DISPOSITIF ANNONCEUR-REPONDEUR POUR COMMUNICATIONS TELEPHONIQUES
La présente invention a pour objet un dispositif annonceur-répondeur pour appareils téléphoniques permettant une gestion optimale des émissions et réceptions de commumcations tcléphomques en l'absence de l'abonne Elle a donc pour objet d'améliorer cet important outil de contact social que constitue le téléphone dans la vie professionnelle et pnvée
Plus précisément, la présente mvention vise le développement d'un dispositif annonceur- répondeur téléphomque de type intégralement interactif, avec garde-ligne tempoπsée comportant une carte d'interface téléphone/nucro-ordinateur, une umté logique qui assure, avec l'aide d'un ensemble de capteurs-détecteurs et d'un ensemble de prise de ligne et d'émission sur le réseau téléphonique, la gestion des entrées, sorties et/ou du temps des commumcations et celle des éventuelles déviations de messages de voix, musique, ou de superposition de ces deux éléments et qui mémorise et envoie des messages qui sont préenregistrés, annoncés ou reçus, par stockage et transmission numérique pure et subséquemment, convertis en forme analogique Le dispositif a pour particularité que l'information encodée est réservée à la gestion optimale du trafic des messages, avec d'une part, une juste répartition dans le temps des fonctions "annonceur" et "repondeur" et, d'autre part, une réitération limitée des appels en cas d'absence et enfin, avec identification après analyse, du "beep" sonore d'un répondeur, suivie de l'émission d'un message a ce dernier
Le dispositif annonceur-répondeur téléphonique dont il est question a également pour particularité que le support pour la mémorisation est un ensemble de type mémoire RAM adressable lors du fonctionnement, l'enregistrement numéπse formant la substance d'un message, cet ensemble étant divisé en deux sous-ensembles, le premier qui prend en charge la fonction de repondcur-cnregistrcur de messages, le second, complémentairement, assurant la fonction d'annonceur-enregistreur de messages, lesdits ensembles étant fonctionnellement asservis aux signaux de commande de l'unité logique qui a assuré la numérisation des messages initialement analogiques, les a mis en mémoire numéπque, pour les restituer selon un programme bien défini en mode numéπque ou analogique avant leur envoi sur la ligne du réseau
Dans le domaine des télécommunications, les répondeurs sont connus et font, partie d'une technique largement répandue et maîtπsée La fonction "annonceur" en télécommumcations est pπncipalement connue,dans le graphisme, par les "FAX". De même, la transmission de données
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par voie téléphonique à l'aide d'une unité de modulation- démodulation (MODEM) et le dialogue avec un ordinateur sont choses connues. Il s'agit dans ces deux derniers cas d'outils de transfert de renseignements plus que de systèmes de contact socio-économique. L'invention veut aussi réaliser la fonction "annonceur" pour un transfert d'information sans support d'écriture et avec correction dans l'expression, par l'absence totale de déformation de la voix de l'appelant.
A l'heure actuelle, l'utilisation d'appareils programmés pour enregistrer et stocker des messages vocaux et ensuite les envoyer à une heure déterminée en composant à l'heure dite le numéro du coπespondant, se limite à des applications assez restreintes et très focalisées. On songe ici au service de réveil dans les hôtels, les messages urgents dans les services de gardiennages ou d'ambulances, certaines communications inter- ou intra- entreprises (un bureau central vis à vis des représentants de commerce).Toutes ces situations ont en commun que l'appel automatique fait partie d'une procédure, le plus souvent connue d'avance par le destinataire et qui vise à envoyer à ce dernier un message se situant dans un domaine très limité (le client d'un hôtel qui a demandé d'être réveillé, le représentant qui s'attend à des ordres de son supérieur).
On a également tenté d'utiliser de tels appareils dans le cadre d'annonces publicitaires, d'enquêtes sociologiques ou d'enquêtes de télémarketing, mais il faut noter que le recours à de telles techniques a régressé, comme l'ont démontré un certain nombre d'études.
L'échec relatif du "mailing vocal" dans ce secteur particulier réside dans le superposition de trois facteurs - Emploi d'un moyen impersonnel (un automate) et nouveau pour le destinataire
La voix qui parle est inconnue du destinataire
La nature même du message (publicité, enquête) risque d'insupporter le destinataire. L'insuccès relatif de la messagerie vocale par voie d'annonceur ( dans le domaine particulier de la publicité, enquêtes, marketing, ... etc, a suscité, principalement aux Etats Unis, une ceitaine réticence vis à vis de la technique même alors que celle-ci, moyennant un certain nombre de modifications, pourrait être très utile dans le cadre des relations sociales dans la vie quotidienne. Dans cette application beaucoup plus générale, la personne dont la voix est enregistrée sur l'annonceur ne sera, dans beaucoup de cas, pas inconnue du destinataire et ce dernier n'aura pas à faire face à un message dont la nature est, à priori, peu susceptible de l'intéresser. S'adressant à un public-cible plus large (professionnel et privé) où prime l'importance des relations humaines.tout autant que le souci de convivialité, le dispositif annonceur selon la présente
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mvention, qui se présente sous la forme d'un appareil compact (cfr mfra) de maniement aisé, répond a certains besoins, non satisfaits de ce public particulier et que nous énumérons ci-après
- Le dispositif permet le trafic des uiformations dans les deux sens, la préséance étant accordée, lors de l'exécution des opérations à la correction la plus grande dans la qualité d'élocution et d'exactitude à l'audition des messages émis
- Le dispositif selon l'invention permet de faire parvenir un message préalablement enregistre à toute personne absente au moment de l'appel, équipée ou non d'un répondeur téléphonique, et ce, par la technique de la réitération programmée des appels, tant qu'ils sont infructueux (l),cette réitération se faisant dans le respect des "convenances sociales"
L'appareil permet donc de décharger son utilisateur de l'obligation de reformer le numéro en raison de l'absence de l'appelé ou de l'occupation de sa ligne II constitue donc une solution particulièrement intéressante lorsque l'on veut envoyer un message à une personne non équipée d'un répondeur et momentanément absente La réitération de l'appel se fera automatiquement selon une fréquence choisie à l'avance par l'utilisateur éventuellement pendant plusieurs jours Le dispositif permet également en fonction des données qu'il a en mémoire relatives à l'appelé de changer de numéro d'appel selon les postes téléphoniques près desquels la personne appelée est susceptible de se trouver (cas des personnes se trouvant a une autre adresse durant le week-end) L'appareil permet d'enregistrer la réponse éventuelle de la personne au message qu'elle a amsi reçu Dans l'hypothèse ou le destinataire est absent mais possède un repondeur automatique qui est branché, c'est à celui-ci que ce message est envoyé après le "bip" sonore(cfr fra)
- L'appareil permet d'envoyer un message en temps différé II permet de contacter la personne à un momui bien précis ou l'on n'est soi même pus présent ou disponible Un message préalablement enregistré peut être par exemple envoyé en pleme nuit a partir de Bruxelles, de manière à parvenir au moment appropπe à un destinataire qui se trouve dans un autre fuseau horaire
- L'appareil permet en outre d'envoyer un même message à une grande séπe de personnes en évitant les pertes de temps résultant du nombre de personnes a appeler et de la probabilité d'un certain nombre d'appels "infructueux" (1) enraison de l'absence de certains "appelés" ou de l'occupation de leur ligne au moment de l'appel
(1) par appel infructueux, on entend le fait que l'appelé n'a pas décroché
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- La situation dans laquelle la personne qui décroche n'est pas le destinataire effectif du message (mais bien son conjomt par exemple) a également été envisagée L'appareil est pourvu de fonctions interactives qui permettent au correspondant de mettre le message en attente (le temps d'aller chercher le destinataire effectif qui se trouve, par exemple, dans la pièce d'à côté) ou de réécouter le message après une première audition
- Le dispositif comporte également une amélioration intéressante de la fonction "AUTOMATIC REDIAL" existant sur les postes téléphoniques récents et les repondeurs téléphoniques à téléphone incorporé La fonction "AUTOMATIC REDIAL" de ces appareils permet la reformation automatique du numéro d'un poste qui est occupé et ce, selon un rythme d'environ qumze fois par quart d'heure Cette fonction ne dispensait pas l'appelant de rester à côté de son appareil pour parler lorsque l'appelé a décroché
Cette présence n'est désormais plus nécessaire puisque le décrochage effectue par l'appelé va déclencher l'émission d'un message préalablement enregistré Dans cette Irypothese, l'appelant garde toujours la possibilité d'interrompre le message et d'intervenir "en direct"
- L'appareil assure la gestion optimale des appels qu'il effectue et des réponses qu'il reçoit II peut délivrer a tout moment un bilan relatif à l'état d'avancement de l'ensemble des missions (annonces) qu'il effectue
L'annonceur repondeur interactif ne nécessite pas que le destinataire soit équipe d'un télefax, d'un ordinateur.d'un minitel m même d'un simple répondeur Au contraire, il permet dans une certaine mesure de palier l'absence de repondeur ou de télefax dans le chef de l'appelé U suffit que ce dernier dispose d'un poste de téléphone Toutefois pour certaines fonctions mteractives, telles que la mise en attente du message ou la répétition de celui-ci, il est recommandé que le correspondant soit équipé d'un téléphone a touches DTMF Si ce n'est pas le cas, le même résultat peut être atteint si le correspondant utilise un "pocket tone Dialer" disponible a très faible coût sur le marché
Le dispositif selon l'invention permet d'autre part de résoudre de manière plus efficace certains problèmes non entièrement résolus jusqu'à présent
Le premier problème qui se pose lors de l'élaboration d'un système annonceur est celui de la reconnaissance de la présence, en bout de ligne, d'un appareil repondeur et non d'une personne humaine C'est ce problème qui est, entre autres, évoqué dans US A 4941166 (US TELECOM)
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La reconnaissance se fait sur base de la constatation d'un silence dans le message audio reçu du correspondant Le même problème de reconnaissance de voix humaine est traite dans WO 92/08309 (DIBIANCA)
La reconnaissance d'un répondeur se fait selon une analyse des temps de parole et de silence de la réponse obtenue lors du décrochage Des fourchettes "standard" sont établies compte tenu d'une péπode "raisonnable" pour que l'appelé s'identifie ("Allô ") ou ("Smith and Associates, good afternoon") et ensuite de marquer un moment de silence pour permettre à l'appelant de parler Lorsque ce silence est détecté, l'appareil conclut que son interlocuteur est une personne et non pas un répondeur Plusieurs tests sont effectués consécutivement afin de réduire la marge d'erreur possible Dans le cas où l'annonceur a identifié un répondeur automatique, il attend de détecter le silence qui suit l'émission du message du répondeur pour émettre lui-même son propre message
Il faut toutefois remarquer que la méthode de l'analyse des temps de parole/silence est efficace dans un grand nombre de situations "ordinaires" mais peut se révéler plus aléatoires dans d'autres cas En effet, les modèles juges valables pour les situations "courantes" ne peuvent embrasser exhaustivement l'extrême diversité de "reactions" que l'on peut obtenir lorsque le correpondant "décroche", tant dans le cas d'une personne physique que d'un répondeur La rapidité et l'étendue des réactions (silence/parole) de la personne qui décroche dépend de son caractère, de son âge, de ses capacités auditives ou de compréhension (langue étrangère), de divers facteurs socio-culturels
D'autre part, on trouve sur les repondeurs classiques les messages accompagnes de musiques ou de bruitages et éventuellement entrecoupes de brefs silences
Compte tenu de l'extrême diversité de ces situations, un annonceur qui est programme pour enclencher son message à la suite d'une analyse de péπodes standard de parole/silence πsque d'être "leurré" quant à la nature du message qu'il essaye d'analyser (répondeur ou voix humaine) et, s'il est en contact avec un repondeur, πsque en plus de commettre une erreur dans la détermination du moment exact où son propre message peut être délivré
Le taux de fiabilité d'appareils équipés d'un tel système de reconnaissance πsque donc de s'avérer insuffisant
Le dispositif selon l'invention quant à lui, est équipé d'un système de reconnaissance permettant de conclure à la présence d'un repondeur par l'analyse et la reconnaissance du bip sonore qui est lance
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à la fin de tout message d'accueil L'analyse de la ou des fréquences qu composent le signal du "beep" d'un répondeur durant une péπode de validation de quelques secondes et ce. mdépendamment d'autres sons ou bruits permet de conclure à la présence d'un repondeur La reconnaissance du bip sonore du répondeur permet de réinitialiser le message et/ou éventuellement de le sélectionner sous une vaπante "réduite" et de le diffuser exactement au moment appropπe
Un autre problème que peuvent présenter des appareils de type "annonceurs vocaux" concerne le respect de la vie pπvée des personnes contactées, de leur entourage ou de leurs voisins
Le dispositif annonceur répondeur de type interactif selon la présente mvention est conçu pour rendre le concept d'annonce téléphonique automatique plus acceptable socialement par le public Le principe qui sous-tend la philosophie de l'appareil décπt dans la présente invention est que toute personne contactée a le droit le plus stπct de ne pas écouter ou de ne pas écouter jusqu'au bout le message enregistré qu'elle reçoit ou de ne pas lui donner de réponse (de la même manière que nul n'est forcé d'écouter un répondeur classique ou de lui laisser un message, même si ce dernier comportement a parfois tendance à être jugé comme "associai") Le souci est d'éviter de diffuser un appareil "agressif
Ce principe est concrétisé de manière suivante
La réitération automatique des appels, qui fait partie des propπétés de l'appareil est exclue vis a vis d'un "destinataire" qui n'aurait pas écouté le message jusqu'au bout ou donne suite a une proposition de presser telle touche du clavier pour en accuser réception A fortioπ, elle est exclue dans le cas ou le destinataire n'aurait pas donne de réponse au message
Ces deux "contraintes" sont intangibles, de sorte que l'utilisateur ne puisse y déroger par programmation
La procédure de réitération automatique contient un système "garde-fous" qui empêche de programmer un appel jour et nuit et informe l'utilisateur de manière visuelle et sonore quant au caractère "dérangeant" de son message s'il veut programmer celui-ci après 21h30 (voir infra)
Il existe un système de réitérations rapprochées d'appels en cas de réception d'une tonalité d'occupation et un système de réitérations espacées en cas d'absence de la personne contactée, la fréquence de réitération ne pouvant être augmentée que jusqu'à certaines limites En cas d'appels à plusieurs personnes, la fequence de la réitération automatique des appels n'augmente pas en proportion de la diminution du nombre de personnes restant à appeler
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Il y a heu de mieux préciser les besoins satisfaits par la présente invention, en analysant, sans but de marketing, les messages divers que l'annonceur selon l'invention peut émettre On peut identifier
- le message individuel qui est, par définition celui dont le contenu est destme a une seule personne le destinataire Les raisons de son émission par annonceur sont multiples p e\ ,un détail jugé important a été omis dans une conversation anteπeure. téléphonique ou ordinaire, et doit parvenir impérativement au destinataire Ou encore dans une journée chargée, une nouvelle doit être transmise et l'appelé ne peut être atteint, l'appelant ayant lui-même un horaire très chargé, il est compréhensible et acceptable, à l'heure actuelle, l'appel se fasse via un annonceur
- le message collectif est, par définition, celui qui a plusieurs destinataires Dans ce cas,la
"mission" est d'acheminer une même information a un ensemble déterminé de personnes il faut par exemple, informer toute une équipe de footballeurs qu'en dernière mmute, l'endroit ou se déroulera le match a été modifié Dans le cas d'une "mission collective", on introduit ou on sélectionne dans la "database" de l'appareil le nom des personnes à appeler et on enregistre un seul message Le timmg des appels, c'est-a-dire la fréquence de réitération, la détermination des plages d'appel et la durée maximum de la mission peut se faire globalement, c'est-a-dire de manière identique pour chaque membre du "groupe-cible", ou de manière individualisée L'appareil va donc lancer ses appels (formation du numéro de chaque destinataire) et, si nécessaire, ses réitérations d'appels en fonction des paramètres decπts plus haut La mission sera considérée comme accomplie vis a vis d'un destinataire lorsqu'il a décroché et a donc pu prendre connaissance du message Dans ce cas, l'appareil cessera toute réitération vis a vis de ce destinataire
La générahsation du recours a un annonceur-répondeur interactif tel que decπt plus haut, nécessitera dans les premiers temps une certaine adaptation a cette évolution de la technique tant dans le chef de l'utilisateur du nouvel appareil que dans le chef du destinataire du message Cette adaptation se fera de la même manière que dans le cas du repondeur classique qui est maintenant entré dans les moeurs
Pour faciliter l'adaptation progressive du public à l'emploi de l'annonceur, on a prévu un "message d'introduction" Ce message général pourra être utilisé vis à vis de tous les appelés II est destme à ôter toute équivoque dans l'espπt du destinataire qui vient de décrocher et à le famihaπser
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avec cette nouvelle technique L'introduction pourrait être la suivante "Vous êtes en communication avec l'annonceur-repondeur automatique de XX (nom de l'appelant) qui a un message à vous transmettre II vous pπe de bien vouloir l'excuser de ne pas pouvoir le transmettre de vive voix Voici le message " (suit alors le message proprement dit). Dans le message d'mtroduction, on peut également préciser ce que le correspondant doit faire pour mettre le message en attente ou pour réécouter celui-ci (fonction interactive) Le message d'mtroduction pourrait également contemr une invitation à laisser une réponse après avoir entendu le message
Lors de l'encodage, le recours au message d'introduction peut être supprimé pour les destinataires qui sont devenus familiers du système selon l'invention
L'appareil est également pourvu d'un s} sterne de gestion du temps dévolu à l'envoi de messages
Il est clair qu'en fonction du nombre eleve de missions que l'utilisateur mtroduit, et en fonction du rythme de réitération choisi, le temps qui peut être alloué à de nouvelles missions diminue et pourrait même devemr msuffisant Dans ce dernier cas, on en arπve à une saturation par manque de temps lappareil est mcapable de mener à bien les missions selon les paramètres introduits La mesure automatique du coefficient theoπque de saturation qui fait partie des propπétés de l'appareil décharge l'utilisateur de devoir effectuer lui-même des estimations de temps disponible Le calcul prend en compte le nombre de personnes a appeler, le nombre de réitérations et la durée maximale de chaque mission, c'est a dire la durée qui tient compte du nombre maximal de réitérations d'appel (puisque le moment ou l'appelé décrochera est inconnu)
Si, au moment du chargement d'une nouvelle mission, le calcul aboutit à la conclusion d'un πsque de saturatιon,l'utιhsateur est averti de ce fait par une mention spécifique qui apparaît sur l'écran
Comme déjà mentionné, l'état de l'art oblige a avoir recours à des personnes spécialisées pour assurer le fonctionnement correct d'appareils
Par conséquent le dispositif selon la présente invention a pour but de proposer un appareil annonceur- répondeur téléphonique de type interactif tel que le support assurant la mémoπsation est un ensemble fait d'un double couple de mémoires supports déformations numéπsées résultant l'un et l'autre de la numéπsation de mveau "haute fidélité" de la voix humame (passage au système binaire par conversion analogique/digitale) La numéπsation concrétise des entités-mémoires susceptibles d'mteragir La première entité prenant en charge la fonction de repondeur -enregistreur de messages, la seconde entité assurant la fonction d'annonceur-enregistreur de messages, lesdites
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entités étant fonctionnellement asservies aux signaux de commande du système de circuits logiques D'un autre côte, le dispositif annonceur- repondeur telephomque mteractif selon l'invention se distingue par le fait que les signaux de commande qui émanent des circuits logiques et auxquels sont asservis lesdites entités de support d'information permettent de réaliser isolément ou éventuellement de façon conjomte, des opérations d'annonce et de réponse et en ce que ces signaux sont le résultat de l'exécution proprement dite de la séquence d'instructions intangibles présentes en mémoire morte
L'appareil téléphonique, s'il est pouvu d'une unité logique de gestion selon l'invention, permet de réaliser un ensemble de fonctions réparties en deux catégoπes fonctions "globales" et fonctions "intrinsèques"
Ainsi donc, on définit d'abord ci-après les fonctions globales permettant l'obtention et/ou l'introduction d'un groupe de données qui sont nécessaires dans l'emploi du téléphone envisagé sous son double aspect annonce et réponse
Il s'agit de la liste des gens qui sont appelables, avec lcur(s) numero(s) d'appel, le temps ou l'intervalle de temps pendant lequel ils sont appelables, de la liste des gens qui ont reçus un ou des messages emιs,etc
Les secondes fonctions, dites "mtπnseques". sont vraiment propres à chaque mode d'utilisation envisage (repondeur ou annonceur) de l'appareil telephomque dont on dispose La définition même de ces fonctions appelle peu de commentaires, puisqu'il est compréhensible que chaque tâche que devra effectuer le téléphone "automatisé" selon la présente mvention, exige que soit prévu a l'intéπeur de l'appareil le circuit logique correspondant à sa réalisation On aura évidemment des tâches "mtπnseques" pour la fonction répondeur seule et des tâches "intrinsèques" pour la fonction "annonceur" seule
Si le téléphone a une flexibilité, comme c'est le cas pour les appareils avec système DTMF, des tâches globales mais aussi "interactives" repondeur-annonceur sont envisagées Ces fonctions permettent la réponse à une interrogation à distance volontaire ou suscitée Elles permettent le délestage à distance de l'annonceur et/ou du répondeur, la memoπsation du numéro d'appel d'un appelant pendant une annonce (cas DTMF)
Entre chaque annonce, une boucle d'attente - interrogation dénombre les appels en entrée La fonction prévoit le rappel des appelables ci-dessus s'ils sont dans la liste des appelables
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Par la suite, le mot "transaction" désignera une annonce ou une réponse effectuées par l'appareil
Une transaction peut être une annonce directe ou une annonce "indirecte", c'est-à-dire un message annonce dont l'émission fait suite à un appel (mteπogation de l'annonceur par un coπespondant ex-teneur) Une transaction peut être aussi une réponse directe (repondeur classique connu) une réponse indirecte (interrogation du repondeur par l'abonne lui même qui interroge de l'extérieur son dispositif par voie DTMF) On supposera que. dans les plages horaires d'utilisation normale, des vaπables sont défîmes pour les entrées de données, les opérations a réaliser, la séquence a suivre, et pour les récapitulatifs après un certain nombre de minutes de fonctionnement Parmi les données que l'on garde stockées dans la mémoire fixe mais qui sont effaçables et enregistrables, on compte des données relatives aux correspondants que l'on connaît de par le monde On définit en ce qui les concerne CO$ = nom, prénom ADCO$ = rue, numéro, code postal, ville, pays NAP(ι) = numéro d'appel complet du correspondant COS(I)
Le correspondant se voit attribuer l'indice î selon l'emplacement de son patronyme dans l'alphabet
Ce numéro commence tou)ours par l'indicatif du pavs ou est situe "l'appareil appelé" Comme on le v erra par la suite lorsqu'on charge l'annonccur-repondeur, un test numcπque réalise sur les deux premiers chiffres est exécute et l'on identifie le pa\s de dcstmation (chaque pays a son numéro d'ouverture de reseau) Lorsque l'appelé se trouve dans un pa s situe dans un fuseau horaire différent, la sélection des plages d'appels sera faite en fonction de l'heure locale du pays
Les vaπables opérationnelles sont celles qui évoluent selon les tâches de l'automate
HAR$(k) = nom des personnes appelées
On a K=l au départ REP(K)=Nombre maximum de répétitions de l'appel que le dispositif selon l'invention peut effectuer vers la personne HAR$(K)
SIL(K)=nombre d'appels ayant abouti
La valeur maximum de SIL(K) est REP(K)
POL(K) est le nom de celui qui a réagi positivement sur le repondeur On suppose qu'en respectant les convenances sociales, le fonctionnement se fait entre 9H30' et 21H30 Le dispositif de l'invention sera autonome et l'on aura donc dans ces conditions DEP=9H30 AR =21H30 (par def ) Un système autonome est donc défini Bien entendu, si. dans la liste des pays qui seront
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appelés, l'unité logique décèle un mstant d'appel probable qui est incompatible avec l'horaire correspondant du pays, l'appel réel sera effectué a un mstant d'appel réel calcule selon la routme qui tient compte du décalage horaire évoqué ci-dessus, dont les fonctionnalités pπncipales sont données
D'autres explications, buts et avantages de la présente mvention apparaîtront à la lumière des dessins annexes dans lequels
-la figure 1 est une illustration des circuits de communication telephomque habituels envisagés dans la présente invention
-la figure 2 est une illustration relative aux deux types de comb és actuellement en usage
-la figure 3 illustre le jeu de connexions du type "ports d'entree-sortie" permettant un impact direct sur la ligne On sait, par ailleurs, qu'une intervention en fonction "réponse" et "annonce" est possible pour certains types de réseau
-la figure 4 illustre un circuit d'interface (en pratique une carte) et la disposition des composants
-la figure 5 est un tableau des valeurs recommandées pour les composants, valeurs qui donnent un fonctionnement sans désordre, m dans la transmission, m sur le reseau telephomque
-la figure 6 illustre le schéma général d'une unité logique de gestion des messasges entrants et sortants dans une installation assurant la double fonction d'annonce-reponse", selon la présente mvention -la figure 7 est l'ordinogramme général illustrant clairement de manière usuelle la séquence des mstructions logiques dont l'enchaînement permet de réaliser la double fonction telle qu'elle est prévue selon la présente mvention
-la figure 8 montre l'ordinogramme pour le sous-programme logique de préparation de la fonction "annonceur" (Préparation fichiers correspondants)
. -la figure 9 illustre l'ordmogramme pour le sous-programme logique d'émission de rapports pour l'exécution de la fonction "annonceur" compte étant tenu des contraintes de la nécessité d'assurer la fonction "repondeur" selon certaines modalités
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-la figure 10 est une vue synoptique des fonctions proposées à l'utilisateur Menus (A), Menus (B) détaillés
-la figure 11 est une vue en perspective d'une configuration pratique possible pour le "répondeur-annonceur" tel que réalisé de façon préférentielle mais non limitative, selon la présente mvention
-la figure 12 montre sous forme de blocs interconnectés, le chemin des informations lors des opérations réalisées par l'appareil selon l'invention
Les différentes figures sont données à titre d'exemple illustrant un mode de réalisation particulier de l' "annonceur-répondeur" selon l'invention
La figure 1 est une double illustration la partie supéπeure est relative à l'ensemble du réseau, côté abonné, et la partie înfeπeure concerne les circuits de principes d'un central téléphonique
Rappelons (voir fig 1 ) qu'une transmission est à deux fils, un fil pour la communication et un pour la sonnene La partie supeπeure de la figure 1 concerne la partie des circuits relatives à l'abonné En dessous, se trou e la partie du central telephomque
Si le téléphone n'est pas décroche, le circuit entre l'abonné et le central est ouvert, sauf le circuit de sonnene qui lui, est toujours relie avec le central
Le circuit de sonnene est a haute impédance et n'a pas d'influence sur la voix dans le circuit de parole Le combme décroche, fait la liaison Le résonnateur donne le ton "la" à l'oreille de la personne appelante L'échange est possible et un numéro peut être lancé On parlera d' "adresse", quand aucune confusion ne sera a cramdre Les adresses sont émises par rotation d'un cadran Les téléphones actuels envoient des signaux de fréquence audio Les téléphones à cadran sont visibles sur la figure 2a Les appareils de la figure 2b font appel aux signaux qui. chacun, correspond à une combinaison de deux fréquences précises (système DUAL TONE MIXED FREQUENCY DTMF) Tout système automatique qui est greffe près d'un téléphone que ce soit pour "appel" ou pour "réponse", est amené à prendre la ligne, ce qui équivaut à décrocher Faire une telle manoeuvre revient à consommer, pour la tension de 48 V qui alimente la ligne telephomque un courant de 35mA dit "courant de boucle" En fin de communication, il y a une ouverture de boucle qui dure plus de 300nsec, et qui libère la ligne En langage courant, c'est le "raccrochage" du combmέ
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Au cours de son fonctionement, le système automatique est perpétuellement en mesure de reconnaître s'il y a un appel entrant (en langage courant "si le téléphone sonne ou s'il est occupé") car, en toutes circonstances, le réseau est conçu pour que information correspondant à la volonté d'établir une liaison téléph inique soit véhiculée de façon claire nette et précise qui est la suivante: une tension de 80V à une fréquence de 50 Hz est superposée, par le central téléphonique, au 48 V continu de la ligne. La détection électronique de cette tension (donc de ce signal alternatif superposé à un signal continu d'amplitude double du signal initial) est chose facile qu'on peut réaliser quelles que soient les circonstances de fonctionnement de l'appareil récepteur. La détection du courant de boucle permet de détecter "le courant" de boucle. Il suffit d'interposer, en série, avec le poste téléphonique un tel circuit classique "détecteur de boucle" qui est un véritable interface téléphonique. Pour un seul poste, un tel dispositif permet de savoir si l'on a décroché l'appareil en l'absence du propriétaire. Pour une multiplicité de postes (voir Fig. 3) auxquels serait associé le dispositif selon l'invention, l'interface détecteur de courant de boucle permet de déceler les décrochages (en appel et en réponse) et d'enregistrer les numéros composés (en numération décimale codée binaire). Signalons, également, dans ce cadre de la multiplicité de postes, la possibilité, connue de l'interface "coupure de lignes", interface qui, couplé avec le dispositif selon l'invention permettrait une discrimination d'appels.
Les possibilités que peuvent présenter les circuits d'interface sont nombreuses et très importantes. Il en est évidemment une qui ne sera accessible que dans des cas peu fréquents: la fonction d'identification de l'appelant. Elle est intéressante dans le cadre de la présente invention puisque l'annonceur ayant par exemple sollicité une réponse, que l'appelé ne peut donner directement, l'appelé a trois possibilités, quand il répond ultérieurement à l'invitation à retéléphoncr :
-A. L'appelant initial est physiquement présent. -
-B. L'appelant initial est absent mais le répondeur existe et un répondeur n'insupporte pas la personne.-
-C. L'appelant est absent, le répondeur existe mais on répugne à l'employer (cas plus fréquent que l'on ne pense).
Sauf dans la cas où la personne "allergique" au répondeur a un appareil avec D.T.M.F. et consent à l'utiliser, JAMAIS, le numéro d'appel d'un poste émetteur ne sera physiquement identifiable.
Les autres éléments du dispositif selon l'invention dans le cas d'une installation multi-postes sont le détecteur 2, la prise de ligne 4 par laquelle les impulsions analogiques arrivent
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via les deux lignes symbolisées en pomtille en 7 La référence numέπque 6 est relative a l'inverseur de polarité qui fonctionne sous commande de l'unité logique 5 (fig 3)
Un schéma d'interface réalisé sur carte (ou à trois dimensions pour raison de compacité) est visible à la figure 4 Les composants employés pour greffer ce circuit sur le reseau telephomque sont classiques II s'agit de transformateurs, photocoupleurs, relais, diodes dont des valeurs donnant des résultats satisfaisants sont donnés à la figure 5
La partie supéπeure du circuit de la figure 4 montre que le circuit secondaire du transformateur de type courant TRS53 est connectable à des entrées/sorties de basse impédance pour signaux audio provenant du convertisseur D/A qui a réalisé la recomposition analogique du signal numéπque présent en mémoire dans la section réservée aux "appelables du jour"
La compatibilité de basse impédance est garantie par les 680 ohms de R3. tandis que la protection de la forme des signaux est garantie par le carré des diodes 1N4148
La partie centrale de détection de sonnene est un montage redresseur alimente par un circuit R,C, qui bloque le courant continu Les entrées de commande des relais sont activées a l'état bas et leur référence est la masse La commande de relais se fait en 5 V dont l'origine peut être le système logique selon l'mvention
Les valeurs numériques et les caracteπstiques de composants électroniques actifs et passifs mentionnés au tableau de la figure 5 sont des données éprouvées par l'expréπence La tolérance a adopter est largement fonction des exigences et normes existantes car l'emploi du dispositif selon l'mvention est conditionné par l'agréation par un ensemble d'orgamsmes La réalisation physique et le fonctionnement du dispositif implanté sur un reseau correctement conçu pour simuler un reseau telephomque, permettent d'affirmer que les valeurs de la figure 5 sont acceptables par les autoπtes de gestion de réseau téléphonique a qui il mcombe de défimr les erreurs relatives tolérées, en basant cette définition sur des arguments techniques visant à l'mtérêt commun dans les relations socio-économiques
A la figure 6, on a illustré, par une présentation oπginale, le schéma des connexions nécessaires au fonctionnement du dispositif selon l'mvention Les techniques sont celles de la microélectronique C'est une micro-électronique dont l'unité logique 7 accessible par le clavier 8, est une plaquette d'un monocπstal de silicium, l'unité logique 7. englobe sur un centimètre carré
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1000000 de circuits intégrés à grande échelle (V.L.S.I.). Le circuit de parole 4 est celui englobant la prise de son, la numérisation. Sur la figure 1 est la sonnerie, S 1 est le connecteur de prise de ligne, Ql maintient la cadence des impulsions entre l'unité 7, impulsions qui sont commandées selon la séquence Q2, séquence qui est asservie au programme de l'unité. La référence numérique 9 est une batterie d'appoint qui, via la résistance évite l'effacement des R.A.M.fs. L'emploi d'un tel processeur en conjonction avec une unité téléphonique est connu : Ex: le "chip AM 160" de "National Semiconductor" qui est mentionné dans la revue française 'Ol/lnformatique" (18/11/91). Les différents supports de messages sont désignés comme suit: -MES SAN 1 sert à mémoriser, en bits, les messages du jour.-MESR2 mémorise le message de bienvenue/répondeur-REPAN 1 sert à mémoriser les messages réponses/répondeur-REPR2 mémorise les messages réponses/annonceur. Un message global introductif pour "non initiés" est prévu en une adresse spéciale de MESSAN1. Tous les messages sont donc numérisés et adressés pour être conservés en mode numérique.
Il est clair que pour respecter le caractère impeccable et reconnaissable de la voix, appelante ou répondante, on doit faire appel à une numérisation suffisamment fine. Si le signal numérique est désigné par s=f(t), où t est le temps qui s'écoule pendant le discours, on sait qu'il faut une fréquence d'échantillonage de 4000 hertz pour avoir une reproduction fidèle (La bande de fréquence qui permet de reconnaître une voix est comprise entre 200 et 4000 Hertz).
Une numérisation de la voix est réalisable de façon courante, de nos jours. On connait des convertisseurs A/D qui s'intègrent facilement dans un organe périphérique. Cet organe réalise une opération d'échantillonage et de mémorisation de i{t): il est parfaitement intégrable dans un microprocesseur installé dans un environnement de téléphone selon l'invention. Le but principal de l'invention est d'assurer une gestion optimale logique des messages sortant et entrant d'une installation de téléphone en visant plus particulièrement le cas où le réseau téléphonique utilisé n'est pas spécialement numérisé. Bien qu'il présente l'énorme désavantage d'exiger un canal par communication, le réseau traditionnel ne permet de recevoir sur la boucle locale de l'appelé qu'un seul message de voix, sur un seul canal. Sans réseau numérique, sur un canal, on peut employer des méthodes de multiplexage: on adopte une fréquence d'onde porteuse double de la fréquence maximale vocale : par exemple, 8,14 kHertz en utilisant 12 canaux de largeur 12, on utilise une bande passante de largeur 48kHz dans laquelle, par démodulation, deux messages sont identifiables. Dans la bande passante de la ligne ordinaire, on envoie, en plus de la parole, des signaux qui sont descriptifs des états de la ligne. Ils peuvent être soit analogiques, soit numériques. Les dix chiffres décimaux sont,en système D.T.M.F., la combinaison de deux (dual) fréquences de
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la bande vocale émise simultanément La conversion de ce mélange de fréquences en un tram d'impulsions coπespondant se fait au central
Il est évident que la mémoπsation du message se faisant sous forme numéπque, il est superflu, lors du lancement d'une annonce, sur un reseau numéπsé qui est destiné à un terminal radiotéléphomque numéπque. de réaliser la conversion D/A Non seulement elle ne se justifie pas économiquement, mais elle est dépourvue de signification technique On prévoit, dès lors, également selon la présente mvention. le passage direct du message mémonsé dans l'interface de prise de ligne pour réaliser le passage et l'accès direct à la ligne en mode "annonce" et en réponse
L'application de la présente invention se conçoit dès lors, sur le réseau à onde porteuse usuel (réseau analogique) et sur les réseaux numeπqucs tels que PBX,DCS, à modulations d'impulsions codées (PCM) et TDM (Time Division Multiplexing) et aussi sur les réseaux haute fréquence (fibres optiques), I S D N , etc
Il existe sur le marché, des cartes analogiques/numenques et numériques/analogiques spécialement pour le spectre des fréquences vocales Signalons la carte SOUNDBLASTER codée sur 16 bits qui couvre les différents niveaux vocaux et permet la reconnaissance de voix
L'invention visant la qualité de la voix, lorsque l'on travaille sur le réseau numéπque, le codeur/dccodcur doit avoir un débit d'au moins 16 kbits sec II est clair, qu'au moment de l'installation de l'annonceur, selon qu'il est branche sur le réseau numénque ou non, la mise en oeuvre, en fonction annonceur du convertisseur D/A sera opérée ou non Ceci restera une option de l'appareil selon l'mvention
Le caractère convivial de l'appareil se concrétise par le fait que l'on peut démarrer une journée au cours de laquelle le dialogue avec l'appareil sera possible a tout moment
On commencera par extraire du "bottin interne de l'annonceur-répondeur", la liste des personnes que l'on souhaite appeler au cours de la journée
On procédera alors, pour ces différentes personnes aux enregistrements qui les concernent
Bien entendu, il est également possible d'envoyer un message à une personne qui ne figure pas dans la database et qu'on ne souhaite pas l'y incorporer On fera alors une "introduction directe".
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Au cours de la journée, a tout mstant, l'appareil sera consultable et, éventuellement un chargement inopine de message pour la journée et/ou pour les jours suivants peut être fait A tout mstant également soit sur place, soit à distance l'appareil sera interrogeable et les messages reçus directement en fonction "répondeur" ou induits suite à l'appel de l'"annonceur" seront entendus Quoique peu envisageable, pour rester raisonnable, on peut proposer de réaliser, à distance, un enregistrement ou une altération d'enregistrement qui serait nécessaire en fonction des événements qui eu heu au cours de la journée II suffit, à la condition de travailler sur le réseau DTMF d'appeler, a distance rannonceur et de charger le message
On peut envisager également d'avoir, à distance, une édition de l'état d'avancement des tâches données en début de journée
Ces différentes fonctionnalités interactives sont en fait le résultat d'une programmation soignée de la mémoire morte
Le transport de l'appareil "annonceur-répondeur" au cours d'un voyage, dans un pays étranger nécessite les opérations suivantes Changement de l'heure propre de l'unité logique
Chargement du programme de changement de réseau telephomque le test sur les numéros les plus fréquents dans le "bottin" étant un test sur l'indicatif international du pays d'achat de l'appareil, une modification est a envisager
Les programmes de changement d'heure suite au décalage horaire sont la plupart du temps parametπsable et des lors, la modification sera faite dès que sera effectué le changement d'heure locale
Il n'existe pratiquement plus aucun pays où une intervention humaine (opérateur) soit requise pour établir une liaison telephomque
Tous les réseaux sont dits "autocommutés" mais il existe, malgré les efforts du "Comité Consultatif International Télégraphique et Téléphonιque"(C C I T T ) des difficultés, non pas au mveau des transmissions qui sont d'une grande perfection (liaison par faisceau optique, par satellites) mais au veau des "plans d'acheminement". Dans la mesure où le plan de numérotage mondial spécial conçu pour la transmission mondiale à l'aide de treize circuits internationaux n'est pas admis par toutes les autoπtés du globe, automatisation peut être arrêtée dans l'un ou l'autre
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pays connu d'avance et repπs dans les bottms II est clair que l'annonceur telephomque selon l'mvention peut prendre en charge un message intermédiaire pour l'operateur(πce)
On comprend donc, que le système selon l'mvention est universel puisque, depuis 1947, des commissions techniques internationales du C C I T T ont mis sur pied des spécifications de signalisation et de commutation pour exploitation mtemationale semi-automatique c'est-à-dire avec suppression des operateurs(πces) dans le pays d'arπvée et maintien seulement, dans le pays de départ, d'operateurs(πces) qui peuvent obtenir directement au clavier les abonnés des pays éloignes Les travaux du C C I T T ont porté pπncipalement sur une standardisation dans les trois domames fondamentaux d'une bonne transmission signalisation, numérotage, acheminement La présente mvention s'mscπt harmonieusement dans ces réglementations
Un type de support de message envisageable dans le cadre de l'mvention, est le disque compact amovible a voix numénsee et échantillonnée finement et donc non compπmee Selon le marche des nouveaux composants, de tels supports seront attractifs, ils font partie de l'entité conçue selon l'invention
Sur chacun de ces supports, un message spécifique est évidemment audible isolement en utilisation a partir du clavier (utilisation locale), la localisation en mémoire adressée de la réponse éventuelle du destinataire se fait a l'instant, même étant donne que chaque réponse correspond à une annonce déterminée qui est enregistrée par voie numéπque et que chaque message d'annonce est identifie au départ par le nom du destinataire En tapant sur le clavier d'entrée, le nom PO(K) du répondant lu sur le récapitulatif memoπse pour le jour en 206 (fig9), on pourra entendre un message "direct" ou "indirect" via le bloc 260 ou 270, selon le cas L'émulation se fait via les bus et pointeurs 210,214, grâce à 204/206 Ceci engendre finalement la restitution En aval des blocs de sortie de messages proprement dits, on a , en seπe, les blocs 340, 350,360,370,380, 390, qui ont des fonctions auxiliaires telles que, dans l'ordre message de saturation (390) nombre d'annonces possible maximum atteint, nombre d'appels (380) nombre et en DTMF, identité des personnes ayant appelé (370) nombre d'enregistrements spontanés (fonction repondeur) (360 et 350) bilans divers (fig 9)
Le bloc (fig 6) avec la référence 8 est un clavier d'entrées de données II est nécessaire pour entrer les vaπables de départ, défîmes notamment NAI(ι) et REP(k) Il s'est avéré que l'umté 40-WAY KEY PAD de la firme MAPLIN (RAYLEIGH, England, Essex SS62BR) de
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niveau 2 en assurance de qualité et présentant une surface utile de 87X8 mm carrés est adaptée au but poursuivi.
La capacité C 1 (fig 6) est nécessaire pour stocker l'énergie, quand il y a interniption de courant en cas de train d'impulsions (émis ou reçu) par rotation du cadran (voir figure 1). Le commutateur S2 permet la mise sous tension de l'unité logique. La ligne symboUsée en pointillé et surmontée du signe RAM illustre le fait que le train d'impulsions correspondant à une personne appelée (si l'on veut, donc, à son numéro d'appel) actionne la commande SI, la boucle des impulsions proprement dite étant réalisée via la diode de régulation Dl en série avec le transistor Ql dont la base est contrôlée quant à sa tension de conduction par l'élément Q2 qui joue, de ce fait, le rôle d'actionneur d'impulsions. Le bloc 1 symbolise l'unité de sonnerie (partie centrale sur la représentation de l'unité d'interface donnée à la figure 4) et 2 est un pont de redressement.
L'unité 4 est le réseau de paroles (ici, c'est le bloc, constitué des quatre appareils convertisseurs numériques/analogiques/restitution de messages). Les quatre éléments de cette unité annonce/réponse sont visualisés à la figure 11. Ce bloc est activé ou non activé par Q4 qui est évidemment lui-même asservi aux signaux issus de l'unité logique qui envoie l'adresse des 4 mémoires ci-dessus qui doivent être questionnées. L'alimentation est sous contrôle de Q3 qui l'enclenche ou l'arrête. 9 est une batterie de sauvegarde pour possible coupure de courant.
Les schémas 4 et 6 présentent la complexité de l'entrée sur un réseau et de la communication sur ce réseau souvent dépourvu de "D.T.M.F.". Il va de soi que l'interconnexion est plus simple entre les lignes D.T.M.F. et une unité logique. Elle est usuelle dans les centraux avec D.T.M.F. et est applicable à la présente invention et n'est pas décrite davantage car elle est connue de l'homme de l'art.
Le présent type de fonctionnement téléphonique local fonctionnant avec unité logique avec usage unique de la conversion A/D, stockage, conversion, D/A doit être expérimenté soigneusement hors réseau.
Lorsque la charge des opérations n'est pas trop importante, l'unité logique peut être arrêtée, sans perte d'information. On a en un boîtier, les fonctions booléennes usuelles, celles de calcul évolué, une unité de micro-traitement complète, des mémoires plusieurs dizaines de milliers d'éléments binaires. Ces mémoires sont à seule lecture ROM. L'organisation générale du dispositif logique exige au moins une carte de circuits imprimés reliant entre eux les différents boîtiers :
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-boîtier microprocesseur (processeur principal) , -boîtier, très important dans le cas présent, de la tempoπsation, fournissant la cadence aux autres, avec d'éventuelles interdictions signalées par drapeaux, -boîtiers mémoires, -boîtier d'entrées/sorties, -boîtier d'interface (voir supra) Les liaisons communes sont matérialisées sous forme de "bus d'information" permettant l'échange des signaux des capteurs d"état de la ligne" , l'échange des adresses* celles de la commande et celles de la synchronisation; des microprocesseurs 32 bits réalisés en technique CMOS sur une seule puce, par exemple de "Belle Lab", semblent bien adaptés Le type d'unité logique ici envisagé est à algoπthme unique programmes et données sont stockés dans des mémoires immuables et notamment qui ne perdent pas la moindre partie d'information en cas de coupure d'alimentation Sous cet angle de vue, la préférence sera donnée aux REPROM Les mémoires RAM sont classiques, à semi-conducteurs, elles, perdent leur contenu en cas d'alimentation électrique discontinue Un micro-ordinateur comme le TO-8 de la firme THOMSON est applicable
Dans le même ordre d'idées, la séπe TMS1000 de la marque "Texas Instruments" est signalée II y a évidemment une décision à prendre il faut comparer le coût du temps passé à écnre un programme destiné aux ordinateurs tels qu'ils sont devenus plus courants avec le coût correspondant au temps indispensable de mise au pomt La décision pπse est nettement en faveur de la solution suivante lorsque le programme a subi les essais et que la décision est pπse de fabπquer le système, la version finale est adoptée, le circuit du micro-ordinateur standard est programmé par masquage, qui vient s'mscπre de façon irréversible, qui ne peut ni être effacée m détruite Ce type de secuπté est indispensable a la réalisation d'un produit de classe
En fait, après l'acquisition du circuit standard, seule la métalhsation de masquage doit absolument être répétée Le programme de masquage est évidemment rapidement fait, de nos jours, grâce aux systèmes de développement de "softwares" qui sont connus des développeurs d'applications Sur le produit pourvu de son masquage les essais pratiques, en situation quasi-reelle, sont faits en utilisant des simulateurs et des émulateurs qui reprodmsent exactement des situations concrètes réelles et permettent d'avoir, statistiquement, un haut niveau de confiance dans la fiabilité du système
On trouvera, ci-après une liste à titre exemplatif de l'ensemble des vaπables alphanuméπques qui sont envisagées pour mener à bien les opérations - 1 est le nombre de personnes qui sont appelées I peut vaπer en opérations, puisque des appels, non attendus, inopinés repères par l'appareil sont identifiables et leur numéro d'appelant
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peut être détecté, ce qui permet de les rappeler ultérieurement (étapes 10 et 110 dans rordinogramme de la figure 7).
- J est le nombre de personnes à appeler ce jour là et qui donnent lieu à une annonce qui tient compte, le cas échéant, du décalage horaire. - INOP est le drapeau d'appels inopinés, inattendus. (étape 9, fig 7)
- K est le nombre de "non-décrochage" du correspondant
-CO$ est le nom du correspondant n'ayant pas décroché qui devient après la première tentative infructueuse HAR$(K).
- L=L+1 compteur des appels essayés et qui ont réussi: arrêt de la fonction annonceur (lorsque I=L)
- FI flèche désignant sur l'ordinogramme de la figure 7 un appel inopiné (voir fig. 7)
- F2 signal DTMF émis par le poste de l'appelé et qui a pour effet de mettre l'appareil sur "PAUSE", compte tenu du fait que le destinataire effectif du message ne se trouve pas à côté de l'appareil. - F3 signaux de libération de la fonction d'attente éventuellement mise en oeuvre en F2 et de réémission du message d'annonce à partir de son début (Fig 7). Le processus est enclenché par un signal DTMF spécifique émis par le destinataire effectif qui a rejoint le poste téléphonique sur lequel il est appelé. Le processus de remise à zéro et de réefnission du message peut également être enclenché par le BIP sonore d'un répondeur avec lequel l'annonceur se trouve en communication. Au moment du BIP l'annonceur "reconnaît" qu'il se trouve en communication avec un répondeur et fait redébuter le message au moment précis de la fin du BIP sonore. L'utilisation de la technique numérique permet de ne pas devoir tenir compte d'un temps de rebobinage de cassette, comme ce serait le cas sur un annonceur-répondeur fonctionnant selon un système analogique.
- HFT(I) heure ou instant de la fin de transmission des annonces, soit fin de l'appel de numéro I.
- TIMEOP temps de début d'opérations (Etape 5 fig.7)
N=0, 1 drapeau : prend la valeur 1 si l'on souhaite l'émission du "message pour non-initiés" et la valeur 0 dans le cas où seul le message, sans message général d'introduction est souhaité. - AR=0,1 est la demande (valeur 1) d'arrêt intempestif et demande de bilan.
- BIL est l'interrupteur direct enclenchant l'émission d'un bilan
- FMES est le drapeau de fin de message
Selon la figure 7, la séquence logique fonctionnelle est reprise pour les opérations ANNONCEURS lorsque après le test de l'étape 5, on a constaté que le temps courant était
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compris entre 9H30 et 21H30, on débute à l'étape 3 les opérations. Les grandes lignes de principe sont : la mise en route du compteur L (étape 4) la prise de ligne en 6, l'émission du numéro d'appel NAP(I) destiné à l'appelable I, (étape 8),et en 20. le test de décrochage. A la figure 7, F1,F2,F3 désignent, comme évoqué ci-dessus, les possibilités diverses d'éventualités faisant obstacle ou différant l'émission du ou des messages. En 120, on teste si le compteur L a atteint la valeur I, qui est aussi le nombre maximum des destinataires du jour. Finalement, signalons en 130, un important test qui permet d'interrompre toutes les X (au choix) minutes (dans le cas de la figure 7, toutes les quinze minutes), la fonction "Annonceur" au profit de la fonction "Répondeur".
En référence à la figure 9, les blocs fonctionnels de l'appareil global sont répertoriés. On peut choisir cinq fonctions "internes" lors de l'utilisation de l'appareil : l'enregistrement des messages (5) de particulier à particulier ou de messages globaux (voir l'ordinogramme de la figure) la "mise à jour (10) du bottin" des appelables, la mise en opération "annonceur" (15) au sein de laquelle on distingue la "marche normale" (étape 17), et la demande d'un bilan (étape 19) avec son édition
En fonction "Répondeur", la figure 9 permet de voir que l'on distingue l'opération
"Répondeur" (20) et l'enregistrement du message d'accueil (25). En cas de fonctionnement MULTIPLEX, Haute fréquence, fonctions "répondeur" et fonction "annonceur" sont, éventuellement pour l'observateur, rendues simultanées par filtrage coπect sur la ligne de canaux existant entrant et sortant. Il faut noter que, de la même façon que les opérations de l'annonceur sont d'une durée limitée, le fonctionnement en répondeur simple ne dure jamais plus de trente minutes (voir ordinogramme de la figure 9).
Par ailleurs, la conception d'un circuit intégré équivalent à un micro-ordinateur n'est compliquée que dans la mesure où l'on ne maîtrise pas la technique des "puces" TTL, des cellules CMOS et de leur mise en implantation sur une carte . Si le développeur du produit selon l'invention n'a pas cet acquit, un apprentissage peu ardu est nécessaire.
Dans ce cas contraire, il s'agit de développer un système de confection de logiciel habituellement acquis auprès d'un constructeur et de suivre la procédure clairement évoquée plus haut, ci-dessus.
La figure illustre les opérations à réaliser pour employer judicieusement le dispositif selon l'invention. L'appareil est mis sous tension et un menu principal est proposé (voir Fig 10.) qui donne les options d'emploi possibles; la figure 10 en question montre, de toute évidence, que. via le
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clavier (8) (fig 11) d'mtroduction de données, on encode les données relatives aux éventuels correspondants, des altérations de ces données, et d'éventuelles annulations
Ceci est, en fait une application accessoire, certes mais éventuellement intéressante en tant que répertoire d'adresses L'ordinogramme relatif au traitement du fichier des correspondants est 5 donné en figure 5
Cet ordinogramme n'appelle, de fait, aucun commentaire, une mise à jour étant courante en traitement de l'uiformation La seconde option du menu principal "annonceur" est le chargement La figure 8 illustre les opérations de chargement de l'appareil pour fonctionner comme "annonceur-répondeur", l'appareil dont le raccordement telephomque au réseau est toujours 10 concrètement présent, selon le schéma classique repπs à la figure 3, est mis sous tension (étape 10, fig 5) Le bus de mise en service 16 (fig) émule via le port d'entrée 210 l'umté logique 204, laquelle enclenche une routine de gestion du mini-écran située dans la mémoire morte 208 Ceci provoque l'affichage global ou par déroulement des messages sur l'écran
La figure 12 illustre une vue globale des flux d'informations relatifs au dispositif 15 d'annonce-réponse selon la présente mvention
Le rectangle tronqué interne, délimité par une séπe de barres et de pomts, représente le centre opérationnel du système électro-logique II représente la partie recevant les signaux d'entrees (données ou ordres) et émettant des signaux sortants (enclenchement des enregistrements/arrêts, des annonces, des réponses) Le rectangle exténeur complet délimité 20 comme ci-dessus, englobe la fonction réponse
L'unité logique 204 comprend une unité aπthmétique et logique, un registre pour des opérations aπthmétiques, un registre de contrôle d'adresses, un registre d'instructions, un décodeur d'instructions, ainsi que d'autres circuits fonctionnels Le bloc 206 est la mémoire transitoire qui servira à la réalisation des opérations choisies (Mise a jour du fichier , Annonceur, autres (cf Fig 25 10)
Après la mise en service via le port 16, l'entrée enjeu 206 (fig 9) se fait via le port d'entrée 210 et le pointeur 214 si bien qu'une fonction spécifique est choisie parmi les quatre fonctions dans les blocs de numéπsation binaires soit 195, 197, 198, 199 Concrètement, 195 est le circuit acceptant directement le langage en clair de la mise à jour du fichier, 197 émule la fonction FEUILLE DE REMPLACEMENT
annonceur; 198 émule la fonction répondeur; 199 émule respectivement et dans l'ordre, selon les choix : 199a (statistiques); 199b (prix isolés ou cumulés); 199c termine, quant à elle le fonctionnement du dispositif d'annonce/réponse selon la présente invention (fig 9).
Le flux des informations suivant les trajets 210, 214 est fait en code d'opérations et d'adresses symboliques. L'unité 204 convertit évidemment cette forme symbolique en langage machine binaire, c'est-à-dire qu'elle contient le programme d'assemblage. La voie d'entrée 202, suit le trajet 210, 214; elle est programmée en langage symbolique et est donc la voie d'entrée pour l'enregistrement des nouvelles relations (futurs appelables). Cette voie d'entrée contient un drapeau (D) qui force systématiquement l'unité logique 204, après conversion en langage binaire à stocker les informations directement dans la mémoire morte 208. Par le même drapeau (D), la voie 214 injecte dans le système, toujours via 210, 214 des altérations relatives aux anciennes relations . Dans ce dernier cas, l'unité 204 appelle le pointeur 214 (droite), les données correspondantes qui sont lues uniquement hors du bloc 208, transférées en 206 où par le biais de 204, les altérations sont effectuées. Lorsque le signal de fin de processus d'altération des données est lancé en provenance de 214, les données altérées rétrogradent en 208. Un retrait ou une suppression de relations étant un cas particulier de ce qui vient d'être expliqué, le processus est le même pour ce cas.
On comprendra que 216 étant la voie d'entrée des appelables du jour, l'information les concernant suit le même trajet (chargement de 208 à 206).
Dans le cas d'encodage des appelables du jour, le programme (voir figure 8) implique une limitation du nombre d'annonces possibles entre les heures convenues, de là, découle l'existence du bloc "saturation" (230, fig 12). Le bloc 218 est la voie d'entrée pour les enregistrements. Les bus et pointeurs 210, 214 finissent par assurer la commutation de 204 qui charge la routine d'enregistrement située en mémoire morte en 206. Selon le choix d'un drapeau fait au niveau de l'entrée, l'enregistrement se fera sur MESSAN1 ou MESSAR2 qui sont les mémoires respectivement pour les messages de la fonction "annonce" et pour le message unique (mais évidemment changeable pour l'invitation en fonction "répondeur" (MESR2).
Enfin,220 est la voie d'entrée pour l'interrogation relative aux messages reçus: ils peuvent être dûs au fonctionnement "répondeur" où ils peuvent être la conséquence de la fonction "annonceur".
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La petite flèche portant la référence signifie que si l'on dispose des facilités D.T.M.F., l'entrée 220 sera accessible à distance, via les processus de flux informatifs décrits ci-dessus et, donc, les messages reçus, qu'ils aient une origine "directe" (fonction répondeur) ou indirecte (fonction annonceur) seront donc audibles à distance par téléphone, étant entendu que la discrimination des fréquences sera faite et que le programme en 206 en tiendra compte . L'opérateur choisit, à ce moment voulu, par exemple, l'option "annonceur" au menu visualisé sur la figure 10. Il choisit, sur le mini-écran (voir Fig) le "pavé" du menu "Introduction des appelés du jour". Les étapes 20 et 30 (Fig 5) servent à introduire les variables CO$ (ij) et ADCOS (ij) et NAP(i) des futurs appelés du jour. Ces différentes données émanent du registre 195 d'entrée (Fig9) où elles sont ordonnées selon les techniques de la logique des circuits par adressage précis. C'est évidemment le système d'exploitation qui opère cette gestion des données par les techniques classiques des langages machine des mini-système de traitement de données. En 30, on teste si NAP(i) vaut ou non 32 (numéro international du pays d'installation du dispositif, par exemple dans le cas présent la Belgique. Si NAP(i) est différent de 32, l'unité logique 204 (fig.9) charge à partir de la mémoire morte 208 la sous-routine classique du domaine public.de calcul du décalage horaire (Bloc logique DECAL (fig 5))
Ayant, à présent, bien rappelé, dans ce qui précède, les possibilités qui existent, on énonce ci-après, les différentes fonctionnalités dont l'appareil est doté : On se reportera à ce qui a été dit plus haut, quant aux types de fonctionnalités envisagées. Ces dernières sont précisées dans ce qui suit: après, les différentes fonctionnalités dont l'appareil est doté :
On se reportera à ce qui a été dit plus haut , quarr aux types de fonctionnalités envisagées. Ces dernières sont précisées dans ce qui suit : Les fonctions globales que doit assurer l'appareil téléphonique muni du dispositif selon l'invention, sont les suivantes :
- Garde mémoire de l'ensemble des personnes susceptibles d'être appelées (avec ou sans emploi du système). Mémoire de 512K.
- Possibilité d'entrer dans la mémoire ci-dessus des noms et caractéristiques relationnelles de nouveaux "entrants": constitution d'un "botin personnel". - Visualisation globale du panorama des succès/échecs au cours des intervalles de temps de contacts f, /ou d'essais.
Fonctions intrinsèques : pour l'annonceur : gestion optimale du planning des appels/réponses au cours du temps qui s'écoule pendant une journée. Fixation en début de journée, ou préalablement à une absence, du nombre de personnes à appeler.
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Fixation des heures de début et de fin des appels Fonction de libération de la ligne, et de lancement du numéro d'abonné
Fonction de visualisation du nombre d'échecs lors de l'essai d'appels nombreux a une même personne Pour le répondeur Pπse de ligne, Emission du message d'mtroduction enregistrement de l'éventuel message de réponse du correspondant qui a eu l'initiative d'appel
Fonction de possibilité d'interrogation a distance du contenu des messages reçus (cas DTMF) Enclenchement d'arrêt télécommandé de l'appareil de l'un ou l'autre modes de fonctionnement (cas DTMF)
Entre deux annonces réservation d'intervalle temporel où la réception des messsages est possible (fonction "repondeur" imbπquée dans la fonction "annonceur") Détection de sonnene memoπsation du numéro d'un appelant pendant une annonce (cas DTMF)
La présentation du dispositif est celle d' une boîte parallélipipédique dont les dimensions sont(en mm) 280x220x70 en mcluant dans ce volume, le volume propre de l'appareil telephomque, qui, en pratique représente les 2/5 du volume total, environ, suivant les types d'appareils qui sont, au départ, installes
La figure 1 1 illustre une configuration pratique du dispositif selon l'invention
L'avantage principal du système de gestion de messages éventuellement interactifs selon l'mvention réside dans la présence de pièces à fonctionnement mécanique en nombre minimum
La memonsation se fait par voie numéπque pure
L'horloge interne présente de l'umté logique déterrrune les interventions de cette umté Deux opérations sont asynchrones à ces ensembles de tâches logiques , il s'agit des entrées via le clavier et des sorties des impulsions de numérotation On utilise la méthode des interruptions pour prendre en charge ces tâches Les données entrant dans l'imité logique sont traitées par "paquets" qui sont emmagasinés à intervalles réguliers d'interruption Toute tâche du programme pπncipal de l'umté logique est ainsi inhibée lorsque l'umté logique est chargée de l'ensemble des "missions" qu'elle doit effectuer lors d'une journée
En fonctionnement, l'émission des impulsions de numérotation se fait indépendamment du rythme d'horloge et cesse avec le drapeau de fin d'envoi de numérotation L'appareil a un affichage
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matriciel (fig 11) par exemple à cristaux liquides, l'écran a au moins 6 lignes à 32 caractères. La visualisation intégrale des paramètres d'identification d'un "appelable" est possible sans effectuer de manoeuvre de commutation d'écran ou de "glissement" de ligne dans le cas d'affichage à cristaux liquides. Le clavier est usuel, à touches carrées, d'environ 8 mm de côté. Un type de clavier satisfaisant a été mentionné. Il comporte des touches fonctionnelles aux intitulés évidents: "A" pour la fonction "annonceur" unique, "R" , pour la fonction "répondeur"unique et M" pour assurer la fonction mixte. "M" sera évidemment la touche qui sera la plus souvent utilisée.
En plus des touches fonctionnelles, le clavier (8) aura les 26 lettres alphabétiques, 10 chiffres, 16 touches de ponctuation et une touche de commande d'écran.
Les mémoires sont à deux états logiques et sont donc classiques, soit sur support "dur" ou sur disquette ou disque optique, avec effacement possible selon les besoins opérationnels.
La puissance de l'appareil accoustique de sortie est de 400mW, avec un rapport de sortie signal/bruit de 30dB. Un haut-parleur (l)(figl 1) permet la reproduction des différents messages, en entrée et en sortie, en acceptant des signaux dépourvus de distorsion, pour une impédance de sortie de 8 ohms, le diamètre du haut parleur étant de 40 mm seulement.
La gestion logique de l'unité assure la direction, au moment voulu, ou sur l'intervention explicite de l'opérateur sur le clavier, des différents signaux contenant les messages. Bien qu'il ait été conçu pour assurer ses fonctions avec tous les systèmes de récepteur téléphonique actuellement sur le marché, il est clair que l'utilisateur aura, pour un même dispositif "annonceur-répondeur" une efficacité de fonctionnement plus importante (fonctions interactives)si l'appelé est équipé du système D.T.M.F. (voir fig 2). Il y a lieu de signaler à nouveau que des émetteurs portatifs des fréquences D.T.M.F. sont disponibles sur le marché.
Sur base des explications de structure précédentes qui ont démontré la simplicité fonctionnelle de l'annonceur-répondeur selon l'invention, on se reporte à présent à la figure 10 qui est une vue synoptique des fonctions proposées à l'utilisateur. Quatre fonctions principales sont proposées à l'utilisateur :DATE ; FICHIER, ANNONCEUR, REPONDEUR. La réalisation pratique de ces fonctions est faisable intégralement sur base des circuits, schérr— et diagrammes de flux d'informations, drapeaux donnés aux figure 3 à 9 ci-dessus. Elles sont données, dans les grandes lignes, à titre purement exemplatif, avec proposition d'une séquence opératoire envisageable pour mettre en oeuvre ces fonctions. On rappelle que l'appareil a
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un écran (2) et un clavier "AZERTY" (8). On dispose également de flèches directionnelles permettant de choisir parmi les menus et sous-menus que comportent les fonctions mentionnées.
La fonction DATE : Après la mise en service de l'appareil , on opte pour cette fonction en déplaçant le curseur directionnel qui permet, sur le menu fondamental de départ, de choisir l'une des quatre fonctions évoquées plus haut.
Sur l'écran trois options sont proposées : VILLE REGLAGE ETE
Le choix de VILLE fait apparaître deux sous-fonctions:
DEPART INFO
Le choix de "DEPART" donne la possibilité de définir la ville d'où l'annonceur - répondeur assurera ses "missions". Si le propriétaire a voyagé avec son appareil et s'il se trouve au terme de son voyage dans un fuseau horaire totalement différent de celui de la ville où l'appareil est employé d'habitude, l'emploi de cette sous-fonction s'impose. Ayant défini, par curseur, le choix "DEPART", on tape éventuellement, lesdonnées spatio-temporelles d'utilisation. Par exemple : PARIS LUN 16 AOU 11:54, PARIS ayant été sélectionné parmi une série de villes proposées par l'appareil, avec mention de l'heure et du jour courants (via la sous-fonction INFO).
Le choix de "REGLAGE" permet de régler l'heure et la date.
Le choix de l'option "ETE" permet de passer, au besoin, à l'heure d'été.
La fonction FICHIER, qui est la seconde du menu principal est très importante et le choix de cette fonction entraîne les six choix possibles suivants :
- RECHERCHE
SAUVER
EFFACER
MODIFIER
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TRIER INFO
Le choix de RECHERCHE permet de trouver le numéro d'appel d'une personne dont on introduit les cinq premières lettres du patronyme au moins: il s'agit d'une consultation de la mémoire contenant la liste des appelables (cf. Agenda électronique).
Le choix de SAUVER correspond à une volonté d'introduire une nouvelle personne dans la mémoire contenant les appelables et ce, avec tous les paramètres et contraintes de timing fixes relatifs à cette personne. On aura donc l'affichage sur la première ligne d'écran : "NOM?". On tape sur le clavier le nom de la personne et l'on envoie l'ordre d'exécution (Touche EXE). Trois lignes sur l'écran proposent de taper trois numéros d'appels. Après avoir tapé ces trois numéros sur les lignes, on a la faculté de mettre en regard de ces numéros des mentions d'identification, par exemple : bureau, privé: première résidence, privé: seconde résidence etc.- La cinquième ligne de l'écran propose d'émettre ou non le message d'"introduction" dont il a été fait mention : INTRODUCTION:0/N. La sixième ligne évoquera la réduction éventuelle des plages horaires d'appel. En sélectionnant "O" suite au message de sixième ligne "réduction plages d'appels O/N, le texte suivant apparaît sur l'écran :
- LIMITES HEBDOMADAIRES
- CONTRAINTES JOURNALIERES
Le choix de LIMITES HEBDOMADAIRES entraîne l'appartion de trois ligne suivantes : NUMERO DE TEL 32/2/3844180 (Albert Dupont) L M M J V S D
SEM W.E. PLAGES D'APPEL Par les commandes via le curseur (haut, bas, gauche, droite) on choisit le ou les jours de la semaine et, le choix fait, l'introduction en machine a lieu par la touche EXE.
Le choix de CONTRAINTES JOURNALIERES fait, par exemple, apparaître : NUMERO DE TELEPHONE 32/2/3848180
DE ... A DE ... A
FEUILLE DE REMPLACEMENT
Les cases vides sont remplies par l'opérateur qui envoie l'ordre via EXE
Le choix de EFFACER entraîne l'affichage de: EFFACEMENT
" " (Nom à effacer) ETES VOUS CERTAIN ? O/N
Si une mission est en cours relativement à cette personne, l'écran affichera : ATTENTION MISSION EN COURS SERA ANNULEE ETES VOUS CERTAIN ? O/N
On sélectionnera O ou N selon le cas, suivi de EXE.
La fonction ANNONCEUR, quand elle est choisie dans le menu principal, a pour conséquence l'apparition sur l'écran de :
MESSAGE D'INTRODUCTION
MISSION
STATISTIQUE - ARRET DE MISSION EN COURS
IDENTIFICATION DES REPONSES
Si le choix est fait pour MESSAGE INTRODUCTION, l'écran fait apparaître :
MESSAGE D'INTRODUCTION N°l - ENREGISTREMENT
FIN
DESIGNATION
REECOUTE
MODIFICATION - EXIT
En mettant le curseur sur "ENREGISTREMENT" suivi de EXE, le texte suivant apparaît sur l'écran:
"Attention, parlez après le BIP sonore et appuyez sur la touche "F" à la fin de votre discours".
FEUILLE DE REMPLACEMENT
En mettant le curseur sur DESIGNATION, on fait le choix de la langue dans laquelle le message d'mtroduction doit être émis, REECOUTE est une fonction qui se passe d'explication MODIFICATION En choisissant cette option, suivie de EXE, la cassette contenant le message que l'on vient d'enregistrer se remet au "top" de départ et un texte suivant apparaît sur l'eran qui invite l'auteur du message întroductif à reprendre les opérations au départ après avoir, de préférence, surtout si la langue utihsée n'est pas sa langue maternelle, mis le message par ecπt pour le lire et pour qu'il ne soit pas trop long EXIT est une fonction qui n'appelle aucun commentaire
L'option MISSION qui est la seconde option offerte dans la fonction "ANNONCEUR" fait apparaître le texte suivant sur l'écran MISSION INDIVIDUELLE MISSION COLLECTIVE
Comme on l'a déjà évoque précédemment, ces options font partie des possibilités de l'appareil Rappelons que le choix de "MISSION COLLECTIVE" permet de prendre contact avec une série de personnes et de leur envoyer un seul message
Pour des raisons de simplicité, nous ne commenterons en détail que l'option "MISSION
INDIVIDUELLE" L'option "MISSION INDIVIDUELLE" fait apparaître le texte suivant sur l'écran
DESTINATAIRE
INTRODUCTION DIRECTE - SELECTION DANS LE FICHIER
L'introduction directe permet d'envoyer un message a une personne qui n'est pas repnse dans le fichier Une fois que les données ont ete mtroduites ou sélectionnées dans le fichier, le texte suivant apparaît
MESSAGE D'INTRODUCTION O/N
Cette rubπque permet éventuellement de supprimer le message d'introduction ou éventuellement de choisir parmi plusieurs messages Ensuite, le texte suivant apparaît
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TIMING DES APPELS
- FREQUENCE REITERATION DES APPELS
Un appel toutes les H Mm a défaut de compléter cette rubπque, les appels seront réitères selon un rythme standard, 5 par exemple toutes les deux heures
- DUREE MAXIMUM DE LA MISSION
Jours ( a défaut de mention, la mission se limitera a 1 jour) DETERMINATION DES PLAGES D'APPELS DE A 10 DE A
A defautles appels seront effectues pendant une seule plage ininterrompue de 9H a 21H30 sauf lorsque des instructions sont prévues individuellement au niveau du fichier
Si la plage d'appel choisie "déborde" de la péπode compπse entre 9H et 21H30, le texte suivant apparaît
15 "ATTENTION ι VOS APPELS NOCTURNES RISQUENT DE DERANGER VOS
DESTINATAIRES ETES-VOUS SÛR ? O/N"
Appuyer sur O ou N, suivi de EXE
Lorsqu'on a appuyé sur EXE (voir paragraphe précèdent), le mot "MESSAGE" s'affiche sur l'écran
20 11 est suivi des options suivantes
DESIGNATION O/N ENREGISTREMENT REECOUTE MODIFICATION
25 - DESIGNATION
Permet de donner un numéro, un nom ou une brève descnption du message La désignation permet d'établir des statistiques (voir mfra), c'est-à-dire un panorama des succes/échecs
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des appels téléphoniques relatifs à un message. Si vous apnuycz sur la touche o, le texte suivant apparaîtra sur l'écran DESIGNATION MESSAGE :...
Il conviendra de compléter la rubrique concernée en appuyant ensuite sur "EXE". Si vous optez pour N (cas le plus fréquent dans une procédure individuelle), le nom de la personne servira automatiquement à désigner le message.
- ENREGISTREMENT
En mettant le curseur sur "ENREGISTREMENT", le texte suivant apparaît: "ATTENTION, PARLEZ APRES LE BIP SONORE ET APPUYEZ SUR LA TOUCHE F QUAND VOUS AUREZ TERMINE LE MESSAGE".
- REECOUTE
En mettant le curseur sur "REECOUTE" suivi de EXE, il est possible de réentendre le message.
- MODIFICATION En mettant le curseur sur "MODIFICATION" suivi de EXE, la cassette du message se remet sur le point de départ et le texte invitant à parler après le BIP sonore réapparaît sur l'écran.
Appuyer sur "EXIT" pour repasser au menu principal. La fonction STATISTIQUE qui est la troisième, après le choix de la fonction annonceur, permet d'obtenir un panorma des échecs/succès lors des différentes tentatives, sur un jour, une semaine ou un mois. Ayant mis le curseur sur STATISTIQUE, on tape EXE et les messages suivants viennent sur écran : PAR MESSAGE - PAR DESTINATAIRE
L'option'Tar message" permet de connaître le nombre d' , pelles effectifs (rappelons que ce nombre n'est pas nécessairement égal au nombre des appelés que l'on avait programmé puisque les appels entrants peuvent avoir rendu impossible de réaliser la totalité de la mission sur la journée. Dans ce cas, l'enseignement à tirer, serait que la charge imposée à l'appareil est par trop importante et qu'il y a heu de l'alléger éventuellement si le même phénomène se reproduit plusieurs jours de suite.
L'option "Par destinataire" présente une liste des noms des appelés suivis des lettres (D) ou (ND) (D="décrochage du combiné")
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11 y a lieu de préciser que l'appareil postule, par sa conception, que tout combiné qui a été décroché équivaut à une situation où le message a été émis.
L'option "ARRET DES MISSIONS EN COURS" suivie de EXE entraîne l'affichage de:
PAR MESSAGE - PAR DESTINATAIRE
Le choix de "Par Message" a pour conséquence la fin des appels vers l'ensemble des personnes auxquelles est destiné le message (dans le cas d'un message collectif).
Le choix de "Par destinataire", suivi de EXE affiche la liste des destinataires pour un message donné précédé du titre "ARRET DE MISSION". On met le curseur sur la première lettre du nom de la personne à éliminer des destinataires et l'on entre l'ordre par EXE.
Automatiquement l'appareil continuera ses missions individuelles ou collectives, dans l'ordre prescrit non sans avoir affiché, pour le destinataire qui vient d'être supprimé :
SUPPRESSION DES STATISTIQUES? O/N EFFACEMENT DU MESSSAGE? O/N
L'option IDENTIFICATION DES REPONSES suivie de EXE permet la réécoute: il y a lieu de rappeler que lors de l'enregistrement, une individualisation spécifique correspondant au nom de l'appelé est imprimée dans la mémoire MEMANR de l'annonceur, grâce à laquelle la recherche est aisée. L'identification des réponses pourra donc se faire de 3 manières :
- par le nom : on introduit le nom de la personne appelée. par message: on introduit la désignation du message (dans le cas d'un message collectif). identification séquentielle : Elle permet d'écouter les messages d'annonce et de réponse dans l'ordre chronologique. Cette dernière fonction peut aisément être utilisée à distance par le biais de signaux DTMF. Le message d'annonce peut être interrompu en lançant un signal DTMF spécifique. On entend à ce moment directement la réponse.
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Le haut niveau d'interactivité possible entre les protagonistes de la communication caractérise le dispositif selon l'invention. On a en effet la possibilité de réactions aux situations suivantes : -Non décrochage -décrochage - réception du signal de poste "occupé" - réception du signal de dérangement - réception d'un avis "hors service" - réception d'un signal significatif d'une interrogation ou d'une mission à distance -(via DTMF)-réception d'un signal significatif de mise en attente ou de réécoute à l'initiative d'un "appelé" réception d'un bip sonore provenant d'un répondeur lorsque l'appel a abouti (décrochage) et que l'appareil se trouve en communication avec un répondeur.
Les explications précédentes auront rendu les principes clairs et ont mis en évidence que les modes de réalisation décrits sont susceptibles de variantes accessibles à l'homme de l'art, sans s'écarter de l'esprit de l'invention tel que synthétisé dans les revendications.
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