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'Machine à tarauder les éorous ".
La présente invention concerne, un procédé et une machine pour tarauder des écrous. Elle a; pour objet une machine automatique à production très rapide permettait d'obtenir : la précision la plus complète, le taraudage des écrous à tëte conique ou sphérique avec la même facilité et la même précision que les écrous à tête car- rée, la suppression des ruptures du taraud et de la machine et'par suite la suppression des arrêts dans le fonctionnement de cette dernière, arrêts qui font tomb
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le rendement basé sur la vitesse maximum de la machine.
La description de l'invention fera ressortir d'autres buts ainsi que des buts secondaires.
En somme les buts de l'invention sont atteints grâce à la combinaison efficace d'un mécanisme [du. type à maga- sin) pour l'amenée ae 1'écrou avec un mécanisme 4 charge de régler l'axe de l'écrou. Ces mécanismes sont combinés avec les autres organes de la machinede manière qu'on puis- se obtenir une extrême précision sans sacrifier la vitesse et sans provoquer la rupture des pièces.
Pour parler avec plus de détails, le taraud est monté sur un axe relativement fixe tandis que le magasin à écrous ainsi que le dispositif qui maintient l'écrou travaillé sont supportes devant cet axe fixe de manière qué le dispositif d'alignement chargé de régler l'axe de l'écrou puisse agir
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dans un champ ouv-er 4e Ce dispositif d'alignement est réglé dans le sens de l'axe, par rapport aux parties fixes, grâce auxquelles le taraud a son axe fixé en place, en sorte qu'un écrou une fois aligné a exactement le même axe que le taraud lui-même. On atteint les butsde l'invention dont il vient d'être question, et d'autres
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. encore, en absorbant élastiquement tous les ef- @ forts/de torsion ou de poussée dus au mouvement de la machine.
Dans ces conditions, quand il se produit une résistance quelconque, les différents organes cèdent et évitent ainsi les ruptures de pièces ou des malfaçons dans le taraudage. Plus spécialement, ce moyen comporte l'application d'un dispositif élastique à travers lequel les écrous sont amenés aevant le taraud, et un dispositif élastique qui ramene le taraud en arriere à travers l'ecrou taraudé.
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L'appareil surtout 9out objet l'aPPli-catiOn du. ,// L'appareil a surtout pour objet l'application ebHuaw procédé de l'invention, dont on saisira complètement le/ caractère en étuaiant l'appareil. u'il suffise de dire,
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à ce sujet, que le procédé consiste à amener et a support tar un écrou devan le taraud, à aligner l'écrou avec ce aernier en le supportant de façon que son axe coïncide avec celui du taraud, et enfin à laisser tomber l'écrou, cette dernière phase du procédé étant commandée par la profondeur du taraudage. Cette dernière phase du procédé offre le grand avantage d'assurer l'obtention d'une profon- deur detaraudage uniforme et suffisante dans les types d'ecrons vulgairement appelés écrous à chapeau.
Pour être plus précis, le procédé, lorsqu'il est appliqué à la fabrication d'écrous à chapeau, à surface sphérique ou cunique, consiste a former sur 1'écrou en question une face spnérique et conique et un épaulement (servant a l'alignement de l'écrou) situé dans un plan exactement transversal par.rapport à l'axe du taraudage, à soutenir l'écrou dans sa position d'alignement, à l'aligner en amenant le centre de sa surface sphérique ou conique sur l'axe du taraudage à amener son épaulement d'aligne- ment transversal perpendiculaire sur l'axe du taraudage, a tarauder l'écrou d'une facn/élastique dans la position en question, et a laisser l'écrou s'éloigner du taraud après chaque opération de taraudage,
quelle que soit la profondeur atteinte tout en maintenant l'écrou aans sa position de taraudage tant que le taraud n'a pas atteint la profondeur désirée. On saisira d'autres pha- ses du procédé en étudiant complètement l'invention.
Sur le dessin :
La figure 1 est une vue en élévation latérale de la Machine;
La figure 2 est une vue en plan par-dessus;
La figure 3 est une coupe verticale longitudinale;
La figure 4 est une coupe horizontale faite sensible- ment suivant la ligne 4-4 de la figure 5 ;
La figure 5 est une vue en élévation de la partie du mécanisme représentée sur la figure 4;
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la figure 6 est une coupe verticale transversale faite sensiblement suivant la ligne 6-6 de la figure 7;
La figure 7 est une coupe verticale longitudinale
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de la partie ne latnachine qui est représentée en coupe sur la figure 6;
La figure b est une coupe transversale faite
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seilsiolement suivant la ligne 8-8 ae la figure 1; la ligure 9 est une vue en plan de la came etde son poussoir.
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La machine est montée sur un bâti 10 qui peut être P fixé d'aplomb .par un moyen non figuré) sur l "arqu-et ou
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sur un soubassement Quelconque. A son extrémité hnt8- neure la ,machine porte, dans une position élevée, un auget 11 qui contient le liquide (huile ou autre) dont on les écrous pendant lu marche de la mcMne . 7:,'ex. f lirêmilié ost8rieure uu bâti située derrière cet auget présente un epaulerierit sur lequel est boulonné un socle 12 qui supporte le ..ecanisrue d'entraînement et affecte,'
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zur seil-loiement la forme d'un "-y", Des paliers longitudinaux 13 et 14 disposés dans 11r les extrémités des branches opposées du support en "y"
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supportent l'arbre principal 15 de la machine par 1'mex- Ji10CUç,,ll'e d'une série ae manchons que l'on va uecrire main- tenant.
Dans l'extrémité extérieure de cet arbre princi- pal 15 est logé un mandrin 16 dont l'axe est maintenu dans le prolongement de celui du taraud 17. Ce mandrin peut être d'un type quelconque permettant l'enlèvement facile
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du taraud.. Cette extrémité axe l'arbre tourne dans .le manchon 18 qui ne peut tourner dans le palier 14 grâce à une vise 19 qui traverse le corps au palier et dont l'ex-
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trémité postérieure dépasse le palier. Sur 1'extl'ër.Ji... té postérieure de l'arbre peut tourner une poulie de transmission 20 dont le sens de rotation est indiqué
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par la flèche de la figure Zt sur l*extrémité opposée de 1tara bre 15 est claveté un manchon 81 qui tourne avec ltarbre.
Le manchon SI à son tour, tourne dans un manchon 22 qui, de mê- me que le manchon 18, est ajusté à 1* intérieur du palier 13 et ne peut tourner dans ce dernier à cause de la vis 23.
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L'extrémité antérieure du manchon 21 se prolonge vers l*avant² Sur ce prolongement est montée, de manière à pouvoir tourner,
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une poulie de transmission 24 qtt1ttne courroie (non figurée) entraîne constamment en sens inverse de la poulie 20, ainsi que le montre la flèche de la figure 2.
Les poulies 20 et 24 peuvent être entraînées par un moteur convenable quelconque plage au-dessus de la machine ou supporté par cette derniè- re dans un endroit appropriée par exemple à l'intérieur de la
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partie inférieure du bâti 10 L'extrémité antérieure du.man chon 21 se prolonge également en avant et au-delà de lf extré- mité antérieure du manchon Z2 mais sans aller,jusqutà i.'extré- mité voisine du manohon 18* Sur 1* extrémité du manchon 2J.
est clavetée* au moyen atun dispositif 25, une poulie deemq brayage conique intérieure 26* Oette poulie 26 présente,, sur sa percher io des g surfaces d'tembrayage coniques 27 et 8, Les poulies de transmission 20 et 24 présentent sur la fa- ce interne de leur jante des surfaces d'embrayage oomplémen-. taires 29 et 30 respectivement* Le mécanisme est organisé de
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manière que,, si 1 Organe d soaou.piement 26 est poussé vers ltarrière de la machine* atest-à-dire vers la gauche du dessin
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ceiltle les surfaces dtembrayage 28 et 30 s ltune sur itau.
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tre> et l'arbre .5 ainsi que , le taraud 17.
sont entraînés à droite,, en regardant le tarauda quand la poulie 26 est dépla- oée vers lavant le frottement des surfaces bzz et 29 entraîne le taraud à gauche* On fait passer la poulie 26 de lfâne à l*autre des positions en question en déplaçant ltarbre 15" Pour faciliter ce déplacement* larbre porte un épaulement 31 qui sappuie sur le moyeu de la poulie mobile 26 :à son'tour le manchon 21. disposé sur l'autre extrémité de l'arbre est
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pourvu dtun épaulement 32 qui peut BeaPPUI.;6r aontre la face opposée de la poulie 36.
Grâce à cette disposition,. quand Ifar- bre 15 est poussé vers l'arrière. la poulie 26 eabraye en vue dtun mouvement à droite tandis que, si 1 Marbre est entraîne vers l'avant par son extrémité antérieure avec le manchon
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21,. 1tépaulement 32 déplace vers l'avant la poulie dxaooouple ment 26 de manière à entraîner le taraud à gauche, On va maintenant décrire le dispositif qui permet à l'arbre d*entraîner le manchon 21.
A intérieur de lauget 11 le mécanisme qui amène l'éorou est monté sur un soole 33 boulonné au fond de
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leauget. 8e mécanisme comprend un ohar#iot 34 à meuvent longi- tudinal de va-et-vient réunie au soole 33 par un assemblage à queue dtharonde 35, Ce chariot reçoit un mouvement de va-et.
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vient continu a1 une oame 36 logée dans le oopps du Mis socle 33. Cette came est en oontaqt avec un poussoir 37 réuni à la tête 34 au moyen d'un goujon 38. La came et le goujon sont vus en plan sur la figure 9. La came 36 est montée sur un arbre à came vertical 39 entraîné par une roue hélicoïdale 40, entrai née elle-même par Marbre longitudinal latéral 41.
Ce derè nier est supporté par des paliers convenablement disposés sur le coté de la machine, et est entraîné par une courroie
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(non figurée) qui passe sur la poulie de transmission 42. Sitar-
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,g e, - ,. é": ê bre 41 est réuni à la poulie de transmission 42 par oae
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qui lui pernat de se déplacer long i tnd inalement fl f intérieur de cette poulie 42.
Celle -ai est maintenue dans une position fixe par rapport au soole 12. de toute manière convenable, par exemple au moyen de colliers de retenue, A son extrémité anté- rieure Marbre 41 est maintenu contre tout mouvement longitude nal par rapport au socle 33 qui le supporte, au moyen de col- liers 43 et 44 disposés aux extrémités extérieures des paliers de l'arbre, ensemble du socle 33 peut glisser sur la plaque
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45 à coulisse en queue d t'hironde(jt par intermédiaire de laque'.. le il est boulonné sur le fond de auget.. Une vis 46. vue -
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dans la base 47 du soole 33 est reliée au moyen drun émeril- lon 48 à la paroi de l'auget 11.
Cette vis est pourvue d'une tête/carrée 49 qui permet de la faire tourner ce qui a pour effet de déplacer vers Savant le soole 33 ainsi que tous les mécanismes reliés à ce dernier et couvrir librement et com- plètement laccès du taraud 17 et du mandrin 16.
L'extrémité postérieure du coulisseau 34 présente une surface verticale ramenée 50 et un prolongement vertical 51 portant des bras fourchus 52 espaces radialement et faisant saillie vers l'intérieur. Sur la tête du coulisseau sont fixées deux colonnes 53 dont les extrémités supérieures supportent un pont 54.
Ces colonnes sont disposées verticale- ment et laissent entre elles une certaine distance transversa- le, Un magasin à éorous 55 est suspendu au pont 54 au moyen de la vis centrale 56 de manière à pouvoir osciller, La vis 56 présente une tête moletée, une'tige avec épaulèrent, travers sant le corps du pont, et une extrémité filetée pénétrant dans un support 57,lequel à son tour,, est fixé par des boulons 58 au corps du magasin 55.. lie magasin 55 se trouve ainsi suspens du à la vis 56 et peut, dans la zone d'action du taraud 17, recevoir un déplacement latéral transversal qui dépend de la différence existant entre sa largeur et la distance qui sépare les faces internes des bras 52.
Le magasin 55 en question comprend une plaque 59 quen constitue la partie principale et deux rails d'alignement60 en acier trempé boulonnés ou vis- sés sur la face interne de la plaque 59. Dans la face interne de la plaque 59 est ménagée une rainure 61 Figure 8) dont la profondeur est sensiblement égala à celle de la tâte sphérique ou conique 62 de l'écrou. et dont la largeur est sensiblement plus grande que le diamètre de la face de ce même écrou, Les rails de guidage 60 dépassent les bords de la rainure, symé-
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triquement par rapport au plan de symétrie de la machine (dé- 14 signée par 63) ;
sa sont séparés ltun de loutre par une dis- tance sensiblement égale à la dimension transversale 64 @
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têtes de irécrou, Grâce à ce dispositif,* les éorous glissent dans le magasin à partir du sommet de ce dernier et descen- dent en glissant, leurs extrémités antérieures touchant sensi-
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blement le fond de la rainure tandis que leurs pana dîamètra- le Lient opposées 64 sont en contact avec les rails de guidage 60,
Ces derniers présentent des dimensions et un alignement exacts Les ruils dont les bords sont en contact avec les pans
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sont également en contact par leurs côtés 65 avec 1'épaulemeAt plan transversal formé sur Itècrou entre la surface sphérique ou conique'62 et les pans 64 Si ltépaulement 66 de ltécron est appuyé avec force contre les faces soigneusement usinées 65,,
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Itaxe de Itécrou sera parallèle à l*axe du taraud 17 puisque les faces 65 sont situées dans un plan rigoureusement perpen- diculaire sur l'axe du taraud 17, L'extrémité inférieure du magasin 55 est pourvue drun support 67 (figures 3 et 7) fixé au corps du magasin de la même manière que le support 57. Les
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deux supports57 et 67 ont leurs faoes,,extérieures exactement parallèles entre elles et parallèles aux faces 65 des rails de guidage 60.
Ces faces supputent contre la face du pont support
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54 qui est usinée de la neume manière et contre la face 50 du coulisseau 34x les dimensions relatives de ces pièces étant déterminées de manière que le plan de la faoe à Malignement 65 soit rigoureusement transversal* A son extrémité inférieure le magasin est maintenu contre tout déplacement tendant à l'é-
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carter dans le sens de ltaxe, de sa position règlée transversal le ment,,, par des blocs de retenue 68 fixés dune manière amovible sur les extrémités extérieures des fourohes 52.
A l*extrémité inférieure du magasin 55 la partie 59 de ce dernier est pourvue d'un orifice 69 de forme sensiblement circulaire qui entoure
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lraxe 70 de la machine comme le montr&cla1rement les figures 6 et 7, Le taraud 17 peut traverser 1''orifice en question pour travailler un écrou maintenu à 1''intérieur du magasin. Les écrous ne peuvent pas tomber du fond du magasin et sont succes- sivement libérés grâce à un mécanisme de déclic comprenant le
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groupe d'organes représentés sur les figures 4 et 5
71 désigne un déclic monté sur un pivot 72 dans une rainure 73 ménagée dans le prolongement 74 (situé
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à gauche en regardant de Zravar.t lequel fait partie drune paire de prolongements 74 et 75 partant du coulisseau 34 vers
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le bas.
Ce déclic est pourvu dtun "bee 76 qui peut être placé à l'aplomb des faces sphériques et ooniques62 de la série d'é- crous contenue dans le magasin 55, de manière à retenir (grâce
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à son contact avec la face de ltdorou le plus bas) toute la série des écrous '(figures , 6 et 7) et,64emp cher ces derniers d'être entraînés par leur propre poids à travers 1*" extrémité inférieure du support 55, laquelle est ouverte,. Le déclic 71 peut être écarté de cette position,, vers ltextérieur. au moyen d'un ressort 77 qui porte du même coté du pivot 72 que le bec
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76, ):a1s il se trouve normalement maintenu par la gâchette 78 dans la position dans laquelle le bec 76 retient les écrous.
La gâchette 78 est montée sur un pivot 79 disposé dans une rainure 80 du châssis* et son extrémité antérieure avance au-
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delà de lrextrémité du doigt 71 qui porte on épaulement de sor- te que la gâchette ne peut pas être déplacée vers 1'intérieurj. au-delà de ltextrémité portant un épaulement* sous Inaction de son ressort de retenue 81" qui.comme le ressort z est logé dans le châssis 74, A son extrémité interne la gâchette est pour..
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vue dtune saillie latérale 82 située sur le trajet du o6té infé- rieur de la tête 83 d'une vis micrométrique réglable 84 vissée dans le côté faiÈiK fixe 85 du socle 33. Une vis dtarrét 86 maintient réglée la vis 84.
Chaque fois que le coulisseau 34 est
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déplacé vers carrière a*une distance suffisante pour que la tetevtouche la saillie des la ggoliette '8 le déolio est aéolan-
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chié et le bec 76 est écarté du chemin suivi par les éoroua dans le magasin, et lidorou le plus bas au moins peut tomber On re marquera que cette libération de ltéorou seffeotue d'une rianiè- re sensiblement instantanée, dans un intervalle de temps suffis samment petit pour que la pessanteur fasse avancer égalemeent tor
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tes les parties de l'écrou et que ce dernier tombe librement
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de 1''extrémité inférieure du magasin ëjs '1a' chute des tt!<.ee/MM eille écrouwinférieurs est empêchée car,,
-/lorsque le ooulisseau ou
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téte 4 se déplace vers l'intérieure le taraud 17 stengage dans le second écrou de la série à partir du fond., Quand la tê-
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te 34 se déplace vers 1''extérieur le taraud sort de Irécrou dans lequel il est engagé,, mais avant qu'il soit complètement sorti,, le déclic 71 est ramené en place sur la gâchette 68 par la poussée exercée sur son extrémité extérieure 86 par une tige de rappel 87. Celle-ci est logée dans le oôté 85 du socle 33 au-dessous de la vis de contact 84, et est poussée élas tiquement, sans son support,,par un ressort à boudin 88.
De cet-
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te façon, quand le taraud 17 est complètement sorti de 1< écrou travaillé, ce dernier tombe au point le plus bas du vide limité par le bec 76 du déclic et les autres écrous du magasin le sui-
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vent; l'écrou suivant vient alors occuper sa position de tra- vail dans l'axe de la machine,S la tête 34, dans son mouvement
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1,1:;
e vers 1 arrière venait âesTson point d'arrêt normal après
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la mise en place du déclic 76, ue choc serait absorbé par la bairre de rappel 8'7 élastique# le mouvement du bec 76 au-delà de la position qu'il doit occuper sur la ligne des faces sphérique 61 des écrous, étant empêché par la butée du corps 89 du déclic contre la paroi 90 de la cavité 73 dans laquelle le déclic est monté
Malignement de léorou. à tarauder est assu-
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ré t par le contacta avec sa face spérique ou conique got, des trois doigts 91 du mors de fixation et Malignement 92, lesquels sont disposés concentriquement,, Ce mors qui entoure le taraud 17 est supporté, entre le mandrin 16 et lextrémité inférieure
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du magasin 55,,
par deux tiges d1a11gnement 93 montées dans des chemins 94 situées sur l'avant du socle 18 parallèlement à !ta- xe 70 de la machine, de manière que les doigts 91 soient situés
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sur une circonférence ayant son centra sur 1'axe en question,
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.35'/ 1< - - - - .
Les doigts 91 sont formes sur une bague 9* en acier trempa
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fixée au centre du mors 92. tes extrémités des doigts qui saisissent Itécrou sont des portions dtun cône dont ltaxe obincide avec l'axe 70 de la maohine et dont couverture est déterminée de manière que la surface de contact soit tangene. te à la tête sphérique ou conique 62, la ligne de contact étant une circonférence située entre les bords antérieurs et postérieurs de la zone de la face sphérique ou conique 62.
Dans
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ces conditions, quand le mors désalignement 92 et la tgte d'a- limentation 34 s*approchent Iowa de l'autre, Malignement est assuré par les trois doigts 91 et le centre de la face sphé- rique 62 se trouve immédiatement placé sur . 'axe 70 de la ma. chine de plus,, sous l*effet dt=e pression supplémentaire* l'épaulement 66 vient porter contre les surfaces alignement exactement transversales 65 des rails du magasin et laxe de
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lrécrou coïncide alors avec l'axe 70 de la machine,, lequel est le même que l'axe du taraud 17. Tant que les pièces dont il
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vient dtgtre question restent appuyées'les unes contre les au-
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tres. l'alignement est conserve d'une manière effective.
Et cet alignemen4-.Y-I%n dépit de la torsion exercée sur 1'éorou par le tarauda caries forces qui assurent Malignement sont appli-
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quées concent iquement et la rotation de l'écrou est empêchée par le contact des rails 60 aveo les pans 64,, Le mors 92 ohargé a* aligner et de mainte nir Itécrou est normalement maintenu lui-'même dtune manière élas- tique dans sa position dalignement et de tenue (représentée particulièrement sur la figure 1) par des ressorts 96.
Ces der niers exercent une pression sur le mors par 1*'intermédiaire de poussoirs 97 qui traversent des oreilles 98 disposées sur les côtés du mors,, Les ressorts 96 sont emprisonnés entre les oreil- les 98 et les écrous de réglage 99 grâce auxquels on peut rè-
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lier la tension qui assure la tenue et Malignement de 7.ré,crou ,le mors 92 est maintenu dans cette position pendant tout le mou- vement de la tête 34 sauf à la fin de la course de retour de ceti
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dernière lorsque le taraud 17 est complètement sorti de l'é- crou à travailler.
A oe moment les extrémités postérieures des poussoirs 97 viennent en contact avec les extrémités antérieures de doigts réglables 100 qui affectent la forme de boulons vissés dans des blocs 101 situés sur le soole fi- xe/33 de la machine, En règlant les doigts en question on peut déterminer l'instant où le mécanisme de tenue et d'aligne- ment se trouvera libéré. Jusque ce moment là l'écrou même dégagé du taraud 17. ne peut pas tomber dans sa position la plus basse sur le déclic 76.
Le déplacement élastique de la tête 34 vers l'intérieur est provoqué par un ressort à boudin 102 disposé dans un logement 103 ménagé dans l'axe 70 de la ma- chine, La tension du ressort peut être règlée au moyen dtune vis de règlage 105 dont la tête 104 stappuie sur l'extré- mité externe du ressorte La vis de réglage 105 est vissée dans un bras support 106, lequel est lui-même fixé sur la paroi extérieure du socle 33,. La came 36, dont la forme et la disposition sont représentées sur la figure 9, déplace d'une manière positive la tête 34 seulement dans la course de cette dernière vers lextérieur de manière à permettre son déplacement vers l'intérieur par le ressort 103; l'écrou à tarauder se trouve présenté drune façon élastique à l'action du taraud.
Grâce à cette disposition* la poussée vers l'exté- rieur et vers l'arrière exercée sur l'extrémité de larbre 15,, (poussée qui a pour résultat d'embrayer la poulie de feras. transmission 24 de manière à aotionner le taraud et à permet tre à ce dernier d'accomplir son travail) se trouve être une poussée élastique qui permet au taraud de pénétrer dans l'écrou à une vitesse qui dépend de la façon dont il mord, vitesse qui dépend par conséquent du pas des filets taraudés En outre si le taraud vient à éprouver une résistance intem- pestive,, les surfaces d'embrayage 28,,, 30 du dispositif d'em- brayage glissent l'une sur ltautre sous la pression élasti-
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que du ressort 102 et les pièces ne sont ni déplacées.
ni tordues ni brisées,
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pendant la course de la tête 34 vers 1'ex- térieur le taraud, qutil ait atteint ou non le fond de l'écrou sous 1''effet de la force élastique qui lui est appliquée* se trouve entraxe vers l'extérieur avec la tête 34, Sur lrextré4 mité arrière de l'arbre 15 est fixé un collier 1061* Un res- sort 107 est emprisonné entre ce collier et Itextrémité posté- rieure du manchon 1,, uand l'arbre est entraîné vers 1texté rieur le ressort 107 se trouve comprime et appuie lui-même drune manière élastique sur le manchon 21 et sur lfiorgane dvac. complément 26 qui se dégage de la poulie de transmission 24.
Sous l'effet dune pression élastique supplémentaire la pou-
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lie a. accoup7.ecent 26 embraye avec la poulie 20 (qui tourne en sens inverse de la poulie 24) grâce au frottement des sur-
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faces 87 et 29. le taraud 17 tourne en sens inverse, Le taraud
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se dégage de léarou taraudé en même tempsque la téte 34 stêcarte elle-même vers l*avant* La vitesse du retrait du taraud dépend entièrement du pas des filets de vis et de la résistant ce rencontrée* En effet les surfaces dtacoouplement 7a, 29 sont appuyées l'une sur l'autre d'aune manière élastique par la pres- sion du ressort 107.
Dans ces conditions ni des règlages mal faits,, ni des dimensions impropres de pièces* ni aucune autre
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ce4td,v' cause ne peuvent des avaries dans la machine ni dans la pièce travaillée au cours de opération de retrait du ta-
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raud,
Selon que le taraud a atteint la profon-
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deur voulue ou nta pas atteint cette profondeur ltdorou tra- vaillé est libéré pour faire place à un autre ou se trouve soumis à un travail répété jusqutà. ce que le taraudage ait atteint la profondeur voulue* Inapplication de cette partie
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du procédé se fait en réglant la vis mécrométrique 83 de ma- nière qutelle puisse aeoroher la gâchette 78 et ltabandonner seulement quand la tête 34 a été déplacée vers 1* intérieur
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par la pression élastique du ressort 102. assez loin pour amener le taraud 17 exactement à la profondeur voulue, Quand ce règlage est effectue, la gâchette ne se trouve pas libérée tant que la profondeur en question n'a pas été atteinte..
Cet- te profondeur ne peut être atteinte que lorsque le taraud n'a pas éprouvé de résistance imputable à la qualité de la
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matière de l'écrou à l'émoussement du tarauda à la présence de KBpHKax copeaux ou à tout autre cause, Tant qu'il existe une résistance suffisante pour empêcher le taraud datteindre la profondeur voulue, ltopération de taraudage se trouve ré- pétée et l'outil finit par atteindre la profondeur désirée.
La gâchette 78 est alors immédiatement libérée et, pendant que l'écrou travaillé est encore complètement engagé sur le
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taraud féorou le plus bas se trouva instantanément abandonné et tombe librement de la machine Ensuite,, quand le taraud est dégagé de léorou achevé, grâce au mouvement de la tête vers l'extérieur, ltéorou en question vient occuper la posi-
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tion inférieure limitée par le de4et déclic de rappel 7 et lrécrou suivant de la série vient occuper la position de tra- vail,.
La libération précise et instantanée de ltéorou sempé- che efficacement tout mauvais fonctionnement du mécanisme libérateur qui pourrait être dû à Ifîrrégalaritê de la surfa- ce de la pièce à travailler,
Il est bien entendu que la disposition et
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le mécanisme représentés ne l'ont été qu'à titre dtexemple,é et que L'on peut imaginer dautres dispositions et mécanismes constituant également des modes de réalisation del'invention.