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TIOEES '10RDE8 jHÏX PROCEDA DE ABRI OJ1g!:{ON d'AMPOULES â,D t9ÂI
La présente invention vise les ampoules à décharge électronique et les moyens d'y introduire un métal alcaline L'introduction de métaux al-
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calcins dans les dispositifs à décharge électronique s'accompagne généralem&1.t 4e cert$iJlea difficultés provenant de l'<sydatdlit9 très marquée de ces eu'b- stances*
On a utilisé jusqu'ici un composé alcalin en mélange avec un agent teduoteor approprier dans un petit tube ou récipient, ou une petite ampoule placée à l'intérieur du dispositif En chauffant cette ampoule, on fait
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réagir l'agent réducteur utilité sur le composé,
et on libère ce métal alca- lin-
Cette méthode offre des inconvénients (lues au fait que les oomppsés obtenus sant :formée par l'action mutuelle du composé alcalin et de l'agent réduoteur, et que ces composée subsistent dans l'ampoule on la décolorant et en
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l'exposant à des court-circuite Intérieurs- 8n utilisent des tubes métallique6 capillaires remplie d'un métal alcalin et pouvant libérer leur contenu sous l'effet de la chaleur, on se heurte également à 4.tutres inconvénients puis- que les métaux alcalins libérés peuvent attaquer le tube métallique qui les contient* En outre, il est très difficile d'établir des tubes capillaires
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convanablaa pour de tels dispositifs,
l'étanchéité de ces tubes laissant sou- vent à désirer* En conséquence, le métal alcalin placé dans ces tubes les détériore d'une façon relativement rapide, et devient bientôt impropre au but désiré*
Suivant la présente invention on introduit le métal alcalin pur
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ou une autre substance purificatrice fortememt oxydablo dans des tubes capil- laires en verre spécial qui sont remplis de la faqon indiquée dans la suite* ±ce dessins jointe exposent à titre d'exemple et d'une façon non limitative un nouveau procédé d'introduction des matières oxydables* Les Fi-
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gures à sont relatito* aux opérations préparatoires; la Fig** représente gures .ont r8lati.,....m:
op'raUan, IIriparatoi1"'.; J1g." 1'8préa.nte un =ample de l'application de 1'inventiaiacx lampes t1"104...
Lorsqu'il s'agit du céai1ZD,par exemple, on utilise mn mélange de chlorure de 06$im et de calcina qui est placé dans un cylindre 8 en nickel (voir pigol)e Les extrémités 9 de ce cylindre sont ocapr1m.é.., et on le loge à l' Intérieur du rÔ8ipiqzt 6 et verre où il est porté par les entretoises 10* Après la mise 111 place du cylindre 8, an soude l'extrémité 11 dU réservoir 6l .1prè.
avoir t.1'IIé le robinet 2, an fait par le tube 3 z vide dans l'appareil et on enlevé l'humidité avec une petite floenot Ck1 distille le ceeium dans le ballon 7 en chauffant le cylindre 8 avec une bobine à haute fréquence et on détache les parties 6 et 3 de l'ensemble en soudant les tubes de Communication aux endroits 6 et la*
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BA chauffant le oésitm on le fait fondre, on l'acoonule dans 1ex trémité 13 et on introduit par le robinet 2 un peut d'hydrocarbure 14, aacrns
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le bro8c.
ou la paraffine fondu, qui tome vas couche protectrice de 2 on*
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environ* On détacha ensuite la partie supérieure du tube 1 avec le robinet 2; la partie inférieure a alors la tome représentée Fig.2.
La Fig.2 représente le remplissage d'un tube capillaire 20 avec le
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oeslim pur* Le tube SO est fixe avec de la cire au réservoir 19) sa partie extérieure passe par un fourreau en verre 22 muni d'une pointe fragile 23
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(voir 'ig3j qui pénètre dans le aéslaa au-dessous de la couche protectrice* On casse la pointe 23 en appliquant une légère pression sur le tube 22 et on aspire le césium dans le tube capillaire 20 en faisant le vide dans
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le tube 1;
5, ea vide étant réglé par la valve S6* le tube 26 dont 1' %rémi#é inférieure plonge dans du tétrachlorure de carbone, ayant la atme densité que le cdeiua,, sert éventuellement d'indicatour de niveau, si le tube capillaire 20 est en métal* Le tube 20 étant Peoepli par le césim pur, par le tronçonne et ça soude les extrémités des diftérente tronçons* Le verre des tubes capillaires 0 est de préférence un boroollicate 49 verre et de magnésium connu dans le commerce sous la désignation "Go 02", verra qui confiant une proportion de plomb appréciable et offre une grande résistance à la chaleur Après introduction d'un métal alcalin, tel que le césium, on fume les extrémités de ces tubes capillaires,
en les chauffant!
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elles noircissant au cours 40 l'opération de fusion, et la césium, à 1' #rê- mité des tubes, réagit sur le verre et forme me matière vitreuse d'un coeffi- cient de dilatation qui diffère de celui des parties médianes du tube capil-
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laire- Qaand va tel tube est monté sur m disque métallique et su' cu y appliqua la chaleur, ios extrémité du tube capillaire et cassent et laissent échapper le odelm den l'intérieur du tube à, décharge dlectronique
La Société demanderesse a trouvé qu'il est désirable de monter les tubes capillaires sur un disque métallique,
de telle sorte que les extrémités du tube capillaire soient au voisinage du périmètre du disque* Comme la partie extérieure du disque atteint plus rapidement qu'au centre le'régime des
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hautes températures# sous l'effet des courants de haute fréquence* les #né+ etos 14 tube capillaire s'échauffent bientôt à un degré suffisant pour 00 VM 90 et permettre au césium de s'échapper* Ce 1 Mécanisme ,de rupture dispense do l'obligation où.
l'on se trouvait Jusquvioi# dans le cas d'un tube au verre, d'agiter le tube pour le briser, et il n'offre pas, comme ce procédé, l'incon-
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ventent de laisser subsister à l'intérieur du tube à décharge électronique, des fragmente du tube qu'on a ¯1'11fSur la Fig*4 donnée à titre 4' a:
..ple. en a représente me mpoqlfi vidé* dans laquelle sont montées la plaque 20. la grille J1 et la cathode 32 toutes supportées par le renflement 3y, ou pied de 1. que traversent lea fil* de connexions des électrodes* Us disque métallique M, 8n nickel, ou autre matière appropriée, est monté sur va des tilt d'mtr<e 3150, et un filsupport 36 *et relié à l'anode 309 Un tube capillaire 20 bien éfiakoho, en
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verre de toroailicate contenant une proportion Appr<oitM<t de plant, se monte sur le disque je Ce tube capillaire est rempli je oh1¯, ou autre mµta1 alcalin appropria, et se fixe on disque 1, an moyen de bandes métalliques 3'l, le tube capillaire étant monté 4* tagaa qsarr ses <aEtr<ait<w teiwit voisines du périmètre du disque* Quant. on désir* libérer le 01.1\111.
contenu dans le tube capillaire, on éohautte le disque ta 801411 de courante de haute fNquanew s c'est 1'Q1O le bord du disque qu< umiteste d'abord IPéchauffement le plus marquée le tube capillaire 20 et recvt# et le efolum ne distille à ltîntérieur de la lampe, emo qu'on ait au besoin l'en agiter le contenue Le procédé qui Tient de décrire tl1m1i sm mom 4' ÙLt1'OducUon très simple dans les lampes de'f8Fs par exemple, d'm métal alcalin pratiquement par* Il est évident qu'on ne doit pas considérer le brevet come 11m1 U à l' introduction de mateux alcaline, et quan peut l'appl1q.r à tous autres éléments qu'on désir@ introduire,à l'état par, dace la lampe* En outre, plusieurs tubes capillaires peuvent être utilieée, au lieu d'tm seul, suivant la quantité et la nature des produite qu'on désire
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introduire dans la lanpe.
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Bien qu'on ait décrit l'application du procédé à va tube à déchaîne électronique à trois électrodes, il est évident qu'on peut m étendre l'appli ca t1 on. sans sortir du domaine du brevet, à tous les appareils comportent
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l'introduction de matières étrangères dans le vide des lampes, par exemple
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à la fabrication dea cellules photoéleotriques sensibles & la luaiéro et d'une tag an générale, à tentée les applteations soulevant des problèmes maiogues.