LU88812A1 - Dipositif formant porte-manche pour des manches d'ustensiles tels que des balais montes sur des essoreuses et qui suivant les besoins peut etre facilement place sur l'avant de l'essoreuse ou sur son cote - Google Patents

Description

La présente invention concerne un dispositif formant porte-manche, pour des manches d’ustensiles tels que des balais, monté sur des essoreuses et qui, suivant les besoins, peut-être facilement placé sur l’avant de l’essoreuse ou sur son côté.

Pendant l’utilisation des essoreuses le déplacement des balais de coton ou à franges, pour leur trempage, leur rinçage ou leur essorage, doit pouvoir être effectué dans les meilleures conditions possibles sans difficulté ou gêne. Toute saillie ou tout objet d’un certain relief tel que pourrait l’être un porte-manche, qui se trouverait sur l’extérieur de la paroi frontale d’une essoreuse, créerait des inconvénients parce qu’au cours de l’introduction du balai dans un seau sous-jacent et l’extraction de ce balai, ainsi qu’au cours des phases de rinçage, il pourrait se produire des interférences ou des accrochages avec les parties en tissu. Dans le cas de l’utilisation de seaux de dimensions réduites et dans lesquels la partie de l’embouchure supérieure qui est laissée libre par l’essoreuse montée sur le seau, est à peine suffisante pour permettre l’introduction du balai, une quelconque saillie présente sur l’essoreuse n’est absolument plus possible.

Pendant les intervalles durant lesquels le balai de coton ou à franges n’est pas utilisé, par exemple au cours des déplacements pour le changement de la zone à nettoyer, se pose le problème du placement du balai qui doit être soutenu sans pouvoir entraîner des inconvénients. A cet effet, dans le cas de certains types d’essoreuses, on monte sur ces essoreuses, latéralement, à l’extérieur de la paroi frontale, des porte-manches sur lesquels sont engagés les manches des balais.

Le problème que pose cette solution est que le balai ainsi maintenu entraîne une augmentation de l’encombrement de l’ensemble et de plus, si le balai est humide et fait saillie à partir de l’ouverture supérieure du seau, il se produit un égouttage gênant sur le sol.

Le but de la présente invention est d'éviter tous les inconvénients précités et d’améliorer les caractéristiques fonctionnelles d'un porte-manche relié à une essoreuse.

La présente invention est particulièrement avantageuse dans le cas de la combinaison d’une essoreuse et d’un seau sous-jacent de dimensions réduites, combinaison dans laquelle la totalité de l’ouverture du seau, laissée par l’avant de l’essoreuse, est à peine suffisante pour l’introduction d’un balai dans le seau en vue de son trempage ou de son rinçage.

L’invention a pour objet un dispositif dans lequel le porte-manche est accouplé, par l'intermédiaire d’une articulation, à un support associé de telle façon que ce support, une fois monté sur l’essoreuse, permette au porte-manche de tourner autour de son propre axe de rotation, pour le placer horizontalement sur l’avant de l’essoreuse, en étant prêt à recevoir le manche d’un balai, ou bien pour le placer verticalement sur le côté sans entraîner pratiquement une augmentation de l’encombrement. Les modes de réalisation du dispositif, comprenant le support et le porte-manche associé, varient surtout, en ce qui concerne le support, en fonction de la configuration des différents types d’essoreuses. A la limite le support du porte-manche rotatif peut ne pas exister dans le cas où l’essoreuse est déjà pourvue d’un élément approprié (mâle ou femelle suivant que le porte-manche est pourvu d’un élément femelle ou mâle) pour l’articulation rotative du porte-manche. Dans ce cas s’applique toujours le principe de l’invention suivant lequel le porte-manche peut être placé sur l’avant de l’essoreuse, pour la retenue du manche du balai, ou bien il peut être placé sur le côté pour laisser libre la totalité de l’ouverture du seau donnant sur la paroi frontale de l’essoreuse.

Les particularités de l’agencement du support du dispositif suivant la présente invention sur l’essoreuse et'du porte-manche soit sur l’essoreuse soit sur son support associé peuvent être déterminées suivant les principes déjà énoncés ou bien avec des moyens appropriés qui seront décrits par la suite à titre d’exemple.

On décrira ci-après diverses formes d’exécution de la présente invention, en référence aux dessins annexés.

La figure 1 représente un porte-manche fixe du type existant dans le commerce et qui est destiné à être appliqué sur une traverse antérieure d’un type particulier d’essoreuse. On voit sur cette figure un support 2 d’un élément 1 de retenue d’un manche qui demeure en position sur le côté. La paroi antérieure 6 du support 2 présente deux petites fenêtres 16 à travers lesquelles on peut voir la paroi postérieure 3 du support. On voit également, à travers les deux fenêtres, deux languettes 7 qui sont détachées de la paroi 3 et sont reliées élastiquement, par leurs extrémités supérieures, à la bordure du support 2. Les deux languettes portent respectivement deux tétons 5 qui sont destinés à s’engager dans deux trous 19 formés sur une traverse 32 d’une essoreuse 31 sur laquelle est monté le support 2 (voir la figure 43).

La figure 2 représente le porte-manche de la figure 1 vu de l’arrière. On voit sur cette figure le support 2 de l’élément 1 de retenue du manche du balai, sa paroi antérieure 6, sa paroi postérieure 3 et les languettes 7.

La figure 3 est une vue en perspective du porte-manche 2, semblable à celle de la figure 1 mais prise suivant un autre angle. On voit sur cette figure la paroi antérieure 6, la paroi postérieure 3 et les fenêtres 16 de la paroi antérieure.

La figure 4 représente schématiquement une portion d’une traverse 18 d’une essoreuse sur laquelle est monté le support 2. On voit sur cette figure les deux trous 19 qui sont destinés à recevoir les tétons 5 du support 2.

La figure 5 représente une vue en coupe du support 2 tandis que la figure 6 représente une vue en coupe de la portion de la traverse 18, ces vues en coupe étant obtenues suivant la ligne K-K des figures 2, 3 et 4. Les deux parois 3 et 6 qui sont reliées entre elles à leurs parties supérieures, forment un siège en forme de profilé en U qui s’emboîte sur la traverse 18 de l’essoreuse. On voit sur la figure 5 une partie d’une fenêtre 16 présente sur la paroi antérieure 6, une partie d’une languette élastique 7 séparée de la paroi postérieure 3 et qui supporte le téton 5, et sur la figure 6 le trou 19 présent dans la traverse 18 et dans lequel doit s’engager le téton 5.

La figure 7 représente un support 2 sensiblement identique au support 2 de la figure 1 mais qui, à la place de l’élément 1 de retenue du manche, soutient un palier annulaire 8. On voit sur cette figure la paroi antérieure 6, la paroi postérieure 3 et les languettes 7 portant les tétons 5.

La figure 8 représente un porte-manche mobile pourvu d’un axe 10 destiné à s’engager à rotation dans le palier 8 du support de la figure 7. On voit sur la figure 8 une plaque 11A reliant l’axe 10, l’élément de retenue 1 et la portion à section en U 9 au moyen de laquelle le support 2 s’emboîte sur la traverse 32 d’une essoreuse à patins 31 (voir la figure 47). On voit également sur cette figure une languette 12 portant un téton 14 destiné à s’engager dans un trou 33 présent dans la traverse 32 de l’essoreuse à patins 31 (voir la figure 46).

La figure 9 représente un support semblable au support représenté sur la figure 7 mais dont le palier annulaire 13 est abaissé par rapport au palier annulaire 8.

La figure 10 représente un porte-manche mobile sensiblement identique au porte-manche de la figure 8. Toutefois la plaque de liaison 11B ne présente pas une saillie à son extrémité et l’axe 10 est placé pratiquement au centre dans le sens de la largeur.

Les références adoptées pour indiquer les diverses parties des figures 9 et 10 sont les mêmes que celles adoptées précédemment.

La figure 11 est identique à la figure 9 mais à plus petite échelle.

La figure 12 montre le porte-manche de la figure 10 vu de Tanière. On voit sur cette figure la paroi interne 15 de la portion à profil en U 9 et la fenêtre 16 délimitant une languette portant un téton 14. On voit également un bossage 17 qui peut s’engager dans les petites fenêtres du support 2.

La figure 13 montre le porte-manche à plaque de liaison 11A articulé sur le support 2 et dans l’état de superposition.

La figure 14 représente un support 2 pour un porte-manche rotatif qui est modifié par rapport aux supports considérés précédemment. Ce support présente une saillie supérieure 21 et une bordure inférieure 20 à profil en U.

La figure 15 est une vue en coupe faite suivant la ligne Y-Y, du support représenté sur la figure 14. On voit sur cette figure 14 le palier annulaire 8 pour l’articulation du porte-manche, la paroi antérieure 6 et la paroi postérieure 3.

La figure 16 est une vue en coupe de la plaque de liaison 11A(B) d’un porte-manche mobile, laquelle est pourvue, à sa partie supérieure, d’un appendice 22 en forme de L inversé. On voit également sur cette figure l’élement 1 de retenue d’un manche de balai avec son attache à la paroi 11A(B) en partie haute.

La figure 17 représente l’ensemble qui est réalisé par l’assemblage du support modifié, ainsi qu’il est représenté sur la figure 15, avec le porte-manche modifié ainsi qu’il est représenté sur la figure 16, lorsque les deux éléments constituant le dispositif suivant la présente invention sont articulés entre eux et dans l’état de superposition.

Les figures 14, 15, 16 et 17 représentent un exemple des réalisations possibles du dispositif suivant la présente invention.

Il est clair que les représentations des articulations rotatives entre les paliers annulaires et les axes peuvent être inversées, en remplaçant les paliers annulaires par les axes et ces axes par les paliers annulaires.

Les figures 18 et 19 représentent un dispositif formant porte-manche suivant la présente invention dans lequel le support qui soutient la partie rotative pourvue de l’élément de retenue des manches, occupe une position sensiblement perpendiculaire par rapport à la partie rotative précitée. On voit sur cette figure un support 25 et des languettes flexibles 7 qui portent les tétons 5 pour l’ancrage sur le bord de l’essoreuse sur laquelle le support est monté. On voit également une plaque 28 de la partie rotative pourvue d’un axe 27 et de l’élément de retenue des manches 1, un coin de renfort 23 entre l’élément 1 et la plaque 28, un crochet courbe 24 solidaire de la plaque 28 et qui supporte à l’intérieur une ailette profilée 29. L’ensemble de la plaque 28, du crochet 24 et de l’ailette 29 contribue à l’accrochage de la partie rotative sur le bord antérieur et supérieur de l’essoreuse 33 sur laquelle le dispositif est monté en insérant l’ailette 29, en tant qu’élément d’accrochage, dans une fente associée 34 présente sur le bord supérieur précité de l’essoreuse (voir la figure 49).

La figure 19 représente le dispositif de la figure 18 vu de dessous.

La figure 20 représente le même dispositif que celui de la figure 18 mais avec le support 25 monté sur le côté.

La figure 21 montre le dispositif de la figure 18 vu de l’arrière. Les références adoptées pour indiquer les diverses parties des figures 19, 20 et 21 sont les mêmes que celles adoptées pour la figure 18.

Les figures 22, 23, 24, 25 et 26 montrent uniquement la partie rotative, comprenant la plaque 28, du dispositif suivant la présente invention, sans son support associé, vu respectivement du dessus, du dessous, de côté, de l’avant et de l’arrière. La plaque de liaison 28 est pourvue de l’axe d’articulation 27 placé à gauche.

Les figures 27, 28, 29, 30 et 31 constituent, dans l’ordre, des représentations, symétriques par rapport à un plan, des figures précédentes 22, 23, 24, 25 et 26, l’axe d’articulation étant alors situé à l’extrémité droite de la plaque de liaison 28. En adoptant les références déjà utilisées précédemment on voit sur ces figures l’élément 1 de retenue des manches, le coin de renfort 23 et le crochet 24 qui soutient l’ailette d’accrochage 29.

Les figures 32, 33, 34, 35 et 36 correspondent respectivement aux figures 22, 23, 24, 25 et 26 mais dans ce cas l’organe de l’articulation est constitué d’un palier annulaire 30 à la place de l’axe 27.

Les figures 37, 38, 39, 40 et 41 correspondent respectivement aux figures 27; 28, 29, 30 et 31 mais dans ce cas l’organe de l’articulation est constitué d’un palier annulaire 30 à la place de l’axe 27.

La figure 42 représente une essoreuse du type à patins 31 sur la traverse antérieure 32 de laquelle sont prévus deux trous 19 pour le montage d’un porte-manche.

La figure 43 montre l’essoreuse à patins 31 de la figure 42 équipée d’un porte-manche d’un type fixe. On voit sur cette figure le support 2 de l’élément de retenue des manches 1, la paroi antérieure 6 du support, les fenêtres 16 présentes dans la paroi 6 et les trous 19 présents sur la traverse 32.

La figure 44 représente une essoreuse à patins 31 équipée d’un support du dispositif suivant la présente invention soutenant le palier annulaire 13 pour l’articulation, lequel est centré par rapport à la paroi 6 (voir la figure 9). La traverse 32 sur laquelle est monté le support 2 est pourvue d’un troisième trou 33 pour l’accrochage de la plaque rotative 11B (voir la figure 10).

La figure 45 montre l’essoreuse à patins 31 de la figure 44 équipée d’un support correspondant 2 dont le palier annulaire 8 est situé vers la partie supérieure de la paroi 6 (voir la figure 7).

Les figures 46 et 47 représentent l’essoreuse à patins 31 de la figure 44 équipée non seulement du support 2 portant le palier annulaire 13 (voir la figure 9) mais encore de la plaque rotative 1 IA (voir la figure 10) respectivement en position hors service sur le côté et placée sur l’avant de l’essoreuse, en étant prête à recevoir les manches. On voit sur la figure 46 le trou auxiliaire 33 présent sur la traverse 32 et sur la figure 47 la portion extrême 9 en forme de U inversé de la plaque 11A qui coiffe le bord supérieur de la traverse 32. On voit également l’élément 1 de retenue des manches.

Les figures 48 et 49 représentent l’essoreuse à patins 31 de la figure 45 équipée non seulement du support 2 portant le palier annulaire 13 mais encore de la plaque rotative 11B respectivement en position hors service sur le côté et placée sur l’avant de l’essoreuse, en étant prête à recevoir les manches. On voit sur la figure 48 le trou auxiliaire 33 présent sur la traverse 32 et sur la figure 49 la portion extrême 9 en forme de U inversé de la plaque 1 IB qui coiffe le bord supérieur de la traverse 32.

Les figures 50 et 51 représentent une essoreuse 33 du type à pressage parallèle, vue en perspective du haut et d’un côté, équipée d’un dispositif formant porte-manche suivant la présente invention, le support 25 de la partie rotative 28 occupant une position perpendiculaire à cette partie rotative (voir les figures 18, 19, 20 et 21).

La figure 50 montre la partie rotative 28 placée sur le côté de l’essoreuse (pendant la phase d’essorage), tandis que la figure 51 montre la partie rotative montée sur le bord antérieur de l’essoreuse (pendant les phases autres que les phases d’essorage) en étant prête à recevoir, dans l’élément de retenue 1, les manches des balais. On voit sur ces figures le support 25 monté sur le bord 35 d’un côté de l’essoreuse 33, la fente 34 dans laquelle pénètre l’ailette 29 pour l’accrochage au moyen du crochet 24 et de la paroi interne de la plaque de liaison 28, et P organe d’articulation (27) 30 (voir les figures 22 et 32).

Les figures 52 et 53 montrent l’essoreuse représentée sur les figures 50 et 51, vue en perspective à partir du haut vers l’arrière et vers un côté, équipée d’un dispositif formant porte-manche suivant la présente invention, dans deux états de la partie rotative respectivement placée sur un côté et montée sur l’avant.

Les figures 54 et 55 représentent l’essoreuse des figures 50 et 51 vue en perspective à partir du haut et vers Pavant et vers un côté, l’essoreuse étant équipée d’un dispositif à porte- manche rotatif respectivement placé sur un côté et monté sur l’avant. Il va de soi que dans toutes les vues en perspectives le dispositif suivant la présente invention peut être monté aussi sur le côté opposé (voir les figures 22 et 27 et les figures 32 et 37). Les références adoptées sur les figures 52, 53, 54 et 55 pour désigner les différentes parties sont les mêmes que celles adoptées sur les figures 51 et 52.

La figure 56 montre une essoreuse générique schématique 37, vue de l’avant, pourvue d’un palier annulaire propre 36.

La figure 57 montre comment l’essoreuse 37 peut être équipée de la plaque rotative 28 sans nécessiter un support, en réalisant l’articulation par l’insertion de l’axe 27 dans le palier annulaire 36 (voir la figure 22). On obtiendrait le même résultat si l’essoreuse était pourvue d’un axe approprié à la place du palier annulaire. Dans ce dernier cas on choisirait une plaque rotative 28 pourvue d’un palier annulaire (voir la figure 32).

La figure 58 représente l’essoreuse 37 de la figure 56 vue du dessus et pourvue du palier annulaire 36.

La figure 59 représente l’essoreuse de la figure 58 équipée de la plaque rotative appropriée 28, placée dans une position intermédiaire entre les conditions de repos et d’utilisation.

La figure 60 représente l’essoreuse 37 de la figure 56 vue de côté et pourvue du palier annulaire 36.

La figure 61 représente l’essoreuse 37 de la figure 60 équipée de la plaque rotative 28 placée sur le côté.

La figure 62 est la répétition de la figure 60.

La figure 63 représente l’essoreuse de la figure 62 équipée de la plaque rotative 28, vue de côté et placée sur l’avant (voir la figure 24).

A partir de cette deception des diverses possibilités de réalisation et de montage d’un dispositif porte-manche rotatif sur les divers types d’essoreuses il est clair que la présente invention présente les exigences de nouveauté et de niveau inventif. Les diverses solutions qui découlent de ce qui a été décrit et représenté ne sortent pas de la présente invention, étant entendu que les dessins et la description concernent une solution préférentielle donnée à titre d’exemple.

Claims (7)

1. Dispositif formant porte-manche, pour des manches d’ustensiles tels que des balais, monté sur des essoreuses et qui, suivant les besoins, peut être facilement placé sur l’avant de l’essoreuse ou sur son côté, caractérisé en ce qu’il est constitué d’un support qui est monté sur l’essoreuse et d’une partie porte-manche rotative accouplée au support au moyen d’une articulation.

2. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la partie porte-manche peut être placée, par un mouvement de rotation, à l’extérieur, sur un côté, pendant les phases d’essorage et il peut être placé, par un mouvement de rotation, sur une traverse ou sur le bord supérieur de la paroi antérieure de l’essoreuse pendant les phases autres que celles d’essorage, pour porter le manche d’un accessoire ou d’un balai.

3. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le support pour l’articulation avec la partie porte-manche peut être pourvu soit d’un palier annulaire soit d’un axe suivant que la partie porte-manche est pourvue respectivement soit d’un axe soit d’un palier annulaire.

4. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le support peut avoir la même position que la partie porte-manche ou bien il peut avoir une position perpendiculaire à celle de la partie porte-manche ou bien une position inclinée d’un angle approprié par rapport à celle de la partie porte-manche.

5. Dispositif suivant la revendication principale, caractérisé en ce que la partie porte-manche, lorsqu’elle se trouve dans la position de retenue des manches, peut être accrochée sur la traverse antérieure des essoreuses, de la même façon qu’a lieu l’accrochage du support, au moyen de tétons portés par des languettes élastiques et qui s’insèrent dans des trous associés réalisés dans la traverse de l’essoreuses.

6. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que lorsque la partie porte-manche se trouve dans la position de retenue des manches, elle peut être accrochée sur le bord supérieur de la paroi antérieure au moyen d’une ailette formant, avec la plaque porteuse de la partie porte-manche, un tronçon de profilé en U inversé, dans l’état de superposition, de telle façon que l’ailette, en pénétrant dans une fente associée pratiquée dans le bord, réalise un accrochage.

7. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu’à la place du support l’essoreuse est équipée d’un palier annulaire propre (ou bien d’un axe propre) au moyen duquel peut être réalisée directement l’articulation de la partie porte-manche rotative, entre le palier précité (ou l’axe précité) et l’axe (ou le palier annulaire) appartenant à la partie porte- manche rotative.