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"COUVERTURE ET SON SUPPORT POUR TOITURES, SPECIALEMENT POUR-
TOITURES VITREES SANS MASTIC."
La présente invention concerne les couvertures et leur support pour toitures en général, ou buts analogues, et plus spécialement les vitrages sans mastic pour toitures vitrées.
L'objet principal de l'invention réside en ce que les élé- ments de couverture de toiture, ou les vitres destinées former le vitrage, présentent à un ou plusieurs endroits voulus, par exemple aux deux bords latéraux, ou près de ces bords, des parties surélevées par rapport au plan de l'élément de couver- ture ou de la vitre, ces parties pouvant avoir la forme de bourrelets ou de rebords,parallèles entre eux ou non et de section appropriée quelconque, de manière à ce que chaque élé- ment de couverture, ou chaque vitre, ainsi constitué, soit susceptible de former lui même une rigole.
Un objet ultérieur de l'invention réside dans l'utilisation
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enqualité de supports d'éléments de couverture, ou de vitres,- des aciers profilés courants, et dans l'assemblage des dits éléments de couverture ou vitres avec les supports constitués' par ces profilés.
Finalement l'invention a pour objet les doubles ou multi- ples couvertures ou vitrages sans mastic, composés d'éléments de couverture ou de vitres de l'espèce susmentionnée et d'éléments ou de simules vitres, assemblés avec les supporta de l'espèce susmentionnée.
Dans la suite de la description on parlera, à titre de sim- olicité, uniquement de vitres et de vitrages.
Le dessin annexé représente à titre d'exemple non limitatif une série d'exemples de réalisation de la présente invention.
La figure 1 représente une vue en perspective d'une toiture dont le vitrage est exécuté conformément . l'objet de l'invention.
La figure 2 re-orésente une coupe verticale transversale dans un profilé de support et dans les bords des deux vitres qu'il supporte ainsi que dans l'assemblage de ces élémenta.
La figure 3 représente une coupe verticale transversale si- milaire à celle de la figure 2, mais dans une toiture à double vitrage.
La figure 4 représente une vue en perspective d'un morceaude vitre à bords latéraux formant bourrelets, suivant les figures 2 et 3.
Les figures 5à 8 représentent une série de profils différents de vitres à bords rehaussés.
La figure 9 représente une vue en perspective d'une vitre d'angle à bords rehaussés.
Les figures 10 et 11 seprésentent des détails de construction.
La figure 12 représente une variante d'exécution de toiture vitrée au moyen de vitres telles que représentées à la figure 8.
La figure 13 re-orésente une variante d'exécution ultérieure d'une toiture au moyen de vitres exécutées conformément à ltinven- tion.
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Les figures 14 et 15 représentent des variantes d'exécution ultérieures de l'objet de la présente invention.
La figure 16 représente un mode d'attache des vitres d'une toiture suivant la figure 13.
En se reportant d'abord plus spécialement aux exemples représentés dans les figures 1,2 et 4, la toiture vitrée se corn- pose d'une série de vitres 1,1',1",1"',ioentique es entres elles, pourvues à chacun de deux de leurs bords latéraux en regard d'un bourrelet 2 de section carrée, ou analogue, surélevé par rapport au plan de la vitre, chaque vitre formant ainsi elle- même une large rigole.
Oes vitres sont supportées par les ailes latérales des profilés Té, d'un type normal , courant, tels que 3.,3,4, avec interposition d'une bande 5, en matière appro- priée, conservant une élasticité suffisante et ne durcissant pas, par exemnle du Rubéro'id. L'âme 4 des profilés Té est recouverte d'un tasseau en zinc 6, fixé à l'âme 4 par des vis à écrous 7,8, par exemple en cuivre, et recouvrant par ses bords longitudinaux les bords 2 des vitres, tout en pressant par les extrémités de ces bords sur des bandes en Rubéroïd,ou analogues ,10, préala- blement posées sur les vitres.
Les profilés 3,3,4 peuvent être peints à l'anti-rouille, ou métallisés.
Les bords supérieurs des vitres 1,2, peuvent s'étendre sous les flasques latérales d'un profilé Té,ll, formant l'arête du toit et recouvert de la manière usuelle d'un tasseau 12, recouvrant en même temps les bords supérieurs des vitres.
Aux extrémités inférieures les ailes 3,3 des nrofilés de sup- port 3,3,4 peuvent être repliées vers le haut de la manière usuelle, comme représenté en 13 dans les figures 1 et 10, les rebords ainsi formés servent d'appui de retenue aux bords infé- rieurs des vitres.
Le bord latéral, dit extérieur, de la dernière vitre 1,2 meut, soit simplement dépasser par exemple le bord correspondant, du mur, soit être supporté par l'aile d'une simple cornière 14
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avec tasseau 15, de la manière décrite plus haut, comme re- présenté à la figure 11.
On obtient de cette manière une toiture vitrée sans mastic, qui, grâce . ses vitres en forme de larges rigoles permet, d'éviter les petites rigoles usuelles, généralement trop petites et dange- reuses, adantées aux profilés de support, en éliminant en même temps toute possibilité- d'infiltration d'eau et de poussières.
De cette façon cette toiture ne demande aucun entretien, est d'une construction pratique et d'un prix économique.
En outre, les parties surélevées, ou renforcées, des vitres faisant l'objet de la présente invention empêchent ces dernières de se fêler. Finalement, le jeu 16 laissé entre les bords latéraux des vitres 1,2 et l'âme 4 des profilés de support permet aux vitres de se dilater et de se contracter librement sous l'effet des va- riations de température.
Dans l'exemple d'un double vitrage sans mastic, suivant la figure 3, les vitres 1,2, au lieu de reposer directement sur les joints 5 ., reposent sur des cadres intercalaires 17 qui -oeuvent être constitués en bois enduit ou imprégné de goudron ou de bitume ,ou d'asphalte, et peuvent être pourvus sur leur face su- périeure d'une gorge 18,assurant aux vitres 1,2 une bonne face d'assise,-ces cadres intercalaires 17 reposant à leur tour sur des vitres ordinaires 19 qui elles reposent sur les joints 5 supnortés par les ailes 3 des profilés. Le double vitrage ainsi obtenu est basé sur le nrincipe du matelas d'air immobile, formant calorifuge.
En effet, le faible volume d'air emprisonné entre les vitres 1, et 19 et le cadre 17 est réparti en une couche relativement mince 20, ce qui empêche la formation de courants de convection au sein de cette couche.
En même temps, le cadre 17 empêche totte entrée de poussières dans la couche d'air 20, en évitant ainsi la nécessité de nettoyage de l'intérieur du système. Finalement, le mouvement relatif des vitres 1 et 19 par leur dilatation ou leur contraction, sous l'ef- fet des variations de température, peut s'effectuer .-sans entrave,
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vu l'interposition des joints 5 et 17 et du cadre 17. Ce double vitrage calorifuge garantit en outre les mêmes avantages que ceux indiqués plus haut par rapport au vitrage simple, en formant en outre à la fois la toiture et la sous-toiture.
Les figures 5 à 8 représentent une série de variantes d'exé- cution des bourrelets ou bords rehaussés des vitres. Ainsi la vitre peut -présenter un ou des bourrelets de section déni-ronde (figure 5), ou le ou les bords de la vitre peuvent être repliés simplement vers le haut ( figure 6), ou en forme de boucle (figure ?),ou vers le haut et vers le côté (figure 8), cette forme d'exécution permettant de poser les vitres de la manière représentée à la figure 12,- ou enfin la ou les parties rehaussées ou surélevées, ou le ou les bourrelets, de la vitre peuvent être prévus à une distance voulue des bords (non représenté), et être parallèles entre eux ou non.
Ainsi par exemple la figure 9 représente une vitre d'angle 21 dont les bourrelets 2 se joignent dans un angle de la vitre triangulaire.
Les vitres suivant la présente invention peuvent être dis- posées également à la manière de palplanches, comme cela est re- présenté à titre d'exemple aux figures 13 ,14 et 15. Dans ce cas, le vitrage se compose d'une série de vitres 1,2,reposant à une distance appropriée l'ne de l'autre sur de simples cornières 14 avec interposition de joints en Rubérolde ,ou analogues,5,- et d'une seconde série de vitres, par exemple identiques 1,2, dont leurs bourrelets 2 sont tournés vers le bas et reposent sur deux vitres consécutives 1,2 de la première série. Un joint en Rubéroïde ,ou analogue, 22 peut être interposé entre les vitres des deux séries.
Les bourrelets 2 peuvent avoir une section trian- gulaire (figure 13) ou autre quelconque, par exemple rectangulaire (figure 14 ), ou mixte (figure 15). Dans ce dernier cas les bour- relets des vitres de la série dite inférieure peuvent avoir une section par exemple triangulaire 23, et ceux des vitres de la série supérieure, une section comportant un chenal 24 qui repose par exemple avec un certain jeu latéral sur le sommet desbourrelets
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23. On obtient de cette manière un vitrage parfaitement étanche non seulement sans mastic mais aussi sans tasseaux de vitre à vitre, les vitres supérieures formant tasseaux elles-mêmes.
La fixation d'un vitrage suivant les figures 13 à 15 peut se faire au sommet d'un toit de la manière décrite plus haut par rapport à et représentée dans la figure 1(voir profilé il et tasseau 12) tandis qu'au bord inférieur de la toiture les flasques horizontales des cornières 14 peuvent être pliées sur une longueur appropriée 25 vers le haut et ensuite repliées vers l'arrière en 26, de manière, à ce que la partie 26 s'étende sur une faible longueur au dessus des vitres 1,2 de la série supé- rieure en empêchant leur soulèvement. Si l'on veut, on peut encore interposer le cas échéant des plaquettes en Rubéroïd, ou autre matière appropriée quelconque, entre les parties repliées 26 des cornières et les vitres supérieures, afin de serrer ces dernières avec une pression voulue sur les vitres inférieures.
Le même but peut être atteint par exemple au moyen de vis de eerrage,éventuellement à écrous, dont on peut garnir les parties 26 des cornières.
Dans les exemnles décrits plus haut il a été question d'une couverture pour toitures vitrées ou autres. En effet la forme des éléments de couverture suivant la présente invention peut s'appliqer non seulement aux vitres, ou dalles, ou plaques en verre, mais aussi aux éléments de couverture en toute autre matière voulue, par exemple en éternite en carton goudronné , ou en tôle de zinc, de cuivre, de fer peint ou galvanisé, ou métallisé, et autres.
D'une manière générale, l'objet de la présente invention se prête à un grand nombre de variantes d'exécution autres que celles décrites plushaut, sans que l'on s'écarte de la présente invention proprement dite. La toiture ,au lieu d'être simple ou double, comme décrit plus haut, peut être même multiple.
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"COVER AND ITS SUPPORT FOR ROOFS, ESPECIALLY FOR-
GLASS ROOFS WITHOUT PUTTY. "
The present invention relates to covers and their support for roofs in general, or similar purposes, and more especially to mastic-free glazing for glazed roofs.
The main object of the invention resides in that the roof covering elements, or the panes intended to form the glazing, present at one or more desired places, for example at the two lateral edges, or near these edges, parts raised relative to the plane of the cover element or of the pane, these parts possibly having the form of beads or rims, parallel to each other or not and of any suitable section, so that each element - ment of cover, or each pane, thus constituted, is capable of forming itself a channel.
A further object of the invention lies in the use
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Quality of supports of roofing elements, or panes, - common profiled steels, and in the assembly of said roofing elements or panes with the supports constituted by these profiles.
Finally, the invention relates to double or multiple covers or glazing without mastic, composed of covering elements or panes of the aforementioned species and of elements or simulated panes, assembled with the supports of the species. mentioned above.
In the remainder of the description, we will speak, by way of simplicity, only of panes and panes.
The appended drawing represents, by way of nonlimiting example, a series of exemplary embodiments of the present invention.
Figure 1 shows a perspective view of a roof whose glazing is executed in accordance. the object of the invention.
FIG. 2 represents a transverse vertical section in a support profile and in the edges of the two panes that it supports as well as in the assembly of these elements.
Figure 3 shows a vertical transverse section similar to that of Figure 2, but in a double glazed roof.
FIG. 4 represents a perspective view of a window fragment with lateral edges forming beads, according to FIGS. 2 and 3.
Figures 5 to 8 represent a series of different profiles of panes with raised edges.
FIG. 9 represents a perspective view of a corner window with raised edges.
Figures 10 and 11 show construction details.
FIG. 12 represents an alternative embodiment of a glazed roof by means of panes such as those represented in FIG. 8.
FIG. 13 shows a subsequent variant embodiment of a roof by means of panes executed in accordance with the invention.
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Figures 14 and 15 show subsequent variants of the object of the present invention.
Figure 16 shows a method of attaching the panes of a roof according to Figure 13.
By first referring more specifically to the examples shown in Figures 1, 2 and 4, the glazed roof consists of a series of panes 1, 1 ', 1 ", 1"', ioentique between them, each provided with two of their side edges facing a bead 2 of square section, or the like, raised relative to the plane of the window, each window thus forming itself a wide channel.
The panes are supported by the side wings of the T-profiles, of a normal, common type, such as 3, 3, 4, with the interposition of a strip 5, of suitable material, retaining sufficient elasticity and not hardening. not, eg Rubero'id. The core 4 of the T-profiles is covered with a zinc cleat 6, fixed to the core 4 by nut screws 7.8, for example copper, and covering by its longitudinal edges the edges 2 of the panes, all by pressing the ends of these edges on strips of Ruberoid, or the like, 10, previously laid on the panes.
Profiles 3,3,4 can be painted with anti-rust, or metallized.
The upper edges of the panes 1, 2, can extend under the side flanges of a T profile, ll, forming the edge of the roof and covered in the usual way with a cleat 12, covering at the same time the upper edges windows.
At the lower ends, the wings 3,3 of the support strings 3,3,4 can be folded upwards in the usual manner, as shown at 13 in Figures 1 and 10, the flanges thus formed serve as a support. retained at the lower edges of the windows.
The lateral edge, said outside, of the last window 1,2 moves, either simply to exceed for example the corresponding edge, of the wall, or to be supported by the wing of a simple angle 14
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with cleat 15, as described above, as shown in figure 11.
In this way, we obtain a glazed roof without mastic, which, thanks. its panes in the form of large channels make it possible to avoid the usual small channels, generally too small and dangerous, attached to the support profiles, while at the same time eliminating any possibility of water and dust infiltration.
In this way, this roof does not require any maintenance, is of a practical construction and an economical price.
In addition, the raised or reinforced parts of the panes forming the subject of the present invention prevent the latter from cracking. Finally, the clearance 16 left between the side edges of the panes 1, 2 and the web 4 of the support profiles allows the panes to expand and contract freely under the effect of temperature variations.
In the example of a double glazing without mastic, according to Figure 3, the panes 1, 2, instead of resting directly on the joints 5., Rest on intermediate frames 17 which can be made of coated or impregnated wood. tar or bitumen, or asphalt, and can be provided on their upper face with a groove 18, ensuring the panes 1, 2 a good seating face, - these intermediate frames 17 resting in turn on ordinary panes 19 which they rest on the joints 5 supnorté by the wings 3 of the profiles. The double glazing thus obtained is based on the principle of an immobile air mattress, forming heat insulation.
Indeed, the small volume of air trapped between the panes 1, and 19 and the frame 17 is distributed in a relatively thin layer 20, which prevents the formation of convection currents within this layer.
At the same time, the frame 17 prevents all entry of dust into the air layer 20, thus avoiding the need for cleaning the interior of the system. Finally, the relative movement of panes 1 and 19 by their expansion or contraction, under the effect of temperature variations, can be effected.
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having regard to the interposition of the joints 5 and 17 and of the frame 17. This heat-insulating double glazing also guarantees the same advantages as those indicated above compared to the single glazing, in addition forming both the roof and the under-roof.
FIGS. 5 to 8 represent a series of variant embodiments of the beads or raised edges of the panes. Thus the window can -present one or more beads of denial-round section (FIG. 5), or the edge or edges of the window can be simply folded upwards (FIG. 6), or in the form of a loop (FIG.?), or upward and to the side (Figure 8), this embodiment allowing the windows to be placed in the manner shown in Figure 12, - or finally the raised or raised part (s), or the bead (s), of the pane can be provided at a desired distance from the edges (not shown), and be parallel to each other or not.
Thus, for example, FIG. 9 represents a corner pane 21, the beads 2 of which meet in an angle of the triangular pane.
The panes according to the present invention can also be arranged in the manner of sheet piles, as is shown by way of example in Figures 13, 14 and 15. In this case, the glazing consists of a series of panes 1,2, resting at an appropriate distance one from the other on simple angles 14 with interposition of Rubérolde joints, or the like, 5, - and of a second series of panes, for example identical 1,2 , of which their beads 2 face downwards and rest on two consecutive windows 1, 2 of the first series. A ruberoid seal, or the like, 22 can be interposed between the panes of the two series.
The beads 2 can have a triangular (FIG. 13) or any other cross-section, for example rectangular (FIG. 14), or mixed (FIG. 15). In the latter case, the beads of the windows of the so-called lower series may have a section for example triangular 23, and those of the windows of the upper series, a section comprising a channel 24 which rests for example with a certain lateral play on the top of the beads
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23. In this way, a perfectly sealed glazing is obtained not only without mastic but also without window pane cleats, the upper panes forming cleats themselves.
The fixing of a glazing according to Figures 13 to 15 can be done at the top of a roof in the manner described above with respect to and shown in Figure 1 (see profile he and cleat 12) while at the lower edge of the roof the horizontal flanges of the angles 14 can be folded a suitable length 25 upwards and then folded backwards at 26, so that the part 26 extends a short length above the panes 1,2 of the upper series by preventing their lifting. If desired, it is also possible, where appropriate, to interpose ruberoid plates, or any other suitable material, between the folded parts 26 of the angles and the upper panes, in order to clamp the latter with a desired pressure on the lower panes.
The same object can be achieved, for example, by means of clamping screws, possibly with nuts, with which the portions 26 of the angles can be fitted.
In the examples described above it was a question of a cover for glazed roofs or others. In fact, the shape of the covering elements according to the present invention can apply not only to panes, or tiles, or glass plates, but also to covering elements made of any other desired material, for example in tarred cardboard eternity, or in zinc, copper, painted or galvanized or metallized iron sheet, and others.
In general, the subject of the present invention lends itself to a large number of variant embodiments other than those described above, without departing from the present invention itself. The roof, instead of being single or double, as described above, can even be multiple.