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CHAUSSURE DE SPORT DOTEE D'UNE TIGE EM TISSU A BASE
DE FIBRES ARAMIDE
La présente invention a pour objet une chaussure de sport, notamment une chaussure de football, comprenant une tige et une semelle éventuellement pourvue de crampons.
On connaît des chaussures de sport et notamment de football, réalisées dans les matières les plus diverses. Habituellement, ces chaussures sont en peau ou en matière plastique. On connaît en outre des chaussures dont la tige est en matière
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1 plastique recouverte, aux endroits où la sollicitation mécanique est la plus forte comme à l'avant-pied de la chaussure, par des pièces en matière composite comme les fibres de carbone, les fibres aramide ou similaire. Ces chaussures présentent habituellement une tige relativement rigide qui leur confère un poids non négligeable et qui, dans le cas de chaussures de football, ne permet pas une maîtrise optimale du ballon.
L'objet de la présente invention est de fournir une chaussure de sport perfectionnée par rapport aux chaussures susmentionnées.
Plus spécifiquement, la présente invention a pour objet de fournir une chaussure de sport légère et présentant une remarquable résistance à l'usure.
L'invention a également pour objet d'obtenir une chaussure, notamment une chaussure de football, qui permette de réduire les efforts fournis par l'athlète qui la porte et qui permette une maîtrise optimale du ballon.
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Cet objet ainsi que d'autres qui paraîtront évidents à l'homme du métier sont atteints grâce à une chaussure selon les revendications annexées.
Four une meilleure compréhension de la présente invention, on se référera au dessin joint à titre purement indicatif dans lequel : la figure 1 est une vue en perspective d'une chaussure selon l'invention ; et la figure 2 est une vue en coupe selon la ligne 2-2 de la figure 1.
Si l'on se réfère aux figures précitées, le repère 1 désigne généralement une chaussure de football selon l'invention comprenant une tige 2 et une semelle 3 sur laquelle est disposée une première intérieure 3A. La semelle 3 est pourvue de crampons 4.
La tige 2 selon l'invention est, au moins dans sa majeure partie, réalisée en tissu à base de fibres aramide (connues sous la désignation commerciale de kevlar) d'épaisseur très réduite (entre 0,3 et 0,7 mm par exemple) et très résistant à l'usure.
Plus spécifiquement, ladite tige en tissu à base de fibres aramide présente une surface externe 5 d'une rugosité notable, avec des reliefs diffus (éventuellement accentués par des lignes de dépression 6) répartis uniformément. Ledit tissu est associé, sur sa face opposée 7 (c'est-à-dire tournée vers l'intérieur 8 de la chaussure) à un film 9 en matière plastique servant à imperméabiliser la tige
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et à empêcher que l'humidité extérieure et/ou l'eau présente dans l'air ou sur le sol ne pénètrent dans la chaussure. En alternative, ou en plus dudit film 9, la surface 5 peut être imprégnée de vernis hydrofuges classiques.
L'imperméabilité est une propriété importante : en effet, le tissu en fibres aramide absorbe (sans pour autant les retenir) l'eau et l'humidité de manière considérable et il est opportun, par conséquent, d'empêcher toute infiltration d'eau ou d'humidité à l'intérieur de la chaussure. L'imprégnation du tissu et/ou son imperméabilisation permettent aux chaussures de ne pas s'alourdir à l'usage et de ne présenter aucun problème pour l'athlète qui les porte.
Au film 9 enfin, est associé un matelassage classique 10 (disposé à l'intérieur de la chaussure sur la paroi 8a de sa cavité interne.
Les extrémités 12 des bords de fermeture usuels 13 er-14 de la chaussure sont, de préférence, recouvertes ou directement réalisées en une matière au moins en partie semi-rigide, telle que la peau, le cuir, une matière plastique ou similaire. Cette semirigidité permet de placer, au niveau desdites extrémités, des lacets classiques.
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Ce type de matière est également utilisé de ce type de mat préférence pour réaliser la partie postérieure 15 de la chaussure qui doit, comme chacun sait, être rigide et soutenir le pied, ainsi que chaque insert ou ornement 18 présent sur la tige.
La serelle 3 peut être réalisée dans une matière quelconque, par exemple en plastique.
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Toutefois, ladite semelle peut elle aussi être fabriquée à base de fibres aramide ou d'une autre matière composite ; le cas échéant, la partie postérieure 15 de la chaussure peut être réalisée comme un prolongement de la semelle vers le haut. De manière analogue, d'autres renforts en matière composite peuvent être réalisés à l'avant ou sur les côtés de la tige comme des prolongements de la semelle 3 vers le haut. Cette solution facilite le raccordement de la tige à la semelle et aux renforts précités (qui est obtenu par une opération de collage usuelle) par rapport au cas où la chaussure comporte une semelle en matière plastique et des renforts en matière plastique, peau, cuir ou similaire.
Une chaussure conçue selon l'invention est légère, résiste à l'abrasion et, grâce à la rugosité de sa surface 5 (intrinsèque et découlant de l'emploi de tissu en fibres aramide), permet une maîtrise optimale du ballon.
Une chaussure de football a été décrite. Il est évident, toutefois, que toute autre chaussure présentant les caractéristiques des revendications suivantes entre dans le cadre de la présente invention.
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SPORTS SHOE WITH BASE EM FABRIC
ARAMID FIBERS
The present invention relates to a sports shoe, in particular a football shoe, comprising a upper and a sole possibly provided with cleats.
Sports shoes, including football shoes, made from a wide variety of materials are known. Usually these shoes are made of skin or plastic. Shoes are also known, the upper of which is made of material
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1 plastic covered, in the places where the mechanical stress is strongest as in the forefoot of the shoe, by parts in composite material like carbon fibers, aramid fibers or similar. These shoes usually have a relatively rigid upper which gives them a significant weight and which, in the case of football boots, does not allow optimal control of the ball.
The object of the present invention is to provide an improved sports shoe compared to the aforementioned shoes.
More specifically, the present invention aims to provide a light sports shoe and having a remarkable resistance to wear.
The object of the invention is also to obtain a shoe, in particular a football shoe, which makes it possible to reduce the efforts provided by the athlete who wears it and which allows optimal control of the ball.
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This object as well as others which will appear obvious to a person skilled in the art are achieved by means of a shoe according to the appended claims.
For a better understanding of the present invention, reference will be made to the attached drawing for purely indicative purposes in which: FIG. 1 is a perspective view of a shoe according to the invention; and Figure 2 is a sectional view along line 2-2 of Figure 1.
If one refers to the aforementioned figures, the reference 1 generally designates a football boot according to the invention comprising a upper 2 and a sole 3 on which is disposed a first interior 3A. The sole 3 is provided with studs 4.
The rod 2 according to the invention is, at least for the most part, made of fabric based on aramid fibers (known under the trade designation of kevlar) of very reduced thickness (between 0.3 and 0.7 mm for example ) and very resistant to wear.
More specifically, said fabric rod based on aramid fibers has an external surface 5 of notable roughness, with diffuse reliefs (possibly accentuated by lines of depression 6) distributed uniformly. Said fabric is associated, on its opposite face 7 (that is to say facing inward 8 of the shoe) with a film 9 of plastic material used to waterproof the upper
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and to prevent external humidity and / or water present in the air or on the ground from entering the shoe. As an alternative, or in addition to said film 9, the surface 5 can be impregnated with conventional water-repellent varnishes.
Impermeability is an important property: in fact, the aramid fiber fabric absorbs (without retaining them) water and moisture considerably and it is therefore advisable to prevent any water infiltration or moisture inside the shoe. The impregnation of the fabric and / or its waterproofing allow the shoes not to become heavy with use and to present no problem for the athlete who wears them.
Finally, film 9 is associated with conventional padding 10 (placed inside the shoe on the wall 8a of its internal cavity.
The ends 12 of the usual closure edges 13 er-14 of the shoe are preferably covered or directly made of a material at least partially semi-rigid, such as skin, leather, plastic or the like. This semi-rigidity makes it possible to place, at the said ends, conventional laces.
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This type of material is also used for this type of mat, preferably to make the rear part 15 of the shoe which must, as everyone knows, be rigid and support the foot, as well as each insert or ornament 18 present on the upper.
The serelle 3 can be made of any material, for example plastic.
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However, said sole can also be made from aramid fibers or another composite material; if necessary, the rear part 15 of the shoe can be made as an extension of the sole upwards. Similarly, other reinforcements in composite material can be made at the front or on the sides of the upper as extensions of the sole 3 upwards. This solution facilitates the connection of the upper to the sole and to the aforementioned reinforcements (which is obtained by a usual bonding operation) compared to the case where the shoe comprises a plastic sole and plastic, skin, leather or reinforcements. similar.
A shoe designed according to the invention is light, resists abrasion and, thanks to the roughness of its surface 5 (intrinsic and resulting from the use of aramid fiber fabric), allows optimal control of the ball.
A soccer shoe has been described. It is obvious, however, that any other shoe having the characteristics of the following claims is within the scope of the present invention.