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" perfectionnements aux appareils de démarrage des moteurs"
La présente invention a pour objet des appareils de démarrage pour les motears à combustion interne et pltas particulièrement ceux da type qui comporte un moteur élec- trique actionnant an arbre qui, normalement, n'est pas em- brayé par le moteur, mais qui peut être embrayé sar celui- ci par un mécanisme comprenant un pignon mobile le long de l'arbre, relié avec l'arbre et le moteur à faire démarrer, et tournant avec l'arbre, ce mécanisme de connexion étant pourvu de dispositifs au. moyen desquels le pignon est auto- matiqaement écarté de la roue d'engrenage da moteur lorsque ce dernier commence à fonctionner de lui-même.
L'un des objets de la présente invention est de sim- plifier les appareils de démarrage des motears du type con- sidéré, afin d'en réduire le prix de fabrication, et de fournir en même temps des démarreurs durables et d'un fonc- tionnement sûr.
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D'antres bats et avantages de cette invention ressor- tiront, avec plus de clarté, de la description ci-après avec référence aux dessins annexés qui représentent, à titre d'exemple, plusieurs modes de réalisation de l'invention.
La figare 1 est une vue d'une portion de l'appareil partie en coupe longitudinale, montrant an modèle de démar- rear réalisant la présente invention, l'appareil étant fi- garé dans la position normale pour laquelle le pignon moteur n'est pas en connexion avec l'engrenage du moteur.
La figare 2 est pne coupe par la ligne 2-2 de la fi- gure 1.
La figure 3 est une vue en plan d'une feuille de mé- tal décou@és employée à former l'un des éléments de l'ap- pareil représenté par la figure 1.
La figure 4 est une vue semblable à la figare 1 et représente l'appareil en position pour le démarrage da mo- teur.
La figare 5 est une vue semblable à la figare 1, re- présentant l'appareil après qae le moteur a commencé à fonctionner de lui-même, mais avant que l'organe mû à la main, qui gouverne le démarreur , ait été ramené à sa po- sition normale.
La figure 6 est une coupe partielle da mécanisme de retenae du pignon; cette figure est à plus grande échelle que les autres.
La figare 7 est une vue latérale d'une portion de l'appareil , partie en coape, représentant une forme modi- fiée de l'appareil, en position normale de non fonctionne- ment.
La figare 8 est ane couve par les lignes 8-8 de la figure 7.
La figure 9 est une vue d'une portion de l'appareil.
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partie en coupe, représentant encore ane antre -forme de l'appareil dans sa position normale de non fonctionnement.
La figure 10 est une vue latérale , en coupe, par la ligne 10-10 de la figare 9.
Dans les dessins ci-dessus énumérés, 20 désigne le bâti magnétique d'an moteur électrique, fixé par des mo- yens appropriés, à une enveloppe 21. Le bâti magnétique 20 et l'enveloppe 21 supportant un arbre 22 actionné par le moteur électrique; cet arbre 22 est ordinairement un prolongement de l'arbre de l'armature du moteur. Il est pourvu de cannelures hélicoïdales 23; la partie des canne- lares 23 comprises entre les lignes 23a et 23b , sur la figure 1, est d'an diamètre légèrement moindre que le dia- mètre de la'partie restante de l'arbre pourvu de ces mêmes cannelures.
L'arbre 22 présente une gorge annulaire 24 qui reçoit une bague de fil métallique fendue 25. L'arbre 22 agit en liaison avec ane rondelle de batée 26, portant contre une partie dressée 27, ménagée sur l'enveloppe 21.
Un pignon 30, muni intérieurement de rainures spirales est disposé de façon à glisser le long de l'arbre 22 pour engrener avec le volant denté 31 du moteur à mettre en marche. Normalement, le pignon 30 n'est pas en prise avec l'engrenage 31 et il est porté par la partie des cannelures 23 qui est du plus petit diamètre, savoir la partie compri- se entre les lignes 23a et 23b . La partie cannelée de plus petit diamètre est reliée à la partie cannelée de plus grand diamètre parnane partie 32, formant épaalement, qui constitue an obstacle tendant à empêcher le pignon de s'engager sur la roue dentée du moteur pendant que celui- ci est en mouvement.
Lorsque le pignon est complètement engrené, avec la roae du moteur, la bague fendue 25 pénètre dans une gorge annulaire 33 ménagée à l'intérieur da corps du pignon.
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Lorsque le pignon 30 se déplace vers la droite du dessin et prend contact avec la 'bagne 25 celle-ci rencontre d'abord un rebord annulaire 34 de diamètre intérieur pins petit que le diamètre extérieur normal de cette bague 25. lorsque le pignon force sur la bague, celle-si se resserre légèrement poar que le rebord 34 puisse peser par dessas.
Ensa.ite la bague se dilate dans la gorge 33 comme on le voit sur la figure 6.
Lorsque le moteur commence à fonctionner de lai-mme et que le pignon est automatiquement écarté de la roue d'engrenage du moteur, la bague 25 se resserera de nouveau poar permettre au rebord 34 de passer dessus. De cette ma- nière, le pignon est maintenu élastiquement en liaison pra- tiqaement complète avec la roue dentée da moteur, de telle sorte que pendant la révol tion de la manivelle a moteur, le mouvement dans le sens de l'axe da pignon, dû aax varia- tions de l'effort nécessaire pour déterminer le mouvement da motear, sera pratiquement supprimé.
De là, él ressort que la bagae 25 sert d'organe d'arrêt poar limiter le mou- vement da pignon 30 vers la droite des dessins, et sert aussi à maintenir élastiquement le pignon complètement en- grené avec la roue dentée da moteur.
L'enveloppe 21 porte un boulon oa tronçon d'axe 40 qui sert de toarillon à la tête d'articulation 41 d'un levier 42 mû à la main, Le bras 42a da levier 42 est dispo- sé de manière à parler sur le piston 43 d'un commatatear 44 de mise en route da moteur, dont le sapport 45 est fixé sur le bâti magnétique 20, par des vis 46. Le bras de levier 42a est relié à une pédale 47 dont la tige tra- verse ane pièce concave 48, encastrée dans le plancher 49 de l'automobile. Un ressort 50 inséré entre la cuvette 48 et la tête de la tige 47 tend à maintenir le levier 42 dans la position représentée sur la figure 1.
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Pour que le pignon 30 paisse venir engrener avec la roue dentée 31, avant que le commatatear du moteur soit fermé, on a établi an dispositif de transmission du mouve- ment du levier 42 an pignon 30, tel que ce pignon engrène par le bout, avec la roue 31 et soit mis en rotation au où. les dents du pignon viennent à heurter la face externe des dents de la roue 31. Ce dispositif est conçu et aménagé de telle sorte que le commutateur du. moteur ne paisse pas se fermer avant que le pignon ait pu effectivement engre- ner avec la roue dentée du moteur et qu'il n'y ait pas d'em- pêchement à ce que le pignon se débraye d'avec le moteur, quand celui-ci a été mis en marche, même si le levier 42 a été laissé en position de fonctionnement.
Le dispositif de transmission de mouvement comprend principalement deux organes reliés de façon à se déplacer ensemble, le long de l'arbre, et ce de telle manière que l'un de ces deux organes puisse agir sur le pignon pour l'amener à engrener avec la roue dentée 31, la connexion entre les deax organes étant telle que, dans le cas où le mouvement du pignon est arrêté par la roue dentée da mo- teur, l'un des organes en question imprime an mouvement de rotation à l'autre, lequel agit sur le pignon.
L'organe qui agit sur le pignon et le pignon lui-même constituent an mécanisme d'embrayage agissant'dans le sens de l'axe, de telle sorte que le mouvement de rotation dé- terminé par le dispositif de transmission est communiqué au pignon. L'un des organes de transmission de mouvement est une cheville on tige 51, fixée sur le bras 42b du levier 42, et l'aatre organe est an manchon 52, pourvu d'an rainure 53, situé obliqaement par rapport à l'axe de l'ar- bre 42 et disposée pour recevoir la cheville 51.
Le manchon 52 est muni de dents 54 qai servent d'orga- nes ddembrayage condacteur entraînant an organe d'embraya-
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ge coudait formé par la -taille en biseau de l'extrémité des dents du pignon 30 qui constitae une dentare comme repré- senté en 55, fig. 4 qui constitue ane denture d'embrayage
56.
Dans le mode de réalisation particulier de l'invention figuré dans les dessins, le pignon est à neuf dents et, par saite, il présente également neuf dents d'embrayage 56.
Le manchon 52 peut être aussi mani de neuf dents 54, mais, s'il est utile de réduire le maximum de diminution da mou- vement de rotation entre les organes d'embrayage, le man- chon peut 8voir on'nombre de dents qui soit an maltiple da nombre des dents 56, par exemple, dix-hait dents comme le dessin le porte.
La manchon 52 est, de préférence, fait d'une pièce découpée dans une feuille de métal comme le montre la figa- re 3. On aménage d'abord sar cette pièce les dents 54, la rainure 53 et un appendice à queue d'aronde 57, disposé poar se loger dans une entaille correspondante 58. La piè- ce représentée sur la figare Z, est enroulée en cylindre, le saillant 57 étant engagé dans l'entaille 58 afin d'empê- cher que le joint du cylindre paisse s'ouvrir. Le manchon 52 est monté sur une douille 60 qui porte les disques 61 et 62 , distants l'on de l'autre et qui comprennent an inter- valle 63 dans lequel pénètre le bout de la cheville 51.
Le disqae 62 est mani d'ane série de trous 64, répar- tis sar une circonférence, chacun de ces trous étant desti- né à recevoir un appendice 65 appartenant aa manchon 52 ces appendices 65 sont rivés sur le disque 62, comme le représente la figure 1.
Le mode d'utilisation de l'invention est le saivant: .Normalement, l'appareil de démarrage est dans la position représentée par la figare 1, position dans laqaelle le pi- gnon 30 est désengrené d'avec la roue dentée du. moteur et
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le commutateur du moteur est ouvert. Pour mettre le moteur en marche, on appuie sur la pédale 47, ce qui oblige le levier 42 à tourner dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre, de manière à déplacer la cheville 51 et le manchon 52 le long de l'arbre et vers la droite du. dessin.
La rainare 53 est en spirale à pas variable et la cheville 51 pénètre dans la partie de cette rainare qui a le plus petit pas, de telle sorte qu'au débat, la cheville tend beaucoup plus à pousser le manchon 52 dans le sens de la longueur qu'à le faire tourner. Par suite, le manchon 58,se déplacera vers la droite et les dents d'embrayage 54 s'engageront avec les dents 56 du pignon 30.
Au, cas où la denture du. pignon butte contre les ex- trémités des dents de la roue d'engrenage, le mouvement du manchon 52 est arrêté; mais si le conducteur continue à appuyer sur la pédale 47, le pignon 50 tournera sous l'action combinée de la cheville 51 et de la rainure spi- rale 53 du, manchon, Qaand les dents du piglon coïncident avec les intervalles entre les dents de la roue 31, le pignon 30 engrène avec la roue 31. lorsque le pignon est à peu près engrené avec la roue 31, le bras de levier 42a appuie sur le piston du commutateur 43 et le commatateur 44 se trouve fermé comme on le voit sur la figure 4.
Quand cet effet se produit, l'arbre 22 tourne dans le sens des ai- guilles d'une montre considéré de la droite des dessins comme il est indiqué par les flèches 70 des figures 1 et 4.
Par suite, le pignon 30 est écarté du manchon 52 et entre en contact avec la bagae 25. Alors le pignon 30 tourne avec l'arbre 22 et l'engrenage 31 tournera pour déterminer le mouvement da moteur.
Lorsque le moteur commence à fonctionner de lai-même le pignon est automatiquement débrayé comme on le voit sur la figure 5, Le débrayage aura lieu même si le condacteur continue à appuyer sur la pédale 47, car on voit, sur les
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figures 4 et 5, qae le manchon 52 est libre de revenir vers la gauche poar ne pas empêcher le débrayage du pignon.
Bien qae la connexion, par la cheville et la rainare, entre le manchon et le levier, permette au pignon de moavoir le manchon lorsque le pignon n'est plas engrené avec la roue du motear, cet effet ne se produit pas toujours. Il a lisa, le plas souvent, quand le manchon 22 revient à sa position normale avant que le motear fonctionne de lui- même. Cette particularité de l'invention tient aa fait qu'il y a toujours frottement entre la douille 60 du man- chon et l'arbre 22.
Par suite, lors que l'arbre 22 est. ac- tionné par le motear la doille 60 et le manchon 52 toar- nent dans le sens de la flèche 70, tandis que la cheville
51 est maintenue dans la @ostion indiquée sur la figure
4. En conséquence, la rotation de l'arbre 22, avant qae le motear ait commencé à fonctionner de 1*1-même, oblige le manchon 52 à se déplacer le long de la cheville 51 et à se porter à la position normale on de non fonctionnement indi- quée sar la figure 5. Ainsi le débrayage da pignon 32 s'effectae sans aacan contact entre les dents d'embraya- ge 54 et 56 .
Après que le conducteur a lâché la pédale 47, le res- sort 50 se détend en faisant remonter la pédale et en ramenant le levier 42 à la position représentée sur la figare 1. Pendant ce mouvement, un ressort 43a se détend poar remonter le piston 43 de la position représentée par la figure 4 à celle représentée par la figare 1, afin d'ou- vrir le commatateur da. moteur.
Un dispositif associé aa manchon 52 et à l'arbre 22 est disposé pour,résister à la tendance da manchon à tour- ner dès le moment où il s'écarte de la position de non fonc- tionnement, c'est-à-dire se dirige vers la droite par rap- port à la position indiquée sar la figare 1. Ce dispositif
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comprend an disque de frein métallique 80 fixé sur l'arbre
22, un disque lâche 81 de matière souple telle que le liè- ge, et an aatre dispque de frein constitué par le pourtour 82 da disque 62.
Les;organes 80,81, 82 sont maintenus normalement en contact par le ressort 50 qui pousse le bras de levier 52b vers la gauche comme on le voit sur la figure 1. Par suite, normalement, les organes 80, 81, 82 du frein tendent à maintenir le manchon fixe par rapport à l'arbre 22. Quand le bras de levier 42b commence son moavement vers la droite il est évident que les organes du frein ne sont pas débrayés instantanément mais qu'ils tendent à résister à la rotation du manchon 52 après que celai-ci à commencé de se mouvoir vers la droite.
Naturellement le disque de liège 81 se dila- te suffisamment dans le sens de l'axe poar maintenir un frottement entre les pièces du frein lorsque le manchon a commencé son mouvement. omme la résistance au mouvement Ion gitadinal du manchon est sarmontée avant que la résistance aa mouvement de rotation ait dispara, la tendance da man- chon à se mouvoir dans le sens de la longueur sera plus forte, aa débat, que sa tendance à toarner. Ainsi la facul- té poar le manchon de tourner sans se déplacer en longueur est réduite au minimam,
Les pièces du frein 80, 81, 82 cooprent avec le méca- nisme de commande du pignon dans le hat d'amener l'arbre 22 du moteur à s'arrêter rapidement lorsque le conducteur a laché la pédale 47.
Il est évident que le ressort 50 presse la pièce 82 vers les pièces 80 et 81. Comme la pièce 82 n'est plus libre de tourner avec l'arbre 22 parce que le pignon 51 est embrayé avec le manchon 52, le disque 82 du frein fonctionnera comme une pièce de frein fixe coopérant avec le disque mobile pour arrêter le mouvement de l'arbre 22.
Au cas où le motear ferait un faux démarrage, c'est-à-
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dira s'il se mettait à fonctionner de lui-même pendant an temps suffisant pour que le pignon 30 désengrène d'avec la roue 31 mais ne continuait pas à tourner de son mouvement propre, le condacteur n'aurait pas bsoinnd'atteindre qu'il se soit accolé an certain temps poar que l'arbes da @@@@ ait cessé de tourner, avant de renouveler la manoeuvre da pignon. En cas de faux démarrage, le conducteur peut lâ- cher la pédale poar ramener le mécanisme de commande de l'engrenage à sa position normale et peat, aussitôt. après appayer de nouveau sur la pédale pour répéter la manoeuvre de démarrage.
Un dispositif de résistance à la rotation CIEL manchon 52 pendant une partie notable de son mouvement à partir de sa position normale en se dirigeant vers le pi- gnon 30, comprend an piston 90 gaidé dans an évidement 91, ménagé dans l'enveloppe 21 ; ce piston est poussé par un ressort 92 contre une pièce 93 portée par le disque 62.
Comme on le voit sur la figure 2, la pièce 93 présente des faces cylindriques 93a et 93c, toutes deax concentriques au manchon 52, mais de rayons différents, Ces portions cylindriques sont raccordées par une partie obliqae 93b.
La surface 93c se raccorde avec une surface 93d ayant ane conrbare et un centre de courbure différente et dont la partie extrême est plus rapprochée du manchon que la partie intérieure da piston 90, quand la pièce 93 s'éloi- gne de celai-ci. Normalement, le piston 90 appuie sar la surface 93a Le mouvement de la cheville 51 vers la droite de la figare 1 tend à faire toarner le manchon dans le sans des aigailles d'une montre, comme on le voit sur la figare 2, mais ce mouvement rencontre ane résistance par l'effet du frottement entre le piston 90 et la surface 9 Sa de même que da fait da frottement entre le piston 90 et la surface 93b , aa cas où le manchon tourne de manière à rendre cet effet possible,
et encore par l'effet de l'accroissement de la résistance da ressort 92 lorsque la surface 93b pous-
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se le piston 90 vers la droite, comme il est montré sur la figure 2.
Les surfaces de la pièce 93 sont parallèles à l'axe da manchon 52, de manière à permettre le déplacement longitudi- de celui-ci. Lorsuqe ce manchon s'est déplace suffissmment pour amener le pignon 30 aa contact de la roae d'engrenage 31 du moteur, la pièce 93 se trouve avoir été écartée du plan vertical du piston 90, de sorte que le manchon peut tourner librement si les dents des engrenages viennent à se rencontrer.
Après que le moteur s'est mis à fonctionner de lui- même et avant qae la pédale 47 ait été lâchée, comme le représente la figure 5, le manchon 52 aura été amené à ane position telle que la pièce 93 est approximativement verticale en dessous de l'axe du manchon 52. Lorsqu'on a lâché la pédale 47, le ressort ramène le manchon 52 à la position représentée sur la figure 1. Quand la cheville 51 se déplace vers la gauche du dessin, le manchon 52 tourne dans le sens contraire à celai des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la figure 2. lorsque la pièce 93 tour- ne dans cette même direction les surfaces 93d, 93c 93b et 9 Sa viennent successivement au contact du. piston 90.
En cas de retour t'alla.mage pendant que s'effectae le désembrayage de l'engrenage, le piston se déplacera vers la droite à partir de la position représentée par la figure 4, et sera hors de prise avec la denture d'embrayage du manchon.
Les figures 7 et 8 représentent an dispositif modifié pour amener le levier 42 à faire glisser le pignon 30 dans le sens de la longueur de l'arbre 22 et pour faire tourner ce pignon lorsqu.'ensuite son mouvement de déplacement lon- gitadinal est empêché. Danc ce mode de réalisation de l'in- vention, l'extrémité intérieure du. levier 42 est articalé
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à un rochet 95 qai présente une section transversale en forme de gouttière, de telle sorte que la partie da levier 42 qai porte ce rochet est située entre les rebords 96 de celoi-ci . Une des extrémités de la partie saillante 97 du rochet 95 est en pointe de façon à pouvoir enclancher sur fine roue ou disque 98 à joaes latérales qui est soli- daire du. pignon 30.
Le rochet 95 est pourvu d'un autre appendice saillant 99 constitué par une partie déportée da. bec 97 . Le rochet 95 présente un bras 100 qui peut entrer en prise avec l'extrémité libre d'un ressort 101 fixé par une pince 102 et une vis 103, au levier 42. Ce ressort 101
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oorastitae un organe élastique pour empé'cher le déplacement dans une direction donnée du rochet 95 par rapport aa levier 42. Le rochet 95 ne peut pas tourner dans le sens inverse,
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etest-à-dire, dans le sens opposé à celai des aiguilles d'une montre., comme on le voit sur la figure 7, parce qae le bras 100 du rochet porte contre tin collier de batée 104 fixé.sur le manchon 105 monté foa. sar l'arbre 22.
Le mouvement longitudinal du collier 104 vers la gauche est li- mité par un collier par d'arrêt 106 entoarant l'arbre 22.
Quand on appuie sur la pédale 47 pour mettre le moteur en marche, le levier 42 tourne sur son axe 40 et entraine le rochet 95 vers la droite, comme on le voit sur la figu re 7, de sorte que la portion saillante 97 s'engage sur l'une des dents de la roae à rochet 98, Le rcchet 95 a pour
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$=e7 s.;.'.i hi## -- a - = -r 1 l c e :- Ie gimon 3 2ongitile ment que de le faire tourner. Ainsi le pignon 30 sera amené à engrener avec la reue dentée 31 et le commutateur du mo- tear sera fermé par l'action combinée du levier 42 et du piston 43 lorsque l'embrayage du pignon et de la roue est
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pratiqaer,lant complet.
Dans le cas où la rencontre des dentures arrête- le mouvement du pignon 30, le rochet 95 sera actionné de façan à faire toarner le pignon 30 d'une
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quantité suffisante pour l'amener à pouvoir engrener.
Lorsqué le le moteur s'est mis à tourner de lui-même, le pignon 30 sera automatiquement débrayé de la roue dentée
31 du moteur, de la même manière que dans le mode de r éali- sation précédemment décrit. Si le levier 42 est encore rete- nu dans sa position opérante après que le moteur à commencé à fonctionner de lai-même, la roue à rochet 98 agit sur le rochet 95 et le fait tourner sar son axe de rotation, Dans cette position da rochet 95, les dents de la roue à rochet 98 passent simplement sur la surface lisse présentée par l'or- gane 99. De cette façon il ne se produit aucan bruit par la rencontre du. rochet et de la roue.
Lorsqu'on lâche la pédale 47 le ressort 50 ramène le levier 42 à la position indiquée par la figure 7. Lorsque ce levier 42 revient à cette position, le bras 100 du rechet entre en contact avec le collier d'arrêt 104 de manière à ramener le rochet 95 à sa position normale par rapport au levier 42.
On remarquera que le ressort 101 ne limite le mouve- ment da rochet 95, par rapport au levier 42, que dans une di rection. l'ar conséquent, le ressort 101 n'est pas suscepti- ble de fournir au rochet 95 une pression telle qu'elle pais- se tendre à résister au mouvement da pignon 30 vers la gau- che, lorsque ce pignon est automatiquement défrayé de la roue 31.
La roue à rochet 98 entrera en prise avec le rochet 95 et le fera basculer autour de son axe dans le nens con- traire à celui des aiguilles diane montre. lorsque la péda- le 47 est lâchée, le bras 100 da rochet et l'organe d'arrêt 104 concoarent à replacer le rochet 95 dans sa position an- gulaire normale par rapport au levier 42, de telle sorte que le rochet sera à même d'imprimer un mouvement axial et rotatif au pignon 30, lorsqu'on abaisse de nouveau la pédale 47 .
Dans le mode de réalisation représentée par les,figu- res 9 et 10, le mécanisme destiné à amener le pignon, dans
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le sens de l'axe, à engrener avec la roue dentée du moteur et à faire toarner ce pignon dans le cas où sa denture vienne bater contre la denture de l'engrenage du moteur, se compose d'un disque 110 pourvu. de dents d'enbrayage 111 et commandé par le pignon 30. Ainsi le pignon est pourvu d'un organe d'embrayage conduit, dont les dents 111 coopè- rent avec les dents 112 d'un organe d'embrayage conducteur
113 qui tourne fou sur l'arbre 22 et peut se mouvoir libre- ment le long de set arbre.
L'embrayage conducteur est dis- posé pour être mû par le levier 42 dont le moyeu d'articala- tion 41 est porté par an tronçon d'arbre 114, à un bout de l'enveloppe 21. A son autre extrémité, l'axe 114 présente an partie 114a, d'un moindre diamètre, qui pénètre dans an évi- dement d'ane plaque de fermatare 115 qui recoavre une oaver- tare 116 ménagée dans l'enveloppe 21 et qai est fixée sur cette envelope par une ou plasieurs vis 117. de connexion
Le levier 42 est relié à l'embrayage 113 par ane pièce
118 articulée d'un bout sar une cheville 119 portée par le levier 42 et qui est maintenue sur cette cheville 'par une goupille 120.
A son autre extrémité, cette pièce est munie d'un évidement qui reçoit la partie sphérique 121 d'une pièce 122 attachée à l'embrayage 113-et manie d'une tête 123 destinée à retenir la pièce 118. L'embrayage 113 est pourvu d'un avidement latéral 124 qui permet d'introdai- re an oatil poar river l'organe 122 comme il est indiqué en 125. Il ressort de là que la pédale 47, le levier 42 et la pièce articulée 118 peuvent être actionnés en vue de déter- miner le mouvement longitadinal de l'embrayage 113 et sa r otat ion.
Poar f@ire en sorte qu'au début, la tendance da mécanis me à déterminer an mouvement de translation longitudinal de l'embrayage 113 soit plus forte que sa tendance à faire
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tourner cet embrayage, on a dispose un système, mû par un ressort, offrant une résistance élastique au mouvement de la pièce 118 dans le sens contraire à calai des aiguilles d'une montre, par rapport au levier 42.
Ce système comprend une barre 126 portant un ressort, articulée d'an bout sar un axe 127 fixé sur la pièce 118 et dont l'autre extrémité peut glisser dans un manchon 128 logé dans un évidement latéral 128a , pratiqué dans la tête d'articulation 41 du levier 42, Un ressort 129 entoure la barre 126 et est main- tenu entre la rondelle 130portant contre le manchon 128 et la rondelle 131 portent contre un épaulement 132 ménagé sur la barre 126. Le ressort 129 est normalement en état de compression et est incliné, comme on le voit sur la figure 9, pour résister au mouvement de rotation dans le sens con- traire à celui des aiguilles, d'une montre, de la pièce ar- ticalée 118 par rapport au levier 42.
La manoeuvre pour le démarrage du moteur, est, dans ce mode de réalisation, semblable à celle employée dans le mode de réalisation représenté par les figaros 7 et 8.
Lorsque le pignon 30 se déplace dans le sens de l'axe pour venir engrener avec la roue dentée 31, et si les dents de ce pignon viennent à buter contre les dents de la roue, la prolongation da mouvement descendant de la pédale 47 dter- minera la rotation du manceon d'embrayage 113 et par suite le pignon tournera jusqu'à une position pour laquelle les dents de cet organe coïncideront avec les intervalles entre les dents de l'engrenage 31. Lorsque le pignon e engrené avec la roue dentée du motear, le manchon d'embrayage condait 111 se trouvera séparé de l'embrayage condactear 113.
Cet effet est dû à ce que la pièce 43 du commutateur forme un butoir limitant le mouvement du levier 43.dans le sens con- traire à celai des aiguilles d'une montre, à une position telle que le manchon d'embrayage 113 ne paisse être déplacé
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par le levier 42 que sur une longueur déterminée. De cette façon, le pignon n'est pas amené à engrener complètement avec la roue dentée da moteur avant que le commatateur du moteur soit fermé, mais il est suffisamment déplacé pour prévenir la détérioration des dents de la roue, lorsque l'arbre da moteur est actionné, le pignon sera amené à en- grener complètement avec la roue dentée du moteur et les deux manchons d'embrayage seront séparés.
Lorsque le moteur fonctonne de lai-même. le pignon est automatiquement débrayé, il entre en prise avec la man- chon d'embrayage 113, et déplace celai-ci rapidement vers la gauche, Dans la position de débrayage, le système comman- dé par an ressort , qui, normalement, est incliné, comme on le voit sar la Figure , pour résister au mouvement en sens contraire de celai des aiguilles d'une montre de la pièce 118 par rapport au levier 42, sera maintenant incliné de manière à résister à la rotation de la pièce 118, dans le sens des aigailles d'une montre, par le fait que l'axe 119 de la pièce 118, fixé aa levier se sera déplacé d'une position à la gauche du pivot 128. à une position à la droite da même pivo t.
Il s'ensuit que le ressort 129 ten- dra à présent à maintenir la pièce articalée 118 dans une position relevée et pressera le manchon d'embrayage 113 contre an butor 133 représenté en pointillé sur la figure 9, et parté sur l'arbre 22. En conséquence, il est évident que le mécanisme, mû par pédale, considéré, permettra de débrayer le pignon de la roue dentée da moteur qaand le moteur s'est mis à fonctionner de lui-même, même si le con- ducteur manque à relâcher la pédale 47. lorsque cette pédale 47 e t abandonnée, le ressort 50 ramène le levier 42 à sa position normale et la pièce d'articulation 118 est repla- cée dans sa position opérante.
Le système qui commande le ressort , y compris le ressort 129, sera incliné de nouveau pour résister normalement aa mouvement en sens contraire
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à celai des aiguilles d'une montre de la pièce 118.
A l'effet de protéger les dents des organes d'embraya- ges ou cas où le moteur a an retour d'allamage avant d'avoir démarré, on a établi an dispositif pour séparer forcément les dents d'embrayage 111 des dents d'embrayage 112 après que le pignon a en-,rené avec la roue et avant que le commata- tsar da moteur ait été fermé. @e dispositif comprend le disque 110 fixé sur le pignon 30 et le bec 134 de la pièce d'articulation 118.
Lorsque cette pièce 118 se déplace vers la droite, elle se rapprochera de la position horizontale et, pendant ce moavement, le bec 134 se rapprochera du dis- que 110, entrera en contact avec celui-ci.et séparera les deux manchons d'embrayage jaste avant que le commaatateur da moteur soit fermé. Par conséquent, @@ le moteur devait faire un retoar d'allamage immédiatement après que le comma- tateur da motear a été fermé, la rotation (la pignon 30 en sens inverse du sens normal, peut se produire sans qu'il y soit fait obstacle par le mécanisme de commande du pignon.
On comprendra qu'on peut se passer da bec: 134 et qu'on peut employer au lieu d'organes d'embrayages dentés se dé- plaçant dans le sens de l'axe, des organes d'embraygo à fric tion. Dans ce cas, le pignon 30 peut être pourvu d'un orga- ne d'embrayage eoncave coopérant avec un rebord conique aménagé sur le manchon d'embrayage 113. de rebord conique peut être divisé par deux ou plusieurs encoches pour permet- tre à ce rebord de s'adapter à la surface conique inter- ne de l'organe d'embrayage concave.
Dans cette disposition les organes d'embrayame peuvent se déplacer l'un par rapport à l'autre sans aucun dommage poar ltappareil de commande da pignon dans le cas d'un retour d'allumage eu moment où le commatateur du moteur se ferme.
De la description qui précède de la structure et du mode de fonctionnement de la présente invention, il ressort que cette dernière présente les avantages de la simplicité
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et de lo solidité de la construction ainsi que de la sû- reté du fonctionnement. Le nombre de pièces nécessaires pour la commande da démarreur est très petit et ces piè- ces peuvent être fabriquées et Assemblées à peu de frais.
Grâce à la simplicité de la construction, les pièces peuvent être relativement pea'travaillées et robustes et par conséquent de grande durée,.; Bans cette forme de réa- lisation de l'invention le pignon de démarrage engrène avec la roue dentée da moteur avant que celui-ci soit en mouvement et, pansaite, le risque pour les dents d'engre- nage se trouve considérablement séduit Le pignon petit être débrayé de la roue dentée du. moteur automatiquement,, même si le conducteur oublie de lâcher la pédale de dé- marrage qaand le moteur commence à fonctionner de lui-même Comme la commande da démarrear n'offre pas d'obstacle au mouvement de débrayage da pignon, l'appareil est re- lativement peu brayant dans son fonctionnement.
On comprendra qu'on peut apporter divers changements à l'appareil présentement décrit et figuré, sans s'écar- ter d3 l'esprit et de,3 limites de l'invention.
REVENDICATIONS.
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