FR3112160A3 - Dispositif de fixation amovible - Google Patents

Abstract

DISPOSITIF DE FIXATION AMOVIBLE L’invention concerne un dispositif de fixation amovible, pour la fixation sur un support (1), remarquable en ce qu’il comprend une ancre (3) et un pendule (6) articulés par un axe (7), de sorte que : l’ancre (3) est une platine ayant la forme générale d’un secteur circulaire, avec un bord opposé à l’axe (7); le pendule (6) est mobile entre une position séparée de l’ancre (3) et une position dans laquelle il se superpose partiellement à un canal triangulaire (4’) de l’ancre (3), laissant une largeur restante au moins égale à la largeur d’une plaque (8’) prolongeant une rainure (8) ménagée dans le support (1) et dans laquelle il forme une clavette ronde (14) alignée avec le canal triangulaire (4’) ; le pendule (6) et l’ancre (3) ayant un trou de blocage (9) de la position superposée pour le passage d’un dispositif antivol (11). Figure pour l'abrégé : Fig. 1.

Description

DISPOSITIF DE FIXATION AMOVIBLE

OBJET DE L’INVENTION

Un nouveau dispositif de fixation amovible est préconisé, à insérer dans tout support ayant une rainure, de manière rigide et perpétuelle, et qui peut être retiré rapidement et efficacement, sans affecter le support, par l’utilisateur autorisé.

Une fois la fixation installée, elle peut être bloquée par des éléments propres ou étrangers, c’est-à-dire qu’ils bloquent son ouverture non autorisée. De cette façon, il est configuré comme un ancrage permanent sur le support.

L’objet de l’invention est d’obtenir un dispositif qui permet une fixation solide à son support et, en même temps, un démontage facile par l’utilisateur lorsque son retrait est nécessaire. Cette fixation facilite le cadenas d’une bicyclette, d’un skateboard ou de tout autre élément sur le support fendu.

C’est également un objet de l’invention de faire en sorte que ce montage et ce démontage, en plus d’être rapide et simple, n’entraîne pas le moindre dommage au support ou aux moyens d’ancrage environnants.

Le domaine d’application de préférence est l’antivol de bicyclettes, bien que d’autres applications ne soient pas exclues.

ANTÉCÉDENTS DE L’INVENTION

De multiples appendices ou saillies dans le mobilier urbain, qui dépassent et offrent un support pour ancrer les bicyclettes, sont connus. La plupart d’entre eux sont des barres qui forment un arc pour le passage de la chaîne de la bicyclette. Par conséquent, même s’ils ne sont pas utilisés, ils prennent beaucoup de place et représentent un risque pour un passant qui ne fait pas assez attention.

On connaît également, à d’autres fins, des ancrages ou fixations amovibles tels que les registres ES1064232U et ES1064233U qui doivent avoir une application ou une adaptation du support auquel la chaîne est attachée, et qui ne sont pas bloquants et encore moins autobloquants.

Les stationnements volumineux pour bicyclettes et les ancrages antivol de mur à sol d’Abus, Kriptonite, Hiplok ou Triton, ainsi que d’autres fabricants, sont bien connus. Tous sont inamovibles et laissent leur empreinte partout où ils sont placés.

Il existe également la possibilité d’attacher les bicyclettes à des éléments urbains, ce qui n’est pas fiable et peut entraîner des sanctions administratives.

Tous se caractérisent par le fait que les supports sont permanents et comportent des saillies et des formes qui créent un effet visuel important et augmentent le risque d’accident. De plus, comme ils sont toujours disponibles, il y a une surcharge et une usure.

En aucun cas, les systèmes connus ne présentent pas un fonctionnement aussi simple et une discrétion aussi élevée une fois retirés que l’invention.

DESCRIPTION DE L’INVENTION

La présente invention préconise un dispositif pour attacher et fixer, et le fait de manière rapide, durable et efficace, ainsi que de manière hautement sécurisée. Il s’agit d’un nouvel outil intégré à la technologie de fixation amovible, qui comble une lacune dans les moyens et méthodes de blocage, d’attache ou de fixation des véhicules à leurs supports, notamment les véhicules personnels tels que les bicyclettes, dérivés ou autres.

Compte tenu de la technologie appliquée, de la disposition, de l’ingéniosité appliquée et de la conception, il en résulte un grand progrès par rapport à l’état de l’art et le rend digne de la protection revendiquée.

L’invention, contrairement aux antécédents, est un ancrage qui s’enlève lorsqu’il n’est pas utilisé, de sorte qu’il ne crée pas les problèmes décrits ci-dessus, laissant un support discret qui se réduit à l’expression minimale : barre, mur... où l’on ne voit qu’une ou plusieurs rainures. Ces rainures peuvent être disposées dans un grand nombre d’objets différents, de sorte que le support peut être un élément avec d’autres fonctions, et ne pas créer de nouveaux objets sur la voie publique. Par conséquent, l’invention améliore considérablement tout ce qui est connu dans l’art et dans le commerce.

L’invention préconisée ici résout de manière très satisfaisante les besoins et les problèmes décrits ci-dessus, dans les différents scénarios et sur la base d’une solution simple et très efficace.

Le dispositif de fixation amovible est destiné à être fixé à un support ayant une rainure. La rainure comporte, dans au moins une extrémité, une plaque de prolongement qui, comme on le verra plus loin, est essentielle pour la fixation. Le dispositif comprend une ancre et un pendule articulés par un axe ou un œil de l’ancre.

L’ancre est une platine qui a la forme générale d’un secteur circulaire, avec l’axe à la pointe, et une pièce en “T”, qui dépasse du bord opposé. La pièce en “T” a deux bras : le premier bras est séparé du reste de l’ancre par un canal triangulaire dont le bord intérieur, plus proche de l’axe, est inséré à l’intérieur du bord de l’ancre, sécant à la circonférence générée par l’axe.

De son côté, le pendule pivote sur l’œil ou l’axe de l’ancre et est mobile entre une position séparée de l’ancre et une position dans laquelle il se superpose partiellement au canal triangulaire de l’ancre. Dans cette position, il laisse une largeur restante accessible ou utile similaire à la largeur des plaques. Étant donné que le canal triangulaire permet un certain nombre de mouvements indispensables au montage ou au démontage du dispositif, le pendule ainsi positionné les empêche.

L’invention est configurée, selon un mode de réalisation, à partir d’une ancre avec une pièce en “T” ayant des bras, asymétriques ou non, capable de se loger dans la rainure du support de manière basculante. On insère d’abord un bras, pour en suite faire basculer, déplacer et insérer l’autre bras dans la rainure. La fixation finale s’achève par la mise à niveau des deux bras et le placement de la clavette circulaire du pendule dans la rainure, et en empêchant le basculement en arrière.

Pour réaliser le blocage en position correcte et donc son ancrage au support, l’inventeur a ingénieusement conçu une platine pendulaire ou pendule qui tourne dans l’œil ou l’axe de l’ancre. Dans sa rotation, le pendule est capable d’atteindre la rainure du support et de s’y insérer sensiblement, réalisant l’effet d’une clavette circulaire et donc son blocage au démontage. Cette opération si simple empêche l’ancre de basculer en arrière ou de se déplacer. Le démontage peut être effectué dans l’ordre inverse de son montage, en commençant par retirer la platine pendulaire de la rainure du support.

Pour éviter que l’ancre et le pendule ne se séparent à nouveau, ils définissent un trou de blocage dans la position superposée pour le passage d’un dispositif antivol destiné à sécuriser la bicyclette, le skateboard, etc.

De préférence, l’ancre comporte un canal droit, aligné avec le canal triangulaire, sur le côté opposé de la pièce en “T”. Ce canal permet d’insérer l’autre plaque de prolongement de la rainure, lorsqu’il y en a deux. Par conséquent, la fixation est plus solide.

De préférence, le pendule est formé par deux platines parallèles à l’ancre et disposées de part et d’autre de celle-ci. Plus préférablement, les deux platines sont reliées par un bord qui fait office de butée en position superposée.

Le pendule préféré a également la forme d’un secteur circulaire avec un côté courbe centré sur l’axe, de sorte que les deux éléments se superposent et que la résistance est plus grande. Ce pendule peut comporter des saillies de butée qui, en position superposé, se superposent au canal triangulaire, donnant une forme droite à la partie restante.

Dans un mode de réalisation, l’ancre ou le pendule comprend une broche ou un rivet et l’autre élément comprend une découpe concentrique à l’axe, de sorte que la broche est mobile à travers la découpe jusqu’à la position de superposition. Ces éléments éloignent le pendule de l’ancre et limitent leur mouvement relatif.

Il est également sans entretien et facile à utiliser.

D’autres variantes seront décrites dans la dernière partie de cette description.

DESCRIPTION DES DESSINS

Pour ceci et afin de compléter la description qui est faite et d’aider à une meilleure compréhension des caractéristiques de l’invention, un ensemble de dessins est accompagné comme partie intégrante de cette description, dans lesquels ce qui suit a été réprésenté de façon illustrative et non limitative :

: vue du dispositif, A) ouvert, B) fermé.

: vue du dispositif monté sur un support, A) avec une chaîne, B) avec une barre.

: vue latérale d’une séquence de montage (A-D) de bas en haut.

: deux vues du dispositif monté A) en section, B) en vue intérieure.

: différentes vues du dispositif.

: vue de face d’un autre exemple, moins préféré, d’ancre et de pendule : A) ouverts, B) superposés.

Où les différentes parties ou composants sont référencés :

1- Support

2- Dispositif

3- Ancre

4- Premier bras (de la pièce en “T” de l’ancre)

4’- Canal triangulaire

5- Seconde bras (de la pièce en “T” de l’ancre)

5’- Canal droit

6- Pendule

7- Axe

8- Rainure (du support)

8’- Plaque (de prolongement de la rainure)

9- Trou de blocage

10- Broche

11- Dispositif antivol

12- Côtés courbes (du pendule)

13- Pièce en “T” (de l’ancre)

14- Clavette ronde (de blocage)

15- Saillies (des côtés courbes du pendule)

15’- Ancrage intérieur (dans le canal triangulaire de l’ancre)

16- Découpe (de l’ancre)

17- Seconde saillie (des côtés courbes) de l’ancre

17’- Second ancrage intérieur

18- Prolongement du trou (vers l’extérieur).

RÉALISATION PRÉFÉRABLE DE L’INVENTION.

Au vu des figures représentées, on constate que l’invention préconisée peut s’appliquer à un support (1) comportant une ou plusieurs rainures (8), soit avec des différentes orientations, hauteurs, soit séparées de plusieurs centimètres selon la forme du support (1). Sur les figures, le support (1) est une barre, mais il faut noter qu’il peut s’agir de tout objet suffisamment solide et résistant, et qu’il peut comporter une plaque (8’) ou une feuille dans le prolongement de la rainure (8) dans au moins une direction. Cette plaque (8’) ou feuille doit être très résistante car elle constitue un point d’ancrage pour le dispositif.

Le dispositif (2) est destiné à être inséré et bloqué dans la rainure (8). À cet effet, il comprend une platine d’ancre (3), articulée à un pendule (6) qui a une position dans laquelle il se superpose à l’ancre (3) et une position dans laquelle il s’en sépare. Un axe (7) permet ce mouvement relatif. Dans la solution la plus préférée, le pendule (6) est formé par deux platines parallèles à l’ancre (3) et reliées par un bord qui fait office de butée du mouvement lorsqu’il se superpose à l’ancre (3). Les deux platines du pendule (6) sont disposées de chaque côté de l’ancre (3).

L’ancre (3) et le pendule (6) ont une partie principale sous forme approximatif de secteur d’un cercle, avec le bord courbe centré sur l’axe (7). Les bords courbes, opposés à l’axe (7), coïncident approximativement lorsque l’ancre (3) et le pendule (6) sont superposés. Du bord de l’ancre (3) opposé à l’axe (7) fait saillie une pièce en “T” (13), avec deux bras (4, 5), qui peuvent ou non être de longueurs différentes. Sur les figures, le premier bras (4) est disposé en bas, car c’est la position préférée lorsque la rainure (8) est verticale ou fortement inclinée. Il est préférable que les bras (4, 5) soient de longueurs différentes pour faciliter le montage, puisqu’un bras sera inséré d’abord dans la rainure (8) et ensuite l’autre. Ainsi, le premier bras (4) sera de préférence plus long que le second bras (5). De préférence, le pendule (6) será superposé à l’ancre (3) à partir de la zone du premier bras (4).

Le canal triangulaire (4’) est défini par un ancrage intérieur (15’) qui coopérera avec des saillies (15) sur le pendule (6) comme décrit ci-dessous. Le canal droit (5) est défini par des secondes saillies (17) de l’ancre (3) et un second ancrage intérieur (17’) de la pièce en “T” (13).

Les bras (4, 5) sont séparés du reste de l’ancre (3) par des canaux (4’, 5’) respectifs de longueur appropriée. Le premier bras (4) est séparé par un canal triangulaire (4’) et le second bras (5) est séparé par un canal droit (5’) de plus courte longueur. Le bord du canal triangulaire (4’) le plus proche de l’axe (7) est disposé plus à l’intérieur que le bord courbe de l’ancre (3) ou du pendule (6), de sorte que lorsque le pendule (6) se superpose à l’ancre (3), le canal triangulaire (4’) est partiellement inutilisé et seule une forme approximativement droite de la largeur de la plaque (8’) est accessible. C’est-à-dire que le pendule (6) garantit que la plaque (8’) disposée dans le canal triangulaire (4’) ne puisse pas bouger.

La largeur totale de l’ancre (3) et du pendule (6) est inférieure ou égale à la rainure (8), de sorte que les deux éléments peuvent être au moins partiellement insérés dans celle-ci. L’ancre (3) insère la pièce en “T” (13) et le pendule (6) insère une pointe du côté courbe (12) en guise de clavette ronde (14) qui empêche ou bloque le mouvement d’extraction de la pièce en “T” (13). Cette clavette ronde (14) garantit que l’ancre (3) ne peut pas être retirée de la rainure (8) par déplacement dans le sens longitudinal et est donc protégée contre le vandalisme. Comme on peut le voir, la clavette ronde (14) se trouve entre les deux canaux (4, 5) en position superposée.

Le côté courbe (12) du pendule (6) peut être centré de manière légèrement décalée par rapport à l’axe (7), de sorte qu’il entre progressivement en contact avec le support (1) lorsqu’il tourne, comme un coin courbe. Sur la figure, il y a des saillies de butée (15) qui, dans la position superposée, sont alignées avec le bord intérieur (plus proche de l’axe (7)) du canal triangulaire (4’), aidant la section utile restante à être approximativement droite. De cette façon, le mouvement par rapport à la plaque (8’) est encore plus limité et marque la fin de la course du pendule (6).

Une deuxième option de butée, compatible avec la précédente, est le bord susmentionné qui joint les platines qui forment le pendule (6). Lorsque ce bord entre en contact avec l’ancre (3), le mouvement doit s’arrêter.

Une troisième butée possible, également compatible, est une broche (10) fixée au pendule (6) qui se déplace dans une découpe (16) de l’ancre (3) jusqu’à atteindre une limite de la découpe (16). La broche (10) peut également être fixée à l’ancre (3) et le découpe dans le pendule (6) sans changer son fonctionement.

L’intérieur de l’ancre (3) et du pendule (6) comprend un trou de blocage (9) qui traverse les deux éléments. Il est prévu pour le passage de la chaîne, du cadenas, de la barre ou de tout autre élément antivol (11) qui limite le mouvement relatif des deux à partir de la position superposée et sert en même temps à attacher ou à sécuriser la bicyclette ou l’objet à protéger du vol. Le trou de blocage (9) se trouve de préférence à l’intérieur de l’ancre (3) et du pendule (6), mais en réalité il peut être formé par les deux pièces lorsqu’elles se superposent et non avant. C’est-à-dire que chaque pièce peut fournir une partie du bord du trou de blocage (9), de sorte qu’il n’y a pas de tel trou de blocage (9) jusqu’à ce qu’elles soient superposées ( ). Dans ce cas, au moins un élément, l’ancre (3) ou le pendule (6), comprend un prolongement du trou (18) qui est en contact avec le périmètre.

Les figures 3A à 3D montrent les différentes étapes du montage du dispositif dans la rainure (8). Pour le démontage, les étapes seront les mêmes, mais en sens inverse.

L’ancre (3) étant à l’extérieur du pendule (6), le premier bras (4) de la pièce en “T” (13) est inséré, en utilisant le canal triangulaire (4’). La plaque (8’) de la rainure (8) est insérée dans le canal triangulaire (4’) jusqu’à ce qu’elle atteigne le sommet, ou presque. À ce stade, l’ancre (3) est tournée de manière à ce que le second bras (5) soit également inséré dans la rainure (8). La rainure (8) comporte une plaque (8’) aux deux extrémités, l’ancre (3) est déplacée de manière à ce que l’autre plaque (8’) soit partiellement insérée dans le canal droit (5’). Ce déplacement de l’ancre (3) dans la rainure (8) facilite l’insertion de la clavette ronde (14) dans celle-ci et la fixation du produit.

Le pendule (6) est ensuite tourné de manière à se superposer à l’ancre (3) jusqu’à ce que la clavette ronde (14) pénètre dans le premier côté (4) de l’ancre (3) pour empêcher le dispositif (2) de se déplacer longitudinalement, par rapport à la rainure (8). Cette clavette ronde empêche le démontage de l’appareil sur le second côté (5). C’est la clavette ronde (14) qui fixe le système, et tant qu’elle n’est pas complètement sortie de la rainure (8), elle ne permet pas le démontage, comme on peut le voir dans les détails de montage. Dans tous les cas, il est également possible d’arrêter le mouvement manuellement, sans avoir besoin de butées, lorsque le trou de blocage (9) permet le passage du dispositif antivol (11). Dans cette position, les côtés courbes (12) du pendule (6) sont partiellement insérés dans la rainure (8) et empêchent ainsi le mouvement de rotation. Les côtés courbes (12) affectent principalement le canal triangulaire (4’) de sorte que le mouvement inverse ne peut être effectué pour retirer le dispositif (2) du support (1). Tant que le dispositif antivol (11) se trouve dans le trou de blocage (9), il est impossible de désaligner le pendule (6) par rapport à l’ancre (3) et de libérer le dispositif (2).

Le dispositif (2) est très simple, petit et portable, de sorte qu’il peut être transporté par l’utilisateur pour être utilisé ailleurs. Il ne gâche pas le support (1) et ne crée pas d’objet saillant contre lequel un piéton distrait, un aveugle... peut avoir un accident.

Claims (8)

1. Dispositif de fixation amovible, pour la fixation sur un support (1) ayant une rainure (8) comportant une plaque (8’) de prolongement de la rainure (8) dans au moins une extrémité, caractérisé en ce qu’il comprend une ancre (3) et un pendule (6) articulés par un axe (7), de sorte que :
   l’ancre (3) est une platine ayant la forme générale d’un secteur circulaire, avec un bord opposé à l’axe (7), et une pièce en “T” (13) sur le bord opposé ayant deux bras (4, 5), le premier bras (4) étant séparé du reste de l’ancre (3) par un canal triangulaire (4’) dont le bord le plus proche de l’axe (7) est inséré à l’intérieur du bord courbe ;
   le pendule (6) est mobile entre une position séparée de l’ancre (3) et une position dans laquelle il se superpose partiellement au canal triangulaire (4’) de l’ancre (3), laissant une largeur restante au moins égale à la largeur de la plaque (8’) et dans laquelle il forme une clavette ronde (14) alignée avec le canal triangulaire (4’) ;
   le pendule (6) et l’ancre (3) ayant un trou de blocage (9) de la position superposée pour le passage d’un dispositif antivol (11).
2. Dispositif de fixation amovible, selon la revendication 1, caractérisé en ce que l’ancre (3) comprend un canal droit (5’) aligné avec le canal triangulaire (4’) sur le côté opposé.
3. Dispositif de fixation amovible, selon la revendication 1, caractérisé en ce que le pendule (6) est formé par deux platines parallèles à l’ancre (3) disposées de part et d’autre de cette dernière.
4. Dispositif de fixation amovible, selon la revendication 3, caractérisé en ce que les platines du pendule (6) sont reliées par un bord qui fait office de butée en position superposée.
5. Dispositif de fixation amovible, selon la revendication 1, caractérisé en ce que le pendule (6) a également la forme d’un secteur circulaire avec un côté courbe (12) centré sur l’axe (7), qui configure la clavette ronde (14) de blocage.
6. Dispositif de fixation amovible, selon la revendication 5, caractérisé en ce que le pendule (6) présente des saillies de butée (15) qui, en position superposée, se superposent au canal triangulaire (4’) donnant une forme droite à la partie restante, en cooperant avec une seconde saillie (17) de l’ancre du premier bras (4).
7. Dispositif de fixation amovible, selon la revendication 1, caractérisé en ce qu’il comprend une broche (10) fixée au pendule (6) ou à l’ancre (3) et une découpe (16), fixée à l’ancre (3) ou au pendule (6) concentrique à l’axe (7), de sorte que la broche (10) est mobile à travers la découpe (16) jusqu’à la position superposée.
8. Dispositif de fixation amovible, selon la revendication 1, caractérisé en ce que les bras (4, 5) sont de longueurs différentes, le premier bras (4) étant plus long que le second bras (5).