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Jeu d'adresse et de compétition.
La présente invention a pour objet un jeu d'adresse et de compétition, du type dans lequel chacun des joueurs a à sa disposition un certain nombre de billes ou boules, qu'il lance sur une piste vers un ou des buts. Chaque bille lancée sur la piste revient dans un réceptacle à billes d'où elle peut être sortie et ramenée vers un mécanisme de lancement, par exemple après libération par un mécanisme à prépayement. Les billes qui ont atteint un but déclanchent, lors de leur retour vers le magasin, des contacts électriques doit le nombre correspond précisément au nombre de points marqués à chaque but.
Alors que, dans les appareils connus, ces points s'additionnent à un compteur et sont visibles à un voyant, l'invention relie les contacts électriques à divers circuits moteurs, agissant sur une pièce visible qui décrit, à chaque fermeture d'un contact, une trajectoire d'amplitude déterminée. Cette pièce peut représenter tout mobile quelconque, un cheval, une auto, un avion, ou un cycliste.
Ainsi, une réalisation très intéressante et d'un caractère attractif consis-
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te à donner à ce mobile la forme d'un cycliste connu, le jeu comportant par exemple quatre coureurs cyclistes connus représentant chacun une nation ou une marque de cycles ; au départ, appareil à vide, les quatre cyclistes se trouvent au début d'une piste ou trajectoire rectiligne divisée en étapes et représentant par exemple toutes ou partie des étapes d'une grande épreuve cycliste telle que le tour de France. Chaque terminus d'étape est marqué du nom de la ville correspondant à cette étape dans la dite épreuve. Chaque joueur choisit un cycliste, et le jeu consiste à envoyer les billes vers les buts de haute valeur de façon à faire avancer le cycliste choisi le plus rapidement possible (avec le moins de billes possible) vers l'arrivée.
L'appareil comporte nécessairement à cet effet un mécanisme spécial permettant au joueur de régler l'appareil pour que le mobile ou cycliste choisi avance sur la piste quand le joueur correspondant joue, ainsi qu'un dispositif de ramenée de tous les cyclistes au point de départ. pratiquement, chaque joueur dispose du même nombre de billes, et il les lance successivement, ce nombre de billes étant tel qu'un joueur adroit puisse amener avec sa seule série de billes, son mobile ou cycliste jusqu'à l'extrémité d' arrivée de la pi ste .
Afin que l'invention soit clairement comprise, on en a représenté, au dessin annexé, une forme non limitative de réalisation, les mobiles représentait des coureurs cyclistes. A ce dessin : fig.l est une vue en plan, parties en coupe, de l'appareil, fig.2 est une vue en plan, montrant plus particulièrement les circuits et contacts électriques, ainsi que le mécanisme d'avancement des mobiles, fig.5 est une vue en plan des chicanes de rejet de billes en-dessous de la surface qui comporte les buts, fig.
4 est une coupe verticale suivant la ligne brisée IV-IV de la fig.l,
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fig.5 est une vue, à plus grande échelle, d'un détail du mécanisme d'avancement de mobiles, fig.6 est la vue, à plus grande échelle et de face en élévation, du mécanisme sélecteur des mobiles, fig.7 est le détail de la pièce de ramenée des mobiles au point de départ, fig.8 est la vue en plan du mécanisme de lancement des bil- les vers les buts et fig.9 en est la coupe verticale axiale.
L'appareil est formé d'une caisse plate 1, à fond incliné 2, et couvercle supérieur 3 transparent ; cette caisse peut être posée sur une table ou reposer sur des pieds 4. La plus grande partie de la caisse est occupée, sous la vitre 3, par la piste de lancement des billes, qui comporte une surface de roulement 5, légèrement montante, sur laquelle, à un bout, est posée une surface 6 très inclinée, formée pour représenter dans l'exemple un massif de montagnes, dans lequel sent pratiqués des chemins lisses de roulement 7. La surface 5 est limitée aux deux longs côtés par des cloisons verticales telles que 8, de manière à laisser subsister deux bandes allongées 9 dans lesquelles sont situés des buts formés par de simples trous 10.
Les billes telles que 11 sent amenées urne à une, à partir d'un compartiment ou magasin connu, non représenté, dans une rigole de départ 12 qui s'étend sur la plus grande partie du bord longitudinal de la surface 5. L'amenée de ces billes se réalise de l'extérieur, par la manoeuvre d'une manette 15, ainsi qu'il est bien connu dans les appareils à billes. Chaque bille est ainsi amenée devant un méca- nisme de lancement, d'un type quelconque, qui comporte par exemple un poussoir 14 à déclanchôment ou à ressort, de manière à permettre au joueur de lancer la bille avec une force réglable et essentiellement variable. La bille lancée le long du couloir 12 quitte celui-ci et ne peut y rentrer, grâce à la portière 15.
Elle roule le long de la bande 16 en arc de cercle et, suivant
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la force de lancer, descend le long d'une des rigoles 9, ou passe directement sousla surface très inclinée 6. Dans le premier cas, elle peut tomber dans un des trous 10, pour être ramenée automatiquement dais le magasin après avoir éventuellement, si le trou considéré a une valeur, établi un ou des contacts de commande des mobiles dont il sera parlé plus loin. Si la bille ne rencontre aucun des trous 10, elle roule vers le bas de la surface 5 ; si elle passe sous la surface 6, elle roule également, par la partie centrale de la surface 5, vers le bas de celle-ci, à moins que les chicanes 17, prévues sur la surface 5 en dessous de la surface 6 (fig.3 et 4) ne la ramènent vers les rigoles 9.
De toute façon, la bille lancée par le poussoir 14, si elle n'est pas tombée dans un des trous 10, revient vers le bas de la surface 5.
A son extrémité inférieure, le plan incliné 5 est également limité par une bande en arc de cercle 18 qui oblige les billes à revenir vers une grande lumière 19 qui ramène ces billes au magasin de réserve. Mais le joueur possède un moyen d'em pécher ces billes de passer à la lumière 19 et de relancer les billes vers les buts de haute valeur formés dans la surface 6.
Ce moyen est constitué par une espèce de revolver 20 à ressort, monté coulissant transversalement à l' appareil, sur un rail 21 fixé dans la lumière allongée 22 pratiquée dans la paroi verticale de l'appareil. La crosse seule du revolver fait saillie en dehors de l'appareil, tandis que son canon se trouve à l'intérieur et s'appuie, par un petit godet extrême 23, sur le plan incliné 5, au-delà de la lumière 19, En manoeuvrant convenablement l'arme sur son support 21, pendant la descente de la bille, on réussit à recevoir cette bille dans le godet 23, d'ou elle passe dans le canon 24 de l'arme. Dans ce canon se meut l'extré- mité d'un percuteur 25 formé d'une tige ou barre pivotant en 26 et qui traverse une lumière allongée 27 du canon ;
cette tige se prolonge au-delà du pivot et son extrémité inférieure est
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sollicitée par un ressort 28 fixé à la pièce 29 solidaire de l'arme. Cette tige 26 por te un bras 30, . terminé par un be c qui. est en prise avec les dents d'un bras 31 pivotant en 32, un fort ressort 33, rattaché à la pièce 29, sollicitant ce bras 31 à pivoter vers la orosse de l'arme. 54 est un bouton qui termine, latéralement à l'arme, un bras 35 porté également par le pivot 26.
Dans la position représentée en fig. 9, où une bille vient d'être lancée, il suffit, pour réarmer, d'abaisser le levier 35 dans la direction de la flèche ; le bras-eliquet 30 en pivotant, repousse vers la droite le bras 32, en tardant, du. fait de ce pivotement et du pivotement du bras 25, les deux ressorts 33 et 28, le bec du bras 30 par son engagement dansles dents du bras 31, maintenant le percuteur 25 dans la position armé ". Le bras 31 est relié à un bras 36, terminé par une partie horizontale 37, munie d'un ou plusieurs ergots 38 avec lesquels peut venir en prise l'extrémité d'un bras-poussoir 39 solidaire de la poignée de l'arme, mais susceptible de coulisser dans celle-ci sous l'action du doigt appliqué sur le bouton 40.
Pour tirer, il suffit d'appuyer sur le bouton 40 : lebras 39 fait avancer horizontalement le bras 36-37, ce qui détermine la libération, par pivotement, du bras 31; les ressorts 28-33 se détendent brusquement et font pivoter le percuteur 25 qui chasse la bille hors du canon 24.
La force de lancer dépend essentiellement de la quantité dont auront été tendus les ressorts, c'est-à-dire de la quantité dont aura été abaissé le bras 35. Ceci permet donc de régler la force de roulement des billes, qui est déterminante au point de vue du résultat, comme on va le voir.
Le plan fortement incliné 6, vers lequel on lance les billes par l'arme 20, aboutit, par ses trois canaux ou rigoles 7, au plan incliné 5, tandis qu'à l'arrière, il est supporté par des montants 41. Entre les rigoles saillantes 7, il est réservé des espaces ou passages libres par lesquels la bille peut passer sous le plan 6, pour être relancée, par les chicanes 17, vers
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les parties 9 du plan 5 et être reprises éventuellement par l' arme 20.
L'adresse consiste donc en premier lieu, ayant repris par l'arme 20 la bille roulant vers la lumière 19, à lancer cette bille dans une des rigoles avancées 7. Comme le montre la fig.l, chacune de celles-ci comportent des embranchements 7', qui comme la rigole 7, se terminent par un cul-de-sac à trou 42. Des barrières 45 empêchent la bille de revenir une fois une barrière passée ; les bute ou troue des embranchements ont plus de valeur que ceux situés au bout des rigoles 7, de sorte que le joueur devra régler son lancer pour que labille engagée dans une rigole 7 passe dans un des embranchements 7' plutôt que d'aboutir au but terminant la rigole 7.
Tous les trous 42 et 10 ouvrent dais des conduits inclinés tels que 42' qui aboutissent à un endroit déterminé d'un plan incliné 44, monté sous le plan 5, et supporté par le fond 2. Ce plan incliné ramène les billes vers l'avant du jeu, dans le magasin, mais les billes qui roulent sur ce plan déclanchent (ou établissant) des contacta électriques en nombre dépendant de l'endroit où la bille arrive sur le plan 44. Comme le montre la fig.4, il y a trois endroits ou points d'arrivée, le plus élevé correspondant à trois points (trois contacts) le deuxième à deux points (deux contacts) et le plus bas à un point (un seul contact) était en tendu que le nombre des contacts, donc la valeur des buts 42 et 10 peut être augmenté.
Chacun des contacts ferme momentanément un circuit électrique, de préférence, pour la simplicité de construction, commun à tous les contacts. Ce circuit est alimenté par -le secteur ou par une petite batterie logée par exemple en 45, dans l'appareil. Les contacts et leurs connections réciproques sont visibles à la fig.2, où ils scat désignés par 46-46' -46". Ils sont d'un type quelconque, très léger, pour assurer leur fermeture moyennant un poids très faible des billes.
Le circuit commun aux divers contacts est établi pour faire
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avancer d'une quantité toujours identique l'un ou l'autre des mobiles qui, dans l'exemple choisi, représentent des coureurs cyclistes 47. L'appareil représenté comporte quatre coureurs 47, mais ce nombre n'est nullement limitatif. Chaque mobile est porté par un curseur vertical 48 (fig.5) qui se déplace le long d'une glissière horizontale 49 fixe (il y a une glissière pour chaque mobile). Le curseur est emboîté par le dessus sur le bord supérieur de sa glissière (rebord 50) tandis qu'infé- rieurement il porte un ou plusieurs galets rotatifs 51 roulant sur le bord inférieur de la glissière.
Chaque glissière est pourvue d'un nombre identique de fenêtres 52 régulièrement espacées, le nombre de ces fenêtres correspondant à celui des diverses stations que comporte le parcours maximum à effectuer.
D'autre part, latéralement à chaque glissière, est monté un volet 53 qui s'étend sur toute la langueur de celle-ci et passe entre le curseur et la glissière, ou se trouve à l'extérieur du curseur (comme dans l'exemple). Ce volet est porté par une tringle horizontale 54, montée pivotante, de manière à pouvoir faire pivoter le volet pour l'appliquer centre le curateur.
Ce dernier porte, à sa face externe,, un levier 55, pivotant en 56 ;une extrémité de ce levier est formée par un doigt vertical 57 qui passe sous le volet (entre celui-ci et le curseur) tandis que l'autre extrémité oomporte un ergot ou cliquet 58 engagé dans une des lumières 52 de la glissière. Un ressort 59 maintient le bec 58 engagé dans cette lumière. Enfin, le curseur 48 est relié à un câble 60 qui, passant sur la poulie 61, est rattaché à une poulie d'enroulement 62 calée sur un arbre 63 sollicité par le ressort 64 à. tourner dans le sens de la flèche pour enrouler le câble et faire ainsi avancer le curseur 48 le long de sa glissière, quand le bec 58 n'est pas engagé dansune lumière 52.
Chaque tringle oscillante 54 se termine, à une extrémité, par un coude 65 dont l'extrémité inférieure est normalement engagée dans l'encoche 66 d'un disque horizontal 67 dent l'axe 68
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est porté par une pièce 69 fixe. A ce disque est rattachée une tige 70 guidée par une pièce 71 qu'elle traverse pour aboutir devant le marteau 72 formant partie de la pièce mobile 72' d'un électro-aimant 73.' Cette pièce mobile pivote en 74 et est rappelée par un ressort 75. L'électro-aimant est relié au circuit électrique des contacts 46-46'-46'' (fils 76).
Les pièces 71 ne sont pas fixes ; ellessent montées coulissables verticalement dans les guides 77 formés dans une barre horizontale 78 perpendiculaire aux diverses glissières 49 ; un ressort 83 (fig.6) tend à ramener chaque pièce 71 à la partie supérieure de son guide, position pour laquelle (comme il est visible pour la piè- ce de gauche de la fig.5) la tringle 7D n'aboutit pas dans la trajectoire de pivotement du marteau 72. Sur la barre fixe 78 peut se déplacer un coulisseau 79 manoeuvré de l'extérieur de l'appareil par le levier 80.
Ce coulisseau glisse sur le bord supérieur de la barre 78, et il porte, inférieurement, une saillie 81, éventuellement remplacée par un galet rotatif qui vient successivement agir sur les pièces 71 pour les abaisser dans leur guide respectif et les maintenir abaissées tant qu'il Y a contact entre cette saillie 81 et la pièce 71 considérée ; dans cette position abaissée, la pièce 71 amène sa tige 70 en face du marteau 72. De préférence, les positions admissibles du curseur 79 sont maintenues par l'engagement d'un galet 82, porté par l'extrémité d'un levier à ressort 84, dans les encoches 85 formées au bord inférieur du curseur (fig.6). 86 est un ressort de rappel pour le disque 67.
L'appareil, au point de vue électrique, fonctionne comme suit. Chaquejoueur ayant fait choix de son mobile commence par amener, grâce au levier 80, le curseur 79 dans la position voulue pour que celui-ci abaisse la pièce 71 correspondant à ce mobile; dès lors, seule la tige 70 correspondant à ce mobile peut être frappée par le marteau 72. Il libère alors les billes du jeu, par exemple par un mécanisme de prépayement quelconque, et
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amène une première bille dans le jeu. Si cette bille passe dans un des trous ouvrant dans un des conduite 42', elle arrive au plan incliné sur lequel elle roule, fermant les con tacts 46-46' -46" etc, suivant l'endroit de chute.
A chaque fermeture de contact, l'électro 73 est excité, le marteau 72 frappe la tige 70 abaissée et fait ainsi tourner le disque correspondant 67 dont l'encoche 66 détermine l'oscillation de la tringle 54. Le volet 53, en s'appliquant de ce fait centre la face externe du curseur 48, fait pivoter le levier 55 dont le bec 58 quitte la lumière b2 dans laquelle il était engagé ; leressort 64 peut ainsi agir ; il enroule le câble 60 sur la poulie 62 et fait avancer le cur saur 48 (et son mobile) d'un cran par contact, le bec 58 retom bant directement dans la fenêtre 52 suivante, grâce à l'action du ressort 86 qui a ramené le disque 67 en position dès que le ressort 75 a rappelé la pièce 72' , ce qui a déterminé le retour du volet à sa position écartée représentée.
Le joueur épuise sa réserve de billes, et a ainsi amené son mobile à un endroit, une station ou étape de la piste que les autres joueurs vont tâcher de dépasser en agissant de même, chaque fois après avoir abaissé par le curseur 79, la pièce 71 qui correspond au mobile choisi par eux. Quand une partie est terminée, c'est-à-dire quand chacum des joueurs a épuisé sa réserve de billes, tous les mobiles sont ramenés ensemble au point de départ., grâce (fig.7) à une raclette 87, horizontale, portée par un coulisseau 88 déplaçable le long d'une glissière 89 parallèle aux glissières 49 ; ce curseur est manoeuvré par le levier 90 sortant de l'appareil, et la raclette agit à la fois sur tous les bras 91 qui portent les mobiles.
Par ce retour au point de départ, les ressorts 64 des divers mobiles se trouvent ramenés sous tension ; la raclette est par exemple rattachée à un câble 92, s'enroulant sur la poul ie 93 dont l'arbre 94 porte un ressort 95 qui, tendu pendant la manoeuvre manuelle de la raclette, ramené automatiquement celle-ci au point d'arrivée de la piste dès qu'on lâche le levier 90.
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Il va sans dire que l'exemple décrit n'est nullement limitatif et que les divers mécanismes, dans les réalisations choisies, sont susceptibles d'être remplacés par tous autres équivalents ou concourant au même but. Ainsi, les mobiles peuvent être autres, le mécanisme sélecteur de mobile peut être d'une antre réalisation et peut agir sur divers électro-aimants, un pour chaque mobile, pour amener dans le circuit électrique l'électro désiré ; la forme du champ de lancement des billes peut varier de même que la disposition des buts et des canaux, ainsi qu'il ressort des revendications ci-dessous, dont le caractère n'est cependant pas limitatif.
REVENDICATIONS.
1. Jeu d'adresse et de compétition, comprenant une piste ou surface inclinée de roulement de projectiles tels que des billes, un mécanisme d'amenée des billes une à une à la partie inférieure de cette surface, un mécanisme de lancement réglable pour les projectiles, des buts dans la surface de roulement, un moyen de ramenée des projectiles partant de ces buts et aboutissant à un magasin, des contacts électriques rencontrés successivement par les projectiles dans leur parcours de retour des buts au magasin, ces contacts fermant un circuit électrique compor tant un électro-aimant dont la pièce mobile détermine l'avancement automatique, pas à pas, de corps mobiles le long d'une piste de parcours, un sélecteur, manoeuvré de l'extérieur, permettant de bloquer tous les mobiles pour n'en libérer qu'un seul choisi par le joueur,
le dispositif comportant en outre un organe manoeuvré de l'extérieur pour ramener ensemble tous les mobiles au point de départ et un orifice étant prévu au bas du plan incliné de lancement de billes pour ramener au magasin de réserve les billes ou projectiles qai n'ont pas atteint un but.