BE455716A - - Google Patents

Description

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  Bastisseuse de manohons de feutre de poil. 



   Différentes industries comme la ohapellerie, la chaussure, la maroquinerie emploient des manchons de poils foulés. 



  Le bastissage de ces manchons est jusqu'ioi effectué soit sur   d'anciennes   machines de ohapellerie, appelées   "arçonneuses",   dont le rendement est très faible,soit sur les bastisseuses de   oha.-   pellerie habituellement employées à bastir des o8nes; le cône perforé qui est utilisé sur ces machines est alors remplaoé par un cylindre perforé. Mais cette façon de faire comporte de grands inconvénients : la manipulation des cylindres perforés est très pénible, la composition régulière du bastissage est difficile à obtenir et surtout les dimensions du bastissage obtenu sont toujours insuffisantes pour qu'un foulage suffisant permette d'arriver aux dimensions finales désirables. 



   La présente invention est relative à une maohine permettant de réaliser facilement des bastissages de manchons de grandes dimensions, de composition uniforme et ayant subi un commencement de semoussage (premier foulage) sur le cylindre perforé, avec une dépense minime de foroe motrice et sans nécessiter l'emploi dtune main-dbeuvre d'une robustesse exceptionnelle. 



   Dans ce but la machine suivant l'invention comprend en plus des dispositifs habituels d'amenée du poil tapis roulant, groupe de rouleaux alimenteurs et de piokers, eto.., un cylindre vertical perforé de dimension correspondant à oelles de manchons à obtenir et animé d'un mouvement de rotation autour de son axe, un   appareiltel   qu'un ventilateur destiné à créer un courant d'air puissant à l'intérieur du cylindre et parallèlement à son axe et oombiné avec un conduit d'arrivée d'air disposé sur la périphérie 

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 extérieure et sur toute la hauteur du cylindre de façon que le courant d'air ait, extérieurement au cylindre,

   une direction transversale par rapport à l'axe du cylindre et un dispositif destiné à reprendre le poil provenant de l'appareil d'amenée et à le disperser uniformément dans toute la hauteur du conduit d'arrivée d'air. 



   Suivant une autre caractéristique le conduit d'arrivée d'air qui passe au-dessus du dernier rouleau picker, a une largeur correspondant à la longueur de ce rouleau et le dispositif de re- prise du poil est constitué par un appareil tel qu'un ventilateur créant un oourant d'air secondaire traversant les pointes du dernier rouleau pioker et oombiné avec des tubulures verticales placées à l'intérieur du conduit d'arrivée d'air principal et au- dessus dudit pioker,

   ces tubulures comportent des ouvertures laté- rales à des hauteurs différentes disposées de telle sorte que les poils détachés des dents du pioker par le oourant d'air auxiliaire soient projetés dans le oourant d'air principal suivant une direc- tion sensiblement perpendiculaire à celle de ce courant et de façon à être répartis uniformément sur toute la hauteur du oon- duit qui oorrespond à la hauteur du cylindre perforé. 



   Suivant un autre mode de réalisation le dispositif de reprise du poil est constitué par un canal plat vertical ou obli- que disposé au-dessus du dernier rouleau   pioker,   de même largeur   que la longueur de ce dernier et dans lequel sont disposées des cloisons parallèles au sens du oourant d air principal de hau-   teurs différentes et recourbées sensiblement à 90  de part et d'autre du plan médian du canal de façon à délimiter une série de oanaux en éventail par lesquels le poil, entraîné par le oou- rant d'air auxiliaire, est projeté dans le oourant d'air prinoi- pal uniformément sur toute sa hauteur et suivant une direction sensiblement perpendiculaire au sens de ce courant,,

   l'air   prinoi-   pal étant admis par deux conduits disposés de part et d'autre du canal plat et débouohant à la périphérie du cylindre perforé. 



   D'autres caractéristiques de l'invention résulteront de la description qui va suivre en se référant aux dessins annexés donnés uniquement à titre d'exemple et dans lesquels : 
La fig. 1 est une coupe verticale schématique d'un mode de réalisation d'une machine suivant l'invention; 
La fig. 2 est une coupe partielle suivant la ligne 2-2 de la fig. 1; 
La fig. 3 est une uoupe partielle suivant la ligne 3-3 de la fig. 1; 
La fig. 4 est une uoupe partielle suivant la ligne 4-4 de la fig. 1; 
La fig. 5 est une   voupe   partielle suivant la ligne 5-5 de la fig. 1; 
La fig. 6 est une vue en coupe d'un détail de réalisa- tion; 
La fig. 7 est une   uoupe   verticale schématique d'un autre mode de réalisation de la machine suivant l'invention; 

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La fig. 8 est une-coupe suivant la ligne 8-8 de la fig. 7 ;

   fige La fig. 9 est une   ooupe   suivant la ligne 9-9 de la fige 7. 



   Suivant le mode de réalisation des figs. 1 à 6, la maohine à bastir représentée comprend les organes habituels des   machines connues c'est-A-dir un tapis sans fin 1 tendu entre deux rouleaux 2et sur lequel la quantité de poils nécessaire à   un bastissage est étalée par l'ouvrière. Les poils ainsi répartis   sont entraînés par un premier groupe de rouleaux alimenteurs 3 puis démêlés par les pointes d un premier pioker 4 en rotation   rapide. Le mouvement rapide de ce   pioker   selon la flèche f projet- te les poils à l'intérieur d'un oanal clos 5 et orée simultané- ment un courant d'air selon la flèche F. Cet air entre par une ouverture réglable par un volet 6 et ne peut sortir du oanal 5 que par les deux fonds largement ouverts d'un tambour perforé 7 qui occupe toute la largeur du canal 5.

   Les poils qui suivent ce courant d'air viennent se répartir sur la surface extérieure de ce tambour 7 qui tourne lentement et les amène devant un deuxième groupe de rouleaux alimenteurs 8. Ces rouleaux 8 pincent les poils et les présentent devant un second   pioker   9 tournant très   rapidement suivant la flèche f1. Les poils suivent les pointes du pioker 9 et ils s'en séparent-sous l'action d'un courant d'air   créé par un tambour 10 tournant suivant la flèche f2 oomportant des aubes larges 11 dont la périphérie est très voisine de celle du   pioker   9. La largeur des aubes 11 est du même ordre de gran- deur que l'espace qui sépare deux aubes, consécutives et leur mouvement orée une aspiration d'air par les deux o8tés du tambour   7   et un refoulement de cet air dans un diffuseur 12.

   L'air col- lecté par ce diffuseur est projeté à grande vitesse dans les pointes du pioker 9. En même temps, les jets d'air passant entre les aubes larges 11 oréent entre les pointes du pioker 9 des pulsations d'air qui facilitent la séparation des poils les uns des autres. Les poils sont entraînés par le oourant d'air dans des chambres égales 13 (voir fig. 2) prolongées par des tubulures 14 dont le nombre a été choisi égal à trois d ans l'exemple dé- CRIT. Ces tubulures se trouvent situées à des distanoes égales dans un canal rectangulaire ayant sensiblement la largeur des PICKERS et la hauteur du bastissage à obtenir. 



   Ces tubulures présentent des ouvertures verticales latérales 15 laissant échapper le poil et l'air de chaque o8té des tubulures. Ces ouvertures latérales ont une hauteur qui est le tiers de celle d'un canal 16 d'admission d'air dans lequel sont placées les tubulures 14 et elles sont disposées sur oha- oune des tubulures 14 à trois hauteurs différentes de façon à ce que les poils et l'air qui les véhicule soient distribués uniformément sur toute la hauteur du oanal 16. 



   Les transmissions qui entraînent les piokers 4 et 9, le tambour en cage d'écureuil 10 et les différents rouleaux ali- menteurs n'ont pas été représentés pour ne pas suroharger le dessin et elles ne présentent rien de partioulier. 



   Le canal 16 débouohe dans une cuve circulaire verticale 17 dans l'axe de laquelle se trouve un cylindre perforé 18 ayant au besoin une légère dépouille vers le bas pour permettre la chute du bastissage. 

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   Le fond 19 de ce cylindre perforé 18 est légèrement oonique et il oomporte en son centre un siphon 20 permettant la sortie de l'eau qui tombe à l'intérieur du cylindre, mais empschant toute entrée de l'air par le fond. 



   Le uylindre 18 est amovible, de façon à pouvoir être échangé oontre un autre cylindre perforé de dimensions différentes si cela est utile. Il est fixé par quelques éorous à une oouronne tournante 21. Cette oouronne oomporte un ohemin de roulement circulaire 22 supporté par trois galets 23. Deux des galets 23 tournent librement et le troisième est fixé sur un arbre 24 entraîné lui-m8me par une poulie 25 et un petit moteur électrique 26. 



   Une grande oouronne   27   supportée par des poteaux fixes 28 porte des axes verticaux 29 autour desquels tourillonnent des volets 30. Ces volets 30 comportent une queue 31 qui est oommandée par une couronne 32. La rotation de cette couronne 32 fait osciller lee volets autour des axes 29. Dans leur position de fermeture, ces volets viennent s'appuyer les uns oontre les autres et leur face intérieure constitue un cylindre prolongeant l'ouverture circulaire de la oouronne   27.   Dans leur position d'ouverture ils laissent un large passage à l'air qui peut pénétrer dans le cylindre d'aspiration d'un ventilateur hélioolde 33.

   Ce ventilateur 33 comporte essentiellement une roue portant les aubes 34 et entraînée direotement par un moteur   35.   Au-dessous de cette roue 33 se trouvent des aubes fixes de redressement 36 qui sont de préférence en nombre égal, multiple ou sous-multiple du nombre des aubes 34 du ventilateur de façon à créer une vibration du courant d'air aspiré. Un diffuseur divergent   37   amortit la vitesse de l'air refoulé et débouche dans une chambre à poils 38 destinée à récupérer les poils qui ont pu passer à travers les perforations du uylindre 18. Les parois de cette chambre sont uonstituées par un treillage métallique à mailles fines 39 appuyé par le courant d'air oontre un faisoeau de tubes à vapeur 40. 



   Une porte demi circulaire 41 permet d'accéder faoilement à l'intérieur de la cuve   oylindrique   fixe 17. Un plateau 42 de diamètre sensiblement égal à celui de la uuve   17   est porté par un bras 43 et peut tourner autour d'un axe 44. On voit qu'il peut facilement être placé à l'intérieur de la cuve 17 sous le cylindre perforé 18 quand la porte 41 est ouverte, et qu'il peut, après avoir recueilli le bastissage, être sorti à l'extérieur de la ouve 17. 



   Une rampe d'arrosage est constituée par une plaque perforée de trous très fins 45 qui olot un oanal plat 46 dans lequel peut arriver à la partie inférieure, par une tuyauterie souple   47   de l'eau ohaude sous pression (voir fig. 6). 



   Le oanal plat 46 peut être fixe, à la manière connue dans les bastisseuses. Il peut être également animé de mouvements pulsatoires dans le but de provoquer un premier foulage du bastissage en même temps qu'il est arrosé. Ce oanal 46 est alors fixé à trois boites à roulements 48 (voir fig. 6) qui tournent sur les manetons de trois vilebrequins 49. Ces vilebrequins comportent un contrepoids d'équilibrage 50 et ils tournent sur des roulements logés dans un carter 51. Les mouvements /*! synchrones de rotation des trois vilebrequins sont conjugués par 

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 un train d'engrenages 52 et'l'ensemble est entraîné par un mo- teur 53. 



   La plaque finement perforée 45 a été représentée per- pendioulaire, . à l'axe des vilebrequins 49 mais il est clair qu'elle pouvait être oblique ou même parallèle au plan des axes des vilebrequins. 



   Le fonctionnement est le suivant : 
La porte 41 étant fermée, le plateau 42 à l'extérieur, les volets 30 fermés, les moteurs 26 et 35 en marche, le tam- bour perforé 7 tournant, le poids de poils nécessaire à la con- feotion d'un bastissage ayant été réparti sur le tapis 1, l'ou- vrière embraye le mouvement du tapis et des rouleaux alimenteurs 3 et 8. Le poil est démêlé par les deux piokers 4 et 9 puis en- traîné par le oourant d'air fourni par le tambour à cage d'éou- reuil 10 dans les tubulures 14. Il est projeté à angle droit dans le courant d'air principal créé par le ventilateur hélicofed 33. Il se répartit uniformément en hauteur dans le courant d'air qui l'entraîne oontre le cylindre perforé tournant 18. 



   Quand tout le poil garnit le cylindre 18, l'ouvrier servant la maohine ouvre la porte 41 et vérifie que le bastissa- ge est régulier, puis il ouvre une vanne admettant l'eau chaude sous pression, dans le canal 46 et il met en marche le moteur 53. 



    Quand il estime que le bastissae est suffisamment mouillé et semoussé, il ferme l'arrivée d eau chaude, arrête le   moteur 53 et arrête également le moteur 26 qui entraîne la rota- tion du cylindre perforé 18. Il ouvre les volets 30, amène le plateau 42 à l'intérieur de la cuve 17 et provoque la ohute du bastissage sur ce plateau. 



   Puis, il sort le plateau 42, referme les volets 30 et la porte 41 et remet en marche le moteur 26. Pendant le temps des opérations d'arrosage et d'enlèvement du bastissage, l'ou- vrière a réparti un nouveau poids de poils sur le tapis 1. Elle embraye alors à nouveau le mouvement de ce tapis et le cycle des   opérations recommence. Pendant que ce second bastissage se forme, 1 ouvrier recueille le premier bastissage sur le plateau 42 et   le passe aux opérations suivantes de fabrication. 



   Aux figs.   7   à 9 on a représenté un autre mode de réa- lisation de la   maohine   à bastir suivant l'invention dans lequel on retrouve les organes connus des bastisseuses ordinaires : le tambour perforé 7 recueillant les poils démêlés par le premier pioker 4, les deux groupes de rouleaux alimenteurs 3 et 8, le cylindre à odes 10 appelé "la brosse" créant un oourant d'air   suivant la flèche f2 et dégageant la nappe de poils des pointes du deuxième pioker 9. Ce courant d'air s engage dans un oanal   plat 60 vertical ou oblique constitué par deux faoes planes 61 et 62 entre lesquelles se trouvent des cloisons 63. Ces cloisons sont divisées en deux groupes de part et d'autre du plan médian, ces deux groupes oomprenant de préférence chacun un nombre dif- férent de cloisons.

   Les cloisons 63 canalisant les filets d'air chargés de poils répartis uniformément   à   la sortie du pioker 9 et de la brosse 10, ohangent leur direction de 90  et les oon- duisent, toujours avec une répartition uniforme dans les deux ouvertures verticales 64 comprises entre les faoes 61 et 62. 

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   Ces deux ouvertures débouchent à angle droit dans deux   conduits   65 dans lesquels passe le courant d'air prinoipal aspiré au travers du uylindre perforé 18 par le ventilateur   hélioolde.   



  On voit que les filets d'air chargés uniformément de poils et répartis uniformément sur toute la hauteur des oanaux viennent se mélanger avec ces deux courants d'air principaux et que la répartition des poils est uniforme dans toute la hauteur du cou- rant d'air résultant. Ces poils viennent s'appliquer en une oou- che d'épaisseurs uniformes sur le cylindre perforé 18 en rotation. 



   L'arroseur 45 est monté pivotant autour d'un axe verti-   cal 66 et il peut occuper deux positions : l'une figurée, en position d'arrosage et 1 autre à l'extérieur de la machine, la pa-   roi de la maohine étant alors reconstituée par un volet 67. 



  L'arrivée d'eau passe par exemple par la partie inférieure du pivot 66. 



   L'avantage de cette disposition est que pendant l'opé- ration de bastissage l'arroseur est en dehors de la cuve et que du poil ne vient pas se coller sur sa face humide. 



   Bien entendu l'invention n'est nullement limitée aux modes d'exécution représentés et décrits qui n'ont été choisis qu'à titre d'exemple. 



    REVENDICATIONS   
1.- Machine à bastir les manchons de feutre oylindriques comportant les organes usuels des machines à bastir pour l'amenée du poil : tapis roulant, groupes de rouleaux alimenteurs, rou- leaux piokers, etc.. caractérisée en ce qu'elle comprend un   oylin-   dre vertical perforé de dimension correspondant à celles du man- chon à obtenir et animé d'un mouvement de rotation autour de son axe, un appareil tel qu'un ventilateur destiné à créer un oou-   rant d'air puissant à l'intérieur du cylindre et parallèlement à son axe et combiné avec un conduit d arrivée d'air disposé sur   la périphérie extérieure et sur toute la hauteur du cylindre de façon que le uourant d'air ait, extérieurement au cylindre,

   une direction transversale par rapport à l'axe du cylindre et un dis- positif destiné à reprendre le poil provenant de l'appareil   dtame-   née et à le disperser uniformément dans toute la hauteur du con- duit d'arrivée d'air.

Claims (1)

1. 2. - Machine ouivant la revendication 1, caractérisée en ce que le uonduit d'arrivée d'air qui passe au-dessus du der- nier rouleau picker, a une largeur correspondant à la lengueur de ce rouleau et le aispositif de reprise au poil est constitué par un appareil tel qu'un ventilateur créant un oourant d'air secondaire traversant les pointes du dernier rouleau pioker et combiné avec des tubulures verticales placées à l'intérieur du conduit d'arrivée d'air principal et au-dessus dudit pioker,

   oes tubulures oomportant des ouvertures latérales à des hauteurs dif- férentes disposées de telle sorte que les poils détachés des dents du pioker par le courant d'air auxiliaire soient projetés dans le uourant d'air principal suivant une direction sensible- ment perpendiculaire à celle de ce courant et de façon à être réparti uniformément sur toute la hauteur du conduit qui oorres- pond à la hauteur du cylindre perforé. <Desc/Clms Page number 7>

   3. - Maohine suivant lesrevendications 1 et 2, oarao- térisée en ce que dans le conduit d'arrivée d'air chargé de poils sont disposés des organes d'orientation des filets d'air constitué! par exemple par des volets d'inolinaison réglable.

   4.- Machine suivant les revendications 1 à 3, oaractéri- sée en ce que le ventilateur créant le courant d'air auxiliaire a la forme d'une cage d'éoureuil et ses aubes qui tournent à proximité du dernier pioker ont une largeur périphérique du même ordre de grandetir que l'espaoe séparant deux aubes consécutives.

   5. - Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que un autre modo do @ le dispositif de reprise du poil est constitué par un canal plat vertical ou obli- que disposé au-dessus du dernier rouleau pioker, de même largeur que la longueur de ce dernier et dans lequel sont disposées des cloisons parallèles au sens du oourant principal d'air, de hauteurs différentes et recourbées sensiblement à 90 de part et d'autre du plan médian du canal de façon à délimiter une série de oanaux en éventail par lesquels le poil, entraîné par un courant d'air auxiliaire, est projeté dans le oourant d'air principal unifor- mément sur toute sa hauteur et suivant une direction sensiblement perpendiculaire au sens de ce courant,

   l'air principal étant ad- mis par deux conduits disposés de part et d'autre du oanal plat et débouchant à la périphérie du cylindre perforé.

   6.- Maohine suivant les revendications 1 à 5, caraoté- risée en ce que le cylindre perforé est suspendu verticalement à une oouronne rotative, sa partie inférieure est libre et le fond est oonstitué par une ouvette légèrement oonique comportant en son centre un siphon.

   7.- Machine suivant les revendications 1 à 6, oarao- térisée en ce que le cylindre tourne dans une cuve cylindrique verticale fixe comportant au moins une porte et une rampe d arro- sage et une ouverture de hauteur réglable correspondant sensible- ment à celle du manchon à obtenir et dans lequel débouche le conduit d'arrivée d'air principale d'autres ouvertures également réglables pouvant éventuellement être ménagées sur les parois de ladite cuve pour permettre des arrivées d'air supplémentaires.

   8.- Maohine suivant les revendications 1 à 7, oaraoté.- risée en ce que le courant d'air principal est créé par un ven- tilateur héliooide disposé sur le même axe vertical et immédia- tement au-dessus du cylindre et combiné avec un dispositif d'an- nulation de son aspiration, un diffuseur et une chambre à poils.

   9. - Maohine suivant les revendications 1 à 8, oarao- térisée en ce que le ventilateur et son diffuseur sont agenoés de façon à créer et entretenir une vibration du oourant d'air.

   10.- Machine suivant les revendioations 1 à 9, carac- térisée en ce que les parois de la chambre à poils sont consti- tuées par des treillis métalliques ou des tôles perforées ap- puyés et soutenus par des grilles constituées par des tubes de vapeur.

   11. Machine suivant les revendications 1 à 10, carac- térisée en ce que le courant d'eau d'arrosage est animé d'un <Desc/Clms Page number 8> mouvement pulsatoire par exemple en lui imprimant des variations alternatives de pression.

   12. - Machine suivant les revendioations 1 à 10, oaraotérisée en ce que la rampe d'arrosage est soumise à un mouvement de trajectoire circulaire de petite amplitude et grande fréquence donnant aux jets d'eau sortant de cette rampe un mouvement pulsatoire.

   13. - Machine suivant les revendications 1 à 12, carac- térisée en ce que la rampe d'arrosage est montée pivotante autour d'un axe vertical et combinée avec un volet également pivotant oomplétant la paroi de la cuve lorsque la rampe est placée en aehors de la cuve.

   14. - Machine à bastir les manchons de feutre oylindriques, en substance comme décrit et représenté. 6 mots barres, nuls Approuve.