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"PROCEDE D'i"7'DIFIC1\TTCl\T D'OUVRAGES ET FACONNERIS PD"'1i'r'BRI'lU"'lT' , APPLICATIONS 3T RESULTANT"
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Le présent brevet a-pour objet, un procédé d'exécution d'ouvrages en maçonnerie préfabriquée ne requirent
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aucune nain-d' oeuvre # spécialisée Ce procédé est caractérisa par le remplacement des -l ':1.ents habituels de nu¯ par des 51 Oriente de for-i- et de dimensions appropriées, forint pans de ruer recouverts, su préalable, de leur revêtcxnt tant intérieur qu'extérieur.
Ces pans de nuer, disposes suivant un tracé quelconque, sont réunis entre eux pr-r des colonnes en béton-coulé dans des rani nurcs Gpôcir.lcient on6nagcs à cet effet, dans les joints ver ticu ccs blocs. Le laison horizontale des :1 '¯¯cnts superpo- sas est assurée par un joint de mortier dont l'épaisseur est
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assurée rigoureusement constante Grâce à un dispositif à gou-
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jons de for-1C spéciale. raz hauteur d'otrge, les pans de nuer sont reliés per une ceinture en béton p.r;'"l:;
emprisonnant les hourdis en béton précontraint dont la structure de r'sistrncc, est constitua par une grille à croisillons forint des ^¯ill
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carrées ou rectangulaires et pouvant supporter des panneaux
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conplcts de carrelage et de plfonn8geo Ces panneaux de carre- lage et de plafonnagc sont également des :'1 ¯cnts préfabriqué., qu'il suffit dc poser sur les grilles pour forlicr drs hourdis, p oer u.r les grilles pour forner des hourdis,
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sans intervention de main d'oeuvre spéciale.
Les produits et procèdes de maçonnerie susmention- nés ont pour avantages: 1 ) de supprimer totalement la nain d'oeuvre spéci alisôc habituellement requise pour l'exécution des travaux de
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maçonnerie y compris 1' enduisage,le rcjointoyage,lc carrelage et le plafonnage des locaux.Cette main d'oeuvre est non seule ment supprimée pour les montage des :1::cnts nais également pour leur fabrication qui sc fait d'une manière entier crient mécanique.
2 ) de donner eux éléments de construction des que lités mécaniques de résistance, de régularité et de fini qui s'allient .parfaitement avec les spécifications thermiques et
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cccoustiques propres aux matériaux modernes de construction.
3 ) de permettre une exécution rapide etè grande échelle d'ouvrages de maçonnerie privée ou publique.
4 ) de donner à la construction une excellente ré sistance aux mouvements du sol ( soit terrain peu consistant
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ou terrain minier ) grâcc à la charpente enrobée que constitue la.liaison des colonnes en béton armé reliant les pans de murs entre eux et les hourdis ceintures qui coiffent les têtes de colonnes.
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5 ) de donner à l'ensemble une ind6forùebilit6 et une incombustibilitc totale- si on adopte le système de grilles en bton précontraint pour constituer les versants de la toitu rc si celle-ci est inclinée.
'Afin de mieux faire ressortir l'exposaci-dessus,les dessins
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ci-annexés représcntent,à titre explicatif et non limitatif, différentes dispositions de pans* de mur et de hourdis conve- nant particulièrement pour la construction d'immeubles d'habi- tation.
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La fig I donne à titre dôxcmple, la' forme d'un élément-type de maçonnerie et son mode de liaison avec d'autres éléments sem- blaoles.Fabriqu6s dans un moule métallique de forme prismatique (dans certains cas avec paroi courbe), ces éléments sont en bé ton composite comprenant une' couche de béton' riche vers'
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l'extérieur ( couche a ou -un parement en Briques ou autre re- vêtement B (fig 2) enchâssé dans une couche de mortier riche et imperméable .ou consister simplement en un cailloutis de gravier lavé de silex ou de grès. La.
couche intérieure b du bloc est- réalisme en béton de cendrées très caverneux et enduite du côté intérieur d'une couche de mortier au plâtre qui donne au bloc une Epaisseur uniforme et un aspect de fini irréprochable.'
Ces différents genres d'éléments sont fabriqués par superposition dans' le moule des différentes couches de mortier
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qui.ont chaqunc un rôle bien défini.
Un dispositif spécial dé- crit plus loin, "permet de msintenir en place les briques ou pla- quettes à appareiller, pendant la vibration du béton riche et imperméable et de donner aux joints la forme et l'épaisseur dé sirées. La deuxième couche de béton ( caverneux) dont le rôle est l'isolement thermique et acoustique, est coulée immédiatement
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,.près la mise en place .-de 1" première couche recouvrant les élé- ments de psrenent ;
elle peu* être vibrcc également de 'façon lui donner une compacité suffisante et pénétrer suffisamment dans la couche inférieure. L'application de la couche de plâtre se fait après remplissage du moule et sert à la régulation de-
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là face intérieure du bloc. Certains blocs tels que i7 ( fig 2) peuvent comporter deux faces lissées au plâtre; s'ils sont des-
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tines à des murs intérieurs.
Les fpces latérales de- chaque blo-c sont pourvues de rainures verticales cylindriques d permettant de saisir le bloc au moyen d'un grappin dont les crocs viennent s'encastrer dans des encoche
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e se trouvant vers la rii-hauteur du bloc dans chaque rainure ver- ticale. Ces rainures cylindriques situées contre les .petits côtés du uoule sont nénagées-par un tube de dimensions convenables que l'on retire du noulc dès le remplissage de celui-ci. Deux rainu- res semblables juxtaposées créent ainsi un vide en forme- de huit s'étendant de haut en bas du bloc.
Sur les faces supérieure et inférieure de chaque bloc, on a -en outre au moulage deux
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logements tronconiques ou prismatiques ou f'( fig I)' destines la mise en place correcte des blocs les uns sur les autres.
Des dos ou goujons en béton de gravier de forme tronconique ou
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pyranidale corrcspodant au logcnent se placent dans celui-ci avant la pose du mortier de laisouo Ils assurent la correspon- dance des faces de deux blocs superposés et servent à donner au joint horizontal une épaisseur égale à la hauteur de la par- tie centrale des dès-goujons ;
ils suportcnt en outre les.bloc pendant le durcissement du mortier. Pour autant que la première assise, de blocs soit correctement posée de niveau et d'aligne- ment, les blocs des assises supérieures s'alignent automatique-
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ment sur ecliceci et se placent de niveau.
L'excédent de sortie étendu sur la face supérieure du bloc flue vers les faces exté- rieure et in téricurc et est raclé et parachève immédiat ement après l'a pose. 8e mortier de liaison est de même composition que la couche de béton a. sertissant les éléments de revêtement et peut donc c'tre jointoyé sur le champ, tandis que du côté in- térieur il est dissimulé sous une bande de toile imprégnée de plâtre liquide collée immédiatement sur le -joint.
La liaison latérale des différents pans de mur est assurée par des colonnes en béton armé que l'on coule dans le: rainures verticales en forme de huit. Préalablement la coulée
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on aplacé dans les oves du huit, une armature h munie d'étriers i qui relie les étages aux fondations.
Le béton de remplissage de granulonétric appropriée est coulé assez fluide dans les rai nurcs verticales pour remplir non seulement la colonne, mais également le joint vertical entre deux blocs par un ligcr dana- gc du mortier d'enrobage. Le remplissage et le damage des colon- nes se font par. hauteur de'bloc, de cette façon, les colonnes
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jouent leur rôle d'élément porteur -au fur et à mesure que la construction s'élève.
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Pour faire la liaison d'un mur fc façade avec un mur pignon, les rinurcs c;Jlindr iqucs peuvent se trouver sur la face intérieure du bloc vers une de ses extrémités en J¯ pour les murs d',?,n,le C ou en un endroit quelconque s'il s'agit de la liaison avec un mur de refend 'D' (fig 2) Des éléments spéciaux tels que 3 et F dérivés des élé
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racnlis nor!]é'!.UX A , B ou Ç peuvent être obtenus dons le 1:
1ênc noulc, en ménageant dans celui-ci, des bottées , iouCos etc
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uand le parement extérieur est à inbriqucncnt,(fig 3) des vides sont laissés certains endroits n-dos arêtes latérales pour permettre l'adjonction ultérieure des briques ou plaquet- tes nécessaires pour rompre la continuité des joints verticaux.
La fig 6 donne une perspective -schématique l'une pièce à. pans de mur forces de divers types de blocs ,B,C,D et F.
A hauteur d'étage, les blocs de maçonnerie sont pourvus du
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côté intérieur d'une jauée p¯ de largeur appropriée et d'une hauteur égale à l'épaisseur du hourdis qu'elle doit recevoir (fig 5 détail J) : seuls les murs de refend dont les faces sont toutes deux intérieures, ne sont pas nunis de cette jouée.
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La gorge forcée par cette jouée entre le hourdis et la paroi ex téricurc des blocs sert à recevoir une ceinture en béton 'e,rn6 reliant les hourdis aux colonnes et au pans de murs fig 7)
Les hourdis sont constitués par des grilles en béton pré
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contraint à mailles carrées ou rectangulaires (fig 5) fornées par un réseau orthogonal de poutres G à section rectangulaire ou autre et percées de trous à intervalles réguliers et d'un cadre extérieur G' également en béton précontraint formant pou
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très de rive qui sc pèsent dircetenont sur le bord intérieur des pans de nues. De cette façon, les hourdis ne nécessitent aucun support provisoire et en plus le cadre -extérieur du hour dis forne coffrage pour la ceinture en béton ar,716. ( fig 6 de- tails J et f'.) .
Les grilles d'une sculc pièce ou en éléncnts assembles par précontrainte, supportent dcs panneaux en granité Hr ou de carrelage H ou de parquetage H (fig 6) exécutés sur dalle en béton armé et posés par engin de levage à ventouses, sur des joints t en natière isolante d'épaisseur uniforme.
Le plafond des hourdis est réalisé de par des panneaux lé
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gers en natière appropriée I ( plâtre , cellulose cO=Tpri:16e, ou autre); ces panneaux sont nunis sur leur face supérieure de crochets ou agrafes v en lancllcs élastiques ( acier ou laiton]
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permettant de les accrocher aux trous d3 évidcncnt des poutres en béton de la grille.
Ils peuvent également être cloués ou vis ses sur des blochcts ou lambourdes serties à la face inférieure des poutres et les joints. sont cachés par des convre-joints w
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L'armature des poutres dépasse le cairn extérieur G' d(unc longueur suffisante pour la recourber sur l'8r8turc que l'on placera dans la ceinture figurée en 6 et 7 de façon à repartir
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les charges dues au hourdis sur la ceinture cllc-ncnc et sur les colonnes en béton. L'ensemble for:-1G: ainsi .une charpente en- robée rigide.
La toiture clle-ncne peut être rendue solide ire de la charpente si les versants sont cux-mcncs fornés de grille : rectangulaires L (fig 6) prenant appui, d'une part sur la cein- ture supérieure J'et d'autre part sur un sommer ou sur un mur de refend non figuré en 6 ; le sommier ou poutre faitière peut être' réalise par coulée de béton entre le V formé par les pou- tres de rive des panneaux de grille formant versants. Ces gril- les de toiture sont forcées de chevrons et d'entretoises en béton d'une pièce ou en éléments asscnblés avant montage. Leur forme et dimensions dépendent du genre de toiture et des maté- riaux de couverture désirés.
En cas de toiture en platefornc, l'exécution de- la terrasc se fait corne pour les hourdis d'éta- ge sauf.que les panneaux en dalles de béton sont placés à joints hydrofugesct asphaltés par la suite.
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Cette description forçaient cxcnpiativc du procédé nc se limite pas à l'exécution de maçonnerie extérieure, nais elle s'applique également à la confection de naçonncric in térieürc décorative, manteaux de cheninéc, escaliers, linteaux etc. Elle nontrc uniquement le principe essentiel de la néthode, qui resi- de dans la fabrication et le montage de blocs de naçonnerie et de panneaux de carrelage ayant roçu au préalable leur revêtement extérieur et mis en place par un dispositif automatique. La fi- nition consiste uniquement à obturer les joints intérieurs par
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des bandes de toile plâtrée et à jointoyer extérieurcncnt les joints des blocs.
Certains joints peuvent d'ailleurs être dissi-
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mulés par 1 ibriquc:cnt ultérieur d'éléments de décoration cx- térieure. Le Mode de fabrication des blocs peut être quelconque, toutefois il comporte un dispositif spécial pour la réalisation des joints, creux, (fig 4)
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- -"'>v \. , 1-,--'- J..L,-ü-,-,L ¯l.TICiT DlS JOITS CREUX $ fig4)
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Dans la fabrication des blocs de maçonnerie appareillée, il est fait usage d'un tapis en ccoutchouc souple portant sur une de ses faces, des arêtes ou réglettes également en caoutchouc moulées d'une pièce avec le tapis.
Ces réglettes en saillie sont disposées en bandes ou en quadrillage, suivant la forme et la disposition des éléments de revêtement ( briques ou plaquet- tes ). Elles ont une section en T dont la hauteur dépend de la profondeur à donner au joint et dont la largeur est telle que les briques ou plaquettes enfoncées dans les creux du tapis laisses par les réglettes, se placent automatiquement à la lar geur désirée pour le joint.
L'élasticité du caoutchouc maintien les éléments en place pendant la confection du bloc, grâce aux ailes du T qui se replient le long de l'âne ou partie centrale de la nervure on T
Lorsque le revêtement en briques ou plaquettes est ain si posé sur le tapis dans le fond du moule, on remplit le mou le des diverses couches de béton nécessaires et on, le vibre.
On démoule quelque temps après en laissant le bloc sur le tapis en caoutchouc. Quand le béton est suffisamment durci, on retour ne le bloc et on retire le tapis par siècle traction sur un cô- té les nervures s'extrayent asément des joints en laissant à ceux-ci une section concave se raccordant parfaitement aux faces, latérales des briques ou plaquettes, tant sur les petits côtés que sur les grands.
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La particularité de ce dispositif est qu'il permet de réaliser des joints creux réguliers en largeur et en profondeur sur des parements de n'importe quelle courbure et de maintenir les éléments en place pendant la vibration et la finition du ble
REVENDICATIONS GENBRALES
Les points particuliers faisantl'objet des revendica tions du présent brevet, sont les suivants :
1 Procédé d'édification de travaux en maçonnerie pré fabriquée caractérisé par le mode de fabrication décrit ci-dcssu et la mise en oeuvre , de blocs de maçonnerie ayant reçu au pré lable leur revêtement tant intérieur qu'extérieur, y compris le jointoyagc éventuel.
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2 ).Procéda permettant la mise en place rapide et précise des différents blocs au moyen de dés-goujons- en béton loges dans des alvéoles prévues sur les faces supérieure et inférieu re des blocs. Les rainures cylindriques verticales à chaque . extrémité du bloc, permettent de saisir, celui-cipar des engins de levage appropries, sans endommager les prêtes ni les faces et de l'amener en bonne position à l'endroit voulu; la mise en place se faisant ainsi sans intervention de nain-d'oeuvre spé ciale.
Les rainures verticales servent en outre au coffrage des colonnes en béton qui s'édifient en même temps que la ma çonnerie Dans l'application de ce procédé; fl est fait usage de blocs semblables à ceux figurés en 1 3 ,4 et 6 , ces dessins n'étant pas limitatifs.
3 Procédé d'édification de hourdis en téton précontrai nt à réseau de poutres supportant des panneaux de carrelage préfabriqués ¯et système de pose sur matériau d'isolation d'é paisseur uniforme , avec des plaques de plafonnage par accroches à ressort ou par couvre-joints adéquats.
4 Procédé d'exécution de charpente de toiture par grilles en béton précontraint formant versant, avec possibili- té de fixation de sous-toiture .identique au système de plafon nage et entretoises en béton permettant la pose des éléments de couverture.
Pour ces hourdis et charpentes, il est fait usage de ' grilles en béton représentées aux fig 5, 6 et 7' pouvant subir quelques va riantes.
L'application de ces procédés est réservée pour tous genres de constructions .