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PERFECTIONNEMENTS AUX RACCORDS POUR TUYAUX
La présenteinvention se réfèreaux raccorda pour relier les tuyaux à des robinets, récipients ou tubulures, ou pour relier les extrémités des tuyaux, les unes aux autres au moyen d'une pièce de liaison double. L' invention peut être appliquée soit aux tubes en métal mou, par exemple en plomb, suivre ou analogue,, soit aux tubes en métal dur, par example aux tubes d'acier, étirés ou soudés.
Il est déjà connu,dans les raccords simples ou doubles pour tuyaux en métaux ductiles, d'utiliser une tubulure ou pièce centrale filetée extérieurement, cette pièce étant perforée sur s a longueur et munie, à l'une de sea extrémités ou à ses deux extrémités, d'un prolongement conique pour permettre son introduction dans le tuyau dont l'extrémité a étéévasée*
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Un manchon tubulaire cont une des extrémités est conique et comporte un rebord est glissé au préalable sur cette extrémité du tuyau.Au moyen d'un écrou, comportant un rebord rentrant, qui se visse sur la pièce centrale et qui vient en prise avec
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le rebord ex-uérieur port é par le manchon, on déplace le dit manchon sur le tuyau en le pressant indirectement contre 11e.
- trémité évasée du tuyau. Dans cette disposition,le rebord ren- trant de 1J écrou est dans le pilai de l'extrémité du. dit éorou et ne permet pas d'agir directement sur l'extrémité évasée du
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tuyau en w.étal ductile,
Suivant une autre disposition comme de raccord double, la pièce centrale comporte des prolongements coniques s'engageant dans les extrémités évasées des tuyaux en métal ductile, et comporte également des douilles filetées intérieurement entourant les prolongements coniques et qui sont solidaires de la pièce centrale.
Des manchons filetés extérieurement, à paroi intérieu-
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re conique sont introduits àa.-s les douilles et vissés dans ces dernières de façon à agir par leurs extr était es coniques sur les extrémités évasées des tuyaux et à presser ces dernières sur les cônes de la pièce centrale.Un tel dispositif présente des difficultés de fabrication en particulier si le raccord doit être utilisé pour relier des tuyaux de faible section
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ayant des parois minces,par exemple d'un millimètre ci'épaisseur.
Conformément à l'invention, le raccord comporte un organe présentant une partie filetée extérieuinveI1t prolongée par une partie conique destinée à s'engager dans l'extrémité évasée du tuyau, et un second organe présentant un filetage in- térieur - destiné à s'engager sur le filetage du premier organe - et qui est pourvu d'une bague conique d'entraînement, cette dernière faisant partie intégrante de l'organe fileté intérieu-
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rement et étant parf coe4e- axialement de façon à glisser aisément sur le tuyau.
Cette bague dt.entra te ment conique s'engage sur l'extrémité élargie ou évasée du tuyez et l'entraîne en la pres- sant directement contrée le prolongemait conique de la pièce oen-
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trale lorsque l'organe fileté intérieurement est vissé sur l'orgue central.Le rac;oord suivant l'invention comporte donc uniquement deux organes.
Suivant une disposition préférée, l'angle au sommet du cône sur lequel s 'engage l'extrémité du tuyau est supérieur à l'angle au sommet du cône de la pièce d'entraînement.
Dans le cas des tuyaux en métaux ductiles,la bague d'entraînement conique est en métal plus dur, de façon à presser le étal plus mou du tuyau s ur le oône interieur lorsqu'on effec tue le serrage du raccord. Dans le cas des tuyaux en. métaux durs, cette bagued 'entraînement conique solidaire de la pièce femelle filetée intérieurement, peut être utilisée en combinaison avec un anneau intermédiaire, couche ou rondelle en métal ductile ou deformalbe, par exemple en étain ou en bronze ( ou.
constituée simplement par la bavure formée à l'intérieur du tube lorsque ce dernier a été coupé), cet anneau étant disposé entre le cône de la pièce oentrale et l'extrémité évasée du tuyau.Dans le cas de ces tubes en métaux durs, c'est le revêtement intermédiaire,ou la rondelle ou anneau intermédiaire en métal déformable, qui est pressé par l'extrémité évasée du tube en métal dur sur le cône de la pièce centrale pendant le serrage du raccord,, c'est-à-dire pendant le déplacement du cône d'entraînement qui ggit directe- ment sur l'extérieur de l'extrémité évasée du tube en métal dut*.
Ceci,a pour résultat d'appliquer ou de forcer l'extrémité de l'évasement du tube sur, le métal ductile,ou d'appliquer la bavure de l'extrémité évasée du tube, à la façon d'un anneau, contra la pièce conique centrale. Dans tous les cas,, on obtient un joint parfaitement étanche. Comme il va êtredécrit plus explicitement par la suite, lorsque la bavure de l'extrémité du tube est uti- lisée,oette dernière est travaillée de façon à former une ron - dellede faible épaisseur constituant une surface 1+.appui continua.
Lorsquele raccord doit être utilisé pour relier deux tubes l'un à 3.'autre, il comporte une pièce oentrale identique à celledécrite ci-dessus,mais double, de façon à présent er deux
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parties coniques symétriques et,conïormémeo.t à l' invent ion, sur chaque extrémité de cette partie centrale, se monte: une pièce femelle comportant une bague d.entraînemen.t conique.
On a déorit ci-après , simplement à titre d'exécuté, quelques formes de réalisation de l'objet de l'invention, en réfé - ronce au dessin annexé qui montre :
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Fig.1 :une vue en élévation en coupe c-'un. raccord double pour tuyaux en métal mou ; fig.2 :une vue en élévation avec section partielle de la fig.l ; ' fig.3 : une vue en élévation en coupe, à plus grande échelle
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de l'organe f ileté intérieurement rept senté fig.l et montrant clairement la bague conique drentraineme2t faisant partie du dit organe ; fig. une vue en élévation en coupe d'ame extrémité de tuyau en métal dur,montrant la bague conique d'entraînement
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utilisée en combinaison avec un joint ou un anneau en métal défor- mable ;
fig.5 : une vue analogue à la fig.4 dans laquelle le cône intérieur est étame pour produire un revêtement en matière défor-
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mable et lîextréuité du. tube en métal dur est ahanfrainée à son extrémité ; fig.6 : une vue de détail du tube ci1.anfreiné à son extré- mité représenté fig.5 ; fig.7,8 et 9 : des vues en élévation en coupe montrant lex-
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trémité é dInn tube ai métal dur dans. laquelle la bavure est trans- formée en une bague formant joint en contact avec le cône intérieur fig,10 :une vue en élévation, avec section partielle,j'un outil pouvant être utilisé pour travailler l'extrémité du .tube : fig.11;
une vue en élévation avec section partielle d'un
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dispositif assurant l'indesserrabilité du raccord double.
Coune représenÉé' fig.1,2 et 3,le raccord double suivant l'invention est constitué par une pièce centrale '!"'présentant des parties filetées extérieurement b b et des prolongements en
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forme de cône c c qui sont de sens oppbsé et agissent comme pièces de suppott conique pour les tubes d e en cuivre ou autre métal mou qui doivent être reliés l'un à l'autre. Ces tubes sont évasés à leur extrémité, comme montré en d1 el à la façon connue Montés sur les filetages des parties males b b se trouvent des pièces femelles filetées interieurement f f comportait chacue une bagne conique d'entrainement g.
En outre, entre chaque bague g et la partie filetée femelle 1 se trouve une partie de forme hexagonale h, cette partie hexagonale étant à l'extérieur de la partie f. La bague d'entrainement conique g est solidaire de l'organe 1. et est en métal plus dur que le métal mou du tube. Cett bague d'entraînement conique étant solidaire de l'orgae f reste toujours en liaison avec lui ; elle tourne donc avec la pièce f et se déplace avec elle lorsque cette dernière avance sur l'organe mâle b.
Lorsque le raccord suivant l'invention est ut ilisé pour fixer un tuyau à un robinet, récipient ou analogue, la pièce centrale a ne comporte pas les deux canes o c Dans un tel cas,l'organe mâle b est solidaire d'une tubulure,paroi ou analogue, en laissait le cône c libre à l'extérieur,
La partie intérieure de la surface interne de la. bague d'entrainement conique± est de préférence arrondie ou incurie vers g1de façon à s'engager légèrement sur le mét'al et sans roder ou endommager ce dernier lorsqu'elle agit sur l'extrémité évasée d1 ou e1 du tube.
L'angle au sommet de la partie conique male o a une valeur faible, de façon à empêcher la formation d'un bord pointu ou angulaire adjacent au début de l'évasement. Cet angle au sommet est déterminé par la nature du métal constituant le tube. Par exemple ( cette indication ne doit pas être considé- rée comme limitative) la surface du prolongement conique.,2, destinée à pénétrer dans l'extrémitéévasée d'un tubee en cuivre , peut avoir un angle de deux degrés sur 1' axe.Dans le cas d'un tube en plomb, la valeur de cet angle peut être de quatre degrés.
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L'angle interne de la bague d' entr aînem t .6. est dans chaque cas légèrement moindre que celui du cane.± . Ces indications ne sont iOspEl!1.dant données quà titre approximatif.Une rainure a1 est de préférence formée à l'extrémité du filetage de la pièce oentrale b, cette rainure pouvant être obtenue en décol- letant leméta le long de ce filetage.
L'extrémité du tube! ou e ayant été élarg'ie ou évasée à la façon connue ( par exemple au moyen de la soie d'une lire ) est introduite sur le cône c et la pièce feinelle f (glissée au préalable sur le tube ) est engagée sur la pièce mâle b et filé-
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tée sur cette ierniére.Lorsque la bague d'entrainemait conique agit sur liextréaité évasée du métal mou du tube, elle presse le métal sur le cône e,oomme indiqué fig.I.LtépaLsseur de l'extrémi- té du tube se trouve fai:blel:1entréduite par cette pression et en obtient un joint étanohe.
Dans le cas de tubes en métal dur ( par exemple en acier soudé) comme représenté fig.4, la bague d'entraînement conique g, solidaire de la partie femelle f,agit égalenent sur
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lfeirtérieur de l'extrémité évasée dl du tube ds mais l'intérëur de cet évasment agit directement sur une rondelle de suivre i glissée sur le cône intérieur .2..La pression exeroée par la baguee
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d'entrathemant conique sur 1" extrémité évasée cl écrase la rondelle de m,-tal i sur le G8ne a et on obtient par suite un joint étanahe.Dans cette forme d'exécution, on doit noter que le métal dur du tube ne pouvant être lui-même déformé, on interpose
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pour cette raison une rondelle séparée i en matière déformable.
Dans la variante représentée fig.5, on utilise un r evê- tement en étain .1, placé sur le cône c.LTextrémité évasée à1 tube d est elle-même chanfreinée en d2 ( voir fig.6). ye revê- tement ou la couche d'Rtain remplace dans ce cas la rondelle i
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de la fig.4. Lorsque la bague conique dentrainemma.t est vissée sur l'organe mâïe 6 ,1 extr é it chanfreinée d 2 agit, à la f aç on d'un grattoir et s'applique elle-même sur l'étain ductile et
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'f ' ' '
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déformable et tasse l'étain par son extrémité antérieure d2,
Dans ce cas également, une couche de matière déformable est interposée entre les parties d1 et c.
Dans les fig.7,8 et 9, on a représenté un autre mode d'obtention d'une couche déformanle entre l'intérieur du tube et le cône intérieure o . Dans cette disposition, et d'autres équivalentes basées sur le même principe, on utilise un métal qui,sous l'action de la pression,se conforme lui-même à la surface conique avec laquelle il est en contact. Dans cet exem- ple, la bavure fermée lors de la coupe du tube, par exemple au moyen d'une cisaille à molettes, est amenée à une forme telle qu'elle constitue l'anneau ou la couche intermédiaire.La bavure est représentée en j1 sur les fig.7 et 8 e elle est travail- lée de façon à former unrebord rentrant constituant une surface d'appui annulaire continue.La fig.9 représente le cône inté- rieur cen place dans l'extrémité du tube ainsi travaillé.
Cetteforme donnée à la bavure peut tre obtenue au moyen de tout dispositif convenable, par' exemple au moyen d'un outil tel que celui représenté fig.2. Cet outil comporte une tige k débordant d'une pièce en forme de coupe 1 fixée à un manche m; Cette tige se termine par une partie conique aplatie k1, à laquelle fait suite une partie k2 faiblement conique (presque cylindrique) et une partie de guidage cylin- drique k3. Cettedernière est fixée à la pièceen forme de coupe 1 par une partie k4 tronconique ( dont le cône est plus pointu que le cône aplati k1 et est suivie par une partie k5 aplatie et de faible longueur en forme de tronc de cône.
Lorsque la bavure -11 formée,par exemple au moyen. d'une cisaille à molettes , est utilisée, elle peut, être tra- vaillée par cet out il k, le.La, de façon à obtenir le petit rebord, représenté fig.8, ce rebord étant dirigé vers l'inté- rieur du tube et oonst ituant une surface 1='appui continue.Cette surface d'appui annulaire est forcée contre le cône intérieur a lorsque le cône d'entrainement agit sur l'extérieur de l'extré-
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mité évasée d1.
La partie k4 de l'outil peut également former
1'extrémité évasée d1 du tube lorsque ce aernier est forcé sur la tige k. Si cela est nécessaire, on peut le faire tourner sur l'outil et on obtient la surface chanfreinée d2 qui cosstitue l'extrémité en contact avec la matière déformable formant joint (fig.5 et 6).
La partieen forme de coupe 1 a une formeinté- .rieure teLle qu'elle guide et maintient l'extrémité évasée durant la formation de l'extrémité terminale d2,
Cet outil permet de supprimer la fente d'un tube soudé et également d'obtenir une extrémité de grattage très nette (telle que d2) en même temps.
que l'on maintient circulaires et concentriques l'extréieur et l'intérieur du tube,
L'outil ains agencé pour transformer la bavure j1 en un rebord annulaire intérieur qui constitue la surface de contact avec le cône 2,.présente en outre l'avantage que l' extra- mité évasée du tube n'a pas besoin d'être ouverte,
puisque le re- bord j1 est solidaire de cette extrémitée évasée et qu'une rondelle séparée est inutile .L'extrémité conique aplatie k1 de la tigepousse d'abord radialement vers l'extérieur la bavure j1 provoquée par les disques de la cisaille et la partie faible ment conique k2 adoucit et complète de déplacement de la bavure contre la paroi intérieure de l'extrémité évasée.La partie cylin- drique k3 de l'outil agit à la façon d'un guide et la partie tronconique k4(plus pointue que le cône aplati) ouvre la partie terminale du tube d pour obtenir l'évasement vou-lu d1.
Dans la fig.ll,on a représenté une enveloppe h comportant une queue n1 et s'adaptant sur les parties hexago- nales d'un raccord. double suivant l'invention, pour éviter qua les parties femelles jfjf du dit raccord s'écartent.Lorsque ce dispositif est en placé, la queue ni!: peut être rabattue ou
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engagée avec le tubede façon à éviter tout déplacement des trois hexagones.Cette queue maintient ainsi en place l'envelop- pe.
Il est bien entendu qu'au lieu d'outils tels que celui qui vient d'être décrit, on peut utiliser tout autre dis- positif pour dilater ou évaser les extrémités des tubes en métal mou.C'est ainsi que l'en peut utiliser simplement un clou du la soie d'une lime pour provoquer la très petite expansion,où le faible évasement, des extrémités du tube, nécessiire pour pouvoir engager le dit tube sur le cône prévu à l'extrémité de l'organe intérieur du raccord.
On doit noter que dans tous lescas,la bague conique d'entraînement s'engage sur 1*'organe mâle, présentant le cône sur lequel s'engage le tube, et qu'iltourne sur' le dit orgaie.
Cette disposition permet de donner aux parties filetées un diamé- tre beaucoup plus faible que le diamètre extérieur de l'extrmtû évasée du tube,, alorsque dans les dispositifs connus de raccord au moyen de manchons extérieurs filetés avec des trois coniques, les bagues filet ées intérieurement doivent êtred'un diamètre beauooup plus considérable que les tubes.
Le raccord suivant l'invention est d'un prix de re- vient très faible et peut être mis en place ou enlevé, très. facile- ment.De plus, il est parfaitement étanche aux liquides,même dais le cas où les tubes sont utilisés sur des véhicules à moteur, bateaux ou aéroplanes,soumis à des vibrations intenses.
Il doit être bien entendu en outre que la présente invention ne o.oit pas êtreconsidérée comme limitée aux formes d'exécution ci-dessus, données simplement à titre d'exemple, mais qu'elle peut être réalisée suivant diverses varantes.C'est ainsique pour les raccords de gros diamètre, les bagues d'en- traînement peuvent ne pas comporter de parties hexagon ales, ma ii simplement une surface extérieure striée ou cannelée permettant d'utiliser les clés à chaîne employées de façon courante.Dans
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le cas de tuyaux en plomb, ponr éviter que le tuyau tourne sur
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le con mâle, lor s du s e rr age du r aoco rd , on peut pr évo i r des can- nelures,bagues,etc...sur le cone mâle.
R3VENDICàTIOES
1 - Raccord pour la liaison de tubes ou tuyaux à des rabi- nets, récipients, tubulures, et c...... du typesuivant lequel un organe de raccord est filetée extérieurement, le dit filetage étant prolongé par une partie conique destinée à s'engager dans l'extrémité évasée du tube, caractérisé en ce qu'un second organe, ayant un filetage intérieur se vissant sur le filetage du premier
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organe mentionné, est muni d'une bague clentrainemeit conique qui est solidaire de la partie filetée intérieurement et s'engage di- rectement sur la partie dilatée ou évasée du tube pour entrainer le métal de la dite partie sur le prolongement. conique intérieur en pressant le métal contre ce cône mâle-.
2 - Raccord suivant 1 caractérisé en ce que la paroi inté- rieure arrière de la bague colique d'entraînement est arrondie ou incurvée pour faciliter l'engagement direct de la dite bague avec
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l'extérieur de 1=extrémité évasée du tube, ce qui évite dTenüon:ar ce dernier.
3 - Raccord suivant les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que la bague conique d'.entraînement comporte extérieurement un six-pans disposé entre l'extrémité du filetage de la dite bague et l'extrémité du cane d3entraifiement, 4 - Raccord suivant les revendioationa 1,2 ou 3, caraot i$é en ce que l'angle au El anmet du cône int érieur du raccord est plus grand que l'angle au sommet de la bague d'entraînement conique.
50--i Racco:r(i suivant les revendications 1,2,3 ou 4, caractérisé en ce que , lorsqu'on fait tourner la bague conique clt.e ntr atue ment, cette riernière aengajea clixeatement sur l'extrémité évasée du tube en métal mou et entraine la dite extrémités en la pressant entre elle et lecône intérieur.
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60- Raccord suivant les revendications 1,2, 3 ou 4, caracté - ' Y
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.