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Serrure à combinaison @
Cette invention a pour objet une serrure à combinaison utilisable pour verrouiller l'une oontre l'autre une partie dormante et une partie ouvrante sans le secours d'une clé et avec le secret voulu, la partie dromante étant par exemple une membrure ou un panneau architectural, Nobiliaire, vestimentaire ou autre (cadre de porte, corps de coffret, pan de portefeuille, sac à main, sacoche ou vêtement, aocle ou liasse de carnet de chèques, etc.) tandis que la partie ouvrante est par exemple la membrure ou le panneau mobile correspondant (panneau de port*, couvercle de coffret, patte de portefeuille, de sace de dame, de sacoche ou de vêtement, couverture de carnet de chèques, etc.) .
Cette serrure à usagea multiples est principalement remarqua- ble, au point de vue constructif, en ce qu'elle se compose de deux éléments profilée à interpénétration respectivement solidaires des parties ouvrante et dormnte un élément externe femelle garni d'au
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moins une rangée longitudinale de boutons apparents mobiles transversa- lement et portant intérieurement des panes transversaux dissimulés à position réglable pour combiner le secret, et un élément interne mâle maintenu longitudinalement mobile dans l'élément externe et percé d'un nombre de trous formant gâches correspondant au nambra des pênes,
ceux-ci étant amenés vis-à-vis des gâches respectives par un déplacement volontaire de l'élément interne par rapport à l'élément externe malgré l'antagonisme d'un ressort interposé entre eux, la correspondance des positions des pênes et des gâches étant maintenue à l'encontre de l'aotion de ce ressort par l'enclenchement des pênes-clé c'est-à-dire des pênes réglés selon le secret choisi dans leurs gâches respectives, enclenchement pour lequel tous les boutons son-t'alignés, et (ou) par l'enclenchement des pênes-morte dans leurs gâches respectives, cet enclenchement supplémentaire corres- pondant à un désalignement des boutons qui brouille davantage la serrure.
Selon un mode de réalisation préféré de l'invention avantageuse- ment applicable natamment aux portefeuilles, sacoches, sacs à main, carnets de chèques, etc., la correspondance des positions des pênes et des gâches a pour effet d'enclancher, au surplus, des auberons fixés à la partie dormante dans des boutonnières pratiquées dans la paroi adjacente de l'élément interne, celui-ci étant emprisonné dans l'élément externe par un fonoet amovible percé de troua correspondant comme enlacements auxdites boutonnières.
Une originalité fonctionnelle de cette serrure selon ce mode de réalisation, o'est qu'elle assure normalement un verrouillage double du fait que l'engagement d'un ou plusieurs de ses pênes dans la ou les gâches correspondantes a pour effet de bloquer les auberons fixés à la partie dormante dans les boutonnières pratiquées dans la paroi adjacente de l'élément interne de la serrure.
Une autre originalité fonctionnelle de cette serrure selon le mode de réalisation en question, c'eat que les deux verrouillages ainsi réalisés sont assurés par des organes autonomes dont l'echlancohement a lieu dans des directions angulaires différentes, ce qui empêche le crochetage de la serrure par un effort d'arrachement ou de torsion de ses deux éléments l'un par rapport à l'autre.
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Une autre originalité fonntionnele de cette serrure, c'est que le déplacement de l'un quelconque de ceux de ses boutons qui portent des pênes-morts (ne participant pas directement au secret) dans la sens oorrespondant à la sortie dea pênes-clé (participant directement au secret) de leurs gâches respectives a pour résultat de faire pénétrer un pêne-mort dans une gâche c'est-à-dire de brouiller encore davantage la combinaison et de rendre ainsi l'ouverture impossible même ai les pênes-clé sont ensuite dégagés par hasard de leurs gâchée .
Diverses autres originalités de cette serrure découleront de la suite de cette description.
Dans le dessin schématique annexé
Figure 1 est une coupe verticale avec arraohement partiel d'un bon mode de réalisation de cette serrure montée à cheval sur une partie dor- mante et une partie ouvrante à chevauchement, par exemple le pan et la patte d'un portefeuille ou d'une saooohe.
Figure 2 est une élévation latérale fragmentaire avec arraohement partiel de l'élément interne supposé ici en forme de cuvette à profil en U.
Figure 3 est un plan du dessus de l'élément externe .
Figure 4 est une section droite par la ligne IV-IV (Figure 3) de l'élément interne en U montrant le détail intérieur .
Figure 5 est un plan du dessus de l'élément interne le montrant en position sur le fonçât.
Figure 6 est un plan de la semelle porte-auberons fixée sur la partie dormante.
Figure 7 est une coupe par la ligne VII-VII (Figure 6) montrant la relation entre le foncet, la semelle porte-auberons, et la partie dormante.
Figure 8 est une vue analogue à la figure 1 mais dans le cas où la serrure est montée par pivotement sur un carnet de chèques, les boutons de manoeuvre étant ici protégés par un capot pour prévenir toute fraude.
Figure 9 est une coupe d'un cadenas dont le verrouillage est assuré par l'enolanchement de pênes coulissants dans les gâches d'un élément interne en forme de cuvette, la boite de ce cadenas constituant l'élément externe et portant les boutonn de manoeuvre, non représenté@.
Figure 10 est une vue analogue à la Figure 4, mais dans le cas où l'élément interne de la serrure rappelle la forme d'undont l'ame est
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percée d'un nombre de gâches égal au noznbro des pênes doubles portas intérieurement par l'élément externe en forme de cuvette.
Figure 11 est une vue fragmentaire d'une variante de l'élément interne dont les boutonnières sont ici pratiquées dans des volets pivotant vers l'intérieur seulement de cet élément et articulés à sa paroi de base.
Les mêmes numéros de références désignent lets mêmes organes dans toutes les figures.
Si l'on se reporte tout d'abord aux figures 1 à 7, 1 désigne l'élément externe qui est ici en forme de cuvette parallélipipédique allongée. Cette cuvette 1 est fixée à la partie ouvrante A par exemple par des rivets 2 implantés dans un rebord périphérique 1a;elle pourrait aussi, d'ailleurs, être noyée dans cette partie ouvrante (le couvercle d'un coffret par exemple) pour un but d'élégance. la base de la curette 1 est percée d'un certain nombre d'ouvertures parallèles égales 1b dans lesquelles sont montés d coulissement transversel des boutons alignés 3 faisant saillie au-dessus de cette base et pourvus de plaquettes 3a masquant tout moment ces ouvertures. La queue 3b de chacun de ces boutons 3 comporte une bride de friotion 3 et un trou transversal 3d .
Dans les trous 3d des divers boutons 3 se logent des broches 4 de longueur égala constituant les pênes de la serrure. Chacun de ces pênes dont la position dans son trou 3apeut être modifiée à volonté pour changer le secret de la serrure est immobilisé ici par une vis 5 implantée dans un alésage taraudé de la queue 3d du bouton correspondant.
Dans la cuvette externe 1 constituant l'élément femelle de la serrure se loge son élément mâle constitué ici par une cuvette allongée 6 mesurant une longueur et une largeur un peu moindres. Cette cuvette interne 6 comporte sur chacun de ses côtés longitudinaux à la hauteur de son embouchure un rebord 6a qui repose oontre le fond de le cuvette femelle 1 . Une extrémité de la cuvette 6 est munie d'un poussoir 7 se logeant dans un trou terminal correspondant de la curette 1 ; contre son autre extrémité s'appuie un ressort b arcbouté contre la paroi interne de la cuvette 1. Le fond de la cuvette mâle 6 est coupé de doux boutonnières 6b présentant chacune une partie ronde et une partie étranglée semblablement orientées.
Chacune des parois longitudinales de la cuvette 6 est percée d'un nombre de trous ou gâches 6 égal au nombre des boutons 3, le calibre de
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ces gâches étant calculé pour permettre la libre passage des panes 4 .
Sur la partie dormante B est fixée une semelle 9 ancrée à elle par des griffes 9a et portant deux auberona 10 séparés par une distance égale à la distance des centres géométriques des boutonnières 6b et pré- sentant chacun une tête renflée 10a terminée ici en pointe .
Entre la semelle 9 portant les auberons 10 et le fond de la cuvette interne 6 s'intercale un fonoet 11 constitué par une plaque percée de deux -trous ronds 11a coïncidant avec les parties rondes des boutonnières 6b Ce fonoet est étudié pour se fixer amoviblement par-dessus le fond de la cuvette interne 6 de façon à l'emprisonner dans la cuvette externe 1 . Cette fixation amovible peut être opérée de toute manière connue, par -exemple à coulisse grâoe à une gouttière périmétrale du fonoet 11.
La construction de la serrure représentée dans la figure 8 cet analogue dans ses .grandes lignes à celle de la figure 1. Les seules diffé- rences résident dans ce fait que la cuvette externe 1 est protégée par un capot 12 percé d'ouvertures par lesquelles émergent les boutons 3, ce qui notamment empêcgs de voir les traces de la friction des plaquettes ;:sa des boutons-clé contre la cuvette 1 et de retrouver ainsi frauduleusement le secret. Ce capot présente une embase 12a fixée au rebord 1a de la cuvette externe 1.
Les auberons 10 sont ici plus allongés pour traverser de part en part la liasse C d'un carnet de chèques par exemple, cette liasse faissant office de partie dormante et étant enchâssée dans une gouttière 9 portant les suberchs et reliée par une charnière 13 au capot 12 Il n'y a pas ici de partie ouvrante proprement dite, puisque tout le mécenisme renfermé dans le capot 12 est destiné à pivoter autour de la charnière 13 par rapport à la partie dormante C constituée par la liasse de choquas ou autres documents. La serrure fonctionne donc à la manière d'une serrure auberonnière .
La fonctionnement est le suivant : Lorsque tous les boutons 3 sont alignés (position montrée clairement en figure 3) ceux des pence 4 qui constituent la olé du secret ou de la combinaison, c'est-à-dire ici le troisième et le quatrième pêne à partir de la gauche (Figure 1) sont engagés dans les gâches 6 correspondantes du fait de leur saillie contrariée par rapport aux autres pênes 4. La cuvette 6 est donc immobilisée longitu- dinalement dans la cuvette 1 et sa position emprisonna les têtes 10a des
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auberons 10 dans les extrémité étranglées des boutonnières eb.
Pour ouvrir la serrure, il suffit à la personne connaissant le secret de pousser les deux boutons correspondants 3 dans le sens inverse de celui de la saillie de leurs pênes 4 . Ce faisant, elle fait sortir des gâches 6 lea deux panes 4 en question. Le ressort 8 repousse alora la cuvette 5 de sorte que les têtes 10a dea auberons 10 viennent se placer dans les parties renflées des boutonnières 6b et que la. partie ouvrante A peut être séparée de la partie dormante B . * L'opération est instantanée.
Pour refermer la serrure, on procède inversement en utilisant le poussoir 7 pour comprimer le ressort 8 dans une mesure correspondant à la venue en coïncidence des pênes-clé 4 et dea gâches 6a
On conçoit que lorsque la serrure est fermée, tout déplacement d'un bouton ? portant un pêne-mort a pour effet de faire pénétrer celui-ci dans la gâche correspondante s9 et de brouiller encore davantage la serrure puisqu'alors la manoeuvre des pênes-clé par les boutons qui leur correspondent ne peut morne plus ouvrir la serrure. La combinaison est donc pratiquement inviolable à condition de prévoir un nombre de boutons 3 interdisant toute ouverture subreptice par le calcul arithméti- que.
Il est, du reste, possible de combiner plusieurs de ces serrures ou de prévoir plusieurs rangées de boutons tels que 3 pour augmenter la sécurité.
Pour changer la combinaison, il suffit de dégager l'élément interne 6 de l'élément externe 1 après avoir enlevé le foncet 11-et, par simple dévissage des vis 5, de changer ceux des pênes qui constituent les. panes-c lé. Cette opération ne demande qu'une demi-minute environ.
Cette serrure à combinaison offre donc ces trois avantages rarement réunis : inviolabilité, manoeuvre instantanée et possibilité de changer le secret dans un temps extrêmement bref. Ceoi est précieux par exemple dans le cas de portefeuille. sacoche, carnet de chèques, dossier, etc..
L'invention est d'ailleurs également applicable aux cadenas comma le montre la Figure 9 . L'élément externe 1 portant les boutons de manoeuvre (non représentés) est constitué ici par la botte morne du dandens Quant à l'élément interne 6, il affecte la maille structure que dans la Figure 1 mais est maintenu entre deux glissières 14 fixées à la paroi
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interne de la botte 1 contre laquelle s'arcboute le ressort antagoniste 8 Le poussoir 7 se prolonge ici en demi-cercle pour constituer l'anse du cadenas.
Si l'on se reporte maintenant à la figure 10, on verra que cette variante utilise un élément interne 6 en forme de T logé dans l'élément externe 1 en forme de cuvette de manière que leurs fonds soient b opposés. Chacun des boutons 3 comporte ici deux queues parallèles 3 d percées chaoune d'un trou transversal 3dans lequel est fixée une broche 4 formant pêne au moyen d'une vis 5 tout comme dans la construction représentée en figure 1. L'âme oentrale de l'élément interne 6 en forme de Test percée d'une rangée de trous correspondant aux pênes doubles 4 et la base de cet élément en T est percée de part et d'autre de son âme de deux paires de boutonnières dans lesquelles peuvent s'engager les têtes 10a de deux paires d'auberons 10 .
Le fonctionnement est sensible- ment le même que celui de la première construction.
Dans la figure 11 est représentée une autre variante de cons- truotion dont le but est de permettre de supprimer le poussoir 7 @ dans la première construction pour amener en coïncidence les pênes 4 et les gâches 6a malgré l'antagonisme du ressort 8. Comme le montre cette figure, la tête 10a de chaque auberon 10 eat biconique et la boutonnière 6 dans laquelle s'engage cette tête au lieu d'être pratiquée directement dans la base de l'élément interne 6 est ménagée dans un volet rapporté 6 relié à ladite base par une charnière 6aétudiée pour ne permettre le pivotement de ce volet que vers l'intérieur.
Grâce à cette construction, on conçoit qu'à condition que les divers organes de la serrure soient convenablement calculés et ajustés, il est possible par un simple effort tendant à déplacer longitudinalement la partie ouvranto à par rapport à la partie dormante B d'amener les êtes 10a des auberons dans l'alignement des parties rondes des boutonnières 6b, ces têtes poussant alors vers l'intérieur les volets 6d et pénétrant dans les parties étranglées de ces boutonnières lorsqu'on cesse d'exercer cet effort en permettant auxdits volets de retomber,
tout désengagement des boutonnières 6b et des têtes 10a des auberons étant impossiblesana une manoeuvre convenable des bou- tons 3 correspondant aux pênes-clé puisque les volets 6d ne peuvent
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pivoter vers l'extérieur . Cette construction est particulièrement heureuse loraque par exemple la serrure doit âtre noyée dans le cou- vercle d'un coffret, ou lorsqu'un poussoir tel que 7 serait inaccessi- ble. Elle peut être employée aussi pour des raisons d'esthétique.
On oonçoit que l'invention n'est pas limitée aux =de@ d'exécution qui viennent d'être décrits maia englobe les équivalences mécaniques utilisant les mêmes principes. C'est ainsi que les éléments prefilés à interpénétration pourraient avoir n'importe quelle forme convenable et que l'amenée des pênes vis à vis des gâches de forme correspondante pourrait être réalisée par un mouvement quelconque des boutons, non pas seulement un mouvement de translation transversale mais un mouvement de poussée, de rotation, ou autre. L'invention se prête ainsi à la réalisation de fermoirs, verrous, plaques fermantes. targettes, en tous genres, tous ces dispositifs étant englobés par l'expression générale "serrure".
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
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Combination lock @
This invention relates to a combination lock that can be used to lock a fixed part and an opening part against each other without the aid of a key and with the desired secrecy, the dromante part being for example a frame or a panel. architectural, noble, clothing or other (door frame, cabinet body, wallet side, handbag, satchel or garment, aocle or bundle of checkbook, etc.) while the opening part is for example the frame or the corresponding mobile panel (port panel *, box cover, wallet, lady's bag, satchel or clothing tab, checkbook cover, etc.).
This multi-use lock is mainly remarkable, from a construction point of view, in that it is made up of two interpenetrating profiled elements respectively secured to the opening parts and there is a female external element lined with
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at least one longitudinal row of visible buttons movable transversely and internally carrying concealed transverse panels with adjustable position to combine secrecy, and a male internal element held longitudinally movable in the outer element and pierced with a number of corresponding striker holes to the nambra of the bolts,
these being brought vis-à-vis the respective keeps by a voluntary displacement of the internal element relative to the external element despite the antagonism of a spring interposed between them, the correspondence of the positions of the bolts and the keeps being maintained against the aotion of this spring by the engagement of the key bolts that is to say the bolts adjusted according to the secret chosen in their respective keeps, engagement for which all the buttons are-t ' aligned, and (or) by engaging the deadbolts in their respective keeps, this additional engagement corresponding to a misalignment of the buttons which further scrambles the lock.
According to a preferred embodiment of the invention advantageously applicable natively to wallets, satchels, handbags, check books, etc., the correspondence of the positions of the bolts and keeps has the effect of engaging, moreover, inns fixed to the dormant part in buttonholes made in the adjacent wall of the internal element, the latter being trapped in the external element by a removable fonoet pierced with holes corresponding as interlacing to said buttonholes.
A functional originality of this lock according to this embodiment, is that it normally ensures a double locking because the engagement of one or more of its bolts in the corresponding keeper (s) has the effect of blocking the inns. fixed to the fixed part in the buttonholes made in the adjacent wall of the internal element of the lock.
Another functional originality of this lock according to the embodiment in question, it is that the two locks thus produced are provided by autonomous members whose eclancohement takes place in different angular directions, which prevents the lock picking. by a pulling or twisting force of its two elements relative to each other.
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Another functional originality of this lock is that the displacement of any one of its buttons which carry deadbolts (not directly participating in the secret) in the direction corresponding to the release of the keybolts ( directly participating in the secrecy) of their respective strikes has the result of inserting a deadbolt into a strike, that is to say to further scramble the combination and thus make opening impossible even with the key bolts then released by chance from their waste.
Various other original features of this lock will result from the remainder of this description.
In the attached schematic drawing
Figure 1 is a vertical section with partial arrows of a good embodiment of this lock mounted astride a dormant part and an opening part with overlap, for example the side and the tab of a wallet or a saooohe.
Figure 2 is a fragmentary side elevation with partial arraohment of the internal element here assumed to be in the form of a U-profile bowl.
Figure 3 is a top plan of the outer element.
Figure 4 is a cross section through line IV-IV (Figure 3) of the internal U-shaped member showing the interior detail.
Figure 5 is a top plan of the internal element showing it in position on the fonçât.
Figure 6 is a plan of the innings support fixed to the dormant part.
Figure 7 is a section through the line VII-VII (Figure 6) showing the relationship between the foncet, the innings sole, and the dormant part.
Figure 8 is a view similar to Figure 1 but in the case where the lock is pivotally mounted on a checkbook, the operating buttons here being protected by a cover to prevent fraud.
Figure 9 is a sectional view of a padlock, the locking of which is ensured by the isolation of sliding bolts in the strikes of an internal element in the form of a bowl, the box of this padlock constituting the external element and carrying the operating buttons , not shown @.
Figure 10 is a view similar to Figure 4, but in the case where the internal element of the lock recalls the shape of one of which the soul is
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pierced with a number of keeps equal to the noznbro of the double bolts carried internally by the external element in the form of a bowl.
FIG. 11 is a fragmentary view of a variant of the internal element, the buttonholes of which are here made in flaps pivoting only inwardly of this element and articulated to its base wall.
The same reference numbers designate the same members in all the figures.
If we refer first of all to Figures 1 to 7, 1 denotes the outer element which is here in the form of an elongated parallelepiped cup. This cup 1 is fixed to the opening part A for example by rivets 2 implanted in a peripheral rim 1a; it could also, moreover, be embedded in this opening part (the cover of a box for example) for a purpose of elegance. the base of the curette 1 is pierced with a number of equal parallel openings 1b in which are mounted transversely sliding aligned buttons 3 projecting above this base and provided with plates 3a which conceal these openings at all times. The tail 3b of each of these buttons 3 has a friotion flange 3 and a transverse hole 3d.
In the holes 3d of the various buttons 3 are housed pins 4 of equal length constituting the bolts of the lock. Each of these bolts, the position of which in its hole 3a can be modified at will to change the secret of the lock, is immobilized here by a screw 5 implanted in a threaded bore of the shank 3d of the corresponding button.
In the outer bowl 1 constituting the female element of the lock is housed its male element here constituted by an elongated bowl 6 measuring a length and a width a little less. This internal bowl 6 comprises on each of its longitudinal sides at the height of its mouth a rim 6a which rests against the bottom of the female bowl 1. One end of the bowl 6 is provided with a pusher 7 housed in a corresponding terminal hole of the curette 1; against its other end a spring b arched against the internal wall of the cup 1. The bottom of the male cup 6 is cut with soft buttonholes 6b each having a round part and a constricted part similarly oriented.
Each of the longitudinal walls of the bowl 6 is pierced with a number of holes or keeps 6 equal to the number of buttons 3, the caliber of
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these strikes being calculated to allow the free passage of the panes 4.
On the dormant part B is fixed a sole 9 anchored to it by claws 9a and carrying two innas 10 separated by a distance equal to the distance of the geometric centers of the buttonholes 6b and each having a swelling head 10a terminated here in a point.
Between the sole 9 carrying the innings 10 and the bottom of the internal bowl 6 is inserted a fonoet 11 consisting of a plate pierced with two round holes 11a coinciding with the round parts of the buttonholes 6b This fonoet is designed to be fixed removably by above the bottom of the internal bowl 6 so as to trap it in the external bowl 1. This removable fixing can be operated in any known manner, for example sliding through a perimeter gutter of the fonoet 11.
The construction of the lock shown in Figure 8 this analog in its broad lines to that of Figure 1. The only differences reside in the fact that the outer bowl 1 is protected by a cover 12 pierced with openings through which emerge the buttons 3, which in particular prevented from seeing the traces of the friction of the pads;: its key buttons against the bowl 1 and thus fraudulently finding the secret. This cover has a base 12a fixed to the rim 1a of the outer bowl 1.
The inns 10 are here more elongated to cross right through the bundle C of a checkbook for example, this bundle acting as a dormant part and being embedded in a gutter 9 carrying the suberchs and connected by a hinge 13 to the cover 12 There is no actual opening part here, since all the mechanism contained in the cover 12 is intended to pivot around the hinge 13 relative to the dormant part C formed by the bundle of choquas or other documents. The lock therefore functions in the manner of an inn lock.
The operation is as follows: When all the buttons 3 are aligned (position shown clearly in figure 3) those of the pence 4 which constitute the secret or combination ole, that is to say here the third and the fourth bolt from the left (Figure 1) are engaged in the corresponding keepers 6 because of their protrusion opposed to the other bolts 4. The bowl 6 is therefore immobilized longitudinally in the bowl 1 and its position trapped the heads 10a of the
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innings 10 in the constricted ends of the eb buttonholes.
To open the lock, the person who knows the secret just needs to push the two corresponding buttons 3 in the opposite direction to that of the projection of their bolts 4. In doing so, it makes the two panes 4 in question come out of the keeps 6. The spring 8 pushes back alora the bowl 5 so that the heads 10a dea inns 10 are placed in the swollen parts of the buttonholes 6b and that. opening part A can be separated from fixed part B. * The operation is instantaneous.
To close the lock, the procedure is reversed by using the pusher 7 to compress the spring 8 to an extent corresponding to the coincidence of the key bolts 4 and the keepers 6a
We can imagine that when the lock is closed, any movement of a button? carrying a deadbolt has the effect of making it penetrate the corresponding strike s9 and further scrambling the lock since then the operation of the key bolts by the buttons which correspond to them can no longer open the lock. The combination is therefore practically inviolable on condition that a number of buttons 3 are provided preventing any surreptitious opening by arithmetic calculation.
It is, moreover, possible to combine several of these locks or to provide several rows of buttons such as 3 to increase security.
To change the combination, it suffices to release the internal element 6 from the external element 1 after having removed the foncet 11-and, by simply unscrewing the screws 5, to change those of the bolts which constitute them. panes-c le. This operation only takes about half a minute.
This combination lock therefore offers these three advantages that are rarely combined: inviolability, instantaneous operation and the possibility of changing the secret in an extremely short time. Ceoi is valuable for example in the case of wallet. bag, checkbook, file, etc.
The invention is moreover also applicable to padlocks as shown in Figure 9. The external element 1 carrying the maneuver buttons (not shown) is constituted here by the dismal boot of the dandens As for the internal element 6, it affects the mesh structure as in Figure 1 but is held between two slides 14 fixed to Wall
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internal of the boot 1 against which the antagonist spring 8 is arched. The pusher 7 is extended here in a semi-circle to constitute the shackle of the padlock.
If we now refer to FIG. 10, it will be seen that this variant uses an internal element 6 in the form of a T housed in the external element 1 in the form of a cup so that their bottoms are b opposite. Each of the buttons 3 has here two parallel shanks 3 d pierced with a transverse hole 3dans which is fixed a pin 4 forming a bolt by means of a screw 5 just as in the construction shown in Figure 1. The central core of the 'Test-shaped internal element 6 pierced with a row of holes corresponding to the double bolts 4 and the base of this T-shaped element is pierced on either side of its core with two pairs of buttonholes in which can be engaged the heads 10a of two pairs of abberons 10.
The operation is substantially the same as that of the first construction.
In FIG. 11 is shown another variant of construction, the aim of which is to make it possible to eliminate the pusher 7 @ in the first construction to bring the bolts 4 and the keeps 6a into coincidence despite the antagonism of the spring 8. As shown in FIG. shown in this figure, the head 10a of each inn 10 is biconical and the buttonhole 6 in which this head engages instead of being made directly in the base of the internal element 6 is provided in an added flap 6 connected to said base by a hinge 6aétudes to allow the pivoting of this shutter only inward.
Thanks to this construction, it is understood that provided that the various components of the lock are suitably calculated and adjusted, it is possible, by a simple force tending to move the opening part longitudinally with respect to the fixed part B, to bring the are 10a inns in alignment with the round parts of the buttonholes 6b, these heads then pushing the flaps 6d inwards and penetrating into the constricted parts of these buttonholes when this effort ceases by allowing said flaps to fall ,
any disengagement of the buttonholes 6b and the heads 10a of the inns being impossible, an appropriate operation of the buttons 3 corresponding to the key bolts since the flaps 6d cannot
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rotate outward. This construction is particularly fortunate when, for example, the lock must be embedded in the cover of a cabinet, or when a push-button such as 7 would be inaccessible. It can also be used for aesthetic reasons.
It can be seen that the invention is not limited to the execution methods which have just been described but encompasses mechanical equivalences using the same principles. It is thus that the prefiled elements with interpenetration could have any suitable shape and that the feeding of the bolts with respect to the keeps of corresponding shape could be carried out by any movement of the buttons, not just a translational movement. transverse but a pushing, rotating, or other movement. The invention thus lends itself to the production of clasps, bolts, closing plates. bolts of all kinds, all of these devices being encompassed by the general expression "lock".
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