FR3137680A1 - Solution concentrée de préservation de l’intégrité et du bon fonctionnement des dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement recourant à l’emploi de l’urée technique en solution. - Google Patents

Solution concentrée de préservation de l’intégrité et du bon fonctionnement des dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement recourant à l’emploi de l’urée technique en solution. Download PDF

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Abstract

L’invention consiste en une solution d’actifs, concentrée, à diluer dans une solution d’urée technique employée dans les dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement pour la suppression des Nox. Les actifs entrant dans sa composition ont pour fonction la diminution des amas cristallins d’acide cyanurique obstruant et détruisant le SCR, la diminution des amas bactériens qui constituent des contaminants nocifs pour dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement, la diminution des proliférations fongiques qui constituent des contaminants nocifs pour dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement et la diminution de la formation des paillettes de givre ou les amas de glace obstruant et détruisant le SCR et constituant des contaminants nocifs pour dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement. Les composants de l’invention doivent permettre la biodégradabilité et l’absence d’écotoxicité de l’invention, que l’invention soit considérée seule sous sa forme concentrée ou diluée dans une solution d’urée technique. Le conditionnement de l’invention permet un dosage simple respectant les règles de dilution dans une solution d’urée technique. L’invention se présente sous la forme d’une solution colorée contenue dans un flacon auto doseur ou non.

Description

Solution concentrée de préservation de l’intégrité et du bon fonctionnement des dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement recourant à l’emploi de l’urée technique en solution.
La présente invention se présente sous la forme d’une solution concentrée, facile d’emploi, en tout temps et tout lieu, facile à stocker et conserver, non Eco toxique, biodégradable, formulée à plus 99% à partir de produits d’origine biologique. L’invention permet de prévenir la survenance des effets indésirables de l’emploi d’une solution d’urée de type « AdBlue » dans les dispositifs pour le post-traitement des gaz d’échappement des moteurs Diesel embarqués ou stationnaires, y compris avec des périodes plus ou moins longues d’inutilisation.
Les normes européennes et françaises en matière de pollution émises notamment par les engins recourant à un moteur thermique, sont de plus en plus draconiennes, avec pour effet une réduction sensible des émissions nocives pour l’environnement. Cette lutte contre lesdites émissions est amenée à s’intensifier dans les années à venir pour tendre vers toujours moins de ses mêmes émissions. Pour satisfaire aux normes environnementales européennes et françaises, les constructeurs d’engins à moteur thermiques, notamment diesel, ont dû intégrer à leur production des dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement, lesquels sont les SCR (Sélective Catlytic Reducer ou réducteur catalytiques sélectifs), les EGR (Exhaust Gas Recirculation ou réduction des gaz d’échappement par recirculation) et les FAP (Filtres à particules). Ces dispositifs peuvent être installés seuls ou en combinaison avec des degrés d’efficacité et de fiabilités variables.
Néanmoins, à la lumière des normes en vigueur sur le territoire européen et français, les dispositifs de post-traitement SCR s’imposent au détriment des autres dispositifs précité, notamment dans la production des engins terrestres à moteurs thermiques. Ce dispositif SCR consiste à réduire les émissions oxydes d’azotes (Nox) au moyen d’un catalyseur contenant du platine et du palladium, lequel est mis en présence d’ammoniaque gazeux. Pour obtenir cette ammoniac gazeux, la méthode la plus répandue consiste à vaporiser une solution aqueuse d’urée, laquelle solution est portée à une température comprise entre 200°C et 400°C et introduite en amont du système de type SCR. C’est le dispositif plus connu sous le nom de « AdBlue » (marque déposée), un dispositif breveté et largement répandu, majoritairement utilisé tant par les particuliers que les professionnels. Cette solution d’urée (plus connue sous le nom d’AdBlue) est une solution liquide spécialement conçue pour les véhicules fonctionnant au gazole. Elle est composée à 32,5% d’urée et à 67,5% d’eau déminéralisée et répond à la norme ISO 2241-1.
US 5489419 décrit un procédé pour diminuer les polluants générés lors de la combustion, plus particulièrement les NOx, par réduction sélective non-catalytique (SNCR), au moyen d’un agent réducteur des NOx, en général l’urée, en solution aqueuse.
US 5645756 propose d’améliorer la fiabilité des appareils mis en contact avec des solutions aqueuses d’urée, préparées avec de l’eau présentant une dureté non négligeable, due à la présence, par exemple, d’ions calcium, magnésium, carbonate.
WO 00/75643 décrit une méthode pour contrôler la quantité d’une solution d’urée mise en oeuvre dans un système destiné à réduire les NOx, notamment dans un procédé de combustion avec réduction sélective catalytique (SCR). Cette méthode consiste à incorporer un traceur fluorescent dans la solution d’urée et à suivre l’évolution du signal en fonction du temps, ce traceur fluorescent pouvant par ailleurs avoir des propriétés tensioactives.
La méthode qui consiste à vaporiser une solution aqueuse d’urée, portée à une température comprise entre 200°C et 400°C et introduite en amont du système de type SCR (plus connue sous le nom « AdBlue »), qui résulte des brevets ci avant rappelé, est en usage obligatoire depuis 2006 sur les poids lourds, puis facultativement sur les véhicules légers particuliers et utilitaires depuis plus d’une dizaine d’années. Ce dispositif s’est largement généralisé au point que la plupart des constructeurs automobiles proposent désormais, dans leur catalogue, au moins un véhicule l’intégrant.
La généralisation ci-dessus décrite de ce dispositif permet de disposer désormais d’un retour d’expérience sur son usage. Ce retour d’expérience permet de mettre en lumière des inconvénients de fonctionnement qui n’avaient pas pu être anticipés lors de sa mise au point.
L’inconvénient récurrent le plus constaté par les constructeurs d’engin à moteurs thermiques alimentés par un carburant diesel consiste en l’apparition de dépôts dans les conduites d’échappement avant l’entrée du SCR. Ces dépôts peuvent être suffisamment importants pour provoquer une obturation partielle, voire totale, du conduit d’échappement et créer ainsi des pertes de rendement des moteurs, voir entrainer leur conséquente détérioration ou destruction.
L’expérience nous apprend qu’à configuration d’injection constante, la quantité de dépôts formés est plus grande à basses températures. Ces dépôts, analysés par les constructeurs saisis de leurs retours négatifs clients, se composent d’acide cyanurique cristallisé. Des gouttes de solution d’urée de type « AdBlue » se déposent sur des parties « froides » du circuit de filtration des gaz d’échappement. Celles-ci, n’étant pas vaporisées ou séchées du fait de la température insuffisante de la surface sur laquelle elles se fixes, s’agglomèrent (coalescence) et forment un dépôt liquide de plus grande surface et donc plus adhérent. Du fait de la température insuffisante de la surface de contact, ses résidus ammoniaqués se décomposent imparfaitement et produisent de l’acide cyanurique qui, avec le temps, cristallise.
Cet acide cyanurique peut certes se sublimer et produire à nouveau de l’ammoniaque gazeux mais cette réaction ne peut se produire qu’à très haute température soit plus de 450°C. Malheureusement une telle température peut rarement être atteinte dans l’intégralité des conduites d’échappement et plus particulièrement dans les coudes des tubulures propices à la formation de ces dépôts d’acide cyanurique. Ces coudes sont inévitables et résultent de l’architecture de plus en plus complexe des véhicules et engins à moteurs thermiques modernes.
Le phénomène ci-dessus décrit se produit lorsque la distance séparant l’injection d’urée et le premier coude est trop courte. Ce type de configuration empêche une partie des gouttes d’urée d’avoir le temps suffisant de se vaporiser et de se décomposer totalement en ammoniaque gazeux. Elles stagnent alors sur la paroi du conduit qui est à une température trop « froide » et empêche la décomposition complète en ammoniaque gazeux. Il se forme alors des dépôts d’acide cyanurique qui adhèrent à la paroi. Couche par couche, il se forme, avec le temps, un bouchon.
Lorsque les anomalies de fonctionnement du moteur se font ressentir ou sont détectées par le système de diagnostic et de maintenance du véhicule, il est souvent trop tard. Le bouchon est trop important pour être « dissout » et une intervention couteuse s’avère nécessaire pour restaurer le fonctionnement du véhicule.
La seule solution de l’art antérieur, actuellement disponible pour faire face à la problématique identifiée plus haut, consiste à produire une solution d’urée « AdBlue » à laquelle on ajoute, durant le processus de production, un ingrédient la famille des alcools polyalcoxylés ayant des groupements éthoxylés et/ou propoxylés. Cet ajout en cours de production a pour résultat la fabrication d’une solution d’urée qui n’est plus de l’« AdBlue ». En effet cette solution d’urée contient un ingrédient supplémentaire. La seule fonction de ce seul ingrédient est uniquement de faciliter la vaporisation la solution d’urée et limiter corrélativement la formation d’acide cyanurique sur les parties froides évoquées plus haut.
Cette solution de l’art antérieur présente plusieurs inconvénients majeurs. Premièrement, bien que sa composition soit identique à celle de l’ « AdBlue » à plus de 99%, elle ne répond plus à aucune norme et notamment la norme ISO 2241-1. Son inventeur la présente commercialement comme alternative concurrente à l’« AdBlue ». Il en résulte qu’elle ne peut disposer du réseau de distribution mondialement étendu de l’« AdBlue ». Cette solution de l’art antérieur se trouve donc trop faiblement disponible pour pouvoir être accessible à un utilisateur, particulier ou professionnel, lambda. Cet utilisateur ne se trouve pas en mesure de mettre en place une action préventive constante et donc efficace. Il est très difficile de prévoir avec exactitude quand un plein ou un appoint de solution d’urée conforme à la norme ISO 22241-1 (« AdBlue ») doit être fait et par conséquent où l’on se trouvera quand ce besoin se fera ressentir. Ajoutons à ce qui précède que la solution de l’art antérieur contraint l’utilisateur professionnel à se fournir auprès d’un unique fournisseur ce qui l’oblige à dénoncer les contrats commerciaux conclus avec ses fournisseurs antérieurs et l’expose à une perte de maîtrise de ses coûts d’achats.
En second lieu le dispositif, ci avant repris dans la description de l’art antérieur, l’ »AdBlue », consiste en une solution aqueuse d’urée exclusivement composée d’ingrédients organiques dont la fonction est de réduire l’émission des substances chimiques nocives pour l’environnement issues des gaz d’échappement. Or la solution de l’art antérieur, ci-avant décrite, introduit dans une solution entièrement organique un composant chimique issu pour réduire les formations d’acide cyanurique. On introduit un produit potentiellement polluant, à faible biodégradabilité, pour « améliorer » les performances d’une solution dépolluante. Il y a là une réelle contradiction et un contre-emploi problématique.
Une autre problématique est soulevée par la méthode la plus répandue consistant à vaporiser une solution aqueuse d’urée, portée à une température comprise entre 200°C et 400°C et introduite en amont du système de type SCR (« AdBlue »). Cette problématique résulte de la stagnation de cette solution dans les tubulures et son réservoir de stockage, durant de plus ou moins longues périodes d’inutilisation du véhicule terrestre à moteur. Or le retour d’expérience d’utilisation de cette méthode montre que les conséquences de cette stagnation peuvent entrainer des disfonctionnements des systèmes ci-dessus décrits et notamment un grippage ou un bouchage de l’injecteur chargé de pulvériser la solution. Ces phénomènes de grippage et de bouchage étant générés par les contaminants se créant durant les longues périodes d’inutilisation. Les réparations de ce genre d’avarie peuvent se révéler couteuses.
Les politiques actuelles de transport des grandes villes et des ensembles périurbains encouragent les usagers à ne pas systématiquement faire usage quotidiennement de leur véhicule à moteur thermique, notamment diesel, durant leur semaine de travail, et privilégier des méthodes alternatives de déplacement telles que l’utilisation des transports en commun, le co-voiturage ou encore les moyens de transport non-polluants tels que le vélo ou un véhicule électrique à usage urbain. Ce qui précède entraîne donc des périodes, plus ou moins longues, d’arrêt du véhicule équipé du système d’injection d’une solution d’urée. Une absence d’utilisation entraîne une absence de circulation de la solution d’urée et donc une stagnation pouvant entrainer la formation de mousse, de moisissure, une prolifération bactérienne et fongique, mais aussi des paillettes de givre lorsque la température extérieure est basse. Tous les véhicules ne sont pas stockés en garage fermé et encore moins chauffé. La problématique ci avant exposée n’a pas pu être prise en compte lors du développement de la méthode la plus répandue consistant à vaporiser une solution aqueuse d’urée, portée à une température comprise entre 200°C et 400°C et introduite en amont du système de type SCR (« AdBlue »). En premier lieu, parce que ce dispositif s’adressait à ses débuts aux tracteurs routiers, lesquels par nature n’ont pas vocation à rester inemployés durant de longues périodes. En second lieu, parce que lors de sa généralisation d’emploi dans les véhicules légers, particuliers et utilitaires, les politiques d’alternatives à l’usage de ses véhicules n’étaient encore que balbutiantes ou inexistantes. Il n’existe à ce jour aucun document de l’art antérieur offrant une solution quelconque à cette problématique nouvelle.
Il résulte de ce qui précède la nécessité d’une solution simple permettant à l’utilisateur d’un engin équipé d’un dispositif consistant à vaporiser une solution aqueuse d’urée, portée à une température comprise entre 200°C et 400°C et introduite en amont du système de type SCR (« AdBlue ») de mettre en place une action préventive constante, et donc efficace, jugulant les problématiques nouvelles liées à l’emploi de cette solution technique. Cette solution s’avère, plus que jamais, nécessaire le contexte actuel des politiques environnementales et de transport. Pour être efficace, la solution doit pouvoir être ajoutée à de l’« AdBlue » issu de n’importe quel fournisseur, être facilement stockable sans contrainte, être disponible en toute circonstance et en tout lieu, être obligatoirement respectueuse de l’environnement, ne pas requérir de connaissances techniques particulières pour s’en servir et ne pas être dangereuse pour un utilisateur, même profane. Cette solution n’existe pas dans l’art antérieur.
Présentation de l’invention
L’invention se présente sous la forme d’une solution concentrée, pouvant le cas échant être teintée, en bleu par exemple, au moyen d’un colorant neutre. 2 litres de l’invention permettent de traiter 1000 litres d’une solution d’urée de type « AdBlue » sans en altérer les propriétés premières ni contrevenir aux prescriptions de la norme ISO 2241-1. L’invention préviendra la formation de « bouchon » d’acide cyanurique, l’apparition de mousses, de champignons, de bactéries et retardera les phénomènes de givrage qui se produisent dans les conduits et injecteurs en cas d’arrêt prolongé du véhicule, notamment par temps froid. L’invention prévient donc la formation des contaminants actuellement connus du dispositif SCR. Ces contaminants agissent comme des « poisons » de l’ensemble du dispositif SCR et peuvent entraîner sa détérioration ou sa destruction, ou encore la détérioration ou la destruction des périphériques nécessaires à son maintien dans une condition de fonctionnement optimal. L’invention peut être aisément manipulée par un utilisateur profane. La formulation de l’invention, d’origine naturelle à plus de 99%, la rend facilement biodégradable ( ) et sans écotoxicité (voir tableaux 4 et 5).
L’invention se compose comme suit, à savoir :
1 – 70.000 à 90.000 ppm d’un composant, d’origine végétale, la préférence de l’inventeur se portant sur les alkylpolyglucosides. Ce composant augmentera la vaporisation de l’ammoniac gazeux à l’injection et limitera, idéalement, de 80% au minimum les formations de dépôts à base d’acide cyanurique sur les parois « froides » dans les dispositifs SCR. Ce qui précède est obtenu par diminution de la tension de surface de la solution d’urée dans laquelle le sus dit composant est ajouté au moyen de l’invention. La diminution de la tension de surface est la caractéristique prédominante pour établir l’efficacité de l’invention contre la formation de « bouchons » d’acide cyanurique. La tension de surface d’une solution d’urée de type « AdBlue » est de 45 nN/m. L’invention présente une tension de surface sensiblement inférieure à 30 mN/m, (tableau 2). Il est à noter que l’invention introduite dans une solution d’urée de type « AdBlue » porte la tension de surface de cette solution à sensiblement moins que 29 mN/m (Tableau 3). L’invention diminue donc de plus d’un tiers la tension de surface d’une solution d’urée de type « AdBlue ». Les alkylpolyglucosides étant d’origine naturelle, ils permettent à l’invention d’être facilement biodégradable et sans écotoxicité.
2 – 10 à 100 ppm d’un anti-mousse et moisissure, la préférence de l’inventeur se portant sur le polysiloxanes, ou tout autre composé équivalent dont l’impact sur l’environnement et la santé, dans le dosage retenu, est négligeable à nul. Ce composant préviendra efficacement la formation des mousses, moisissures et germes qui pourraient résulter de la stagnation de la solution d’urée (par exemple « AdBlue ») dans les conduites et le réservoir de stockage d’un engin à moteur thermique durant une période plus ou moins longue d’inutilisation.
3 – 20 à 2000 ppm d’un biocide et également antifongique, la préférence de l’inventeur se portant sur le 1,2-benzisothiazolin-3-one (BIT), ou tout autre composé équivalent dont l’impact sur l’environnement et la santé, dans le dosage retenu, est négligeable à nul. Ce composant préviendra efficacement la prolifération fongique et renforcera l’action du composant ci-dessus contre la prolifération des germes. Proliférations qui pourraient résulter de la stagnation de la solution d’urée (par exemple « AdBlue ») dans les conduites et le réservoir de stockage d’un engin à moteur thermique durant une période plus ou moins longue d’inutilisation.
4 – 1.000 à 100.000 ppm d’un retardant de givrage, la préférence de l’inventeur se portant sur l’Ethanol, ou tout autre composé équivalent dont l’impact sur l’environnement et la santé, dans le dosage retenu, est négligeable à nul. Ce composant retardera efficacement le givrage de la solution d’urée (par exemple « AdBlue ») dans les conduites et le réservoir de stockage d’un engin à moteur thermique durant une période plus ou moins longue d’inutilisation dans un environnement froid à très froid.
5 – 700.000 à 1.000.000 ppm d’un excipient, la préférence de l’inventeur se portant sur l’eau biosmosée ou à défaut désionisée, ou tout autre composé équivalent dont l’impact sur l’environnement et la santé, dans le dosage retenu, est négligeable à nul. Cet excipient désigne une substance qui n'est pas active. Son rôle est tout de même important puisqu’il confère à l’invention la forme aqueuse liquide. Le tout en évitant les interactions chimiques, notamment avec les principes actifs ci-dessus listés. L’eau désionisée équivaut à l’eau osmosée. Toutefois l'eau biosmosée est plus "pure" (ou possède moins de minéraux) que l'eau désionisée. La dureté de l'eau osmosée est de 0, à titre de comparaison, pour l'eau de robinet, on est à environ 60°F. Cette dureté dépend de la concentration en calcium et en magnésium.
Par ppm on entend, au sens large du terme, un milligramme par litre. Même s’il s’agit d’un abus du langage, car le litre (unité de volume) n’est pas équivalent au kilogramme (unité de masse), cet abus de langage est courant et admis par l’usage,. En outre, le ppm n’est pas une concentration mais un rapport, c’est-à-dire un quotient sans dimension, à l’instar d’un pourcentage.
La tension superficielle se mesure en millinewtons par mètre mN/m. On la définit comme la force qu'il faut appliquer à l'unité de longueur le long d'une ligne perpendiculaire à la surface d'un liquide en équilibre pour provoquer l'extension de cette surface, ou comme le travail exercé par cette force par unité de surface. Dans le cas d'une goutte d'un liquide A au sein d'un liquide B, l'énergie est minimale lorsque la surface est minimale. La forme correspondant à la plus petite surface possible est une sphère. C'est pour cette raison que les gouttes d'eau ont une forme proche de celle d’une sphère. Si deux gouttes se rencontrent, elles vont fusionner et ainsi former une seule goutte (coalescence), et ce pour minimiser la tension superficielle. Plus la tension de surface présente une valeur faible en mN/m moins les gouttes sont sujettes au phénomène de coalescence. L'énergie globale de l'interface ne dépend que de l'aire de l'interface, les gouttelettes de solution d’urée de type « AdBlue » ne s’agglomèrent pas à la surface du filtre SCR ou à la surface d’une tubulure, leur surface de contact (interface) est faible et le liquide ne stagne donc pas à la surface du dit filtre ou des tubulures ce qui empêche la formation de dépôt d’acide cyanurique susceptibles de cristalliser et donc créer des amas cristallins obstruant.
L’invention est préparée de manière usuelle par mélange de ses constituants, de préférence à température ambiante, typiquement dans une plage de température allant en générale de 10 à 60 °C.
Les composants solubles dans l’eau, plus particulièrement à température ambiante, sont exclusivement utilisés.
Pour des raisons de rapidité et de facilité de mélange de l’invention à une solution d’urée de type « AdBlue », l’inventeur préfère éviter les composants pâteux et/ou solides qui pourraient altérer la forme aqueuse et la solubilité de l’invention.
De manière préférée, la solution utilisée pour l’invention permet à l’AdBlue auquel elle est mélangée de répondre à la norme ISO 22241-1 pour ce qui concerne les quantités indiquées dans le tableau 1 de ladite norme : aldéhydes, matière insoluble, phosphate, calcium, fer, cuivre, zinc, chrome, nickel, aluminium, sodium, potassium, et d’une manière générale ne contiennent pas tout élément et/ou composant en quantité telle qu’il est susceptible d’être un poison du catalyseur SCR.
Tableau 1 de la Norme ISO 22241-1 ci-dessus mentionné, « exemples de composants recommandés » :
Alliages d’acier à forte teneur en Cr-NI et Cr-Ni-Mo (Chrome nickel ou Chromomolybdène nickel, ndlr), par exemple en conformité avec EN 10088-1, EN 10088-2 et EN 10088-3 (Normes metallurgiques, Ndlr) ou acier 304 (S30400, acier utilisé en industrie automobile, Ndlr), 304L(S30403, idem ci-avant, Ndlr), 316 (S31600, idem ci-avant, Ndlr) et 316L (S31603, idem ci-avant, Ndlr) en accord avec ASTM 240, ASTM 276 et ASTM A312 (Normes régissant la composition des aciers Cr-Ni et Cr-Ni-Mo cités ci avant, Ndlr)
Titane
Alliages contenants : Ni-Mo-Cr-Mn-Cu-Si-Fe (Nickel, Molybdène, Chrome, Manganèse, Cuivre, Silicium, Fe, Ndlr) conformes à la norme ASTM 276
Polyéthylène sans composant
Polypropylène sans composant
Polyisobutylène sans composant
Perfluoroalkoxyl alkane, (PFA) sans composant
Polyfluoroéthylène (PFE) sans composant
Polyvinylidenefluoride (PVDF), sans composant
Ploytetrafluoroéthylène (PTFE) sans composant
Copolymères de Vinylidenefluoride, sans composant
Note 1 : la séquence ci-dessus ne constitue pas un classement de composants recommandés.

Note 2 : Les composants à base de plastique peuvent contenir une quantité de divers composants utilisés pour leur processus de fabrication ou aux fins de leur conférer des propriétés spécifiques. Ces composants peuvent contaminer AUS 32 (désignation du mélange d’urée, Ndlr). Pour cette raison, il est conseillé qu’un soin particulier soit accordé au test de contamination de AUS 32 par ces composants contenus dans les composants à base de plastique en contact direct avec AUS 32.
L’invention et ses composants ne doivent pas interagir avec les composants listés dans le tableau ci-dessus en quantités telles que l’invention ou ses composants sont susceptibles d’être un poison du catalyseur SCR.
L’inventeur retient une forme concentrée, autodosée au moyen de son contenant, de l’invention pour une plus grande stabilité, une utilisation sans perte par éclaboussure et sans erreur de dosage, ainsi qu’un stockage facile et peu encombrant. Les petits contenants permettront un stockage peu encombrant à bord du véhicule à moteur thermique concerné. L’utilisateur de l’invention se procure facilement dans le commerce une solution aqueuse d’urée de type « AdBlue », chez le revendeur ou le fabricant de son choix, ou dont il dispose, et peut, en tout lieu et en tout temps, la traiter dans une optique préventive efficace, sans interruption, et enfin sans changer ses habitudes d’achat ou encore de subir des contraintes supplémentaires d’approvisionnement. De plus grands contenants seront réservés à l’usage des professionnels de l’automobile ou des transporteurs routiers, par exemple.
Tableau 2 Mesure de tension de surface invention seule :
Echantillon Mesure 1 Mesure 2 Mesure 3 Moyenne
VG Blue 10073
PV-AS 22-0380-001
29,6 28,9 29,0 29,1
Les résultats montrent une bonne reproductibilité des valeurs relevées avec une tension de surface moyenne de29,1 mN/m.
Tableau 3 Mesure de tension de surface invention incorporée à l’AdBlue :
Echantillon Mesure 1 Mesure 2 Moyenne
AdBlue + 0.2% VGBlue PV-AS 22-0213 28,8 28,9 28,9
Les résultats montrent une bonne reproductibilité des valeurs relevées avec une tension de surface moyenne de 28,9 mN/m.
: Dans les conditions expérimentales du test :
Le produit VG Blue est considéré comme facilement biodégradable.
Le produit VG Blue est biodégradable à 93% après 28 jours de test.
La mention « facilement biodégradable » est applicable aux substances pures.
Tableau 4 ECOTOXICITE sur Daphnies :
Test Effet Descripteurs toxicologiques VG BLUE
Daphnies Immobilisation EC 100-24h > 100 mg/L
EC 50-24h > 100 mg/L
EC 20-24h > 100 mg/L
EC 10-24h > 100 mg/L
EC 0-24h 100 mg/L
Daphnies Immobilisation EC 100-48h > 100 mg/L
EC 50-48h > 100 mg/L
EC 20-48h > 100 mg/L
EC 10-48h > 100 mg/L
EC 0-48h 100 mg/L
Résultats en mg/L de VG BLUE pour letest d’immobilisation
Entre parenthèse : Intervalle de confiance à 95% des CErX % (si calculable)
ECOTOXICITE sur algues vertes unicellulaires NF EN ISO 8692, résultats des descripteurs toxicologiques
Test Effet Descripteur écotoxicologique VG BLUE
Algues Taux de croissance CEr50-72h > 100 mg/L
CEr20-72h > 100 mg/L
CEr10-72h > 100 mg/L
CSEO-72h 100 mg/L
Résultats en mg/L de VG BLUE pour le test d’inhibition de la croissance
Entre parenthèses : intervalle de confiance à 95 % des CErX % (si calculable)
Critères de validité
Taux de croissance moyen du témoin à 72 heures supérieur à 1.4 j-1(2.50 j-1)
Coefficient de variation du taux de croissance des solutions témoins inférieur à 5 % (2.51 %)
Variation du pH inférieure à 1,5 unité dans les récipients témoins après 72 heures d’incubation (-0.2 unité pH).
Substance de référence réalisée du 14 mars au 17 mars 2022 : (2.5 DCP) CE50r-72h = 3.9 mg/L (valeur conforme aux résultats précédemment obtenus par le laboratoire et comprise entre 2.08 mg/L et 4.68 mg/L – gamme acceptable de sensibilité des algues P.subcapitata comme définie dans la norme NF EN ISO 8692 : 2012).
En résumé :
L’invention consiste en une solution d’actifs mélangés dans de l’eau biosmosée, l’invention est un concentré, à diluer dans une solution d’urée technique employée dans les dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement pour la suppression des Nox, les actifs entrant dans sa composition ont pour fonction la diminution des amas cristallins d’acide cyanurique obstruant et détruisant le SCR, la diminution des amas bactériens qui constituent des contaminants nocifs pour dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement, la diminution des proliférations fongiques qui constituent des contaminants nocifs pour dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement et la diminution de la formation des paillettes de givre ou les amas de glace obstruant et détruisant le SCR et constituant des contaminants nocifs pour dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement, les composants de l’invention permettent la biodégradabilité et l’absence d’écotoxicité de l’invention, que l’invention soit considérée seule sous sa forme concentrée ou diluée dans une solution d’urée technique, le conditionnement de l’invention permet un dosage simple respectant les règles de dilution dans une solution d’urée technique.
L’invention est donc une solution liquide concentrée destinée à être diluée facilement dans n’importe quelle solution aqueuse d’urée répondant à la Norme ISO 22241-1, laquelle solution d’urée est portée à une température comprise entre 200°C et 400°C et introduite et vaporisée, au moyen d’un injecteur, en amont du système de type SCR de post traitement des gaz d’échappement équipant les moteurs fonctionnant au gazole ou diesel. L’invention est obtenue en mélangeant dans de l’eau biosmosée ou, à défaut, désionisée, constituant un excipient aqueux dépourvu d’impureté, un premier composant dont la fonction est de diminuer la tension de surface d’une solution dans laquelle il est directement ou indirectement introduit, ce composant présente obligatoirement le même degrés de biodégradabilité et d’absence d’écotoxicité qu’un composé d’origine végétale, un composant dont la fonction est de retarder la formation de mousse, végétaux pionniers et moisissure, un composant dont la fonction est de retarder la formation d’organismes du règne des fungi ou mycètes ou encore mycota, et d’un composant dont la fonction est, une fois ajouté à un liquide, même en présence d’une forte dilution, de le rendre congelable à un degré inférieur. L’ensemble des composants et de l’excipient constituant l’invention devra, sous la forme concentrée, ou dilué dans une solution d’urée technique, être biodégradable et non ecotoxique.
L’invention est une solution selon la revendication l’un des modes de réalisation précédents qui se caractérise en ce que sa composition présente une biodégradabilité et une non-écotoxicité comparable à un composé d’origine végétale et une diminution de la tension de surface supérieure ou égale à celle générée par un composé chimique non biodégradable et ou écotoxique.
L’invention est une solution revendication l’un des modes de réalisation précédents qui se caractérise en ce qu’elle se présente sous la forme d’une solution liquide concentrée à diluer, à raison de 2 litres de l’invention pour traiter 1000 litres d’une solution d’urée technique répondant à la Norme ISO 22241-1, l’invention, par sa concentration, présente donc un volume très faible par rapport à la quantité de solution d’urée technique à traiter, est donc facile à stocker, peu encombrante, peut être aisément transportée à bord d’un engin à moteur thermique diesel équipé du système SCR,
L’invention n’altère pas et ne modifie pas l’action de la solution d’urée répondant à la Norme ISO 22241-1 et n’altère pas et ne modifie pas le fonctionnement normal du système SCR.
Solution concentrée à haut rendement dans lequel la solution aqueuse est telle que définie revendication l’un des modes de réalisation précédents.

Claims (3)

  1. Solution concentrée, à diluer dans une solution d’urée technique employée dans les dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement pour la suppression des Nox caractérisé en ce qu’elle consiste en une solution d’actifs mélangés dans de l’eau biosmosée, la solution concentrée se composant comme suit :
    • 70.000 à 90.000 ppm d’un composant, d’origine végétale, choisi parmi les alkylpolyglucosides.
    • 10 à 100 ppm d’un anti-mousse et moisissure, de préférence de types polysiloxanes,
    • 20 à 2000 ppm d’un biocide et également antifongique, de préférence le 1,2-benzisothiazolin-3-one (BIT), ou tout autre composé équivalent
    • 1.000 à 100.000 ppm d’un retardant de givrage
    • 700.000 à 1.000.000 ppm d’un excipient, de préférence de l’eau biosmosée ou à défaut désionisée.
  2. Procédé pour la suppression des NOX dans les dispositifs de post-traitement des gaz d’échappement caractérisé en ce qu’une solution concentrée selon la revendication 1est diluée, à raison de 2 litres pour traiter 1000 litres d’une solution d’urée technique répondant à la Norme ISO 22241-1 d’un engin à moteur thermique diesel équipé du système SCR.
  3. Procédé pour la préparation d’une solution concentrée selon la revendication n° 1 caractérisée en ce que l’invention est conditionnée dans un flacon auto doseur, permettant la conservation de l’invention à bord de l’engin motorisé diesel et un dosage facile, conformément à la revendication n°2.
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