BE411359A - - Google Patents

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BE411359A
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BE
Belgium
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strip
bandage
points
tips
band
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BE411359A
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English (en)
Inventor
Dr Coenraad A A Haighton
Original Assignee
Dr Coenraad A A Haighton
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Application filed by Dr Coenraad A A Haighton filed Critical Dr Coenraad A A Haighton
Publication of BE411359A publication Critical patent/BE411359A/fr

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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A61MEDICAL OR VETERINARY SCIENCE; HYGIENE
    • A61FFILTERS IMPLANTABLE INTO BLOOD VESSELS; PROSTHESES; DEVICES PROVIDING PATENCY TO, OR PREVENTING COLLAPSING OF, TUBULAR STRUCTURES OF THE BODY, e.g. STENTS; ORTHOPAEDIC, NURSING OR CONTRACEPTIVE DEVICES; FOMENTATION; TREATMENT OR PROTECTION OF EYES OR EARS; BANDAGES, DRESSINGS OR ABSORBENT PADS; FIRST-AID KITS
    • A61F15/00Auxiliary appliances for wound dressings; Dispensing containers for dressings or bandages
    • A61F15/02Devices for cutting bandages of any kind, e.g. shears, cast-cutting saws

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Description


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     MÉMOIRE   DESCRIPTIF déposé à l'appui d'une demande de BREVET D'INVENTION Couche de support servant àfaciliter la coupe d'un pansement, bandage, etc. plâtre. 



   Jusqu'à ce jour, il n'existait aucun procédé com-   plètement   satisfaisant pour ouvrir les pansements ou bandages plâtrés, On utilisait soit une paire de ciseaux spécialement établis à cet effet, soit un couteau ordinaire. En ce qui con- cerne les ciseaux, il en existe de nombreuses formes et modèles très différents, ce qui est une preuve que, a beaucoup de points de vue, ces dispositifs sont des instruments assez défectueux qui ne se prêtent pas à un usage universel.

   Ceci n'est pas sur- prenant puisqu'un pansement plâtré est la combinaison d'une 

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 masse fragile et dure de plâtre à modeler et d'une manière fibreuse et résistante telle que la gaze.   C'est   la combinai- son résultant de l'union de la gaze et du plâtre à modeler qui donne au pansement ou bandage ses excellentes propriétés pour les usages chirurgicaux et les moulages, mais c'est en même temps la raison pour laquelle il est très difficile de couper ce bandage à l'aide de ciseaux. 



   On obtient de meilleurs résultats à l'aide   d'un   cou- teau. La lame, qui exerce une action de coupe proprement dite et, en même temps, une action de grattage ou de raclage, fend la couche de gaze et de plâtre dans laquelle des ciseaux ont tendance à coller. Aux endroits qui, en raison d'une épaisseur plus grande ou pour d'autres causes, offrent une résistance   particulière,   on peut effectuer la coupe graduellement en attaquant les diverses couches successivement par de légères coupes répétées. Avec des ciseaux, une telle opération est impossible. Cet Instrument attaque l'endroit à couper sur toute son épaisseur et, par conséquent, rencontre toujours la résis- tance totale. 



   Toutefois, l'emploi   d'un   couteau implique toujours un certain risque de couper ou blesser le patient. De même, la possibilité de blesser le patient avec des ciseaux n'est pas excluePour couper le bandage avec des ciseaux il faut insérer une des lames sous le bandage, c'est-à-dire entre la peau et la masse de plâtre et de gaze, et comme l'espace dont on dispose entre les deux est usuellement très petit,   l'inser-   tion de la lame de ciseaux risque dtattaquer la peau, surtout sur les parties osseuses du corps, ou l'épaisseur de chair est faible, comme le genou, par exemple, étant donne que le ban- dage adhère usuellement très   miroitement   au membre.

     C'est   pour cette raison que les ciseaux n'ont jamais pu supplanter le cou-   teau,   malgré les nombreux modèles de ciseaux qui ont été pro- posés jusqu'à ce jour pour cet usage.. Pour couper les bandages 

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 plâtrés, l'emploi du couteau est encore de beaucoup préfé- rable. Toutefois, même ltemploi d'un couteau présente l'in- convénient que la lame est sujette a pénétrer trop profonde- ment dans le bandage et à attaquer par suite la peau. 



   Des mesures préventives ont été prises pour obvier a cet inconvénient. On en connaît de deux sortes, savoir celles dans lesquelles la mesure préventive n'est appliquée que lorsqu'on se propose d'enlever le bandage et celles dans les- quelles cette mesure est déjà appliquée ou préparée lorsqu'on pose le bandage. 



   Les mesures de préventives de la première sorte con- sistent toutes, essentiellement, à tirer entre le bandage plâtre et la peau un élément résistant et tenace, de forme allongée, par exemple un fil ou une bande destiné a constituer en tout cas un guide, pour couper le bandage, c'est-à-dire un fil de guidage proprement dit, si   Isolement   est filiforme, et ala fois un élément de guidage et une certaine surface de dégagement pour le couteau, dans le cas d'une bande, celle-ci protégeant la peau si elle est faite d'une matière qui ne se coupe pas. Ces mesures sont toutefois inadéquates, étant donne que, dans la plupart des cas, il est pratiquement impossible, ou en tout cas peu pratique, de tirer le fil ou'la bande pour le faire passer au-dessous du bandage ou pansement terminé.. 



   Les mesures préventives appartenant à la seconde classe sont toutes essentiellement basées sur le fait quton applique le pansement plâtréaprès qu'un fil ou bande a été pose sur la peau à ltendroit de la ligne suivant laquelle le pansement doit être coupé ultérieurement, ce fil ou bande con- stituant un guide lorsqu'on effectue la. coupe à travers le pansement. 



   Toutefois, comme le-bandage n'est pas   transparant   il n'est pas possible de déterminer exactement l'endroit ou se trouve réellement le fil ou bande, d'autant plus que celui-ci 

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 est susceptible de se déplacer pendant   L'opération   ou par la suite. Il en résulte la possibilité de couper le bandage a l'endroit qui ne convientpas. pour diminuer ce risque, on peut couper le bandage graduellement, une partie à la fois, et déterminer ensuite chaque fois la suite du parcours du fil ou bande de guidage. Lorsqu'on se sert d'un fil, on ne coupe pas le bandage sur toute son épaisseur et laisse au con- traira une partie très mince non coupée qu'on déchire ensuite en tirant le fil. 



   Cette mesure de   précaution   est satisfaisante jusqu'à un certain point, mais présente cependant divers in-   convénients,  Si l'élément de guidage filiforme est une ficelle ou un cordon, il peut être coupe accidentellement. Si   c'est   un fil   metallique ,   ce fil peut se rompre brusquement sous la force de traction appliquée. Si l'on se sert d'une bande de guidage, la coupe de la dernière couche mince du bandage est pratiquement Irréalisable., 1 moins qu'il ne s'agisse d'une bande très flexible, par exemple d'une bande de plomb, de caoutchouc ou de tissu, l'emploi d'une telle bande entraînant toutefois encore le risque d'une coupe accidentelle. La rup- ture de la bande de guidage sous la forme de traction peut      évidemment aussi se produire.

   De plus, lorsqu'on tire le fil ou la bande de guidage, cet élément est susceptible de glisser complètement d'une façon inattendue hors du bandage, auquel cas il n'existe plus de guide et, dans la plupart des cas, on est oblige de se servir d'une paire de ciseaux. De plus, la traction et l'arrachement susmentionnés ne produisent pas une coupe franche; ils sont toutefois inséparables de l'emploi d'un fil, étant donné que celui-ci est mince et sensiblement rond et, par conséquent, n'offre pas une surface de coupe. Une bande résistant à la coupe constitue une surface de coupe sûre, a moins qu'elle ne soit trop étroite, auquel cas on éprouve la même difficulté que dans le cas d'un fil.

   Une bande est plus sujette a se déplacer qu'un fil, outre qu'elle est moins 

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   apparante   à la surface du bandage, Dans le cas d'un bandage relativement épais, ni:.le fil ni   la bandé   ne sont apparents dans le plâtre a la surface et, même s'ils sont apparents, on      ne peut pas compter sur eux d'une façon absolue car, en raison de la possibilité d'un déplacement, on n'est pas absolument sur que l'élément de guidage se trouve réellement au-dessous de   l'arê-   te constituée a la surface du plâtre durci. 



   Toutes ces mesures préventives ont l'inconvénient qu'il n'est pas possible de déterminer d'une façon certaine la position exacte du fil ou bande par l'aspect de ltextérieur du bandage. 



   La présente invention remédie à tous les inconvénients susmentionnés. Elle a plus particulièrement trait a celles des mesures préventives, quton prend au moment   où'   l'on pose le bandage et a pour objet de supprimer les imperfections de ces mesures. 



   Suivant l'invention, une couche d'appui ou de sup- port inférieure destinée a être utilisée pour faciliter la coupe d'un pansement, bandage ou dispositif analogue plâtre et      constituée par une bande flexible d'une matière résistant a la coupe est caractérisée par l'application d'au moins deux pointes, aiguilles ou protubérances pointues analogues faisant saillie sur le plan de la bande et destinées àpercer le panse- ment, bandage, etc. à l'état mouillé, de façon à fournir une indication exacte de la position de la bande au-dessous du pansement, bandage, etc. Ces pointes peuvent être placées sur la bande suivant une ligne qui coïncide avec la ligne centrale de la bande ou qui est parallèle a cette ligne.

   Elles peuvent par conséquent constituer collectivement une rangée, Si l'on place une telle bande au-dessous du plâtre avec les extrémités des pointes faisant saillie sur la surface externe, cette rangée de pointes indique exactement la position ou parcours de la bandes De plus, ces pointes empêchent la bande de se déplacer, de sorte 

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 que l'opérateur est absolument sur de rencontrer la bande et, par suite, d'effectuer la coupe suivant une ligne   prédéter-   minee. 



   On décrira plusieurs modes de réalisation de l'invention en se référant aux figures 1 à 40. 



   Avant de poser le bandage, on dispose la bande munie de pointes sur le membre et on la maintient dans la position désirée, si nécessaire, en la fixant a l'aide   d'une   ficelle ou d'un lien analogue, comme représenté dans la fig.1.On pose ensuite le bandage plâtré. Les pointes pénètrent facilement dans les bandes mouillées et molles du bandage, ces bandes se laissant aisément percer dans cet état. Ces pointes ne gênent en aucune façon la pose du bandage, car, dans cette opération, la main se place toujours au delà du point ou le bandage entre en contact avec le membre. La longueur de ces pointes est telle que, lorsque le bandage a été pose, leurs extrémités font saillie dans une certaine mesure sur la surface externe du bandage.

   Ces pointes saillantes indiquent donc exactement la position de chaque partie de la bande, comme représenté dans la fige 2, Pour couper le bandage, il   suffit   l'opérateur de faire mouvoir le couteau le long de la ligne des portes pour qu'il ait la certitude qu'aucune attaque de la peau ne pourra se produire. L'opérateur peut trancher énergiquement et com-   plètement   le bandage sur toute son épaisseur, Il tient le couteau aussi près que possible des pointes et effectue la coupe près de chaque pointe.

   La figure 3 est une coupe transversale partielle du membre et du bandage ainsi que de la bande munie de pointes, la position du couteau étant représentée schéma-   tiquement,   Dans la fige 3, a représente une partie du membre, b le bandage, c la   bande, 1   les pointes et e le couteau, 
Ces pointes peuvent être constituées par des ai- guilles, par exemple du genre de celles utilisées dans les phonographes, ces aiguilles étant fixées sur ou dans la bande 

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 de la façon représentée en perspective dans la fig. 4 et en coupe transversale dans la fig. 5. Le mode de fixation des aiguilles est bien entendu arbitraire; on peut les souder ou les attacher à la bande de toute manière appropriée. 



   Les pointes peuvent aussi être poinçonnées ou dé- coupées dans le corps de la bande comme représenté   schémati..   quement dans la fig. 6. Dans ce cas, un trou f existe près de chaque pointe dans la bande, mais si ce trou est suffisamment petite et la bande suffisamment épaisse, on ne risque pas d'attaquer la peau qui se trouve au-dessous,En coupante l'opérateur peut tenir compte de l'existence de ces trous  S'il tient le couteau relativement de niveau, de façon qu'il fasse un angle aigu avec le bandage, le tranchant de la lame couvrira les trous à la façon d'un pont. 



   Les pointes peuvent aussi être établies   d'uhe   seule pièce avec la bande de quelque autre manière. 



   La forme des pointes est sans importance' pourvu qu'elles aient la possibilité de pénétrer dans les bandages mouillés et de faire saillie sur le bandage fini. Ces pointes peuvent être   constituées   par toutes les protubérances sus- ceptibles de remplir les conditions   susindiquées,   c'est à dire suffisamment longues et suffisamment vives pour l'usage en- visage. 



   En général, les pointes seront uniformément espacées. 



  Toutefois, dans certains cas, il peut être désirable de   s'écarter   de cette règle, Si, par exemple, la bande s'étend suivant une partie convexe du membre, il peut arriver que les extrémités des pointes qui se trouvent à cet endroit, se rapprochent exagérément les unes des autres. Dans ce cas, on modifie la distance séparant les pointes successives   d'une   rangée. 



   Dans la fig, 4, les pointes, sous forme d'aiguilles, sont disposées suivant la ligne centrale de la bande. Cette 

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 disposition est destinée aux cas où l'on se propose de couper le bandage le long des deux cotes des pointes, ce qui est avantageux si l'on désire enlever la bande du bandage immédiatement après la coupe de celui-ci. Dans tous les autres cas, il vaut mieux disposer les pointes près d'un des cotes de la bande, comme représenté dans la fige 7. Dans ce cas, on dispose de presque toute la largeur de la bande à titre de surface de coupe. Il est bien entendu que les pointes represen- tees dans la fig. 6, obtenues par poinçonnage, peuvent aussi être disposées de la même façon que les aiquilles de fige 4.      



  Une disposition qui assure une protection encore meilleure contre le risque de dévier de la surface de coupe est celle de fige 8. Dans ce cas, la bande   portq   deux rangées de pointes. 



  Cette construction présente toutefois l'inconvénient que, pour enlever le bandage, il faut découper et enlever la partie dudit bandage qui se trouve entre les deux rangées de pointes. Dans le cas de bandages chirurgicaux, qui ne sont pas destinés à servir de moule pour un moulage, ceci ne présente toutefois aucune difficulté. A part cet inconvénient, ce dernier mode de réalisation offre le même avantage que le précédent. 



   Dans la plupart des   cas:.   il est préférable que la bande soit faite d'une matière.non élastique. Cette propriété, jointe à la résistance offerte à l'action de coupe, est possé- dée par une bande mince d'un métal tel que le fer, le zinc, le cuivre, etc. On peut d'ailleurs utiliser des matières autres que des métaux, pourvu qu'elles aient les propriétés susmen- tionnées.

   Le métal est toutefois d'un emploi avantageux pour fabriquer la bande en   ce'qui   concerne la fixation des pointes a la bande 
Dans la fig. 5, les aiguilles sont fixées par une opération de soudure, brasure ou analogue dans des trous poin- connes dans la bande, D'un autre côté, la fige 9 représente une bande plus épaisse munie de pointes dont la racine est encas- 

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 trée dans des trous de la bande qui ne traversent pas celle-ci de part en part. En raison de la souplesse et de l'inélasticité que doit posséder la bande, il convient qu'une bande de ce genre soit faite de zinc ou de plomb dure La fig. 10 représente ce mode de réalisation en perspective. 



   A titre d'alternative-, la bande peut aussi être faite de toile métallique   ,   comme représente dans la fig. 11, Il est bon que cette toile soit suffisamment impénétrable pour que le couteau ne puisse pas la traverser. La fixation des pointes, constituées par des aiguilles, est représentée par la coupe transversale de fig. 12. Pour offrir aux pointes une couche d'appui ou support plus rigide que celui que la toile métallique est susceptible de fournir, on peut disposer sur la bande des étriers ou éléments d'attache h, comme représente dans la fige 13. Ces étriers sont trop petits pour empêcher la bande de   s'adap.   ter au membre, Une des façons possibles de fixer les aiguilles est représentée dans la fige 14. La façon dont l'étrier embrasse la bande est représentée dans la fige 15.

   Une autre variante de fige   il),   est représentée dans la fig. 16.-La construction de fige 17 procure plus d'avantages pour la fixation de la pointe en forme d'aiguille. Dans ce cas, les étriers font saillies au delà du bord de la bande g. Pour fixer les aiguilles, il est alors inutile de pratiquer un trou à travers la bande de toile.   meta411ique.   Les fig. 18 et 19 représentent respectivement en perspective et en section transversale la forme générale donnée dans ce cas aux étriers h.

   Des explications supplémentaires seraient inutiles, 
Les étriers qui font saillie latéralement enserrent généralement la bande avec une fermeté suffisante pour qu'ils ne puissent se   déplacer@,   De plus, on peut les souder ou les fixer de quelque autre manière supplémentaire à la bande, et il en est de même de ceux de fige 13. Dans certaine cas,   toutefois   des moyens de fixation supplémentaires peuvent être appliqués¯ 

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 sur le cote externe des parties saillantes des étriers. 



   Dans ce case on peut adopter la variante de fige 20. 



  La partie saillante de chacun des étriers h est percée,   paralle-   lèment à la bande, d'un   trou 1   ( fig. 21 et 22), et un fil passe à travers les divers trous i. Ce fil est fait d'une matière souple et tenace, telle que le cuivre, mais n'est pas forcément métallique. En vue d'un plus grande souplesse, on peut se servir d'un fil tressé. Ce fil ou câble peut être soudé dans les trous i ou y être assujetti par une vis de blocage ou de quelque autre manière. 



   La bande peut aussi être double, c'est-à-dire, com- posée de deux bandes parallèles espacées g,   ' , fixées   l'une à l'autre par les étriers h. Cette construction est   représentée   dans la fig. 23. Les pointes d sont disposées suivant la ligne centrale, de sorte qu'on dispose de la largeur entière Ces deux bandes 'Litre de surface de coupe. Dans certains cas, il peut être préférable de disposer les pointes a un certain écar- tement de la ligne centrale, ce qu'il est facile de réaliser. 



   Dans les constructions des fige 17, 20 et 23, les pointes sont disposées au-dessus d'une partie de la peau qui   n'est   pas protégée par la bande. Par conséquent, si les pointes sont trop étroites dans la direction transversale de la   bande,   on court le risque d'attaquer la peau qui se trouveiimmédiate- ment à   cote  de la bande en coupant près des pointes. Pour éviter ce   risque,   il convient de donner aux pointes une largeur suffisante dans la direction transversale de la bande. Si, par exemple, les pointes sont sous forme d'aiguilles rondes, l'épaisseur requise pourrait alors être trop grande, Pour éviter ceci, in dispose les pointes excentriquement. Une dis- position de ce genre est représentée dans la fig. 24.

   Comme   on voit   dans cette figure, la partie de base de l'aiguille k est   rétrécie   de façon à constituer une petite tige 1 excen- trique à l'axe de   ltaiguille.   Cette tige est engagée dans le 

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   trou m   de l'étrier. Le cote interne de la racine de la pointe      fait maintenant saillie vers ou surplombe le bord externe de la bande. 



   On réalise le même résultat à l'aide des pointes   re-   présentées dans la fig. 25,Dans cette figure, on voit que bien que l'extrémité de la pointe n soit placée directement au-dessus du trou contenant la tige, la partie de l'aiguille qui fait saillie obliquement vers le cote interne de la bande constitue une partie inclinée dont le pied surplombe le bord de la bande La section transversale de la tige par un plan parallèle à la bande est dans ce cas allongée ou ovale. 



   Une autre disposition ayant le même but est représen- tée en coupe dans la fig. 26. Dans ce cas, la pointe o, con- stitueepar une aiguille, est placée au-dessus du bord de la bande. Cette pointe porte un bras   courbe ±   termine par une tige 1. Une vue en plan de l'étrier et de l'aiguille est donnée par la fige   27,   
Il est bien entendu que les pointes selon ltune quel- conque des fige, 24, 25, 26 peuvent aussi être utilisées dans le cas des autres modes de réalisation de ltinvention, comme, par exemple, dans le cas des   fige 7   ou 13.

   Dans le cas de la con- struction de fige 23, on peut par exemple utiliser des pointes établies selon les fig. 28 ou 29, qui montrent respectivement une pointe nt composées de deux pointes n selon la fig. 25 et une pointe o' constituant le doublement de la pointe représentée dans les fige 26 et 27. 



   Quoique le risque que l'opérateur se pique les doigts   a l'aide   des pointes en posant le bandage ne soit pas très grand, comme il est dit précédemment, les extrémités vives saillantes, surtout dans le cas de bandages qui doivent être portes pendant une longue periode de temps, sont susceptibles d'abimer des vêtements, draps, couvertures, etc. Par conséquent, alors que les pointes ne présentent pas d'inconvénient dans le 

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 cas de moulages, elles sont gênantes dans le cas de bandages   chirurgicaux .    



   Pour écarter cet inconvénient, on peut disposer les extrémités pointues des pointes de façon démontable. Fig, 30 représente en coupe une telle disposition. Dans cette figure, le   corps ¯%   de la pointe est termine par   une -tige!   et   l'extré-   mité s de la pointe présente un trou destine a recevoir cette tige r. On place l'extrémité s sur la tige r avant d'appliquer le bandage. Apres la pose du bandage on enlevé ladite extrémité. 



  Au   1èu   de donner une forme cylindrique lisse a la tige et au trou de l'extrémité, on peut munir ces éléments d'un pas de vis. 



  On visse ou devise alors l'extrémité. Il en resulte une fixation plus sûre. 



   Au lieu de pointes munies d'extrémités détachables, on peut utiliser une pointe ordinaire et recouvrir celle-ci d'un chapeau protecteur. Ce chapeau peut être en liège ou matiè- re analogue.Pour assurer une fixation satisfaisante, il est préférable que le chapeau ou bouchon de liège t présente.une creusure centrale dont la forme est complémentaire de celle de l'extrémité de la pointe, comme représenté dans la coupe trans- versale de fig. 31. 



   Il va de soi que la forme du chapeau est sans impor- tance. Ce chapeau peut aussi être fait de bois, d'ébonite, de caoutchouc, etc  Les chapeaux   métallisés   sont toutefois préfé- rables. Ces chapeaux- peuvent recevoir la forme d'une douille coiffant la pointe, comme représenté dans la fig, 32 dans la- quelle u désigne une douille. en position sur la pointe, celle-ci ayant la forme d'une aiguille. Une fixation encore meilleure est obtenue selon la fig. 33 en prévoyant sur la pointe, a une cer- taine distance au-dessus du pied, une gorge circonférentielle v et en munissant la partie correspondante de la surface interne du chapeau d'une saillie ou nervure w s'ajustant dans la gorge v. 



  Lorsqu'on pose la douille, cette partie saillante stengage élas- 

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 tiquement dans la gorge en quelque sorte à la façon d'un   bouton-pression.   Pour faciliter cet assemblage, on peut pra- tiquer des traits de scie dans la douille, Ces traits de scie ne sont pas absolument nécessaires, surtout lorsque la saillie et la gorge sont disposés suffisamment bas et lorsque la paroi du chameau est mince. D'ailleurs, les traits de scie peuvent, aussi être utilisés avec le chapeau de fige 32, de façon à ef- fectuer une liaison un peu flexible. Le chapeau peut aussi être sphérique, comme dans la fig, 34.

   Dans ce cas, la fixation du chapeau sphérique n est aussi basée sur une action élastique* D'ailleurs, ce chapeau n peut aussi   être   muni de traits de soie distribués le long de son bord   circonferentiel.   



   Ces chapeaux peuvent aussi être utilises avec les pointes selon les fig. 24, 25, 26 et 27, 28 ou 29. Ainsi, la fig. 35 montre en perspective un chapeau 7 destiné à   être   uti- lise avec des pointes selon fige 25. La fige 36 montre en per- spective une couche de support c selon fig. 7 munie de chapeaux x tels que ceux représentés dans fige 34. Les   chapeaux x   et les pointes d peuvent être respectivement taraudes et filetés.   S'il        n'est pas trop profond, le filetage ne fait pas obstacle à la pose   du.bandage..   



   Dans ce qui précède, on a suppose que les pointes sont perpendiculaires à la bande. Ceci sera usuellement le cas. 



  Cette disposition présente toutefois   l'inconvénient   que le point du bandage ou pénètre la pointe se meut dans une direction qui ne coïncide pas avec l'axe de la pointe, outre que le ban- dage rencontre la pointe non pas a angle droit mais   obliquement   Cette objection ne présente sans doute pas une grande importance et l'on peut facilement y remédier. Ainsi, en plaçant les pointes suivant un angle aigu sur la bande, dans la direction du côté par lequel on pose le bandage, comme représenté dans la fig.37, le bandage rencontrera la pointe z à angle droit. 



   Ceci ressort de fige 38. L'arc AG représente par 

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 exemple une partie de la circonférence d'une cuisse. Dans la pratique, une partie relativement petite de la circonférence d'un membre quelconque peut être considérée comme étant l'é- quivalent d'un arc. Dans la fige 38, on a supposé que le ban- dage est   enroule   de gauche a droite, c'est-à-dire dans le sens des aiguilles   d'Une   montre. 



   Il va de soi que la direction transversale de la bande c au point F de la pointe coïncide avec la tangente CD a l'arc en ce point. Le bandage AB est déroulé d'un rouleau ou globe tenu dans la main et représente dans le dessin par la spirale B. On ltenroule autour du membre et, étant donne que le bandage est tendu de ce fait, il coïncide pratiquement avec la tangente AB à  l'are     AG   au point A. En E, le bandage entre en prise avec l'extrémité de la pointe z. En ce point, la tangente AB   intersecte   par   conséquent   une ligne FH qui coïncide avec   l'axe   de la pointe z.

   Si l'angle AEF doit être de   90 , il   faut que l'angle   CES   que fait la tangente CD avec la ligne FH remplisse      une certaine   condition,   qui est exclusivement déterminée par la longueur du rayon R de l'arc et la longueur S de la pointe. Si   l'angle     CFH   est   [alpha],  cette condition est 
 EMI14.1 
 
Dans la fig. 38, on supposera que   R = 10 cm et S =   2   cm.   Un diamètre de 10 cm correspond sensiblement à la moitié du diamètre de la partie la plus épaisse de la cuisse d'un adulte. Une longueur de 2 cm pour la pointe est un peu exagérée. 



  Ces dimensions, qui ne   s'écartent   toutefois pas trop de la réalité, n'ont été choisies dans la fige 38 que pour rendre l'exemple clair et simple. 



   En appliquant la formule ci-dessus aux valeurs de fige 38, on trouve : cos   [alpha]   = 0,6      et, par consequent, 

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   [alpha]= 53 ,10'   
Si l'on suppose que R = 10 cm mais que   S = 1,5   cm, on aura :   [alpha]= 58 ,15'   
Avec R = 10 cm et S = 1 cm, on aurait   [alpha]= 64 ,10'     [alpha]   varie par conséquent assez rapidement avec la longueur de la pointer Parmi les exemples donnés ci-dessus, la valeur S = 1,5 cm est celle qui correspond le mieux àla lon- gueur pratique de la pointe. 



     L'angle [alpha]   varie aussi rapidement avec R. Si, par exemple, R = 5, ce qui correspond approximativement au bras, et = 2, on aura   [alpha]= 36 ,50'   
Dans le cas d'un membre un peu conique, par exemple la cuisse, il est par conséquent désirable de faire varier l'angle pour différentes pointes. On peut le faire en faisant les pointes   d'une   matière plus ou moins flexible. Dans le cas de pointes minces, la plupart des métaux possèdent la flexibi- lité qui convient à cet effet. Une pointe de cuivre, par exem- ple, peut facilement être pliée à l'aide d'une paire de te- nailles. Cette flexibilité ne fait pas obstacle à la pénétra- tion des bandages par les pointes, car la pression extrêmement faible que la matière molle est susceptible d'exercer est in- capable de vaincre la résistance au pliage. 



   Le mouvement   que   décrit le point E du bandage, au moment où il se rapproche du membre,   n'est   pas une ligne droite, mais une développante de cercle. Bien que ceci ne soit évidem- ment exact que pour un bandage idéalement tendu et que, dans la   pratique,   le mouvement réel s'écarte plus ou moins du mouve- ment idéale il peut être désirable, surtout dans le cas de pointes assez longues, de recourber les pointes. Cette courbure est évidemment très faible. Il n'est pas absolument nécessaire 

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 qu'elle suive la développante d'un cercle et, dans la pratique, une courbure circulaire suffit.

   Alors qu'une pointe rectiligne déchire toujours légèrement le bandage, au moins en théorie, la déchirure est beaucoup plus faible dans le cas d'une pointe convenablement recourbée et même théoriquement nulle si la courbe a exactement la forme d'une développante. Fig. 39 montre la courbure de la pointe dans les mêmes conditions que la pointe rectiligne de fig. 38. 



     .au   lieu de recourber la pointe entière, on peut uti- liser une pointe n' du type représente dans la fig. 25, dont le côté tourné vers la ligne axiale de la bande est recourbe de la   manière   indiquée, alors que le côté opposé est droit* Fig. 40 montre ce mode de réalisation. On remarquera que la pointe n représentée dans la fige 25 se rapproche aussi quelque peu   d'une   développante de cercle. 



     L'invention   est évidemment, susceptible de recevoir d'autres modes de réalisation, et les dispositions décrites et représentées peuvent être considérablement modifiées, sans s'écarter de l'esprit de   1!invention.   



   L'invention procure l'avantage que le bandage plâtré présente un guide nettement visible et absolument sur pour effec- tuer la coupe, ce qui évite tout risque de blesser le patient et d'autres difficultés, comme par exemple l'opération consistant à tirer un fil de guidage àl'écart de la position-qu'il occupe au-dessous du bandage.

Claims (1)

  1. RESUME.
    Une couche d'appui ou de support inférieure destinée à être utilisée pour faciliter la coupe d'un pansement, bandage ou dispositif analogue plâtré qui est constitué par une bande flexible faite d'une matière résistant à la coupe, cette couche étant caractérisée par l'application d'au moins deux pointes, aiguilles ou protubérances pointues analogues faisant saillie <Desc/Clms Page number 17> sur le plan de la bande et destinées a percer le pansement.. bandage, etc. à l'état mouillé de façon a fournir une indication exacte de la position de la bande de support au-dessous du pan- semént, bandage, etc.
    Cette couche de support peut être caractérisée, en outre,par les points suivants, ensemble ou séparément : a) Les pointes sont séparées les unes des autres dans la direction longitudinale de la bande de distances égales ou déterminées suivant une certaine règle. b) La ligne longitudinale de la bande sur laquelle les pointes sont disposées est soit centrale, soit adjacente:
    l'un des bords de la bande. c) On prévoit deux rangées de pointes, disposées de préférence respectivement près des bords de la bande. d) La bande est faite d'une matière inélastique tel que du métal mince, e) L'épaisseur de la bande métallique est telle que les extrémités inférieures des pointes peuvent être encastrées dans le métal sans que la bande soit percée de trous la traver- sant de part en part. f) La couche estcomposée d'une ou plusieurs bandes en toile métallique. g) Sur la bande ou autour dtelle sont disposes de petits étriers rigides transversaux auxquels sont fixées les pointes. h) Les étriers font saillie au delà du bord de la bande et les pointes sont fixées sur ou dans la partie sail- lante .
    i) Un trou est pratiqué dans la partie saillante de chaque étrier parallèlement a la longueur de la bande et un fil textile ou métallique est passe a travers tous ces trous. j) La bande est composée de deux parties qui sont disposées parallèlement et reliées entre elles àun certain <Desc/Clms Page number 18> écartement par des etriers au milieu desquels sont assujetties les pointes. k) La partie de base des pointes qui est tournée vers la bande surplombe le bord de la bande, ce qui s'obtient en dis- posant les pointes excentriquement par rapport:
    la partie sail- lante des étriers, en leur donnant une forme dissymétrique munie d'une base légèrement ovale ou en les recourbant convenablement, 1) l'extrémité pointue des pointes est démontable. m) Sur chaque pointe est monte un chapeau qui la coiffe exactement et qu'on enlevé avant de poser le bandage pour le re- mettre en place ausitôt après cette opération. n) Les pointes sont soit disposées exactement ou a peu près perpendiculairement a la bande, soit inclinées dans le plan transversal de la,bande d'un angle tel que., lorsqu'on pose le bandage, celui-ci rencontre ces pointes sensiblement a angle droit o) La matière dont sont faites les pointes est légère- ment flexible et les pointes sont pliées ou courbées de façon à remevoir la position voulue.
    p) Les pointes sont recourbées dans la direction de leur longueur sensiblement suivant une ligne qui est approximativement la développante de la partie correspondante de la circonférence du membre. q) Le cote de la pointe tourné vers l'angle aigu que font entre elles la pointe et la bande est rectiligne, alors que le côte opposé est recourbe sensiblement suivant une courbe qui suit approximativement le parcours de la développante de la circonférence du membre auquel la bande est destinée.
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