FR3113418A3 - Système de fixation d’un dormant de menuiserie et procédé de fixation d’un dormant l’utilisant - Google Patents

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Abstract

Système de fixation d’un dormant de menuiserie apte à fixer ledit dormant à une partie de mur (M0) autour d’une ouverture destinée à recevoir la menuiserie, comprenant au moins dispositif de fixation comportant au moins deux éléments de fixation séparés solidarisables entre eux, et l’un desdits deux éléments est une patte de fixation (1) configurée pour s’adapter et se fixer au dormant, et l’autre élément est une équerre de fixation (2) comprenant une aile de fixation (21) et une aile d’ancrage (22) s’étendant dans des plans différents, ladite patte de fixation (1) ayant une forme globalement allongée et comprenant une partie arrière apte à se fixer audit dormant, et une partie avant (12) apte à recevoir ladite aile de fixation (21) de ladite équerre, lesdits éléments (1, 2) se solidarisant entre eux de manière réglable au moins selon la direction (H) de la hauteur du dispositif. Figure à publier avec l’abrégé : Fig.5

Description

Système de fixation d’un dormant de menuiserie et procédé de fixation d’un dormant l’utilisant
L’invention concerne un système de fixation d’un dormant d’une menuiserie de type fenêtre et/ou porte à fixer au niveau d’une ouverture d’un bâtiment, en particulier pour une fixation sur mur nu. Elle concerne aussi un procédé de fixation d’un dormant de menuiserie.
Une menuiserie de type fenêtre et/ou porte comprend usuellement un dormant qui forme le bâti fixe encadrant le vantail ou les vantaux de la fenêtre ou porte. Le dormant est fixé à une partie de mur, c’est-à-dire à la face d’ancrage de la partie maçonnée autour d’une ouverture réalisée dans l’épaisseur dudit mur et destinée à recevoir la menuiserie. Selon l’art antérieur, le dormant se fixe par des dispositifs de fixation disposés sur son pourtour et qui ont classiquement une forme d’équerre à deux ailes, le dormant étant fixé à l’une des ailes et l’autre des ailes se fixant à la face d’ancrage du mur.
Il est en outre usuel d’utiliser des clameaux, petites pièces de fixation qui sont nécessaires pour le maintien des équerres de fixation au dormant de la menuiserie et permettent un réglage. En général, les clameaux sont montés en usine sur le dormant par exemple en les glissant dans une rainure du profilé de dormant, ou en accessoires dans la boite de quincaillerie, dans ce cas ils seront positionnés sur chantier. Des recommandations, souvent requises par réglementation, demandent à ce que les clameaux et les dispositifs de fixation soient positionnés sur les dormants sur chantier lors de l’installation des menuiseries à un bâtiment. Ceci requiert de la part du poseur une connaissance approfondie de la réglementation ou du cahier des charges, pour le bon emplacement des dispositifs de fixation, par exemple selon les règles de l’art édictées par les DTU français (Documents Techniques Unifiés).
Un autre inconvénient de ces clameaux et des dispositifs de fixation posés en usine est que leur présence sur les dormants fait saillie et empêche une manipulation et un transport aisés des dormants/menuiseries.
Un autre inconvénient est la contrainte d’avoir des clameaux parfaitement dimensionnés pour ne pas qu’ils se désolidarisent ou glissent du dormant lors du transport, du fait des vibrations générées lors de ce transport.
Par ailleurs des recommandations, souvent obligatoires par réglementation, ayant trait à la pose d’une menuiserie et/ou à l’isolation thermique des bâtiments imposent des contraintes de fixation des dormants de menuiseries à respecter.
Une de ces recommandations requiert notamment que le point d’ancrage du dispositif de fixation à la face d’ancrage du mur respecte une distance donnée par rapport au tableau, ou autrement dit que la distance entre le point d’ancrage du dispositif sur la face d’ancrage du mur et l’arête du mur (avec la face du tableau), distance qu’on appellera profondeur d’ancrage du dispositif de fixation, dans la suite de la description, soit conforme à une distance requise.
Une autre recommandation requiert le respect d’une cote minimale pour l’espacement à réserver entre la face d’ancrage du mur et le chant du dormant qui y repose pour garantir la bonne mise en œuvre de garnitures d’étanchéité, cote qu’on appellera épaisseur de calfeutrement dans la suite de la description.
Si la recommandation relative à la profondeur d’ancrage est assez bien respectée lors de la fixation de dormant sur mur nu, la recommandation relative à l’épaisseur de calfeutrement est souvent mal respectée.
En outre les équerres de fixation sont classiquement en métal, matériau qui n’a pas de propriétés isolantes thermiquement, et elles créent des ponts thermiques dans l’isolation. Pour palier cet inconvénient, l’ajout de cales de rupture thermique peuvent être exigées par réglementation, toutefois on constate que ces cales ne sont pas toujours mises en œuvre.
L’invention vise à résoudre au moins en partie les inconvénients des dispositifs de fixation de l’art antérieur. Le but général de l’invention est de fournir un système de fixation d’une menuiserie qui facilite la pose du dormant de menuiserie. Un but particulier est de faciliter le transport et la manipulation des dormants/menuiseries depuis l’usine jusque sur les chantiers où les dormants/menuiseries seront à installer. Un autre but particulier de l’invention est de faciliter le respect des recommandations usuelles relatives à la pose évoquées ci-dessus, souvent obligatoires par réglementation, en particulier celle ayant trait à l’épaisseur de calfeutrement.
A cet effet, l’invention propose un système de fixation d’un dormant de menuiserie du type fenêtre et/ou porte apte à fixer ledit dormant à une face d’ancrage d’un mur au niveau d’une ouverture destinée à recevoir la menuiserie, ledit système comprenant un dispositif de fixation comportant au moins deux éléments de fixation séparés solidarisables entre eux, l’un desdits deux éléments étant une patte de fixation configurée pour s’adapter et se fixer au dormant, et l’autre élément étant une équerre de fixation comprenant une aile de fixation et une aile d’ancrage s’étendant dans des plans différents, ladite patte de fixation ayant une forme globalement allongée et comprenant une partie arrière apte à se fixer audit dormant, et une partie avant apte à recevoir ladite aile de fixation de ladite équerre, lesdits éléments se solidarisant entre eux de manière réglable au moins selon la direction de la hauteur du dispositif.
Selon un mode de réalisation préféré de l’invention, ladite partie avant de ladite patte de fixation comporte des moyens de réglage et de maintien, et que ladite aile de fixation comporte au moins en sa face arrière des moyens de réglage et de maintien, lesdits moyens de réglage et de maintien respectifs desdits deux éléments de fixation coopérant entre eux selon la direction de la hauteur du dispositif, en particulier par compression lors de leurs mises en contact.
En particulier lesdits moyens de réglage et de maintien sont constitués d’une pluralité de dentures transversales s’étendant selon la hauteur du dispositif sur au moins une partie de la surface d’une part de la face arrière de ladite aile de fixation et d’autre part de la face avant de ladite partie avant de ladite patte de fixation.
Selon un mode de réalisation préféré de l’invention, lesdites ailes de l’équerre s’étendent dans des plans sensiblement perpendiculaires entre eux, et une portion de jonction entre lesdites ailes s’étend dans un plan incliné par rapport auxdits plans respectifs desdites ailes.
Selon un mode de réalisation préféré de l’invention, lesdits deux éléments de fixation sont en un matériau ayant des propriétés isolantes thermiquement, et le cas échéant ledit matériau comprend en outre des éléments de renfort mécanique, par exemple des fibres de verre.
Selon un mode de réalisation avantageux de l’invention, ledit système de fixation comprend au moins un accessoire d’aide à la fixation du dormant constitué d’une cale d’espacement comprenant au moins une portion de hauteur déterminée en fonction d’une valeur d’épaisseur de calfeutrement requise, et ladite cale étant apte à se solidariser temporairement à ladite équerre de fixation dudit dispositif de fixation sous l’aile d’ancrage de ladite équerre de fixation.
Selon un mode de réalisation particulier de l’invention ladite cale d’espacement comprend une semelle munie de glissières latérales de guidage présentant chacune un rebord longitudinal permettant de retenir temporairement ladite équerre par l’aile d’ancrage de ladite équerre et de la guider en translation. Ladite aile vient ainsi reposer en sa face inférieure sur la face supérieure de la semelle.
De préférence ladite portion de hauteur déterminée de la cale s’étend de la face supérieure que comprend la semelle à la face supérieure que comprennent respectivement lesdits rebords longitudinaux.
L’invention a aussi pour objet un procédé de fixation d’un dormant de menuiserie à une face d’ancrage d’un mur autour d’une ouverture destinée à recevoir la menuiserie, dans lequel on utilise au moins un système de fixation tel que défini précédemment, ledit procédé comportant une étape préalable en usine dans laquelle on fixe la patte de fixation au dormant , et une étape suivante sur chantier dans laquelle on fixe l’équerre de fixation par son aile de fixation à ladite patte de fixation préfixée au dormant.
Dans un mode de réalisation avantageux dudit procédé, on utilise au moins un système de fixation avec une cale d’espacement, et avant de réaliser la fixation de ladite l’équerre de fixation par son aile de fixation à ladite patte de fixation préfixée au dormant, on solidarise temporairement la cale d’espacement à ladite équerre de fixation en la glissant et maintenant sous l’aile d’ancrage de ladite équerre de fixation, puis on positionne l’assemblage cale et équerre au droit de la patte de fixation préfixée au dormant et jusqu’à ce que la face arrière de ladite aile de fixation vienne en butée contre la partie avant de ladite patte de fixation et de manière à ce que la face supérieure que présente ladite portion de hauteur déterminée de la cale, en particulier au niveau desdits rebords longitudinaux de ladite cale, vienne en contact sous le chant d’appui du dormant (afin que ledit chant d’appui repose sur la face supérieure que comprend ladite portion de cale) de manière à réserver un espacement entre la face d’ancrage du mur et le chant d’appui du dormant d’une cote sensiblement égale à une épaisseur de calfeutrement requise, par exemple telle que préconisée par une réglementation de type DTU ou un cahier des charges. Ensuite on réalise la fixation de l’aile de fixation de l’équerre de fixation à la patte de fixation, par exemple à l’aide d’un moyen de fixation tel qu’une vis, puis on retire ladite cale d’espacement en la désolidarisant de ladite aile d’ancrage de l’équerre de fixation.
On entend par chant d’appui du dormant, la partie du dormant qui viendra en appui sur la face d’ancrage du mur, le cas échéant via la garniture d’étanchéité.
En particulier ce procédé comprend une étape suivante dans laquelle on réalise la fixation de ladite aile d’ancrage de l’équerre de fixation à la face d’ancrage du mur.
D’autres particularités et avantages de l’invention ressortiront à la lecture de la description faite ci-après d’un mode de réalisation particulier de l’invention, donné à titre indicatif mais non limitatif, en référence aux dessins annexés pour lesquels :
est un vue en perspective d’une équerre de fixation d’un dispositif de fixation de dormant d’un système de fixation selon l’invention, vue de trois-quarts depuis sa face arrière, qui coopère avec la patte de fixation du dispositif illustrée sur les figures 2, 4 ou 5 suivantes;
représente schématiquement, suivant une vue partielle et en perspective, une étape d’un procédé de fixation d’un dormant utilisant le système de fixation selon l’invention, dans laquelle on assemble une patte de fixation du dispositif de fixation de dormant et un profilé de dormant;
représente schématiquement, suivant une vue en perspective, la préparation de l’équerre de fixation illustrée en figure 1 avec une cale d’espacement du système de fixation selon l’invention, dans le but de les solidariser entre elles temporairement comme illustré en figure 3A, dans une étape préalable à la fixation de l’équerre à la patte de fixation précédemment fixée audit dormant (figure 2) ;
représente suivant une vue perspective, l’assemblage temporaire d’une équerre de fixation avec une cale d’espacement du système de fixation selon l’invention ;
illustre schématiquement, suivant une vue partielle et en perspective, une étape du procédé de fixation du dormant en installant l’équerre de fixation et la cale d’espacement solidarisées entre elles temporairement, en vue de positionner l’équerre par rapport à la patte de fixation préfixée, et en outre de régler l’épaisseur de calfeutrement à une valeur requise ;
illustre schématiquement suivant une vue partielle et en perspective, une étape de fixation du dormant en ancrant l’équerre de fixation, fixée au dormant, sur une face d’ancrage du mur récepteur du dormant.
Les orientations exprimées dans la description des figures sont données en référence à un trièdre LTH dans lequel L représente la direction longitudinale du dispositif de fixation, T la direction transversale du dispositif, et H représente la direction suivant la hauteur du dispositif de fixation.
Les notions d’arrière ou d’avant sont respectives au dispositif dans sa fixation par rapport au dormant, la notion d’arrière concernant une partie ou face tournée vers le dormant, et par conséquent la notion d’avant étant orientée à l’opposé. Autrement dit l’orientation d’arrière vers l’avant correspond à l’orientation de l’axe longitudinal L porté sur les figures.
Les figures 1 à 5 vont être décrites ensemble. Le système de fixation selon l’invention comprend un dispositif de fixation selon cet exemple comportant deux éléments de fixation séparés se solidarisant entre eux de manière réglable lors de la fixation du dormant de menuiserie à la face d’ancrage M0 du mur autour de l’ouverture dans laquelle sera installée la menuiserie. Lesdits deux éléments de fixation sont constitués d’une patte de fixation 1 et d’une équerre de fixation 2 à deux ailes.
La figure 1 représente une équerre de fixation 2 du dispositif de fixation de dormant, coopérant avec la patte de fixation 1 du dispositif se fixant au dormant, représentée sur les figures 2, 4 ou 5.
Les figures 2 à 5 illustrent des étapes principales du procédé de fixation d’un dormant de menuiserie D utilisant le système de fixation selon l’invention. Les figures n’illustrent toutefois que partiellement la fixation du dormant, plusieurs dispositifs de fixation étant répartis sur les différents montants qui composent le dormant.
La patte de fixation 1 est sensiblement plane, sans parties saillantes après sa fixation au dormant D (voir par exemple Fig.2). Elle a une forme globalement allongée (direction H). Elle comporte deux parties : une partie avant 12, sensiblement parallélépipédique, à laquelle se fixera l’équerre de fixation, et une partie arrière 11 configurée pour s’emboiter dans une rainure du profilé qui forme le montant de dormant D.
Ladite partie arrière 12 peut être aussi configurée pour être mobile en translation suivant ladite rainure de profilé afin de pouvoir placer ladite patte de fixation à la position adéquate lors de la fixation du dormant sur le mur.
Le figure 2 montre une patte de fixation 1 en train d’être fixée au dormant, et à côté une patte de fixation 1 une fois fixée au dormant. Ladite partie avant 12 présente une face dite arrière, face qui se trouve tournée vers le dormant quand la patte y est fixée, et de l’autre côté, une face dite avant. Ladite patte 1 comprend un premier moyen de fixation du dormant, par exemple un trou de fixation traversant 10, logé dans un évidement 100 creusé dans la masse de ladite partie avant de la patte. Ledit trou de fixation 10 s’associe à un moyen complémentaire de fixation pour pouvoir fixer ladite patte au dormant, par exemple une vis de fixation 105, ledit trou étant logé dans ledit évidement 100 de manière à ce que la tête de la vis de fixation 105 au dormant ne vienne pas en saillie à la surface de ladite patte.
Sur sa face avant, ladite partie avant 12 de ladite patte 1 comporte des moyens de réglage et de maintien 120 aptes à coopérer avec des moyens complémentaires de maintien et de réglage 2110 à l’arrière de l’équerre 2 représentée sur la figure 1. Selon l’exemple, lesdits moyens de réglage et de maintien 120 de la patte se présentent sous forme d’une pluralité de dentures transversales (direction T) disposées en série suivant la hauteur (direction H) de la patte 1, et qui sont aptes à s’imbriquer avec la pluralité de dentures complémentaires 2110 portées au dos de l’équerre 2 en coopérant par compression.
La hauteur du dormant étant choisie en fonction de l’épaisseur d’isolant et du parement éventuel, qui sera/seront appliqués sur le mur ultérieurement à la pose du dormant, ladite patte de fixation 1 est dimensionnée en fonction du dormant à fixer, notamment sa hauteur (direction H) est adaptée à la hauteur du dormant.
Cette patte de fixation 1 est fixée de préférence sur le dormant D, en usine, donc dans une étape préalable à l’installation sur chantier des dormants/menuiseries (avec dormant intégré en général). La forme plane, sans parties saillantes, de ladite patte de fixation 1 permet une manipulation et un transport en nombre aisés des menuiseries avec dormants munis desdites pattes de fixation 1, ou le cas échéant des dormants seuls munis desdites pattes de fixation 1.
L’équerre de fixation 2, représentée seule sur la figure 1, se fixe d’une part à la patte de fixation 1 du dispositif et d’autre part à la face d’ancrage M0 du mur (Fig. 5). Elle comprend une aile de fixation 21 et une aile d’ancrage 22 s’étendant dans deux plans différents, qui sont généralement comme selon l’exemple sensiblement perpendiculaires entre eux. L’aile de fixation 21 est orientée principalement suivant la direction de la hauteur H du dispositif, elle s’étend ainsi dans le plan TH. Elle se solidarise à la patte de fixation 1. L’aile d’ancrage 22 est orientée principalement suivant la direction longitudinale L du dispositif, elle s’étend ainsi dans le plan LT. Elle se solidarise à la face d’ancrage M0 du mur (Fig. 5).
Ladite aile de fixation 21 est apte à se fixer à la patte de fixation 1, grâce à des moyens de fixation, selon l’exemple un trou de fixation traversant 210, de forme allongée, et un moyen de fixation complémentaire adapté, telle qu’une vis 205. Ledit trou de fixation 210 que comporte ladite aille 21, s’associe à un moyen complémentaire de fixation, par exemple une vis de fixation 205 pouvant s’y insérer, pour fixer ladite aile de fixation à la patte de fixation 1, sa face arrière 211 venant en contact contre la face avant de ladite patte de fixation 1 lors de la fixation du dormant. Comme évoqué précédemment, pour réaliser la fixation finale de l’équerre 2 à la patte de fixation 1 préfixée au dormant, sa position selon la direction de la hauteur du dispositif (direction H) est ajustée par rapport à ladite patte de fixation 1. Comme évoqué précédemment, ladite face arrière 211 de l’aile de fixation 21 comporte des moyens de maintien et de réglage 2110 coopérant avec ceux 120 portés par la face avant de la partie avant 12 de ladite patte de fixation 1. Selon l’exemple, les moyens de maintien et de réglage 2110 portés en ladite face arrière 211 de l’aile 21 sont une pluralité de dentures transversales (direction T) disposées en série selon la hauteur (direction H) de l’aile de fixation 21, qui coopèrent par compression avec les dentures 120 de la patte de fixation 1, lorsque ladite aile de fixation 211 est en contact avec ladite patte de fixation 1 pour réaliser leur assemblage. En outre la forme allongée du trou de fixation 210 de ladite aile de fixation permet aussi d’ajuster la position selon la hauteur (direction H) de l’équerre de fixation 2 sur la patte de fixation 1.
L’aile d’ancrage 22 permet l’ancrage du dispositif de fixation, et donc du dormant, au mur. Cette aile 22 comprend un trou de fixation 220 coopérant avec un moyen de fixation, selon l’exemple une vis de fixation 225 associée à une cheville 2250 (fig. 5) , venant s’ancrer dans le mur. La fixation de ladite aile 22 peut par exemple se faire dans un orifice d’ancrage réalisé dans le mur, dans sa face d’ancrage M0, au préalable à la mise en place d’une cheville 2250 réceptrice de la vis de fixation 225. Ledit trou de fixation 220 que comprend ladite aile d’ancrage 22 a une forme allongée permettant d’ajuster la position de la fixation au point d’ancrage qui doit respecter une distance minimale requise, souvent réglementaire, par exemple une profondeur d’ancrage requise de 60 mm, par rapport au tableau (face M1), entourant l’ouverture à équiper de la menuiserie.
Selon l’exemple, ladite équerre de fixation 2 comprend en outre une zone de jonction 20 entre les ailes de fixation 21 et d’ancrage 22 qui présente une orientation inclinée par rapport aux plans respectifs des deux ailes, de manière à laisser suffisamment de place pour le dormant D à l’arrière de l’équerre en fonction de la configuration dudit dormant. L’équerre de fixation 2 peut s’adapter à tout dormant, puisqu’elle est conçue pour se fixer à la patte de fixation 1 qui elle est dédiée au dormant selon sa hauteur. Cette zone de jonction 20 est en outre renforcée notamment par une pluralité de nervures de renfort, de manière à ce que ladite équerre soit plus solide, notamment dans cette zone de changement de plans entre les deux ailes et qui doit supporter des contraintes mécaniques.
Les ailes de fixation 21 et d’ancrage 22 de l’équerre peuvent comporter en outre des moyens de renfort, selon l’exemple des nervures de renfort.
De plus, comme illustré aux figures 3, 3A et 4, dans le système de fixation selon l’exemple, en coopération avec l’équerre de fixation 2, est adjointe une cale d’espacement 3, formant un auxiliaire de fixation du dormant aidant à respecter la cote requise pour l’épaisseur de calfeutrement sous le dormant, afin de réserver l’espacement utile entre la face d’ancrage M0 du mur et le dormant pour la garniture d’étanchéité G qui sera disposée sous le chant d’appui D0 du dormant.
Selon l’exemple et tel qu’illustré aux figures 3 et 3A, ladite cale d’espacement 3 se solidarise temporairement, et donc réversiblement, à l’équerre de fixation 2. Ladite cale 3 comporte une semelle 30 sur laquelle on peut faire glisser longitudinalement (direction L) l’aile d’ancrage 22 de l’équerre de fixation 2. Ladite cale 3 comprend en outre deux glissières latérales 31, 32 de guidage et de retenue, qui bordent longitudinalement la semelle 30 entre lesquelles peut glisser ladite aile d’ancrage 22. Ladite aile d’ancrage 22 comporte des éléments en saillies latéraux 221, 222, de type ergots selon l’exemple, s’insérant suivant lesdites glissières 31, 32 de la cale 3. Lesdites glissières comportent des rebords longitudinaux 310, 320 de retenue qui permettent de retenir temporairement ladite aile d’ancrage 22 à la cale 3. La cale 3 est dimensionnée de manière à ce que, lorsque associée à l’équerre 2, les rebords longitudinaux 310 et 320 de ladite cale, au moins en partie proximale du dormant D, se glissent sous le chant d’appui du dormant D0, ou autrement dit que le chant d’appui du dormant soit posé en contact sur lesdits rebords longitudinaux 310, 320, dans le but qu’une réserve soit créée conformément à une épaisseur de calfeutrement requise pour la garniture d’étanchéité G à poser entre la face d’ancrage M0 du mur et le chant d’appui D0 du dormant venant reposer en appui sur cette garniture G et cette face du mur M0. Cette épaisseur de calfeutrement requise peut être par exemple de 5 mm. Pour ce faire, la cale d’espacement 3 peut être réalisée de sorte qu’elle présente une portion d’une hauteur déterminée « e » s’étendant entre la face supérieure de sa semelle 301 et la face supérieure de chaque rebord longitudinal 310, 320 qui sera égale à l’épaisseur requise, soit de 5 mm dans le cas de l’exemple.
A l’installation de la menuiserie, pour fixer le dormant D à la face d’ancrage M0 du mur, on solidarise temporairement la cale d’espacement 3 à l’équerre de fixation 2, en faisant glisser l’aile d’ancrage 22 de l’équerre 2 et la cale entre elles selon la flèche F représentée sur la figure 3 pour obtenir l’assemblage temporaire représenté en figure 3A.
Ensuite, comme illustré par la figure 4, on positionne l’équerre 2, solidarisée à la cale 3, au droit de la patte de fixation 1 préfixée au dormant D, tout en amenant la cale d’espacement 3, maintenue sous l’aile d’ancrage 22 de l’équerre 2, de manière à ce que les rebords longitudinaux 310 et 320 viennent en contact sous le chant d’appui D0 du dormant, afin de réserver l’épaisseur de calfeutrement requise pour la garniture d’étanchéité sous ledit chant d’appui du dormant, comme expliqué précédemment. Dans une étape suivante, on règle, comme explicité plus haut, la position de l’aile de fixation 21 de l’équerre 2 selon la hauteur du dispositif (direction H) par rapport à la patte de fixation 1 préfixée au dormant, puis on fixe ladite aile 21 à ladite patte de fixation 1 par un moyen de fixation, par exemple une vis 205, puis on retire la cale 3 en la faisant simplement glisser pour la désolidariser de l’équerre 2. Dans une étape suivante afin de fixer la garniture d’étanchéité, on peut par exemple et non limitativement, retourner le dormant pour appliquer la garniture d’étanchéité G, par exemple un joint pré-comprimé, sur le chant d’appui D0 du dormant.
Ensuite on repositionne le dormant D, avec la garniture d’étanchéité G vers la face d’ancrage M0 du mur dans le cas de l’exemple non limitatif, pour le fixer en l’ancrant dans la face d’ancrage du mur M0 par fixation de l’aile d’ancrage 22 de l’équerre de fixation 2 déjà fixée en son autre aile 21 à la patte de fixation 1 elle-même fixée au dormant D. Par exemple on perce un orifice d’ancrage dans la face d’ancrage du mur M0, par exemple à l’aide d’une perceuse dont le foret passe à travers le trou de fixation 220 de l’aile d’ancrage. Cet orifice est réalisé à une position sur la face d’ancrage M0 du mur par rapport au tableau M1 de manière à respecter la profondeur d’ancrage minimum requise, par exemple 60 mm, puis on place la cheville 2250 dans ledit trou d’ancrage en passant par ledit trou de fixation 220 de l’aile d’ancrage 22 et on y visse la vis de fixation 225 (figure 5), le trou de fixation 220 ayant été réalisé dans ladite équerre 2 selon l’exemple à 60 mm au plus près de son oblong de la face du mur correspondant selon l’exemple au tableau M1.
La garniture d’étanchéité, selon l’exemple un joint pré-comprimé, peut s’expanser dans ledit espacement préalablement réservé grâce à la cale d’espacement 3. On peut en outre, par la suite, appliquer un cordon d’étanchéité supplémentaire, côté externe, entre le dormant et le mur.
Les derniers ajustements relatifs à la fixation du dormant peuvent être réalisés dans la mesure où les diverses fixations sont réglables.
La couche d’isolant thermique et/ou phonique peut être installée ensuite sur le mur, ainsi qu’un parement.
Les éléments de fixation du dispositif de fixation, patte de fixation et équerre de fixation, selon l’invention, qui viennent d’être décrits sont avantageusement réalisés en un matériau, par exemple à base de matière plastique ou composite, ayant des propriétés isolantes thermiquement, ce qui évite d’introduire des ponts thermiques au sein de la couche d’isolant autour de la menuiserie de rénovation, sans avoir besoin d’ajouter des cales isolantes supplémentaires.
La matière constitutive du dispositif, et notamment l’équerre de fixation, peut en outre comprendre des matériaux de renfort, par exemple des fibres de verre.
L’invention présente notamment les avantages de fournir une équerre de fixation commune à toutes les typologies de dormants de menuiserie, et une patte de fixation spécifique montée sur dormant supprimant les clameaux, avec une fixation partielle du dispositif au dormant, par fixation de ladite patte sans parties saillantes, pouvant être réalisée en usine et facilitant la manipulation et le transport en nombre des dormants/menuiseries. Un autre avantage est le montage des dormants/menuiseries simplifié sur chantier. De plus on peut facilement emballer en nombre les pièces des dispositifs, et notamment les équerres de fixation qui sont empilables, ces pièces étant plus petites et moins lourdes que les équerres connues de l’art antérieur et couramment utilisées.
En outre ledit système associant le dispositif de fixation et au moins une cale d’espacement permet de faciliter la pose du dormant dans le respect de l’épaisseur de calfeutrement requise.
De plus, l’invention permet aussi de fournir un système de fixation d’un dormant supprimant, ou à tout le moins diminuant notablement, les ponts thermiques que créent les pattes de fixation de l’art antérieur.

Claims (10)

  1. Système de fixation d’un dormant de menuiserie du type fenêtre et/ou porte apte à fixer ledit dormant à une partie de mur (M0) autour d’une ouverture destinée à recevoir la menuiserie, comprenant au moins dispositif de fixation comportant au moins deux éléments de fixation séparés solidarisables entre eux, et l’un desdits deux éléments est une patte de fixation (1) configurée pour s’adapter et se fixer au dormant, et l’autre élément est une équerre de fixation (2) comprenant une aile de fixation (21) et une aile d’ancrage (22) s’étendant dans des plans différents, ladite patte de fixation (1) ayant une forme globalement allongée et comprenant une partie arrière apte à se fixer audit dormant, et une partie avant (12) apte à recevoir ladite aile de fixation (21) de ladite équerre, lesdits éléments (1, 2) se solidarisant entre eux de manière réglable au moins selon la direction (H) de la hauteur du dispositif.
  2. Système selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite partie avant (12) de ladite patte de fixation (1) comporte des moyens de réglage et de maintien (120), et que ladite aile de fixation (21) comporte au moins en sa face arrière (211) des moyens de réglage et de maintien (2110) , lesdits moyens de réglage et de maintien respectifs desdits deux éléments de fixation coopérant entre eux selon la direction de la hauteur du dispositif, en particulier par compression lors de leurs mises en contact.
  3. Système selon l’une des revendications 1 à 2, caractérisé en ce que lesdites ailes de l’équerre (21, 22) s’étendent dans des plans sensiblement perpendiculaires entre eux, et qu’une portion de jonction (20) entre lesdites ailes s’étend dans un plan incliné par rapport auxdits plans respectifs desdites ailes.
  4. Système selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que lesdits deux éléments de fixation (1, 2) sont en un matériau ayant des propriétés isolantes thermiquement, et le cas échéant ledit matériau comprend en outre des éléments de renfort mécanique.
  5. Système selon l’une des revendications 1 à 4, comprenant au moins un accessoire d’aide à la fixation du dormant se présentant sous forme d’une cale d’espacement (3) comprenant au moins une portion de hauteur déterminée ( e ) en fonction d’une valeur d’épaisseur de calfeutrement requise, et apte à se solidariser temporairement à ladite équerre de fixation (2) dudit dispositif de fixation sous l’aile d’ancrage de ladite équerre de fixation.
  6. Système selon la revendication 5, caractérisé en ce que ladite cale d’espacement comprend une semelle (30) munie de glissières latérales de guidage (31, 32) présentant chacune un rebord longitudinal (310, 320) permettant de retenir temporairement ladite équerre par l’aile d’ancrage (22) de ladite équerre et de la guider en translation, et ladite portion de hauteur déterminée de la cale s’étend de la face supérieure (301) que comprend ladite semelle à la face supérieure que comprennent respectivement lesdits rebords longitudinaux.
  7. Procédé de fixation d’un dormant de menuiserie à une face d’ancrage d’un mur (M0) autour d’une ouverture destinée à recevoir la menuiserie, dans lequel on utilise au moins un système de fixation défini selon l’une des revendications 1 à 6, ledit procédé comportant une étape préalable en usine dans laquelle on fixe la patte de fixation (1) au dormant (D) , et une étape suivante sur chantier dans laquelle on fixe l’équerre de fixation (2) par son aile de fixation (21) à ladite patte de fixation (1) préfixée au dormant.
  8. Procédé selon la revendication 7, comprenant une autre étape suivante dans lequel on fixe ladite aile d’ancrage (22) de l’équerre de fixation à la face d’ancrage du mur (M0).
  9. Procédé selon l’une des revendications 7 à 8, et dans lequel on utilise au moins un système de fixation défini selon l’une des revendications 5 à 6, caractérisé en ce que
    - avant de réaliser la fixation de ladite l’équerre de fixation (2) par son aile de fixation (21) à ladite patte de fixation (1) préfixée au dormant (D), on solidarise temporairement la cale d’espacement (3) à ladite équerre de fixation (1) en la glissant et maintenant sous l’aile d’ancrage (22) de ladite équerre de fixation, puis on positionne l’ensemble cale et équerre ainsi solidarisées au droit de la patte de fixation (1) préfixée au dormant et jusqu’à ce que la face arrière (211) de ladite aile de fixation (21) vienne en butée contre la partie avant (12) de ladite patte de fixation (1) et de manière à ce que la face supérieure que présente ladite portion de hauteur déterminée de la cale, en particulier au niveau desdits rebords longitudinaux (310, 320) de ladite cale selon la revendication 6, vienne en contact sous le chant d’appui (D0) du dormant, de manière à réserver un espacement entre la face d’ancrage du mur (M0) et le chant d’appui du dormant d’une cote sensiblement égale à une épaisseur de calfeutrement requise,
    - ensuite on réalise la fixation de l’aile de fixation (21) de l’équerre de fixation (22) à la patte de fixation (1),
    - puis on retire ladite cale d’espacement (3) en la désolidarisant de ladite aile d’ancrage (21) de l’équerre de fixation.
  10. Procédé selon la revendication 9, comprenant une étape suivante dans laquelle on réalise la fixation de l’aile d’ancrage (22) de l’équerre de fixation à la face d’ancrage du mur (M0).
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