<Desc/Clms Page number 1>
" Machine pour la production (dressage) mécanique de macarons en grandes !quantités", , La présente invention a pour objet une machine pour la fabrication (dressage) mécanique de macarons en grandes quan- tités ou masses.
Les macarons consistent en fragments de noix ou d'amandes, en blanc d'oeuf et en sucre et sont cuits au four sur des tôles à patisserie ou de cuisson garnies de papier. Cette pâte ou masse a la consi,stance d'une bouillie épaisse.
S'il est vrai qu'on a employé souvent des machines aussi dans la technique de-la pâtisserie, on n'a cependant pu jus- qu'à présent dresser les macarons sur.les tôles de cuisson qu'à la main, c'est-à-dire les former;au moyen de la poche en caoutchouc, ce qui est fatiguant et prend du temps et est par conséquent très coûteux. La poche en caoutchouc remplie est lourde. Comme son ajutage.(douille) doit être conduit par la main gauche au-dessus de la'tôle de cuisson elle ne peut être
<Desc/Clms Page number 2>
portée que par la main droite, qui doit en même temps expulser la pâte par pressage.
La main porteuse se fatigue donc rapide- ment et, par conséquent, il n'est pas possible non plus de pro- duire des macarons de grandeur, poids et forme réguliers, ce qui est désirable eu égard à ce qu'ils sont vendus couramment par nombre de pièces et parce que les macarons terminés détachas de leur support en papier sont, comme on l sait, réunis par leur fond ou base collante.
L'invention a pour but de supprimer ces désavantages au moyen d'un dispositif mécanique qui permette une fabrication en grandes quantités grâce à ce qu'à chaque course de travail une série ou rangée de macarons qui s'étend sur toute la largeur de la tôle de cuisson est produite. Dans le cas de la largeur ordinaire des tôles de cuisson, soit 45 x 87 cm avec 18 ran- gées de 6 pièces, on peut dresser 18 tôles avec un tota'l de 1944 pièces en 3 minutes environ. Dans la fabrication manuelle en usage jusqu'à présent, laquelle fournit des macarons inégaux, il fallait pout un rendement pareil environ 15 ouvriers, qui avaient encore besoin pour cela d'un temps de travail double.
De plus, suivant l'invention, on peut fabriquer des macarons ayant un poids, une grandeur et une forme réguliers.
On connaît des dispositifs pour dresser des masses pâtis- sières mousseuses, Un dispositif de ce typa possède, par exemple, une trémie et une paire de cylindres cannelés, qui conduisent la masse à un dispositif d'éjection sous-jacent au sortir duquel la masse arrive en proortions sur la tôle de cuisson, qui est portée par une bande ou courroie sans fin et 'est mue pas-à-pas (par intermittence)... cette fin, une cuve placée transversalement par rapport à l'ex longitudinal de la machine et contenant la série des ajutages d'éjection et sous laquelle se trouve la bande transporteuse sans fin pour les .tôles de cuisson, est prolongée vers le haut jusdque tout con- tre la trémie,de façon qu'à chaque course ascendante una éjec-
<Desc/Clms Page number 3>
tion se produise.
Il en résulte d'abord que la partie voisine de la bande transporteuse est aussi soulevée et abaissée dans une mesure correspondante avec la.tôle de cuisson. En outre, les parois latérales de la trémie qui sont orientées dans la même'direction que les'cylindres transporteurs sont percées de trous ou jours, dans lesquels reposent ces cylindres trans- porteurs, de sorte qu'on n'est pas à même d'excercer une pres- sion sur.la masse contenue dans la cuve, ce qui est précisé- ment nécessaire dans le. cas d'une pâte à macarons,qui est fragmentait et épaisse, lorsque les portions de pâte ou masse.,sortant des ajutages d'éjection doivent être de même forme et de même grandeur. Il manque donc au dispositif d'éjec- tion.un appareil qui permette de doser les portions individuel- les. Certes, on' connaît aussi des dispositifsde dosage.
Ain- si, par exemple , un dispositif pour placer des ornements sur les gâteaux, tartes et pâtisseries analogues,qui travaille donc également avec des masses mousseuses, bien susceptibles d'être projetées, possède sous une trémie, dans laquelle la.masse est mise sous pression;par une commande à roues den- tées agissant sur un couvercle de pression, un cylindre à piston de pressage, dans lequel la masse est aspirée, moyen- nant êcartement d'un clapet, pendant la course en arrière du @ piston', tandis que pendant la course en avant du piston le contenu en masse du cylindre sort de l'ajutage d'éjection en repoussant un clapet de retenue.
Toutefois, les clapets de ce genre sont à peine capables de se fermer et de ,s'ouvrir aussi rapidement et de façon@aussi étanche qu'il est nécessaire pour un dosage exact pour des pièces profilées en masse pâtissière telles que les macarons. Ils sont trop lents à fonctionner et leur fermeture complète peut trop facilement âtre empêchée par les constituants surtout fragmentaires (esquilleux) de la pâte à macarons, qui restent entre le clapet et son siège. En dehors,de cela, cet appareil, d'après toute sa construction, n'est destiné et ne convient qu'à la manoeuvre manuelle, et non,
<Desc/Clms Page number 4>
par conséquent, à une production en masse.
L'invention atteint le but visé,en partant de la machine à dresser susmentionnée,comprenant une trémie qui reçoit la pâte, s'étend transversalement par rapport à l'axe longitudi- nal de la machine et oomprend une.paire de cylindres transpor- teurs qui conduit la pâte vers un dispositif d'éjection sous- jacent, et elle consiste en ce que la trémie est complètement fermée latéralement , enferme complètement les cylindres canne- lés actionnés continûment et est fermée dans le bas par un dis- positif doseur ayant la forme d'un corps qui est percé d'une rangée de forures s'étendant dans le sens longitudinal de la machine,recevant chacune un piston, et pouvant être mises al- tentarvi ment en communication chacune avec une conduite d'adduc- tion pour la pâte, d'une part, et chacune avec un ajutage d'é- jection, d'autre part,
par des tiroirs d'arrêt ou d'obturation.
Cette conformation de la trémie a pour conséquence que la pâte située en dessous des cylindres transporteurs est mise sous une pression constante par la commande continue de ces derniers, à l'intérieur de l'espace ou chambre fermée de toutes parts et dans la direction des trous de sortie ménagés dans le fond de la trémie, cette pression étant extrêmement importan- te pour un dosage régulier de la pâte à macarons à raison de la nature particulière (sui generis) de celle-ci. L'emploi du corps quicontient les pistons dans les forures cylindriques en combinaison avec les tiroirs d'arrêt forme l'autre condition préalable pour un dosage uniforme en quantité et en grandeur des macarons.
Les tiroirs d'arrêt s'ouvrent et se ferment sûrement et rapidement, parce que dans le dispositif décrit plus haut les parties en forme d'éclats ôu fragments des macarons ne sont pas écrasées mais découpées.
On obtient un mode de construction particulièrement com- mode et bon marché des tiroirs d'arrêt, lorsque le corps en forme de liteau contenant les forures présente deux tiroirs
<Desc/Clms Page number 5>
reliés rigidement, logés dans ses surfaces supérieure et infé- rieure dans des rainures de guidage, et présentant des rangées, décalées l'une par rapport à l'autre, de trous qui sont espa- cés 'de la même façon que les forures et libèrent ou ab turent alternativement l'une ou l'autre ouverture des cylindres de pressage ou refoulement . Ces tiroirs sont commandés par un levier fixé latéralement .au'bâti de la machine de façon à pouvoir pivoter et qui est .actionné par une commande rotative a came.
Tous les pistons sont fixés à une tringle qui est portée par des tringles coulissantes guidées dans des supports ou che- valets ,du bâti de la machine.'Ces tringles coulissantes sont entraînées dans les deux sens'par d'autres tringles, plus longues, guidées de la même manière, qui sont engagées par des butées,derrière leurs extrémités et sont mues elles-mêmes par un 'levier, mis en oscillation par une commande à excentrique.
Afin que l'on puisse faire varier1%amplitude du pas de ce dis- d' positif/entraînement , une-des butées d'entraînement reçoit la ' forme de disques à came, que l'on peut faire tourner au moyen d'un arbre'portant ees disques et muni d'un volant à main.
Comme support pour la tôle de cuisson, il ,est prévu à la manière 'connue une voie transporteuse mue pas pas,et en fait une bande sans fin.
Sur le dessin, on a représenté un exemple de réalisation de.l'objet de l'invention.
La fig. 1 est une élévation latérale de la machine; la"fig. 2 est une vue d'un détail de la commande; la fig. 3 , une coupe transversale à travers le réci- pient pour la masse ou pâte à macarons et le système d'aju- $ages d'éjection; là fig. 4, une coupe longitudinale par rapport à la fig.
3 ; et ' la f ig. 5 , une vue de dessus en plan des parties ou pièces essentielles , le récipient à pâte étant enlevé.
<Desc/Clms Page number 6>
Le récipient en forme de trémie oblongue 1 est rempli à peu près jusqu'au bord, de la pâte à macarons, qui a la consistance d'une bouillie épaisse. Dans ce récipient, il est prévu deux cylindres 2, 2a à surface cannelée, s'étendant trans- versalement par rapport à l'axe longitudinal de la machine et se trouvant en liaison motbice l'un avec l'autre de façon tel- le qu'ils tournent en sens inverses dans la direction des flè- ches. Tandis qu'ils sont placés assez près des parois longitu- dineles du récipient 1, ils forment au milieu du récipient une fente à travers laquelle de la pâte à macarons est envoyée cha- que fois de l'espace supérieur du récipient dans l'espace in- férieur la de celui-ci.
La réserve de pâte située en dessous de la paire de cylindres 2, 2a est, de ce fait, mise énergique- ment sous pression , en particulier au milieu dans la direc- tion d'une série de trous 3 ménagés dans le fond du récipient 1. La pâte entre donc régulièrement sous une pression suffi- sante dans ces trous 3 dès qu'un dispositif d'obturation rend cette voie libre.
Dans les surfaces supérieure et inférieure d'un liteau 4 d'épaisseur convenable, également orienté transversalement par rapport à l'axe longitudinal de la machine, des tiroirs ou registres coùlissants 5,5a qui sont réunis rigidement entre eux par leur extrémité, sont disposés dans des rainures de guidage. En outre, ce liteau 4 est percé d'une série de fo- rures cylindriques 6 disposées dans le sens longitudinal de la machine et/dans lesquelles des pistons 7 sont guidés.
Un ar- bre tournant 8 supporté dans le bâti de la machine, présente, à une extrémité, un guida en forme de rainure de came 8a, dans lequel est engagée une saillie d'un bras 9 qui, par une de ses extrémités, 9a, est monté sur le bâti de la machine defaçon @ à pouvoir pivoter et est engagé, par son autre extrémité,dans un oeillet des deux tiroirs 5,5a de façon telle que ceux-ci exécutent un mouvement de va-et-vient dans la direction de la
<Desc/Clms Page number 7>
flèche double dessinée sur la fig. 4.
Les tiroirs 5, 5a pré- sentent des jours 12, 12a séparés les uns des autres par une distance égale à celle qui sépare les forures cylindriques 6 et décalés les uns (12) par rapport aux autres (12a). Lorsque les jours ou forures 12 coïncident avec les trous 3, les pis- tons 7 sont repoussés en arrière. En même temps, les forures conduisant aux ajutages d'éjection 13 sont'fermés par le tiroir inférieur 5a. Il se crée donc un vide dans les espaces ou cham- bres 6, de sorte qu'elles se remplissent uniformément de la pâte à macarons.
Lorsque ce-remplissage est terminé, les pas- sages vers les ajutages 13 :sont ouverts par les tiroirs 5,5a et ceux vers la partie la du réoipient 1 sont fermés par ces tiroirs, de sorte que lors du'mouvement de retour des pistons 7, les chambres cylindriques 6 se vident vers le bas sur une tôle de cuisson 14, qui est mue pas à pas par une bande trans- porteuse sans fin 15 guidée autour de rouleaux, par une com- mande- convenable. Ce mouvement pas à pas peut être réglé à i volonté d'après la grandeur des macarons à produire , à l'aide de moyens convenables, par exemple,des cliquets d'entraînement.
La grandeur des macarons mêmes est réglée par la course des pistons 7, -qui sont fixés à une tringle 18. Des paires de tringles coulissantes 10, 11 orientées dans le sens longitudi- nal de la machine sont guidées dans des supports au chevalets 21. Les tringles 10 portent la tringle 18. Elles sont animées d'un mouvement de va-et-vient dans le sens de la flèche double (selon la fig. 5 par une paire de leviers16 (. fig. 1), qui sont actionnés par des plateaux 17 montés excentriquement. A une extrémité, les tringles 10 portent des saillies 10a qui s'é- tendent derrière les tringles 11 et de ce fait entraînent ces dernières. A l'autre extrémité, les tringles 10 portent,comme organes d'entraînement, des disques à came 19, qui entraînent les tringles 11 dans l'autre sens et ce plus tôt ou plus tard selon la position des disques à came.
Ces derniers sont montés sur un arbre 20 que'l'on peut faire tourner au moyen du volant
<Desc/Clms Page number 8>
à main 20a.
Le récipient 1 repose par son fond de façon étanche sur le liteau 4, qui est fixé sur le bâti de la machine ou sur les supports 21 et rend ainsi étanche le tiroir supérieur 5; le tiroir inférieur 5a étant en revanche étanché par la liteau muni des ajutages 13. Ces pièces peuvent donc être enlevées facilement pour être nettoyées.
L'actionnement de toutes les parties tournantes, c'est-à- dire de la bande transporteuse 15, des commandes 17 et 8 ainsi que de la paire de cylindres 2, 2a est effectué depuis un ar- bre principal, non représenté,par l'intermédiaire de renvois ou transmissions convenables.
REVENDICATIONS.
------------------
1. Machine pour la production en masse de maoarons,consis- tant en une trémie qui reçoit la pâte, s'étend transversalement par rapport à l'axe longitudinal de la machine et est munie d'une paire de cylindres transporteurs qui conduit la pâte à un dispositif d'éjection¯,, sous-jacent,,au sortir duquel la pâte arrive en portions sur la tôle de cuisson mue pas à pas, caractérisée en ce que la trémie (1, la) est complètement fermée latéralement, @@@@ enferme complètement les cylindres cannelés (2, 2a) actionnés continûment et est fermée vers le bas par un dispositif de dosage ayant la forme d'un corps'(4) qui présente une rangée de forures (6) s'étendent dans le sens longitudinal de la machine, contenant chacune un piston (7)
et pouvant être mises en communication alternativement avec chaque adduction ou amenée (3) pour la pâte, d'une part, et avec chaque ajutage d'éjection (13), d'autre part, par des tiroirs d'arrêt (5, 5a).
<Desc / Clms Page number 1>
"Machine for the mechanical production (dressing) of macarons in large quantities", The present invention relates to a machine for the mechanical production (dressing) of macaroons in large quantities or masses.
Macaroons consist of fragments of nuts or almonds, egg white and sugar and are baked on baking or baking sheets lined with paper. This paste or mass has the consistency of a thick porridge.
While it is true that machines have often been used also in the pastry-making technique, until now it has only been possible to dress the macaroons on the baking sheets by hand. ie forming them; by means of the rubber bag, which is tiring and time consuming and therefore very expensive. The filled rubber pocket is heavy. Like its nozzle. (Socket) must be driven by the left hand above the cooking plate it cannot be
<Desc / Clms Page number 2>
carried only by the right hand, which must at the same time expel the dough by pressing.
The bearing hand therefore gets tired quickly and, consequently, it is also not possible to produce macaroons of regular size, weight and shape, which is desirable in view of what they are commonly sold. by number of pieces and because the finished macaroons detached from their paper support are, as we know, united by their base or sticky base.
The object of the invention is to eliminate these disadvantages by means of a mechanical device which allows production in large quantities thanks to the fact that at each working stroke a series or row of buttons which extends over the entire width of the baking sheet is produced. In the case of the ordinary width of the baking sheets, ie 45 x 87 cm with 18 rows of 6 pieces, 18 sheets can be erected with a total of 1944 pieces in about 3 minutes. In the manual production in use up to now, which produces uneven buttons, about 15 workers were required for such output, who still needed double the working time for this.
In addition, according to the invention, macaroons can be produced having a regular weight, size and shape.
Devices are known for raising frothy pastry masses. A device of this type has, for example, a hopper and a pair of fluted cylinders, which lead the mass to an underlying ejection device at the outlet of which the mass. arrives in proportion on the baking sheet, which is carried by an endless belt or belt and 'is moved step by step (intermittently) ... this end, a tank placed transversely with respect to the longitudinal ex the machine and containing the series of ejection nozzles and under which the endless conveyor belt for the baking sheets is located, is extended upwards until completely against the hopper, so that at each upstroke a eject
<Desc / Clms Page number 3>
tion to occur.
As a result, first of all, the adjoining part of the conveyor belt is also raised and lowered to a corresponding extent with the baking sheet. In addition, the side walls of the hopper which are oriented in the same direction as the transport cylinders are pierced with holes or holes, in which these transport cylinders rest, so that one is not able to d 'exert pressure on the mass contained in the tank, which is precisely necessary in the. case of a macaroon dough, which is fragmented and thick, when the portions of dough or mass., coming out of the ejection nozzles must be of the same shape and the same size. The ejection device therefore lacks an apparatus which enables the individual portions to be metered. Of course, dosing devices are also known.
Thus, for example, a device for placing ornaments on cakes, pies and similar pastries, which therefore also works with foamy masses, which are very likely to be thrown, has under a hopper, in which the mass is placed. under pressure; by a cogwheel drive acting on a pressure cover, a pressing piston cylinder, into which the mass is sucked, by spacing a valve, during the back stroke of the piston ' , while during the forward stroke of the piston the bulk content of the cylinder exits the ejection nozzle by pushing back a check valve.
However, valves of this kind are hardly able to close and open as quickly and as tightly as is necessary for exact metering for shaped pieces such as macaroons. They are too slow to operate and their complete closure can too easily be prevented by the mostly fragmentary (scaly) constituents of the macaroon dough, which remain between the valve and its seat. Apart from that, this device, according to all its construction, is intended and only suitable for manual operation, and not,
<Desc / Clms Page number 4>
therefore, to mass production.
The invention achieves the intended object, starting from the aforementioned straightening machine, comprising a hopper which receives the dough, extends transversely with respect to the longitudinal axis of the machine and includes a pair of transport cylinders. teurs which leads the dough towards an underlying ejection device, and it consists in that the hopper is completely closed laterally, completely encloses the rod cylinders operated continuously and is closed at the bottom by a dosing device having the form of a body which is pierced with a row of bores extending in the longitudinal direction of the machine, each receiving a piston, and being able to be placed in communication each with a supply line for the dough, on the one hand, and each with an ejection nozzle, on the other hand,
by shut-off or shutter drawers.
This configuration of the hopper has the consequence that the paste located below the transport rollers is put under constant pressure by the continuous control of the latter, inside the space or chamber closed on all sides and in the direction of the outlet holes formed in the bottom of the hopper, this pressure being extremely important for a regular dosage of the macaron dough due to the particular nature (sui generis) thereof. The use of the body which contains the pistons in the cylindrical bores in combination with the shut-off drawers forms the other precondition for a uniform dosage in quantity and size of the macaroons.
The stop drawers open and close safely and quickly, because in the device described above the parts in the form of splinters or fragments of the macaroons are not crushed but cut out.
A particularly convenient and inexpensive method of constructing the stop drawers is obtained when the batten-shaped body containing the bores has two drawers.
<Desc / Clms Page number 5>
rigidly connected, housed in its upper and lower surfaces in guide grooves, and having rows, offset from one another, of holes which are spaced in the same way as the bores and alternately release or shut down one or the other opening of the pressing or delivery cylinders. These drawers are controlled by a lever fixed laterally .au'bâti of the machine so as to be able to pivot and which is .actuated by a rotary cam control.
All the pistons are attached to a rod which is carried by sliding rods guided in supports or saddles of the machine frame. 'These sliding rods are driven in both directions' by other, longer rods, similarly guided, which are engaged by stops, behind their ends and are themselves moved by a 'lever, set in oscillation by an eccentric drive.
In order to be able to vary 1% of the pitch amplitude of this positive / drive device, one of the drive stops takes the form of cam discs, which can be rotated by means of a cam disc. shaft carrying these discs and fitted with a handwheel.
As a support for the baking sheet, there is provided in the known manner a non-moving conveyor track, and in fact an endless belt.
In the drawing, there is shown an embodiment of the object of the invention.
Fig. 1 is a side elevation of the machine; Fig. 2 is a view of a detail of the control; Fig. 3 a cross section through the container for the macaron mass or dough and the ejection adjuster system; there Fig. 4, a longitudinal section in relation to fig.
3; and 'the f ig. 5, a top plan view of the essential parts or parts with the dough container removed.
<Desc / Clms Page number 6>
The oblong hopper-shaped container 1 is filled approximately to the brim with the macaroon dough, which has the consistency of a thick porridge. In this container, two cylinders 2, 2a are provided with a fluted surface, extending transversely with respect to the longitudinal axis of the machine and lying in motor connection with one another in such a manner. that they turn in opposite directions in the direction of the arrows. While they are placed fairly close to the longitudinal walls of the container 1, they form a slit in the middle of the container through which macaron dough is sent each time from the upper space of the container into the space. lower than the latter.
The stock of dough located below the pair of rollers 2, 2a is therefore strongly pressurized, in particular in the middle in the direction of a series of holes 3 made in the bottom of the container. 1. The paste therefore enters regularly under sufficient pressure into these holes 3 as soon as a sealing device makes this path free.
In the upper and lower surfaces of a batten 4 of suitable thickness, also oriented transversely with respect to the longitudinal axis of the machine, drawers or sliding registers 5.5a which are rigidly joined together by their end, are arranged in guide grooves. In addition, this batten 4 is pierced with a series of cylindrical bores 6 arranged in the longitudinal direction of the machine and / in which pistons 7 are guided.
A rotating shaft 8 supported in the frame of the machine has, at one end, a guide in the form of a cam groove 8a, in which is engaged a projection of an arm 9 which, by one of its ends, 9a , is mounted on the frame of the machine so that it can pivot and is engaged, by its other end, in an eyelet of the two drawers 5.5a such that they perform a back and forth movement in the direction of
<Desc / Clms Page number 7>
double arrow drawn in fig. 4.
The drawers 5, 5a have openings 12, 12a separated from each other by a distance equal to that which separates the cylindrical bores 6 and offset from each other (12) with respect to each other (12a). When the openings or bores 12 coincide with the holes 3, the pistons 7 are pushed back. At the same time, the bores leading to the ejection nozzles 13 are closed by the lower drawer 5a. A vacuum is therefore created in the spaces or chambers 6, so that they fill uniformly with the macaroon dough.
When this filling is finished, the passages towards the nozzles 13: are opened by the drawers 5.5a and those towards the part 1a of the container 1 are closed by these drawers, so that during the return movement of the pistons 7, the cylindrical chambers 6 empty downwards onto a baking sheet 14, which is moved step by step by an endless conveyor belt 15 guided around rollers, by a suitable drive. This step-by-step movement can be adjusted at will according to the size of the buttons to be produced, with the aid of suitable means, for example, drive pawls.
The size of the buttons themselves is regulated by the stroke of the pistons 7, -which are fixed to a rod 18. Pairs of sliding rods 10, 11 oriented in the longitudinal direction of the machine are guided in supports at the trestle 21. The rods 10 carry the rod 18. They are moved back and forth in the direction of the double arrow (according to fig. 5 by a pair of levers16 (. Fig. 1), which are actuated by eccentrically mounted plates 17. At one end, the rods 10 carry protrusions 10a which extend behind the rods 11 and thereby entrain the latter. At the other end, the rods 10 carry, as members of drive, cam discs 19, which drive the rods 11 in the other direction and this sooner or later depending on the position of the cam discs.
These are mounted on a shaft 20 which can be turned by means of the handwheel.
<Desc / Clms Page number 8>
hand 20a.
The container 1 rests by its bottom in a sealed manner on the batten 4, which is fixed on the frame of the machine or on the supports 21 and thus seals the upper drawer 5; the lower drawer 5a, on the other hand, being sealed by the batten provided with the nozzles 13. These parts can therefore be easily removed for cleaning.
The actuation of all the rotating parts, that is to say of the conveyor belt 15, of the controls 17 and 8 as well as of the pair of cylinders 2, 2a is carried out from a main shaft, not shown, by the intermediary of suitable referrals or transmissions.
CLAIMS.
------------------
1. Machine for the mass production of maoarons, consisting of a hopper which receives the dough, extends transversely to the longitudinal axis of the machine and is provided with a pair of conveying cylinders which conducts the dough. to an ejection device ¯ ,, underlying ,, from which the dough arrives in portions on the step-by-step cooking plate, characterized in that the hopper (1, la) is completely closed laterally, @@ @@ completely encloses the continuously operated splined cylinders (2, 2a) and is closed downwards by a metering device in the form of a body (4) which has a row of bores (6) extending into the body. longitudinal direction of the machine, each containing a piston (7)
and which can be placed in communication alternately with each adduction or feed (3) for the dough, on the one hand, and with each ejection nozzle (13), on the other hand, by shut-off drawers (5, 5a ).