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7ciua anti-pou.ssiàI'6, principaleoeenl pour le cas de. bom.bardaman:t.6; aériens.
En cas de bombardements aériens., il est recommandé-, tant aux
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personnes qui sa trouvant dans. la. zone dangereuse:, q.Ll3à calles qui. interviennent après la bombardement, pour lea premiers, sacours, de se. protéger la boucha et le naz., c' ast-à-dira les organes respi- ratoires, vis-à-vis des PGUSS3-eras étouffantes dégagées en grandes quantités, et souvent sous forte pression, lors dans destrGc1ions causeses par les bombas. on a préconisé, comme premier moyen de fortune, de s'appliquer sur la boucha et les fosses nasales un linge, ou un mouchoir imbibé d'eau.
Ce moyen n'assura évidemment
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queuue protection d1é.diocra, car il est très difficile dé. maintenir convenablement le linge de manière- à bien protéger les ouvertures das voies respiratoires ;d'autre part, il est déficiant an ce
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sans qu' il oblige Il usager renoncer à l' usaga .d= au moins une, main, requise pour maintenir le linge sur la face, da sorte que ce moyen ne convient nllteal6nt pouil les sanvetaurs et, doit, autant que possible, être évité par les personnes, qui sa trouvent dans une zone dangereu-sa, car très souvent, 1'llS.age. des de.l.J.!i. mains est absolument nécessaire, 'paI'jj'xemple. Paul- ecarter ,an obstacle- dange- reux.
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Il existe bien des masques protecteurs employés d'une manière générale en chirurgie, mais caux-ci sont d'une part relativement coûteux, et d'autre part ne conviennent pas dons le cas de projec- tions de poussières sous pression, comme c'est le cas dans la plupart des bombardements aériens ; de plus, les restrictions actuelles ne permettraient pas de trouver de la matière premiere en suffisance pour l'équipement d'un grand nombre de personnes.
La présente invention a pour objet un petit masque protecteur susceptible d'être fabriqué actuellement à bon compte et en grande masse, et qui a cet avantage d'être d'un encombrement pratiquement nul, ce masque pouvant se porter dans une pocne de veston, voire dans une poche de gilet, et se plaçant directement sans tâtonnement, ni sans devoir nouer ou accrocher desorganesquelconquesde fixation et de serrage. Ce,,, masque est destine à être employé pour maintenir étanchement et fermement, contre les ouvertures des organes respi- ratoires (bouche et nez) un linge, un mouchoir, etc.
que l'on'imprègne de préférence au. moment de l'emploi d'eau ou d'une solution adé- quate, et il se compose essentiellement de deux feuilles de carton découpées sensiblement en coeur, ces deux fouilles étant assemblées par rivets et étant de préférence recouvertes exterieurement d'une feuille de toile. La pointe du coeur est enlevée par un découpage dirigé'vers la base du coeur, pour former une entailla profonde dans laquelle s'engagera la base du nez au moment où la masque est mis en place ; à cet endroit, des deux cotés de cette entaille, l'ensemble est arme d'une patte métallique lui donnant à cet endroit plus de rigidité.
En-dessous de cette entaille, il est découpé un trou rond, destiné à recouvrir la bouche. ce trou est recouvert par une toile métallique insérée entre les deux feuilles de carton et maintenue assemblée à celles-ci par les rivets mentionnés précédemment. Tel quel, l'appareil est donc flexible sur a. peu près toute sa surface (sauf aux bords de l'entaille prévue pour le nez il peut donc s'adapter exactement à toute forme de visage, dont il recouvrira en s'y appliquant exactement, le menton, la bouche et j une partie des joues, en se serrant le long des ailes du nez.
L' appareil est maintenu en place par un lacet ou cordon, passé dans
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les rivets d'assemblage., et dont les deux bouts sont passés dans une rondelle de manière à réaliser un auto-serrage ainsi qu'il- sera expliqué plus loin. pour l'emploi, on place d'abord sur la figura un linge, mouchoir, tampon d'ouate, etc. recouvrant le menton, la bouche et les fosses nasales, puis on y superpose le ruas- que en faisant passer le lacet au-dessus des oreilles, et l'on serre ce lacs%. ou encore, le linge peut être fixé d'avance (et'amovible- ment pour son ramplacement) au masque même, qu'il suffit dès lors de mettre en place comme tout autre masque.
Au dessin annexa est représenté, un exemple, préféré de réalisa- tion d'un masque conforme- à l'invention : fig.l ast une vue de face. fig.2 est une coupe suivant la ligne II-II de la fig.l.
Ainsi qu'il a été dit, le masque affecte la forma générale d' un coeur dont-la pointe a été enlevée par un découpage déterminant l'entaille 1 qui s'étend vers la base du coeur et est destinée à recevoir la base du nez quand l'appareil est mis en place ; 2 est le trou rond pratiqué an dessous de cette entaille pour racouvrir la bouche.
La masqua 3 proprement dit est c'onstitué. de deux feuil- les de carton 4-4 (Fig.2) recouvertes extéreurement d'une, coucha de toile 5-5 ; cas quatre feuilles sont assembléss par des rivets ou oeillets 6 à 9, pour la partie inférieure, et par, des rivets 10 pour la partie supérieure, ces rivets 10 fixent en même.. temps deux pièces 11 métalliques, placées de part et. d'autre de l'entail- le 1, et destinées à donner de la rigidité à l'appareil à des@endroits alors que le restant est flexible. Le trou 2 est occupé par une fine toile métallique 12, logée entre les deux fouilles de carton et retenue en-place par les rivets 6-7.
L'appareil étant flexible sur toute sa surface à.peu. près, s' adaptera parfaitement à toute forme de visage, les bords de l'en- taille 1 s'adaptant à la base du nez et aux ailes de celui-ci, où les parties métalliques 11 assurent la rigidité voulue..
Pour le maintien de l'appareil en place, il est prévu- un sys- terne de cordon 13 à serrage automatique sans noeuds, un bout de ce cordon est passe dans les oeillets 7 et 9, et 1,'autre dans les oeil-
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lets 6 et 8. Le premier bout est passé successivement à;ns les troue.t>s ou oeillets 14-15-16 d'uns petite ronde 11 non rigide 17, tandis que l'autre bout o-t pa;2é succpscivament dans ces mêmes oeil- lets, mais dans l'ordre inverse 16-L5-14. os oeillets sont d'un dian1ètre tel que la cordon les remplisse, da sorti que, ce cordon étant passé deux fois dans chaque oeillet, on 113 puisse faire glis- ser l'un ou l'autre bout élu cordon que ,1:oyian*ia.t une traction as- sez forte.
Il en resuite un serrage 8utol,l'Oitirur;\ grâce auquel, pour la mise en place >ài 1appareil, il suffit de passer le cordon au-dessus des lobes des oreilles, et d'exercer une iorh'3 traction sur les deux bouts du cordon. ; l' '1pP8reil rast>ra p31"fnÍ"t',me:J.t en place ; pour 1 ' e nlév e /i± nt , on exerce un.a trac'c.ioL1 sur Gnscun des deux brins, à partir des oreilles, de ,u< L2yèra a faire ,¯'lisser quel- que peu les brins de cordon dans les oeillets 0':1 la piece 17, Comme il a eté dit, cet cjpûr'3il 9','ë. :awtim a úr-';':1t3.nir sur les organes externes respiratoires (m1z ot boucha) un line, un rtzouciloirs un tampon d'ouate, A,tc, sec ou imbiba, 'lue l'on posa d' abord sur la partie intr83se de la figure, puis (u' 0.:1 recouvre du masque.
Ce lirlde peut cependant foire psrtio iirctcaant du mas- que, et û8ns ce cas, il y sers maintenu, oit Hl ài>#n.u passer le cordon dans dès ouvertures prtiy'uées dans ce lir.l"ie, 20H en faisant passer ce, linge entra le m-ssque et. 18 psrtie au cordon située .en- tre les oeillets 6 e 7. on conçoit cependant <,,-ue la cordon pour- rait être élastique, ce qui permettrait de supprimer la pièce 11, Bien qu'il soit de4,tin: n ordre 9ricipal à prot:,cr las individus des dégagements de pous3ièr9è zon cas dA bombardements, il va de soi que l'appareil d3 l'inv'3ntio:l }"1ut ,:;.' 8Iilploj"r partout où. des dégagements de poussières sont 3 cr2Í::ôre, p'3r l:r-,Rpl dons cer- taines exploitations minières, dans les c*ri?iéi?esj etc.
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R 1 1 1 ..> 13 1 C A 1 T T 0 - , 1. Masque a.nti-ponssièr'3, pour le cas de bon- barda.nents aériens, caß téris4 na ce lu' il est formé de deux feuil- les de carton inince axi'éripurecient recoavortes de toile et assem- "'
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