BE1008361A5 - Dispositif annonceur - repondeur pour communications telephoniques. - Google Patents

Dispositif annonceur - repondeur pour communications telephoniques. Download PDF

Info

Publication number
BE1008361A5
BE1008361A5 BE9400440A BE9400440A BE1008361A5 BE 1008361 A5 BE1008361 A5 BE 1008361A5 BE 9400440 A BE9400440 A BE 9400440A BE 9400440 A BE9400440 A BE 9400440A BE 1008361 A5 BE1008361 A5 BE 1008361A5
Authority
BE
Belgium
Prior art keywords
telephone
announcer
message
messages
answering
Prior art date
Application number
BE9400440A
Other languages
English (en)
Inventor
Houben Francis
Original Assignee
Creative Management S P R L
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Creative Management S P R L filed Critical Creative Management S P R L
Priority to BE9400440A priority Critical patent/BE1008361A5/fr
Priority to PCT/BE1995/000043 priority patent/WO1995030296A1/fr
Priority to EP95916518A priority patent/EP0761056A1/fr
Application granted granted Critical
Publication of BE1008361A5 publication Critical patent/BE1008361A5/fr

Links

Classifications

    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04MTELEPHONIC COMMUNICATION
    • H04M1/00Substation equipment, e.g. for use by subscribers
    • H04M1/64Automatic arrangements for answering calls; Automatic arrangements for recording messages for absent subscribers; Arrangements for recording conversations
    • H04M1/65Recording arrangements for recording a message from the calling party
    • H04M1/652Means for playing back the recorded messages by remote control over a telephone line
    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04MTELEPHONIC COMMUNICATION
    • H04M1/00Substation equipment, e.g. for use by subscribers
    • H04M1/26Devices for calling a subscriber
    • H04M1/27Devices whereby a plurality of signals may be stored simultaneously
    • H04M1/274Devices whereby a plurality of signals may be stored simultaneously with provision for storing more than one subscriber number at a time, e.g. using toothed disc
    • H04M1/2745Devices whereby a plurality of signals may be stored simultaneously with provision for storing more than one subscriber number at a time, e.g. using toothed disc using static electronic memories, e.g. chips
    • H04M1/2749Automatic dialling or redialling systems, e.g. on off-hook or redial on busy
    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04MTELEPHONIC COMMUNICATION
    • H04M1/00Substation equipment, e.g. for use by subscribers
    • H04M1/56Arrangements for indicating or recording the called number at the calling subscriber's set
    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04MTELEPHONIC COMMUNICATION
    • H04M1/00Substation equipment, e.g. for use by subscribers
    • H04M1/64Automatic arrangements for answering calls; Automatic arrangements for recording messages for absent subscribers; Arrangements for recording conversations
    • H04M1/65Recording arrangements for recording a message from the calling party
    • H04M1/6505Recording arrangements for recording a message from the calling party storing speech in digital form
    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04MTELEPHONIC COMMUNICATION
    • H04M3/00Automatic or semi-automatic exchanges
    • H04M3/42Systems providing special services or facilities to subscribers
    • H04M3/46Arrangements for calling a number of substations in a predetermined sequence until an answer is obtained
    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04MTELEPHONIC COMMUNICATION
    • H04M2203/00Aspects of automatic or semi-automatic exchanges
    • H04M2203/20Aspects of automatic or semi-automatic exchanges related to features of supplementary services
    • H04M2203/2016Call initiation by network rather than by subscriber

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Signal Processing (AREA)
  • Telephonic Communication Services (AREA)

Abstract

Dispositif annonceur-répondeur téléphonique de type interactif, avec garde-ligne temporisée, comportant une carte d'interface téléphone/micro-ordinateur, une unité logique, laquelle assure, moyennant l'adjonction d'un ensemble de capteurs-détecteurs et d'un ensemble de prise de ligne et d'émission sur le réseau téléphonique, la gestion des entrées, sorties et/ou du temps des communications et celle des éventuelles déviations de messages de voix, musique, ou de superposition de ces deux éléments, ces différentes opérations étant faites par voie de stockage et de transmission numérique pure, l'information encodée étant exclusivement réservé à la gestion optimale des allées et venues des messages dont l'acheminement a été, en début de journée préprogrammé par le propriétaire de l'appareil. L'interrogation, à distance, des messages présents dans l'unité, tant en fonction "annonceur" qu'en fonction "répondeur" est possible.

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  DISPOSITIF ANNONCEUR REPONDEUR POUR COMMUNICATIONS TELEPHONIOUES 
La présente invention a pour objet un dispositif annonceur-répondeur pour appareils téléphoniques permettant une gestion optimale des émissions et réceptions de communications téléphoniques en l'absence de l'abonné. Elle a donc pour objet d'améliorer cet important outil de contact social que constitue le téléphone dans la vie professionnelle et privée. 



   Plus précisément, la présente invention vise le développement d'un dispositif annonceur-répondeur téléphonique de type intégralement interactif, avec garde-ligne temporisée comportant une carte d'interface téléphone/micro-ordinateur, une unité logique qui assure, avec l'aide d'un ensemble de capteurs-détecteurs et d'un ensemble de prise de ligne et d'émission sur le réseau téléphonique, la gestion des entrées, sorties et/ou du temps des communications et celle des éventuelles déviations de messages de voix, musique, ou de superposition de ces deux éléments et qui mémorise et envoie des messages qui sont préenregistrés, annoncés ou reçus, par stockage et transmission numérique pure et subséquemment, convertis en forme analogique.

   Le dispositif a pour particularité que l'information encodée est réservée à la gestion optimale du trafic des messages, avec d'une part, une juste répartition dans le temps des fonctions"annonceur"et"répondeur"et, d'autre part, une réitération limitée des appels en cas d'absence et enfin, avec identification après analyse, du   "beep"sonore d'un   répondeur, suivie de l'émission d'un message à ce dernier. 



   Le dispositif annonceur-répondeur téléphonique dont il est question a également pour particularité que le support pour la mémorisation est un ensemble de type mémoire RAM adressable lors du fonctionnement, l'enregistrement numérisé formant la substance d'un message, cet ensemble étant divisé en deux sous-ensembles, le premier qui prend en charge la fonction de répondeur-enregistreur de messages, le second, complémentairement, assurant la fonction d'annonceur-enregistreur de messages, lesdits ensembles étant fonctionnellement asservis aux signaux de commande de l'unité logique qui a assuré la numérisation des messages initialement analogiques, les a mis en mémoire numérique, pour les restituer selon un programme bien défini en mode numérique ou analogique avant leur envoi sur la ligne du réseau. 



   Dans le domaine des télécommunications, les répondeurs sont connus et font, partie d'une technique largement répandue et maîtrisée. 



   La   fonction"annonceur"en   télécommunications est principalement connue, dans le graphisme, par les"FAX". 



  De même, la transmission de données par voie téléphonique à l'aide d'une unité de modulation-démodulation (MODEM) et 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 le dialogue avec un ordinateur sont choses connues. Il s'agit dans ces deux derniers cas d'outils de transfert de renseignements plus que de systèmes de contact socio-économique. L'invention veut aussi réaliser la   fonction"annonceur"pour   un transfert d'information sans support d'écriture et avec correction dans l'expression, par l'absence totale de déformation de la voix de l'appelant. 



   A l'heure actuelle, l'utilisation d'appareils programmés pour enregistrer et stocker des messages vocaux et ensuite les envoyer à une heure déterminée en composant à l'heure dite le numéro du correspondant, se limite à des applications assez restreintes et très focalisées. 



  On songe ici au service de réveil dans les hôtels, les messages urgents dans les services de gardiennages ou d'ambulances, certaines communications inter-ou intraentreprises (un bureau central vis à vis des représentants de commerce). Toutes ces situations ont en commun que l'appel automatique fait partie d'une procédure, le plus souvent connue d'avance par le destinataire et qui vise à envoyer à ce dernier un message se situant dans un domaine très limité (le client d'un hôtel qui a demandé d'être réveillé, le représentant qui s'attend à des ordres de son supérieur). 



  On a également tenté d'utiliser de tels appareils dans le cadre d'annonces publicitaires, d'enquêtes sociologiques ou d'enquêtes de télémarketing, mais il faut noter que le recours à de telles techniques a régressé, comme l'ont démontré un certain nombre d'études. 



  L'échec relatif   du"mailing vocal"dans   ce secteur particulier réside dans le superposition de trois facteurs 
Emploi d'un moyen impersonnel (un automate) et nouveau pour le destinataire
La voix qui parle est inconnue du destinataire
La nature même du message (publicité, enquête) risque d'insupporter le destinataire. 



  L'insuccès relatif de la messagerie vocale par voie d'annonceur (dans le domaine particulier de la publicité, enquêtes, marketing,... etc, a suscité, principalement aux Etats Unis, une certaine réticence vis à vis de la technique même alors que celle-ci, moyennant un certain nombre de modifications, pourrait être très utile dans le cadre des relations sociales dans la vie quotidienne. 



  Dans cette application beaucoup plus générale, la personne dont la voix est enregistrée sur l'annonceur ne sera, dans beaucoup de cas, pas inconnue du destinataire et ce dernier n'aura pas à faire face à un message dont la nature est, à priori, peu susceptible de l'intéresser. 



  S'adressant à un public-cible plus large (professionnel et privé) où prime l'importance des relations humaines, tout 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 autant que le souci de convivialité, le dispositif annonceur selon la présente invention, qui se présente sous la forme d'un appareil compact (cfr infra) de maniement aisé, répond à certains besoins, non satisfaits de ce public particulier et que nous énumérons ci-après : - Le dispositif permet le trafic des informations dans les deux sens, la préséance étant accordée, lors de l'exécution des opérations à la correction la plus grande dans la qualité d'élocution et d'exactitude à l'audition des messages émis. 



   - Le dispositif selon l'invention permet de faire parvenir un message préalablement enregistré à toute personne absente au moment de l'appel, équipée ou non d'un répondeur téléphonique, et ce, par la technique de la réitération programmée des appels, tant qu'ils sont infructueux (1), cette réitération se faisant dans le respect des"convenances sociales". 



  L'appareil permet donc de décharger son utilisateur de l'obligation de reformer le numéro en raison de l'absence de l'appelé ou de l'occupation de sa ligne. Il constitue donc une solution particulièrement intéressante lorsque l'on veut envoyer un message à une personne non équipée d'un répondeur et momentanément absente. 



  La réitération de l'appel se fera automatiquement selon une fréquence choisie à l'avance par l'utilisateur éventuellement pendant plusieurs jours. Le dispositif permet également en fonction des données qu'il a en mémoire relatives à l'appelé de changer de numéro d'appel selon les postes téléphoniques près desquels la personne appelée est susceptible de se trouver (cas des personnes se trouvant à une autre adresse durant le week-end). 



  L'appareil permet d'enregistrer la réponse éventuelle de la personne au message qu'elle a ainsi reçu. 



  Dans l'hypothèse où le destinataire est absent mais possède un répondeur automatique qui est branché, c'est à celui-ci que ce message est envoyé après le"bip"sonore (cfr infra). 



   - L'appareil permet d'envoyer un message en temps différé. Il permet de contacter la personne à un moment bien précis ou l'on n'est soi même pas présent ou disponible. Un message préalablement enregistré peut être par exemple envoyé en pleine nuit à partir de Bruxelles, de manière à parvenir au moment approprié à un destinataire qui se trouve dans un autre fuseau horaire. 



   - L'appareil permet en outre d'envoyer un même message à une grande série de personnes en évitant les pertes de temps résultant du nombre de personnes à appeler et de la 
 EMI3.1 
 probabilité d'un certain nombre d'appels"infructueux" (1) enraison de l'absence de certains"appelés"ou de l'occupation de leur ligne au moment de l'appel. 



    (1) par appel infructueux, on entend le fait que l'appelé n'a pas décroché   

 <Desc/Clms Page number 4> 

   - La situation dans laquelle la personne qui décroche n'est pas le destinataire effectif du message (mais bien son conjoint par exemple) a également été envisagée. L'appareil est pourvu de fonctions interactives qui permettent au correspondant de mettre le message en attente (le temps d'aller chercher le destinataire effectif qui se trouve, par exemple, dans la pièce d'à côté) ou de réécouter le message après une première audition. 



  - Le dispositif comporte également une amélioration intéressante de la fonction"AUTOMATIC REDIAL"existant sur les postes téléphoniques récents et les répondeurs téléphoniques à téléphone incorporé. La fonction"AUTOMATIC REDIAL"de ces appareils permet la reformation automatique du numéro d'un poste qui est occupé et ce, selon un rythme d'environ quinze fois par quart d'heure. Cette fonction ne dispensait pas l'appelant de rester à côté de son appareil pour parler lorsque l'appelé a décroché. 



  Cette présence n'est désormais plus nécessaire puisque le décrochage effectué par l'appelé va déclencher l'émission d'un message préalablement enregistré. Dans cette hypothèse, l'appelant garde toujours la possibilité d'interrompre le message et d'intervenir"en direct". 



  - L'appareil assure la gestion optimale des appels qu'il effectue et des réponses qu'il reçoit. Il peut délivrer à tout moment un bilan relatif à l'état d'avancement de l'ensemble des missions (annonces) qu'il effectue. 



  L'annonceur répondeur interactif ne nécessite pas que le destinataire soit équipé d'un téléfax, d'un ordinateur, d'un minitel ni même d'un simple répondeur. Au contraire, il permet dans une certaine mesure de palier l'absence de répondeur ou de télefax dans le chef de l'appelé. Il suffit que ce dernier dispose d'un poste de téléphone. Toutefois pour certaines fonctions interactives, telles que la mise en attente du message ou la répétition de celui-ci, il est recommandé que le correspondant soit équipé d'un téléphone à touches DTMF. Si ce n'est pas le cas, le même résultat peut être atteint si le correspondant utilise un"pocket tone Dialer"disponible à très faible coût sur le marché. 



  Le dispositif selon l'invention permet d'autre part de résoudre de manière plus efficace certains problèmes non entièrement résolus jusqu'à présent. 



  Le premier problème qui se pose lors de l'élaboration d'un système annonceur est celui de la reconnaissance de la présence, en bout de ligne, d'un appareil répondeur et non d'une personne humaine. C'est ce problème qui est, entre autres, évoqué dans US A 4941166 (US TELECOM). La reconnaissance se fait sur base de la constatation d'un silence dans le message audio reçu du correspondant. Le même   

 <Desc/Clms Page number 5> 

 problème de reconnaissance de voix humaine est traité dans WO 92/08309 (DIBIANCA) : La reconnaissance d'un répondeur se fait selon une analyse des temps de parole et de silence de la réponse obtenue lors du décrochage.

   Des fourchettes"standard"sont établies compte tenu d'une   période"raisonnable"pour   que l'appelé s'identifie   ("Allo   ?") ou ("Smith and Associates, good afternoon") et ensuite de marquer un moment de silence pour permettre à l'appelant de parler. Lorsque ce silence est détecté, l'appareil conclut que son interlocuteur est une personne et non pas un répondeur. Plusieurs tests sont effectués consécutivement afin de réduire la marge d'erreur possible. Dans le cas où l'annonceur a identifié un répondeur automatique, il attend de détecter le silence qui suit l'émission du message du répondeur pour émettre lui-même son propre message. 



  Il faut toutefois remarquer que la méthode de l'analyse des temps de parole/silence est efficace dans un grand nombre de situations"ordinaires"mais peut se révéler plus aléatoires dans d'autres cas. 



  En effet, les modèles jugés valables pour les situations "courantes"ne peuvent embrasser exhaustivement l'extrême diversité   de "réactions" que l'on   peut obtenir lorsque le   correpondant"décroche",   tant dans le cas d'une personne physique que d'un répondeur. 



  La rapidité et l'étendue des réactions (silence/parole) de la personne qui décroche dépend de son caractère, de son âge, de ses capacités auditives ou de compréhension (langue étrangère), de divers facteurs socio-culturels. 



  D'autre part, on trouve sur les répondeurs classiques les messasges accompagnés de musiques ou de bruitages et éventuellement entrecoupés de brefs silences. 



  Compte tenu de l'extrême diversité de ces situations, un annonceur qui est programmé pour enclencher son message à la suite d'une analyse de périodes standard de parole/silence risque   d'être"leurré"quant   à la nature du message qu'il essaye d'analyser (répondeur ou voix humaine) et, s'il est en contact avec un répondeur, risque en plus de commettre une erreur dans la détermination du moment exact où son propre message peut être délivré. 



  Le taux de fiabilité d'appareils équipés d'un tel système de reconnaissance risque donc de s'avérer insuffisant. 



  Le dispositif selon l'invention quant à lui, est équipé d'un système de reconnaissance permettant de conclure à la présence d'un répondeur par l'analyse et la reconnaissance du bip sonore qui est lancé à la fin de tout message d'accueil. 



  L'analyse de la ou des fréquences qui composent le signal du "beep"d'un répondeur durant une période de validation de quelques secondes et ce, indépendamment d'autres sons ou 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 bruits permet de conclure à la présence d'un répondeur La reconnaissance du bip sonore du répondeur permet de réinitialiser le message et/ou éventuellement de le sélectionner sous une variante"réduite"et de le diffuser exactement au moment approprié. 



  Un autre problème que peuvent présenter des appareils de type "annonceurs vocaux"concerne le respect de la vie privée des personnes contactées, de leur entourage ou de leurs voisins. 



  Le dispositif annonceur répondeur de type interactif selon la présente invention est conçu pour rendre le concept d'annonce téléphonique automatique plus acceptable socialement par le public. 



  Le principe qui sous-tend la philosophie de l'appareil décrit dans la présente invention est que toute personne contactée a le droit le plus strict de ne pas écouter ou de ne pas écouter jusqu'au bout le message enregistré qu'elle reçoit ou de ne pas lui donner de réponse (de la même manière que nul n'est forcé d'écouter un répondeur classique ou de lui laisser un message, même si ce dernier comportement a parfois tendance à être jugé   comme"associal").   



  Le souci est d'éviter de diffuser un   appareil"agressif".   



  Ce principe est concrétisé de manière suivante. 



  La réitération automatique des appels, qui fait partie des propriétés de l'appareil, est exclue vis à vis d'un "destinataire"qui n'aurait pas écouté le message jusqu'au bout ou donné suite à une proposition de presser telle touche du clavier pour en accuser réception. 



  A fortiori, elle est exclue dans le cas où le destinataire n'aurait pas donné de réponse au message qu'il a reçu. 



  Ces deux"contraintes"sont intangibles, de sorte que l'utilisateur ne puisse y déroger par programmation. 



  La procédure de réitération automatique contient un système "garde-fous"qui empêche de programmer un appel jour et nuit et informe l'utilisateur de manière visuelle et sonore quant au   caractère"dérangeant"de   son message s'il veut programmer celui-ci après 21h30 (voir infra). 



  Il existe un système de réitérations rapprochées d'appels en cas de réception d'une tonalité d'occupation et un système de réitérations espacées en cas d'absence de la personne contactée, la fréquence de réitération ne pouvant être augmentée que jusqu'à certaines limites. 



  En cas d'appels à plusieurs personnes, la féquence de la réitération automatique des appels n'augmente pas en proportion de la diminution du nombre de personnes restant à appeler. 



   Il y a lieu de mieux préciser les besoins satisfaits par la présente invention, en analysant, sans but de marketing, 

 <Desc/Clms Page number 7> 

 les messages divers que l'annonceur selon l'invention peut émettre. On peut identifier :   - le   message individuel qui est, par définition celui dont le contenu est destiné à une seule personne : le destinataire. Les raisons de son émission par annonceur sont multiples : p.   ex,   un détail jugé important a été omis dans une conversation antérieure, téléphonique ou ordinaire, et doit parvenir impérativement au destinataire. Ou encore dans une journée chargée, une nouvelle doit être transmise et l'appelé ne peut être atteint, l'appelant ayant lui-même un horaire très chargé ; il est compréhensible et acceptable, à l'heure actuelle, l'appel se fasse via un annonceur. 



   - le message collectif est, par définition, celui qui a plusieurs destinataires. Dans ce cas, la"mission"est d'acheminer une même information à un ensemble déterminé de personnes : il faut par exemple, informer toute une équipe de footballeurs qu'en dernière minute, l'endroit où se déroulera le match a été modifié. 



  Dans le cas d'une"mission collective", on introduit ou on sélectionne dans la"database"de l'appareil le nom des personnes à appeler et on enregistre un seul message. Le timing des appels,   c'est-à-dire   la fréquence de réitération, la détermination des plages d'appel et la durée maximum de la mission peut se faire globalement, c'est-à-dire de manière identique pour chaque membre   du"groupe-cible",   ou de manière individualisée. L'appareil va donc lancer ses appels (formation du numéro de chaque destinataire) et, si nécessaire, ses réitérations d'appels en fonction des paramètres décrits plus haut. La mission sera considérée comme accomplie vis à vis d'un destinataire lorsqu'il a décroché et a donc pu prendre connaissance du message. Dans ce cas, l'appareil cessera toute réitération vis à vis de ce destinataire. 



   La généralisation du recours à un annonceur-répondeur interactif tel que décrit plus haut, nécessitera dans les premiers temps une certaine adaptation à cette évolution de la technique tant dans le chef de l'utilisateur du nouvel appareil que dans le chef du destinataire du message. Cette adaptation se fera de la même manière que dans le cas du répondeur classique qui est maintenant entré dans les moeurs. 



   Pour faciliter l'adaptation progressive du public à l'emploi de l'annonceur, on a prévu un"message d'introduction". Ce message général pourra être utilisé vis à vis de tous les appelés. Il est destiné à ôter toute équivoque dans l'esprit du destinataire qui vient de décrocher et à le familiariser avec cette nouvelle technique. 



  L'introduction pourrait être la suivante :"Vous êtes en communication avec l'annonceur-répondeur automatique de XX (nom de l'appelant) qui a un message à vous transmettre. Il 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 vous prie de bien vouloir l'excuser de ne pas pouvoir le transmettre de vive voix. Voici le message..." (suit alors le message proprement dit). Dans le message d'introduction, on peut également préciser ce que le correspondant doit faire pour mettre le message en attente ou pour réécouter celui-ci (fonction interactive). Le message d'introduction pourrait également contenir une invitation à laisser une réponse après avoir entendu le message. 



   Lors de l'encodage, le recours au message d'introduction peut être supprimé pour les destinataires qui sont devenus familiers du système selon l'invention. 



   L'appareil est également pourvu d'un système de gestion du temps dévolu à l'envoi de messages. 



  Il est clair qu'en fonction du nombre élevé de missions que l'utilisateur introduit, et en fonction du rythme de réitération choisi, le temps qui peut être alloué à de nouvelles missions diminue et pourrait même devenir insuffisant. Dans ce dernier cas, on en arrive à une saturation : par manque de temps lappareil est incapable de mener à bien les missions selon les paramètres introduits. 



  La mesure automatique du coéfficient théorique de saturation qui fait partie des propriétés de l'appareil décharge l'utilisateur de devoir effectuer lui-même des estimations de temps disponible. 



  Le calcul prend en compte le nombre de personnes à appeler, le nombre de réitérations et la durée maximale de chaque mission, c'est à dire la durée qui tient compte du nombre maximal de réitérations d'appel (puisque le moment où l'appelé décrochera est inconnu). 



  Si, au moment du chargement d'une nouvelle mission, le calcul aboutit à la conclusion d'un risque de saturation, l'utilisateur est averti de ce fait par une mention spécifique qui apparaît sur   l'écran.   



   Comme déjà mentionné, l'état de l'art oblige à avoir recours à des personnes spécialisées pour assurer le fonctionnement correct d'appareils. 



   Par conséquent le dispositif selon la présente invention a pour but de proposer un appareil annonceur-répondeur téléphonique de type interactif tel que le support assurant la mémorisation est un ensemble fait d'un double couple de mémoires supports d'informations numérisées résultant l'un et l'autre de la numérisation de   niveau"haute fidélité"de   la voix humaine (passage au système binaire par conversion analogique/digitale). La numérisation concrétise des entités-mémoires susceptibles d'interagir. La première entité prenant en charge la fonction de répondeur-enregistreur de messages, la seconde entité assurant la fonction d'annonceur-enregistreur de messages, lesdites entités étant fonctionnellement asservies aux signaux de commande du 

 <Desc/Clms Page number 9> 

 système de circuits logiques.

   D'un autre côté, le dispositif annonceur-répondeur téléphonique interactif selon l'invention se distingue par le fait que les signaux de commande qui émanent des circuits logiques et auxquels sont asservis lesdites entités de support d'information permettent de réaliser isolément ou éventuellement de façon conjointe, des opérations d'annonce et de réponse et en ce que ces signaux sont le résultat de l'exécution proprement dite de la séquence d'instructions intangibles présentes en mémoire morte. 



   L'appareil téléphonique, s'il est pouvu d'une unité logique de gestion selon l'invention, permet de réaliser un ensemble de fonctions réparties en deux catégories : fonctions"globales"et fonctions"intrinsèques". 



   Ainsi donc, on définit d'abord ci-après les fonctions globales permettant l'obtention et/ou l'introduction d'un groupe de données qui sont nécessaires dans l'emploi du téléphone envisagé sous son double aspect : annonce et réponse. 



  Il s'agit de la liste des gens qui sont appelables, avec leur (s) numéro (s) d'appel, le temps ou l'intervalle de temps pendant lequel ils sont appelables, de la liste des gens qui ont reçus un ou des messages émis, etc... 



   Les secondes fonctions,   dites"intrinsèques",   sont vraiment propres à chaque mode d'utilisation envisagé (répondeur ou annonceur) de l'appareil téléphonique dont on dispose. 



  La définition même de ces fonctions appelle peu de commentaires, puisqu'il est compréhensible que chaque tâche que devra effectuer le   téléphone"automatisé"selon   la présente invention, exige que soit prévu à l'intérieur de l'appareil le circuit logique correspondant à sa réalisation. 
 EMI9.1 
 



  On aura évidemment des tâches"intrinsèques"pour la fonction répondeur seule et des tâches"intrinsèques"pour la   fonction"annonceur"seule.   



  Si le téléphone a une flexibilité, comme c'est le cas pour les appareils avec système DTMF, des tâches globales mais   aussi"interactives". répondeur-annonceur   sont envisagées. 



  Ces fonctions permettent la réponse à une interrogation à distance volontaire ou suscitée. Elles permettent le délestage à distance de l'annonceur et/ou du répondeur, la mémorisation du numéro d'appel d'un appelant pendant une annonce (cas DTMF). 



   Entre chaque annonce, une boucle d'attenteinterrogation dénombre les appels en entrée. La fonction prévoit le rappel des appelables ci-dessus s'ils sont dans la liste des appelables. 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 



   Par la suite, le mot"transaction"désignera une annonce ou une réponse effectuées par l'appareil. 



   Une transaction peut être une annonce directe ou une   annonce "indirecte", c'est-à-dire   un message annoncé dont l'émission fait suite à un appel (interrogation de l'annonceur par un correspondant extérieur). Une transaction peut être aussi une réponse directe (répondeur classique connu), une réponse indirecte (interrogation du répondeur par l'abonné lui même qui interroge de l'extérieur son dispositif par voie DTMF). On supposera que, dans les plages horaires d'utilisation normale, des variables sont définies pour les entrées de données, les opérations à réaliser, la séquence à suivre, et pour les récapitulatifs après un certain nombre de minutes de fonctionnement. 



   Parmi les données que l'on garde stockées dans la mémoire fixe mais qui sont effaçables et enregistrables, on compte des données relatives aux correspondants que l'on connait de par le monde. On définit en ce qui les concerne CO$ = nom, prénom ADCO$ = rue, numéro, code postal, ville, pays NAP (i) = numéro d'appel complet du correspondant COS (I). 



   Le correspondant se voit attribuer l'indice i selon l'emplacement de son patronyme dans l'alphabet. 



  Ce numéro commence toujours par l'indicatif du pays où est situé "l'appareil appelé". Comme on le verra par la suite lorsqu'on charge l'annonceur-répondeur, un test numérique réalisé sur les deux premiers chiffres est exécuté et l'on identifie le pays de destination (chaque pays a son numéro d'ouverture de réseau). Lorsque l'appelé se trouve dans un pays situé dans un fuseau horaire différent, la sélection des plages d'appels sera faite en fonction de l'heure locale du pays. 



  Les variables opérationnelles sont celles qui évoluent selon les tâches de l'automate. 



  HAR$ (k) = nom des personnes appelées. 



  On a K=l au départ. REP (K) =Nombre maximum de répétitions de l'appel que le dispositif selon l'invention peut effectuer   vers la personne HAR$ (K). 



  SIL (K) =nombre d'appels ayant abouti   La valeur maximum de SIL (K) est REP (K)   POL (K)   est le nom de celui qui a réagi positivement sur le répondeur. On suppose qu'en respectant les convenances 
 EMI10.1 
 sociales, le fonctionnement se fait entre 9H30'et 21H30. Le dispositif de l'invention sera autonome et l'on aura donc   dans ces conditions : DEP=9H30 : AR =21H30 (par déf. ). Un   système autonome est donc défini. Bien entendu, si, dans la liste des pays qui seront appelés, l'unité logique décèle un instant d'appel probable qui est incompatible avec l'horaire correspondant du pays, l'appel réel sera effectué à un instant d'appel réel calculé selon la routine qui tient 

 <Desc/Clms Page number 11> 

 compte du décalage horaire évoqué ci-dessus, dont les fonctionnalités principales sont données. 



   D'autres explications, buts et avantages de la présente invention apparaîtront à la lumière des dessins annexés dans lequels : - la figure 1 est une illustration des circuits de communication téléphonique habituels envisagés dans la présente invention. 



     - la   figure 2 est une illustration relative aux deux types de combinés actuellement en usage. 



   - la figure 3 illustre le jeu de connexions du type "ports   d'entrée-sortie" permettant   un impact direct sur la ligne. On sait, par ailleurs, qu'une intervention en fonction   "réponse"et"annonce"est   possible pour certains types de réseau   - la   figure 4 illustre un circuit d'interface (en pratique : une carte) et la disposition des composants. 



     - la   figure 5 est un tableau des valeurs recommandées pour les composants, valeurs qui donnent un fonctionnement sans désordre, ni dans la transmission, ni sur le réseau téléphonique. 



     - la   figure 6 illustre le schéma général d'une unité logique de gestion des messasges entrants et sortants dans une installation assurant la double fonction d'annonce-réponse", selon la présente invention. 



   - la figure 7 est l'ordinogramme général illustrant clairement de manière usuelle la séquence des instructions logiques dont   l'enchaînement   permet de réaliser la double fonction telle qu'elle est prévue selon la présente invention. 



   - la figure 8 montre l'ordinogramme pour le sous-programme logique de préparation de la fonction "annonceur". (Préparation fichiers correspondants) - la figure 9 illustre l'ordinogramme pour le sous-programme logique d'émission de rapports pour l'exécution de la fonction"annonceur"compte étant tenu des contraintes de la nécessité d'assurer la   fonction"répondeur"   selon certaines modalités. 



     - la   figure 10 est une vue synoptique des fonctions proposées à l'utilisateur Menus (A) ; Menus (B) détaillés. 



   - la figure 11 est une vue en perspective d'une configuration pratique possible pour   le"répondeur-annonceur"   

 <Desc/Clms Page number 12> 

 tel que réalisé de façon préférentielle mais non limitative, selon la présente invention. 



     - la   figure 12 montre sous forme de blocs interconnectés, le chemin des informations lors des opérations réalisées par l'appareil selon l'invention. 



   Les différentes figures sont données à titre d'exemple illustrant un mode de réalisation particulier de   l'"annonceur-répondeur"selon   l'invention. 



   La figure 1 est une double illustration : la partie supérieure est relative à l'ensemble du réseau, côté abonné, et la partie inférieure concerne les circuits de principes d'un central téléphonique. 



   Rappelons (voir fig. 1) qu'une transmission est à deux fils, un fil pour la communication et un pour la sonnerie. 



  La partie supérieure de la figure 1 concerne la partie des circuits relatives à l'abonné. En dessous, se trouve la partie du central téléphonique. 



  Si le téléphone n'est pas décroché, le circuit entre l'abonné et le central est ouvert, sauf le circuit de sonnerie qui lui, est toujours relié avec le central. 



  Le circuit de sonnerie est à haute impédance et n'a pas d'influence sur la voix dans le circuit de parole. Le combiné décroché, fait la liaison. Le résonnateur donne le   ton "la" à l'oreille   de la personne appelante. L'échange est possible et un numéro peut être lancé. On parlera d' "adresse", quand aucune confusion ne sera à craindre. Les adresses sont émises par rotation d'un cadran. Les téléphones actuels envoient des signaux de fréquence audio. 



  Les téléphones à cadran sont visibles sur la figure 2a. Les appareils de la figure 2b font appel aux signaux qui, chacun, correspond à une combinaison de deux fréquences précises (système DUAL TONE MIXED FREQUENCY : DTMF). Tout système automatique qui est greffé près d'un téléphone que ce soit   pour"appel"ou pour"réponse",   est amené à prendre la ligne, ce qui équivaut à décrocher. Faire une telle manoeuvre revient à consommer, pour la tension de 48 V qui alimente la ligne téléphonique un courant de 35mA dit "courant de boucle". En fin de communication, il y a une ouverture de boucle qui dure plus de 300nsec, et qui libère la ligne. En langage courant, c'est le"raccrochage"du combiné.

   Au cours de son fonctionement, le système automatique est perpétuellement en mesure de reconnaître s'il y a un appel entrant (en langage courant"si le téléphone sonne ou s'il est occupé") car, en toutes circonstances, le réseau est conçu pour que l'information correspondant à la volonté d'établir une liaison téléphonique soit véhiculée de façon claire nette et précise qui est la suivante : une tension de 80V à une fréquence de 50 Hz est superposée, par le central téléphonique, au 48 V continu de la ligne. La détection électronique de cette tension (donc de ce signal 

 <Desc/Clms Page number 13> 

 alternatif superposé à un signal continu d'amplitude double du signal initial) est chose facile qu'on peut réaliser quelles que soient les circonstances de fonctionnement de l'appareil récepteur.

   La détection du courant de boucle permet de   détecter"le courant"de   boucle. Il suffit d'interposer, en série, avec le poste téléphonique un tel circuit classique"détecteur de boucle"qui est un véritable interface téléphonique. Pour un seul poste, un tel dispositif permet de savoir si l'on a décroché l'appareil en l'absence du propriétaire. Pour une multiplicité de postes (voir Fig. 3) auxquels serait associé le dispositif selon l'invention, l'interface détecteur de courant de boucle permet de déceler les décrochages (en appel et en réponse) et d'enregistrer les numéros composés (en numération décimale codée binaire).

   Signalons, également, dans ce cadre de la multiplicité de postes, la possibilité, connue de l'interface "coupure de lignes", interface qui, couplé avec le dispositif selon l'invention permettrait une discrimination d'appels. 



   Les possibilités que peuvent présenter les circuits d'interface sont nombreuses et très importantes. Il en est évidemment une qui ne sera accessible que dans des cas peu fréquents : la fonction d'identification de l'appelant. Elle est intéressante dans le cadre de la présente invention puisque l'annonceur ayant par exemple sollicité une réponse, que l'appelé ne peut donner directement, l'appelé a trois possibilités, quand il répond ultérieurement à l'invitation à retéléphoner : - A. L'appelant initial est physiquement présent.- - B. L'appelant initial est absent mais le répondeur existe et un répondeur n'insupporte pas la personne.-   - C.   L'appelant est absent, le répondeur existe mais on répugne à l'employer (cas plus fréquent que l'on ne pense). 



  Sauf dans la cas où la   personne"allergique"au   répondeur a un appareil avec D. T. M. F. et consent à l'utiliser, JAMAIS, le numéro d'appel d'un poste émetteur ne sera physiquement identifiable. 



   Les autres éléments du dispositif selon l'invention dans le cas d'une installation multi-postes sont le détecteur 2, la prise de ligne 4 par laquelle les impulsions analogiques arrivent via les deux lignes symbolisées en pointillé en 7. 



  La référence numérique 6 est relative à l'inverseur de polarité qui fonctionne sous commande de l'unité logique 5 (fig 3). 



   Un schéma d'interface réalisé sur carte (ou à trois dimensions pour raison de compacité) est visible à la figure 4. Les composants employés pour greffer ce circuit sur le réseau téléphonique sont classiques. Il s'agit de transformateurs, photocoupleurs, relais, diodes dont des 

 <Desc/Clms Page number 14> 

 valeurs donnant des résultats satisfaisants sont donnés à la figure 5. 



   La partie supérieure du circuit de la figure 4 montre que le circuit secondaire du transformateur de type courant TRS53 est connectable à des entrées/sorties de basse impédance pour signaux audio provenant du convertisseur D/A qui a réalisé la recomposition analogique du signal numérique présent en mémoire dans la section réservée aux"appelables du jour". 



  La compatibilité de basse impédance est garantie par les 680 ohms de R3, tandis que la protection de la forme des signaux est garantie par le carré des diodes lN4148. 



   La partie centrale de détection de sonnerie est un montage redresseur alimenté par un circuit R, C, qui bloque le courant continu. Les entrées de commande des relais sont activées à l'état bas et leur référence est la masse. La commande de relais se fait en 5 V dont l'origine peut être le système logique selon l'invention. 



   Les valeurs numériques et les caractéristiques de composants électroniques actifs et passifs mentionnés au tableau de la figure 5 sont des données éprouvées par l'exprérience. La tolérance à adopter est largement fonction des exigences et normes existantes car l'emploi du dispositif selon l'invention est conditionné par l'agrégation par un ensemble d'organismes. La réalisation physique et le fonctionnement du dispositif implanté sur un réseau correctement conçu pour simuler un réseau téléphonique, permettent d'affirmer que les valeurs de la figure 5 sont acceptables par les autorités de gestion de réseau téléphonique à qui il incombe de définir les erreurs relatives tolérées, en basant cette définition sur des arguments techniques visant à l'intérêt commun dans les relations socio-économiques. 



   A la figure 6, on a illustré, par une présentation originale, le schéma des connexions nécessaires au fonctionnement du dispositif selon l'invention. Les techniques sont celles de la microélectronique. C'est une micro-électronique dont l'unité logique 7 accessible par le clavier 8, est une plaquette d'un monocristal de silicium ; l'unité logique 7, englobe sur un centimètre carré 1000000 de   circuits intégrés à grande échelle (V. L. S. I. ). Le circuit de   parole 4 est celui englobant la prise de son, la numérisation. Sur la figure 1 est la sonnerie, SI est le connecteur de prise de ligne, Q1 maintient la cadence des impulsions entre l'unité 7, impulsions qui sont commandées selon la séquence Q2, séquence qui est asservie au programme de l'unité.

   La référence numérique 9 est une batterie d'appoint qui, via la résistance évite l'effacement des 

 <Desc/Clms Page number 15> 

 R. A. M. fs. L'emploi d'un tel processeur en conjonction avec une unité téléphonique est connu : Ex : le"chip AM   160"de   "National Semiconductor"qui est mentionné dans la revue   française"01/Informatique"   (18/11/91). Les différents supports de messages sont désignés comme suit :-MESSANl sert à mémoriser, en bits, les messages du jour.-MESR2 mémorise le message de   bienvenue/répondeur-REPAN1   sert à mémoriser les messages réponses/répondeur-REPR2 mémorise les messages réponses/annonceur. Un message global introductif pour"non   initiés"est   prévu en une adresse spéciale de MESSAN1.

   Tous les messages sont donc numérisés et adressés pour être conservés en mode numérique. 



   Il est clair que pour respecter le caractère impeccable et reconnaissable de la voix, appelante ou répondante, on doit faire appel à une numérisation suffisamment fine. Si le signal numérique est désigné par s=f (t), où t est le temps qui s'écoule pendant le discours, on sait qu'il faut une fréquence d'échantillonage de 4000 hertz pour avoir une reproduction fidèle (La bande de fréquence qui permet de reconnaître une voix est comprise entre 200 et 4000 Hertz). 



   Une numérisation de la voix est réalisable de façon courante, de nos jours. On connait des convertisseurs A/D qui s'intègrent facilement dans un organe périphérique. Cet organe réalise une opération d'échantillonage et de mémorisation de f (t) ; il est parfaitement intégrable dans un microprocesseur installé dans un environnement de téléphone selon l'invention. Le but principal de l'invention est d'assurer une gestion optimale logique des messages sortant et entrant d'une installation de téléphone en visant plus particulièrement le cas où le réseau téléphonique utilisé n'est pas spécialement numérisé. Bien qu'il présente l'énorme désavantage d'exiger un canal par communication, le réseau traditionnel ne permet de recevoir sur la boucle locale de l'appelé qu'un seul message de voix, sur un seul canal.

   Sans réseau numérique, sur un canal, on peut employer des méthodes de multiplexage : on adopte une fréquence d'onde porteuse double de la fréquence maximale vocale : par exemple, 8,14   kHertz   en utilisant 12 canaux de largeur 12, on utilise une bande passante de largeur 48kHz dans laquelle, par démodulation, deux messages sont identifiables. Dans la bande passante de la ligne ordinaire, on envoie, en plus de la parole, des signaux qui sont descriptifs des états de la ligne. Ils peuvent être soit analogiques, soit numériques. 



  Les dix chiffres décimaux sont, en système D. T. M. F., la combinaison de deux (dual) fréquences de la bande vocale émise simultanément. La conversion de ce mélange de fréquences en un train d'impulsions correspondant se fait au central. 



   Il est évident que la mémorisation du message se faisant sous forme numérique, il est superflu, lors du lancement 

 <Desc/Clms Page number 16> 

 d'une annonce, sur un réseau numérisé qui est destiné à un terminal radiotéléphonique numérique, de réaliser la conversion D/A. Non seulement elle ne se justifie pas économiquement, mais elle est dépourvue de signification technique. On prévoit, dès lors, également selon la présente invention, le passage direct du message mémorisé dans l'interface de prise de ligne pour réaliser le passage et l'accès direct à la ligne en mode"annonce"et en réponse. 



   L'application de la présente invention se conçoit dès lors, sur le réseau à onde porteuse usuel (réseau analogique) et sur les réseaux numériques tels que   PBX,   DCS, à modulations d'impulsions codées (PCM) et TDM (Time Division Multiplexing) et aussi sur les réseaux haute fréquence (fibres optiques) ; I. S. D. N., etc... 



   Il existe sur le marché, des cartes analogiques/numériques et numériques/analogiques spécialement pour le spectre des fréquences vocales. Signalons la carte SOUNDBLASTER codée sur 16 bits qui couvre les différents niveaux vocaux et permet la reconnaissance de voix. 



   L'invention visant la qualité de la voix, lorsque l'on travaille sur le réseau numérique, le   codeur/décodeur   doit avoir un débit d'au moins 16 kbits/sec. Il est clair, qu'au moment de l'installation de l'annonceur, selon qu'il est branché sur le réseau numérique ou non, la mise en oeuvre, en fonction annonceur du convertisseur D/A sera opérée ou non. 



  Ceci restera une option de l'appareil selon l'invention. 



   Le caractère convivial de l'appareil se concrétise par le fait que l'on peut démarrer une journée au cours de laquelle le dialogue avec l'appareil sera possible à tout moment. 



   On commencera par extraire du"bottin interne de l'annonceur-répondeur", la liste des personnes que l'on souhaite appeler au cours de la journée. 



   On procèdera alors, pour ces différentes personnes aux enregistrements qui les concernent. Bien entendu, il est également possible d'envoyer un message à une personne qui ne figure pas dans la database et qu'on ne souhaite pas l'y incorporer. On fera alors une"introduction directe". 



   Au cours de la journée, à tout instant, l'appareil sera consultable et, éventuellement un chargement inopiné de message pour la journée et/ou pour les jours suivants peut être fait. A tout instant également soit sur place, soit à distance l'appareil sera interrogeable et les messages reçus directement en   fonction "répondeur" ou   induits suite à l'appel de   l'''annonceur''seront   entendus. 

 <Desc/Clms Page number 17> 

 



   Quoique peu envisageable, pour rester raisonnable, on peut proposer de réaliser, à distance, un enregistrement ou une altération d'enregistrement qui serait nécessaire en fonction des événements qui eu lieu au cours de la journée. 



  Il suffit, à la condition de travailler sur le réseau DTMF d'appeler, à distance l'annonceur et de charger le message. 



   On peut envisager également d'avoir, à distance, une édition de l'état d'avancement des tâches données en début de journée. 



   Ces différentes fonctionnalités interactives sont en fait le résultat d'une programmation soignée de la mémoire morte. 



   Le transport de   l'appareil "annonceur-répondeur" au   cours d'un voyage, dans un pays étranger nécessite les opérations suivantes :
Changement de l'heure propre de l'unité logique
Chargement du programme de changement de réseau téléphonique : le test sur les numéros les plus fréquents dans   le"bottin"étant   un test sur l'indicatif international du pays d'achat de l'appareil, une modification est à envisager. 



   Les programmes de changement d'heure suite au décalage horaire sont la plupart du temps paramétrisable et dès lors, la modification sera faite dès que sera effectué le changement d'heure locale. 



   Il n'existe pratiquement plus aucun pays où une intervention humaine (opérateur) soit requise pour établir une liaison téléphonique. 



   Tous les réseaux sont   dits"autocommutés"mais   il existe, malgré les efforts du"Comité Consultatif   International Télégraphique et Téléphonique" (C. C. I. T. T. ) des   difficultés, non pas au niveau des transmissions qui sont d'une grande perfection (liaison par faisceau optique, par satellites) mais au niveau   des"plans d'acheminement".   Dans la mesure où le plan de numérotage mondial spécial conçu pour la transmission mondiale à l'aide de treize circuits internationaux n'est pas admis par toutes les autorités du globe, l'automatisation peut être arrêtée dans l'un ou l'autre pays connu d'avance et repris dans les bottins.. Il est clair que l'annonceur téléphonique selon l'invention peut prendre en charge un message intermédiaire pour l'opérateur (rice). 



   On comprend donc, que le système selon l'invention est universel puisque, depuis 1947, des commissions techniques internationales du C. C. I. T. T. ont mis sur pied des spécifications de signalisation et de commutation pour exploitation internationale semi-automatique   c'est-à-dire   avec suppression des opérateurs (rices) dans le pays d'arrivée et maintien seulement, dans le pays de départ, 

 <Desc/Clms Page number 18> 

 d'opérateurs (rices) qui peuvent obtenir directement au clavier les abonnés des pays éloignés. Les travaux du C. C. I. T. T. ont porté principalement sur une standardisation dans les trois domaines fondamentaux d'une bonne transmission : signalisation, numérotage, acheminement. La présente invention s'inscrit harmonieusement dans ces règlementations. 



   Un type de support de message envisageable dans le cadre de l'invention, est le disque compact amovible à voix numérisée et échantillonnée finement et donc non comprimée. 



  Selon le marché des nouveaux composants, de tels supports seront attractifs, ils font partie de l'entité conçue selon l'invention. 



   Sur chacun de ces supports, un message spécifique est évidemment audible isolément : en utilisation à partir du clavier (utilisation locale), la localisation en mémoire adressée de la réponse éventuelle du destinataire se fait à l'instant, même étant donné que chaque réponse correspond à une annonce déterminée qui est enregistrée par voie numérique et que chaque message d'annonce est identifié au départ par le nom du destinataire. En tapant sur le clavier d'entrée, le nom PO (K) du répondant lu sur le récapitulatif mémorisé pour le jour en 206 (fig9), on pourra entendre un message"direct"ou"indirect"via le bloc 260 ou 270, selon le cas. L'émulation se fait via les bus et pointeurs 210,214, grâce à 204/206. Ceci engendre finalement la restitution.

   En aval des blocs de sortie de messages proprement dits, on a, en série, les blocs 340, 350,360, 370,380, 390, qui ont des fonctions auxiliaires telles que, dans l'ordre : message de saturation (390) : nombre d'annonces possible maximum atteint ; nombre d'appels : (380) nombre et en DTMF, identité des personnes ayant appelé (370) : nombre d'enregistrements spontanés (fonction répondeur) (360 et 350) : bilans divers (fig. 9). 



   Le bloc (fig. 6) avec la référence 8 est un clavier d'entrées de données. Il est nécessaire pour entrer les variables de départ, définies ci-dessus notamment NAI (i) et REP (k). Il s'est avéré que l'unité 40-WAY KEY PAD de la firme MAPLIN (RAYLEIGH, England, Essex SS62BR) de niveau 2 en assurance de qualité et présentant une surface utile de 87X8 mm carrés est adaptée au but poursuivi. 



   La capacité Cl (fig 6) est nécessaire pour stocker   l'énergie,   quand il y a interruption de courant en cas de train d'impulsions (émis ou reçu) par rotation du cadran (voir figure 1). Le commutateur S2 permet la mise sous tension de l'unité logique. La ligne symbolisée en pointillé et surmontée du signe RAM illustre le fait que le train d'impulsions correspondant à une personne appelée (si l'on veut, donc, à son numéro d'appel) actionne la commande SI, la boucle des impulsions proprement dite étant réalisée via la 

 <Desc/Clms Page number 19> 

 diode de régulation Dl en série avec le transistor Q1 dont la base est contrôlée quant à sa tension de conduction par l'élément Q2 qui joue, de ce fait, le rôle d'actionneur d'impulsions.

   Le bloc 1 symbolise l'unité de sonnerie (partie centrale sur la représentation de l'unité d'interface donnée à la figure 4) et 2 est un pont de redressement. 



   L'unité 4 est le réseau de paroles (ici, c'est le bloc, constitué des quatre appareils convertisseurs numériques/analogiques/restitution de messages). Les quatre éléments de cette unité annonce/réponse sont visualisés à la figure 11. Ce bloc est activé ou non activé par Q4 qui est évidemment lui-même asservi aux signaux issus de l'unité logique qui envoie l'adresse des 4 mémoires ci-dessus qui doivent être questionnées. L'alimentation est sous contrôle de Q3 qui l'enclenche ou l'arrête. 9 est une batterie de sauvegarde pour possible coupure de courant. 



   Les schémas 4 et 6 présentent la complexité de l'entrée sur un réseau et de la communication sur ce réseau souvent dépourvu de"D. T. M. F.". Il va de soi que l'interconnexion est plus simple entre les lignes D. T. M. F. et une unité logique. Elle est usuelle dans les centraux avec D. T. M. F. et est applicable à la présente invention et n'est pas décrite davantage car elle est connue de l'homme de l'art. 



   Le présent type de fonctionnement téléphonique local fonctionnant avec unité logique avec usage unique de la conversion A/D, stockage, conversion, D/A doit être expérimenté soigneusement hors réseau. 



   Lorsque la charge des opérations n'est pas trop importante, l'unité logique peut être arrêtée, sans perte d'information. On a en un boîtier, les fonctions booléennes usuelles, celles de calcul évolué, une unité de micro-traitement complète, des mémoires plusieurs dizaines de milliers d'éléments binaires. Ces mémoires sont à seule lecture ROM. L'organisation générale du dispositif logique exige au moins une carte de circuits imprimés reliant entre 
 EMI19.1 
 eux les différents boîtiers :-boîtier microprocesseur (processeur principal),-boîtier, très important dans le cas présent, de la temporisation, fournissant la cadence aux autres, avec d'éventuelles interdictions signalées par 
 EMI19.2 
 drapeaux,-boîtiers mémoires,-boîtier d'entrées/sorties, - boîtier d'interface (voir supra).

   Les liaisons communes sont matérialisées sous forme de "bus d'information" permettant l'échange des signaux des capteurs   d"état   de la ligne", l'échange des adresses : celles de la commande et celles de la synchronisation ; des microprocesseurs 32 bits réalisés en technique CMOS sur une seule puce, par exemple de "Belle Lab", semblent bien adaptés. Le type d'unité logique ici envisagé est à algorithme unique : programmes et données sont stockés dans des mémoires immuables et notamment qui ne 

 <Desc/Clms Page number 20> 

 perdent pas la moindre partie d'information en cas de coupure d'alimentation. Sous cet angle de vue, la préférence sera donnée aux REPROM. Les mémoires RAM sont classiques, à semi-conducteurs ; elles, perdent leur contenu en cas d'alimentation électrique discontinue.

   Un micro-ordinateur comme le TO-8 de la firme THOMSON est applicable. 



   Dans le même ordre   d'idées,   la série TMS1000 de la marque"Texas Instruments"est signalée. Il y a évidemment une décision à prendre : il faut comparer le coût du temps passé à écrire un programme destiné aux ordinateurs tels qu'ils sont devenus plus courants avec le coût correspondant au temps indispensable de mise au point. La décision prise est nettement en faveur de la solution suivante : lorsque le programme a subi les essais et que la décision est prise de fabriquer le système, la version finale est adoptée, le circuit du micro-ordinateur standard est programmé par masquage, qui vient s'inscrire de façon irréversible, qui ne peut ni être effacée ni détruite. Ce type de sécurité est indispensable à la réalisation d'un produit de classe. 



   En fait, après l'acquisition du circuit standard, seule la métallisation de masquage doit absolument être répétée. 



  Le programme de masquage est évidemment rapidement fait, de nos jours, grâce aux systèmes de développement de"softwares" qui sont connus des développeurs d'applications. Sur le produit pourvu de son masquage les essais pratiques, en situation quasi-réelle, sont faits en utilisant des simulateurs et des émulateurs qui reproduisent exactement des situations concrètes réelles et permettent d'avoir, statistiquement, un haut niveau de confiance dans la fiabilité du système. 



   On trouvera, ci-après une liste à titre exemplatif de l'ensemble des variables alphanumériques qui sont envisagées pour mener à bien les opérations. 



   - I est le nombre de personnes qui sont appelées. I peut varier en opérations, puisque des appels, non attendus, inopinés repérés par l'appareil sont identifiables et leur numéro d'appelant peut être détecté, ce qui permet de les rappeler ultérieurement (étapes 10 et 110 dans l'ordinogramme de la figure 7). 



   - J est le nombre de personnes à appeler ce jour là et qui donnent lieu à une annonce qui tient compte, le cas échéant, du décalage horaire. 



   - INOP est le drapeau d'appels inopinés, inattendus. (étape 9, fig 7)   - K   est le nombre   de "non-décrochage" du   correspondant   Co$   est le nom du correspondant n'ayant pas décroché qui devient après la première tentative infructueuse HAR$ (K). 



     - L=L+ 1 compteur   des appels essayés et qui ont réussi : arrêt de la fonction annonceur (lorsque I=L) - F1 flèche désignant sur l'ordinogramme de la figure 7 un appel inopiné (voir fig. 7) 

 <Desc/Clms Page number 21> 

   - F2   signal DTMF émis par le poste de l'appelé et qui a pour effet de mettre l'appareil sur"PAUSE", compte tenu du fait que le destinataire effectif du message ne se trouve pas à côté de l'appareil. 



     - F3   signaux de libération de la fonction d'attente éventuellement mise en oeuvre en F2 et de réémission du message d'annonce à partir de son début (Fig 7). Le processus est enclenché par un signal DTMF spécifique émis par le destinataire effectif qui a rejoint le poste téléphonique sur lequel il est appelé. Le processus de remise à zéro et de réémission du message peut également être enclenché par le BIP sonore d'un répondeur avec lequel l'annonceur se trouve en communication. Au moment du BIP l'annonceur"reconnaît"qu'il se trouve en communication avec un répondeur et fait redébuter le message au moment précis de la fin du BIP sonore.

   L'utilisation de la technique numérique permet de ne pas devoir tenir compte d'un temps de rebobinage de cassette, comme ce serait le cas sur un annonceur-répondeur fonctionnant selon un système analogique. 



     - HFT   (I) heure ou instant de la fin de transmission des annonces, soit fin de l'appel de numéro I. 



     - TIMEOP   temps de début d'opérations (Etape 5 fig. 7)
N=0, 1 drapeau : prend la valeur 1 si l'on souhaite l'émission du"message pour non-initiés"et la valeur 0 dans le cas où seul le message, sans message général d'introduction est souhaité. 



   - AR=0, 1 est la demande (valeur 1) d'arrêt intempestif et demande de bilan. 



   BIL est l'interrupteur direct enclenchant l'émission d'un bilan - FMES est le drapeau de fin de message 
Selon la figure 7, la séquence logique fonctionnelle est reprise pour les opérations ANNONCEURS lorsque après le test de l'étape 5, on a constaté que le temps courant était compris entre 9H30 et   21H30,   on débute à l'étape 3 les opérations. Les grandes lignes de principe sont : la mise en route du compteur L (étape 4) la prise de ligne en 6, l'émission du numéro d'appel NAP (I) destiné à l'appelable I, (étape 8), et en 20, le test de décrochage. A la figure 7, F1, F2, F3 désignent, comme évoqué ci-dessus, les possibilités diverses d'éventualités faisant obstacle ou différant l'émission du ou des messages. En 120, on teste si le compteur L a atteint la valeur I, qui est aussi le nombre maximum des destinataires du jour.

   Finalement, signalons en 130, un important test qui permet d'interrompre toutes les X (au choix) minutes (dans le cas de la figure 7, toutes les quinze minutes), la   fonction"Annonceur"au   profit de la   fonction"Répondeur".   



   En référence à la figure 9, les blocs fonctionnels de l'appareil global sont répertoriés. On peut choisir cinq   fonctions"internes"lors   de l'utilisation de   l'appareil :   

 <Desc/Clms Page number 22> 

 l'enregistrement des messages (5) de particulier à particulier ou de messages globaux (voir l'ordinogramme de la figure) la"mise à jour (10) du bottin"des appelables, la mise en opération"annonceur" (15) au sein de laquelle on distingue la"marche normale" (étape 17), et la demande d'un bilan (étape 19) avec son édition. 



   En   fonction"Répondeur",   la figure 9 permet de voir que l'on distingue   l'opération "Répondeur"   (20) et l'enregistrement du message d'accueil (25). En cas de fonctionnement MULTIPLEX, Haute fréquence, fonctions "répondeur"et fonction"annonceur"sont, éventuellement pour l'observateur, rendues simultanées par filtrage correct sur la ligne de canaux existant entrant et sortant. Il faut noter que, de la même façon que les opérations de l'annonceur sont d'une durée limitée, le fonctionnement en répondeur simple ne dure jamais plus de trente minutes (voir ordinogramme de la figure 9). 



  Par ailleurs, la conception d'un circuit intégré équivalent à un micro-ordinateur n'est compliquée que dans la mesure où l'on ne   maitrise   pas la technique des"puces"TTL, des cellules CMOS et de leur mise en implantation sur une carte. 



   Si le développeur du produit selon l'invention   n'a   pas cet acquit, un apprentissage peu ardu est nécessaire. 



   Dans ce cas contraire, il s'agit de développer un système de confection de logiciel habituellement acquis auprès d'un constructeur et de suivre la procédure clairement évoquée plus haut, ci-dessus. 



   La figure illustre les opérations à réaliser pour employer judicieusement le dispositif selon l'invention. 



  L'appareil est mis sous tension et un menu principal est   proposé (voir Fig 10. ) qui donne les options d'emploi   possibles ; la figure 10 en question montre, de toute évidence, que, via le clavier (8) (fig 11) d'introduction de données, on encode les données relatives aux éventuels correspondants, des altérations de ces données, et d'éventuelles annulations. 



   Ceci est, en fait une application accessoire, certes mais éventuellement intéressante en tant que répertoire d'adresses. L'ordinogramme relatif au traitement du fichier des correspondants est donné en figure 5. 



   Cet ordinogramme n'appelle, de fait, aucun commentaire, une mise à jour étant courante en traitement de l'information. La seconde option du menu principal "annonceur"est le chargement. La figure 8 illustre les opérations de chargement de l'appareil pour fonctionner comme "annonceur-répondeur'. l'appareil dont le raccordement téléphonique au réseau est toujours concrètement présent, selon le schéma classique repris à la figure 3, est mis sous 

 <Desc/Clms Page number 23> 

 tension (étape 10 ; fig 5). Le bus de mise en service 16 (fig) émule via le port d'entrée 210 l'unité logique 204, laquelle enclenche une routine de gestion du mini-écran située dans la mémoire morte 208. Ceci provoque l'affichage global ou par déroulement des messages sur l'écran. 



   La figure 12 illustre une vue globale des flux d'informations relatifs au dispositif d'annonce-réponse selon la présente invention. 



   Le rectangle tronqué interne, délimité par une série de barres et de points, représente le centre opérationnel du système électro-logique. Il représente la partie recevant les signaux d'entrées (données ou ordres) et émettant des signaux sortants (enclenchement des enregistrements/arrêts, des annonces, des réponses). Le rectangle extérieur complet délimité comme ci-dessus, englobe la fonction réponse. 



   L'unité logique 204 comprend une unité arithmétique et logique, un registre pour des opérations arithmétiques, un registre de contrôle d'adresses, un registre d'instructions, un décodeur d'instructions, ainsi que d'autres circuits fonctionnels. Le bloc 206 est la mémoire transitoire qui servira à la réalisation des opérations choisies (Mise à jour du fichier ; Annonceur ; autres (cf Fig 10). 



   Après la mise en service via le port 16, l'entrée en jeu 206 (fig 9) se fait via le port d'entrée 210 et le pointeur 214 si bien qu'une fonction spécifique est choisie parmi les quatre fonctions dans les blocs de numérisation binaires soit : 195,197, 198,199. Concrètement, 195 est le circuit acceptant directement le langage en clair de la mise à jour du fichier ; 197 émule la fonction annonceur ; 198 émule la fonction répondeur ; 199 émule respectivement et dans l'ordre, selon les choix : 199a (statistiques) ; 199b (prix isolés ou 
 EMI23.1 
 cumulés) ; 199c termine, quant à elle le fonctionnement du dispositif d'annonce/réponse selon la présente invention (fig 9). 



   Le flux des informations suivant les trajets 210,214 est fait en code d'opérations et d'adresses symboliques. 



  L'unité 204 convertit évidemment cette forme symbolique en langage machine binaire,   c'est-à-dire   qu'elle contient le programme d'assemblage. La voie d'entrée 202, suit le trajet 210,214 ; elle est programmée en langage symbolique et est donc la voie d'entrée pour l'enregistrement des nouvelles relations (futurs appelables). Cette voie d'entrée contient un drapeau (D) qui force systématiquement l'unité logique   204, après   conversion en langage binaire à stocker les informations directement dans la mémoire morte 208. Par le même drapeau (D), la voie 214 injecte dans le système, toujours via 210,214 des altérations relatives aux anciennes relations.

   Dans ce dernier cas, l'unité 204 appelle le pointeur 214 (droite), les données correspondantes qui sont 

 <Desc/Clms Page number 24> 

 lues uniquement hors du bloc 208, transférées en 206 où par le biais de 204, les altérations sont effectuées. Lorsque le signal de fin de processus d'altération des données est lancé en provenance de 214, les données altérées rétrogradent en 208. Un retrait ou une suppression de relations étant un cas particulier de ce qui vient d'être expliqué, le processus est le même pour ce cas. 



   On comprendra que 216 étant la voie d'entrée des appelables du jour, l'information les concernant suit le même trajet (chargement de 208 à 206). 



   Dans le cas d'encodage des appelables du jour, le programme (voir figure 8) implique une limitation du nombre d'annonces possibles entre les heures convenues, de là, découle l'existence du bloc"saturation" (230, fig 12). Le bloc 218 est la voie d'entrée pour les enregistrements. Les bus et pointeurs 210,214 finissent par assurer la commutation de 204 qui charge la routine d'enregistrement située en mémoire morte en 206. Selon le choix d'un drapeau fait au niveau de   l'entrée,   l'enregistrement se fera sur MESSAN1 ou MESSAR2 qui sont les mémoires respectivement pour les messages de la fonction"annonce"et pour le message unique (mais évidemment changeable pour l'invitation en   fonction"répondeur"   (MESR2). 



   Enfin, 220 est la voie d'entrée pour l'interrogation relative aux messages reçus : ils peuvent être dûs au   fonctionnement "répondeur" où   ils peuvent être la conséquence de la   fonction"annonceur".   



   La petite flèche portant la référence signifie que si l'on dispose des facilités D. T. M. F., l'entrée 220 sera accessible à distance, via les processus de flux informatifs décrits ci-dessus et, donc, les messages reçus, qu'ils aient une origine"directe" (fonction répondeur) ou indirecte (fonction annonceur) seront donc audibles à distance par téléphone, étant entendu que la discrimination des fréquences sera faite et que le programme en 206 en tiendra compte. 



  L'opérateur choisit, à ce moment voulu, par exemple, l'option "annonceur"au menu visualisé sur la figure 10. Il choisit, sur le mini-écran (voir Fig) le"pavé"du menu"Introduction des appelés du jour". Les étapes 20 et 30 (Fig 5) servent à introduire les variables   CO$   (i, j) et ADCO$ (i, j) et NAP (i) des futurs appelés du jour. Ces différentes données émanent du registre 195 d'entrée (Fig9) où elles sont ordonnées selon les techniques de la logique des circuits par adressage précis. C'est évidemment le système d'exploitation qui opère cette gestion des données par les techniques classiques des langages machine des mini-système de traitement de données. 



  En 30, on teste si NAP (i) vaut ou non 32 (numéro international du pays d'installation du dispositif, par exemple dans le cas présent la Belgique. Si NAP (i) est 

 <Desc/Clms Page number 25> 

 différent de 32, l'unité logique 204 (fig. 9) charge à partir de la mémoire morte 208 la sous-routine classique du domaine public. de calcul du décalage horaire (Bloc logique DECAL (fig   5))   Ayant, à présent, bien rappelé, dans ce qui précède, les possibilités qui existent, on énonce ci-après, les différentes fonctionnalités dont l'appareil est doté : On se reportera à ce qui a été dit plus haut, quant aux types de fonctionnalités envisagées.

   Ces dernières sont précisées dans ce qui suit : après, les différentes fonctionnalités dont l'appareil est doté : On se reportera à ce qui a été dit plus haut, quant aux types de fonctionnalités envisagées. Ces dernières sont précisées dans ce qui suit : Les fonctions globales que doit assurer l'appareil téléphonique muni du dispositif selon l'invention, sont les suivantes : - Garde mémoire de l'ensemble des personnes susceptibles d'être appelées (avec ou sans emploi du système). Mémoire de 512K. 



   - Possibilité d'entrer dans la mémoire ci-dessus des noms et caractéristiques relationnelles de   nouveaux"entrants" :   constitution d'un"botin personnel". 



   Visualisation globale du panorama des succès/échecs au cours des intervalles de temps de contacts et/ou d'essais. 



  Fonctions intrinsèques : pour l'annonceur : gestion optimale du planning des appels/réponses au cours du temps qui s'écoule pendant une journée. 



  Fixation en début de journée, ou préalablement à une absence, du nombre de personnes à appeler. 



  Fixation des heures de début et de fin des appels. Fonction de libération de la ligne, et de lancement du numéro d'abonné. 



  Fonction de visualisation du nombre d'échecs lors de l'essai d'appels nombreux à une même personne. 



  Pour le répondeur : Prise de ligne ; Emission du message d'introduction enregistrement de l'éventuel message de réponse du correspondant qui a eu l'initiative d'appel. 



  Fonction de possibilité d'interrogation à distance du contenu des messages reçus (cas DTMF). Enclenchement d'arrêt télécommandé de l'appareil de l'un ou l'autre modes de fonctionnement (cas DTMF). 



  Entre deux annonces : réservation d'intervalle temporel où la 
 EMI25.1 
 réception des messsages est possible (fonction"répondeur" imbriquée dans la fonction "annonceur"). Détection de sonnerie : mémorisation du numéro d'un appelant pendant une annonce (cas DTMF). 



   La présentation du dispositif est celle d'une boîte parallélipipédique dont les dimensions sont (en mm) : 280x220x70 en incluant dans ce volume, le volume propre de 

 <Desc/Clms Page number 26> 

 l'appareil téléphonique, qui, en pratique représente les 2/5 du volume total, environ, suivant les types d'appareils qui sont, au départ, installés. 



   La figure 11 illustre une configuration pratique du dispositif selon l'invention. 



   L'avantage principal du système de gestion de messages éventuellement interactifs selon l'invention réside dans la présence de pièces à fonctionnement mécanique en nombre minimum. 



   La mémorisation se fait par voie numérique pure. 



   L'horloge interne présente de l'unité logique détermine les interventions de cette unité. Deux opérations sont asynchrones à ces ensembles de tâches logiques ; il s'agit des entrées via le clavier et des sorties des impulsions de numérotation. On utilise la méthode des interruptions pour prendre en charge ces tâches. Les données entrant dans l'unité logique sont traitées par"paquets"qui sont emmagasinés à intervalles réguliers d'interruption. Toute tâche du programme principal de l'unité logique est ainsi inhibée lorsque l'unité logique est chargée de l'ensemble des "missions" qu'elle doit effectuer lors d'une journée. 



   En fonctionnement, l'émission des impulsions de numérotation se fait indépendamment du rythme d'horloge et cesse avec le drapeau de fin d'envoi de numérotation. 



  L'appareil a un affichage matriciel (fig 11) par exemple à cristaux liquides, l'écran a au moins 6 lignes à 32 caractères. La visualistion intégrale des paramètres d'identification d'un"appelable"est possible sans effectuer de manoeuvre de commutation d'écran ou de"glissement"de ligne dans le cas d'affichage à cristaux liquides. 



  Le clavier est usuel, à touches carrées, d'environ 8 mm de côté. Un type de clavier satisfaisant a été mentionné. Il comporte des touches fonctionnelles aux intitulés évidents : "A"pour la   fonction"annonceur"unique,"R",   pour la   fonction"répondeur"unique   et   Mil pour   assurer la fonction mixte."M"sera évidemment la touche qui sera la plus souvent utilisée. 
 EMI26.1 
 l En plus des touches fonctionnelles, le clavier (8) aura les 26 lettres alphabétiques, 10 chiffres, 16 touches de ponctuation et une touche de commande d'écran. 



   Les mémoires sont à deux états logiques et sont donc classiques, soit sur support"dur"ou sur disquette ou disque optique, avec effacement possible selon les besoins opérationnels. 



   La puissance de l'appareil accoustique de sortie est de 400mW, avec un rapport de sortie signal/bruit de 30dB. Un haut-parleur (1)   (fig11)   permet la reproduction des différents 

 <Desc/Clms Page number 27> 

 messages, en entrée et en sortie, en acceptant des signaux dépourvus de distorsion, pour une impédance de sortie de 8 ohms, le diamètre du haut parleur étant de 40 mm seulement. 



   La gestion logique de l'unité assure la direction, au moment voulu, ou sur l'intervention explicite de l'opérateur sur le clavier, des différents signaux contenant les messages. Bien qu'il ait été conçu pour assurer ses fonctions avec tous les systèmes de récepteur téléphonique actuellement sur le marché, il est clair que l'utilisateur aura, pour un même dispositif"annonceur-répondeur"une efficacité de fonctionnement plus importante (fonctions interactives) si l'appelé est équipé du système D. T. M. F. (voir fig 2). Il y a lieu de signaler à nouveau que des émetteurs portatifs des fréquences D. T. M. F. sont disponibles sur le marché. 



   Sur base des explications de structure précédentes qui ont démontré la simplicité fonctionnelle de l'annonceur-répondeur selon l'invention, on se reporte à présent à la figure 10 qui est une vue synoptique des fonctions proposées à l'utilisateur. Quatre fonctions principales sont proposées à l'utilisateur : DATE ; FICHIER, ANNONCEUR, REPONDEUR. La réalisation pratique de ces fonctions est faisable intégralement sur base des circuits, schémas et diagrammes de flux d'informations, drapeaux donnés aux figure 3 à 9 ci-dessus. 



  Elles sont données, dans les grandes lignes, à titre purement exemplatif, avec proposition d'une séquence opératoire envisageable pour mettre en oeuvre ces fonctions. On rappelle que l'appareil a un écran (2) et un clavier"AZERTY" (8). On dispose également de flèches directionnelles permettant de choisir parmi les menus et sous-menus que comportent les fonctions mentionnées. 



   La fonction DATE : Après la mise en service de l'appareil, on opte pour cette fonction en déplaçant le curseur directionnel qui permet, sur le menu fondamental de départ, de choisir l'une des quatre fonctions évoquées plus haut. 



   Sur l'écran trois options sont proposées :
VILLE   REGLAGE   
 EMI27.1 
 ETE 
Le choix de VILLE fait apparaître deux sous-fonctions : - DEPART - INFO 
Le choix   de"DEPART"donne   la possibilité de définir la ville d'où   l'annonceur - répondeur   assurera ses"missions". 



  Si le propriétaire a voyagé avec son appareil et s'il se trouve au terme de son voyage dans un fuseau horaire totalement différent de celui de la ville où l'appareil est 

 <Desc/Clms Page number 28> 

 
 EMI28.1 
 employé d'habitude, l'emploi de cette sous-fonction s'impose. 



  Ayant défini, par curseur, le choix"DEPART", on tape éventuellement, lesdonnées spatio-temporelles d'utilisation. 



  Par exemple : PARIS LUN 16 AOU 11 : 54, PARIS ayant été sélectionné parmi une série de villes proposées par l'appareil, avec mention de l'heure et du jour courants (via la sous-fonction INFO). 



   Le choix   de"REGLAGE"permet   de   règler   l'heure et la date. 



   Le choix de   l'option"ETE"permet   de passer, au besoin, à l'heure d'été. 



   La fonction FICHIER, qui est la seconde du menu principal est très importante et le choix de cette fonction entraîne les six choix possibles suivants : - RECHERCHE - SAUVER - EFFACER - MODIFIER - TRIER   - INFO   
Le choix de RECHERCHE permet de trouver le numéro d'appel d'une personne dont on introduit les cinq premières lettres du patronyme au moins : il s'agit d'une consultation de la mémoire contenant la liste des appelables (cf. Agenda électronique). 



   Le choix de SAUVER correspond à une volonté d'introduire une nouvelle personne dans la mémoire contenant les appelables et ce, avec tous les paramètres et contraintes de timing fixes relatifs à cette personne. On aura donc l'affichage sur la première ligne d'écran   :"NOM ?".   On tape sur le clavier le nom de la personne et l'on envoie l'ordre d'exécution (Touche EXE). Trois lignes sur l'écran proposent de taper trois numéros d'appels. Après avoir tapé ces trois numéros sur les lignes, on a la faculté de mettre en regard de ces numéros des mentions d'identification, par exemple : bureau, privé : première résidence, privé : seconde résidence   etc..-La   cinquième ligne de l'écran propose d'émettre ou non le message   d'''introduction''dont   il a été fait mention : INTRODUCTION : O/N. 



  La sixième ligne évoquera la réduction éventuelle des plages horaires d'appel. En   sélectionnant "0" suite   au message de sixième   ligne"réduction   plages d'appels O/N, le texte suivant apparaît sur   l'écran :   - LIMITES HEBDOMADAIRES - CONTRAINTES JOURNALIERES 

 <Desc/Clms Page number 29> 

 Le choix de LIMITES HEBDOMADAIRES entraîne l'appartion de trois ligne suivantes : NUMERO DE TEL 32/2/3844180 (Albert Dupont)
L M M J V S D
SEM W. E. 



   PLAGES D'APPEL Par les commandes via le curseur (haut, bas, gauche, droite) on choisit le ou les jours de la semaine et, le choix fait, l'introduction en machine a lieu par la touche EXE. 



   Le choix de CONTRAINTES JOURNALIERES fait, par exemple, apparaître : 
NUMERO DE TELEPHONE 32/2/3848180
DE... A..... 



   DE... A..... 



  Les cases vides sont remplies par l'opérateur qui envoie l'ordre via EXE. 



   Le choix de EFFACER entraîne l'affichage de :
EFFACEMENT   "..............." (Nom   à effacer)
ETES VOUS CERTAIN ? O/N si une mission est en cours relativement à cette personne, l'écran affichera :
ATTENTION MISSION EN COURS SERA ANNULEE
ETES VOUS CERTAIN ? O/N On sélectionnera 0 ou N selon le cas, suivi de EXE. 



   La fonction ANNONCEUR, quand elle est choisie dans le menu principal, a pour conséquence l'apparition sur l'écran de : - MESSAGE D'INTRODUCTION
MISSION
STATISTIQUE
ARRET DE MISSION EN COURS
IDENTIFICATION DES REPONSES Si le choix est fait pour MESSAGE INTRODUCTION, l'écran fait apparaître : 
MESSAGE D'INTRODUCTION NO 1 - ENREGISTREMENT   - FIN   - DESIGNATION - REECOUTE - MODIFICATION   - EXIT   
 EMI29.1 
 En mettant le curseur sur"ENREGISTREMENT"suivi de EXE, le texte suivant apparaît sur l'écran : 

 <Desc/Clms Page number 30> 

 "Attention, parlez après le BIP sonore et appuyez sur la   touche"F"à   la fin de votre discours". 



  En mettant le curseur sur DESIGNATION, on fait le choix de la langue dans laquelle le message d'introduction doit être émis ; REECOUTE est une fonction qui se passe d'explication. 



  MODIFICATION : En choisissant cette option, suivie de EXE, la cassette contenant le message que l'on vient d'enregistrer se remet au"top"de départ et un texte suivant apparaît sur l'éran qui invite l'auteur du message introductif à reprendre les opérations au départ après avoir, de préférence, surtout si la langue utilisée n'est pas sa langue maternelle, mis le message par écrit pour le lire et pour qu'il ne soit pas trop long. 



  EXIT est une fonction qui n'appelle aucun commentaire. 



   L'option MISSION qui est la seconde option offerte dans la   fonction"ANNONCEUR"fait   apparaître le texte suivant sur l'écran : MISSION INDIVIDUELLE
MISSION COLLECTIVE 
Comme on l'a déjà évoqué précédemment, ces options font partie des possibilités de l'appareil. Rappelons que le choix de"MISSION COLLECTIVE"permet de prendre contact avec une série de personnes et de leur envoyer un seul message. 



   Pour des raisons de simplicité, nous ne commenterons en détail que l'option"MISSION INDIVIDUELLE". L'option "MISSION INDIVIDUELLE"fait apparaître le texte suivant sur l'écran :
DESTINATAIRE
INTRODUCTION DIRECTE
SELECTION DANS LE FICHIER L'introduction directe permet d'envoyer un message à une personne qui n'est pas reprise dans le fichier. Une fois que les données ont été introduites ou sélectionnées dans le fichier, le texte suivant apparaît : 
MESSAGE D'INTRODUCTION O/N Cette rubrique permet éventuellement de supprimer le message d'introduction ou éventuellement de choisir parmi plusieurs messages. 



  Ensuite, le texte suivant apparaît :
TIMING DES APPELS - FREQUENCE REITERATION DES APPELS. 



   Un appel toutes les... H... Min. à défaut de compléter cette rubrique, les appels seront réitérés selon un rythme standard, par exemple toutes les deux heures. 



   - DUREE MAXIMUM DE LA MISSION : ... Jours (à défaut de mention, la mission se limitera à 1 jour). 

 <Desc/Clms Page number 31> 

 
 EMI31.1 
 



  DETERMINATION DES PLAGES D'APPELS. 



  DE...... A...... 



  DE...... A...... 



  A défaut, les appels seront effectués pendant une seule plage ininterrompue de 9H à 21H30 sauf lorsque des instructions sont prévues individuellement au niveau du fichier. 



  Si la plage d'appel   choisie"déborde"de   la période comprise entre 9H et 21H30, le texte suivant apparaît : "ATTENTION ! VOS APPELS NOCTURNES RISQUENT DE DERANGER VOS DESTINATAIRES. ETES-VOUS SÛR ? O/N" Appuyer sur 0 ou N, suivi de EXE. 



  Lorsqu'on a appuyé sur EXE (voir paragraphe précédent), le 
 EMI31.2 
 mot"MESSAGE"s'affiche sur l'écran : Il est suivi des options suivantes : 
DESIGNATION ON
ENREGISTREMENT   REECOUTE  
MODIFICATION 
DESIGNATION
Permet de donner un numéro, un nom ou une brève description du message. La désignation permet d'établir des statistiques (voir infra),   c'est-à-dire   un panorama des succès/échecs des appels téléphoniques relatifs à un message. 



  Si vous appuyez sur la touche o, le texte suivant apparaîtra sur l'écran DESIGNATION MESSAGE :... 



  Il conviendra de compléter la rubrique concernée en appuyant ensuite sur"EXE". Si vous optez pour N (cas le plus fréquent dans une procédure individuelle), le nom de la personne servira automatiquement à désigner le message. 



   ENREGISTREMENT
En mettant le curseur   sur"ENREGISTREMENT",   le texte suivant apparaît :"ATTENTION, PARLEZ APRES LE BIP SONORE ET APPUYEZ SUR LA TOUCHE F QUAND VOUS AUREZ TERMINE LE MESSAGE". 



   REECOUTE
En mettant le curseur   sur"REECOUTE"suivi   de EXE, il est possible de réentendre le message. 



   MODIFICATION
En mettant le curseur   sur"MODIFICATION"suivi   de EXE, la cassette du message se remet sur le point de départ et le texte invitant à parler après le BIP sonore réapparaît sur   l'écran.   



   Appuyer sur"EXIT"pour repasser au menu principal. 

 <Desc/Clms Page number 32> 

 La fonction STATISTIQUE qui est la troisième, après le choix de la fonction annonceur, permet d'obtenir un panorma des échecs/succès lors des différentes tentatives, sur un jour, une semaine ou un mois. Ayant mis le curseur sur STATISTIQUE, on tape EXE et les messages suivants viennent sur écran :
PAR MESSAGE
PAR DESTINATAIRE L'option"Par message"permet de connaître le nombre d'appellés effectifs (rappelons que ce nombre n'est pas nécessairement égal au nombre des appelés que l'on avait programmé puisque les appels entrants peuvent avoir rendu impossible de réaliser la totalité de la mission sur la journée.

   Dans ce cas, l'enseignement à tirer, serait que la charge imposée à l'appareil est par trop importante et qu'il y avait lieu de tenir compte des indications du coefficient de surcharge et d'alléger éventuellement l'appareil si le même phénomène se reproduit plusieurs jours de suite. 



  *L'option"Par destinataire"présente une liste des noms des appelés suivis des lettres (D) ou (ND) (D="décrochage du combiné") Il y a lieu de préciser que l'appareil postule, par sa conception, que tout combiné qui a été décroché équivaut à une situation où le message a été émis. 



  L'option"ARRET DES MISSIONS EN   COURS"suivie   de EXE entraîne l'affichage de : 
PAR MESSAGE
PAR DESTINATAIRE Le choix de"Par Message"a pour conséquence la fin des appels vers l'ensemble des personnes auxquelles est destiné le message (dans le cas d'un message collectif). 



  Le choix de"Par destinataire", suivi de EXE affiche la liste des destinataires pour un message donné précédé du titre"ARRET DE MISSION". On met le curseur sur la première lettre du nom de la personne à éliminer des destinataires et l'on entre l'ordre par EXE. Automatiquement l'appareil continuera ses missions individuelles ou collectives, dans l'ordre prescrit non sans avoir affiché, pour le destinataire qui vient d'être supprimé : 
SUPPRESSION DES STATISTIQUES ? O/N
EFFACEMENT DU MESSSAGE ? O/N L'option IDENTIFICATION DES REPONSES suivie de EXE permet la réécoute : il y a lieu de rappeler que lors de l'enregistrement, une individualisation spécifique correspondant au nom de l'appelé est imprimée dans la mémoire MEMANR de l'annonceur, grâce à laquelle la recherche est aisée. 

 <Desc/Clms Page number 33> 

 



   L'identification des réponses pourra donc se faire de 3 manières : 
 EMI33.1 
 par le nom : on introduit le nom de la personne appelée. par message : on introduit la désignation du message (dans le cas d'un message collectif). 



   - identification séquentielle : Elle permet d'écouter les messages d'annonce et de réponse dans l'ordre chronologique. Cette dernière fonction peut aisément être utilisée à distance par le biais de signaux DTMF. Le message d'annonce peut être interrompu en lançant un signal DTMF spécifique. On entend à ce moment directement la réponse. 



   Le haut niveau d'interactivité possible entre les protagonistes de la communication caractérise le dispositif selon l'invention. On a en effet la possibilité de réactions aux situations suivantes :   -Non décrochage-décrochage-réception   du signal de   poste"occupé"-réception   du signal de dérangementréception d'un   avis"hors service"-réception d'un   signal significatif d'une interrogation ou d'une mission à distance   - (via DTMF) -réception d'un   signal significatif de mise en attente ou de réécoute à l'initiative   d'un"appelé"réception   d'un bip sonore provenant d'un répondeur lorsque l'appel a abouti (décrochage) et que l'appareil se trouve en communication avec un répondeur. 



   Les explications précédentes auront rendu les principes clairs et ont mis en évidence que les modes de réalisation décrits sont susceptibles de variantes accessibles à l'homme de l'art, sans s'écarter de l'esprit de l'invention tel que synthétisé dans les revendications.

Claims (7)

  1. REVENDICATIONS 1. Dispositif annonceur (20)-répondeur (15) téléphonique de type intégralement interactif, avec garde-ligne temporisée comportant une carte d'interface téléphone/micro-ordinateur, une unité logique qui assure, avec l'aide d'un ensemble de capteurs-détecteurs et d'un ensemble de prise de ligne et d'émission sur le réseau téléphonique, la gestion des entrées, sorties et/ou du temps des communications et celle des éventuelles déviations de messages (5) de voix, musique, ou de superposition de ces deux éléments, lequel dispositif mémorise et envoie des messages (5) qui sont préenregistrés, mémorisés, annoncés ou reçus, par voie de stockage et de transmission numérique pure et pouvant subséquemment être convertis en forme analogique,
    l'information encodée étant exclusivement réservée à la gestion optimale des allées et venues des messages (5), caractérisé en ce que le dispositif permet de respecter les convenances sociales en réalisant l'une ou l'autre au moins des fonctions suivantes : planification du moment de l'émission des messages en fonction d'une fourchette horaire prédéterminée ; limitation d'avance du nombre d'appels adressés à l'appelé ; arrêt du processus de réitération d'appels à partir du moment où le contact avec le destinataire a été établi ; reconnaissance d'un répondeur automatique par le bip sonore du répondeur ; remise à zéro et/ou réémission du message enclenché par le bip sonore d'un répondeur ; sélection des plages horaire d'appel en fonction du fuseau horaire de l'appelé ; choix de la fréquence de réitération des appels ;
    choix de la durée maximum de la mission d'appels ; répartition dans le temps des fonctions"annonceur"et "répondeur" ; planification de l'émission des appels en fonction d'un calcul limite théorique de surcharge dans l'optique d'une utilisation intensive.
  2. 2. Dispositif annonceur (20)-répondeur (15) téléphonique de type intégralement intractif, avec garde-ligne temporisée comportant une carte d'interface téléphone/micro-ordinateur, une unité logique qui assure, avec l'aide d'un ensemble de capteurs-détecteurs et d'un ensemble de prises de ligne et d'émission sur le réseau téléphonique, la gestion des entrées, sorties et/ou du temps des communications et celle des éventuelles déviations de messages (5) de voix, musique, ou de superposition de ces deux éléments, lequel dispositif mémorise et envoie des messages (5) qui sont préenregistrés, mémorisés, annoncés ou reçus, par voie de stockage et de transmission numérique pure et pouvant subséquemment être convertis en forme analogique,
    l'information encodée étant exclusivement réservée à la gestion optimale des allées et <Desc/Clms Page number 35> venues des messages (5), caractérisé en ce que le support pour la mémorisation est un ensemble de type mémoire RAM (206) adressable lors du fonctionnement et qui contient le résultat de la numérisation d'un enregistrement formant la substance d'un message, cet ensemble étant divisé en deux, le premier prenant en charge la fonction de répondeur-enregistreur de messages (5), le second ensemble assurant la fonction d'annonceur-enregistreur de messages (5), lesdits ensembles étant fonctionnellement asservis aux signaux de commande de l'unité logique (4) qui a assuré la numérisation des messages initialement analogiques,
    les a mis en mémoire sous cette forme numérique pour les restituer selon un programme bien défini en mode numérique ou en mode analogique avant leur envoi sur la ligne du réseau.
  3. 3. Dispositif annonceur-répondeur téléphonique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé en ce que le dispositif permet la reconnaissance d'un répondeur automatique par le bip sonore du répondeur lequel enclenche l'émission d'un message.
  4. 4. Dispositif annonceur-répondeur téléphonique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé en ce que le dispositif permet la planification du moment de l'émission des messages en fonction d'une fourchette horaire prédéterminée et la sélection des plages horaires d'appel en fonction du fuseau horaire de l'appelé.
  5. 5. Dispositif annonceur-répondeur téléphonique selon l'une ou l'autre des revendictions précédentes, caractérisé en ce que le dispositif gère l'arrêt du processus de réitération d'appels à partir du moment où le contact avec le destinataire a été établi.
  6. 6. Dispositif annonceur-répondeur téléphonique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé en ce que le dispositif permet de limiter d'avance le nombre d'appels adressés au destinataire, de choisir la fréquence de réitération des appels et/ou de choisir la durée maximum de la mission d'appels.
  7. 7. Dispositif annonceur-répondeur téléphonique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes caractérisé en ce que la planification de l'émission des appels est opérée en tenant compte d'un calcul de limite de surcharge dans l'optique d'une utilisation intensive de l'appareil dans sa fonction annonceur.
BE9400440A 1994-04-29 1994-04-29 Dispositif annonceur - repondeur pour communications telephoniques. BE1008361A5 (fr)

Priority Applications (3)

Application Number Priority Date Filing Date Title
BE9400440A BE1008361A5 (fr) 1994-04-29 1994-04-29 Dispositif annonceur - repondeur pour communications telephoniques.
PCT/BE1995/000043 WO1995030296A1 (fr) 1994-04-29 1995-04-27 Dispositif annonceur-repondeur pour communications telephoniques
EP95916518A EP0761056A1 (fr) 1994-04-29 1995-04-27 Dispositif annonceur-repondeur pour communications telephoniques

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
BE9400440A BE1008361A5 (fr) 1994-04-29 1994-04-29 Dispositif annonceur - repondeur pour communications telephoniques.

Publications (1)

Publication Number Publication Date
BE1008361A5 true BE1008361A5 (fr) 1996-04-02

Family

ID=3888127

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
BE9400440A BE1008361A5 (fr) 1994-04-29 1994-04-29 Dispositif annonceur - repondeur pour communications telephoniques.

Country Status (3)

Country Link
EP (1) EP0761056A1 (fr)
BE (1) BE1008361A5 (fr)
WO (1) WO1995030296A1 (fr)

Families Citing this family (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
WO1999014918A1 (fr) * 1997-09-15 1999-03-25 Siemens Aktiengesellschaft Appareil d'emission vocale pour messages parles dans un reseau de telecommunication

Citations (6)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US4941168A (en) * 1988-09-21 1990-07-10 U.S. Telecom International Inc. System for the recognition of automated telephone answering devices and delivery of prerecorded messages to such devices
EP0377379A1 (fr) * 1988-12-27 1990-07-11 Raoul Parienti Dispositif appeleur téléphonique automatique
US4998272A (en) * 1989-06-15 1991-03-05 Digital Voice Technologies, Inc. Personal voice mail system
WO1992008309A1 (fr) * 1990-11-02 1992-05-14 Anthony Ben Dibianca Procede et appareil de communication telephonique
EP0554180A2 (fr) * 1992-01-30 1993-08-04 Lg Electronics Inc. Méthode et appareil de transmission de messages
GB2270443A (en) * 1992-08-29 1994-03-09 Neill Michael Joseph O Automatic telephone message sending apparatus

Patent Citations (6)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US4941168A (en) * 1988-09-21 1990-07-10 U.S. Telecom International Inc. System for the recognition of automated telephone answering devices and delivery of prerecorded messages to such devices
EP0377379A1 (fr) * 1988-12-27 1990-07-11 Raoul Parienti Dispositif appeleur téléphonique automatique
US4998272A (en) * 1989-06-15 1991-03-05 Digital Voice Technologies, Inc. Personal voice mail system
WO1992008309A1 (fr) * 1990-11-02 1992-05-14 Anthony Ben Dibianca Procede et appareil de communication telephonique
EP0554180A2 (fr) * 1992-01-30 1993-08-04 Lg Electronics Inc. Méthode et appareil de transmission de messages
GB2270443A (en) * 1992-08-29 1994-03-09 Neill Michael Joseph O Automatic telephone message sending apparatus

Also Published As

Publication number Publication date
WO1995030296A1 (fr) 1995-11-09
EP0761056A1 (fr) 1997-03-12

Similar Documents

Publication Publication Date Title
CH680408A5 (fr)
EP0989720A1 (fr) Dispositif téléphonique destiné au milieu carcéral
EP0386011A1 (fr) Systeme d&#39;avertissement automatique de la reception de messages dans un systeme de messagerie electronique
FR2643526A1 (fr) Dispositif de commande telephonique a donnees vocales
FR2942928A1 (fr) Procede et systeme de gestion multicriteres de notifications de presence
US20140270115A1 (en) Electronic Message Aggregation and Sharing System and Apparatus
US8619948B2 (en) Intelligent interactive automated notification system
EP1836823B1 (fr) Procede et systeme de mise en relation de personnes dans un reseau de telecommunication de type internet
Marics et al. Designing voice menu applications for telephones
FR2692740A1 (fr) Procédé et système d&#39;accès en différé à des informations radiophoniques diffusées.
FR2662034A1 (fr) Dispositif et procede d&#39;interconnexion telephoniques pour reseau de communication a stations autonomes.
BE1008361A5 (fr) Dispositif annonceur - repondeur pour communications telephoniques.
EP1260107A1 (fr) Procede pour echanger des informations entre plusieurs utilisateurs de telephones mobiles
FR2558669A1 (fr) Appareil de traitement automatique d&#39;appels telephoniques
FR2607340A1 (fr) Dispositif de type ludique de mise en communication televideo de plusieurs correspondants
EP0443933B1 (fr) Procédé pour l&#39;insertion de messages sonores dans un programme diffusé localement
EP1453283B1 (fr) Système de gestion d&#39;appels téléphoniques entrants
EP0377379A1 (fr) Dispositif appeleur téléphonique automatique
FR2884670A1 (fr) Installation pour la diffusion contextuelle d&#39;informations en mode a la fois collectif et personnel
EP1416422B1 (fr) Installation de gestion centralisee de donnees de messagerie en correspondance d&#39;identifiants d&#39;utilisateurs
FR2867931A1 (fr) Procede de mise en relation de personnes jointes par multi-diffusion
EP3643057B1 (fr) Procédé d&#39;établissement d&#39;une communication avec un serveur interactif
WO1996019067A1 (fr) Enregistreur electronique autonome de sonneries de telephone, avec procede eliminant toute erreur
EP1292088A1 (fr) Dispositif d&#39;indication d&#39;appel à un abonné absent
CN102025855A (zh) 多方式预警应急信息即时发送系统及方法

Legal Events

Date Code Title Description
RE Patent lapsed

Effective date: 20030430