BE344080A - - Google Patents

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BE344080A
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C22METALLURGY; FERROUS OR NON-FERROUS ALLOYS; TREATMENT OF ALLOYS OR NON-FERROUS METALS
    • C22BPRODUCTION AND REFINING OF METALS; PRETREATMENT OF RAW MATERIALS
    • C22B19/00Obtaining zinc or zinc oxide
    • C22B19/04Obtaining zinc by distilling
    • C22B19/14Obtaining zinc by distilling in vertical retorts

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Description


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  "DISPOSITION DE   CHAMBRE   DE REDUCTION   VERTICALE,CHAUFFEE     EXTERIEUREMENT   POUR LA FUSION DE MATIERES   ZINCIFERES,   ET SON MODE DE CONSTRUCTION ". 



   La présente invention concerne les cornues, ou chambres de réduction, verticales, chauffées extérieurement, pour la fusion ou réduction de matières zincifères et elle a pour objet une disposition perfectionnée de cornue de ce genre* 
A l'heure actuelle, toutes les chambres réductrices, ou cornues ( chauffées extérieurement ) pour la réduction industrielle du zinc sont de véritables monolithes, avec une seule ouverture pour 1introduction de la charge, l'enlève- 

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 ment des résidus et la sortie des produits gazeux portant dù zinc. Pendant la période active de réduction, cette ou- verture est complètement remplie et isolée de l'atmosphère par un condenseur ( et son lut) pour les vapeurs de zinc métallique.

   On fait ces monolithes en pilonnant ou damant une matière résistante à la chaleur, ou réfractaire, plas- tique dans des moules convenables ou en refoulant cette matière, sous pression, à la presse-filière. On sèche et on cuit avec le plus grand soin les vaisseaux plastiques résul- tants que, s'ils présentent la moindre fente ou fissure, l'on rejette comme impropres à être placés dans la chambre de chauffage ou laboratoire du four à zinc. La principale raison pour laquelle on fait ces cornues sous la forme de véritables monolithes, et avec une seule ouverture est qu* on ae rend pleinement compte que la moindre pénétration de gaz de chauffage dans la cornue est fatale à une bonne condensation en zinc des vapeurs de zinc dégagées dans la c or nue. 



   Avec de petites cornues de la dimension de celles dont on fait communément usage, à l'heure actuelle dans les fours à zinc industriels ( cornues de 15 à 23 centimètres de dia- mètre intérieur et d'environ i mètre 20 centimètres à 1 mètre 50 centimètres de   long )   les inconvénients qu'il y aà construire les cornues sous la forme de véritables monoli- thes n*ont pas une importance particulière. Avec des cham- bres réductrices de capacité notablement plus grande, les inconvénients de la construction véritablement monolithi- que deviennent si grands qu'ils rendent industriellement impraticable cette façon de faire la chambre réductrice. 



  En conséquence, dans la construction de chambres réductri- ces de capacité réductrice relativement grande, des " struc- tures bâties * deviennent une nécessité pratique. Par " structures bâties *il faut entendre des structures qui ne 

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 sont pas moulées, formées ou coulees d'une seule pièce en partant d'une matière fluide ou plastique, de façon à former ainsi un monolithe ,mais sont au contraire " bâties" dans la dimension et la forme requises par assemblage d'un certain nombre de pièces de matière solide qu'on lie ensem- ble par quelque ciment ou mastic de jointoiement.

   Toutefois, le métallurgiste en zinc n'est pas enclin à considérer avec faveur des chambres réductrices bâties, sans doute à cause des nombreux essais infructueux tentés en vue de réduire de la matière zincifère dans des moufles " bâtis, " .  lame   dans ces tout derniers temps, on a proposé et essayé des moufles à fondre le zinc bâtis; mais ces structures bâties ont donné invariablement de pauvres extractions de zinc et une condensation si pauvre en zinc métallique qu'on les a toutes abandonnées en faveur de la petite cornue vérita- blement monolithique qui est devenue d'un usage courant dans la fusion de zinc pour l'obtention de zinc métallique. 



   En raison de l'usage de   molles   bâtis dans d'autres industries, il est peut être nécessaire d'expliquer pour- quoi un moufle bâti   n*a   pas, jusqu'à présent, donné satis- faction dans l'art du fondeur de zinc. Dans d'autres industries où l'on fait usage à haute température de moufles bâtis, de petites rentrées dans le moufle, ou de petites fuites de'celui-ci, n'ont pas de conséquence sérieurse. Toutefois dans le cas où l'on fond du zinc dans les chambres réductri- ces ou cornues employées antérieurement dans l'industrie, la moindre rentrée dans la chambre réductrice ou moufle s'est montrée fatale à la bonne condensation des vapeurs de zinc dégagées.

   Ceci semble vrai même quand il y a à l'inté- rieur du moufle une pression légèrement plus grande qu'à l'extérieur,puisque la diffusion d'oxygène dans le moufle en antagonisme à la pression régnant dans celui-ci semble 

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 être de grandeur suffisante pour produire l'effet nuisible. 



   Dans les premières tentatives faites pour utiliser des mou- fles bâtis pour la fusion du zinc, on avait rencontré d'au- tres difficultés dues à une scorification ou rupture des joints, ce qui causait par cela même des fissures lorsqu'on faisait usage d'outils à nettoyer les moufles. 



   Toutefois, la principale difficulté, dans les premiè- res tentatives faites pour utiliser des moufles bâtis dans la fonderie de zinc était due au fait que les moufles étaient invariablement liés   dans ,  ou supportés par, le garnissage du four ou laboratoire en de nombreux endroits, ou que leurs voûtes s'élançaient de ce garnissage.

   Avec la température des parois du moufle allant de la noirceur, lorsqu'on mettait' dans le moufle une charge fraîche, jusqu'à 1200 à 
1400  C, et même souvent davantage, avant que la dernière partie de la charge ait été travaillée, et la répétition de ces changements de température avec chaque charge, la pa- roi du moufle se contractait et se dilatait différentielle-   -.ment   par rapport aux parois du laboratoire ou four auxquelles elle était liée et il se produisait inévitablement ,en con- séquence, des ruptures et des fentes dans le moufle, 
Les auteurs de l'invention ont découvert que si le mou- fle ou cornue est bâti, ou établi, de telle sorte qu'il n'est supporté et lié dans le garnissage du four ou laboratoire qu'en un seul endroit ( de préférence sa base) ,

  et tous au- tres facteurs dûment pris en considération on peut faire une cornue suffisamment étanche pour une bonne condensation des vapeurs de zinc dégagées .Ils ont en outre trouvé qu'il est important non seulement que la chambre réductrice ou cornue ne soit liée en aucun autre endroit qu'en sa base, mais encore que la forme des éléments individuels qui, assemblés, constituent la cornue soit telle que chaque élément, ou pièce, soit capable de se dilater et de se contracter sans exercer 

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 aucun effort sur les pièces ou éléments voisins.

   Ils ont trouvé aussi qu'il est très avantageux que chaque pièce, dans la cornue bâtie, soit de forme et de dimensions telles qu'on puisse, par pression l'obtenir très dense, ou compacte, la sécher et la cuire uniformément et qu'elle ne soit soumise à aucun effort ou tension interne ,ce qui, en fait, deman- de l'usage des plus petites pièces qu'il soit possible   d'em   ployer .

   De plus, puisque la cornue ne doit être supportée et liée dans la structure du four qu'   :en   un seul endroit, la disposition de la cornue dans une position verticale de- vient essentielle et une cornue cylindrique devient très avantageuse parceque, dans ces conditions, la cornue peut être convenablement supportée en son extrémité inférieure, avec une épaisseur de paroi suffisante pour porter le poids de toute la cornue sans affaissement ni gondolement, et par- ce qu'un cylindre subit les effets les moins désastreux des efforts auxquels il se trouve soumis lorsqu'il est chauffé et refroidi d'une façon répétée. 



   L'invention envisage en conséquence l'établissement, pour le traitement de matière zincifère, d'une chambre ré- ductrice chauffée extérieurement et disposée verticalement, constituée par une multiplicité d'éléments ou pièces de ma- tière résistante à la chaleur, liés ensemble horizontalement, ou verticalement et horizontalement, en une chambre sensible- ment étanche aux vapeurs de zinc, supportée et liée en son extrémité inférieure   seulemento   Les éléments ,ou pièces, résistants à la chaleur individuels sont de préférence an- nulaires ou cylindriques, ou de formes normales telles que : arc de cercle, claveau ,coupole , section de couronne ou autre. 



   Ces éléments ou pièces sont, de plus , de forme telle que chacun d'eux peut se dilater et se contracter indépendam- 

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 ment sans imprimer aucun effort préjudiciable aux éléments adjacents. A cet effet, la pratique qu'il est préférable d'adopter consiste à prévoir des joints sensiblement plats entre éléments adjacents. Pour réduire au minimum la dila- tation et la contraction, il est désirable que les éléments ' résistants à la chaleur soient faits de matière ayant un coefficient de dilatation relativement faible sous l'influen- . ce de la température   et,   puisque la chambre réductrice est chauffée extérieurement, cette matière doit être,de préfé- rence, bonne conductrice de la chaleur.

   Le carbure de sili- cium, ou carborundum, l'oxyde   d'aluminium ,  l'oxyde de zirco- nium et le silicate de zirconium sont des matières satis- faisantes pour cet   usage    Les pièces ou éléments individuels, résistants à la chaleur, sont obtenus sous pression à la presse-filière, ou moulés sous pression à la machine, pour leur donner une grande compacité et sont séchés et durcis (cuits) dans des conditions propres à réduire au minimum les tensions restant dedans ou susceptibles de se développer dans le chauffage de la chambre ou cornue qu'ils doivent constituer. 



   .Les principes de l'invention et leur application prati- que à la construction de chambres réductrices pour la fusion du zinc seront le mieux compris d'après la description sui- vante prise conjointement avec les dessins ci-joints sur   lesquels :    
Fig. 1 est une élévation en coupe d'un four, pour la réduction ou fusion du zinc, dans lequel est incorporé la nouvelle chambre réductrice   bâtie" faisant l'objet de l'in- vention ; 
Fig. 2 est une coupe suivant 2-2   :- fige   1 ; 
Fig. 3 est une élévation en coupe et une coupe transver- sale, combinées, d'une variante de construction de cornue 

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Fig. 4 est une élévation en coupe et une coupe transversale, combinées, d'une autre variante encore. 



   En oe qui concerne la disposition représentée aux fig, 1   et 2 :  la cornue bâtie 10 est entourée par une chambre de chauffage ou laboratoire ,  reconstruit   à l'intérieur d'une structure de four comprenant une chemise extérieure 12, une couche de   sil-o-cel   13,un garnissage intermédiai- re 14 d'une ou plusieurs couches de briques réfractaires ou autre matière appropriée et un garnissage intérieur 15 en matière réfractaire ou résistante à la chaleur telle, par exemple, que des briques de carbofrax.

   Des ouvertures appro- priées sont prévues à travers la paroi du four pour permet- tre l'introduction de pyromètres 16. à l'intérieur de la cham- bre de chauffage 11 pour déterminer et contrôler d'une fa- çon appropriée la température dans toute la longueur de cet- te chambre. four représenté sur les dessins est chauffé par les produits de combustion obtenus en brûlant du gaz ;

   mais il va sans dire qu'on peut employer tout moyen approprié pour chauffer la chambre réductrice ou cornue 10 Le gaz combus- tible est fourni, par une conduite de gaz   17.  à une plura- lité de passages ou conduits verticaux 18 disposés à l'in- térieur d'un récupérateur 19 établi dans la structure du four, le long de la chambre de chauffage 11.De même, de l'air est fourni, par une conduite 20 ,à une pluralité de passages ou conduits 21 existant dans le récupérateur. Les passages 18 et SI sont formés dans une pluralité de parois verticales espacées 22 en briques, carreaux , ou leur. équi- valent, résistants à la chaleur.

   Il va dien entendu sans dire que le garnissage du récupérateur peut être fait en matière moins résistante à la chaleur que le garnissage de la   cham-   bre de chauffage 11 et que le récupérateur sera pourvu   d'où?-*   

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 vertures de nettoyage appropriées pour ses divers passages à gaz. 



   De la partie supérieure du récupérateur ,le gaz com- bustible et l'air réchauffés sont livrés, par leurs passa- ges respectifs 18 et 21, à un mélangeur et   bruiteur   appro- prié ( non représenté ) voisin du haut de la chambre de chauffage 11. Les produits de combustion chauds résultants descendent autour de la cornue 10 à un conduit de sortie 23 ,voisin du bas de la chambre de   chauffage 11  et   s'élè-   vent de là par un carneau vertical 24,à la partie supé- rieure du récupérateur.

   Le récupérateur est pourvu de chi- canes horizontales contrariées ,25, qui obligent les gaz de chauffage à suivre un chemin en zigzag dans le parcours qu'ils effectuent à travers le récupérateur pour arriver à la sortie de gaz 26 et à la cheminée   !la   
La structure de four de la chambre de chauffage 11 est montée sur une plaque de base en métal ,   28 ,   supportée sur une fondation appropriée , 29 en béton ou son équiva- lente La plaque de base 28 supporte la cornue bâtie 10 et présente, directement au-dessous de celle-ci , une ouver- ture centrale de mêmes dimensions que la section transver- sale de l'intérieur de la cor nue.

   Un cylindre en métal 30 est boulonné, ou assujetti autrement d'une façon appropriée, sur le dessous de la plaque de base   28   et sert.de prolonge- ment à la cornue 10 au-dessous de la plaque de base. Une table tournante   31 ,  montée directement au-dessous, et con- venablement espacée, du bas du cylindre   30 ,   sert à support ter la charge dans la cornue 10 et. par sa rotation conjoin- tement avec un racloir, permet de décharger du bas de la trémie,comme on le désire, les résidus épuisés. De la ta- ble tournante 31, les résidus épuisés sont livrés à un transporteur , ou autre moyen d'enlèvement approprié, non 

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 représenté sur les dessins. 



   La cornue bâtie ,10, est supportée exclusivement à la base et n*est nulle part ailleurs, sur toute sa lon- gueur ,attachée ou liée autrement dans la chambre de chauf- fage ou la structure du four, L'extrémité supérieure de la cornue passe librement à travers le dessus de la structure du four et une chemise cylindrique en métal, 32, de préfé- 
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 rence en un alliage nickel-chr orne -fer comme le .Hßbnickel, repose sur le dessus de la cornue. Une couronne de briques réfractaires ordinaires 33 est de préférence interposée en- tre la couronne supérieure en carbofrax de la cornue et le cylindre 32 afin d'empêcher le contact de cette couronne en   carbafrax   avec le métal.

   Le cylindre 32 est entouré par une couche de pâte de charbon durcie 34 renfermée dans de la tôle 35 qui, à son tour, est entourée par une masse de poussier de houille 36 retenue par une paroi en tôle   37     * Ce   poussier de houille constitue aussi une fermeture mobile entre la cornue et l'ouverture existant dans le des- sus de la structure du four pour le passage de cette cor- nue. Le cylindre en métal 32 ainsi que la couche, l'entou- rant, de pâte de charbon durcie 34 reposent ainsi sur le dessus de la cornue 10 et sont libres de se mouvoir avec el- le et, en même temps ,le haut de la cornue est efficacement fermé .

   On voit qu'ainsi la cornue 10 est supportée entière- ment en sa base ou partie inférieure et n'est, nulle part ailleurs, assujettie à la structure du four ni liée dans celle-ci ,ce qui fait que, par conséquent ,elle est li- bre de se dilater ou de se contracter suivant les besoins. 



   Le cylindre en métal 32 présente un tuyau latéral de sor- tie de gaz 38 garni d'un tube en graphite 39 conduisant à un condenseur approprié . mais non représenté sur les des- sins   ci-j oints.   Le haut du cylindre 32 est pourvu d'un dis- 

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 positif de chargement comprenant un entonnoir renverse, en tôle, 40 convenablement monté dans le cylindre et un obtu- rateur ou cloche mobile 41 .L'espace entre l'entonnoir 40 et le cylindre 32 est rempli de pâte de charbon durcie 42 surmontée d'une masse de poussier de houille 43 dans laquel- le est enfoui le bord d'un couvercle 44 
A l'endroit ou la sortie de gaz   ( 38-39)   de la cornue pénètre dans le condenseur, ou toute autre dépendance du four,

   ou bute contre ce condenseur ou dépendance qui est relativement fixe par rapport aux mouvements de dilatation ou de contraction de la cornue, il est important que la jonction soit ajustable pour permettre ces mouvements rela-   tif s.   Ou bien, si on le désire, on peut établir la connexion après que la cornue est arrivée a sa température de travail et la défaire avant le refroidissement de la cornue. Le con- denseur ou autre appareil ou dépendance auquel la sortie de gaz de la cornue est reliée peut être ajustable quant   à   la hauteur et peut être élevé ou abaissé à mesure que la cor- nue, en se dilatant eu en se contractant, soulève ou abaisse la sortie de gaz. 



   La cornue 10 est constituée par une multiplicité d'élé- ments annulaires superposés 10', en matière résistante à la chaleur . Dans le four représenté sur les dessins, la cornue   10   a 12 mètres 20 centimètres de long, ou de haut, et 61 con- timètres de leng, ou de haut, et 61 centimètres de diamètre intérieur et elle a une épaisseur de paroi de 115 millimètres. 



  Les dimensions de chaque élément annulaire   10@,   sont : 61 centimètres de diamètre intérieur, 84 centimètres de diamè- tre extérieur,   Ils   millimètres d'épaisseur de paroi et 63 millimètres de hauteur. 



   Les éléments annulaires 10$-sont de préférence faits de grains de carbure de silicium ( ou   carb$rundum)   exactement 

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 calibrée et sont de préférence formés par refoulement sous pression à la presse-filière pour leur donner le maximum de   compacité.   On leur donne deux chaudes : la seconde a une température plus élevée que celle à laquelle on compte que ces éléments seront soumis en service, avec l'idée de sou- lager toutes tensions et de faire ressortir toutes déffee- tuositésde façon à pouvoir mettre de côté les éléments im- parfaits* 
On bâtit la cornue 10 à partir de la base, en posant ces éléments annulaires les uns sur les autres.

   On remplit de mastic, ou ciment, de carbofrax les joints entre les éléments superposés et on presse ou on frappe sur ceux-ci pour lés mettre en place avec des joints n'excédant pas de préférence 3 millimètres. Somme mastic ou ciment de jointoiement, il est préférable de faire usage de ciment de   carbofrax   N  4, consistant de préférence en carborun- dum calibré, en une petite quantité de liant constitué par de la liqueur résiduelle de la fabrication du papier par le procédé au bisulfite, séchée, et en une petite quantité   d'argile,.   En ajoutant de l'eau, on rend ce ciment ou mastic juste assez plastique pour qu'il puisse fluer sous pres- sion, mais suffisamment dense ou compact pour laisser une masse réelle de carborundum dans le joint lorsque l'eau du ciment s'est évaporée .

   La cornue 10 peut ,de cette maniè- re, être bâtie ou montée à de grandes hauteurs pourvu qu'el- le ne soit liée avec aucune paroi de four qui gênerait sa dilatation libre et uniforme à mesure qu'elle s'échauffe. Le faible coefficient de dilatation, sous l'influence de la tem- pérature, de la brique de carbofrax à un avantage particulier dans la construction de ces grandes cornues* 
La cornue 10A représentée à la fig, 3 est bâtie sen- sibeement de la même manière que la cornue   10   des fige 1 et      

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2. Les pièces individuelles 10A qui la constituent, bien qu'étant des éléments annulaires , peuvent peut-être être plus justement appelés des éléments ou unités cylindriques. 



   Les dimensions de la cornue elle-même sont sensiblement les mêmes que celles de la cornue 10 et les éléments cylin- driques 10A' ont 152 millimètres de hauteur et ont une épaisseur de paroi d'environ 76 millimètres  
Dans le cas où la cornue est faite d'éléments cylin- driques ou annulaires 'dune seule pièce, à la distinction d'éléments constitués par un assemblage de briques ou pe- tites formes, il est préférable que la hauteur, ou dimen- sion verticale, de ces éléments n'excède pas environ 152 millimètres si l'on veut réaliser.dans la plus large mesure possible les avantages de la construction   @   bâtie" qui fait l'objet de l'invention D'un autre côté, on a fait fonc- tionner avec succès pendant bien des mois une cornue verti- cale cylindrique de 7 mètres 62 centimètres de haut, bâ- tie,

   conformément à l'invention  en éléments cylindriques de 457 millimètres de hauteur. 



   La cornue 10B représentée à la fig, 4 est bâtie en briques ,10B", préalablement assemblées en les unités ou éléments annulaires 10B'.Les briques   10B**   sont des briques de   carbofrax ,  en arc de cercle ou en forme de segment de couronne, ayant à peu près les dimensions suivantes : 220 millimètres ,sur   160   millimètres ,sur 115 millimètres, sur 63 millimètres  Douze de ces briques constituent cha- que élément annulaire 10B' dont les dimensions sont :61 cen- timètres de diamètre intérieur, 84 centimètres de diamètre ex- térieur, 115 millimètres d'épaisseur de paroi et 63 millimè- tres de hauteur. 



   Les briques 10B" sont de préférence faites de grains de carbure de silicium, ou carborundum, exactement calibrés 

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 et sont, de plus, pressées à la machine pour leur donner la compacité ou densité maximum. On leur, donne deux chaudes pour les raisons   sus-indiquées.   Ses briques sont remarqua- blement exactes comme forme et dimensions après la double chaude.

   Néanmoins, il est préférable, dans la pratique, de les travailler au sable sur une table de meulage rotative, où toutes les irrégularités sont supprimées, les surfaces de contact des briques sont rendues lisses et toutes défec- tuosités recouvertes par la glaçure de la surface sont révélées, ce qui permet de rejeter les briques défectueuses, 
Après l'opération de lissage et d'uniformisation sur la table à sable rotative, on assortit les briques comme grandeur à quatre dixièmes de millimètre près sur la dimen- sion verticale ou dimension de 63   millimètres   On pose ensuite douze de ces briques en cercle sur une surface pla- ne et on remplit les joints verticaux avec du ciment de car- bofrax N  4.

   En ajoutant de l'eau, on rend le ciment juste assez plastique pour fluer sous pression, mais suffisamment dense ou compact pour qu'il laisse une masse réelle de car- borundum dans lejoint lorsque l'eau s'est évaporée. Les joints verticaux entre briques adjacentes dans le cercle ou couronne sont faits avec une épaisseur initiale de 3 millimètres ,ou plus, de ciment. On place après cela deux ou trois gros Cils de fer autour du cercle de briques assemblées et l'on tortille ensemble les extrémités de ces fils, de façon à exercer une force de contraction et de compression très puissante. Sous l'effet de ce traitement, le joint vertical entre briques adjacentes est réduit à 1 millimètre et demi, ou même   moins,,   
On 'bâtit alors la cornue 10B à partir de la base en posant ces couronnes ,ou cercles,de briques les unes sur les autres.

   Dana cette opération, on manipule les cou- 

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 rennes comme des unités-, les briques, dans chaque couronne ou unité, étant tenues serrées ensemble par les fils de fer les entourant   On remplit de ciment de carbofrax les joints horizontaux entre les couronnes superposées et on frappe sur celles-ci pour les mettre en place avec des joints de 
3 millimètres, ou moins. Comme les joints horizontaux entre les couronnes superposées sont toujours sous compression , comme conséquence du poids des couronnes superposées, ils n'exigent pas d'être faits avec autant de soin que les joints verticaux entre les briques individuelles de chaque couronne, ces derniers joints étant soumis à un effort de compression moindre une fois que les fils de fer entourant les couronnes ont été enlevés .

   On enlève ces fils de fer lorsqu'un mètre vingt centimètres ou un   mettre   cinquante centimètres de la structure de la cornue a été construit au-dessus d'eaux, le poids de la structure superposée étant alors suffisant pour maintenir en position les briques individuelles des couronnes inférieures. De cette manière , on peut bâtir ou monter la cornue 10B à de grandes hau- teurs pourvu qu'elle ne soit liée avec aucune paroi de four, ce qui contrarierait sa dilatation libre et uniforme à me- sure qu'elle s'échauffe. 



   Bien que, dans la pratique qui est.préférable, la ma- tière de remplissage, ciment ou liaison, dans les joints entre les unités annulaires ou cylindriques , ou entre les briques ou pièces individuelles, puisse durcir et se solidi- fier ,lorsqu'elle est froide ,au point de former une véri- table liaison entre les pièces, liaison plus forte dans cer- 
 EMI14.1 
 /n'est pas es- tains cas que ces pièces elles-mêmes, cette oondition de la sentielle. La matière de , résistance à froid de la matière de remplissage/dans les remplissage joints a pour rôle de remplir ou boucher les fentes ou fis- sures qui existeraient sans cela et de rendre les joints 

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 suffisamment compacts pour être sensiblement non poreux aux vapeurs de zinc.

   Le remplissage dans les joints doit, de plus, avoir la capacité de ne pas fondre aux températures élevées auxquelles la chambre réductrice est soumise, mais doit rester en position dans les joints. C'est pour ces raisons, entre autres, que la matière de remplissage ou de liaison doit être faite avec un pourcentage aussi grand que possible de solides et un pourcentage aussi petit que possible d'eau ou autre matière favorisant le glissement. 



  Cette préférence pour une matière de remplissage dense ou compacte rend plus difficile d'arriver à faire des joints minces uniformes, en particulier dans les joints verticaux; mais la façon d'assembler les pièces conformément à l'in- vention surmonte cette cause de difficultés et rend possi- ble l'obtention de joints étanches aux vapeurs de zinc, par conséquent, lorsqu'il est dit ici que les pièces sont ''liées " ensemble, il faut entendre par là que les joints, tant horizontaux que verticaux, sont remplis de manière à être sensiblement étanches aux vapeurs de zinc, dans les con-   ditions de fonctionnement .   



   Il va sans dire que la chambre réductrice peut avoir une section de forme quelconque. Bine qu'il ait été ques- tion ici des unités   10' ,   10A' et lobe comme d'unités de forme " cylindrique " ou " annulaire " , ces expressions ont été employées sans intention de leur donner un sens restrictif quant à la configuration exacte des unités. En général, il est préférable que ces unités soient de sec- tion circulaire ; mais il va sans dire qu'elles peuvent être elliptiques , ovales ou de toute autre section appro- priée, 
On a jusqu'à présent considéré comme désirable de cons- truire des moufles " bâtis " de façon qu'ils présentent un 

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 nombre minimum de Joints.

   Les recherches et expériences des auteurs de l'invention ont montré que cela ne tient pas pour une cornue à zinc verticale, " bâtie " C'est ainsi qu'ils ont trouvé que le nombre-de joints, dans une cornue à zinc verticale, bâtie, peut avec avantage être augmenteau nom- bre requis par des briques de forme normale pressées à la machine,plue particulièrement dans le cas où ,comme dans l'invention, la chambre réductrice ou cornue n'est supportée qu'à sa base et n*est pas liée autrement dans la structure du four, 
Comme cela    tété   dit   précédemment ,  les unités ou piè- ces individuelles qui, assemblées, constituent la cornue, doivent être de forme telle que chaque unité ou pièce soit capable de se dilater et de se contracter sans exercer aucun effort sur les unités pu pièces voisines,

   
Dans leurs premières expériences, les auteurs de l'in- vention avaient bâti la cornue verticale en unités ou sec- tions cylindriques de carbofrax ayant des joints à emboîte- ment, comme ceux dont on fait communément usage pour relier des bouts de tuyau de divers genres. Ces sections avaient 457 millimètres de long, ou de haut, et 381 millimètres de diamètre intérieur, avec une épaisseur de paroi d'environ 50 millimètres. Dans le fonctionnement de cette cornue bâtie, le Joint à emboîtement non seulement n'a montré aucun avantage mais a présenté un inconvénient positif et très sé- rieux et ce, en dépit du fait que la brique de carbofrax est extraordinairement forte, comme matière non métallique résistante à la chaleur et, de plus, possède un faible coef- ficient de dilatation sous l'influence de la température. 



  Cette cornue fut mise hors de service par la rupture et la chute   d'un   gros morceau de la cornue à la suite de l'in- troduction d'une charge froide dans l'extrémité supérieure de la cornue alors que cette dernière était à une température 

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 avoisinant   12000   C.. Lorsqu'on examina l'ensemble, après refroidissement,   onprouva   dans la cornue un dertain nom- bre de fentes en plus de celles qui étaient la cause directe et principale de sa faillite. Dans chaque cas, ces fentes partaient soit des bouts femelles ou des bouts mâles et, généralement ,elles s'étendaient de l'un des bouts mâles dans le bout femelle de l'unité ou section immédiatement inférieure.

   Il était donc clairement évident que les sec- tions étaient rarement susceptibles de commencer à se fen- dre à partir de l'extrémité femelle et que, si une fente se formait dans une sectionjusqu'à   l'extrémité   mâle, il était presque certain que cela ferait fendre l'extré- mité femelle de l'unité située au-dessous, à cause de l'em-   boitement   de l'extrémité mâle dans l'extrémité femelle de l'unité immédiatement inférieure . 



   Il fallut de la part des auteurs de l'invention un courage considérable pour enlever l'extrémité femelle des unités de manière à les laisser sous la forme de véritables sections de cylindres, sans autre lien, d'une section à   l'autre,   que la liaison plastique entre les joints. Les unités ou sections présentaient alors la disposition de cel- les représentées aux fige. 1, 2 et 3 des dessins ci-joints. 



  Non seulement ces unités peuvent être faites et cuites avec considérablement moins de tensions restant dedans, mais, une fois assemblées et dans le fonctionnement, elles peuvent se dilater irrégulièrement les unes par rapport aux autres. 



  En d'autres termes, si, dans le chauffage, une des unités tend à se dilater elliptiquement ou de façon à prendre une forme ovoïde suivant un certain axe, alors qu'une autre uni- té tend   à faire   la même chose suivant un autre axe, elles peuvent le faire sans que l'.une des unités exerce d'effort sur une autre unité. Bans ces conditions, le mouvement se produit dans le aiment plastique , ou remplissage des 

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 joints. Ces unités véritablement cylindriques ou annulai- res ont donné un service très supérieur. à celui obtenu avec les unités a emboîtement . 



   Poursuivant la même ligne de raisonnement, mais en supposant que même les meilleures de ces sections ouunités puissent se fendre, la question d'empêcher la pièce fendue de tomber et de ruiner   absolument   la cornue entière con- duit aux conclusions suivantes que les expériences de la pratique réelle ont permis de vérifier. 



   Plus la hauteur verticale de ces pièces cylindriques est faible et plus les parois sont épaisses, moins il y a de risque   qu*une   pièce fendue tombe* En considérant le cas d'unités annulaires ayant,. par exemple ,115 millimè- tres d'épaisseur et seulement 63 millimètres de hauteur, si une telle unité présente deux fentes ou fêleures du haut en bas, c'est-à-dire suivant la dimension de 63 millimètres, la pièce détachée ne tomberait pas même s'il n'y avait pas de liaison de ciment dans les joints parce que cette pièce est tenue à plat par une surface de portée de 115 millimè- tres sur son dessus et son dessous* 
Il   est),   en conséquence, préférable d'adopter des couronnes, ou des couronnes assemblées de briques en arc de cercle ou d*autres formes normales propres à former des couronnes ,

   qui ont une hauteur relativement faible et, de préférence , inférieure à la largeur de la couronne, c'est-à-dire à l'épaisseur de paroi* En faisant une couron- ne résistante à la chaleur en partant   d'une   base plastique, il est toujours possible de mieux faire, et de cuire mieux, une couronne plate qu'une couronne de section carrée, ou qu'une couronne ayant une hauteur plus grande comparée à son épaisseur de paroi. 



   Comme dernière précaution-pour assurer une cornue bâ- tie aussi bonne que possible, du point de vue de l'absence 

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 de tension résiduelle qui pourrait donner lieu plus tard 
 EMI19.1 
 à la formation de f lgtê! ,0 dans le fOQtchmnement , on peut chauffer et refroidir très   brusquement   ces unités annulai- res pour que les tensions   résiduellesfassent   fendre l'uni- té, exactement comme elles le feraient dans le fonctionne-   ment*.   



   On peut alors remplit les minces fentes de l'unité fendue qui a une tendance notable à s'ouvrir vers l'exté- rieur avec du ciment qui, une fois cuit avec l'unité en po- sition finale, constitue un joint étanche aux vapeurs de zinc* Ou bien, si on le désire, on   peutoavrir   mécanique- ment les unités annulaires ,au lieu de lesfaire fendre par des tensions sous l'effet de variations brusques de chaleur ,et remplir les fentes de ciment. Le dernier pas dans cette direction est de construire la cornue bâtie en unités annulaires qui sont elles-mêmes faites de briques en arc de cercle ou leur équivalent, comme cela est repré- senté à la   figé,   4 des dessins. 



   Les avantages que présente la chambre réductrice ver- ticale, bâtie , de l'invention sont nombreux, Le fait;que cet- te chambre n'est supportée qu'en sa base et n'est pas liée autrement dans la structure de four rend possible d'établir une chambre relativement grande et de durée relativement longue capable, plus spécialement lorsque les unités indivi- duelles sont faites de carborundum, d'être   chantée   à de très hautes températures et d'être arrêtée et remise en marche sans être endommagée par des fentes ou autres dé-   fectuosités.   L'usage d'une seule forme simple pour l'édifi- cation de toute la chambre assure la simplicité et le bon marché de la construction.

   Avec des formes simples de ce genre, on peut obtenir une densité ou compacité maximum de la matière résistante à la chaleur, ce qui lui donne une bonne conductibilité thermique . Lorsque la cornue ou chan- 

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 bre bâtie. de l'invnetion, avec sa multiplicité de joints, est chauffée ,de petites tensions, qui sont obligées à se produire, et des différences de dilatation dans différentes parties de la structure, dues à un léger manque 'dunifor- mité dans le chauffage ,ou à de légères différences dans la densité des matières, peuvent être soulagées par fluence du   ciment.ou   remplissage dans les joints* ce qui évite par cela même des fentes, dans la totalité de la chambre,

   qui sont des plus difficiles à éviter dans la période de chauffa ge de n'importe quelle structure résistante à la chaleur  Même après que la structure a atteint de hautes températu- res et que la liaison dans les Joints a fait prise, il est probable qu'une fluence peut se produire dans la liaison      plus facilement qu'elle ne pourrait se produire dans une structure véritablement   monolithique   et, par conséquent, les efforts ou tensions seront toujours soulagés aux hau- tes températures . 



   Bien que la pratique qu'il est préférable d'adopter consiste à faire usage des dispositions les plus simples de formes de briques annulaires., cylindriques ou normales avec joints plats, il peut, dans certaines circonstances, être désirable de s'écarter, légèrement de cette pratique en munissant les unités de joints à languette et rainu- re, ou leur équivalent.. Avec de tels joints, il est impor- tant que les rainures ne soient point trop profondes et qu'une bon jeu soit prévu dedans pour les languettes, Tou- tefois, on ne doit pas perdre de vue que toutes les compli- ' cations de forme de ce genre tendent à retirer aux pièces individuelles de leur solidarité et de leur exactitude quant      à la forme et aux dimensions et à faire qu'elles ne sont pas aussi exemptes de tension et de fêlures ou fentes.

   Ces complications tendent, de plus, à restreindre la fluence, dans la liaison, qui est nécessaire lorsqu'une pièce doit se 

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 mouvoir par rapport à une autre, afin de soulager des efforts ou tensions dans la structure assemblée , Il est entièrement satisfaisant de ne faire usage que de joints plats. 



   En   Résume ,  L'invention comprend : 
1  Une chambre réductrice verticale, chauffée extérieu- rement, pour la réduction de matières zincifères, supportée et liée en son extrémité inférieure seulement et faite d'une multiplicité de pièces de matière résistante à la chaleur, -assemblées avec des joints plats remplis d'une matière qui rend la chambre, dans son ensemble , sensiblement étanche aux vapeurs de zinc, cette chambre pouvant d'ailleurs être caractérisée, en outre, par un ou plusieurs des points suivants ; a)-Les pièces de matière résistante à la chaleur sont faites denses et ou compactes grâce au fait qu'on choisit et proportionne convenablement la grosseur de leur grain et qu'on les forme sous une forte pression et elles sont ensuite séchées et durcies avec un minimum de tensions res- tant dedans ;

   b) Ces pièces sont jointoyées tant horizontalement que verticalement ; c) Les dites pièces sont des briques de formes nor- males telles par exemple que des briques en arc de cercle; d) Les pièces en question sont des unités annulaires superposées, assemblées àjoints plats. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. 2 Un mode de construction d'une cornue verticale "bâ- tie" suivant 1 ,consistant à assembler une pluralité de briques en une unité annulaire, avec joints verticaux rem- plis ; à réduire et comprimer les joints verticaux entre les briques individuelles par des moyens de compression les en- tourant et les tenant, et à poser ces unités annulaires assemblées les unes sur les autres, avec joints horizontaux remplis, tout en laissant en place les moyens de compression en question jusqu'à ce que le poids de la structure super- <Desc/Clms Page number 22> posée soit suffisant POUX tenir les briques individuelles EMI22.1 en position* 1- .L- #-
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