"Distributeur de tickets comprenant un dispositif d'éjection amélioré"
La présente invention concerne un distributeur de tickets à plat, notamment distributeurs de tickets de cinéma à incorporer dans le comptoir de vente des tickets, comprenant une porte en façade.
Il existe des distributeurs de tickets prévus pour être incorporés sous un plan de travail d'un comptoir de vente, par exemple de tickets de cinéma. Un opérateur commande le distributeur et remet les tickets à un client. Un tel distributeur comprend une façade au travers de laquelle les tickets sont éjectés. La façade est prévue pour être disposée sensiblement horizontalement, c'est à dire "à plat", sensiblement dans le même plan que le plan de travail du comptoir. Les autres parties, notamment les moyens de traitement des tickets sont masqués sous le plan de travail, à l'aplomb de la façade. Les tickets y sont stockés sous forme de bandes, généralement en rouleau, puis éventuellement imprimés et débités sous forme de coupons représentant chacun un ticket, puis les coupons sont éjectés au travers de la façade. Il est donc important que les opérations de coupe de la bande en forme de coupon puis l'éjection du coupon soient parfaitement synchronisées, par exemple pour éviter d'éjecter un coupon non encore complètement coupé.
Il faut aussi à la fois pour des questions de coût de fiabilité et d'accessibilité, que les mécanismes de coupe et d'éjection soient les plus simples possibles. Notamment pour les distributeurs à plat dans lesquels le circuit de traitement est difficile d'accès du fait de sa position sous le comptoir. A une caisse de cinéma, en cas de nécessité, il est important de ne pas laisser longtemps un distributeur hors service et de pouvoir intervenir le plus aisément et le plus simplement possible.
Le but de l'invention est de proposer un distributeur de coupons dont les moyens de traitement, notamment les moyens d'éjection, sont
simplifiés, fiables et pour lequel le synchronisme des moyens de coupe avec les moyens d'éjection du coupon est garanti.
Selon l'invention, un tel distributeur à plat de coupons, par exemple des tickets de cinéma, est caractérisé en ce qu'il comprend parmi des moyens de traitement, des moyens de coupe pour couper une bande en forme de coupons et des moyens d'éjection pour les coupons, et les moyens de coupe et d'éjection être avantageusement entraînés par un seul moteur. Pour garantir le synchronisme des moyens de coupe avec les moyens d'éjection, un mouvement des moyens de coupe peut servir à entraîner les moyens d'éjection. Notamment si les moyens de coupe comprennent une lame, le déplacement de la lame peu servir à entraîner les moyens d'éjection. Ainsi, la lame peut comprendre pour transmettre ce mouvement une crémaillère, et les moyens d'éjection comprennent un pignon engrenant avec ladite crémaillère pour recueillir ce mouvement. Le pignon de transmission peut être relié à des moyens de roue libre, de sorte que lorsque la lame se déplace depuis une position de retrait vers une position avancée pour couper la bande en forme de coupon, les moyens d'éjection en aval de la roue libre ne sont pas entraînés, et lorsque ladite lame retourne vers sa position de retrait, les moyens d'éjection sont entraînés pour permettre l'éjection du coupon ainsi formé.
Un tel distributeur peut comprendre en outre une porte en façade.
Cette porte peut notamment être prévue pour que les coupons soient éjectés au travers de la porte lorsqu'elle est fermée. Pour permettre, en cas de nécessité, un meilleur accès aux moyens de traitement, les moyens d'éjection sont fixés sur la porte de sorte que, lorsque la porte est ouverte, on puisse avoir accès directement à des moyens de traitement normalement masqués par les moyens d'éjection, notamment les moyens de coupe.
Les moyens d'éjection peuvent comprendre un galet d'éjection et un galet de pincement, prévus pour maintenir entre eux une extrémité de la bande avant sa découpe en forme de coupon, puis lorsque le coupon est
formé son éjection grâce à un mouvement de rotation opposé des galets entre lesquels il est resté pincé.
Particulièrement si les moyens d'éjection sont fixés sous la porte, il sera utile de prévoir des moyens pour éloigner les deux galets l'un de l'autre avant l'ouverture de la porte afin de les désolidariser d'avec un coupon mal, pas ou incomplètement coupé, qui risquerait d'empêcher l'ouverture de celle-ci.
Lors de la fermeture de la porte le pignon de transmission peut ne pas être correctement positionné relativement à la crémaillère. On prévoira avantageusement de monter le pignon sur des moyens pour le dégager et permettre son positionnement ultérieur sans gêner la fermeture complète de la porte.
D'autres particularités et avantages de l'invention ressortiront encore de la description ci-après, relative à des exemples non limitatifs. Aux dessins annexés :
- la figure 1 est une vue d'un dispositif selon l'invention, vu de dessus en perspective, porte ouverte;
- la figure 2 représente une vue schématique et éclatée du dispositif de la figure 1 ; et, - la figure 3 est une vue similaire à celle de la figure 1 , porte fermée.
La figure 1 représente un distributeur de ticket à plat 1 , prévu pour être incorporé dans un comptoir de vente. Le distributeur comprend une façade 2 et un corps 5. La façade comprend une porte 3 s'ouvrant dans un dormant 4. Cette façade est prévue pour être tournée vers le haut, et masquer sous elle le corps 5 du distributeur 1 . Le corps 5 comprend les moyens de traitement 6 des tickets. Par la porte 3, ouverte à la figure 1 , on aperçoit une partie de ces moyens de traitement, en particulier des moyens de coupe 61 et des moyens d'éjection 62 des tickets.
Les moyens de coupe sont normalement, c'est à dire lorsque le distributeur est en fonctionnement, disposés au-dessous des moyens d'éjection. Dans la configuration préférée de la figure 1 , et afin de
permettre un accès à une plus grande partie des moyens de traitement 6, les moyens d'éjection 62 sont fixés sous la porte, de sorte que lorsque l'on ouvre celle-ci, les moyens d'éjection 62 sont déplacés avec la porte et les moyens de coupe 61 , ainsi dégagés, sont directement accessibles par un opérateur. Ceci est notamment utile en cas de bourrage entre les moyens de coupe et les moyens d'éjection.
A la figure 3 la porte est représentée fermée. Cette porte comprend une serrure 31 pour la verrouiller en position fermée, et un orifice 32 au travers duquel sont éjectés les tickets traités par le distributeur 1 , en vue de leur remise à un client. La porte 3 dans sa position fermée est affleurante avec le dormant 4 de façon à former une façade sensiblement lisse. Comme illustré à la figure 2, le dormant 4 sert d'appui pour le distributeur sur le comptoir 7. Une engravure peut être prévue dans le comptoir pour y loger la façade de sorte que cette dernière affleure avec le comptoir.
On va maintenant expliquer le fonctionnement des moyens de coupe et d'éjection en référence à la figure 2. Le corps comprend un châssis mécano-soudé 51 schématiquement représenté à la figure 3 dans lequel sont montés et articulés des éléments actifs des moyens de traitement. Pour une meilleure lisibilité la figure 2, le châssis n'y est pas représenté et seuls les éléments utiles à la compréhension de l'invention y sont schématiquement représentés.
Les tickets sont stockés dans le corps 5 sous forme d'une bande 1 1 en rouleau 1 2. La bande est prévue pour être débitée sous forme de coupons 1 3, chacun des coupons représentant un ticket 1 3. Ainsi, à la commande de l'opérateur, après une éventuelle étape d'impression non représentée à la figure 2, la bande 1 1 est d'abord découpée en forme de coupon, par les moyens de coupe 61 , et le coupon 1 3 ainsi formé est éjecté grâce aux moyens d'éjection 62 par l'orifice 32 au travers de la façade 3. Les moyens de coupe et d'éjection sont mus par un même moteur pas à pas 14. Le moteur 14 entraîne grâce à une courroie 1 5 un
pignon d'entrée 1 6, de sorte qu'à chaque avance du moteur 14 le pignon d'entrée 1 6 fait un tour complet sur lui-même. Le pignon d'entrée est monté en rotation autour d'un axe E vertical, fixe relativement au châssis. Le pignon d'entrée 1 6 et lié en rotation avec un excentrique 1 7 par l'intermédiaire d'un arbre d'entrée 1 8, d'axe E. L'excentrique 1 7 a la forme d'un cylindre de diamètre R.
Le dispositif de coupe 61 comprend principalement une lame 20 pouvant se déplacer horizontalement en translation selon une direction de déplacement D, relativement au châssis 5, sur une surface supérieure horizontale 21 1 d'une contre-lame 21 , définissant un plan de coupe. La lame 20 est de forme sensiblement trapézoïdale et comprend une fenêtre 202 sensiblement rectangulaire la traversant de bas en haut selon son épaisseur. L'excentrique 1 7 est disposé à l'intérieur de la fenêtre. La fenêtre 202 a une longueur, transversalement à la direction de déplacement D de la lame, au moins égale à deux fois la plus grande distance entre l'axe d'entrée E et la périphérie de l'excentrique 1 7. La fenêtre 202 a une largeur L, selon la direction de déplacement D, égale au diamètre 2R de l'excentrique. Dans son mouvement de rotation autour de l'axe E et à l'intérieur de la fenêtre 202, l'excentrique provoque un déplacement alternatif de la lame, en translation selon la direction D et sensiblement sans jeu, par son action sur des parois de la fenêtre 202 opposées selon la largeur L, entre une position de retrait jusqu'à une position avancée. Aux figures 1 et 2, la lame 20 est représentée en position de retrait, c'est à dire que le passage au travers de la fente 21 2 est laissé libre par la lame 20.
La contre-lame comprend une fente 212 disposée perpendiculairement au mouvement de translation de la lame 20, et traversant verticalement la plaque 21 . Le rouleau 1 2 est disposé sous la plaque 20 de sorte que la bande de tickets 1 1 traverse la plaque de bas en haut au travers de la fente 212. La lame comprend, sur le côté biais du trapèze formé par la lame, une zone de coupe 201 rectiligne et
horizontale, inclinée relativement à la fente. Au cours du mouvement de translation de la lame 20, depuis la position de retrait jusqu'à la position avancée, la zone de coupe 201 , du fait de son inclinaison, franchit progressivement la fente 212, découpant la bande selon le plan de coupe 21 1 , le long d'une ligne horizontale 1 1 1 représentée en trait pointillé.
La description qui est faite ci-dessous du fonctionnement du distributeur, l'est en supposant la porte 3 fermée, c'est à dire que le distributeur est en position pour traiter et distribuer des tickets. Notamment, certains éléments ou axes supposés fixes relativement au châssis dans le cadre de cette description, peuvent être mobiles avec la porte, lors de l'ouverture de celle-ci.
C'est aussi le mouvement de la lame qui permet de mouvoir les moyens d'éjection. La lame 20 comprend sur une face supérieure 203 une crémaillère 204. La crémaillère est disposée de sorte qu'elle engrène avec un pignon 22 de transmission de mouvement entre les moyens de coupe et les moyens d'éjection. Le pignon de transmission 22 a un axe de rotation J, dit axe de transmission, horizontal et perpendiculaire à la direction D de déplacement de la lame 20. Le mouvement de translation alternatif de la lame 20 provoque un mouvement de rotation alternatif du pignon de transmission 22 autour de son axe de rotation J.
Les moyens d'éjection comprennent une poulie meneuse 23, de même axe de rotation J que le pignon de transmission 22 et reliée à celui- ci par un arbre de transmission 24. La poulie meneuse est reliée à une poulie menée 25 par l'intermédiaire d'une courroie 26. La poulie menée entraîne elle-même un galet d'éjection 27 par l'intermédiaire d'un arbre d'éjection 28, la poulie menée, l'arbre et le galet d'éjection étant tous coaxiaux d'axe d'éjection X1 et montés en rotation autour de l'axe X1 , l'axe X1 étant horizontal, parallèle à l'axe de transmission J et à la fente 212, et fixe par rapport à la porte 3 donc au châssis 5 lorsque la porte est en position fermée.
Les moyens d'éjection comprennent en outre un galet de pincement 29, mobile en rotation autour d'un axe de pincement X2, parallèle à l'axe d'éjection X1 et dans le même plan horizontal. Le galet de pincement 29 est prévu pour, dans une position de travail représentée aux figures 1 et 2, pincer une extrémité 1 1 2 de la bande 1 1 contre le galet d'éjection 27, avant la découpe de ladite extrémité 1 1 2 en forme de coupon 1 3, puis maintenir le coupon 1 3 avant et jusqu'à son éjection au travers de l'orifice 32.
Dans la position de travail, la zone de pincement 2927 entre les deux galets est disposée sensiblement à l'aplomb de la fente 21 2. Ainsi, lorsque le rouleau 12 de tickets se déroule, à la commande de l'opérateur, l'extrémité 1 1 2 de la bande 1 1 traverse la plaque 21 au travers de la fente 21 2 puis pénètre entre les deux galets 27,29 dans la zone de pincement 2927, jusqu'à ce que la longueur de bande au-dessus du plan de coupe 21 1 corresponde à une longueur de coupon souhaitée, par exemple égale à la longueur d'un ou deux tickets.
La poulie meneuse 23 comprend des moyens de roule libre de sorte que lorsque la lame avance depuis sa position de retrait vers sa position avancée la poulie meneuse 23 n'est pas entraînée par le pignon de transmission 22. L'extrémité 1 1 2 de la bande est donc maintenue tandis que la lame la coupe en forme de coupon 1 3.
A l'inverse, lors du retour de la lame 20 vers sa position de retrait, la poulie meneuse est entraînée par le pignon de transmission. La poulie meneuse entraîne elle-même la poulie menée et par conséquent le galet d'éjection qui lui est lié, de sorte que le coupon 1 3, maintenu contre le galet d'éjection 27 par le galet de pincement 29 soit entraîné vers le haut par la rotation du galet d'éjection. Le diamètre de la poulie menée 25 est nettement inférieur à celui de la poulie meneuse 23 de façon à assurer, par une rotation suffisante du galet d'éjection, l'éjection complète du coupon 13 au travers de l'orifice 32.
On va maintenant décrire le mécanisme d'ouverture 63 de la porte 3. Il est a remarquer, comme particulièrement illustré à la figure 1 que les moyens d'éjection 61 , c'est à dire le pignon de transmission 22 et les éléments qui sont entraînés par lui et décrits précédemment sont fixés sous la porte 3. Ainsi, en cas de nécessité on peut directement accéder aux moyens de coupe 61 sans être gêné par les moyens d'éjection 62, normalement situés au-dessus. Le mécanisme d'ouverture de la porte 3 est donc conçu pour assurer la séparation, lors de l'ouverture de la porte, puis l'accouplement, lors de sa fermeture, corrects des moyens de coupe et d'éjection.
Le mécanisme d'ouverture 63 comprend, mu par une clef 34 introduite dans la serrure 31 une came 35, mobile en rotation autour d'un axe de serrure S perpendiculaire à la porte 3, c'est à dire vertical lorsque la porte est fermée. Le mécanisme 63 comprend en outre un balancier 36 mobile autour d'un axe de balancier B, parallèle à l'axe de serrure S. Le balancier comprend une extrémité libre 361 sur laquelle agit la came 35.
Le galet de pincement 29 est monté coaxial sur un arbre de pincement 30. L'arbre est monté mobile en translation par rapport à la porte 3, perpendiculairement à l'axe de pincement X2, dans un plan, parallèle à la porte et comprenant les axes de pincement X2 et d'éjection X1 . L'arbre de pincement 30 et le balancier 36 sont reliés par un bras 37, articulé sur le balancier 36, entre l'extrémité libre 361 et l'axe de balancier B.
Lorsque la lame 20 revient en position de repos, elle provoque le recul du galet de pincement 29 par l'intermédiaire du bras 37. L'écartement ainsi obtenu du galet de pincement 29 par rapport au galet d'éjection 27 permet alors le libre passage de la bande 1 1 .
Le balancier est disposé au-delà de l'axe de pincement X2 relativement à l'axe d'éjection X1 . Ainsi, pendant le déverrouillage de la porte lorsque l'opérateur tourne la clef en vue de l'ouverture de cette porte, la came est entraînée autour de l'axe de serrure S et est prévue
pour repousser l'extrémité libre 361 en l'éloignant de l'axe d'éjection X1 , ce qui provoque la rotation du balancier 36 autour de son axe B. Le bras 37, entraîné par le balancier 36 dans ce mouvement d'éloignement, tire sur l'arbre de pincement, qui se translate en s'éloignant de l'axe d'éjection X1 . Le galet de pincement 29 est donc ainsi écarté du galet d'éjection 27 jusqu'à une position escamotée. L'extrémité 1 1 2 de la bande 1 1 , qui n'aurait pas été complètement ou correctement coupée avant l'ouverture de la porte, est ainsi libérée. Dans le cas contraire, si l'extrémité 1 1 2 non encore complètement coupée était restée pincée, elle aurait empêché l'ouverture de la porte en la liant au châssis, par l'intermédiaire du rouleau ou de la lame de coupe. Lors du verrouillage de la porte 3, après sa fermeture, le galet de pincement 29 est ramené dans sa position de travail, c'est à dire dans une position où il permet le pincement. Aux figures 1 et 2, le galet de pincement est représenté dans sa position de travail.
Lors de l'ouverture de la porte, la crémaillère 204 et le pignon de transmission 22, sont séparés, la première étant liée au châssis 5 et le deuxième plus directement à la porte 3. Comme illustré à la figure 1 , pour permettre, lors de la fermeture de la porte, un positionnement correct du pignon de transmission sur la crémaillère, l'arbre de transmission 24 est monté en rotation sur un chevalet 40. Le chevalet 40 est lui-même mobile autour d'un axe de chevalet C, déporté parallèlement à la porte 3 relativement à l'axe de transmission J. Ainsi, si lors de la fermeture de la porte une dent du pignon de transmission se trouve en butée sur une dent de la crémaillère, la rotation du chevalet permet de dégager le pignon et autorise la fermeture de la porte en désolidarisant son mouvement de celui du pignon. Le pignon d'entraînement reprend ensuite sa position d'engrènement avec la crémaillère, soit pendant que la porte poursuit son mouvement de fermeture, soit lors d'une mise en mouvement ultérieure de la lame 20, donc de la crémaillère.
Pour éviter la chute du chevalet lors de la fermeture de la porte, une patte 41 , sur le balancier 36 sert de butée au chevalet 40.
Bien sûr, l'invention n'est pas limitée aux exemples qui viennent d'être décrits et de nombreux aménagements peuvent être apportés à ces exemples sans sortir du cadre de l'invention.
Ainsi, le corps du distributeur peut être incliné, c'est à dire ne pas être verticale. La façade elle-même peut ne pas être disposée horizontalement, mais inclinée, par exemple pour un meilleur accès de l'opérateur ou du client aux tickets distribués. Dans ces cas les axes décrits comme verticaux ou horizontaux dans les exemples précédents pourront aussi être inclinés.
Outre les moyens de coupe et d'éjection, les moyens de traitement d'un ticket peuvent comprendre d'autre moyens, par exemple en amont des moyens de coupe des moyens d'impression sur la bande.