est où sont ensuite repliées de façon à sertir la ou les cavités 224 autour de l'extrémité de la patte ou des pattes 221, afin d'empêcher, en coopération avec les butées 222 et 223, que l'étrier 210 puisse se dégager de la joue supérieure 201 du curseur, tout en permet- tant l'articulation de l'étrier 210, tandis que le prolongement ou ressort 216 s'étend sur toute la longueur du bord inférieur des parois latérales de l'étrier 210 et offre une forme appropriée facilitant les mouvements articulés de l'étrier.

   Un organe de traction 206 est fixé à l'étrier 210 à l'aide de cavités 213 for- 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 mées dans les parois latérales 212. L'extrémité libre 225 du res- sort 216 s'applique contre le dessous de la butée 223. La forme et la tension du ressort 216 sont prévues de manière à appliquer vers le bas l'extrémité de l'étrier 210 qui se trouve du côté de la butée 223 pourùintroduire l'ergot 217 dans le passage 208. 



  Lorsqu'on effectue une traction de l'organe 206, cette extrémité de l'étrier 210 se soulève jusqu'au point où la butée 222 de l'é- trier rencontre la butée 223 de la joue supérieure 201, ce qui dégage l'ergot 217 du passage 208 et libère le curseur qui peut ainsi se déplacer le long de la fermeture. 



   Il est bien entendu que les expressions "supérieur" "inférieur" et termes analogues n'ont été utilisés ci-dessus que pour faciliter la description. Bien entendu, le curseur peut être utilisé dans n'importe quelle position.

Claims (1)

1. REVENDICATIONS et RESUME.

   1. Curseur coulissant à verrouillage automatique pour fermeture à agrafes, du type comprenant deux joues réunies à une certaine distance entre elles par une partie rétrécie formant col, l'une des joues étant munie d'un organe de fixation auquel est re- lié un organe de tirage, un ressort étant prévu pour appliquer normalement un ergot vers l'autre joue, une partie de l'organe de tirage coopérant avec l'ergot de façon à le rétracter lorsqu'on exerce une traction sur l'organe de tirage, caractérisé en ce que l'organe de fixation, le ressort et l'ergot formant un tout uni- taire.

   2. Curseur tel que revendiqué dans la revendication 1, caractérisé en ce que l'organe de fixation, le ressort et l'ergot sont formés dans un seul morceau de matière.

   3. Curseur tel que revendiqué dans la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que des moyens sont prévus sur la struc- ture unitaire pour la connecter à l'une des joues, qui comprennent des moyens de connexion supplémentaires coopérant avec les moyens <Desc/Clms Page number 9> de connexion de la dite unité.

   4. Curseur tel que revendiqué sous 1, 2 ou 3, caractérisé en ce que l'organe de fixation à la forme d'un capot creux allongé dans lequel se loge le ressort, ce capot s'étendant dans le sens longitudinal du curseur.

   5. Curseur tel que revendiqué dans la revendication 4, caractérisé en ce que le capot comprend deux parois latérales entre lesquelles est logée une lame de ressort à partir de laquel- le s'étend l'ergot précité, l'organe de traction étant relié au capot à l'aide d'une cavité formée dans chaque paroi latérale, de sorte qu'une partie de l'organe de traction soit logée entre la lame d'un ressort et la joue adjacente du curseur afin de coopérer avec l'ergot par l'intermédiaire de la lame de ressort. EMI9.1

   6. Curseur tel que revendiqué dans la revendication 5, . ' des pattes )t If caractérisé en ce que/sont prévues dans les parois latérales du capot afin d'être serties sur la joue adjacente du curseur au moyen d'attaches s'élevant sur cette joue pour assurer la fixation du capot à la joue adjacente. EMI9.2

   .Af* 7.,Modification du curseur selon la revendication 6, d'a- '1--..",;fI l/IIf t?J l'ergot ' près laquelle/est formé sur une des parois latérales et la fixa- tion du capot à la joue adjacente s'effectue de manière à permet- tre un mouvement articulé du capot, ce dernier étant rappelé par un ressort vers une position dans laquelle l'ergot pénètre normale ment dans l'espace formé entre les joues et se déplace, lorsqu'on exerce une traction sur l'organe de traction, vers une autre posi- tion dans laquelle l'ergot est rétracté de l'espace précité.

   8. Curseur tel que rev end iqué dans la revendication 7, caractérisé en ce que le capot s'articule sur une patte formée sur la joue adjacente.

   9. Curseur tel que revendiqué dans la revendication 7, caractérisé en ce quune patte est formée sur le capot, cette pat- te s'engageant dans une cavité formée dans une attache prévue sur la joue adjacente en vue de fixer le capot à la joue et de permet- tre le mouvement pivotant susdit. <Desc/Clms Page number 10>

   10. Curseur tel que revendiqué dans la revendication 8 ou 9, caractérisé en ce que des butées coopérantes sont prévues, dans les deux cas, sur la joue et sur le capot, pour limiter le mouve- ment pivotant du capot.

   11. Ensemble unitaire formé d'une seule pièce pour un cur- seur coulissant à verrouillage automatique pour fermeture à agra- fes, cette pièce comprenant un organe pour la fixation d'un organe de traction, un ressort et un ergot, 12. Ensemble suivant la revendication 11, caractérisé en ce qu'il comporte une partie en forme de capot prévue pour y fixer un organe de traction, une partie formant une lame de ressort, une autre partie formant un ergot et des moyens pour la fixation de la pièce à une joue de curseur.

   13. Ensemble tel que revendiqué sous 12, caractérisé en ce que l'ergot est porté par le ressort.

   14. Ensemble tel que revendiqué sous 12, caractérisé en ce que l'ergot est prévu sur une paroi latérale de la partie en forme de cap ot .

   15. Ensemble tel que revendiqué sous 14, caractérisé en ce que l'ergot est porté près d'une extrémité de la partie en for- me de capot, la lame de ressort étant formée à l'autre extrémité et des moyens de fixation étant prévus pour relier la pièce uni- taire à la joue du curseur pour que la pièce puisse effectuer un mouvement de pivotement.

   16. Procédé de fabrication de la pièce revendiqué sous 16 qui consiste à découper dans un plan un morceau de matière présen- tant des cavités ou encoches sur les bords opposés ainsi qu'un pro- longement portant à son extrémité libre un ergot, à plier cet er- got dans un sens à peu près à 90 par rapport à son plan original, à plier les cotés du morceau de matière dans l'autre sens et enfin à plier le prolongement dans ce même sens pour le loger entre les cotés repliés.

   17. Curseur à verrouillage automatique pour fermetures à agrafes, construit, disposé et adapté, substantiellement comme dé- <Desc/Clms Page number 11> crit en se reportant aux figures 1 à 6 des dessins ci-joints.

   18. Curseur à verrouillage automatique pour fermetures à agrafes, construit, disposé et adapté, substantiellement comme décrit en se reportant à la figure 7 des dessins ci-joints.

   19. Curseur à verrouillage automatique pour fermetures à agrafes, construit, disposé et adapté, substantiellement comme décrit en se reportant à la figure 8 des dessins ci-joints.