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Appareil ja.veleur-lieur, pour fourrages etc.., amenant automatiquement les andains sous la forme (Le moyettes liées et dressées sur le sol.
On connaît déjà des machines qui rassemblent les andains en javelles couchées sur le sol à intervalles à peu près réguliers, Or, si on laisse le fourrage étendu sur le sol, il y est exposé à l'humidité de celui-ci, ce qui peut le faire blanchir et pourrir de ce oôté, tandis que l'autre côté reste exposé aux intempéries, brouillard
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des nuits, ¯rasées et pluies dont liaetion,eanàinée celle du soleil, lui enlève ses meilleures qualités nutritives . On était donc obligé jusqu'à présent
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de lier à la main ces j2velles et de les dresser verti- calement sur le sol, sous forme de moyettes ne laissant ainsi que le minimum de surface expose aux intempéries pendant le temps nécessaire au séchage.
La présente invention a pour objet une
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machine qui effectue automatiquement toutes ces opéraAion4 alest-"--CLirEL qui rassemble le fourrage coupé par la faucheuse en gerbes ou javelles de grosseur régulière , qui lie ces gerbes et qui les amène en position verticale pour les déposer enfin dressées sur le sol. Tout tra- vail manuel est ainsi évité , ce qui représente une économie évidente dans l'exploitation.
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Z'aß2rei1 javeleur- lieur objet de l'in- vention est essentiellement caractérisé par la combinai- son d'un dispositif javeleur avec un élévateur qui amène les javelles à un lieur mécanique de type cannu et avec
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un iispositif dresseur qui fait basculer la javelle liée et qui la dépose verticalement sur le sol.
Tous ces orgenes sont automatiquement c.andés, à partir de l'une des roues porteuses de la machine, par la pro- pulsion même de ce-le-ci qui peut être produite par une bête de trait aussi bien que par un tracteur, puisqu'au- cune force motrice mécanique n'est nécessaire .Un dispo- sitif de débrayage non représenté peut être avantageuse- ment interposé entre la roue motrioe et les mécanismes de la machine ,
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Le fonctionr.ement intermittent u lieur est au t cmwt ique:.:ex:
provoqué su notent convenable pEr la javelle elle-sêne, et le déolenoliement du. dispositif dresseur estproduit par un organe du lieur , quand le travail de ce dernier est terminé.
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Le lieur peut être d'un type commu quel- conque, ainsi que l'élévateur qui est cependant consti-
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tué de préférence , selon une particularité de l'invEntionµ par un couloir parcouru par les griffes ou dents d'une chaîne sans fin. Quant au dispositif dresseur, il est for- mé, suivant l'invention , par une claie en équerre qui peut basculer de 90 degrés autour d'un axe horizontal.
D'autresparticularités de la présente invention ressortiront de la description qui va suivre, en regard des dessins annexés qui on représentent, à titre d'exemples, deux modes de réalisation.
La fig. 1 représente , vue de côté, par- tie en élévation et partie @n coupe, une première forme
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ù.1 e::é ;ution de la iuaohino.
Les fig. 2 et 3 sont des vues arrière
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correspondent à la fib. 1 et montrant la mcohine dans deux positions de fonctionnement.
La fige 4 est an vue latérale d'une secon- de forme d'exécution de l'appareil.
La fige 5 représente un détail du lieur de la machine représentée fig. 4.
La fig. 6 représente le dispositif de com-
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mande des méconismes pur les rou-us hoytcuwsc.
Dans les deux modes de réalisation repré- sentés , le châssis 1 de la machine est porté à l'avant par deux galets orientables 3 et à l'arrière par les deux roues 3 , dont la rotation sert à transmettre le
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mouvement à tous leo oiréç-J=es de la me chine, psr des trans- missions appropriées..
D'après les fig. 1 à 3, la roue 3 est soli- daire d'une roue dentée 74 qui engrène avec un pignon 75 calé sur un arbre 4 monté dans le bâti de la machine.
Sur cetarbre 4 sont également, calées deux roues à chaîne
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76 et 77 ; cettàan"iè1'e porte une oh îne sans fin 78 qui fait tourner \l...C roue à chaîne 79 calée sur l'arbre 5 et solidaire du l±teal1 rotatif 80 d'un enelc-noheur du type 13.c. Cormier caurm::...ent utilisé dans les machines agricoles.
Le plateau 80 entraîne la manivelle 18 en rotation autour de l'arbre 5 lorsque le cliquet 16,qui pivote autour du point fixe 81 , a dégagé une butée 82
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portée par la illilllivelle 18 . Lorsqu'on cesse d'agir sur le cliquet 16 , il revient à sa position de blocage sous l'action d'un ressort non représenté, de sorte que la manivelle 18 est de nouveau débrayée et arrêtée
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après avoir accompli une révolution cog,)Iùte..
Le plateau rotatif 80 est soli aire o-'m.e roue à ohsîne 83 ; Ilae chaîne sans fin 6 pas ne sur ce:, aa route aL si que sur doux galets ?,'?a tournent sur un sup- port vertical 14 rigidement fixé au châssis 1 de la machine . Pour sauvegarder la clarté du dessin, cette chaîne a été représentée en traits mixtes sur la fig.1, ainsi que les roues dentées et les autres ch înes de
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transmission; ce.::ts.ines de ces L.srnières , 1181' exemple la 2*.Ile 78 , peuvent d'ailleurs #tre remplacées par des courroies,,
A certains maillons régulièrement espacés
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de la chaîne 6 sont fixées perpe.udiculs irer.1ent de longues dents de fourche 8 qui parcourent le couloir de l'élé- vateur en passant à travers des fentes longitudinales de la paroi postérieure 5 de celui-ci .
Ce couloir est
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colleté par une tôle antérieu-re 84 qui lui est parallèle, sauf à l'extrémité arrière un peu évasée.
Ls. psrtie inférieure (lu- couloir est formée à l'arriéra par la tôle 9 et à l'avant par une paroi pla- ne 10 mobile autour d'un axe transversal horizontal 11
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supporté par la châssis 1. Le pivote@ent de cet ,6 paroi 10 est Usité vers l'avant par une butée élastique 85 soumise à l'action d'un ressort 86. La paroi 10 est reliée à l'enclencheur Mac Cormick qui vient d'être décrit par deux bielles 17 et 19.
La bielle 19 assure une liaison itérative dans les deux sens entre la manivelle 18 et la tôle 10.
Au contraire, la bielle 17 n'agit sur le cliquet 81 que dans le sens de déclenchement de ce cliquet, lorsque la paroi-10 exerce sur elle un effort de traction en repoussant la butëa élastique 85 ; la bielle 17 se termi- ne par une glissière 87 dans laquelle peut coulisser un ergot 88 porté par la paroi 10. Cette bielle 17 .peut d'ailleurs être remplacée par une chaîne.
Un panneau mobile 12 peut pivoter autour d'un axe transversal horizontal 13 porté par le support 14 , à proximité du- bord inférieur de la tôle 9 du. cou- loir .
Cet écran 12, formé par une tôle , est éga- lement fendu de manière à laisser passer les dents 6 de l'élévateur et il a pour but , d'une part ,d'obturer le couloir tant que la javelle n'est pas formée et, d'autre part , de coopérer à la formation de celle-ci , en liaison avec les dents 6 . Un ressort 12a tend à ramener constamment le panneau 12 dans la position d'obturation représentée sur la fig. 1 , et il est terminé par une lame-élastique recourbée 89 qui est toujours au contact du. sol .
Le mode de fonctionnement de cette première partie Le l'appareil est le suivant :
La machine étant déplacée le long de l'an- dain dans le sens de la flèche F , les roues 3 tournent sui- vant la flèche f1, le plateau rotatif 80 de 1'embrayage dans lesens de la flèche f et la chaîne 6 de l'élévateur
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suivant la flèche -% . Le r,,elour 89aùa>Se 1 T and in devant lui; le four2n"u ......;., . lO...',; ±ltL-1 1W1' let. uUt.Lù 1, É.. lüm pasage an point bas de Io chaîne 6 , et envoyé contre le p1àlàieau 12. L'effacement QSS (Lents 8 à l'intérieur du couloir ±± it r s 1; oi;ùù e r 1 ' a .uàà" in sur le sol; il est il à :¯ ou- V62U repris pcr les :e,.¯ts 8 et 2l:1Sné ainsi sous forme
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L'un rouleau 15.
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LoI'tiu6 le rouleau ù.' s.ad.ain 15 a at léi=,t un oerts-in volume , ':'.US;¯3 [,Ll 1?2SS86 des 6..ents 8 de 1,éJ6vé.- eur , i- réjouie lê,-,0rCLi611t vars 1':,.va..',; le irblicr 10, w 1'encontre cie l'action du ressort 86 , ce qui produit Ile..ibr'ye.gE3 (Le la naniveile 18, par l'intermédiaire de
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la. bielle 17..
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La rotation cie la us nivelle 18 emène le t2J:"'ier 10 p['rallèle.er.:.t 3. ' paroi os ;rieure 6 Lu couloir , - -C. positau 10 0 rcarc:sert;:e ext tr-its
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..;..:tGG ::.U. -o. :iL. 1 . C- ¯¯ri¯wt..:.t 'et: h :.,r¯ n
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couloir 2:"1lle le rouleau. d'sndain 1:r le cl1euin des dents 8 cïc l'élévateur et le msii.tient juste le temps néces- saire au pcz-sfse de la jevelle ainsi formée dsns la pre- .-ier couds (le l'élévateur . Sous la pression exercée p-r le psssage (Le 18 jsvelle, pression supérieure à la tension la ressort antagoniste 12 , l'écran 12 pivote en 13 et s'cfi'aee pour laisser passer 12 javelle; celle- ci est cO:.1-:"tÜte dans le couloir psr les dents cLe l'éléva- teur jusque sur la table bzz du lieur.
Pendant ce temy.s, la manivelle 18 a terni- né se. r0vol!ltion et r226né , par le. bielle 19, le tablier 10 dens sa position de ué art; saus l'2ction du. ressort 12a , le ^.lier 12 est ég[lewent revenu, dans sa position 1:iimiùivo .
Le lieur représenté est d'u, type connu, coulian.
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ment utilisé sur les moissonneuses-lieuses; il est donc superflu, de le décrire en détail et on n'en figuré
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schématiquement sur le dessin que les principaux organes, notamment la pièce 22 formant pignon, came et vilebrequin, l'aiguille 91 et la pièce de support 90. Il est actionné à partir de la roue à chaîne 76 par une chaîne 92 qui fait tourner le vilebrequin de l'aiguille 91.
Son fonctionnement est commandé ci.'une: manière en soi connue par la bielle 21 qui relie la pièce débrayable 22 à l'enclencheur Mac Cormier 103. Apres liage , la javelle est rejetée par les bras 22a du tambour
22, tournant dans le sens de la flèche f3, sur le tablier ho- rizontal 23 du dispositif dresseur, de préférence légère- ment concave,
Sur l'un des bords latéraux du tablier
23 est rigidement fixée une claie verticale 24, 25;
l'en- semble forme un équipage pivotant à deux panneaux en équerre qui est porté par un axe longitudinal horizontal
27 et maintenu dans la position des figures 1 et 2 par un taquet 29 sur lequel repose un doigt 28 porté par la claie. L'axe 27 est monté sur le châssis, au bord du trblier 23 qui est opposé à la claie; quant au taquet
29, il est solidaire d'une équerre 30 montée de manière à pouvoir pivoter en 31 , par son extrémité inférieure, sur le côté du bâti de la machine .
Le bras supérieur horizontal 30a de cette équerre 30 se trouve sur le chemin d'un des bras 22a du lieur . L'équerre 30 est . retenue élastiquement dans la position où. elle maintient la claie par un ressort
32 fixé à une tige 33 solidaire du bâti.
Un câble 34 est fixé d'un côté en 34a, sous l'angle avant du tablier 23 ; ce câble passe sur un galet guide 35 monté à l'extrémité de la table 20, puis il vient s'enrouler sur un tambour 36 auquel son extrémité
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36 est fixée. Le tambour/est monté à roue libre sur un
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arbre 37 et un ressort spiral non représenté tend. cons-
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ta1oeieni à le faire tourner dans le sens drenrou.16ant du. câble 34; il absorbe ainsi le mou du e'6leo Sur l'rrbre :" est salée u..e seconde poulie 38 sur laquelle est enroulé ua Cou.trl3 oêble 69, aonl l'mie des extréhiités est fixée à la poulie 38 et Itautre suit le bâti 1 puis passe sous un galet guide 40 monté à l'avant du. bâti, pour ststtecher
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à -" 1 , --"la manivelle 18.
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Lorsqu'une moyette est chassée , eurùs liage, sur le tablier du raàiessenr, un des bras 22a, en terminant Sa notw-0 , vit .!I Ü1 ftit:xtût8 s'Sl,L1 le- vier 30 dont le besculeme-ut Droduit 1 ei'^ceaent du taquet
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29. Le tablier 23 notant plus soutenu tourne
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:...r bro.vité âe 9C au.tour de l'arbre Z' , de sorte é.;.G.'3 us la claie &4, 25,scr o-rt.nt lus moyette G8C veriea- leent , vient se poser sur le sol. C oi,¯.e cc-"-,e clie est forcée le Lames ou cie .rea.a¯ 25 fixjc en ûO.t."tc--faL..X vers 11.rire , uns barre &4 , les chaumes c.u cl1Cill.) , passant 11 'jl'f'.vers leurs intervalles et retiennent la ...c;; a e par 611- .esSou.s) 6 sorte que la progression (le la : ine 6-egage la claie et que la moyette reste dressée
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sn-r le sol .
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Il est <iOl1C indispensable que la cleie 25 vienne toujours au. cantact rlu champ, qu-elles que puissent Être les inégalités du terrain. Dans ce but , lr6quip--Ee mobile ccu riresseur n'est pas su-p ortë directement par l'axe 27 , nais par lt i. réciaire da supports télesoo-
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piques 26 établis de la manière suivante
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La partie des supports fixée au tablier 23 est formée par des tubes 26 fendus longitudinalement sur une certai- ne longueur , pour permettre le passage d'un ergot 41 , solidaire de chacune des tiges intérieures 26a qui touril- lonnent sur l'arbre 27. Chaque tube 26 est pourvu d'un collier 43 entre les pattes duquel peut passer l'ergot
41 .
Une des pattes du collier 42 se prolonge et est coudée en 42a, tandis qu'un petit levier 43, logé et pivota.nt en 44 entre les deux pattes du. collier 42, bute contre l'érgot 41; ce petit levier est maintenu dans cette position par un ressort 45 s'appuyant sur la patte 42a.
D'autre part , une tige métallique 46, fixée au longeron droit du bâti , descend verticalement vers le sol et porte une butée 47 à hauteur convenable afin que la-queue du levier 43 rencontre cette butée lors du pivotement du tablier (fig. 3).
Cette rencontre provoque le basculement du levier , celui-ci abandonne l'argot 41 contre lequel il s'appuyait. Le tube 26 n'étant plus retenu laisse le dresseur descendre jusqu'au sol .
Lorsqu'un nouveau déclenchement ramène- ra le tablier 10 pour l'élévation d'une nouvelle javelle , la rotation de la manivelle 18 tirera sur le câble 39 lequel entraînera en rotation la poulie 38 , l'axe 37 et la poulie roue libre 36. la roue libre 36 entraînée par son axe enroulera le câble 34 qui remontera le dresseur dans la position de la fig. 2 où il s'enclenchera par son ergot
28 sur la butée 29 du levier 30. pour que le support télescopique reprenne sa position de départ ,une chaîna 48 avec interposition d'un ressort à boudin 49 est fixée entre l'extrémité du tube 26 et la ferrure 46;
il s'ensuit que,pendant le relevage du dresseur sous l'action du ressort 49, le
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tube 26 coulisse sur la tige 26a et l'ergot 41 soulève le
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levier 43 pour se placer 15 nouveau devante comme on le voit sur la iG. 2 .
Il peut y avoir u e cri tôlier à ce->t ins mo..:'311ts le chute auto:mtiçu.e du dresseur; il 2u:it (1,ns c'a but de prévoir un verrou non représenté, c o.:..; :.nüé par une pédalo ou un levier à main.
La fig. 4 montre une variante de réali- sation.a.e l'appareil botceleur, le dispositif dresser Z: restant le ûém et . Tétant par conséquent figuré que sci¯c,-.iGUement.
Dans cette vrimt, l'audain est envoyé i.¯..-.éâio.tenent dans un couloir 52 , sensiblement vertical, par un hérisson rotatif 51 appliqué sur le sol par des bras 93 articulés en 97 au support 140 La roue por- teuse 5 est solidaire d'une roue à chaîne concentrique 94 sur laquelle passe une chaîne 95 qui fait touri:er une
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roue 96.. 11 aide d'un renvoi démultilic8teur c onvehable, le hérisson 51 reçoit ainsi un mouvement de rotation rapide dans le sens de la flèche f4.
Un élévateur constitué par une chaîne sans fin 50 portant desdents de fourche comme la chaîne 6 de la fig. 1 ,amène directement l'andain dans une cham- bre 54 prévue à l'extrémité supérieure du couloir 52; c'est dans cette chambre que l'andain est rassemblé en javelle.
La chambre 54 est fermée vers l'avant per un tablier sans fin escamotable 55 animé d'un mouvement de translation dans le sens de la flèche f5. Il en résul- te que l'andain. abandonne par les dents de l'élévateur dans le haut de la chambre 54 est rabattu, et roulé entre
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l'andain notvehement élevé et les barres transversales 36 la;,2 le tablier 55 est garni.
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Lorsque le rouleau d'andain a forme une javelle de grosseur voulue , le tablier 55 , qui est monté sur un cadre 57 pivotant en 58 sur un support 53, est légèrement soulevé ,ce qui produit le déclenchement de la se, chine, d'une manière analogue à celle de la pre- mièra forme d'exécution.
Ce déclenchement provoque le soulève- nient du tablier 55 dans la position figurée en traits mixtes,, soit par un jeu de leviers, soit par pignons, tandis que l'aiguille 59 du lieur appuie la javelle contre le bras 60 du lieur ; la ligature faite , le bras 61 envoie la moyette dans le dresseur 25.
Le taulier 55 redescend alors à sa position initiale et concourt à la formation d'une nouvelle javelle. Le redresseur 25 est constitué comme sur les fig. 1 à 3 et fonctionne de la même maniera.
Dans cette variante, il y a lieu de mo- difier le lieur ainsi qu'il va être expliqué , en regard notamment de la fig. 5 qui montre le lieur en vue de côté.
Une première modification consiste à al- longer l'aiguille en 59a (fig.4).
La branche 62 du bâti est coupée suivant la ligne a-a pour permettre de déplacer le premier éjec-
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teux 61 et/le reporter en Gl& et le second, en 61b; le levier 64 est repoussé vers la gauche , en 64a et l'ar- bre 65 traversant le bâti est au contraire prolongé en 65a afin de recevoir un troisième éjecteur 66.
La branche inférieure 63 est aussi coupée en b-b de manière à faciliter le passage des dents de l'élévateur . Le palier 67 qui supporte l'arbre 68 est reporté en 67a et l'arbre 68 est sectionné en c.
Comme l'arbre 65 , l'arbre 69 est aussi prolongé et ces deux arbres tournent dans des paliers 70,
71 montés sur un support 72 fixé au bâti . Le prolongement de l'arbre 69 lui permet de recevoir une seconde aiguille
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59a qui sera allongée afin de pouvoir accomplir un plus grand trajet pour arriver convenablement au lieur. Dans ce but, la course du vilebrequin qui la commande pourra au besoin être augmentée.
La fig. 6 montre le mode de commande particulier, par les -roues porteuses 3 et 3a, des mécanismes de la machine représentée fig. 4 Ce dispositif de commande permet de faire actionner la roue à chaîne 94 par celle des deux roues 3, 3a qui tourne le plus vite, lorsque l'appareil décrit une courbe ou effectue un virage.
Les roues sont montées folles sur l'essieu 73 par leurs moye= 98,98a; ceux-ci coopèrent avec des plateaux 99, 102 calés sur l'essieu. 73 ot reliés aux moyeux correspondants par des mécanismes à cliquet ou de roue libre 100, 100a qui ne permettent l'entraînement de l'essieu par les roues 3,Sa que dans le sens de la flèche :CI (fig.4).
La roue à chaîne 94 est fixée à un manchon à gorge 101 monté fou glissant sur l'essieu 73 et muni de dents de loup coopérant avec des dents de loup corres- pondantes du plateau. 99. Un ressort 104 tend constamment à pousser le manchon 101 en position d'embrayage , et un levier de débrayage ordinaire non représenté permet de désolidariser ce manchon du plateau 99 à l'encontre de l'action du ressort 104.
Dans ces conditions, si,l'embrayage étant en prise, la roue 3 tourna plus vito quo la. roua 3a, c'est elle qui entraîne l'essieu 73, la roue 3a tournant folle, avec une vitesse différentielle, par rapport au plateau 102 solidaire de l'essieu. C'est le contraire qui a lieu si c'est la roue 3a qui tourne plus vite que la roue 3,
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celle-ci pouvant même pivoter sur place à la limite, ou même tourner en sens inverse de la flèche Il (fig.4) sans que le mécanisme cesse d'être correctement entraîné.
Si l'on désire arrêter le mécanisme, par exemple pendant le transport du véhicule, il suffit de débrayer la roue 94 en agissant sur le manchon 101.
Il va de soi que, sans sortir du cadre de l'invention, on pourra apporter des modifications de détails aux modes de réalisation qui viennent d'être décrits .
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R B V 3 V b I G A T T 0 PT. S ,
I.- Machine agricole destinée à mettre en javel- ' les les andains de fourrage et autres récoltes, cette ma-
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chine étant ssontioll.om..nt o^:eac'¯érisé pnr la. combinaison d'un dispositif javeleur avec un élévateur, un lieur et un dispositif dresseur à bascule, (le manière à mettre automatiquement l'andain sous la forme de moyettes liées et dressées verticalement sur le sol.
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2.- Dispositif dresseur de moyettes, partianlié-