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MATERIEL DE NETTOYAGE CHIMIQUE ET BACTERIOLOGIQUE
DE TERRAIN DE SABLE
La présente invention se rapporte au matériel utilisé pour le nettoyage des plages de sable c'est-à- dire les terrains comportant dans leur maieure partie des grains de roches libres de taille variant entre 0, 1 et 10 mm, situés généralement le long des mers ou des lacs, endroits de plus en plus fréquentés par les vacanciers.
Le développement important des activités industrielles et surtout touristiques le long des littoraux a fait apparaître le phénomène de pollution : dépôts indésirables de détritus de toutes sortes, et aussi contamination du sable par des germes pathogènes.
Outre l'aspect esthétique, cette pollution présente des dangers pour les estivants, dangers de blessures sur des objets tranchants tel que verre brisé, mais aussi dangers de maladies transmises par des germes microbiens qui trouvent dans le sable un milieu chaud et humide propice à leur prolifération.
Les autorités sanitaires, nationales ou 1t'C'lerJ, sünsibilisées par ce problème, Font ainsi procéder au nettoyage régulier des littoraux. Pour ce faire, on trouve actuellement diverses machines pour effectuer ce travail.
Un premier type de machine collecte le sable sur une profondeur réglable entre 5 à 20 cm et sur une largeur comprise entre 100 et 200 cm. Ce sable est ensuiteconvoyéversuntapistamiseuroùilestcriblé
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pour le débarrasser de tous les détritus solides (tels que ; bouteilles, mégots, boîtes de conserve etc...) avant d'être redéposé sur le sol. Cette machine comprend de plus en plus fréquemment aussi des moyens de pulvérisation de solution liquide de nettoyage chimique et bactériologique sur le sable, lesquels moyens se situent de préférence au niveau du tapis tamiseur où le
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aah10 brassé en de fines particules peut être facilement ci 0 en imprègne par une quantité minimum nécessaire.
On peut citer à co titre les matériels divulgués dans les exposés DE-l 209 134, DE 3 147 648 et FR 2 612 965.
'Un second type de machine, pour nettoyage chimique uniquement et qui est habituellement utilisé en alternance avec colles citées précédemment, comprend un rotor garni de lames radiales qui sont droites, vrillées ou f o u d ô e s. Une rampe de pulvérisation est montée parallèlement au-dessus de ce rotor pour asperger de solution liquide de nettoyage le sable remué par les lames en rotation.
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Il s'est toutefois révélé l'usage que de nombreuses zones d'une plage restent inaccessibles à ces machines. En effet, il faut d'abord mentionner la zone de montée moyenne des vagues en bordure même de la mer dont le sable baignant dans l'eau se présente comme une masse visqueuse ne pouvant être récolté ou remué de manière traditionnelle. Faisant suite à cette première zone se trouve une seconde marquée par la limite supérieure de montée des vagues, ou de la marée selon l'étroitesse du littoral. cette seconde zone se remarque facilement par son aspect croûté en surface et sa couleur plus sombre par rapport aux zones de sable sec du fait que le sable y
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est encore largement imprégné d'eau.
Si effectivement les mùchi. nes mentionnées précédemment peuvent récolter le couche superficielle, on constate que des agglomérats de . sable venant de cette'croûte supérieure ne peuvent traverser le tamiseur quelle que soit la forme de ce dernier : statique, vibrant, tapis roulant. Ces agglomérats vont rapidement surcharger le conteneur arrière de déchets.
Or il apparalt que ces deux zones citées précédemment sont en fait les plus fréquentées par le public, même en période de faible affluence. La plupart des personnes s'y tiennent naturellement pour jouer avec les vagues, pour se promener sur un sol dur, pour admirer le paysage ou autres considérations. Il apparaît alors contestable de ne nettoyer que les zones sèches de la plage, tel qu'il est pratiqué actuellement, ce qui ne profite en fait qu'à une minorité.
De plus, ces machines habituellement larges ne peuvent pas tourner plus court qu'un rayon minimum de l'ordre de 3 m. Ceci signifie que si un obstacle se présente sur la plage, tels que cabane ou arbre ou bateau, une zone de sable l'entourant ne peut forcément pas être nettoyée alors qu'elle est justement aussi très fréquentée.
Enfin, on a aussi constaté que les roues mêmes des machines laissent derrière elles des traces repolluées diminuant de 5 à 10 % la surface effectivement traitée.
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Le but de la présente invention est un matériel comprenant des moyens remuant le sol en profondeur sous forme de petites particules et des moyens de pulvérisation de solution liquide de nettoyage sur les particules avant leur redéposition sur le sol, matériel qui soit plus complet c'est-à-dire qui permette de traiter les zones particulières mais importantes citées précédemment pour parachever le travail entrepris.
Ces buts sont réalisés grâce à un matériel comprenant de plus des moyens latéraux de pulvérisation de solution liquide de nettoyage sur le côté directement sur le sol.
Avantageusement, la solution liquide de nettoyage utilisée sur ce matériel est un électrolysat d'eau de mer dont la concentration en équivalent chlore est comprise entre 200 et 2 000 mg/1.
Selon un premier mode de réalisation préféré, le matériel de nettoyage de terrain de sable comprend des moyens collectant le sable pour l'amener sur un tapis tamiseur où il est criblé avant redéposition sur le sol, et, situés proche du tapis tamiseur, des moyens de pulvérisation sur le sable de solution liquide de nettoyage. Ce matériel comprend de plus des moyens de fractionnement de croûte de sable en amont des moyens de collecte et. des moyens de pulvérisation de solution liquide de nettoyage sur chaque roue arrière.
Selon un deuxième mode de réalisation, le matériel de nettoyage de sable comprend un rotor garni d'ailettes et des moyens de pulvérisation orientés en
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direction du rotor ainsi que, sur chacune des parois
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i à t ir, a n- n-i latérales, au moin ;- ?. un bec de pulvéri. sation en plan décentré orienté vers le bas.
L'invention est décrite ci-après de façon plus détaillée à l'aide d'exemples d'exécution sans caractère limitatif, illustrée aux dessins annexés dans lesquels : - la figure 1 est une vue en perspective d'une machine comprenant un tapis tamiseur, et - la figure 2 est une vue en perspective d'une machine comprenant un rotor garni de lames radiales,
En référence a la figure 1, ce matériel comprend un châssis 110 monté sur deux roues arrières 112 et qui est tiré le long de la plage à nettoyer par un tracteur 100. Ce châssis 110 porte une lame de collecte
130 située peu en arrière d'un tambour à ailettes 120 projetant le sable ainsi collecté sur un tapis tamiseur sans fin 140.
Le sable fin passant au travers de ce tapis tamiseur 140 retombe sur le sol alors que les déchets solides sont portés jusqu'en haut du tapis avant d'être déversés dans un conteneur arrière 150.
Des moyens de pulvérisation de solution liquide sont représentés schématiquement par un bloc 160 comprenant un réservoir de solution et une pompe et par deux rampes de pulvérisation 170 dont les jets sont orientés directement sur le sable projette vers le tapis tamiseur 140.
Suivant une caractéristique de l'invention, ce châsses comprend de plus une brosse métallique cylindrique 600 située parallèlement devant ce tambour
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120. Cette brosse métallique 600 peut être levée et désengagée lors du passage de la machine dans des zones sèches puis abaissée et embrayée sur des zones dont le sable est croûte. Bien évidemment des lames droites, vrillées ou courbes peuvent être installées en place des tiger. métalliques constituant la brosse. On peut aussi concevoir, à la place de cette brosse, un dispositif constitué de deux traverses épaisses garnies de dents, montées parallèlement l'une proche de l'autre et animées d'un mouvement latéral de va-et-vient cisaillant.
Suivant une autre caractéristique, ce châssis MO est de plus complété de chaque coté par deux rampes
400 portant un ou plusieurs becs de pulvérisation en plan centré 420. Lorsqu'elle n'est pas utilisée, cette rampe
400 peut être rabattue vers l'arrière tel qu'illustré sur le côté droit. Lors de sa mise en oeuvre, cette rampe 400 est déployée perpendiculairement au châssis 110 tel qu'illustré sur le côté gauche.
Avantageusement, la longueur de cette rampe est comprise entre 2 et 3 m. Une canalisation non représentée relie cette rampe au réservoir indu en 160.
Selon une caractéristique supplémentaire, une rampe de pulvérisation spéciale 500 est montée au-dessus
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de chacune dos roues arriéres permettant de nettoyer en de clicicune des roues arril permanence le sable levé par ces dites roues. Alors, les traces laissées à l'arrière par ce matériel sont ellesmêmes exemptes de bactéries.
Comme on le peut le constater sur la figure, ce matériel s'avère tout-à-fait utile en ce que, une fois la
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rampe latérale 400 correspondante déployée, on peut tracter ce matériel sur la seconde zone croûtée (B) tout en aspergeant et nettoyant la première zone humide (A).
Combinée avec l'utilisation d'un électrolysat d'eau de mer en tant que solution de liquide de nettoyage tel que celui vendu sous la dénomination MERACTIVE, ce matériel permet un nettoyage efficace en une seule passe des deux zones particulières mentionnées précédemment.
De plus, si le rayon de braquage de l'ensemble ne permet pas de passer suffisamment proche d'un obstacle, tel qu'un bateau échoué, il est toujours possible de redéployer momentanément la rampe 400 pour nettoyer la zone voisine de cet. obstacle.
La machine il lustrée sur la figure 2 est habituellement utilisée en alternance avec celle décrite en référence à la figure 1. En effet, cette machine, d'un coût moindre que la première, permet d'effectuer un nettoyage chimique efficace alors qu'un ramassage de détritus n'est pas encore nécessaire.
Cette machine comprend un cadre 115 maintenant, parallèle au sol, un rotor 135. Ce rotor est garni sur toute sa longueur d'ailettes transversales 136 complétées de lames attaquant le sol. Ce rotor 135 est animé d'un mouvement en rotation grâce à une liaison de force 125 reliant le tracteur 100 à une boîte de vitesse. 126 transmettant le couple grâce à un axe 127 et un jeu de chaînes à l'intérieur d'un carter 128. Des volets, partiellement représentés pour une meilleure compréhension de la figure, contiennent le sable lors de
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sa projection. Une rampe 180 est située au-dessus et parallèlement au rotor 135 sous les volets 117. Cette rampe permet la pulvérisation de solution liquide de nettoyage sur le sable projeté.
Si cette machine reste tout-a-fait efficace sur la seconde zono de sable croûte, elle est néanmoins inapte pour la première zone dont le sable se présente sous une Corme visqueuse. Pour réaliser toutefois un nettoyage de cette première zone lors d'un passage sur la seconde, il est prévu de part et d'autre de la machine une ou plusieurs buses 430 pulvérisant latéralement la solution liquide de nettoyage directement sur le sol. De préférence, cette buse est de type"en plan décentré"tel qu'illustré sur Ict figure 2 permettant une pulvérisation harmonieuse le long d'une ligne d d'1, 5 m environ. De plus, cette buse 430 peut aussi être mise en action momentanément lors du passage de la machine dans la zone avoisinantc un obstacle.
De nombreuses améliorations peuvent être apportées à ce matériel dans le cadre de cette invention.
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CHEMICAL AND BACTERIOLOGICAL CLEANING EQUIPMENT
SAND GROUND
The present invention relates to the material used for cleaning sandy beaches, that is to say the grounds comprising in their main part grains of free rocks of size varying between 0, 1 and 10 mm, generally located along the seas or lakes, places more and more frequented by the holiday makers.
The significant development of industrial and especially tourist activities along the coasts has revealed the phenomenon of pollution: undesirable deposits of litter of all kinds, and also contamination of the sand by pathogenic germs.
In addition to the aesthetic aspect, this pollution presents dangers for summer visitors, danger of injury to sharp objects such as broken glass, but also danger of diseases transmitted by microbial germs which find in the sand a hot and humid environment favorable to their proliferation.
The health authorities, national or 1t'C'lerJ, sensitized by this problem, thus make proceed to the regular cleaning of the coasts. To do this, there are currently various machines to do this work.
A first type of machine collects sand over an adjustable depth between 5 to 20 cm and over a width of between 100 and 200 cm. This sand is then conveyed to the pistamiser where it is screened
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to get rid of all solid detritus (such as; bottles, butts, cans, etc.) before being placed back on the ground. This machine more and more frequently also includes means for spraying liquid chemical and bacteriological cleaning solution onto the sand, which means are preferably located at the level of the sieve mat where the
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aah10 brewed into fine particles can be easily infused with a minimum amount necessary.
Mention may be made of the materials disclosed in the presentations DE-l 209 134, DE 3 147 648 and FR 2 612 965.
A second type of machine, for chemical cleaning only and which is usually used in alternation with the abovementioned adhesives, comprises a rotor furnished with radial blades which are straight, twisted or f o u d ous. A sprayer boom is mounted parallel above this rotor to spray the sand stirred by the rotating blades with cleaning liquid solution.
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However, it has become clear that many areas of a beach remain inaccessible to these machines. Indeed, we must first mention the area of average rise of waves at the very edge of the sea whose sand bathing in the water appears as a viscous mass that cannot be harvested or stirred in the traditional way. Following this first zone is a second marked by the upper limit of rising waves, or tide depending on the narrowness of the coastline. this second zone is easily noticeable by its crusty appearance on the surface and its darker color compared to the dry sand zones because the sand there
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is still largely impregnated with water.
If indeed the mùchi. nes mentioned above can harvest the surface layer, we find that agglomerates. sand coming from this upper crust cannot pass through the sieve regardless of its shape: static, vibrating, conveyor belt. These agglomerates will quickly overload the rear container with waste.
However, it appears that these two areas mentioned above are in fact the most frequented by the public, even in periods of low attendance. Most people naturally stick to it to play with the waves, to walk on hard ground, to admire the landscape or other considerations. It then appears questionable to clean only the dry areas of the beach, as it is currently practiced, which in fact only benefits a minority.
In addition, these usually wide machines cannot turn shorter than a minimum radius of around 3 m. This means that if there is an obstacle on the beach, such as a hut or tree or boat, an area of sand surrounding it cannot necessarily be cleaned when it is also very busy.
Finally, it has also been found that the very wheels of the machines leave repolluted traces behind them, reducing the area actually treated by 5 to 10%.
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The object of the present invention is a material comprising means stirring the soil in depth in the form of small particles and means for spraying liquid cleaning solution on the particles before their redeposition on the ground, material which is more complete. that is to say, which makes it possible to treat the particular but important areas mentioned above in order to complete the work undertaken.
These aims are achieved by means of a material further comprising lateral means for spraying cleaning liquid solution on the side directly on the ground.
Advantageously, the liquid cleaning solution used on this equipment is an electrolyzate of seawater whose concentration in chlorine equivalent is between 200 and 2000 mg / 1.
According to a first preferred embodiment, the sand field cleaning equipment comprises means collecting the sand to bring it onto a sieve mat where it is screened before redeposition on the ground, and, located close to the sieve mat, means spraying liquid cleaning solution onto the sand. This equipment further comprises means for splitting the crust of sand upstream of the collection means and. means for spraying cleaning liquid solution on each rear wheel.
According to a second embodiment, the sand cleaning equipment comprises a rotor furnished with fins and spraying means oriented in
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direction of the rotor as well as on each of the walls
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i to t ir, a n- n-i lateral, minus; -?. a sprayer beak. siting in an off-center, downward facing plane.
The invention is described below in more detail with the aid of non-limiting exemplary embodiments, illustrated in the appended drawings in which: - Figure 1 is a perspective view of a machine comprising a screen belt and FIG. 2 is a perspective view of a machine comprising a rotor fitted with radial blades,
With reference to FIG. 1, this equipment comprises a chassis 110 mounted on two rear wheels 112 and which is pulled along the range to be cleaned by a tractor 100. This chassis 110 carries a collecting blade
130 located a little behind a fin drum 120 projecting the sand thus collected onto an endless sieving belt 140.
The fine sand passing through this sieve mat 140 falls back to the ground while the solid waste is carried to the top of the mat before being discharged into a rear container 150.
Means for spraying liquid solution are represented diagrammatically by a block 160 comprising a solution tank and a pump and by two spray bars 170 whose jets are oriented directly on the sand projecting towards the sieve belt 140.
According to a characteristic of the invention, this casing further comprises a cylindrical wire brush 600 located parallel to this drum
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120. This wire brush 600 can be raised and disengaged when the machine passes through dry areas, then lowered and engaged on areas where the sand is crusted. Obviously straight, twisted or curved blades can be installed in place of tiger. of metal constituting the brush. It is also possible to design, in place of this brush, a device consisting of two thick crosspieces furnished with teeth, mounted parallel to one another and driven by a lateral movement of shearing back and forth.
According to another characteristic, this MO chassis is further completed on each side by two ramps
400 carrying one or more spray nozzles in centered plane 420. When not in use, this boom
400 can be folded back as shown on the right side. During its implementation, this ramp 400 is deployed perpendicular to the frame 110 as illustrated on the left side.
Advantageously, the length of this ramp is between 2 and 3 m. A pipe, not shown, connects this ramp to the undue tank in 160.
According to an additional feature, a special spray boom 500 is mounted above
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of each rear wheel back allowing to clean in click of the wheels permanently arril the sand lifted by these said wheels. So the traces left behind by this material are themselves free of bacteria.
As can be seen in the figure, this material is quite useful in that, once the
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corresponding lateral ramp 400 deployed, this material can be towed onto the second crusty zone (B) while spraying and cleaning the first wet zone (A).
Combined with the use of a seawater electrolyzate as a cleaning liquid solution such as that sold under the name MERACTIVE, this material allows effective cleaning in a single pass of the two particular areas mentioned above.
In addition, if the turning radius of the assembly does not allow it to pass close enough to an obstacle, such as a grounded boat, it is always possible to temporarily redeploy the ramp 400 to clean the area adjacent to this. obstacle.
The machine glossed in FIG. 2 is usually used in alternation with that described with reference to FIG. 1. In fact, this machine, of a lower cost than the first, makes it possible to carry out an effective chemical cleaning while a garbage collection is not yet required.
This machine comprises a frame 115 now, parallel to the ground, a rotor 135. This rotor is furnished over its entire length with transverse fins 136 completed with blades attacking the ground. This rotor 135 is driven in a rotational movement by means of a force link 125 connecting the tractor 100 to a gearbox. 126 transmitting the torque through an axis 127 and a set of chains inside a casing 128. Flaps, partially shown for a better understanding of the figure, contain the sand during
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its projection. A ramp 180 is located above and parallel to the rotor 135 under the flaps 117. This ramp allows the spraying of cleaning liquid solution on the projected sand.
If this machine remains quite effective on the second area of crusted sand, it is nevertheless unsuitable for the first area whose sand is under a viscous corm. However, in order to carry out cleaning of this first zone when passing over the second, one or more nozzles 430 are provided on either side of the machine spraying the cleaning liquid solution laterally directly on the ground. Preferably, this nozzle is of the "off-center plane" type as illustrated in FIG. 2 allowing a harmonious spraying along a line d of 1.5 m approximately. In addition, this nozzle 430 can also be put into action momentarily when the machine passes through the area near an obstacle.
Many improvements can be made to this material within the framework of this invention.