BE478744A - - Google Patents

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BE478744A
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    • HELECTRICITY
    • H05ELECTRIC TECHNIQUES NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • H05BELECTRIC HEATING; ELECTRIC LIGHT SOURCES NOT OTHERWISE PROVIDED FOR; CIRCUIT ARRANGEMENTS FOR ELECTRIC LIGHT SOURCES, IN GENERAL
    • H05B41/00Circuit arrangements or apparatus for igniting or operating discharge lamps
    • H05B41/02Details
    • H05B41/04Starting switches
    • H05B41/06Starting switches thermal only

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  • Control Of Resistance Heating (AREA)

Description


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  Dispositif de réglage de l'amorçage d'appareils à   décnarge   électrique 
L'invention concerne le réglage d'appareils à dé- charge électrique et en particulier l'amorçage de ces appareils. l'invention est particulièrement intéressante pour les tubes fluorescents ainsi que pour les lampes travaillant à colonne positive. On la décrira ci-après avec référence à des lampes de ce genre munies de dispositifs d'amorçage usuels tels que décrits dans les brevets américains Nos:   1.951.112   et   2.212.42?,   
Les lampes fluorescentes tubulaires usuelles compor- tent des circuits d'amorçage qui se   ferment   et s'ouvrent pour provoquer l'amorçage. Parfois, ces fermetures et coupures succes- sives doivent se répéter à plusieurs reprises avant que la déchar- ge ne se produise effectivement.

   A cet effet, on prévoit générale- ment des moyens automatiques qui ferment et ouvrent le circuit d'amorçage jusqu'au moment où. la lampe s'allume. 

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   Par suite de 1?usure ou par suite de chocs, les lampes fluorescentes et autres dispositifs à décharge analogues per- dent souvent ou finalement leur aptitude d'amorcer et de fonc- tionner normalement, de sorte que le seul effet des tentatives automatiques d'allumage d'une telle lampe est de provoquer un papillottement continuel; ce papillottement est particulière- ment gênant pour l'observateur qui se trouve dans le voisinage de la lampe et, de plus, il provoque l'usure du dispositif d'a-   morçage..   En général, cette incapacité d'amorçage est due à une chute de l'émission électronique de l'une ou des deux électrodes de la lampe provoquée par l'évaporation ou une autre perte de matière activente.

   Le papillottement gênant d'une telle lampe se poursuit   Jusqu'au   moment où   l'on   coupe le courant   d'alimen-   tation ou où l'on   enlève   la lampe. 



   L'invention permet d'éviter le papillottement indé-   sirable   de lampes défectueuses sans entraver la répétition des tentatives d'amorçage de la lampe   aus,,i   longtemps que suosiste une certaine chance de succès. Ce résultat s'obtient   en mainte-   nant ouvert le circuit   d'amorçage   ou en mettant hors   service   l'amorceur après que des répétitions de   l'amorceur   n'ont pas été à même de provoquer la   décharge*     L'amorceur   est donc, en quelque sorte, mis hors circuit. Dans la suite de l'exposé, cette mise hors circuit est décrite et expliquée pour l'amorceur qui fait l'objet du brevet   américain ?   2.372.148.

   L'invention est cependant applicable aussi aux autres types d'amorceurs et même   à   un interrupteur   à   effluve usuel. 



   La description du dessin annexé, donné, à titre d'exemple non limitatif, fera bien comprendre comment l'invention peut être réalisée, les particularités qui ressortent tant du texte que du dessin faisant, bien entendu, partie de l'invention. 

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   La fige l est une vue schématique d'un tube fluores- cent auquel est appliquée l'invention. 



   La fig. 2 est une vue en perspective d'une forme d'e- xécution de l'interrupteur   d'amorçage.   



   La fige 3 est une vue partielle correspondant à la partie supérieure de la tige 2, mais sur laquelle certains organes occupent d'autres positions. 



   La fige 4 est une vue identique à celle de la fige 2 ; elle illustre l'invention dans le cas d'utilisation d'un inter- rupteur à effluve. 



   Les figs. 5 et 6 sont des vues analogues à cellesde la .fige 2, pour d'autres formes d'exécution de l'invention. 



   La fige l montre une lampe tubulaire fluorescente usuelle L à colonne positive, dans laquelle une enveloppe tubu- laire 10 comporte, à chacune de ses extrémités, une cathode à incandescence activée   Il-Il.   Ces cathodes peuvent être constituées par un fil spiralé simple, elles sont branchées sur une source P par l'intermédiaire de stabilisateurs usuels 14 qui font en même temps office de self-inductions d'amorçage. Un interrupteur 15 ferme et ouvre le contact. L'enveloppe 10 peut contenir une atmosphère de gaz d'amorçage sous faible pression, par exemple de l'argon à une pression de 2 à 5   mm   de mercure, ainsi qu'une substance vaporisable et ionisable, par exemple du mercure. 



  La quantité de mercure est plus grande que celle qui se vapo- rise pendant le fonctionnement de la lampe L et est indiquée par une gouttelette 17 dans l'enveloppe 10. Cette enveloppe est recouverte intérieurement d'une couche de matière fluo- rescente ou de phosphore 18. Un circuit H pour   l'amorçage   et le chauffage des électrodes est branché sur le secteur P par l'intermédiaire des fils cathodiques   11-11.   Ce circuit   compor-   

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 te un interrupteur   d'amorçage 9   qui peut être du type thermique. 



  Un condensateur   19,   de capacité suffisante (par exemple 0,007 microfarad), peut être monté en parallèle avec l'interrupteur pour éviter les perturbations radiophoniques ainsi que la for- mation   d'arc   lorsque l'interrupteur   d'amorçage 0   ouvre   le   circuit H. 



   En grande traita, le fonctionnement de ce dispositif, lors de l'amorçage de la lampe L, est le suivant: lorsque l'interrupteur 15 se ferme, l'interrupteur d'amorçage S permet le passage de courant dans le circuit H ainsi que dans les fils cathodiques 11-11, montés en série avec ce circuit, et ce passage s'effectue pendant un temps suffisam- ment long pour porter les cathodes à la température d'émis- sion. Ensuite le circuit H est   brusquement     interrompu;   la pointe de tension qui en résulte entre les cathodes   11-11   est, en général, suffisante pour provoquer l'allumage de la   lampe   
Comme le montrent les figs. 1 et 2, l'interrupteur S est du type thermique; il comporte les organes 21 et 22 qui peuvent fermer ou ouvrir le circuit d'amorçage H.

   Les parties 21 et 22 peuvent être constituées par de   minces   lames   bi-métalliques   droites qui sont conjuguées comme élé- Ment$ sensibles   à   la température et en même temps comme or- gane de contact permettant le passage de courant. Les pièces de contact   23,   par exemple en fil d'argent,sont soudées aux extrémités libres supérieures des organes 21 et 22, et sont perpendiculaires entre elles. Les parties 21 et22 sont pliées à proximité de leurs extrémités encastrées, de pré- férence en forme de demi-cercle, et les extrémités pliées 24 

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 sont dirigées toutes deux vers la droite sur la fig. 2.

   A proximité des organes thermiques 21, 22 et à peu près   concen-     triquement   à leurs parties incurvées 24, 24 se trouvent des réchauffeurs à résistance 25, 26 pour chauffer les parties précitées. Les connexions de ces réchauffeurs seront décrites par la suite ; pour le moment, il suffit de dire que le ré- chauffeur 25 de l'organe 21 se trouve en parallèle avec les organes 21, 22, de sorte que ce réchauffeur réagit essentielle- ment sur la tension entre les électrodes du tube L, tandis que le réchauffeur 26 de l'organe 22 se trouve en série avec les parties 21, 22 et réagit donc sur le courant dans le circuit d'amorçage H. Pendant le chauffage, les organes thermiques 21, 22 s'infléchissent dans le même sens (vers la droite sur la fig.2). 



  A sa partie inférieure, l'interrupteur d'amorçage s porte un disque isolant 30 ainsi qu'un châssis vertical, isolant 31 qui ressemble quelque peu à un E sans bras central. sous le disque 30 sont représentées des douilles de contact 32 auxquelles sont reliés les fils du circuit H. Les parties amincies de ces douilles sont fixées dans le disque 30 et dépassent, par des pièces de rallonge, la partie inférieure du châssis 31 où elles s'appuient, par des flasques, en 33 et fixent ce châssis au disque. Un couvercle ou boîtier en tôle 34, revêtu d'isolant, entoure tout l'appareil à partir du pied 30* Les extrémités inférieures des'organes 21 et 22 sont encastrées dans des faces opposées de la partie inférieure du   châssis   31 par le fait qu'elles sont soudées à des broches 35 dont les tiges sont fixées dans ce châssis.

   Le réchauffeur 25, de préférence à résistance électrique élevée, est relié, à l'une de ses extré- mités, par l'intermédiaire d'un fil 36,   à   l'une des douilles de contact 32, tandis que l'autre extrémité est reliée par l'in-   termédiaire     d'un   fil 37, à la broche 35 qui porte l'organe 21 

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 et, par d'autres moyens, qui seront décrits par la suite, aussi à l'autre douille de contact 32.

   Une extrémité du réchauffeur 26 est reliée, par un fil 38, à la même douille 32,   à   laquelle est relié aussi le fil 36 du réchauffeur 25, tandis que son autre extrémité est reliée, par un fil   39, à   la broche 36 qui porte l'organe 22 et donc, par l'interrupteur   d'amorçage   S (dans la position fermée) à l'autre douille de contact 32. 



  Le réchauffeur 25 qui, l'interrupteur d'amorçage S étant ou- vert, reçoit du courant par l'intermédiaire du stabilisateur 14, a de préférence, une résistance électrique très élevée, par exemple 100.000 ohms, pour éviter une baisse importante de la tension disponible pour l'amorçage de la décharge, Il peut aussi être avantageux de choisir pour la résistance de chauffage un matériau à coefficient de   température   négatif, ce qui assure un chauffage plus rapide et une plus prompte fermeture ae l'in-   terrupteur   d'amorçage S. Cependant, l'interrupteur d'amorçage S ne doit pas se fermer sous la tension de fonctionnement normale de la lampe.

   Le réchauffeur 26 par lequel le courant de préchauffage des cathodes traverse le circuit d'amorçage H lorsque l'interrupteur d'amorçage S est fermé a, de préférence, uns faible résistance électrique, par exemple 3 ohms, pour réduire au minimum l'énergie y   dissipée,   on peut prendre'toutes dispositions utiles pour que le réchauffeur 26 ne chauffe que très lentement l'élément thermique 22 et pour que le refroidisse- ment de cet élément soit assez lent% Ce réchauffeur peut être enfermé par exemple dans une douille 40 en verre nonex pour lui assurer une grande capacité thermique. Par contre, on peut réduire le temps de chauffage et de refroidissement du réchauf- , feur 25 par exemple en noircissant celui-ci pour diminuer sa capacité calorifique. 

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   Lorsque'l'interrupteur 15 se ferme, la tension de secteur est appliquée aux circuits P, H et au réchauffeur 25 et l'élément thermique 21 chauffe. cet élément s'infléchit alors vers la droite et touche, en 23, la lame 22 de sorte que l'in- terrupteur d'amorçage S se ferme et que le cirait H et le réchauffeur 26 sont traversés par du courant. Par contre, la fermeture de l'interrupteur d'amorçage s   court-circuite   le réchauffeur 25 qui se refroidit donc tout comme l'élément thermique 21.

   Le courant dans les fils cathodiques 11 et dans le   réohauffeur   26 chauffe les cathodes et l'élément thermique 22 qui s'infléchit vers la droite et qui s'écarte de l'organe 21; le circuit H   s'ouvre,   Cette ouverture se produit brusque- ment, ce qui provoque une forte pointe de tension qui, en général, suffit pour provoquer l'amorçage de la lampe L, du moins lorsque cette dernière est en bon état. Lorsque   l'inter-   rupteur S s'ouvre de cette manière, le courant dans le   réchauf-   feur 26 et dans   l1 élément   thermique 22 est coupée Cet élément thermique se refroidit et revient vers la gauche.

   La décharge dans la lampe L court-circuite suffisamment le réchauffeur 25 (par suite de sa résistance élevée), pour éviter que celui-ci ferme de nouveau l'interrupteur d'amorçage S. Lorsque ce cycle ne suffit pas pour provoquer l'amorçage de la lampe L, il peut être répété une ou plusieurs fois. 



   L'appareil décrit jusqu'à présent et son fonctionne- ment ne font pas partie de la présente invention. 



     ,Le   dispositif conforme à l'invention, comporte un dispositif de contrôle qui fait en sorte qu'après un nombre admissible de tentatives infructueuses de l'amorceur S pour provoquer la décharge principale, le circuit H soit amené dans 

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 un état tel que le papillottement de   la   lampe L cesse, par le fait que l'interrupteur d'amorçage S est mis hors circuit.

     A   cet effet, on peut utiliser un dispositif de contrôle automa- tique dont la période (déterminée par la construction et le réglage) est suffisamment longue poux permettre un nombre admissible de tentatives de l'interrupteur d'amorçage S, par exemple une période d'environ 1 minute ce qui, dans des con-   ditions   de tension avantageuses, peut correspondre à 5-10 tentatives Le fonctionnement de ce contrôle automatique ne doit cependant pas être une question arbitraire de réglage fixe maie peut être rendu dépendant du nombre réel de ten- tatives de l'amorceur S pour provoquer l'amorçage. 



   Les fige* l et 2 montrent un dispositif simple, utili- sable à cet effet, dans lequel se produit un effet cumulatif ou progressif qui intéresse l'amorceur S et en particulier ses moyens de chauffage,   comme   le circuit H doit être ouvert et être maintenu ouvert,   11   faut de l'énergie d'une autre source que ce circuit même.

   Au lieu d'utiliser un relaie bran- ché sur le secteur P, on   utilise,   suivant l'invention, un mo- teur mécanique ou une source   d'énergie   indépendante. par exem- ple un ressort qui entre en fonctionnement pendant l'amorçage sous l'influence de la variation de courante 
A cet effet, on utilise sur la   fige 2   un interrupteur automatique X qui se trouve en   série   avec l'amorceur auto- matique S et dont les éléments d'interruption sont constitués par une mince lame   bi-métallique   verticale 41 et une lattas élas- tique analogue 42.

   De   préférence,   ces organes 41 et 42 se   dépla-   cent dans des plans perpendiculaires entre eux mais tous deux      parallèles à l'axe du bottier 31.   L'extrémité   inférieure de 

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 l'organe 41 est soudée à la même broche 35 que l'organe 21, tandis que l'extrémité inférieure de l'organe 42 est ancrée au fond du châssis 31 (et donc au disque 30) par le fait qui elle est fixée à la tête 33 de la tige de l'une des douilles de contact 32. De cette manière, l'extrémité inférieure de l'or- gane 41 se trouve près du réchauffeur 25 et de l'organe 21, de sorte qu'elle est chauffée par rayonnement, par convexion, et par conduction. Lorsqu'il est chauffé, cet élément 41 s'écarte vers la gauche des organes 21 et 42.

   Pour freiner le. fonctionne- ment de l'interrupteur X comparativement à celui de l'interrup- teur d'amorçage S, l'organe 41 est entouré d'une enveloppe calorifuge 43, en amiante, qui retarde la transmission de la chaleur et qui assure   à   cet organe une plus grande capacité calorifique. Les extrémités libres supérieures des éléments 41 et 42 font office d'organes de contact conjugués et tra- vaillent d'une manière qui sera décrite par la suite. A cet effet, l'élément thermique 41 comporte une palette, constituée par un fil, à laquelle est Boudé un contact 44.

   Le fil 44 s'é- tend obliquement vers la droite sur la fig. 2, est alors replié en 45 et replié de nouveau vers la droite en 46, ce qui fournit un angle avec un épaulement qui appuie contre la face intérieure du ressort 42 lorsque celui-ci est replié vers la droite, de la manière représentée sur la fige 2 et que l'élément thermique 41 est froid de sorte que l'organe 42 est maintenu tendu jusqu'au moment où, par suite de l'inflexion du corps 41 sous l'effet du chauffage, il est libéré. 



   Lorsque l'interrupteur X est amené ainsi dans la position fermée, il ferme le circuit d'une des douilles de contact 32 d'un côté du circuit d'amorçage H par le réchauf- 

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 feur 25 vers   l'autre   douille de contact 32 de l'autre côté du circuit H, indépendamment de l'interrupteur d'amorçage S. 



   Lorsque l'interrupteur X s'ouvre, ce circuit est interrompu, de sorte que le réchauffeur 25 et les éléments thermiques 21 et 
41 peuvent se refroidir. L'organeélastique 42 est libéré, lors- que l'organe 41 chauffe, il dépasse et s'écarte du fil 44 sous l'effet du déplacement vers la   gauche,   sur la fig. 2, de l'organe 
41. Pour ramener l'interrupteur X dans la position   fermée,   on utilise un bouton-poussoir 50 qui peut glisser dans une ouverture ménagée dansla partie supérieure du châssis 31 et dont l'extré- mité inférieure appuie contre le ressort 42. Un étrier 51, pré-   vu à   l'extrémité intérieure du poussoir 50, saisit l'extrémité supérieure du ressort.

   Le poussoir 50 traverse une ouverture mé- nagée dans la paroi latérale du boîtier 34 et le montant dont ce poussoir dépasse cette paroi indique la position de l'interrup- teur X, c'est-à-dire qu'il indique si celui-ci est fermé,   comme   c'est le cas sur la   fige     2,   ou bien s'il est ouvert, comme   c'est   le cas sur la fig. 3.

   Lorsqu'on enfonce à la main le poussoir 50 après l'ouverture de l'interrupteur X, le bord de la lame 42 vient en contact avec la partie biseautée du fil 44 et repousse l'é-   lément   thermique élastique 41 vers la gauche (fige   3)     Jusqu'au   moment où cette lame pénètre au delà de l'angle d'engrènement 
45 dans l'angle rentrant 46 et ramène vers   J'avant     l'élément   thermique 41. De cette manière, l'interrupteur X est de nouveau fermé et verrouillé et le ressort 42 est ramené dans la position où il est maintenu par l'élément   thermique     41   et son cliquet, de sorte que le circuit d'amorçage est replacé sous le contrôle de   l'interrupteur   d'amorçage S.

   Pendant le réarmement de l'interrup-   teur   X, ainsi qu'à d'autres moment la partie supérieure de la pièce de contact 42 est protégée contre le glissement latéral par l'étrier 51 du poussoir 50 qui glisse dans son ouverture mé- 

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 nagée dans le châssis 31. 



   L'élément thermique 41 est réglé de préférence de manière qu'il appuie élastiquement contre le bord de la lame 42 lorsque,l'interrupteur est fermé de la manière montrée sur la fig. 2, en d'autres termes on donne à l'élément thermique 41 une certaine tension préalable. Lorsque cet élément ther- mique est chauffé par le réchauffeur 25, cette tension pré- alable est absorbée avant le fonctionnement de l'élément thermique. Ensuite l'élément thermique 41 se déplace légère- ment vers la gauche   (fig.   2) jusqu'au moment où le bord du ressort 42 glisse sur la partie inclinée 45 et l'élément thermique 41 est repoussé jusqu'au moment où la lame 42 glisse rapidement le long de cet élément thermique.

   Cet état de cho- ses est favorable pour le fonctionnement lent désiré de l'in- terrupteur X et permet de modifier la vitesse de fonctionne- ment de cet interrupteur en réglant la tension   préal able   de l'élément thermique 41. 



   Comme le montrent les figs. 1, 2 et 3, le condensateur 19 peut être monté sur la face postérieure du châssis 31 ; les fils d'alimentation 56 traversent alors le châssis vers les têtes 33 des douilles de contact 32 et sont soudés à ces tètes. De cette manière, le condensateur 19 shunte, par l'in-   termédiaire   du circuit H, l'amorceur S et l'interrupteur X et empêche ainsi non seulement les perturbations radiophoniques mais aussi la formation d'arcs aux contacts, Dans le cas d'une lampe en bon état,   l'amorçage   se produit sous l'effet de l'in- terrupteur d'amorçage S de la manière décrite ci-dessus sans que l'interrupteur X intervienne, en d'autres termes, un ou plusieurs cycles de l'interrupteur d'amorçage S et de ses éléments thermiques 21 et 22 provoquent l'amorçage de la lampe ..

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 L et, après cet amorçage, les réchauffeurs   25   et 26 se re-   froidissent   et le circuit d'amorçage H reste ouvert. S'il faut des tentatives répétées de l'amorceur S pour provoquer le fonctionnement de la lampe, l'élément thermique 41 peut chauffer notablement sans s'infléchir suffisamment pour li-   bérer   la lame 42 et sans perdre même sa tension préalable propre, et lorsque l'élément thermique 21 se refroidit après   11 amorçage   de la lampe, l'élément thermique 41 se refroidit aussi. 



   Cependant, dans le cas d'une lampe défectueuse, ou dans le cas d'une lampe dont l'activant a baissé d'un montant tel que la lampe ne compte plus que quelques heures de fonction- nement, et qu'elle s'amorce donc difficilement, les tentatives d'amorçage répétées de l'amorceur S entraînent une accumulation de chaleur dans le réchauffeur 25 et dans les éléments ther- miques 21 et  41   de sorte que l'élément 41 s'incurve finalement vers la gauche d'un montant tel que le ressort 42 est libéré, ce ressort se détend vers la gauche et interromptle circuit d'amorçage H en   46,   tout en poussant le bouton-poussoir 50 vers   l'extérieur)   ce qui fournit une indication visible du fait que la lampe est mauvaise ou anormale.

   Si ce fait se pro- duit pendant que   l'amorceur   S est fermé, c'est-à-dire pendant que le réchauffeur 25 est   court-circuité,   la forte pointe de tension, qui se produit   à   l'ouverture de l'interrupteur X, peut provoquer l'amorçage d'une lampe L, très difficile   à   amorcer et celle-ci peut donc s'utiliser jusqu'à la fin de sa durée de vie. 



   Comme le condensateur shunte tant   l'interrupteur   X que l'amorceur S, il empêche la   formation   d'arc et les pertur- bations radiophoniques dans l'interrupteur X tout comme dans le cas du fonctionnement normal de l'amorceur s. 

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   Lorsque, pour ce fonctionnement de l'interrupteur X, la lampe L refuse de s'allumer ou de fonctionner, l'extinction de la lampe et la position du poussoir 50 montrentque le rem- placement est indispensable. Lorsque la lampe est remplacée, on enfonce le poussoir 50 jusqu'au-moment où l'interrupteur x occupe de nouveau la position représentée sur la   tige   2, posi- tion dans laquelle l'amorceur S peut, de nouveau, amorcer la nouvelle lampe de la manière usuelle. 



   A l'usage de ceux qui désirent appliquer l'invention, voici quelques particularités de l'amorceur représenté sur les figs. 2 et 3, approprié à des lampes luminescentes de 30 à 
40 watts du type usuel à colonne positive. 



   Les organes thermiques 21, 22 peuvent être constitués par des lames en   bi-métal,   connu dans le commerce sous le nom de   "Bi-métal   chace 2400"; ce sont des lamelles d'invar (un alliage de   64   de fer et de   36 % de   nickel) et des   la-     ' melles   de   ferro-nickel   (un alliage de 75   % de   fer, 22 % de nickel et 3 % de chrome) soudées en couches de même épaisseur. 



   Chacune des lamelles 21, 22 peut avoir une épaisseur de 0,1 mm, une largeur de 3 mm et une longueur, l'une de 17,5 mm, et l'autre de 19,5 mm avant d'être pliées, tandis que la longueur des extrémités par lesquelles elles sont soudées aux broches 
35, peuvent être de 3 mm et de 5 mm tandis que la distance horizontale entre ces parties est d'environ 5   rame   Les dia- mètres des parties 24, pliées en demi-cercle, peuvent être d'environ 2 mm. Les contacts 23 peuvent être en fil d'argent de 1 mm d'épaisseur et à l'état froid l'espace compris entre ces contacts peut être d'environ 1 mm.

   Le réchauffeur 26 peut consister en un fil spiralé comportant environ 10 spires de fil résistant d'environ 0,1 mm d'épaisseur, connu dans le 

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 commerce sous le nom de   "Nicnrome     vu],   enroulé sur un mandrin de 1 mm de diamètre et comportant des extrémités d'environ 3 mm; la résistance totale de ce réchauffeur est d'environ 4 ohms. La gaine 36 peut être un tube de 5 mm de longueur en verre nonex N    15.   Le   nichrome   précité est un alliage de 75 % de nickel, 12 % de fer, 11 % de   cnrome   et 2 % de manganèse. 



  Le réchauffeur 25 peut être une tige massive en matériau à for- te résistivité de 1,5 mm de diamètre et de l cm de longueur dont la   résistance,   mesurée sous une tension continue de   100   volts, est de 100.000 ohms et dont le coefficient de température est négatif tout comme celui du matériau connu dans le commerce sous le nom de "Globar BNR".   L'élément   thermique 41 peut être une lame de   bi-métal   Chace précité d'une épaisseur de 0,1 mm, d'une largeur de 3 mm et d'une longueur de 23 mm tandis que l'élément de contact élastique 42   peut   être une lame de bronze phosphoreux de 0,1 mm d'épaisseur,de 1,8 mm de largeur etde 27 mm de longueur. 



   L'appareil représenté sur la fige 4 diffère de celui montré sur les figs. 1 et 2 essentiellement en ce que l'in- terrupteur constitué par les deux lames en   bi-métal   est rem- placé par un autre interrupteur, à savoir un interrupteur à effluves   W   d'un type   connu.   En outre, l'appareil comporte un réchauffeur spécial pour le chauffage de l'élément ther- mique 41, réchauffeur qui est monté en série avec l'ionterppteur à lueur W et avec l'interrupteur X et qui est constitué par un mince fil enroulé sur la gaine isolante 43,  à   proximité de l'ancrage 35 sur l'organe 41.

   L'un des fils d'alimentation 61 de l'interrupteur   à   lueur est relié directement au fil   36   et   @   donc   à   l'une des douilles de contact 32 tandis que   l'autre   fil 

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 d'alimentation 62 est relié à l'autre douille de contact 32 par l'intermédiaire du réchauffeur 60 avec l'élément 41 et son rochet 44a et de l'organe élastique 42. La pièce 44a diffère de la pièce 44 des fige. 2 et 3 par le fait qu'elle est prise dans une tôle par exemple de nickel, et qu'elle est soudée à l'extrémité supérieure de l'organe 41 au lieu d'être en fil plié. Le fonctionnement et les particularités sont ce- pendant inchangés. 



   Sauf ces différences,   l'appareil   représenté sur la fige 4, est identique à celui représenté sur les fige. 2 et 3,' de sorte qu'il est superflu de la décrire en détail. 



   La fige 5 montre un appareil qui, en principe, est identique à celui représenté eux,la fige 4, mais qui est notablement plus simple que ce dernier. Le châssis 31 montré sur les figs. 2 à 4, est supprimé, et l'élément thermique 41b est monté directement sur le disque 30 à l'aide d'un boulon 63 qui traverse le pied plié 64. Le rochet 44b est constitué par l'extrémité supérieure repliée de la lame 41b qui est biseautée en concordance avec les parties inclinées des cli- quets 44 et 44a. L'organe élastique 42b est un fil de bronze phosphreux dont l'une des extrémités est encastrée directement dans la douille 32 et dont l'autre extrémité porte une poignée isolée 66 qui dépasse à l'extérieur, et qui peut se déplacer latéralement dans une rainure 67 ménagée dans la paroi supé- rieure du boîtier 34. 



   La position ouverte ou la position fermée de l'inter- rupteur x est montrée par la position qu'occupe la poignée 66 à l'une ou à l'autre extrémité de la rainure 67. Lorsque l'élément thermique 41b et le cliquet 44b se déplacent vers   @   

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 l'arrière et lâchent le ressort 42, cet organe et l'organe 66 sautent vers l'extrémité de droite de la rainure 6? qui limite le mouvement de la poignée 66. Ensuite, le cliquet 44b et l'interrupteur X peuvent être amenés dans leur posi- tion initiale en poussant la poignée 66 dans la rainure 67 vers la gauche jusqu'au moment où   le   cliquet 44b vient de nouveau en contact avec la pièce 42b de la manière représentée sur la fig. 5.

   Le condensateur 19 shunte uniquement   l'inter-   rupteur   à   lueur S et non les deux interrupteurs, sauf les différences précitées, l'appareil montré sur la fig. 5 est   identique à   celui représenté sur la fige 4, de sorte que toute autre description est superflue. 



   Voiciquelques particularités de   l'interrupteur x   représenté sur la fig. 5 et utilisable pour des lampes fluo- rescentes usuelles de 30 à 40 watts. L'élément thermique 41b peut être en   bi-métal   Chace tel que précité et peut consister en une lame de 0,75 mm d'épaisseur, de 6 mm de largeur et de 25 mm de longueur à partir du pied rivé au disque 30 Jusque l'extrémité qui porte le cliquet latéral   44b.   La gaine iso- lante 43 peut être en papier d'amiante de 0,017 mm d'épais- seur qui s'étend sur une longueur de 10 mm dans le sens lon- gitudinal du bi-métal, tandis que la, longueur enroulée autour du   bi-métal   peut être de 13 mm.

   L'enroulement chauffant 60 peut être en fil nichrome du type précité, d'un diamètre de 0,15 mm, enroulé en 5,5 spires sur la lame 41b, ce qui donne une longueur utile de 72 mm, tandis que la longueur totale, fil d'alimentation   compris,   peut être de 105 mm. 



  L'organe élastique 42b peut être en corde à piano cuivrée de 0,45 mm de diamètre et de 35 mm de longueur. 

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   La fig. 6 montre un dispositif qui présente certaines analogies avec ceux représentés sur les fige. 2 et 3 mais qui est beaucoup plus simple que ces derniers. Le châssis 31 des fige. 2 et 3 est remplacé par une plaque de fond relevée   µla;   sur l'une de ses faces, et   à   des extrémités opposées, les orga-   . nes   de contact 21 et 22 sont montés de manière que leurs extré- mités adjacentes se trouvent en vis-à-vis. L'élément thermique 
41c ressemble à l'élément 41b de la fig. 5, mais son rocnet incliné avec contact 44c, n'est pas biseauté et travaille autre- ment. Au lieu d'un organe élastique conjugué, comme sur les figs. 2 et 5, on utilise ici une tige de guidage fixe 70 qui est disposée verticalement à partir de l'une des douilles de contact 32, fixées dans le pied 30.

   Le long de la tige 70 peut glisser un contact et une tête de cliquet 71, conjuguée avec le rochet 44c. La tête 71 comporte un biseautage conique, dirigé vers le bas, au-dessus duquel se trouve un épaulement annulaire; sur cet épaulement peut appuyer le rochet 44g. La tête comporte en outre une poignée isolée et épaulée 66c qui peut se dé- placer vers l'intérieur et vers l'extérieur à travers une , ouverture 679 ménagée dans la paroi supérieure du boîtier 
34. La tige de guidage verticale 70 est entourée d'un res- sort   Hélicoïdal   75 qui ouvre l'interrupteur en poussant la tête 71 de manière que celle-ci se lève le long de la tige. 



   D'une façon normale, c'est-à-dire lorsque la lampe que commande l'amorceur S est en bon état, la tête de contact 
71 occupe la position inférieure et est maintenue dans cette position par le cliquet 44c de l'élément thermique 41c qui s'étend le long de la tige 71 et dont l'autre extrémité est encastrée dans le pied 30, en 63. La poignée 67c ne dépasse 

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Claims (1)

  1. alors que légèrement le sommet du boîtier 34, de la manière montrée sur la fig* 6. Par contre, lorsque l'élément 41c s'infléchit et s'écarte de la tête 71 par suite d'essais répétés pour amorcer une lampe en mauvais état, la tête 71 et la poignée 76c se lèvent jusqu'au moment où l'épaulement de la poignée bute contre la partie supérieure du boîtier; dans cette position, la poignée dépasse franchement.
    On peut alors fermer et verrouiller l'interrupteur X en poussant vers le bas la poignée 67c. L'inclinaison de la tête 71 repousse alorsl'élément thermique 41c jusqu'au moment où le cliquet 44c repose de nouveau sur le col de la tête 71, de sorte que l'interrupteur est de nouveau fermé et verrouillé, RESUME 1.- Dispositif pour amorcer les appareils à décharge électrique, par exemple les tubes fluorescents, dans lequel le circuit d'amorçage comporte un interrupteur thermique qui répète la fermeture et l'ouverture du circuit jusqu'au moment où. la décharge est établie,
    caractérisé par le fait qu'en série avec cet interrupteur monté dans le circuit d'amorçage se trouve un second Interrupteur thermique qui est normalement fermé et dont la période est choisie de manière qu'il n'ouvre le circuit que lorsque des interruptions répétées, provoquées par le premier interrupteur,n'ont pas donné l'effet désiré, ce dispositif pouvant présenter en outre les particularités suivantes, prises séparément ou en combinaison: a) le second interrupteur thermique est chauffé par les mêmes éléments chauffante que le premier, du moins , par un de ces éléments;
    <Desc/Clms Page number 19> b) l'élément thermique commun agit sur les deux interrup- teurs d'une manière telle que le second interrupteur ne coupe le circuit qu'après plusieurs fonctionnements ré- pétée du premier; c) le second interrupteur comporte un organe de contact élastique qui, à l'ouverture de l'interrupteur, occupe une position telle que l'interrupteur ne puisse être referme qutapres avoir amené cet organe dans sa posi- tion initiale, d) l'interrupteur étant fermé, l'organe de contact ther-. nique du second interrupteur appuie, avec une certaine tension préalable, contre l'organe de contact élastique; e) les deux interrupteurs sont shuntés par un condensateur commun.
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