BE1021180B1 - Piece evidee de vegetal, en particulier de pomme de terre, et son evidoir - Google Patents

Abstract

Pièce évidée de végétal, en particulier de pomme de terre, et son évidoir Le creuse pomme de terre est un ustensile simple et donc peu onéreux, facile à manier, permettant de creuser les pommes de terre. L'ustensile est composé d'une tige de forme allongée à section transversale circulaire dans toute sa longueur, l'une des extrémités de la tige étant inclinée suivant un angle obtus par rapport au reste de la tige et étant d'une longueur suffisante pour servir de manche pour une rotation manuelle de l'ustensile autour de l'axe longitudinal de la portion restante de la tige. Une vis hélicoïdale est attachée à la partie restante de la tige pour guider le mouvement de l'ustensile suivant une trajectoire hélicoïdale sur la pomme de terre, un élément à anneau étant muni d'une arête coupante attachée à la partie restante de la tige à l'extrémité de l'élément à vis à côté de la partie inclinée de la tige, l'axe de l'élément à anneau suivant plus ou moins le sens de la trajectoire hélicoïdale définie par l'élément à vis de telle sorte que pendant le mouvement de l'ustensile dans la pomme de terre, l'élément à anneau découpe dans celle-ci un noyau que l'on peut ensuite retirer.

Description

Pièce évidée de végétal, en particulier de pomme de terre, et son évidoir

Cette invention se rapporte à une pièce de végétal à évider, en particulier de plante à tubercule, plus particulièrement pomme de terre, d’allure allongée s’étirant le long d’un axe.

De tels éléments existent certes, comme celui bien connu, consistant en la fameuse frite à cuire définie comme un bâtonnet de pomme de terre présentant la forme traditionnelle en prismatique à section carrée, rectangulaire ou trapézoïdale. La forme peut varier en grosseur, allant de la pomme allumette plutôt fine à la grosse frite.

Elle peut être confectionnée à la main ou au moyen d’un gabarit dénommé coupe-frite et présente généralement des arêtes vives, qui ont l’inconvénient de cuire davantage que les zones non angulaires, voire même de brûler à la cuisson, ce qui est contrindiqué pour la santé. À l’origine, la forme proprement dite ne variait pas tant, étant généralement monobloc ou massive et compacte. La gastronomie étant devenue un art à part entière, avec ce que cela implique en créativité toujours plus poussée, on a tenté de proposer quelques variations de forme telle que la frite hexagonale, comme décrite notamment dans la publication EP 0478042-A. Elle revêt une forme toujours aussi compacte et massive tout en présentant les arêtes vives précitées, alors qu’on cherche à les éviter au vu des inconvénients susmentionnés. L’invention a pour but de pallier aux inconvénients précités tout en offrant une nouvelle variété de produit créative à forte valeur ajoutée tant esthétiquement parlant que d’un point de vue technique au regard de la diététique et plus généralement de la santé.

Ainsi, il est proposé suivant l’invention un produit semi-fini du type ci-dessus qui est remarquable en ce qu’il présente une section transversale au contour continu en arrondi en étant dépourvu d’angle sur son pourtour. La pièce dans son ensemble étant ainsi dépourvue d’arêtes vives sur toute sa surface d’enveloppe, de façon à permettre une cuisson homogène de celui-ci. Le produit semi-fini ainsi fourni grâce à l’invention consiste en une carotte évidée constituant une pièce de végétal à tubercule de type pomme de2 terre qu’on obtient en la retirant par extraction du corps de la pomme de terre. Le produit ainsi obtenu consiste en une frite à cuire en forme de spirale, qu’on peut mettre à cuire comme on le ferait avec une frite habituelle, certes avec plus d’attention compte tenu de sa structure désossée, et donc déraidie. Il s’agit dès lors d’un produit semi-fini, étant non cuit, de section essentiellement lisse.

Selon un mode de réalisation avantageux de la frite de l’invention, sa section est circulaire ne présentant dès lors aucune arête vive, contrairement aux frites traditionnelles qui possèdent la forme rectangulaire bien connue. Il en résulte une cuisson parfaitement homogène d’une telle frite, qui est dépourvue de zones plus exposées telles que les arêtes précitées rendant la cuisson beaucoup plus saine.

Ainsi, la frite spiroïdale proposée suivant l’invention présente de nombreux avantages. Tout d’abord, elle ne présente aucune arête vive, contrairement à la frite classique qui en a généralement quatre. Elle ne présentera donc aucun bord brûlé, étant dès lors plus saine et digeste, notamment pour les enfants ou les personnes âgées ou délicates. Elles gardent une saveur maximale en préservant le goût de la pomme de terre authentique, grâce à une cuisson mieux contrôlée. La graisse de friture n’adhère pas à l’élément car la frite est en spirale à section ronde de sorte que l’huile n’a aucun point d’accrochage à cette surface lissée. Une telle frite est donc particulièrement légère et digeste, se digérant mieux que la frite traditionnelle.

Suivant un mode alternatif de réalisation du produit selon l’invention, l’élément consiste en un long ruban de section généralement plutôt aplatie. Dans ce cas, la section présente avantageusement une allure plutôt rectangulaire dont les coins sont de préférence arrondis.

Cette invention se rapporte également à un évidoir pour confectionner de telles frites essentiellement de pomme de terre en forme torsadée s’agissant d’un dispositif d’évidement consistant en un ustensile manuel pour évider les pommes de terre ou analogues, tels que navet, et courgettes, comprenant une tige allongée pouvant avantageusement être coudée selon un angle obtus. Il est utilisé pour enlever une part intérieure, notamment centrale de la pomme de terre. Ensuite, une fois le cœur du végétal enlevé, il en résulte une portion évidée qui peut être farcie par un produit à base de viande. La pomme de terre évidée peut, à son tour, être cuite de différentes façons : à la friture, à la poêle ou encore bouillie, afin de le consommer également. Grâce au dispositif selon l’invention, il n’y a donc globalement aucune perte avec le conditionnement proposé

Certes, un dispositif du type ci-dessus est connu du document KR20090002367U divulguant un tel dispositif permettant d’obtenir un élément à cuire de type analogue, mais il est différent à plus d’un titre. Toutefois, le dispositif à évider divulgué est nettement plus encombrant et la plaque de support incorporée sur laquelle repose l’évidoir creuse-pomme de terre consistant en un dispositif à manivelle y est présenté comme un avantage de nature à améliorer la stabilité de l’ensemble. Avec la présente invention en revanche, c’est beaucoup plus la maniabilité qui est privilégiée, en association avec une extrême simplicité et un très faible encombrement. Ceci est hautement appréciable dans les espaces souvent plus réduits caractérisant les cuisines pouvant être beaucoup plus petites, comme dans les studios où il y a très peu de surface disponible.

Le produit finalement obtenu grâce à la mise en oeuvre de l’ustensile précité se compose de la carotte précitée constituant l’autre partie de la pomme de terre qu’on obtient en retirant l’ustensile du corps évidé de la pomme de terre, d’une part, et du végétal évidé, d’autre part. Le produit final obtenu consiste dès lors en une frite à cuire en forme de spirale, de section essentiellement circulaire correspondant à la forme de l’anneau tranchant de coupe de l’ustensile permettant d’évider les pommes de terre. L’ustensile manuel selon l’invention comprend une tige allongée dont les dimensions transversales ne sont pas uniformes sur toute sa longueur étant évasée vers une extrémité, mais dont la coupe transversale est circulaire. Il a donc une première extrémité et une seconde extrémité opposée, qui est inclinée par rapport à la partie restante de la tige suivant un angle obtus. Avantageusement, un enroulement à vis hélicoïdale est prévu sur au moins une partie de la tige dans sa partie comprise entre son extrémité libre et la fixation de l’anneau sur ladite tige. A une certaine hauteur de ladite tige d’évidement, notamment à mi-hauteur environ de celle-ci, est prévu un petit anneau appliqué sur la tige selon un plan incliné par rapport à ladite tige. L’anneau précité présente au moins un côté tranchant à hauteur du bord d’attaque notamment. L’anneau présente de préférence un diamètre d’environ 1 cm. Il a un axe qui est incliné par rapport à l’axe longitudinal de ladite tige. Cet anneau est situé sur le côté adjacent de la première extrémité et présente un bord tranchant.

En variante, l’élément de coupe peut être agencé en anneau à section d’allure 2 rectangulaire comme montré sur la figure à angle arrondie.

Son extrémité coudée sert de manche par lequel l’ustensile est mis en mouvement dans le végétal à creuser, notamment une pomme de terre. De plus, l’extrémité élargie de la tige est d’une longueur suffisante pour que cette partie puisse être saisie et tenue en main par l’utilisateur de manière à ce que cette partie puisse servir de manche pour la rotation manuelle de l’ustensile autour d’un axe longitudinal de la partie restante de la tige.

En outre, le manche peut consister en un manchon agencé par-dessus la partie de préhension de l’ustensile pouvant être réalisé en un matériau antidérapant tel que caoutchouc et/ou configuré avantageusement de façon à éviter le plus possible le glissement de la main au moment de l’introduction de la tige dans la pomme de terre à évider, plus particulièrement lorsqu’on pousse l’ustensile en le tournant dans la pomme de terre, c’est-à-dire en le vissant, et puis en le retirant selon un mouvement inverse. Ce profilé peut consister par exemple en une mise en relief adaptée dudit manche selon un profil alterné de creux et de crêtes adapté à la main.

Ainsi, le manche présente avantageusement un profil ergonomique pour manier l’ustensile en commandant l’autre partie de la tige servant au creusement et à l’évidement de la pomme de terre dont le profil est généralement droit et cylindrique. A titre de variante supplémentaire, l’élément de préhension est surmonté d’une bague ou œillet annulaire dimensionné de façon à pouvoir y introduire un doigt pour commander un mouvement rotatif permettant d’actionner le dispositif destiné à confectionner des Chatouillard, ou pommes Chatouillard.

En outre, cette invention se rapporte encore à un procédé de mise en œuvre de l’évidoir ci-dessus tel que défini dans les sous-revendications y afférentes, permettant de réaliser une frite spirale à la fois, le cas échéant deux, s’agissant d’un outil manuel, le processus étant parfaitement reproductible sans besoin pour obtenir cela d’avoir recours à un appareillage compliqué ou encombrant. Certes, le vissage et le dévissage de l’outil prend plus de temps par rapport à un simple couteau de cuisine qui permet de trancher la pomme de terre plus rapidement. Toutefois, le produit ainsi obtenu est tellement plus sophistiqué, tout en étant nettement plus sain après cuisson. Et cela grâce à sa forme particulière, non seulement en étant dépourvue d’arêtes de par sa forme rigoureusement continue et parfaitement lisse, mais également de par sa structure découpée à l’extrême lui conférant une allure très aérée. En effet, la pièce est vide au centre tel un élémerâP désossé sans noyau, dépourvu de son âme centrale conférant la rigidité, procurant ainsi une extrême souplesse à comme pour un ressort dont les formes respectives sont complètement analogues. Ceci est à l’opposé de la forme compacte et massive de la frite classique, ce qui permet une cuisson plus rapide, grâce à la surface de contact très nettement supérieure de la torsade par rapport à la frite de type bâtonnet traditionnelle dans laquelle s’inscrit la spirale cylindrique correspondante. Une telle cuisson ainsi abrégée permet de mieux préserver les qualités nutritives du végétal, notamment ses vitamines.

De plus, grâce à sa forme découpée, la frite désarticulée selon l’invention offre, en étant ainsi déraidie, une grande légèreté structurelle lors de sa mise en bouche conférant une impression agréable à la dégustation, qui est encore renforcée par la structure spiralée possédant par nature une certaine élasticité procurant un effet ressort associée à une grande souplesse tous azimuts, hors de l’axe, ce qui augmente encore la particularité surprenante de la sensation buccale. L’ustensile peut être réalisé avantageusement en métal, notamment en acier inoxydable.

Il peut toutefois également être réalisé en d’autres matériaux tels que 1 matière plastique renforcée auquel cas il peut être moulé par injection, voire même en matériau céramique du type utilisé actuellement pour la confection de couteaux et autres objets tranchants.

Afin que cette invention puisse être clairement mieux comprise et mise en application, elle est décrite ci-après plus en détail au moyen d’un exemple de réalisation avec référence aux dessins annexés dans lesquels la fig. 1 montre un élément suivant l’invention individuel à l’état comprimé.

La fig. 2 représente une vue analogue de l’élément suivant l’invention selon la fig. 1 mais à l’état ouvert, c’est-à-dire étiré.

La fig. 3 représente plusieurs éléments suivant les figures précédentes dans un état mutuellement entrelacé dans un agencement suivant l’invention.

La fig. 4 représente une phase essentielle du procédé d’obtention de l’élément suivant l’invention.

La fig. 5 représente une phase terminale du procédé précité d’évidement selom l’invention du végétal restant après son évidement.

La fig. 6 représente une vue schématique de côté d’un dispositif d’évidement d’un végétal suivant l’invention.

La fig. 7 représente une autre vue du dispositif représenté sur la fig. précédente suivant un plan dans lequel s’inscrit le dispositif suivant l’invention précitée.

La fig. 8 représente un mode de réalisation d’un agencement particulier d’un ensemble d’éléments entrelacés suivant l’invention.

La fig. 9 représente un mode de réalisation d’un agencement plus particulier d’un ensemble d’éléments suivant l’invention.

La fig. 10 illustre une vue particulière d’un élément évidé selon un mode de réalisation alternatif de l’invention.

De façon générale, une pièce de végétal évidé est décrite ci-après, en particulier de plante à tubercule de type pomme de terre, destinée à être cuite, notamment en friture. Elle présente une forme particulière montrée sur la fig. 1 représentant une portion intérieure de pomme de terre 1 allongée et torsadée à l’allure d’un ressort en position resserrée, se composant d’une succession d’enroulements ou de spires comprimés l’une sur l’autre en contact mutuel. La surface d’enveloppe est d’allure cylindrique, s’agissant d’un élément en spirale cylindrique à diamètre sensiblement constant.

De par sa structure en torsade, la pièce de végétal présente une surface de contact plus grande avec le milieu de cuisson, de sorte qu’avec une graisse fine telle qu’une huile haut de gamme parfumée, on peut obtenir des frites torsadées au goût renforcé permettant d’obtenir un résultat plus savoureux encore. A cela s’ajoute également la sensation de relief plus stimulante pour la langue au moment d’ingérer la frite en spirale.

La fig. 2 illustre le même élément évidé 1 mais en position relâchée tel un ressort détendu faisant apparaître chacune des spires constituant toutes ensemble la pièce dans son ensemble comme éléments constitutifs successifs. Il y apparaît clairement que la pièce spiroïdale présente une section pratiquement constante d’un bout à l’autre de celle-ci 1. Grâce à sa forme particulière en ressort, la pièce de végétal 1 possède une certaine élasticité dans son état semi-fini non encore cuit, qui lui permet d’adopter différents apparences entre une position détendue B et une position contractée A représentée chacune dans ses positions extrêmes précitées sur les fig. 1 et 2 respectivement.

En outre, grâce à sa faculté d’extension, chaque pièce 1 peut être étirée de façon telle que deux pièces spiralées 1 distinctes peuvent être entrelacées mutuellement comme montré sur la fig. 3. Cela permet d’obtenir des structures complexes de formes variées qui peuvent être fixées après cuisson desdits éléments 1 en étant préalablement agencées selon une configuration d’enchevêtrement désirée dans les points de contact sélectionnés à cette fin. Ainsi, il est possible, par exemple, de monter trois éléments en triangle en les connectant bout à bout selon un schéma représenté à la fig. 8, chaque côté du triangle constituant une pièce de végétal 1. Ces éléments 1 peuvent être tels quels, directement dans la forme obtenue par évidage, ou découpés à la même longueur de façon à composer ainsi une figure régulière aux côtés identiques, tel un carré par ex.

Ainsi, à titre de variante, un carré peut être obtenu en agençant bout à bout quatre éléments préalablement recoupés à une longueur commune, de façon à ce que chaque élément 1 précité constitue un des côtés du carré.

Un autre exemple encore est fourni par une connexion mutuelle de deux éléments 1 précités en leurs zones médianes respectives, de façon à obtenir un élément composé cruciforme comme illustré sur la fig. 9.

En fait, le nombre de montages possibles peut varier à l’infini par emboîtement d’un nombre d’éléments 1 désiré en joignant ceux-ci à l’emplacement requis par un simple mouvement de pression, suivi d’une cuisson de l’ensemble permettant de figer l’ensemble dans la forme préétablie.

Ainsi, le mode de cuisson choisi consistera avantageusement en une friture permettant d’obtenir des beignets aux formes les plus variées, sans besoin de matière liante additionnelle quelconque. Une cuisson au four est toutefois également réalisable.

Un autre avantage significatif de l’élément de végétal à enroulement spiroïdal ainsi proposé résulte de la section arrondie ou généralement courbe des éléments en spirale d’enroulement 1, lesquels sont dépourvus d’arêtes, la surface étant généralement lisse. Cela permet d’assurer une cuisson plus uniforme desdits éléments, et ce sans zones plus carbonisées pouvant survenir sinon dans les coins d’angle en cas d’arêtes. Ceci rend les beignets ou frites de ce type considérablement plus sains.

Par ailleurs, la structure élastique des éléments de végétal ainsi évidés confère une grande souplesse structurelle aux éléments permettant une grande liberté d’élaboration de toutes sortes de compositions de plats préparés à base desdits éléments évidés 1.

Il en va de même pour le conditionnement desdits éléments, par exemple en cornet à la façon du cornet de frites traditionnel, non représenté. Grâce à l’accrochage desdits éléments à la cuisson, ceux-ci restent solidaires dans le cornet, ce qui en facilite leur consommation en mode ambulatoire notamment, et ce d’autant plus que les éléments se redétachent aussi facilement par une simple traction sur ceux-ci par le consommateur, qu’ils peuvent être assemblés en cuisson. Pour des configurations plus complexes, un conditionnement en barquette, voire même en carton plat peuvent s’avérer plus commode sans risque de débordement ou de dispersion grâce à l’accrochage desdits éléments 1.

Un autre exemple de réalisation créatif des éléments de végétal 1 selon l’invention consiste en l’élaboration d’un plat comprenant aussi bien l’élément enroulé en spirale 1 à l’état de friture ou de beignet, d’une part, que celui associé à la partie évidée 2 du végétal pouvant être cuit au four par exemple, d’autre part, offrant ainsi un plat basé sur un mélange de cuissons du même végétal de base.

La fig. 6 montre un évidoir 10 comme dispositif de mise en oeuvre du procédé de confection d’un élément de végétal torsadé 1 en serpentin. Il consiste en une tige métallique, avantageusement en acier inoxydable pour éviter toute altération du végétal, s’étendant autour d’un axe longitudinal i entre une extrémité d’attaque 11 d’une part et une extrémité opposée de préhension 12 du côté opposé, d’autre part. L’extrémité d’attaque 11 présente avantageusement une section en pointe permettant une introduction aisée dans le végétal à évider. L’autre extrémité 12 en revanche présente une section légèrement élargie de façon à en faciliter la manipulation pour l’introduction de l’évidoir 10 à l’intérieur dudit végétal suivant la flèche F orientée suivant son axe longitudinal l associé à des mouvements de rotation représentés par la flèche G orientée dans un plan perpendiculaire à l’axe f. Dans la partie d’attaque est agencée une spirale 16 qui est enroulée autour de ladite tige sur une certaine étendue à distance de l’extrémité d’attaque 11 et qui présente un nombre déterminé de spires. A l’extrémité d’aval de la spirale est agencé un anneau périphérique 18 qui est centré autour d’un axe T qui est décalé par rapport à l’axe longitudinal l de la tige en formant un angle ß avec celui-ci. L’anneau précité est accolé par sa surface extérieure à ladite tige, à l’extrémité de fuite de l’enroulement précité en aval de celui-ci 16. L’anneau présente un bord d’attaque 19 qui est tranchant, ainsi qu’un bord de fuite 28 opposé.

Le cas échéant, il peut être prévu un second anneau opposé au premier, agencé en regard de celui-ci de l’autre côté de la tige permettant de creuser le second élément 1’ concomitamment.

De préférence, la partie opposée de préhension 12 présente un profilé légèrement évasé en partant de la section fine de la tige d’évidage vers une section élargie à ladite extrémité de préhension 12, l’évasement étant avantageusement linéaire. Cette partie constitue le manche du dispositif qui est utilement faiblement coudé en formant un angle a avec le corps d’attaque 15 de la tige. Ceci confère ainsi un effet de levier à l’extrémité de préhension 12 par rapport à l’extrémité d’attaque 11, ce qui en facilite l’opération d’évidement du végétal. De plus, cette partie 13 de la tige est d’une longueur suffisante pour qu’elle puisse être saisie en main par l’utilisateur, de manière à ce qu’elle 13 puisse servir de manche pour la rotation manuelle de l’ustensile autour d’un axe longitudinal différent 15 de la partie restante 14 de la tige 20.

Le dispositif 10 fonctionne comme suit. L’utilisateur se saisit du dispositif par le manche et le positionne sur le végétal à évider en pointant le dispositif dessus, suivant l’axe de creusement dudit végétal, de façon à pouvoir assurer un déplacement linéaire maximum du dispositif au sein du végétal pour en retirer une carotte d’extraction 1, éventuellement aussi grande que possible, c’est-à-dire dans ce cas suivant la portion maximale du végétal par exemple. Alternativement, on peut se positionner en décalage de façon à pouvoir extraire deux carottes d’un seul végétal surtout s’il est volumineux comme montré sur la fig. 5.

Après avoir bien positionné l’évidoir 10 contre la paroi du végétal à évider, en pointant l’extrémité d’attaque 11 à l’aplomb sur ladite paroi, l’utilisateur actionne à la main l’autre extrémité de l’ustensile par le manche en le tournant suivant le sens de la flèche G en conformité avec le sens de la spirale d’enroulement 16, c’est-à-dire en vissant l’évidoir 10 à l’intérieur du végétal suivant son axe f dans le sens de la flèche F, en veillant à maintenir l’ustensile dans son axe pendant tout le trajet à l’intérieur du végétal, jusqu’à parvenir sensiblement à l’extrémité opposée de celui-ci, toujours selon l’axe. Il faut y alle?0 doucement afin de préserver au mieux l’intégrité de la carotte à évider, qui reste plutôt délicat étant donné la nature désossée de la structure de la pièce, lui ôtant toute rigidité au centre, et partant, toute résistance structurelle en son centre.

En introduisant l’évidoir 10 dans le végétal, l’élément 1 à produire est découpé du végétal par l’action du bord tranchant 19 de l’anneau périphérique, qui découpe ledit élément au diamètre requis correspondant à celui de l’anneau. C’est pendant cette phase du processus que l’élément torsadé 1 est constitué, lequel est récolté ensuite en effectuant le mouvement inverse à la manière d’un tire-bouchon en retirant l’évidoir 10 en le dévissant suivant le sens inverse de la flèche -G.

En finale, on obtient le produit semi-fini enroulé en spirale, telle une torsade de pomme de terre dont la forme caractéristique est obtenue par la progression par poussée selon F de l’évidoir 10 suivant un mouvement combiné en rotation circulaire G associé au déplacement linéaire de l’évidoir 10, l’anneau tranchant occupant ainsi une position chaque fois décalée autour de l’axe f de l’ustensile s’inscrivant à l’intérieur d’un cylindre ayant pour axe central celui de la partie d’attaque 15 de ce dernier, représenté en pointillé sur la fig. 1’, montrant également des positions successives A2, An adoptées successivement par l’anneau tranchant au fur et à mesure de l’actionnement de l’évidoir.

La surface essentiellement lisse de l’élément végétal 1 est ainsi obtenue par la forme circulaire de l’anneau tranchant.

Afin d’assurer un retrait intégral et sans dégâts de l’élément 1 ainsi découpé du végétal évidé, on veille à maintenir la géométrie du manche 13 dans des limites réduites, notamment quant à l’épaisseur du manche, ainsi que l’angle a du coude entre le manche et la tige d’attaque 15 d’extraction. Ainsi, le diamètre du manche à son extrémité de préhension 12 est dimensionné à 6 mm. Car après introduction de l’évidoir 10 dans le végétal, la carotte d’extraction se retrouve en aval de l’anneau, et pour être retirée, la carotte évidée 1 est passée par-dessus le manche 13. Ainsi, l’angle a et les dimensions en section transversale du manche doivent rester plutôt modestes, l’angle étant aussi obtus que possible, c-à-d proche de 180°, tout en ménageant une capacité de maniabilité suffisante de l’évidoir 10, principalement quant à l’effet de levier constituant le principe actif d’un point de vue fonctionnel.

Après l’opération d’extraction, on se retrouve pour chaque pomme de terre ave2D généralement un élément 1, le restant de pomme de terre evidée 2 formant en quelque sorte la matrice que l’on peut avantageusement couper en deux à hauteur de la partie évidée en creux, et réutiliser chacune des moitiés ainsi obtenues comme base à farcir. La cuisson de l’élément 1 peut s’accomplir en la faisant bouillir, certes, mais le mode préféré est celui de la friture, de façon à obtenir ainsi une frite en torsade, se suffisant déjà à elle-même et ne nécessitant aucun accompagnement pour les vrais amateurs de frites.

Le fond évidé du végétal forme une rigole elle aussi spiraloïde qui s’étire transversalement par rapport à l’axe précité i, tout en étant présentant des crêtes de fond correspondantes permettant de stabiliser la farce précitée placée dans l’évidement assurant ainsi une tenue parfaite à l’ensemble.

Pour faciliter sa manipulation en rotation, le manche de préhension 13 peut être configuré de façon à présenter une extrémité en tenon avec épaulement de façon à coopérer avec un capuchon ou manchon amovible avec liaison de type tenon-mortaise. En prévoyant un manchon avec une forme plus ergonomique, par exemple de type papillon, l’utilisateur actionnera avec davantage de commodité le manche en rotation en exerçant simplement une pression adéquate sur les ailes latérales d’extrémité. Une telle configuration permet en outre de fixer l’évidoir 10 à un robot ménager polyvalent, permettant un évidage électrique allégeant l’opération. L’axe T de l’élément à anneau 18 est incliné par rapport à l’axe longitudinal 15 de la partie restante 14 de la tige 10. De plus, l’élément à anneau 18 est disposé de manière à ce que l’arête coupante annulaire 19 se trouve sur le côté de l’élément à anneau 18 adjacent à, la première extrémité 11 de la tige 10, facilitant son entrée dans la pomme de terre Lorsque la partie restante 14 de la tige 10 est poussée dans la pomme de terre par une force manuelle appliquée sur la partie extrême 13 de la tige 10, l’ustensile tourne suivant un axe longitudinal 15 de la partie restante 14 de la tige par la force manuelle appliquée sur sa partie extrême 13. L’élément à vis 16, au moment où il entre et passe à travers la pomme de terre sert de guide pour assurer que l’arête coupante 19 de l’élément à anneau 18 entre en contact et coupe à l’intérieur de la pomme de terre. Comme il est décrit ci-dessus, l’élément à anneau 18 doit alors suivre un mouvement suivant le sens de son axe T.

Au moment où l’élément à anneau 18 est poussé de la manière susmentionnée à traveriP la pomme de terre, il découpe un noyau spiraloïde. Une fois que l’élément à anneau 18 est totalement passé au travers de la pomme de terre, l’ustensile est retiré de la pomme de terre par un mouvement continu dans le même sens. Pendant ce mouvement, une partie de la portion restante 14 de la tige 10 entre l’élément à anneau 18 et la partie extrême 13 de la tige 10, ainsi que la partie extrême 13, passent à travers la pomme de terre. En ce cas, l’angle obtus ß formé par la partie extrême 13 de la tige 10 et la partie 14 permet immédiatement de réaliser l’opération susmentionnée.

Enfin, le couteau spiraloïde coupe à travers la pomme de terre et le noyau est retiré du reste de la pomme en saisissant entre ses doigts une extrémité de ce noyau coupé en tire-bouchon, et en tournant la pomme de terre dans le bon sens. Le résultat de cette manipulation permet d’obtenir un vidé de pomme de terre et ce que l’on ressort se présente sous forme torsadée.

Cet ustensile est de construction très simple et est donc relativement peu onéreux à fabriquer.

Exemple L’évidoir est en acier chromé comporte un angle obtus a de 160°. Il s’applique pour des pommes de terre à la sauce tomate farcies comportant les Ingrédients suivants : 4 pommes de terre moyennes, 200 g de haché (porc, veau, volaille au choix), de poisson et/ou de petits légumes, 1 œuf ; 2 tranches de pain rassis ; 75 g de parmesan ; une pincée de persil, de poivre et sel et/ou d’ail ; de la sauce tomate : une boîte de 500 g de passata et V* boîte de concentré de tomate (35 g) de l’huile d’olive, une échalote coupée finement et ajouter basilic ou origan, selon le goût. Eplucher les pommes de terre, les évider avec le creuse-pomme de terre.

Préparer la farce en mélangeant la viande, l’œuf, le pain trempé dans l’eau ou lait selon le goût. Ajouter le parmesan, le persil, poivre et sel, selon le goût. Remplir les fonds de pommes de terre évidées en tassant bien dans les sillons de fond et en accrochant bien entre les crêtes avec cette farce. Les rissoler dans l’huile d’olive ou toute autre huile végétale, notamment graisses fines telles que graisse d’oie ou de canard. Ensuite les mettre dans la sauce tomate préalablement préparée en recouvrant bien les pommes de terre de sauce tomate). Les laisser cuire pendant 20 minutes.

Avec le reste de la farce, faire des boulettes, les rissoler et les ajouter dans la sauce - tomate.

Cuire les frites torsadées comme des frites ordinaires. Garnir et dresser le plat.

Claims (34)

1. REVENDICATIONS

   1. Pièce évidée de végétal notamment plante à tubercule, en particulier de pomme de terre, d’allure allongée s’étendant le long d’un axe longitudinal (l), caractérisé en ce qu’il présente une section transversale (Φ) au contour arrondi continu en étant dépourvu d’angle sur son pourtour (3), l’élément (1) dans son ensemble étant dépourvu d’arête vive sur son pourtour, et en ce qu’elle est dépourvue d’âme centrale, celle-ci étant vide tout au long de son axe longitudinal central ({), de façon que la pièce soit déraidie suivant ledit axe (f) présentant ainsi une élasticité structurelle qui lui est conférée par sa forme évidée à effet ressort.
2. 2. Elément suivant la revendication précédente, caractérisée en ce que sa surface est essentiellement lisse.
3. 3. Pièce suivant la revendication précédente, caractérisé en ce qu’elle présente une élasticité structurelle qui lui est conférée par sa forme évidée à effet ressort.
4. 4. Pièce suivant la revendication précédente, caractérisé en ce que sa forme est de nature spiraloïde.
5. 5. Pièce suivant l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la pièce (1) présente une surface d’enveloppe (2) cylindrique s’agissant d’un élément (1) en spirale cylindrique s’étirant autour dudit axe longitudinal (f).
6. 6. Pièce suivant l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la section transversale précitée (Φ) est d’allure sensiblement ovale ou elliptique, plus particulièrement circulaire.
7. 7. Pièce suivant la revendication précédente, caractérisé en ce que la section transversale précitée (Φ) est sensiblement constante sur pratiquement toute la longueur, en étant comprise entre 3 & 8 mm, notamment autour de 5 mm.
8. 8. Pièce suivant l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu’elle constitue un produit semi-fini à cuire (1), plus particulièrement de pomme de terre, de type carotte d’extraction sous forme de frite en spirale (9), de structure souplê0 qui s’enroule sur son axe.
9. 9. Pièce suivant la revendication précédente, caractérisé en ce qu’elle est cuite au four et/ou par friture.
10. 10. Pièce évidée suivant l’une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisée en ce qu’elle constitue un produit fini à partir de légume tel que navet, à consommer directement cru.
11. 11. Pièce évidée suivant l’une quelconque des revendications 1 à 5 et/ou 7 à 10, caractérisée en ce qu’elle est constituée d’un ruban d’allure généralement aplatie aux angles arrondis.
12. 12. Pièce suivant la revendication précédente, caractérisé en ce qu’elle consiste en un chatouillard, dite pomme-chatouillard.
13. 13. Assemblage de pièces telles que définies suivant l’une des revendications 1 à 8, éventuellement 9 à 12, caractérisé en ce qu’elles sont réunies avec les enroulements de chaque pièce de façon à former entrelacs s’entremêlant avec les enroulements de pièces adjacentes (2, 3, 4,...IV, 1”,...), de façon à former un ensemble structuré de pièces (1, 1’, 1”,...) présentant une certaine tenue par emboîtement mutuel d’enroulements.
14. 14. Assemblage de pièces suivant la revendication précédente, caractérisé en ce qu’il est constitué par jonction des enroulements d’extrémité des pièces de façon à présenter une configuration polygonale, notamment triangulaire et/ou quadrilatère telle que carrée.
15. 15. Assemblage de pièces suivant la revendication précédente, caractérisé en ce qu’il est constitué par jonction des enroulements intermédiaires, notamment centraux, des pièces de façon à présenter une configuration en étoile et/ou cruciforme notamment.
16. 16. Procédé de confection du produit semi-fini suivant l’une quelconque des revendications 8 ou 9, caractérisé en ce que ce dernier (1) est obtenu par évidage du végétal, en particulier à tubercule, plus particulièrement de type pomme de terre, par un moyen d’évidage qui est actionné pour être déplacé en ligne (£) suivant un mouvemen?1 circulaire (G) autour dudit axe (i).
17. 17. Procédé suivant la revendication précédente, caractérisé en ce que le moyen d’évidage consistant en un dispositif en forme de tige à spirale est introduit dans le végétal à évider par vissage de celui-ci en le poussant suivant un axe de pénétration, de façon à transpercer ledit végétal de part en part, de préférence suivant son axe principal, suivi d’un mouvement inverse de dévissage dudit dispositif, jusqu’au retrait complet de celui-ci hors du végétal évidé.
18. 18. Procédé suivant l’une des deux revendications précédentes, caractérisé en ce que le moyen d’évidage est introduit dans le végétal suivant un angle d’attaque qui correspond sensiblement à l’axe principal dudit végétal.
19. 19. Dispositif de mise en oeuvre du procédé suivant l’une des revendications 16 à 18 et/ou pour la confection du produit tel que défini suivant l’une quelconque des revendications 1 à 15, caractérisé en ce qu’il consiste en un évidoir (10) de végétal, en particulier à tubercule de type pomme de terre, comprenant un moyen de pénétration (11’) pour l’introduction de l’évidoir (10) dans le végétal à travers sa paroi, qui est situé à l’extrémité d’attaque d’un moyen de déplacement de translation en rotation (12’) pour faire avancer l’évidoir (10) à travers le végétal, en aval duquel est agencé un organe de coupe (13’) pour découper l’élément (1) à évider dans le végétal, qui est fixé sur un moyen de liaison (15’) rattachant les différents organes précités entre eux, un moyen de préhension (14’) pour saisir l’évidoir (10) s’y rattachant, ' l’organe de coupe (13’) présentant un profil pourvu d’un bord tranchant refermé sur lui-même en boucle, qui est agencé sur l’organe de liaison (15’) en aval de l’organe de déplacement (12’), de façon que le bord tranchant prévu sur son bord d’attaque et se rattachant par sa paroi extérieure audit organe (15’) s’étende autour d’un axe central formant un angle avec l’axe longitudinal central (£) précité.
20. 20. Dispositif suivant la revendication précédente, caractérisé en ce que l’organe de liaison (15’) consiste en une tige allongée de section réduite comprenant une extrémité d’attaque à laquelle est fixé l’organe de déplacement (12’) par son extrémité de fuite et se terminant à son/l’âutre extrémité opposée par l’organe de pénétration (11’).
21. 21. Dispositif suivant l’une des deux revendications précédentes, caractérisé en c£c que la plupart des organes précités (12’), plus particulièrement (11’, 14’, 15’) sont venus d’une pièce, de façon à ne présenter aucune soudure ou joint de liaison entre eux.
22. 22. Dispositif suivant l’une des 3 revendications précédentes, caractérisé en ce que le moyen de découpe est démontable.
23. 23. Dispositif suivant la revendication précédente, caractérisé en ce que la plupart des organes précités (11’..14’), présentent une allure continue au 1er degré, éventuellement au 2nd degré, de façon à ne présenter aucun obstacle d’angle le long de l’axe longitudinal (£), en tant que élément de guidage pour la pièce (1) à retirer dès après sa découpe via l’organe de coupe (13’) en le coulissant par-dessus, tout le long du dispositif en aval.
24. 24. Dispositif suivant l’une des deux revendications précédentes, caractérisé en ce que l’organe de liaison (15’), et le cas échéant l’organe de déplacement (12’) et/ou l’organe de préhension (14’) présente(nt) une section sensiblement constante.
25. 25. Dispositif suivant l’une des revendications 19 à 24, caractérisé en ce que l’organe de coupe (13’) présente un profil en boucle continue et arrondie, de préférence ovaloïde, ellipsoïdale ou circulaire s’étendant sur une certaine hauteur (h) le long d’un axe (A) croisant l’axe longitudinal (f), en formant un angle (ß) avec lui.
26. 26. Dispositif suivant la revendication précédente, caractérisé en ce que la hauteur (h) de la boucle précitée est inférieure à son diamètre (Φ).
27. 27. Dispositif suivant l’une des revendications 19 à 26, caractérisé en ce que l’organe de préhension (14’) présente un profil ergonomique adapté pour un usage manuel de celui-ci.
28. 28. Dispositif suivant l’une des revendications 19 à 27, caractérisé en ce qu’il consiste en laquelle une spirale de déplacement (12’) comportant un certain nombre de spires est enroulée autour de la tige d’attaque (15’).
29. 29. Dispositif suivant la revendication précédente, caractérisé en ce que le nombre de spires précité est compris entre 1 et 5, de préférence 2 ou 3.
30. 30. Dispositif suivant l’une des deux revendications précédentes, caractérisé en ce2 que les spires précitées sont agencées dans le sens des aiguilles d’une montre, ou inversement.
31. 31. Dispositif suivant l’une des deux revendications 19 à 30, caractérisé en ce qu’il est muni d’un manchon à son extrémité de préhension.
32. 32. Dispositif suivant la revendication précédente, caractérisé en ce que ladite extrémité de préhension est constituée d’un embout de fixation à section variable par rapport au corps de la tige pour la mise en place dudit manchon sur celui-ci.
33. 33. Dispositif suivant l’une des deux revendications précédentes, caractérisé en ce que ladite extrémité de préhension présente à son extrémité libre une section aplatie pour être reçue par ledit manchon adapté à celui-ci facilitant sa mise en oeuvre.
34. 34. Dispositif suivant l’une des revendications 31 à 33, caractérisé en ce que le manchon est amovible ou rétractable.