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"APPAREIL POUR LE REGLAGE DR LA VITRSSR DU TIR CONTINU DES MITRAILLEUSES FONCTIONNANT PAR PRELEVEMENT DU GAZ ET AUTRRS"
L'objet de la présente invention est un régulateur de la vitesse de tir pour armesà feu automatiques, particulièrement les mitrailleuses de tous les types,-régulateur comprenant es- sentiellement un dispositif ou organe retardateur,- constitué par exemple par un piston-soupape,- réglable de l'extérieur,in- fluençant un mécanisais de déclanchement agissant sur la détente ou analogue de l'arme.
Conformément à la présente invention l'organe retardateur
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estcombiné avec le mécanisme décancheur, et est réglable de l'extérieur de bières telles, que d'une part, le fonctionnement de l'appareil entier en est rendu entièrement certain et rigoureusement précis, et ceci indépendamment de l'état de viscosité du fluide oontenu dans l'appareil, variant avec la température atmosphérique, et que, d'autre part, la force né- cessaire à l'actionnement de l'appareil est considérablement réduite, en supprimant ainsi complètement les désavantages sérieux que présentent les régulateurs connus de l'espèce.
Les modes de réalisation de l'objet de la présente invention qui sont décrits dans la suite et sont représentas dans les dessins annexés, sont: d'une part une adaptation du dit cojet et une mitrailleuse Hotohkiss, et d'autre part une adaptation du dit objet à une mitrailleuse Maxim, nais il est évident que le régulateur faisant l'objet proprement ditoeleprésente .invention peut être adapté tout aussi bien a d'autres types de mitrailleuses, telles que par exemple "Vickers","Fiat", "Schwarzolse",Browning:, sans que l'on s'écarte des caractéristiques essentielles du présent brevet.
Ces caractéristiques sont les suivantes: a) L'organe déolancheur est rendu indépendant du piston soupape retardateur, en ce sens que ce dernier n'est accroché au premier, qu'au début de la course de retour du déclancheur, et ceci sur une longueur constante de cette course parcourue a une vitesse réglable, ce réglage étant obtenu , en agisant sur la soupape du dit piston. b) Réalisation du dispositif retardateur, c'est-à-dire dans l'exemple décrit et représenté, ducylindre du piston soupape retar- dateur, près du mécanisme déolanoheur, dit organe déclancheur, et accrochage momentané de ce dernier au dit piston soupape par l'intermédiaire d'un levier en forme d'U.
c) Un dispositif correcteur combiné avec la molette par l'intermédiaire de laquelle on agit sur la soupape du piston retardateur, ce dispositif permettant de corriger la distance
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initiale entre la dite soupape et son siège sur le dit piston, correspondamment aux variations de la viscosité du fluide ou analogue contenu dans le cylindre du régulateur, variations dépendant de la température ambiante. d) Réalisation du piston soupape à repassage réglable par la triple concentricité des 3 tiges,(soupape, piston et commande), la rotation de la tige du piston étant entravée par'une branche en fourche du levier en liaison avec elle.
Les avantages obtenus par la ncuvelle caractéristique a) (indépendance des 2 organes), résident surtout: a') dans une réduction au minimum de l'effort nécessaire à l'armement ,par la suppression de la résistance au déplacement instantané du piston retardateur dans l'huile. a") dans une augmentation de l'effet utile du déclancheur qui n'étant plus solidaire du piston soupape accomplit son ac- tion librement en vitesse accélérée.
Les avantages obtenus avec la nouvelle caractéristique b)(levier en U) résident surtout, dans la suppression des nésis- tances et autres inconvénients au point de vue fonctionnement du régulateur,provoquées autrement par le fait que la tige même du piston soupape retardateur doit passer au travers d'une boite de bourrage..
L'avantage obtenu par la nouvelle caractéristique c)(dis¯ que correcteur) réside dans le fait que la position angulaire initiale de la dite molette permet d'obtenir sensiblement la même gamme des cadences quelque soit la température ambiante avec laquelle varie la viscosité de lihuile ou analogue contenue dans l'appâte il.
Les avantages obtenus par la nouvelle caractéristique d) (piston soupape à 3 tiges concentriques) résident en ce que, au moment ou il exerce son action retardatrice, il n'est soumis qu'à la différence des efforts du ressort déclancheur et du ressort antagoniste de rappel ce qui en diminuant la pression de l'huile facilete le réglage par la soupape, et permet une étanchéité
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moindre plus facile d'ailleurs à obtenir grâce à la suppression de la cale et de la rainure usuelles .
D'autres caractéristiques de l'objet de la présente invention ressortiront de la description et des revendications ci-après .
Les dessins annexés représentent à titre d'exemple deux sodés de réalisation de l'objet du présent brevet,
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pour une mitrailleuse Hotchkiss, (figures I à la) et pour -ll1:3 tRiLrailleuse "Maxim" (figures 5 et II à 15).
La figure I en représente une vue en élévation partiel- lement en coupe suivant A-3 figure 3 ou 4.
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La. figure 2 en représente une coupa 10n;itu,:lÍl!é...le suivant vaut CD figure 3 ou 4.
La fiy.tr3 an représente une cJ "ïß e partielle :).ixt-3 njvnt R-F figure I et 0-i fi.:f.lre 2.
La figure 4 représente une vue â' axtr:'.:té du régulateur suivant les figures 1 à 3.
L, figure 5 représente une coupe silIiilaire ci. la fi3 .I.:..' '' dans une variante d'exécution qui peut s'adapter tout sussi bien à une mitrailleuse Maxim ou autre ao1tlie indiqué plus h-1.ut.
Les figures 6 à 10c représentent uns coupe et différen- tes vues du dispositif correcteur.
La figure II représente une coupe dans l'appareil et par-
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tieZl anaent dans la mitrailleuse (M."1xir) suivant K-L figure 13.
La figura 12 représente une coupe dans l'appareil suivit M-N figure 13.
La figure 13 représente une coupe Mixte dans l'appareil
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s"Jivantl 0--P figure II et, suivant T-U figure 12.
Les figures 14 et 15 représentent resj?30tiv61.."..;,1t une +i;;. sn plan, et une coupe suivant 15-15 tig.14, de Lat barrette de détentu avec barrette supplémentaire de la ûtr:Ü113use xim suivant figure II,
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Les fibres 16 et I7 représentent Jn détail.
Das oi qui suit e d'abord décrit l'adaptation de l'ap-
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pareil régulateur ,faisant objet de la présente invention, à
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une mitrailleuse H,,tchki,3s (voir figures 1 à 10 at 9rlauite son adaptation à une mitrailleuse Maxim (voir figures IIà 17).
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Dans un carter 1. est prévu, d'unw part ,une chambre c,,'lir.driqe 2. dans laquelle se lis ut le piston soupape régulateur ou rptardateur 3.,4 ,le cylindre 2 étant complètement obture, par exemple par un bouchon hermétique 21- à son extrémité du côté du piston soupape retardateur 3,4 et pouvant être muni de cavités d'accélération 5,- et d'autre part, une chambre cylin- drique ou analogue 6. dans laquelle se meut l'organe déclan-
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cheur 7 déplacé dans un sens par l' internt:
dia,i.re de la tringle articulée laquelle est actionnée par le piston situé dans la
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chambre de préluv émeut de gaz, fixé au cylindre gaz du CAnon (non représentée),- la dite tringle s'engageant dans le prolongement tubulaire 3,8 à bride .3..9. de l'organe déolal1oheur 1, et dans le sens contraire,par le ressort principal 9,
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cet organe àéolanohe>Jr 1 étant muni d'une part d'un bec d'at- taque 10.
agissant sur le levier de détente 8 qui lui est contrôlé en outre par 'un ressort II dans un but qui sera décrit plus bas, et d'autre part d'un épaulement 33 à rampe 34, Dans le moyeu du piston .3. est visséeune tige tubulaire 12 formant en 13 deux flasques latéraux 14 entre lesquels s'engage l'extrémité en forme de fourche d'un bras 15 formant partie d'un levier en forme d'U 16 ,monté de manière pivotable dans le carter 1 et descendant par son second bras 17 vers la chambre 6 renfermant le déclancheur 1. Sur l'extrémité inféieure du
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bras 1.7 du levier J5.,lQ,I1 est articulé un bec 36¯ actionné par un ressort 37.
La tige tubulaire 12 du piston est guidée d'autre part dans une perforation d'une partie centrale 18 d'un disque 19 à lumières 20 fixé dans le cylindre 2, et présente
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à son extrémité opposée au piston, une do mile 2I à bride 22. Fntre cette bride 2 et le disque ;q est interposé un ressort antagoniste 23 sollicitant le piston 3 constamment dans la
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direction de la fèehe (figures 2 et T).
La tige tubulaire I2
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du piston présente à son extrémité vissée dans le moyen de ce dernier, un filet de vis intérieur dans lequel est vissés la. partie filetée 24 d'une tige 25 passant au travers de la dite tige tubulaire 12 et au travers de la bifurcation du bras 15 du levier 15,16,17 cette tige 25 supportant par l'une de ses extrémités la soupape! à ressort et étant de ce côté munie, de la butée 28, pour la dite soupape tan- dis que l'extrémité opposée de la tige 25 sortant de l'ex- trémité correspondante de la tige tubulaire 12, entre dans un organe tubulaire 23..Cet organe tubulaire 29,- qui passe vers l'extérieur au travers d'une boîte de bourrage 30 dans laquelle il est disposé de manière rotative ,mais non déplaçable en sens axial,- s'engage d'une part,
à frotte- ment doux dans la douille 21 de la tige tubulaire 12 en pré- sentant à cet endroit une fente 31 dans laquelle s'engage de manière coulissante une goupille 32 solidaire de la tige 25 de la soupape, tandis que d'autre part, l'organe 29 est muni de manière rigide de la molette de réglage 35.
Le régulateur est complété par l'arrêttoir 40 vise au tra- vers d'un ressort à deux branches 56,57, dans une glissière
58 et s'engageant au dessus de cette dernière, au travers d'une fente 59 prévue dans le carter I, dans l'organe déclancheusr 7.
A l'une des extrémités de la glissière 58, est articulé la crochet 60 de l'arrêtoir, actionné par la branche 56 du dit ressort de manière à pouvoir s'engager, lors du retrait de l'arrêtoir, sur un ressaut correspondant 61 du carter 1,- tan- dis qu'à l'autre extrémité de la glissière 58 est articulé un organe 62 possédant une tête fourchue 63 cet organe 62 étant actionné par la branche 57 du dit Dessort de manière, à s'enga- ger avec sa tête 63 sur le prolongement tubulaire 38 de l'organe déclancheur 7.
Lors de la connection du régulateur à la tige du piston se déplaçant dans la chambre de prélèvement de gaz sur le car¯on (non représenté) on fait pivoter la pièce 62-63 vers le bas de manière à la dégager complètement du prolongement tubulaire 38 de l'organe déclancheur 7 ,on retire ce der-
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nier jusqu'à fond de course dans le sens de la flèche X,par l'arrêtoir 40, et on fait entrer l'extrémité correspondante de la dite tige non représentas dans le prolongement tubulaire
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due l'organe déclencheur. La tête f o..#chue Q.3. de l'organe 62¯ ¯ m¯ ¯ . ¯ . ¯ .. une fois engagée sur la partie 3a de l'organe déclanoheur,"- limite, en vertu de la bride z la course de ce dernier dans le sens de la flèche X.
La fonctionnement du régulateur se présente cornue suit:
A l'état de repos les différentes parties du régulateur oo- cupent les positions représentées aux figures 1 et 2, notamment
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le levier an forme d'ü,I,I6, relié au piston soupape .3.,ti ce dernier se rouva.,>1t alors dans la position la plus rap- prochée de la molette 35, en étant sollicité vers et maintenu dans cette position par l'action du ressort 23 comme mentionné plus haub.
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Aussitôt que la mitrailleuse ooinmenoe là fonctionner , la tringle du dispositif de prélèvement de gaz (non représentée) est repoussée dans le sens de la flèche x, en :':le provoquant qu'uniquement le déplacement du déolanoheur 7-avec son bec
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d'attaque 10 et son épaulement 3-i à rajnpe z dans le rnelue sens (floche x) et du fait la compression du ressort principal
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gaz, tandis que le piston-'soupape 3.,.4 , ,reste pendant ce temps dans sa position de repos cornne indiqué ci.-dessus.
Durant ce déplacement du déclancheur 1 ,le bec d'attaque 10 de ce dernier, et son épaulement 33 à rampe 34 passent respectivement en dessous
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du levier de d,:->tente.2, en faisant pivoter ce dernier dans le sens de la flèche R, oontre l'action du ressort 11 ,ce dernier l'amenant après le passage du bec 10 dans sa position de repos représentée à la figure 1,- et en dessous du bec 36 articulé
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au W:eas Il du levier en forme d'U,¯T.,I6,, en faisant pivoter pe bec 36 %ers le haut contre l'action du rassorti 32..
A la fin de ce déplacement du déclanoheup 1 dans le sens de la floche x leooo.lis 1 enclanche aveo son bord fié sur le bord fiµ de l'épaulement 3"3, du déalcmaheur, tandis que le bec in
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de ce dernier se trouve à ce moment à une l ertine -;di::ïtdJ.1Ce à droite(en se rapportant à la fig.I) du levier de détente
A ce moment commence le mouvement de retour du - système
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7,"3,I0 dans le sens de la flèche y ,mouvement provoqué par l'action du ressort piinoipal 9 qui est plus fort que le ressort antagoniste 23 ,agissant sur le piston 4 ,en sens inverse x.
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Le bec 'L6 faisant partie du bras Il du levier m, 16 , àI s'étant enclanché avec son bord 64 sur la bord 65. de l'épaulement 3, de l' or a,2e déolanoheur , ',il est évident que le mouvement susmentionné de retour du déolanoheur 7 dans le ,sans de la flèche v entraînera , en vertu du levier 15,16,17
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un déplacement du piston-soupape retardateur 3,à dans le L1êl.:e sens L flèche y) et que, par conséquent le dit mouvement du déalaaoheur 1 dans le sens il sera d'autant plus lent, ou d'autant plus rapide que la section du passade entre la soupape 4 et son siège sur le piston 3.,- distance régable de
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l'extérieur par la simple roi.tion de la molette 35. dans un sens ou dans l'autre,- est plus faible ou plus grande.
Aussitôt que le piston 4 découvre par son bord arrière (gauche ig.2) les cavités 5. prévues dans la face du cylindre 2,
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son action de freinage cesse e'Où aussi bien le piston lui-Lùê-1e que le levier li,16,11 avec .- - bec 36. et le déclancheur 1 avec son épaulement33 et son bec 10 commencent leur course considérablement accélérée toujours dans le sens de la flèche
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y.
A ce moment même le bec 3C s'échappe de l'apaulement .3.3., d'où le déolancheur 7 complètement libéré du piston-soupape 3,4 est lancé avec toute la puissance du ressort principal
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9,avec son bec d'attaque IO contre le levier du tO.lrill#l de détente 8 en provoquant le pivotema1t de ce dernier dans le sens de la flèche S et du fait le départ du coup suivant.
Le fonctionnement se répète ainsi de suite. Au moment ou le
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bec 6 du bras 11. du levier , I6, I s'est diclaiioh4& de l'apaulement à du déclancheur 1 le piston-soupape ,,s4¯ est ramené par
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l'action du ressort antagoniste 23 dans sa position initiale, où il est prêt pour la course de freinage suivante.
La viscosité ou l'état de liquidité du fluide, par exemple de l'huile, contenue dans le cylindre 2 ,changeant avec la température ambiante, et ceci pouvant entrainer des décalages dans la graduation de vitesse du tir , on évite des inconvénients conformément à la présente invention par le dispositif correc- teur, suivant .représenté aux figures 6 à 10c.
La molette 35 est fixée à l'organe tubulaire 29 au moyen d'un tourillon fileté 40,41 muni d'une tête 42. Sur ce tourillon s'engage de manière librement rotative et dépacable en sens axial un disque 43 formant cuvette avec son bord périphérique
43' de manière à s'emboîter sur la molette 35, et muni d'autre part d'un moyeu en forme de douille !lA entourant .'..: 3 'Il') @ @ et assurant le guidage du disque cuvette 43,43' sur la mol- lette 35.
A l'intérieur de la douille 44, le disque 43 forme un épaulement annulaire 45.Entre ce dernier et la tête 42 du tourillon.40 est interposé un ressort 46 sollicitant le dis- que-auvette 43,43' constamment vers la mulette 35. Une vis à molet- te 150 peut être vissée axialement dans le tourillon 40 ,cette vis permettant d'empêcher tout écartèrent involontaire du dis- que 43 de la molette 35.
Il est ;:, remarquer que la figure (8) représentant le dis- que 43., fait voir la rebord 43' de ce dernier en développement radial ,tandis que les figures 10 et IOa respectivement repré- sentant un développement ordinaire de la zône périphérique de la molette .35. et . un développement ordinaire du rebord 43' du disque 43.
La molette 35 est munie dans sa zône périphérique d'une série de trou!.: fil[ de profondeur inégales ou différentes appropriée,, A la face périphérique de la molette 35 est gradée une série cor-
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répondante d'axprassions, telles que par eX3Iq;.la des dee. de température + '0 ,+30 ,+20 ,+10 , 0 ,-IO C, dont CLla.:J,J119 correspond à l'un des trous 151.Le disque à3 est uuni-'d'un ergot fixe !il susceptible de s'enter dans les trous 151 susmentionnés.
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La rebord .4.:z , du disque 43 est muni: d'une découpure 48. découvrant chaque fois le degré de température correspondit, aux-
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trous 15.1;. dans lequel l'ergot AI est engagé;
d'un épaulement 49 collaborant avec illle butée inùex flix le sur lz carte1. du ré- 3Jalz6e;ar ; et sur son bord dirigé vers le régulateur, d'une série d'épaulements en gradins ill,I5.4.,lS5,I5.. .destinés a collaborer avec un *-,rê6 ex solidaire de la butée fixe 50.
Finalement le disque 43 est muni à sa face circulaire visible d'une graduation appropriée,telle que par exemple de 1 a 12,
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correspondant par exemple à une garnie de vitesse, 2.5,12,30,60,ioo I50, 200 25, 300, 350,+00 coups à la Minute à des températures de ---- +IO jusqu'à - Io* ou en dessous, la viscosité de 3ertai- nes huiles appropriées variant à ces températures suivant une échelle pratiquement constante.
Il en est autremet pour les variations da viscosités à partir de + 10 jusqu'à par exemple 40 ,entre lesquelles la viscosité de l'huile varie suivant une
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échelle fortement o01sante et c' est à cet effet que le rebord 46- du disque présente des épaulements en gradins I,3, à .156 à savoir :
pour tirer à une température d'environ -10 avec une vitesse de par exemple 5 coups à la minute on placera d'abordle disque
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cuvette 43j43' avec son ergot !IL dans le trou 151. correspondant à,-10*.Tnsuite on tourne l'ensemble .35.,41J- de n*niére ;, ce que l'index 50 se présente en regard du chiffre 2 de la graduation Si à cette même température on veut tirer avec une
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vitesse de 400 coups à la ninute, on n' a qu' à tourner 1-' ensemble 35,43,43' jusqu'à ce que l'index 5Q se présente en regard du chiffre 12 de la graduation, les épaulements m à 156 n intervenant pas dans ce cas, vu que le trou 1 correspondant
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à -10 et d'une profondeur limitée à un point tel, que l'ergôt
47 qui s' y engage maintient la ouvette 43,43' en une posit:
bn suffisamment retirée sur la molette 35.
Il en est exactement de même pour les températures d'en- viron 0 la seule différence résidant dans ce cas dans le fait, q e l'ergot 47 est placé dans le trou 151 correspondant à
0 d'où l'écartement minimum entre la soupape! et son siège sur le piston 3, est diminuée d'une valeur appropriée.
S'il s'agit de tirer à une température par exemple d'en- viron + 30d, on place tout d'abord la cuvette 43',43 avec son ergot 47 dans le trou 151 correspondant à +30 ,ce trou possé- dant une profondeur telle que c'est l'épaulement 154 qui limitera le déplacement rotatif de l'ensemble 35,43,43' dans un sens, en prenant contact sur l'arrêt 158. Ainsi toute la gamme susmentionnée des vitesses est obtenue dans ce cas en tournant l'ensemble 35,43,43' de manière à ce que l'index 50 passe successivement des ohiffres I à 8,5 de la graduation du disque 43.
Pour obtenir dans ce cas le nombre de coups voulu d'une manière rapide et axaote on se servira d'un petit tableau à double entrée fixé à un endroit visible du régulateur. Un exem- ple d'un tel tableau est représenté à la figure 10b.
Conformément à ce tableau, si l'on veut tirer à une tem- pérature d'environ + 30 aveo une vitesse de 60 coups à la minute, l'index 50 doit se trouver en regard de la division 3,75 de la graduation, et ainsi de suite. On oonçoit aisément que les manipulations de réglage pour des températures d'environ +40 ,+ 20 ou +IO seront effectuées d'une manière analogue.
Il est évident qu'en se servant d'autres qualités d'huiles, on arrivera aux différentes températures données à d'autres répartitions des nombres de coups par minute ,par rapport à la graduation du disque 43,43' .Dans ces cas le tableau à double entrée sera éta- bli par exemple comme représenté à la figure IOb .
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Il est évident que l'objet du présent brevet, de prête à un grand nombre de variantes d'exécution, sans que l'on s'écarte de l'objet proprement dit du présent brevet.
Ainsi par exemple, coince représenté à la figure 5, la longueur de la période de réglage ou de retardement au lieu d'ê-
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tre réglée comme décrit plus haut, par le cha...JeIu.9n t de l'éoartement minimum entre la souùJàJe à et son siège sur le piston l,peut être réglée par le oliangement de la longueur de la course de retardement du piston .1.
Suivant la figure 5, la tige 52 du piston 3. etts pleine.
Dans l'extraite droite fig.5 de la tige 52 est vissée d'une manière réglable une fois pour toutes la courte tige 53 munie de l'épaulement annulaire 28 et supportant la soupape 4, tandis
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que sur l'extramité opposée de la tige 52 est vissé d'une :i.:.IDidre également réglable, une fois pour toutes ,un chapeau 54, collaborant avec une butée 55, par exemple en forme de vis, qui est réglable de l'extérieur par la molette 35.
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Le contact entre le système ,, ,2,53,5 et la butée 55 est assuré par le ressort 23
Il est évident que dans cette variante d'exécution
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l'échappement de l'âp:.u1ement.3.3. du déclencheur en dessous du bec 36 du bras 17 du levier IZ,l6.,I5. doit avoir lieu, cornue précédemment , au moment ou le bord arrière du ¯):.ston .3.. aoisnenoe à découvrir les cavités d'accélération 5. dans le cylindre 2, c'est-à-dire toujours au même endroit.
Or pour régler 1<:1 Jurés de la période de retardement du piston 3.) par exeicple pour rendre cette durée plus courte il suffit de tourner l'organe
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de butée 55. en forme de vis joar la molette .3.5 de manière a le déplacer de la quantité voulue dans le sens de la flecne b,
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ainsi la course du piston 3. de sa position de repos (représen- tée dans le dessin), jusqu'a l'endroit ou doit s'effectuer
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le découvremont susmentionné des cavités d'accélération 5. et l'échappement de l'épaulement 3 du déclanohear en dessous du bec de l'organe TI,Ifi,I5 est simplement rendue plus courte.
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Il est évident que pour augmenter la durée de la course de retardement du piston .1 dans le système fig.5 il suffira de tourner la molette 35 en sens inverse au préoédent.
Dans les exemples décrits plus haut la face intérieure du cylindre 2 est munie du côté du piston 3. ,de cavités d'accélé:- ration 5.. Or suivant le présent brevet ces cavités 5, ne sont pas indispensables. Elles peuvent être complètement supprimées, et dans ce cas le décrochage du piston soupape 3,4 ,de 1organe déclancheur 7,10,36 aura lieu au moment voulu, uniquement en vertu du déplacement angulaire du levier 16,15,17 en forme d'U ,dans le sens de la flèche z.
En ce qui concerne l'adaptation de l'appareil régulateur aux mitrailleuses type Maxim, adaptation représentée aux figures II à 17, il est tout d'abord à remarquer que le piston-soupape retardateur et l'organe déclancheur proprement dit y sont conçus ,disposés et s'influencent mutuellement exactement comme décrit plus haut par rapport à une mitrailleuse Hotchkiss.
C'est pourquoi , dans les figures II,12,13, tous les organes identiques ou similaires à ceux représentés et décrits plus haut, par rapport aux figures 1 à 10, ont été désignés par les mêmes chiffres de référence et s'expliquent clairement de ce qui précède. ,sans avoir besoin d'être décrits à nouveauo
Les seules différences entre l'adaptation de l'appareil régulateur à une mitrailleuse Maxim et son adaptation à une Hotchkiss résident dans ce qui suit :
L'organe tubulaire 29 au lieu d'être commandé directement par la molette de réglage 35 avec son dispositif correcteur 40 etc, est garnie d'un pignon 100 s'engrenant avec un pignon
101 calé sur un arbre 102 sur lequel est fixé d'autre part la molette 35 avec son dit dispositif correcteur.
L'organe déclancheur 7 est commandé par l'argane reculant de la mitrailleuse dans l'exemple représentéà la figure II, par le flasque 103 par l'intermédiaire d'un levier d' armement à
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deux bras I0+,I articule au corps 1 du régulateur eu 106, la bras 104 du dit levier se préssntant derrière un épaulement I0' du flasque ion tandis que le bras 10 s''3YIcLyG' entre deux oaries ressautante 1 JI08 de l'organe déolicheur Z.
Sur le corps 1 du régulateur est articulé en outre en 109 u-'. levier de 3?tente IIO servant a actionnuc la barrette de tente de la mitrailleuse qui sera dluij la li-tir ce levier 110 est articulé en III izi levier coudé IT2, II-, auquel est relié en 114 l'une des a;ttr:t5 d'un ressort in dont l'autre extrémité est reliée en 116 au corps I 4u r--";Ulataur. i 1*ID,:reléàule",rLi. -Cori-ae / rlateur.
L'extréun.té liore da le rZ e pe3.,lde forme Tsù-lllate1r. extrê1ilitâ li'Jre du1 Le<i pJ3.>4de fouine d'un crochet 117 destiné à collaborer avec un er-eot ou 6;?aulament asproprié 113 fixé sur la br.mohe.I05. du levier à' ar- *EW1 Mènt 103., TL. rxtr...itv librs lia du Hras Ll-1 du dit levier coudé, est destinée à s'appuyer à un ii;o;;,a;;1 3teIi:l7.Iîç sur une partie fixe du r-¯;:û.c,,ta.i, .3-ar sur la partie ressautante 120 du corps I à laquelle est articulé le levier I L0.
Sur l'axe 106 est articulé en outre ai levier d'arrêt I2¯Î sortant vers l'extérieur par son extrémité 122 et i..nm. d'un épaulement 12 au moyen duquel il est capable d'..jr sur le levier d'arioement 104,105.
Ce levier d'arrêt est ooicbiné .T,Y3c un. dispositif du-illy de blocage et de sureta approprié .par exemple tel que représent6 aux figures 16 et 17 et ponstitué par: un levier de blocage 142 articulé en 1,7 a,u corps I du r,! zlr,te iß nL zizi d'mi bec d'accrochage I4ç. ;:.:i noyen duquel il peut s'accrocher sur le levier d'arrêt I2I, ainsi que d'un bouton de .xmoeuvre là2le qui lui cullaboro ='oirec un épj,ule!nent 146 d'une glissière 147 qui elle est guidée également sur le corps I ou partie analogue du régulateur, et reliée à 121par un ressort 143.
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Du fait lorsque le levier d'arrêt 121 est poussé vers le
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bas (fig.16) il antrainé avec lui la glissière 147, qui alla pro-
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voque à non tour le basealage du levier' 142 dans la sens de la floche (fig.17) et conséquement l'enclanchement ::le son bec 144 sur le levier I2I, ainsi que son blocage par l'épaulement 146 de la glissière 147. Pour débloquer le régulateur, par le soulèvement du levier 121, il suffit, de soulever la glissière 147 et de pousser sur le bouton 145. Le levier 121 sautera alors immédiatement vers le haut roua l'action du ressort principal
3. ,et restera maintenu dans sa position soulevée, par le ressort 148.
Comme antienne plus haut le levier 110 agit sur la barrette de détente de la mitrailleuse. Or., conformément à la présente invention cette barrette de détente est pour ainsi dire subdi- visée en deux parties, dont une coilstitue une bareette de détente
124, pouvant être actionnée de l'extérieur à la manière usuelle, tandis que l'autre constitue une barrette de détente auxiliaire 125 qui elle n'est actionnée qu'uniquement par le régulateur par l'intermédiaire du dit levier 110, et ceci d'une manière dite indépendante de la barrette de détente 124.
Grâce a cette disposition le travail demandé au régulateur pour le déplacement de la barrette de détente est considérablement réduit, vu qu'au lieu d'avoir à déplacer la barrette de détente principale 124 avec les organes de commande y reliés et à comprimer le ressort de rappel 126 relativement fort de ce dispositif de commande, le régulateur n'a qu'à déplacer la barrette de détente auxiliaire 125, qui elle est un organe à mouvements très faciles, à savoir:
en se rapportant aux figures 14 et 15, la barrette de détente principale 124 ajourée en 127 ,128 et 12g possède,- à l'ex-, ception de son extrémité avant ne?,... une section en queue d'aron'- de ,qui se termine à l'avant par les épaulements 131 formés par sa dite extrémité avant 131, qui est un peu plus large.
Sur cette partie en section de queue d'aronde de la barrette prin- cipale 124 est guidée et glisse la barrette de détente auxiliai- re 125 possédant à ses extrémités avant, et arrière une section correspondante, et munie d'une lumière longitudinale 132, de
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de manière à présenter las faeas de '<at ée 13 et 1l4, #uielles collaborent respectivement avec le dispositif de déclenchement µJ± de la mitrailleuse et avec le levier TIO du ràxùl¯t aar, ce levier 110 passant à cet effet au travers de la lumière ou fente
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I2 de la, barrette principale 124, tandis que l'organe n5 du dispositif de déolanohement de la mitrailleuse passe -,
t.u travers de la lumière ou fente Iz2 de la barrette auxiliaire 125 p our pouvoir collaborer avec le bord avant 136 de la lumière ou fente r28 de la barrette principale 124.
La barrette auxiliaire 125 est constamment sollicitée contre
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les épaulement III de la barrette principale r2.+ , lj'!Je à <1n ressort tel que par exemple 137.
Le fonctionnement du dispositif suivant le-, figures II a 17
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s'explique coeôrxe 5lt:ùonaleer.t le levier d'arrêt I2I se trouve dans sa position co uss :a vex Z: as cu laquelle 1 est maintenu par le dispositif de sûreté comme indiqué plus ïmut.
A cet 4tàb le levier d'aruement IOl+, T0 se trouve avec son bras 104 jusqu'à une certaine mesure hors contact d'avep 11 pa,..Il03.L.:nt 103" du flasque 103 de la 1!d.tra.illeue, tanàis que on bras ros maintient le dcl:rioheur daizs sa position dite élo11;e de ôa molette 3.5 le ressort prJ..l1cipale 9. se trouvant oonséqueictaent à un état comprime ou .Lxnâ. Si à présent on veut tirer sans le régulateur, on n'a qu'là exercer , comme d'habituûe, une pression sur le poussoir I40 ,et la mitrailleuse tirera en rafale.
Il est à remarquer que durant ce tir en rafale, 11 G:;?û.ulei!BH t Io7 ' du flasque 103 de -la mitrailleuse vient b. fin de coursede recul (flache y) en contact avec l'extrémité du Dr a 104 du levier 104,105 en faisant pivoter ce dernier chaque fois lé3r ant dans un sens inverse au mouvement des aiguilles d'une montre ,d'où le levier 104105 provoqua chaque fois une compression supplémentaire du ressort principal 9, ce dernier jouant ainsi le rôle d'un amortisseur des chocs de recul de la mitrailleuse.
De plus il est a remarquer, qu'à l'état susmentionné, dit hors fonctionnement, du régulateur, le bec du crochet II7 du le-
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vier coudé IT2,ID se trouve, grâce à l'action du ressort Il dans sa, position soitlevée. Du fait, et en se rapportant à la figare II, le dit crochet Z7"l se trouve dans la trajectoire de 11 drgot II8 du levier TOS, T04, ira une certaine distance vers la &:1uol\e du dit ergot 118 ,et sans venir en contact avec ce dernier.
Aussitôt qu'on veut passer du tir en rafale à un tir automati-
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que dont la vitesse est contrôlée par le r3<..lateur,eu,-en supposant que la mitrailleuse est en repos,- -- lorsqu'on veut commencer à tirer en faisant intervenir le régulateur dès le premier coup, il suffit de libérer le levier d'arrêt 121 de la sûreté 142,148
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d' oP le levier d' 1 1rmGment est égalei:::mt libéré. A ce irornerit marne la déclanohear 7. est lancé par le ressort principal .9. dans le sens de la fl@che y en faisant pivoter le levier 104,105 dans le sons du mouvement des aiguilles d'une montre.
Du fait l'er-
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got 118 s'engage dans le crochet II du levier coudé 112,11 d'où ce dernier, et avec lui le levier 110 sont entraînés'dans
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le sens de la f130he ,le levier 1I0 provoquant à son tour un déplacement dans le même sens de la barrette de détente auxiliaire 125 sur la barrette principale 124,- qui alla reste immobile,- et
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cond3q<1,:man9nt le départ du premier coup est provoqué.
Immédiatement avant ce moment, le bout .I.I.9. du levier couda II2,Ill est venu en contact a,-yrec la, ut8e fix 121, de sorte que,grâce à la continuation du mouvement des leviers Iol,LO5-,IIO dans le sens mentionné ci-dessus,- le levier coudé 112,113 est obligé
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de pivoter sur le leviar IIO ,contre l'action du ressort 115 dans un sens contraire au sens du mouvement des aiguilles d'une montra, ce qui provoque le décrochage du crochet 117 d'avec l'er-
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got 118, et la retour des leviers ïT0 et 112 113 éjrâce a oction du ressort TIr" Üillsi que de la barrette de détente auxiliaire 125, grâce à l'action du ressort 137 dans leurs positions initiales respectives représentées à la figure II .En même temps le bras 104
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du levier T04,
ras vient en contact -avec l' épaulement I03 du fias-
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que 101 de la inizr*ille-1se. Le déport du premier c Ol,j.) ¯-tt : lieu comme décrit plus haut, le flasque 103312 i, L recule, en déplagant le levier I04, ras dans un sens ooctr.,ira au sens du lnouveieYtt des aiguilles d'une contre et durait la àé,Jlaae,fliit 4ia déclancheur dans le sens de la flèche Lssous compression du ressort principal 9. Il est à remarquer que durant ce .al.rael2t 1' ergot II passe à lli1e certaine distance à droite (iià. Il) du crochet 1I1, oui lui s'élève jràae a l'action du ressort 115 eii 5: présentant ailssi à nouveau dans la trajectoire de l'ergot IIB.
Ensuite commence le mouvement du déolanoheur dans. le sens j.e la floche z grâce à l'action du ressort principal Q ,ce mouvement de retour étant ra-
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lenti ou contrôlé par l'intervention du dispositif ou piston-soupape
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retardateur grâce à la collaboration des parties n,.3.!,fi2 du d6elaiicàeur Y- avec les parties .39-,3.I,64 du levier en fOr!:l9 ci'U relié au dit piston-soupape retardateur, le fonctionnement ...:13 ce dernier et des dites parties 33.,3A}65. et 36,31,64. étant exactement le ffiê3 que celui décrit plus haut par rapport à la mitrailleuse Hotchkisso Pendant cette course ralentie du Jé;;l::..:.:.:. ;t...l' 1- et au moment -5e sa fin de course accélérée et du déport da ':'.;:;ild joop les leviers IOi,I05.,H?,IU,II2 et la barrette c:.Âlé:n-::.:.a,ir Il fonctionne e?:Ci.:tetit3ilt OIiIn3 décrit ci-dessus ,".:.r- rapport au prej:
J.er ccu-3 .A>.si la ::traill'?uSa tirera <:1, .ttOl.:a.tiq'J.eue.tl.t ,3, TltiL3,lJr^ te ou'elle vitesse aL;=¯,i voulue (garexetople îe 2 à 40J ooupu à ")T 1 veut arrêter le tir on 1 qu'a p017 J i= bzz ?-r?3r d'arrêt T22 vers le bas, ce qui provoquera rd3e ; .'s:âition de i' 4#=zuiiùent I2-:; de ce levier sur le bra 10'5 du I .: Tiar 104,IO::; <=>7..,.!li,, "L 1-'.l.'J'"..-''''' àlà .-1.lt J,.'T'=>V1.'C'"' À¯±¯2 p¯or 'T" -...,.,..:.
104,105 ,et 0-"""""''''' :.t:. .r-z du -311 levier r22 ::".J.s. la vvv f42,I'? ,i3 bloca .e du ressort principal en une position :::aor7." n:a-9 CO!tit ;-:?11tJlm-â plus î^t.w:. -:L . .rt ..:..t 1 .w.¯..' i:JtiJn de toute action sur la ''-^:..'i 3t1. .r:ß?ii...Wtt:v.'r 125.
'?'". 3 ..'.;;;'j, ''.¯':ItLCTItî'3 plus 11';,lt 13 dispositif i't¯..Liàt-¯ .,¯ <-> ;"".5.s-=nt3 ,:1X fibres 12 et 13 "3': t être l'Si.I3.i?zG. par (I.:-)l' par un dispositif retardateur ....,JJ..L¯-;:; - ...;v ...;..,8r.vQ la fi jure 5.
Le correcteur suivant figuret. 5 à 10a est aipï inya.: au dispusitif suivant figures tir (1. 17 exautent v3o,mia décrit I)Iu; haut.