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Procédé de blanchissage.
La présente invention a trait à un procédé per- fectionné de blanchissage industriel du linge, en utilisant des solutions de savon alcalin.
L'invention a principalement pour objet d'éviter les inconvénients des procédés de blanchissage généralement
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emp7.oyfjp j13vqii'à pr600nt ot rl'obi,oui1' titi tl16111oU1' oliavommlt des particules maculant le.linge, avec moins de travail et
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en un temps moindre qu'il n'a été possible de la faire jusque présent.
L'invention vise également la récupération de la majeure partie de la lessive sous une forme telle qu'elle puisse être réutilisée dans une opération de lavage ulté- rieure.
L'invention a encore pour objet la possibilité d' utiliser une solution de lavage de composition sensiblement constante pour le blanchissage des pièces en textiles diffé- rents et de degré de maculation difféent, de sorte que cet- te solution de lavage puisse être préparée, en dehors des ma- chines de blanchissage, dans un réservoir commun à plusieurs machines de ce genre, et envoyée de ce réservoir aaus dites machines dans les quantités voulues pour chaque opération de lavage à effectuer dans celles-ci.
Enfin, l'invention vise à faciliter le rinçage des pièces lavées pour les débarrasser de la lessive et pour ré- duire leur usure pendant l'opération de rinçage.
Dans les dessins annexés : les fig. 1 et 2 sont des diagrammes de procédés de lavage actuellement employés dans les blanchisseries; la fig. 3 est un schéma d'une blanchisserie établie conformément à l'invention.
Dans les blanchisseries actuelles, le lavage s'effeo- tue généralement dans des machines dites de blanchisserie, constituées par un tambour fixe dans lequel tourne un cylin- dre perforé rempli du linge sale. Le savonnage aussi bien que le lavage et le rinçage s'effectuent dans ce même appa- reil. Le schéma de la fig. 1 montre la progression d'une o- pération habituelle de lavage, les abscisses représentant les
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temps, tandis que les ordonnées représentent en traits pleins les quantités de liquide employées, et en traits mixtes la température.
Le linge sale est tout d'abord trempé dans de l'eau pure, ou dans une eau peu savonneuse, dans la machine, pendant sept à huit minutes, et en utilisant à cet effet une quantité de liquide représentant environ dix fois le poids du linge, soit environ 500 litres d'eau pour 50 kg de linge (période A). Après le trempage, l'excédent d'eau est évacué; l'eau restant dans le linge représente environ trois fois le poids de celui-ci. De l'eau pure est ensuite antroduite dans l'appareil jusqu'à ce que la quantité totale d'eau représen- te environ quatre fois le poids du linge, et un produit de blanchissage, généralement constitué par une solution con- centrée de savon et de carbonate de soude ou de soude caus- tique, est introduit dans l'appareil.
Le lavage proprement dit s'effectue alors avec la lessive ainsi obtenue, en fai- sant tourner la machine pendant environ quarante minutes (période B), la température étant progressivement portée pendant cette opération, par introduction de vapeur, à environ 80 à 90 C.. Le cylindre de l'appareil subit pen-
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duit; cotto iJ4i'lJ11 fi uuo ru!.;e!;l<Jll ou uno cata17.1at..l.um oon- tinue.
L'excédent de la lessive souillée est ensuite éva- cué; en raison de la porosité du linge, les trois-quarts environ de la lessive souillée restent dans le linge et doivent être enlevées par rinçage. A cet effet, la les- sive retenue par le linge est diluée au moyen d'eau pure, tout en continuant à faire tourner la machine, après quoi 1 excédent de liquida eet A nouveau évacuó, Cotteopéra- tion de rinçage est répétée cinq à sept fois, avec des quantités d'eau progressivement croissantes (périodes C,
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D, 3, F, G, H) après quoi le linge est pratiquement dé- barrassé de la lessive souillée. Pendant l'opération de rinçage, la température est progressivement abaissée à celle de l'eau de rinçage.
Les difficultés que présente une opération de
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bl.anoh.srnp;s tol.1.a qui décrite so font P':I3:.t 1oullc\rotnont sentir dans le rinçage. Lors du premier rinçage, il faut éviter de pousser la dilution de la lessive à un point tel que les particules émulsionnées par le savon ne soient pré- oipitées sur le linge. Si par ailleursl'eau de lavage em- ployée n'est pas très douce, il se forme des savons calcai- res et d'autres savons insolubles, ainsi que du carbonate. de calcium, tant pendant l'opération de lavage que pendant l'opération de rinçage. Les savons insolubles absorbent très facilement les particules en suspension dans la les- sive souillée et leur précipitation sur le linge lavé don- ne à celui-ci une teinte grise.
Pour éviter l'accumulation des saletés et des sa- vons insolubles dans la lessive, on a déjà proposé dteffec- tuer les opérations de lavage et de rinçage comme l'indique le diagramme de la fig. 2 ; Suivant ce procédé, la lessive souillée est soutirée partiellement à plusieursreprises pen- dant l'opération de lavage ; la solution fraîche est intro- duite dans l'appareil nomme indiqué à la f ig. 2 par les traits pleins, entre l'opération de trempage (période A') et les opérations de rinçage (période Ci).
Le trait plein montre que l'on procède pnr exemple à troie rógónérationn successives de la solution savonneuse fraîche, en soutirant la lessive souillée et en introduisant des quantités corres- pondantes de solution fraîche de savon alcalin (périodes Bl,
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B2, B3). On obtient ainsi un meilleur blanchissage et le rinçage ultérieur est facilité; mais la valeur de ce pro- cédé est diminuée par le fait que la majeure partie de la lessive souillée est retenue par le linge de sortele que la régénération de la lessive est toujours incomplète. De plus, la répétition des opérations de soutirage de la lessive souillée et d'introduction de la lessive fraîche pendant le lavage augmente et le travail à fournir par le personnel et la consommation de savon et de soude.
Conformément à la présente invention, dont le prin- oipal objet est d'éviter les inconvénients des procédés de lavage connus, ci-dessus mentionnés, la lessive est constam- ment débarrassée des savons insolubles formés pendant l'opé- ration de lavage, ainsi que des particules de corps gras et de saleté, émulsionnées dans la lessive, grâce à une centri- fugation continue qui en assure l'évacuation hors de la ma- chine de blanchissage. La centrifugation s'effectue au moyen d'un séparateur centrifuge de type connu que traverse la les- sive et dans lequel toute particule dont la densité est dif- férente de celle de la lessive se trouve déposée.
Pendant 1' opération de lavage, les corps gras contenus dans le linge, de même que les particules de saleté sont émulsionnées dans le solution de savon, et comme les particules de oorpo gras sont plus légères que la lessive, elles tendent à se dépla- oer vers le centre du tambour du séparateur où elles se dé- plsent, tandis que les savons insolubles et les particules de saleté dont la densité est supérieure à celle de la les- sive, se déposent sur la paroi interne du tambour du sépara- teur. De ce fait, la lessive est, à la fin de l'opération de lavage, pratiquement exempte de matières insolubles. La les-
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sive évacuée avant le rinçage du linge est recueillie pour être utilisée pour une opération subséquente.
La première eau de rinçage, toujours riche en savon et en soude est é- galement récupérée, pour être utilisée pour un blahchissa- ge subséquent, puisqu'il ne faut qu'une faible quantité de savon et de soude pour amener sa concentration à la valeur voulue. L'opération de rinçage s'effectue alors préférable- ment par introduction continue d'eau fraâche qui entraîne successivement la lessive retenue par lelinge, jaaqu'à ce que ce dernier soit pratiquement débarrassé de toute trace de savon et de soude.
Dans les procédés de blanchissage employés jusqu' à présent, il faut, pour garantir l'obtention de bons ré- sultats, régler la teneur en produits de blanchissage de la lessive suivant le degré de souillure du linge; pour des raisons d'économie, la quantité de lessive ne doit pas dé-
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poaaay 0(114) qui ont ot'J:'1ott!llnol'tt: n600aaairo, Ce r6glage de la concentration de la lessive s'effectue généralement pour chaque charge de linge à laver, après une estimation de sa teneur en corps gras et en saleté, par adjonction de quan- tités variables de produits de blanchissage à l'eau de la- vage employée dans la machine de blanchissage'. Dans de tels cas, un pourcentage trop élevé de soude peut être préjudi- ciable au linge.
Conforment au procédé objet de l'inven- tion, suivant laquai la lessive est constamment débarrassée des matières insolubles, il n'est pas nécessaire de régler la concentration de la lessive suivant le degré de souillu- re du linge ; un résultat parfaitement suffisant est obtenu à l'aide d'une lessive de composition constante, dont le pour- dentage de savon et de soude est réglé de manière à éviter
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toute action préjudiciable au linge. Cette lessive est pré- férablement préparée dans un réservoir, commun à plusieurs machines de blanchissage, et dans lequel la lessive utili- sée ainsi que l'eau de rinçage riche en savon sont ren- voyées après avoir été clarifiées par centrifugation.
Comme l'eau de rinçage recueillie provoque une dilution progres- sive de la lessive dans le réservoir, il y a lieu de prévoir l'adjonction dans celui-ci de produits de blanchissage, pour maintenir la concentration à une valeur sensiblement cons- tante. La quantité d'eau de rinçage recueillie est de préfé- rence réglée de manière à correspondre à la perte de lessi- ve pendant l'opération de lavage. Si la quantité d'eau de rinçage récupérée n'est pas assez élevée, la quantité de lessive nécessaire est préparée par mélange d'eau fraîche et de produits de blanchissage.
Comme l'excédent de lessi- ve est toujours ramené au réservoir, il n'y aura aucune perte si l'on utilise des quantités importantes de lessi- ve'dans la maohine, bien que cette manière de procéder fa- oilite considérablement le blanchissage et réduit l'usure du lingo. le procédé perfectionné, objet de l'invention, facilite aussi considérablement la conduite des machines ainsi que l'opération de lavage elle-même, Un contrôle con- tinu et sur de la composition de la lessive employée dans l'installation peut être obtenu facilement par un titrage de la lessive contenue dans le réservoir. La teneur en sa- von de cette lessive peut, suivant les circonstances, va- rier entre 3 et 8 g, la teneur en soude entre 2 et 5 g de carbonate de soude, ou 1 à 3 g de soude caustique, par litre.
Un pourcentage élevé de savon diminue l'usure du linge, la limite supérieure n'étant déterminée que par
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la nécessité dviter la formation de mousse dans la machine.
La teneur en soude de la lessive facilite là lavage, par e- xemple en assurant une saponification partielle des corps gras contenus dans le linge, mais présente par ailleurs une action défavorable due à ce qu'une trop grande proportion de soude est absorbée par les fibres textiles du linge, ce qui rend difficile aon onlòvement pnr le rinçago. On pró- voit de ce fait, lors du blanchissage avec une solution de savon et de soude, l'adjonction d'un acide ou d'un zel a- cide, vers la fin de l'opération de rinçage, peur neutra- liser la soude qui n'aurait pas été enlevée par l'eau de rinçage et pour empêcher ainsi toute action préjudiciable de la soude restante sur les fibres.
Conformément à l'in- vention, l'opération de rinçage est considérablement faci- litée en activant la neutralisation de l'alcali dès la fin de l'opération de lavage, nais avant le rinçage ou en même temps que le premier rinçage. L'agent neutralisant peut ê- tre constitué par tout acide ou toute substance à réaction acide ne risquant pas d'endommager le linge, mais il y au- ra avantage à employer du bisulfite de soude. Dans de nom-
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breux oan, la Ilol.1tralltJ±dlo11 pouh a'oelroa Luar au moyen d'un acide gras saponifiable, réagissant avec l'alcali pour for- mer un savon. La quantité d'agent neutralisant devra être réglée de manière à éviter toute précipitation d'acide gras libre sur le linge.
On a constaté qu'une neutralisa- tion correspondant à un pH de 9 à 11 évite cet inconvénient- De plus, le linge ne contient, dès le début du rinçage, plus qu'un faible pour centage d'alcali adsorbé, de sorte que le rinçage est rendu très facile après une telle neutralisation.
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Pour éviter la dilution de la lessive par l'eau de condensation, due au chauffage de la lessive au moyen de vapeur, il y a avantage à recourir au chauffage indi- rect de la lessive. Ce chauffage indirect s'effectuera pré- férablement au moyen d'un appareil chauffe-liquide, chauffé par la vapeur sous pression, intercalé dans la tuyauterie de circulation entre le séparateur centrifuge et la maohi- ne de blanchissage. Comme le liquide de lavage traversant ledit appareil de chauffage ne contient pas de savon inso- luble ou autre particule de saleté, il n'y a pas de risque de déport. des matières solides dans l'appareil de chauffa- 'ge dont le fonctionnement pourrait de ce fait, être mis en cause.
La fig. 3 montre, schématiquement, l'ensemble d'
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unq'tncblÙled.llul1 do 1JeU1lJhlt1l:!t'l:;(;;) ûtJtJLlu61:J à !'U!!otlo1111tJl' ou!!... fermement au procédé objet de l'invention. Pour simplifier la figure, on n'a représenté qu'une seule machine de blan- chissage aveo son séparateur centrifuge, mais il va de soi que l'on utilisera généralement plusieurs ensembles de ce genre reliés en parallèle au réservoir commun contenant la lessive.
Dans la fig. 3 la référence 1 désigne la machine de blanchissage, de tout type connu, reliée par une condui- te 2 au réservoir 3 qui contient une solution de savon al- calin servant de liquide de lavage. Le réservoir 3 est pré- férablement subdivisé en deux compartiments, utilisés de telle sorte que le liquide de lavage nécessaire pour les opérations de lavago proprement dit provient d'un des coin- partiments, tandis que le liquide usé et l'eau de rinçage riche en savon sont, après, centiifugation, recueillis dans
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l'autre compartiment.
La machine 1 est par ailleurs reliée par une tuyauterie de circulation 4, dans laquelle est in- tercalée une pompe 5 assurant la circulation du liquide, à un séparateur centrifuge 6 qui enlève les particules inso- lubles dans le liquide de lavage et envoie celui-ci'dans un appareil chauffe-liquides 7 assurant le chauffage de la les- sive pendant l'opération de blanchissage. Un robinet à trois voies 8 et une tuyauterie 9 permettent de renvoyer le liqui- de de lavage, évacué de la machine et purifié par le séparate teur, dans le réservoir 3. La machine 1 comporte par ailleurs une tuyauterie d'alimentation 10 et une tuyauterie d'évacua- tion 11 pour l'eau de rinçage. L'appareil chauffe-liquides 7 comporte un orifice de vapeur 12 et une sortie 13 pour l'eau de condensation.
Le fonctionnement d'une installation telle que décrite est alors le suivant:
Le linge est introduit dans la machine de blanchis- sage en même temps que la quantité nécessaire de lessive Provenant du réservoir 3. La machine 1 ainsi que la pompe 5 et le séparateur 6 sont alors mis en route, le robinet 8 occupant une position telle que la lessive en circulation revient du séparateur à travers le chauffe-liquides 7 dans la machine 1.
De la vapeur est introduite pendant ce temps dans l'appareil chauffe-liquide 7, de sorte que la lessive se trouve progressivement portée à une température de l'or- dro do ao à 90 C. grâde au séparateur 6, la lessive en circulation est débarrassée des savons insolubles formés pendant le lavage et des particules grasses ou sllides en- levées du linge, de manière à rester pratiquement exempte de matières insolubles pendant toute l'opération de lavage.
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Après nettoyage du linge, le robinet 8 est renversé, de sorte que le liquide en excédent se trouve renvoyé du réservoir 3, à travers la pompe 5, le séparateur 6 et la tuyauterie 9. L' eau de rinçage est ensuite introduite dans la machine 1 à travers la tuyauterie 10 et y dilue la lessive absorbééepar le linge, de sorte que la machine contient à ce moment une solution diluée de savon, L'excédent de cette solution est également évacué à travers la pompe 5, le séparateur 6, la tuyauterie 9 pour retourner au réservoir 3. Avant ou pendant l'introduction de la première eau de rinçage, le produit neutralisant, par exemple du bisulfite de soude, est intro- duit dans la machine, en quantité telle que la lessive se trouve neutralisée à un pH de 9 à 11.
Après évacuation de la première eau de rinçage, la pompe 5 est arrêtée et une nouvelle eau de rinçage est introduite dana machine 1 par la tuyauterie 10, l'excédent s'écoulant par la tuyauterie
11 jusqutà ce que le linge soit pratiquement débarrassé du savon et de l'alcali.
Les dépôts recueillis dans le séparateur et qui se composent d'une part de corps gras déposés au centre du tam- bour centrifuge et d'autre part de savons insolubles et des Particules de saleté déposées à la périphérie dudit tambour, sont enlevés à intervalles appropriés, lorsque la circula- tion est interrompue. La teneur en savon et en soude de la lessive recueillie dans le réservoir 3'est réglée à la valeur voulue, par adjonction de savon ou d'un acide gras et d'un alcali, jsuqu'à ce que la concentration voulue soit atteinte, après quoi la lessive est prête à l'emploi continu.
Son degré de pureté veste pratiquement le même que celui d'un liquide de lavage fraîchement préparé en partant d'eau pure et de produits de lavage.