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"Appareil de sport le " S K I F F R O H T I E R ".
Le sport du canotage, reco@@u depuis Ion,.temps comme le plus complet des exercices de culture physique, ne pouvait jusqu'à présent être pratiqué 'que par une très petite minorité.
L'appareil décrit dans la présente demande ;le brevet, dénommé le "SKI@F ROUTIER", met ce sport à la portée de tous.
Certains engins ont été construits dans cet ordre d'idées, mais aucun ne réunit les conditions @oulues pour atteindre le but proposé:
Les appareile @ixes pour l'entraînement e- chambre, outre leur défaut primordial de ne pouvoir permettre l'exercice en plein air, présententencore l'inconvénient de ne fournir aucun contrôle sur 10 résultat de l'entraînement.
Les appareil -mobiles pour l'exercice en plein air pré- sentent d'autres défauts: ne pouvoir être employés que par les enfants; ne reproduire exactement, ni les @ouvements réels du @ canotage., ni l'effort réel exigé par cet exercice; ne posséder qu'une vitesse réduite, être d'un encombrement exagéré, et ne
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pouvoir être employés par l'athlète qui veut contrôler l'en-
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tr8.îne\;1Jll pratiqué a. domicile.
Le "s11I1<':ô' !itl.i<,1 est exempt de tous ces défauts. Il reproduit exactement les mouvements et l'effort d'un rameur de skiff. Il peut être employé par les enfants et par les adultes, permet l'exercice en plein air aussi bien que l'entraînement en chambre et dans ce dernier cas, fournit au rameur le contrôle
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de son :1 e 1?; ;.= ,5 ;1 ' e n 1; r z t =i o : :: e n t , Le 1"3;CC:'f ;\:I")l]'.i'Ir,:[\" (.é. on conséquence une nouveauté dans le domaine don appareils de sport, cs1' il est doué d'un ensemble de j¯;i>oj:1<1.1:t:és qu'aucun appareil précèdent ne possédait.
:::}1Ci,.]'11 a,)jJl:i.Ct11811t des principes existant déjà dans c#1 tcs¯ns autres appareils, 1'3 3111t:'1t obtenu par la C077?J1.1'l.^.,..^:7n de ces divers principes n'avait encore jamais été obtenu, et c'est dans cette combinaison que réside la nouveauté faisant l'objet de la présente demande de brevet.
Le premier but à atteindre est de reproduire exactement l'exercice du Skiffnautique, tant au point de vue des mouvements du rameur qu'au point de vue de l'effort à fournir, et que l'exercice pratiqué de la sorte imprime à l'appareil une vitesse
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suffisante pour oela faire un r-ongin de course. x1 cet e.t":'et, il fallait: un siége roulant ou glissant, un cale-pieds et deux avirons, indépendants l'un de l'autre, actionnant chacun une roue motrice au moyen d'un système de propulsion nécessitant un effort proportionnel au poids du rameur.
Ce système est représenté par les plans :
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HO 1 - \T1J en élévation suivant l'axe du plan, N 2 - Vue on plan (moitié, l'autre moitié étant symétrique) N 3 - Vue latérale du stabilisateur, N 4 - Vue de face du stabilisateur,
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A la poignée A de l'aviron est attachée l'extrémité d'une courroie B dont un certain nombre de spires sont enroulées autour d'un axe C. En tirant vers soi la poignée A le rameur fait dérouler un certain nombre de spires, imprimant à l'axe C un mouvement de rotation. Sur le même axe C est fixé un grand pignon denté D, qui, au moyen d'une chaîne E transmet le mouvement de rotati.on à un petit pignon denté F.
Ce dernier, monté à roue libre sur le moyeu de la roue motrice G, entraîne celle-ci, et fait rouler l'appareil sur le sol. Le rameur ayant terminé son mouvement de traction en arrière de la poignée A, celle-ci est ramenée vers 1.'avant par un ressort de rappel H fixé sur l'axe C.
La courroie est donc de ce fait enroulée à nouveau sur son axe, prête à recommencer le mouvement et ramène les pignons et la chaîne, le petit pignon F étant à roue libre. Pendant le retour de cette poignée A vers l'avant, l'appareil continue à rouler par force d'inertie.
La petite roue arrière I assure la direction au moyen de 2 câbles J fixés de part et d'autre de la fourche K et reliés à la base des cale-pieds L. Ceux-ci pivotant sur l'axe C, une petite pression du talon tirera le câble J du côté où on désire -tourner.
Voici donc réalisé le premier but à atteindre: les mouvements et l'effort d'un rameur de skiff nautique sont reproduits exactement, et cet effort met en marche l'appareil, à une vitesse suffisante pour en faire un engin de course.
Le second but à atteindre est de pouvoir effectuer le même exercice et le même effort sans que l'appareil se déplace, pour l'entraînement à domicile.
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Ce but est atteint par le dispositif de stabilisation, représente aux croquis N 3 et 4, et qui se compose d'un sabot M supportant 2 rouleaux N.
Le stabilisateur étant placé dans la position figurée au croquis ? 3, la roue motrice, au lieu de tourner sur le sol, tourne sur les deux rouleaux N, qui lui offrent une résistance approximativement égale à celle du sol, et exigeant par conséquent du rameur un effort identique à celui qu'il doit produire pour faire avancer l'appareil.
En adaptant sur la fourche P d'une des roues motrices G un petit compteur de tours, on pourra controler exactement le résultat d'entraînement.
REVENDICATIONS
La demande de brevet porte sur un appareil sportif possédant les propriétés suivantes: 1.) Permettre la reproduction exacte des mouvements, et de l'effort d'un rameur de Skiff nautique, cet effort mettant l'appareil en marche à une vitesse suffisante pour en faire un engin de course, et ce au moyen d'un système de propulsion combinant le mouvement dé. rotation imprimé à un axe par le déroulement d'une courroie et la transmission de ce mouvement à la roue motrice par l'intermédiaire d'une chaîne et de 2 pignons dentés.
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