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" Perfectionnements aax châssis dormants et oavrants de fenêtre, et procédé de fabrication de ceux-ci "
La présente invention se rapporte à des perfectionne- ments aux châssis dormants et ouvrants des fenêtres et au procédé de fabrication de ceux-ci, et elle se réfère à ceux du type comprenait de la tôle repliée de manière à for- mer une structure creuse.
Dans la construction de portes ayant une ouverture des- tinée à un panneau vitré, il a été proposé de construire unchâssis creux consistant en une partie d'avant et une partie d'arrière, chacune convenablement formée d'une tôle unique dont les coins/sont coupés de manière à permettre leur assemblage en pliant le bord de l'une de ces parties sur et autour d'un rebord de l'antre partie, présentant ainsi, aux parties pliées par dessus, des coins à onglet, qui sont visibles sur l'une des faces de la porte. Dans une construc- tion semblable, les deux parties devaient être sondées l'une à l'autre en certains points afin d'en augmenterla rigidité.
Dans la description suivante de la présente invention, il doit être entendu que dans le cas d'un châssis de fenê-
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tre, l'expression " pièce horizontale " doit comprendre le linteau ou travers supérieur ou d'imposte et le cas échéant un ou des travers, et que l'expression " pièce verticale, comprendra les poteaux ou dormants et le cas échéant un ou des meneaux. De mène, dans le cas d'an battant ou châssis ouvrant, l'expression Il pièce horizontale " doit être en- tendue comme comprenant les travers d'ouvrant supérieur et inférieur et le cas échéant une ou des barres transversales de battant et l'expression " pièce verticale ti comprendra les montants et le cas échéant une ou des barres verticale de battant.
Suivant.la présente invention, le procédé de construc- tion des châssis dormants et ouvrants consiste à étamper, emboutir ou étirer de la tôle de métal ou d'alliage pour former deux parties ou moitiés complémentaires complètes chacune comprenant des: pièces horizontales et verticales, l'une de ces parties étant creuse ou à renfoncements ou tou- tes les deux, et les deux ensemble présentant la forme'et le contour extérieur ou profil désirés ;
ces pièces étant rapprochées et unies bord à bord, au rebord à rebord, ou de manière à ce que le ou les rebords d'une pièce recouvrant ou embrassent celui ou ceux des faces attenantes de l'au- tre pièce., et ces pièces étant réunies par soudure, brasure ou par an procédé analogue, suivant ou près de leurs bords ou rebords se recouvrant, ou jointifs ou aboutissants.
D'une autre manière, au liea de faire deax parties séparées, ces deux parties peuvent être faites en une piè- ce et réunies par une partie formant leur liaison, et être ensuite pressées ou pliées de manière à ce que l'un* d'elles coïncide ou s'adapte sur, ou dans ou contre l'autre partie et à ce que les bords ou les rebords résultants se recou- vrant, se rejoignent ou aboutissent et soient disposés pa- rallèmententl'un à l'autre, et elles sont unies par s oudure , brasure ou autrement suivant ou près de leurs bords dointifs ou rebords se recouvrant.
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Les ferrures de la fenêtre, telles que pièces de char- nière, tasseaux pour appuis et/ou fixations des battants, tels que des ergots et analogues peuvent être formés d'une pièce avecl'une ou l'autre des parties, c'est-à-dire une ou quelques unes de ces ferrures avec l'une des parties et quelques ânes ou une avec l'autre partie. Pour les char- nières, une moitié d'une charnière peut être étampée on pressée et repliée en forme d'un demi-cercle, et l'achève- ment du cercle peut être effectué par la même machine au moyen d'an plongear ou levier qui comnence son opération un peu. après celle de l'étampage, ou bien cet achèvement peut être effectué pendant ou par une seconde opération.
Les deux côtés et/ou le dessous et le dessas du châs- sis dormant peuvent être pourvus de saillies ou tasseaux de fixation du châssis dans la baie d'une paroi en briques, pierre ou béton ou d'un pan de bois, ou sur des poteaux ou analogaes.
Afin d'améliorer l'ancrage du mastic ou du ciment em- ployé pour maintenir les vitres en place,les battées des travers et du montant et des barres transversales des bat- tants, s'il y en a, sont pourvues de saillies, de perles de renfoncements ou de rainures.
Afin que la présente invention soit aisément comprise et facilement mise en pratique, on se réfèrera aux dessins annexés, dans lesquels. la Fig. 1 est une élévation d'an châssis dormant à pan- neaux ouvrants, métalliques; la Fig. 2 est une coupe de ce châssis suivant la li- gne II-II de la Figo 1;
La Fig. 3 est une coupe en plan à échelle agrandie de l'un des dormants du châssis, constitué en deux parties à réunir par soudure; les Fig. 4, 5 et 6 sont des vues semblables, à échelle agrandie du châssis montré aux Fig. 1 et 2, mais représen-
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tant les parties divisées autrement et en d'autres endroits ; la Fig. 7 est une coupe en plan d'une partie d'un bat- tant, également à échelle agrandie ; la Fig. 8 est une élévation d'un battant ayant des barres intermédiaires horizontale et verticale;
et la Fig. 9 est une coups suivant la ligne IX-IX de la Fig. 8; les Fig. 10, 11,12 et 13 sont des coupes en plan de modifications aux battants; et la Fig. 14 est une coupe en plan représentant un bat- tant pourvu de moyens pour améliorer l'ancrage du mastic servant à fixer les vitres dans le battant, et la Fig. 15 est une élévation d'un châssis dormant ou d'un battant, dans lesqaels les deux parties sont faites en une pièce, et la Fig. 16 est une coupe en plan de ceux-ci.
Pour,appliquer la présente invention suivant la cons- traction simple montrée aux Fig. 1 et 2, et en coupe trans- versale à échelle agrandie à la Fig. 3, on voit que, le châssis dormant est uni ou plat extérieurement au dessus, en dessous et sur les deux côtés et qu'il est ébrasé ou pourvu d'an angle chanfreiné intérieurement, l'une des parties de ce châssis, comprenant le linteaux, la pièce d'appai et les deax dormants latéraux, étant constituée par une tôle d'acier étampée oa emboutie, d'une épaisseur,par exemple, d'environ an seizième,de poace, et formant, ainsi que c'est mieax visible à la Fig.
3, an canal rectangulai- re a, b, c, avec unrebord d, s'étendant vers l'intérieur, afin de réaliser la battée de réception du battant. L'au- tse partie du châssis est aussi constituée comme un canal ayant, par exemple, an côté e perpendiculaire au côté f qui peut être appelé le fond du canal, et qui fait face à l'intérieur du. bâtiment auquel le châssis est appliqué,tan- dis que le troisième coté h da canal distant du fond, f estpa perpendiculaire à celui-ci et lai est relié par la
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partie qui forme l'ébrasement réunissant les côtés f et h.
Ces deux parties de châssis en forme de canal, a,b e d et e f g h sont réanies et soadées l'une à l'autre le long des lignes indiquées en i et k.
Autrement, comme c'est montré à la Fig. 4, les deax parties oa moitiés peuvent être façonnées de manière à être reliées par soudure le long des lignes marquées 1 et k.
Ou bien, comme s'est montré à la Fig. 5, les deax par- ties ou moitiés peuvent être formées de manière à être u- . nies par soudure le long des lignes 1 et m.
On bien, d'autre part, comme c'est montré à la Fig. 6, le demi châssis en forme de canal, e f g h peut être formé comme une pièce rentrante dans l'autre demi châssis enton- sant les rebords ou côtés e et h , et les soudares sont faites le long des lignes indiquées en 1 et en o. Dans cette Fggare, la pièce r de la charnière r, s est sapposée être sondée sur la pièce extérieure da châssis, nais elle peat y être fixée d'une autre manière quelconque appropriée.
Finalement dans l'exemple montré aux Fig. 1 et 2, le châssis à quatre panneaux est pourvu d'un meneau oa pièce verticale centrale p et chaque battant a une pièce horizonta- le .1. Ainsi que c'est décrit en se référant aux Fig. 3, 4, 5 et 6, le châssis dormant est constitué en deux parties et naturellement chaque moitié da meneau p est d'une pièce avec la partie correspondante du châssis dormant.
Doux battants sont représentés aux Fig. 1 et 2, mais an seal battant est montré à plus grande échelle à la Fig.
7. Ce battant est fait précisément de la même manière que l'nne quelconque des constractions des châssis dormants mon- trés aax fig. 3 à 6 inclusivement, en ce qui concerne les deux travers et les montants, lesquels sont en fait simple- ment ane reproduction da châssis montré aux Fig. 1 et 2, mais à une échelle agrandie de manière à former la battée constituée par le côté c et le rebord d (Fig. 3). La vitre
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est indiquée en y et le mastic ou le ciment en z.
Si le battant est pourvu, comme c'est montré aux Fig. 8 et 9, de barres verticales, t, u, v, w et de barres hori- zontales, comme c'est montré seulement à la Fig. B, ces barres sont faites en étampant, emboutissant oa étirant la tôle simultanément avec les travers et les montants.
La par- tie ou moitié extérieure de la barre verticale du. battant (mieux vue à la Fig. 9) comprend une pièce en Tinverséet, dont les deux côtés sont relativement près l'un de l'autre ou même entièrement accolés, tandis que la partie inté- rieare a la forme d'un canal dont les côtés! sont porpon- dicalaires aa fond!:. de ce canal, mais écartés de celai-ci et formant en w un angle par lequel ils sont réunis à ce fond, afin de former un chanfrein de chaque côté de la bar- re du battant, dirigé vers l'intérieur. Evidemment, les barres de battant horizontales sont faites précisément de la même manière, et elles sont unies à leur intersection avec la barre verticale.
Lorsqu'ils sont assemblés, les bords extérieures des pièces horizontales des moitiés t en forme de T sont réunies aux bords 'des côtés v du canal au moyen de soudures en i, k, x, etc. , et le battant est ainsi complet. Il reste sealement à fixer les charnières et les loquets ou ferme tares, tels que les pièces d'arrêt da battant, au châssis et aax battants par soudure, brasure, vis, boulons ou autrement.
Dans la fig. 10, les deux travers et les montants des demi-châssis en forme de canal ont des rebords marqués 3 et
4 respectivement, de manière à procurer une pièce rentrante et une pièce enveloppante afin de faciliterl'assemblage et de fournir une double épaisseur de métal à la soudure, Les travers, montants et barres intermédiaires des demi-battants ont aussides rebords parallèles marqaés 5 et 6 respecti- vement, et ces rebords sont sondés l'an à l'autre autant que possible face contre face. @
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La construction montrée à la Fig.
11 procure des re- bords extérieurs 7 et 8 afin de formerune partie envelop- pante dans les travers et les montants d'un demi-battant et des rebords intérieurs 9 et 10 dans l'antre demi-battant pour former la partie rantrante. D'une manière semblable, les barres de battant ont des petits rebords 11 formant par- ties enveloppantes et les rebords de la moitié intérieure 12 de ces barres, d'une pièce avec les travers et montants en forme de canal 9 et 10 s'engageant entre les petits re- bords 11, Comme précédemment les rebords s'engageant on parallèles sont sondés l'on à 1'antre.
Comme c'est montré à la Fig. 12, une moitié 13 d'une charnière da battant est étampée ou emboutie sous forme d'un demi-gercle, sur une partie da rebord 6m et la Fig. 13 montre la pièce de charnière formée en an cercle complet.
Sous les autres rapports, la construction est semblable à celle décrite en se référant à la Fig. 11.
En ce qai concerne la Fig. 14, on y voit que les bat- tées présentent des saillies oa perles 14 afin de former un ancrage pour le mastic ou le ciment employé pour maintenir les vitresen place.
En se référant aux Fig. 15 et 16, on remarquera qu'au liea de faire deux moitiés ou parties séparées pour former an châssis dormant ou un battant, ces parties peuvent être en une pièce jointes par une liaison très étoite, de maniè- re à ce que la partie 18 soit ensuite repliée autour de la ligne centrale 17 suivant un arc de 180 jusqu'à ce qu'elle coïncide avec la partie 19, comme c'est indiqué par une li- gne pointillée et de manière à ce que les ouvertures 21 de la partie 18 coincident avec lesouvertures 20 de la par- tie 19 et les deux moitiés coincidantes sont alors sodées l'une à l'antre en 22, 23, 24,25,et 26 pour former an chas- sis dormant ou an battant creux homogène, suivant le cas.
Evddomment, aa lieu qu'une seule des parties soit en forme
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de canal, les deux peuvent présenter plus ou moins cette forme, suivant ce qui sera requis. Afin de former an ancra- ge du châssis dormant entre, par}exemple, les lits de bri- ques de la baie destinée à ce châssis, des languettes 27 peuvent être étampées sar ce châssis en les pliant à angle droit de manière à ce qu'elles se projettent au delà des cotés 28 de ce châss is.
REVENDICATIONS
1.Procédé de fabrication de châssis dormants et oa- vrants de fenêtre, consistant à étamper, emboutir ou. éti- rer de la tôle de métal ou d'alliage, deax parties ou moi- tiés complémentaires complètes, chacune comprenant les pièces horizontales et verticales, chacune de ces moitiés ou parties ou les deux étant creuses ou à retraits (oa renfoncements) et les deux moitiés ayant ensemble la for- me xx et le contoar ou coupe transversale extérieurs dé- sirés et lorsqu'elles sont rapprochées et anies bord à bord ou rebord à rebord ou de manière à ce que le rebord ou les rebords d'une partie recoavrent oa embrassent ce- lai oa ceax des faces attenantes de l'autre pièce oa moi- tié, ces pièces sont réanies par soadare,
brasure oa par des procédés équivalents suivant oa près de lear bords se recouvrant, oa jointifs ou. aboatissants, sabsantiellement comme c'est décrit.