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" perfectionnenes apportée aux systèmes de distribution pour fluides, notammen à ceux à faire comprendre aux mo teurs à quatre temps "
L'invention est relative aux systèmes de distri- bution pour fluides et elle concerne plus spécialement (parce que c'est dans 3,eur cas que son application semble devoir offrir le plue d'intérêt), mais non exclusivement, ceux à faire comprendre aux moteurs à quatre tempe, Bile a pour tout surtout, de permettre une dis tribut ion correcte même pour des très grandes fréquences du rythme de cellci
Bile consiste, principalement -- et en même temps qu'à faire comprendre à la distribution, comme connu, une glace cylindrique de distribution et un boisseau à mouve- ment rotatif uniforme --, d'une part,
à faire comprendre à la glace, par chaque phase ou temps de la distribution, au moine une paire d'ouvertures convenablement espacées sur la périphérie d'une tranche de ladite glace (chacune des tran- ches de la glace étant réservée à des paires de lumières
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servant à un tempe de distribution identique) et, d'autre part, à ménager dans le boisseau pour chacune des susdites paires de lumières une cavité ou un passage correspondant auxdites paires de lumières, ledit passage s'étendant sur une portion suffisante de la périphérie du boisseau pour que le fluide à distribuer puisse passer, aux temps voulus, de l'une à l'autre des lumières des susdites paires de lu-
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mières de la glace, LHwatianfiBe plua partieulieremaj)
sfloajtrTj oe titre de pfeduite iaAuotrie-HNuveaUK les et* en queeaxompeptaHt Remportant agglieatioa -teodits ''ne 6,1 - let urs.
'T&t?e teMp<)t.'7mpjenan't eemblabYee distributeurs
Bile consiste, mise à part cette disposition principale, en certaines autres dispositions qui s'utilisent de préférence en même tempe et dont il sera plus explicite ment parlé ci-après, notamment en une disposition supplé-
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mentaire oonsistani( à donner à l'un, voire à plusieurs des passages établis dans le corps du boisseau des sections d'é ooulement nettement en excès sur la section d'écoulement théoriquement nécessaire, pour le fluide à distribuer, ceci afin que le ou lendits passages puissent recevoir un cer
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tain excès de fluide sous pression arrivant par là lumlêri- située du côté où 1eliddieirtüntinrpeeions la distri- bution étant, en outre,
arrangée pour que cet excès puisse s'évacuer par la lumière située du côté ou la pression du fluide est moindre, ce qui équivaut, en réalité, à un pro- longement du temps de l'évacuation au delà de la durée thé- oriquement maximum dudit temps,
L'invention vise plus particulièrement un certain mode d'application (celui où on Inappliqué aux distributeurs
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de moteurs thermiques du cycle à quatre temps) ainsi que certains modes de réalisation (ceux qui seront décrits ci** après) desdites dispositions;
et elle vise plus particulier
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rement encore, et ce à titre de produite industriels nou- veaux, les distributeurs du genre en question comportant application de ces mêmes dispositions, les éléments spéciaux propres à leur établissement, ainsi que les machines (no- tamment les moteurs à quatre temps) comprenant de sembla** blés distributeurs.
Et elle pourra, de toute façon, être bien compri- se à l'aide du complément de description qui suit;, ainsi que des dessins ci-annexée, lesquels complément et dessine sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication,
La fige 1 de ces dessins montre, moitié en coupe verticale médiane, moitié en élévation, une culasse amovi ble d'un petit moteur à quatre temps, cette culasse xco prenant la glace d'un distributeur rotatif établi conformé- ment à l'invention.
La fig, 2 montre, en coupe horizontale selon 2-2 fig, 1 la même culasse*.
Les fig, 3 et 4 montrent, la première en coupe longitudinale, la seconde en coupe transversale selon 4-4 fig, 3 le boisseau à faire tourner dans la glace de la culasse représentée sur les fig.1 et 2,
La fig, 5,enfin,est une coupe transversale ana- logue à celle représentée sur la fig.
4, d'un boisseau é- tabli selon un autre mode de réalisation de l'invention,
Selon 1*invention., et plus particulièrement selon celui de ses modes d'application ainsi que ceux de ses mo- des de réalisation auxquels il semble qu'il y ait lieu d'ac- corder la préférence, à supposer qu'on veuille établir une culasse amovible de remplacement poux un petit moteur à un cylindre et à quatre tempe déjà existant et refroidi, par exemple par l'air, cette culasse devant être munie d'un distributeur à grande puissance de distribution, on s'y prend comme suit, ou de façon analogue.
On fait comprendre à la culasse amovible 1, comme
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à l'ordinaire, une face interne la (formant* par exemple approximativement une calotte sphérique) appela à limiter la chambre de combustion à son sommet et on ménage dans
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cette face la deux lumières 109 loe disposées de préférence symétriquement par rapport à l'axe de ladite calotte sphé** rique, approximativement suivant un diamètre qui., lorsque ladite calotte sera en place sur le moteur, sera parallèle à l'axe du vilebrequin de ce dernier, la première lumière
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étant destinée à constituer la lumière d* échappement et la seconde la lumière d'aspiration de la chambre de combos- tion,
On fait comporter à la culasse,
perpendiculaire- ment à l'axe de sa calotte sphérique et parallèlement au susdit diamètre., un alésage cylindrique formant une glace lb pour tiroir rotatif dans lequel alésage débouchent les
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susdites lumières 10 et 1e, On fait. en outre, déboucher dans ce même alésage de la glace une lumière d'échappement looo et une lumière d'aspiration' 1..0 , la première lumiap "J JOOG,ayant son axe dane le plan perpendiculaire à l'a- lésage 1b oû se trouve l'axe de la lumière 1.., et étant destinée à être relier au pot d'échappement et la seconde ayant son axe dans le plan perpendiculaire audit alésage ou ee trouve l'axe de la lumière les et étant reliée au carburateur du moteur.
On refroidit la glace 1b de toute façon appropriée, par exemple au moyen d'ailettes, ainsi que le montrent les fig, 1 et 2.
On établit un boisseau cylindrique 2, muni à see deux extrémités de tourillons pour des roulements à billes
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(non représentés),, et on donne gaz oe boisseau un diamètre gaz peine inférieur à celui de l'aleeage de la glace lbs le boisseau devant être soutenu par les roulements à billes maie devant remplir le creux de la glace assez exactement pour que son étanchéité puise* être comparable à celle d'un bon piston, On pratique de telle sorte, dans le corps
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du boisseau 2, deux saignées ou cavités 2 et 200 la première cavité étant destinée à es trouver, une fois le boisseau monté dans la glace, au droit des paires de ujiè res 1 100 et la seconde cavité au droit des lumière.
10 10 que pendant la rotation du boisseau chacune de ces deux saignées mette en relation aux =monte voulus les deux lumières correspondantes. De préférence, on rend la saignée d'échappement 2 (fig. 4) un peu plue longue et plue profonde que la saignée d'aspiration 20 en ayant soin que ces saignées offrent aux fluides à distribuer une section suffisante de passage.
On établit des cages de roulements qu'on fixe sur les tranches externes de la glace 1b et on prévoit aussi des moyens appropriée pour faire tourner le boisseau 2 à la moitié de la vitesse de l'arbre du moteur. On monte la culasse sur le cylindre, en prévoyante en outre, éventuel- lement, des moyens de graissage pour la glace et pour le boisseau* le graissage pouvant être simplement assuré,lors- qu'il s'agit de petite =tours par les particules d'huile entraînées par l'échappement,
Avec une semblable distribution du moteur,on ob tient des avantages nombreux tels que;
On peut faire atteindre au moteur des vitesses angulaires considérables et ce, d'une part, du fait de l'absence de tout mouvement alternatif dans la distribution et, d'autre part, du fait que les voies offertes au gaz sont non seulement très importantes, mais encore dépourvues d'obstacles qui les obligeraient à des changements de di.
Notion entraînant des grosses perlas de charge. Le moteur reste plus froid, étant donné sa grande facilité d'évacua. tion, ce qui est avantageux non seulement pour le graissage mais encore pour la puissance, celle-ci baissant fortement des que le gaz frais se dilate à l'excès dans un moteur qui chauffe.
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Il n'y a plus à se précupper de rattrapage de jeu comme dans les distributions par soupapes, la présente distribution étant essentiellement indéréglable; aussi le moteur peut être confié à de@ mains peu expertes sans qu'il y ait à craindre qu'on ne se trouve amené peu à peu par déréglage dans de mauvaises conditions de marche.
Il n'y a plus à craindre d'à-coupe dans la trans- mission allant de l'arbre moteur à l'arbre de distribution.
Le prix de revient *et peu élevé, Cette distribution peut s'adapter aussi bien à de nouveaux moteurs qu'à la plupart des moteurs existante en coiffant le ou les cylindres du moteur d'une culasse établie conformément à l'invention,
Dans le cas de moteurs à plusieurs cylindres, le même bois- seau pourra servir à la distribution pour tous les cylin dres d'une même rangée.
Et ou bien on se contente de procéder pour la fabrication des culasses glaces et boisseaux plue ou moins selon l'exemple qui vient d'être décrit, ou bien., et mieux, on applique aux boisseaux encore la disposition supplém,en taire suivante.
Au lieu de donner à la section de passage du gas du boisseau des sections plus ou moins comparables à celles dos lumière s de la glacer c'est-à-dire de sections de passa- ge théoriquement suffisantes, on exagère la profondeur de ces saignées, par exemple par une creusure au milieu dessi tes saignées, de façon que celles-ci forment des sortes de poches dont les sections de passage sont en excès plus ou moins important sur les valeurs théoriquement calculées* Le boisseau 3, représenté sur la fig, 5 en montre un exemple, où la poche 3 (poche d'échappement) et la poche 30 (poche d'aspiration) ont été rendues aussi volumineuses que possi- ble en tant qu'y contribue leur profondeur, ces poches pou- vante en outre,
s'étendre vers les deux extrémités du bois- seau au prix de son allongement. De préférence, on n'a re- cours aux passages transformés en poches que pour le passa-
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ge d'échappement. L'effet de la poche d'échappement est de pouvoir emmagasiner une certaine quantité de gaz brûlée pendant le temps où elle communique avec la lumière 1 et évacuer cette quantité par la lumière 1000 même après la fermeture de ladite lumière 1 Ceci équivaut donc à un prolongement du tempe d'évacuation au delà des limites que peut procurer une avance raisonnable à l'échappement. Pour la distribution de gaz trais, donc pour l'aspiration, cette construction à passage-poche a moins d'intérêt, d'une part,
parce que l'évacuation d'une poche d'aspiration dans le cylindre serait contrariée par la compression qui y débute, et d'autre part, du fait qu'une telle poche ralentirait l'effet de la suction du piéton sur le carburateur. On se contentera donc, dans la majorité des cas, d'une poche d'é- chappement rendue volumineuse dont l'avantage reste entier, et peut jouer un rôle considérable dès qu'il s'agit de o tours poussés vers les limites des vitesses angulaires qu'ils peuvent atteindre.
Comme il va de soit 'et comme il ressort d'ail- leurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite au-* cunement à celui de ses modes d'application, non plus qu'à ceux de ses modes de réalisation, ayant plus spécialement été indiquas; elle en embrasée, au contraire, toutes les variantes, notamment : celles où on ferait tourner un boisseau pour moteur à quatre temps à une .vitesse moindre que la demi-vitesse de l'arbre moteur, le nombre des paires de lumières de la gla- ce et des saignées du boisseau étant alors convenablement augmenté, selon un principe d'ailleurs bien connu pour ar- bres à cames et certains boisseaux;
celles où on munirait le boisseau d'un ou de plu- sieurs segments (analogues aux segments de piston pour mieux contrarier le passage des gaz d'une paire de lumières
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à l'aut1'8)v,ir.!dèlégl.tt.s parallèles à l'axe du boisseau
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disposées au voisinage des arêtes des saignées afin d'amé- liorer l'étanchéité entre les paeeages du boisseau et la chambra de combustion du moteur; celles ou on ferait parcourir des canaux ad hoc du boisseau par de 1;
'e de refroidissement, ou par un courant d'air frais, ce dernier pouvant dériver dane certaines ap plications de moteur d'un courant d'air existant de toute façon, par exemple de celui engendré par une hélice miee en mouvement par le moteur (cas possible surtout avec les mo- teurs d'aéroplanes); celle où le canal pour l'air de refroidissement est disposé exactement ou approximativement salon l'axe du boisseau;
celle où l'air sortant du système de canal ou de et*
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naux de refroidissement à air ménagé dans le boisseau est utilisé., par exemple,, pour contribuer à 1 'alimentation en comburant du carburateur, l'utilisation d'un air comburant préalablement chauffé étant utile en bien des cas et sur- tout dans celui où on a recours à des surcompreseeure pour le gavage du moteur; et celles où on 4 ferait application du système de distribution perfectionné à d'autres machines que les mo- teurs à tempe, par exemple aux moteurs à deux temps* aux compresseurs, etc.
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**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.