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Procédé pour contrôler automatiquement le poids des cigarettes sortant de la machine à fabriquer les cigarettes.
La présente invention se rapporte à un procédé déterminant automatiquement le poids des cigarettes venant de la machine à fabriquer les cigarettes, cette détermination pouvant servir soit en vue d'établisse- ment de statistiques, soit, principalement, à régler, le cas échéant,l'introduction du tabac dans ladite machine, ainsi qu'à se rendre compte, par ailleurs,
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de l'état de la, machine et du tabac, ledit réglage pouvant se faire soit à la main, soit à l'aide de dis- positifs de réglage ou de monoeuvre à commande automati- que par la machine.
Il est connu de procéder au pesage, par group - pes, des cigarettes venant des machines à fabriquer les cigarettes, l'arrivée des cigarettes ayant lieu, dans les installations connues, soit de façon ininterrompue, c-à-d. que les cigarettes s'acheminent, dès leur sortie de la machine, continuellement sur une balance, soit de façon que l'arrivée des cigarettes sur la balance ait lieu à des intervalles irréguliersc-à-d. on prend à la main, de temps en temps, des échantillons de ciga- rettes terminées qu'on dépose sur la balance, le premier procédé n'a pas eu un succès pratique, une telle balance travaillant trop lentement, alors que le deuxième procédé ne donnait pas une image suffisamment exacte de la situation.
Selon le procédé faisant l'objet de la pré- sente invention, les cigarettes à peser sont enlevées automatiquement et périodiquement à l'organe distributeur et amenées à une balance,dont la déviation actionne, par des moyens électrique,mécaniques, pneumatiques, optiques etc., des compteurs ou, le cas échéant,des appareils d'enregistrement. Les déviations correspondent aux divers competaurs de façon telle que l'un des compteurs indique les cigarettes à poids exact, les autres compteurs celles pesant trop ou trop peu.
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L'on peut alors reconnaitre immédiatement, de la distribution des pesées sur les divers compteurs et du rapport des divers nombres entre eux, la manière de tra- vailler de la machine à fabriquer les cigarettes, afin de procéder éventuellement à un réglage à la main ; est également possible de réaliser un contrôle automatique de l'arrivée du tabac, par les dispositifs agissant sur lesdits compteurs.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, un mode de construction de la machine faisant l'objet de l'invention; dans ce dessin:
La figure 1 est une vue de face schématique de 1 'installation suivant l'invention.
La figure 2 est une vue de côté de l'installation de la figure 1, en partie en coupe.
Les cigarettes venant de la machine à fabriquer sont amenées, comme de coutume, sur un tambour 1 muni, sur sa périphérie, de rainures. Le tambour tourne con- tinuellement et transporte les cigarettes sur un trans- porteurs 2 qui les conduits au point de décharge ou vers la machine à empaqueter. On désire maintenant peser périodiquement un certain nombre des cigarettes fabri- quées successivement. Dans ce but, on a prévu un organe de comptage 3 monté sur le bâti de la machine de façon à osciller autour du pivot 3a et qui consiste en une fourchette qui pénètre avec ses dents dans les rainures du tambour tournant, de sorte que ces dents s'engagent sous les cigarettes se trouvant dans les rainures du tambour, les en délogent, en les faisant glisser sur
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l'organe compteur 3.
Cet organe est mis périodiquement en rotation par la commande de la machine, une roue dentée 5, engrenant avec une roue dentée 6, étant dis- posée sur l'arbre 4 portant le tambour 1, cet arbre étant mis continuellement en rotation par la commande principale de la machine. Sur l'axe 6a de la roue dentée 6 se trouve une came 7 agissant contre la tige 8 qui peut glisser axialement dans le bâti de la machine. L'autre extrémité de cette tige 8 s'applique contre une butée ou nez 3b de l'organe conteur 3, le contact de ladite tige 8 avec la came ou l'organe compteur 3 étant toujours assuré grâce au ressort 3c.
De cette façon, l'organe compteur 3 est pé- riodiquement poussé par la came dans la position indi- quée en traits pleins, dans laquelle il déloge les cigarettes du tambour qui glissent alors sur le plateau de balance 9, ou dans la position indiquée en pointillé, dans laquelle les cigarettes restent dans les rainures et tombent sur la bande sans fin 2.
Le plateau de balance 9 possède un fond fixe 9a et un fond mobile 9b; ce dernier oscille autour d'un axe 9c et est maintenu dans la position indiquée en traits pleins par le ressprt 9d. Le plateau 9 est fixé au moyen d'une suspension 10 à un fléau de balance 11 taré par le poids 11a de faon que la balance ne dévie pas lorsque la quantité de cigarettes dénombrées tombées dans le plateau présentent un poids exact. On peut rendre réglable ce poids lla, afin d'adapter chaque fois le
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dispositifau poids donné des cigarettes à peser.
Le plateau de balance est empêché de monter, en position inactive, par le pilon 14 monté verticale- ment dans le bâti de la machine, et dont l'extrémité inférieure pointue vient se placer dans le guide 9e du plateau. L'autre extrémité du pilon 14 est articulé au levier 13 monté dans le bâti de la machine et tournant autour de l'axe 13a. Ce levier comporte un appendice ou nez 13b se déplaçant sur la périphérie d'une came 12 agencée de façon que, après la pesée, elle vienne abaisser périodiquement le plateau de balance qui se trouve ainsi couverte. Dans ce but, on a prévu sur le fond mobile 9b un nez 9fdisposé au-dessus d'une saillie 19 fixée dans le bâti de la machine.Pendant la pesée, le pilon 7 est maintenu par la partie 12a de la came tournant à une vitesse uniforme.
A la fin de la pesée, l'appendice 13b du levier 13 se trouve sur la partie 12b de la came. Comme cella-ci est en pente en ce point, le pilon 14 s'abaisse et entraine le plateau de balance dans sa chute. Lorsque ledit plateau se trouve à proximité de la saillie 19, l'entaille 13c de la came 12 provoque une nouvelle chute brusque du pilon, de sorte que l'appendice 9f bute contre la saillie 19, en provoquant la brusque ouverture du plateau de balance, la partie mobile de laquelle prend la pesition indiquée en pointillé. Les cigarettes tombent alors sur la bande de transport 2. Comme suite à l'abaissement du plateau, celui-ci se trouve très près de la bande de transport 2, pendant la libération des cigarettes évitant
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ainsi toute détérioration des cigarettes. Le levier 13 est maintenu en engagement avec la came 12 au moyen du ressort 20.
Afin que le dispositif prélevant les cigarettes du tambour et le dispositif de pesage puissant travailler dans 1'/ordre et en mesure, la mise en route du dispositif de pesage d'une part et la mise en route du dispositif de comptage d'autre part s'effectue à partir de la même commande. La commande a lieu à partir d'un arbre 17 de la machine à cigarettes, mettant en rotation, par l'inter- médiaire d'une transmission,par exemple une commande par vis sans fin 18, l'arbre 4 actionnant le tambour 1 et le dispositif de comptage 3, cet arbre principal actionnant d'autre part, au moyen d'Une transmission, par example une roue hélicoïdale ou une commande par vis sans fin 16, également l'arbre 15 sur lequel se trouve la came 12.
La déviation du fléau 11,dont les oscillations peuvent être amorties au moyen d'un dispositif connu et non représenté, est transmise à un index ou levier 21, qui porte à son extrémité supérieure une plaque de con- tact 22. Une plaque 23, en matière isolante, est en outre fixée au bâti de la machine, cette plaque comportant un certain nombre de boitons de contact, soit, dans l'exemple représenté 5 boutons 24-28. Le levier 21 avec la plaque de contact 22 se déplace, comme le montre la figure 2,à une certaine distance de la plaque 23, de façon qu'il n'y ait aucun contact entre les plaques et a permettre le libre jeu de la balance.
Afin de presser
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le levier 21, formant, de préférence, ressort, contre les contacts, après l'équilibre de la balance, on a prévu un levier double 29 monté sur le bâti et tournant autour d'un axe 30, et actionné par un nez 31 disposé sur la came 12. Un ressort 32 maintient le bras 29 en engagement avec le disque 12 et ouvre de npuveau le contact.
La plaque de contact 22 est logée sur un épaulement ou prolongement 21a rivé sur le levier 21, disposé derrière la plaque 23 et prolongé vers le haut, ledit levier pouvant porter une pointe de crayon ou de perforation 32 au moyen de laquelle il peut perforer ou tracer des signes sur une bande 33 se déplaçant pas à pas derrière lui. Les contacts servent à la fermeture de circuits électriques qui desservent un nombre correspondant de compteurs, représentés sur la figure par les références 34à 38. Ces appareils de comptage peuvent être de con- struction connue quelconque, la figure n'en représentant que le cadran antérieur indiquant le nombre compté. La circuit est réalisé de façon telle que l'un des pôles d'une batterie 39 soit relié, par un fil 40, au bâti de la machine.
L'autre pôle de la batterie est relié par l'intermédiaire des conducteurs 41 avec l'une des bornes du compteur, les autres bornes étant respectivement re- liées, par les conducteurs 42, avec l'un des boutons de contact 24 à 28. En pressant par conséquant la plaque de contact 22 contre l'un des contacts 24 à 28, le air- cuit se ferme, mettant ainsi en circuit l'appareil de comptage correspondant. La tare de la balance est établie de façon telle que le levier 21 se maintienne, pour un
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poids usuel, dans sa position médiane; le contact 24 est par suite fermé et le compteur 36 se trouve actionné.
Lorsqu'il y a des cigarettes dépassant le poids usuel, le levier 21 dévie vers la gauche, en touchant, selon la valeur du surpoids, à la contre-pression, soit le contact 25, soit le contact 26, et actionnant ainsi le compteur 35 ou 34. Dans le cas d'un poids inférieur au poids normal des cigarettes, ce sont les contacts 27 ou 28, respectivement qui se ferment, en actionnant par suite les compteurs 37 ou 38, de façon que le compteur 26 indique les pesées justes, alors que les compteurs 35 et 37 indiquent, respectivement les pesées à poids inférieur ou supérieur, de faible valeur, et les compteurs 34 et 38, respectivement, les pesées à poids inférieur et - supérieur plus importants.
On peut, bien entendu, disposer un nombre quelconque de compteurs et de contacts, et régler ainsi les degrés des poids inférieure ou supérieurs qui doivent être en- registrés.Selon les résultats obtenus par ce comptage, on peut soit régler à la main l'arrivée du tabac, soit, par l'intermédiaire des contacts électriques pu par la bande à perforations 33, qui compartera, suivant la déviati- on de l'index, des perforations en des points différents, commander automatiquement l'arrivée du tabac.
Au lieu des contacts électriques et de la commande électrique des compteurs, on peut utiliser aussi des moyens optiques, photographiques, pneumatiques ou mé-
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caniques, mis en action par la déviation de l'index de la balance.
Lorsque l'on désire modifier la valeur du souspoids ou du surpoids a' indiquer, on pourra régler, comme on l'a mentionnée déjà, le contrepoids lla,mais on peut aussi rendre réglables les contacts 25 à 28 sur la plaque 23, par le fixation dans l'entaille,commereprésenté sur la figure.
Revendications :
1.) Procédé pour le oontrôle automatique du poids des cigarettes sortant de la machine à fabriquer les ci- garettes, caractérisé en ce que chaque pesée des groupes la de cigarettes, prélevés périodiquement dans/machine à cigarettes par un organe approprié et amenés à une balance, est transmise à des appareils de comptage ou compteurs, dont l'un indique les pesées justes et les autres les pesées à poids inférieurs ou supérieurs, de valeur plus ou moins grande.
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A method for automatically controlling the weight of cigarettes leaving the cigarette making machine.
The present invention relates to a method for automatically determining the weight of cigarettes coming from the cigarette making machine, this determination being able to be used either with a view to establishing statistics or, mainly, to adjust, if necessary, the weight. 'introduction of tobacco into said machine, as well as to realize, moreover,
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of the condition of the machine and of the tobacco, said adjustment being able to be done either by hand or by means of adjustment devices or of single-work devices automatically controlled by the machine.
It is known to weigh, in groups, cigarettes coming from cigarette-making machines, the arrival of the cigarettes taking place, in known installations, or in an uninterrupted manner, ie. that the cigarettes are routed, as soon as they leave the machine, continuously on a scale, or so that the arrival of the cigarettes on the scale takes place at irregular intervals, ie. samples of finished cigars are taken by hand from time to time and placed on the scale, the first process has not been a practical success, such a scale working too slowly, while the second process did not give a sufficiently accurate picture of the situation.
According to the method forming the subject of the present invention, the cigarettes to be weighed are automatically and periodically removed from the dispensing member and brought to a scale, the deflection of which actuates, by electrical, mechanical, pneumatic, optical means, etc. ., meters or, where appropriate, recording devices. The deviations correspond to the various competaurs such that one of the counters indicates cigarettes at the exact weight, the other counters those weighing too much or too little.
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One can then immediately recognize, from the distribution of the weighings on the various counters and from the ratio of the various numbers to each other, the way of working of the cigarette-making machine, in order to possibly carry out an adjustment by hand. ; It is also possible to carry out automatic control of the arrival of tobacco, by devices acting on said counters.
The appended drawing represents, by way of example, a method of construction of the machine forming the subject of the invention; in this drawing:
Figure 1 is a schematic front view of one installation according to the invention.
Figure 2 is a side view of the installation of Figure 1, partly in section.
The cigarettes coming from the manufacturing machine are fed, as usual, onto a drum 1 provided, on its periphery, with grooves. The drum rotates continuously and transports the cigarettes on a conveyor 2 which takes them to the discharge point or to the packaging machine. It is now desired to periodically weigh a number of the successively manufactured cigarettes. For this purpose, there is provided a counting member 3 mounted on the frame of the machine so as to oscillate around the pivot 3a and which consists of a fork which penetrates with its teeth into the grooves of the rotating drum, so that these teeth engage under the cigarettes in the grooves of the drum, dislodge them, sliding them on
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the counter unit 3.
This member is periodically rotated by the machine control, a toothed wheel 5, meshing with a toothed wheel 6, being placed on the shaft 4 carrying the drum 1, this shaft being continuously rotated by the control. main machine. On the axis 6a of the toothed wheel 6 there is a cam 7 acting against the rod 8 which can slide axially in the frame of the machine. The other end of this rod 8 is applied against a stop or nose 3b of the storyteller member 3, the contact of said rod 8 with the cam or the counter member 3 always being ensured by the spring 3c.
In this way, the counter member 3 is periodically pushed by the cam into the position indicated in solid lines, in which it dislodges the cigarettes from the drum which then slide on the weighing plate 9, or in the position indicated. dotted line, in which the cigarettes remain in the grooves and fall on the endless belt 2.
The weighing pan 9 has a fixed bottom 9a and a movable bottom 9b; the latter oscillates around an axis 9c and is held in the position indicated in solid lines by the spring 9d. The platform 9 is fixed by means of a suspension 10 to a balance beam 11 calibrated by the weight 11a so that the scale does not deviate when the quantity of counted cigarettes which have fallen into the platform have an exact weight. This weight can be made adjustable, in order to adapt each time the
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device at the given weight of the cigarettes to be weighed.
The weighing plate is prevented from rising, in the inactive position, by the pestle 14 mounted vertically in the frame of the machine, and the pointed lower end of which is placed in the guide 9e of the plate. The other end of the pestle 14 is articulated to the lever 13 mounted in the frame of the machine and rotating around the axis 13a. This lever comprises an appendage or nose 13b moving on the periphery of a cam 12 arranged so that, after weighing, it periodically lowers the weighing plate which is thus covered. For this purpose, there is provided on the movable bottom 9b a nose 9f disposed above a projection 19 fixed in the frame of the machine.During weighing, the pestle 7 is held by the part 12a of the rotating cam at a uniform speed.
At the end of the weighing, the appendix 13b of the lever 13 is located on the part 12b of the cam. As cella is sloping at this point, the pestle 14 is lowered and causes the scale plate in its fall. When said plate is located near the projection 19, the notch 13c of the cam 12 causes the pestle to fall again suddenly, so that the appendix 9f abuts against the projection 19, causing the abrupt opening of the weighing plate. , the moving part of which takes the weight indicated in dotted lines. The cigarettes then fall on the transport belt 2. As a result of the lowering of the tray, it is very close to the transport belt 2, during the release of the cigarettes avoiding
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thus any deterioration of cigarettes. The lever 13 is kept in engagement with the cam 12 by means of the spring 20.
In order that the device removing the cigarettes from the drum and the powerful weighing device work in order and in measure, switching on the weighing device on the one hand and switching on the counting device on the other hand. is carried out from the same command. The control takes place from a shaft 17 of the cigarette machine, rotating, via a transmission, for example a worm drive 18, the shaft 4 actuating the drum 1. and the counting device 3, this main shaft actuating on the other hand, by means of a transmission, for example a helical wheel or a worm drive 16, also the shaft 15 on which the cam 12 is located.
The deflection of the beam 11, the oscillations of which can be damped by means of a known device and not shown, is transmitted to an index or lever 21, which carries at its upper end a contact plate 22. A plate 23, made of insulating material, is also fixed to the frame of the machine, this plate comprising a certain number of contact boxes, that is, in the example shown 5 buttons 24-28. The lever 21 with the contact plate 22 moves, as shown in figure 2, a certain distance from the plate 23, so that there is no contact between the plates and to allow free play of the balance.
In order to squeeze
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the lever 21, preferably forming a spring against the contacts, after the balance of the balance, there is provided a double lever 29 mounted on the frame and rotating about an axis 30, and actuated by a nose 31 arranged on the cam 12. A spring 32 maintains the arm 29 in engagement with the disc 12 and opens the contact npuveau.
The contact plate 22 is housed on a shoulder or extension 21a riveted to the lever 21, arranged behind the plate 23 and extended upwards, said lever being able to carry a pencil point or perforation 32 by means of which it can perforate or draw signs on a strip 33 moving step by step behind him. The contacts are used to close electrical circuits which serve a corresponding number of meters, represented in the figure by the references 34 to 38. These counting devices can be of any known construction, the figure showing only the previous dial. indicating the number counted. The circuit is made in such a way that one of the poles of a battery 39 is connected, by a wire 40, to the frame of the machine.
The other pole of the battery is connected by means of the conductors 41 with one of the terminals of the meter, the other terminals being respectively connected, by the conductors 42, with one of the contact buttons 24 to 28 By consequently pressing the contact plate 22 against one of the contacts 24 to 28, the cooked air closes, thus switching on the corresponding counting apparatus. The tare of the scale is established in such a way that the lever 21 is maintained, for a
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usual weight, in its middle position; contact 24 is consequently closed and counter 36 is activated.
When there are cigarettes exceeding the usual weight, the lever 21 deflects to the left, touching, depending on the value of the overweight, against the pressure, either the contact 25 or the contact 26, and thus actuating the counter 35 or 34. In the case of a weight less than the normal weight of the cigarettes, it is the contacts 27 or 28, respectively which close, thereby activating the counters 37 or 38, so that the counter 26 indicates the weighings. fair, while the counters 35 and 37 indicate, respectively, weighings at lower or higher weight, of low value, and the counters 34 and 38, respectively, weighings at lower and greater weight.
Of course, any number of counters and contacts can be arranged, and thus the degrees of lower or higher weights to be recorded can be adjusted. Depending on the results obtained by this counting, the weight can either be manually adjusted. arrival of the tobacco, or, by means of the electrical contacts pu by the perforated strip 33, which will compare, according to the deviation of the index, perforations at different points, automatically controlling the arrival of the tobacco.
Instead of the electrical contacts and the electrical control of the meters, optical, photographic, pneumatic or media means can also be used.
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caniques, set in action by the deviation of the index of the balance.
When it is desired to modify the value of the underweight or of the overweight to be indicated, it is possible to adjust, as already mentioned, the counterweight 11a, but it is also possible to make the contacts 25 to 28 on the plate 23 adjustable, by fixing in the notch, as shown in the figure.
Claims:
1.) Method for the automatic control of the weight of the cigarettes leaving the cigarette-making machine, characterized in that each weighing of the groups 1a of cigarettes, taken periodically from the cigarette machine by a suitable organ and brought to a balance, is transmitted to counting devices or counters, one of which indicates correct weighings and the others weighings at lower or higher weights, of greater or lesser value.