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Instrument : pour traiter des cheveux et analogues
La présente invention est relative à un instrument pour traiter des cheveux, des poils, des fibres et analogues, notamment pour démêler, crêper et/ou éliminer de la laque ou d'autres substances des cheveux.
Actuellement, on fait généralement usage d'une brosse ou d'un gros peigne à dents espacés pour démêler des cheveux pu poils relativement longs.
Ainsi, quand les dents d'une brosse ou d'un tel peigne rencontrent dans les cheveux ou poils un noeud, la force exercée sur la brosse ou le peigne pour vaincre la résistance au passage des dents, provoquée par la présence de ce noeud, excerce une traction souvent non négligeable sur les cheveux ou poils formant le noeud et occasionne ainsi des douleurs voir même l'arrachement ou la brisure de cheveux ou poils.
11 est maintenant admis que cette traction, qui risque de détériorer la racine des cheveux, peut être une des causes d'une chute prématurée des cheveux.
Pour tâcher d'éviter quelque peu ces douleurs,
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on retient les cheveux en les coinçant entre deux doigts en amount de l'endroit où on fait passer la brosse ou le peigne à travers les cheveux, de façon à éviter ainsi de transmettre la traction précitée exercée sur ceux-ci au cuir chevelu.
Il s'agit généralement d'une opération assez fastidieuse, surtout pour des cheveux ou poils relativement longs et denses, qui se fait p. e. par la main ne tenant pas le peigne ou la brosse et qui nécessite, de plus, une certaine habileté pour parvenir à éviter toute douleur.
Toutefois, cette façon de procéder, qui peut réduire ou éviter ces douleurs, ne permet pas de réduire la force de traction, souvent assez importante, exercée sur les cheveux ou poils mêmes en aval de l'endroit où ces derniers sont tenus, de sorte que le risque de la brisure des cheveux subsiste.
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Un des buts essientiels de la présente invention est de présenter un instrument très maniable, d'une utilisation facile et d'une conception extrêmement simple et compacte, qui permet d'éviter les problèmes soulevés ci-dessus aussi bien pour des cheveux et poils mouillés que pour des cheveux et poils secs.
A cet effet, l'Instrument suivant l'invention comprend au moins deux séries de dents reparties suivant au moins deux directions à une légère distance les unes par rapport aux autres, avec leurs extrémité libres orientées sensiblement dans le même sens, chacune de ces séries de dents étant montées sur un support séparé, des moyens d'entrainement étant prévus permettant de soumettre au moins un des supports à un mouvement de va-et-vient par rapport à l'autre support suivant une direction transversale ä l'axe longitudinal des dents.
Avantageusement, les dents sont disposées en rangées sensiblement rectilignes s'étendant côte à côte, les moyens d'entraînement précités étant agencés de manière à permettre de soumettre les dents d'au moins une des rangées à un mouvement de va-et-vient suivant la direction de la longueur de ces rangées.
Suivant une forme de réalisation particulière, l'instrument, suivant l'invention, comprend au moins deux peignes
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montés côte à côte, à une légère distance l'un par rapport à l'autre et de manière-à ce que les extrémités libres de leurs-dents-soient orientées sensiblement dans le même sens, des moyens d'entrainement étant agencés pour permettre de soumettre les peignes à un mouvement relatif de va-et-vient suivant la direction de leur longueur.
Suivant une forme de réalisation particulièrement avantageuse, l'instrument suivant l'invention, comprend trois peignes montés côte à côte, ä une légère distance l'un par rapport à l'autre et de manière à ce que les extrémités libres de leurs dents soient orientées sensiblement dans le meme sens, le peigne central situe entre les deux peignes coopérant avec les moyens d'entrainement
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précité de manière à permettre de le soumettre à un mouvement de translation de va-et-vient par rapport aux deux autres peignes.
D'autres détails et particularités de l'invention ressorteront de la description donnée ci-après à titre d'exemples non limitatifs de quelques formes de réalisation particulières d'un instrument pour démêler des cheveux et poils avec référence aux
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dessins annexées.
La figure 1 est une vue en élévation et partiellement schématique, avec brisures partielles, d'une teile forme de réalisation particuliere.
La figure 2 est une vue en plan de la forme de réalisation montrée à la figure 1.
La figure 3 est une coupe suivant la ligne 111-111 de la figure 1.
Les figures 4,5 et 6 sont des représentations schématiques permettant d'illustrer le fonctionnement de l'instrument montré aux figures précédentes.
Dans les différentes figures les mêmes chiffres de référence se rapportent aux mêmes éléments.
Quoique d'une façon générale l'instrument, suivant l'invention, puisse s'appliquer dans tous les cas ou des problèmes de démêlage de cheveux, poils, fibres et filaments se posent, cet instrument s'applique surtout et de préférence pour démêler des cheveux et des poils relativement longs.
11 comprend, dans le sens le plus large, au moins deux séries de dents, de préférence sensiblement parallèles se dressant sur un support et réparties suivant au moins deux directions transversales à leur axe longitudinales, à une légère distance les uns par rapport aux autres, avec leurs extrémités libres orientées sensiblement dans le même sens.
Chacune des séries précitées de dents est montée sur un support séparé de manière à permettre de déplacer une série de
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dents par rapport à l'autre série suivant une direction transversale à celle de l'axe des dents et ainsi de faire varier la distance entre une dent déterminée d'une série et une dent voisine déterminée de l'autre série.
Des moyens d'entrainement coopèrent avec au moins un des supports pour pouvoir soumettre ces derniers à un mouvement relatif de va-et-vient suivant ladite direction transversale.
Plus particulièrement, dans la forme de réalisation telle que montrée aux figures annexées, les dents sont disposees en trois rangées sensiblement rectilignes s'étendant côte ä côte, tandis que les moyens d'entrainement sont agencés pour permettre de soumettre les dents d'au moins une de ces rangées à un mouvement de translation de va-et-vient ou alternatif suivant la direction de ces rangées.
Dans la forme de réalisation montrée aux figures, chacune des séries de dents avec leurs supports respectifs sont
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constitués de peignes l, 2 et 3 montés côte à côte, à une légère distance l'un part rapport à l'autre.
Le peigne central 2, situé entre les deux peignes extérieurs 1 et 3, coopère avec les moyens d'entrainement précités, de manière à permettre de soumettre ce peigne central à un mouvement de translation--de va-et-vient entre et par rapport aux-deux autres peignes 1 et 3.
Avantageusement, les dents 4 et 6 des peignes extérieurs resp. 1 et 3 sont quelque peu plus longues, notamment de l'ordre de 2 à 6 mm, que les dents 5 du peigne central 2. Ceci se remarque clairement sur les figures 1 et 3.
Par ailleurs, les distances dl et d3, qui sont normalement identiques, entre les dents 4 et 6 des peignes extérieurs resp. 1 et 3 sont de préférence inférieure ä la distance d2 entre les dents 5 du peigne central 2.
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Cette distance dépend surtout de l'usage envisagé de l'instrument.
Ainsi, les distances dl et d3 entre deux dents consécutives des peignes extérieurs 1 et 3 sont généralement comprises entre 0, 3 et 0, 7 fois la distance d2 entre les dents 5 du peigne 2.
De plus, pour une utilisation courante de démêlage de cheveux, la distance dl et d3 entre deux dents consécutives des peignes 1 et 3 est généralement comprise entre 0, 8 et 2 mm. de préférence entre 1 et 1, 5 mm.
La distance entre deux peignes voisins est de préférence directement proportionelle à celle entre deux dents des peignes extérieurs 1 et 3.
Elle peut p. e. etre comprise entre la distance dl ou d3 et la distance d2.
Dans la forme de réalisation montrée aux figures, les moyens d'entraînement comprennent un moteur 7 dont l'arbre 8 coopère avec un reducteur formé par un pignon conique 9 engrenant avec une roue dentée 10 de plus grand diamètre.
Une bielle 11 est articulée, d'une part, excentriquement avec une de ses extrémité 12 sur la roue dentée 10 par l'intermédiaire d'un tenon 13 solidaire de cette dernière et, d'autre part, avec son autre extrémité 14 sur le bout 15 du peigne central 2.
L'autre boue ; ----16- de ce même peigne 2 presente une boutonnière 18 qui est traversée par une broche 17 dont les extrémités libres sont fixées dans les bouts correspondants des deux peignes 1 et 3, de manière à permettre de guider le peigne 2 dans son mouvement de va-et-vient entre ces deux autres peignes.
La vitesse de rotation de la roue dentée 10 et l'excentricité du point d'articulation 12 de la bielle 11 sur cette roue sont avantageusement choisies de manière ä pouvoir soumettre le peigne central 3 à un mouvement de translation de va-et-vient ou alternatif suivant le sens des flèches 19 et 20 avec une fréquence
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comprise entre 5 et 12 déplacements par seconde et de préférence inférieure à 10 déplacements par seconde.
L'amplitude de ce mouvement de va-et-vient est généralement comprise entre 1 et 3 fois la distance séparant deux dents consécutives 4 et 6 des peignes extérieurs 1 et 3 et est de préférence égale à 2 fois cette distance.
Le mécanisme de démêlage obtenu par l'utilisation de la forme de réalisation particulière de l'instrument suivant l'invention. tel que montré dans les figures l et 3, sera exposé ci-après à la lumière des dessins schématiques des figures 4 à 6.
Supposons, pour la simplicité et la clarté de l'expose, deux brins de cheveux 21 et 22 formant un noeud 23, comme illustré schématiquement à la figure 4.
A cet égard. il y a lieu de noter qu'il a été constaté lors de l'analyse de la nature des noeuds qui se forment généralement dans les cheveux et poils que ces noeuds sont en fait, d'une façon assez inprévue, formés par des enlacements très peu serrés, quelque peu comme des torsades de cheveux relativement libres pouvant glisser facilement les uns par rapport aux autres.
En présence de cette constatation très intéressante, mais non évidente à première vue, l'instrument suivant l'invention consiste tout d'abord à repartir les touffes de cheveux ou de poils à démêler en des mèches très réduites de tout au plus quelques brins de cheveux en introduisant les dents des trois peignes 1, 2 et 3 de l'instrument dans les cheveux et à tirer légèrement sur l'instrument dans le sens de l'extrémité libre de ces derniers, comme indiqué par la flèche 25, jusqu'à tendre quelque peu les cheveux ou poils, qui ont été pris entre les dents de ces peignes.
Cette situation correspond à celle montrée ä la figure 4. Ainsi, la dent 6a du peigne 3 s'appuie contre le noeud 23.
Ensuite, en mettant le moteur 7 en marche on
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soumet le peigne 3 à un mouvement de va-et-vient dans le sens de sa longueur.
Si on considère la figure 5, on constate que la dent 5a subit d'abord un déplacement dans le sens de la flèche 19 en entraînant avec lui le brin 22 qui de cette façon est tiré vers l'intérieur de l'instrument et qui se dégage partiellement du noeud 23, comme indiqué par la flèche 24.
Lorsque le peigne 2 se déplace ensuite suivant le sens de la flèche 20, comme montré par la figure 6, le brin 21 subit à son tour un mouvement analogue et se degage de la même façon du noeud 23.
Ceci a donc comme conséquence que les dents de l'instrument peuvent subir un déplacement à travers les cheveux dans le sens de la flèche 25 simplement sous le poids de l'instrument ou en tirant légèrement sur celui-ci.
L'effet tel que décrit ci-dessus est grandement accentué par la fréquence relativement élevée de ce mouvement de va-et-vient.
Quoique la force de traction exercée par les dents 5 du peigne central 2 sur les brins 21 et 22 puisse en principe se répercuter de part et d'autre de leur point de contact avec les dents 5, il a été constate que, gräce au fait que les cheveux présentent une certaine elasticite et qu'un effet d'inertie agit sur les cheveux à partir d'une fréquence déterminée de ces dents, cette force de traction est entièrement absorbée du côté arrière de l'instrument, qui est dans les figures 4 à 6 le côté extérieur du peigne 1, sur tout au plus quelques centimètres de la partie déjà démêlée des cheveux, de sorte que cette traction ne se fait pas sentir au niveau du cuir chevelu.
On peut meme admettre qu'en général, grâce au fait que les cheveux sont pliés partiellement autour des dents 4 et s'appuyant donc contre ces dernières, la force de traction sur les cheveux démêlés est pratiquement entièrement
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absorbée par ces dents 4.
De plus, grâce au fait que les cheveux déjà démêlés sont quelque peu tendus par l'instrument même, surtout la partie libre des brins 21 et 22, du côté des noeuds, subira un déplacement dans le sens des flèches 24 sous l'action des dents 4 lors de leur mouvement de va-et-vient, le déplacement dans le sens des flèches 26 etant pratiquement inexistant.
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L'intérêt d'avoir des dents plus espacés au peigne 2 nn''.'x pei < "ies exten. nrs 1 et 3 est qlle los dents nénêtrent beaucoup plus facilement entre les cheveux et que, de plus, la puissance requise du moteur 7 pour animer le peigne 2 d'un mouvement de va-et-vient peut etre plus réduite que si par exemple les trois peignes seraient identiques.
On constate d'ailleurs que le frottement entre les rangées de dents et les petites mèches de cheveux prises entre deux dents consécutives devient pratiquement négligeable, surtout si on veille à ce que la distance entre la rangée des dents du peigne 2 et celle des peignes 1 et 3 soit légèrement supérieure à la distance entre deux dents de ces deux peignes.
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L'espace entre les peignes est légalement fonction de l'amplitude du mouvement de va-et-vient du peigne 2 et de l'espace C > entre les dents des peignes fixes 1 et 3.
Ainsi, plus la distance entre les dents des peignes 1 et 3 est grande, plus l'épaisseur de la mèche entre deux dents consécutives de ces pegnes est grande et plus l'espace entre les peignes doit etre grande.
Comme il résulte des figures 4 à 6, l'amplitude du mouvement de va-et-vient du peigne 2 est fonction aussi bien de la distance entre les dents 5 du peigne 2 que de celle entre les dents 4 et 6 des peignes resp. 1 et 3.
Si par exemple cette amplitude est trop grande, la traction excercée par les dents 4 du peigne 2 sur la partie des
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cheveux s'étendant entre les dents des peignes extérieurs l et 3 devient trop importante et risque de déteriorer les cheveux tout en provoquant un entassement de ces derniers entre les peignes.
Par contre, si cette amplitude est trop réduite, certains des noeuds ne peuvent se défaire. étant donnée que tous les brins ne subissent pas ce glissement relatif entre les dents des peignes il pourrait être utile que la distance entre deux dents déterminées consécutives d'un meme peigne soient sensiblement constante sur toute la hauteur de ces dents ou augmente éventuellement graduellement ä partir de l'extrémité libre de ces dents jusqu'à leur base.
En effet, si au contraire, cette distance décroit d'une manière assez substantielle à partir de l'extrémité libre jusqu'à la base de ces dents, un risque pourrait exister qu'à partir d'une certaine fréquence du mouvement de va-et-vient du peigne central 2 les dents ne pénètrent pas suffisamment profondément dans la chevelure si des précautions spéciales ne sont pas prises.
Comme montré en traits mixtes aux figures 1 à 3, le moteur 7 et le réducteur peuvent être logé dans un boitier 28 qui fera en même temps office de poignée. Eventuellement, ce boitier pourrait loger des piles électriques, non représentées, rechargeables ou non, pour alimenter un moteur ä courant continu p. e. de 4. 5 volts.
Aussi, pver--pour faciliter l'entretien ou éventuellement pour permettre leur échange, les peignes pourraient petre montés d'une manière amovible sur le boitier 28, p. e. comme les couteaux électriques connus.
Signalons encore que l'instrument, suivant l'invention, peut être utilisé avantageusement pour crêper les cheveux, c. à. d. pour augmenter le volume de la chevelure.
En effet, la chevelure étant remuée en profondeur d'une manière relativement intense, les cheveux subissent un assouplissement considérable en provoquant ainsi une augmentation du
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volume de la chevelure.
I1 est bien entendu que l'invention n'est pas limitée aux formes de réalisation décrites ci-dessus et représentées aux figures annexées et que bien des variantes peuvent être envisagées sans sortir du cadre de la présente invention.
C'est ainsi que les rangées de dents pourraient être courbées, que le nombre de rangées de dents pourrait être très variable, que les rangées extérieures de dents pourraient p. e. être prévues sur un même support sur lequel pourait alors être monté à coulissement un support mobile également muni de dents.
Dans d'autres cas encore le ou les supports des dents extérieures pourraient être mobiles, le support des dents intérieures pouvant alors également être mobile ou être fixe.
Enfin, l'instrument, suivant l'invention, peut aussi avantageusement être utilisé pour enlever la laque ou éventuellement d'autres substances des cheveux ou encore simplement pour défaire sa coiffure.
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Instrument: for treating hair and the like
The present invention relates to an instrument for treating hair, body hair, fibers and the like, in particular for disentangling, crimping and / or removing hairspray or other substances from the hair.
Currently, use is generally made of a brush or a large comb with spaced teeth to disentangle hair or relatively long hairs.
Thus, when the teeth of a brush or such a comb meet in the hair or hairs a knot, the force exerted on the brush or the comb to overcome the resistance to the passage of the teeth, caused by the presence of this knot, often exerts a significant traction on the hair or hairs forming the knot and thus causes pain or even tearing or breaking of hair or hair.
It is now recognized that this traction, which risks damaging the hairline, can be one of the causes of premature hair loss.
To try to avoid these pains somewhat,
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the hair is retained by wedging it between two fingers in an amount from the place where the brush or the comb is passed through the hair, so as to thus avoid transmitting the above-mentioned traction exerted on the latter to the scalp.
This is generally a fairly tedious operation, especially for relatively long and dense hair, which is done on p. e. by the hand not holding the comb or the brush and which requires, moreover, a certain skill to manage to avoid any pain.
However, this way of proceeding, which can reduce or avoid these pains, does not make it possible to reduce the pulling force, often quite significant, exerted on the hair or hairs even downstream of the place where the latter are held, so the risk of hair breakage remains.
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One of the essential aims of the present invention is to present a very handy instrument, of easy use and of an extremely simple and compact design, which makes it possible to avoid the problems raised above as well for wet hair and hair. only for dry hair and hair.
To this end, the Instrument according to the invention comprises at least two series of teeth distributed in at least two directions at a slight distance from each other, with their free ends oriented substantially in the same direction, each of these series of teeth being mounted on a separate support, drive means being provided making it possible to subject at least one of the supports to a reciprocating movement relative to the other support in a direction transverse to the longitudinal axis of the teeth.
Advantageously, the teeth are arranged in substantially rectilinear rows extending side by side, the aforementioned drive means being arranged so as to allow the teeth of at least one of the rows to be subjected to a reciprocating movement. the direction of the length of these rows.
According to a particular embodiment, the instrument according to the invention comprises at least two combs
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mounted side by side, at a slight distance from each other and so that the free ends of their teeth are oriented substantially in the same direction, drive means being arranged to allow subjecting the combs to a relative movement back and forth in the direction of their length.
According to a particularly advantageous embodiment, the instrument according to the invention comprises three combs mounted side by side, at a slight distance from each other and in such a way that the free ends of their teeth are oriented substantially in the same direction, the central comb located between the two combs cooperating with the drive means
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aforementioned so as to allow it to be subjected to a movement of translation back and forth relative to the other two combs.
Other details and particularities of the invention will emerge from the description given below by way of nonlimiting examples of some particular embodiments of an instrument for disentangling hair and hairs with reference to
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attached drawings.
Figure 1 is an elevational view, partially schematic, with partial broken lines, of such a particular embodiment.
Figure 2 is a plan view of the embodiment shown in Figure 1.
Figure 3 is a section along line 111-111 of Figure 1.
Figures 4,5 and 6 are schematic representations to illustrate the operation of the instrument shown in the previous figures.
In the different figures, the same reference numbers relate to the same elements.
Although in general the instrument according to the invention can be applied in all cases where problems of disentangling hair, hair, fibers and filaments arise, this instrument is mainly and preferably applied for disentangling relatively long hair and hairs.
11 comprises, in the widest sense, at least two sets of teeth, preferably substantially parallel, erect on a support and distributed in at least two directions transverse to their longitudinal axes, at a slight distance from one another, with their free ends oriented substantially in the same direction.
Each of the aforementioned series of teeth is mounted on a separate support so as to allow movement of a series of
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teeth relative to the other series in a direction transverse to that of the axis of the teeth and thus to vary the distance between a determined tooth of one series and a determined neighboring tooth of the other series.
Drive means cooperate with at least one of the supports in order to be able to subject the latter to a relative movement back and forth in said transverse direction.
More particularly, in the embodiment as shown in the appended figures, the teeth are arranged in three substantially straight rows extending side by side, while the drive means are arranged to allow the teeth to be subjected to at least one of these rows in a reciprocating or reciprocating translational movement in the direction of these rows.
In the embodiment shown in the figures, each series of teeth with their respective supports are
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made up of combs l, 2 and 3 mounted side by side, at a slight distance from each other.
The central comb 2, located between the two outer combs 1 and 3, cooperates with the aforementioned drive means, so as to allow this central comb to be subjected to a translational movement - back and forth between and relative to to the other two combs 1 and 3.
Advantageously, the teeth 4 and 6 of the outer combs resp. 1 and 3 are somewhat longer, in particular of the order of 2 to 6 mm, than the teeth 5 of the central comb 2. This can be clearly seen in FIGS. 1 and 3.
Furthermore, the distances dl and d3, which are normally identical, between the teeth 4 and 6 of the outer combs resp. 1 and 3 are preferably less than the distance d2 between the teeth 5 of the central comb 2.
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This distance mainly depends on the intended use of the instrument.
Thus, the distances d1 and d3 between two consecutive teeth of the outer combs 1 and 3 are generally between 0.3 and 0.7 times the distance d2 between the teeth 5 of the comb 2.
In addition, for a common use of hair disentangling, the distance dl and d3 between two consecutive teeth of the combs 1 and 3 is generally between 0.8 and 2 mm. preferably between 1 and 1.5 mm.
The distance between two neighboring combs is preferably directly proportional to that between two teeth of the outer combs 1 and 3.
She can p. e. be between the distance dl or d3 and the distance d2.
In the embodiment shown in the figures, the drive means comprise a motor 7 whose shaft 8 cooperates with a reduction gear formed by a bevel gear 9 meshing with a toothed wheel 10 of larger diameter.
A connecting rod 11 is articulated, on the one hand, eccentrically with one of its end 12 on the toothed wheel 10 by means of a stud 13 integral with the latter and, on the other hand, with its other end 14 on the tip 15 of the central comb 2.
The other mud; ---- 16- of the same comb 2 has a buttonhole 18 which is crossed by a pin 17 whose free ends are fixed in the corresponding ends of the two combs 1 and 3, so as to allow the comb 2 to be guided in its back and forth movement between these two other combs.
The speed of rotation of the toothed wheel 10 and the eccentricity of the articulation point 12 of the connecting rod 11 on this wheel are advantageously chosen so as to be able to subject the central comb 3 to a back and forth translation movement or alternating in the direction of the arrows 19 and 20 with a frequency
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between 5 and 12 movements per second and preferably less than 10 movements per second.
The amplitude of this back-and-forth movement is generally between 1 and 3 times the distance separating two consecutive teeth 4 and 6 from the outer combs 1 and 3 and is preferably equal to 2 times this distance.
The disentangling mechanism obtained by the use of the particular embodiment of the instrument according to the invention. as shown in FIGS. 1 and 3, will be explained below in the light of the schematic drawings of FIGS. 4 to 6.
Suppose, for the sake of simplicity and clarity, two strands of hair 21 and 22 forming a knot 23, as illustrated diagrammatically in FIG. 4.
In this regard. it should be noted that it has been observed during the analysis of the nature of the knots which generally form in the hair and hairs that these knots are in fact, in a rather unexpected way, formed by very entwined loose, somewhat like relatively free twists of hair that can slide easily relative to each other.
In the presence of this very interesting observation, but not obvious at first sight, the instrument according to the invention consists first of all in dividing the tufts of hair or hair to be disentangled into very reduced strands of at most a few strands of hair by inserting the teeth of the three combs 1, 2 and 3 of the instrument into the hair and pulling lightly on the instrument in the direction of the free end of the latter, as indicated by arrow 25, until somewhat stretch the hair or hairs, which were caught between the teeth of these combs.
This situation corresponds to that shown in FIG. 4. Thus, the tooth 6a of the comb 3 rests against the node 23.
Then, by starting engine 7 we
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subjects the comb 3 to a back and forth movement in the direction of its length.
If we consider Figure 5, we see that the tooth 5a first undergoes a displacement in the direction of the arrow 19 by carrying with it the strand 22 which in this way is pulled towards the interior of the instrument and which partially releases from node 23, as indicated by arrow 24.
When the comb 2 then moves in the direction of the arrow 20, as shown in FIG. 6, the strand 21 in turn undergoes a similar movement and emerges in the same way from the node 23.
This therefore has the consequence that the teeth of the instrument can be displaced through the hair in the direction of the arrow 25 simply under the weight of the instrument or by pulling lightly on it.
The effect as described above is greatly accentuated by the relatively high frequency of this back-and-forth movement.
Although the tensile force exerted by the teeth 5 of the central comb 2 on the strands 21 and 22 can in principle be reflected on either side of their point of contact with the teeth 5, it has been observed that, owing to the fact that the hair has a certain elasticity and that an inertial effect acts on the hair from a determined frequency of these teeth, this pulling force is fully absorbed from the rear side of the instrument, which is in the figures 4 to 6 the outer side of the comb 1, over at most a few centimeters from the already disentangled part of the hair, so that this traction is not felt at the scalp.
We can even admit that in general, thanks to the fact that the hair is partially bent around the teeth 4 and therefore pressing against the latter, the pulling force on the untangled hair is practically entirely
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absorbed by these teeth 4.
In addition, thanks to the fact that the hair already disentangled is somewhat stretched by the instrument itself, especially the free part of the strands 21 and 22, on the side of the nodes, will undergo a displacement in the direction of the arrows 24 under the action of the teeth 4 during their back-and-forth movement, the movement in the direction of the arrows 26 being practically non-existent.
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The advantage of having more spaced teeth with the comb 2 nn ''. 'X pei <"ies exten. Nrs 1 and 3 is that the teeth are much easier to penetrate between the hair and that, moreover, the required power of the motor 7 for animating the comb 2 with a back-and-forth movement may be more reduced than if, for example, the three combs would be identical.
We also note that the friction between the rows of teeth and the small strands of hair caught between two consecutive teeth becomes practically negligible, especially if we ensure that the distance between the row of teeth of comb 2 and that of combs 1 and 3 is slightly greater than the distance between two teeth of these two combs.
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The space between the combs is legally a function of the amplitude of the back-and-forth movement of the comb 2 and of the space C> between the teeth of the fixed combs 1 and 3.
Thus, the greater the distance between the teeth of combs 1 and 3, the greater the thickness of the wick between two consecutive teeth of these pegs is greater and the greater the space between the combs.
As results from FIGS. 4 to 6, the amplitude of the back-and-forth movement of the comb 2 is a function both of the distance between the teeth 5 of the comb 2 and of that between the teeth 4 and 6 of the combs resp. 1 and 3.
If for example this amplitude is too large, the traction exerted by the teeth 4 of the comb 2 on the part of the
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hair extending between the teeth of the outer combs l and 3 becomes too large and risks deteriorating the hair while causing it to pile up between the combs.
On the other hand, if this amplitude is too reduced, some of the nodes cannot undo. given that not all the strands undergo this relative sliding between the teeth of the combs it could be useful if the distance between two consecutive determined teeth of the same comb is substantially constant over the entire height of these teeth or possibly increases gradually from from the free end of these teeth to their base.
Indeed, if on the contrary, this distance decreases in a fairly substantial way from the free end to the base of these teeth, a risk could exist that from a certain frequency of the movement of va- back and forth from the central comb 2 the teeth do not penetrate deep enough into the hair if special precautions are not taken.
As shown in phantom in Figures 1 to 3, the motor 7 and the reducer can be housed in a housing 28 which will simultaneously act as a handle. Optionally, this box could house electric batteries, not shown, rechargeable or not, to power a DC motor p. e. of 4.5 volts.
Also, pver - to facilitate maintenance or possibly to allow their exchange, the combs could be mounted removably on the housing 28, p. e. like known electric knives.
It should also be noted that the instrument according to the invention can be used advantageously for crimping the hair, c. at. d. to increase the volume of the hair.
Indeed, the hair being moved in depth in a relatively intense way, the hair undergoes considerable softening thereby causing an increase in
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volume of the hair.
It is understood that the invention is not limited to the embodiments described above and shown in the appended figures and that many variants can be envisaged without departing from the scope of the present invention.
This is how the rows of teeth could be curved, that the number of rows of teeth could be very variable, that the outer rows of teeth could p. e. be provided on the same support on which could then be slidably mounted a mobile support also provided with teeth.
In still other cases, the support or supports of the external teeth could be mobile, the support of the internal teeth then being able also to be mobile or to be fixed.
Finally, the instrument according to the invention can also advantageously be used to remove hairspray or possibly other substances from the hair or even simply to undo his hairstyle.