FR3099253A1

FR3099253A1 - Charnière d’une monture de lunettes ayant une structure filaire

Info

Publication number: FR3099253A1
Application number: FR1908566A
Authority: FR
Inventors: Jean-François Boiteux
Original assignee: Specialeyes; Special'eyes
Current assignee: Specialeyes; Special'eyes
Priority date: 2019-07-26
Filing date: 2019-07-26
Publication date: 2021-01-29
Anticipated expiration: 2039-07-26
Also published as: FR3099253B1

Abstract

Une charnière d’une monture de lunettes est destinée à relier une branche (3) à une façade (2) de manière articulée. Elle comporte un premier élément (3) et un deuxième élément (20) formant respectivement un tenon (2a) et au moins une partie de la branche (3) ou inversement, la charnière (1) permettant le pivotement de la branche (3) par rapport au tenon (2a) entre une position d’ouverture et une position de fermeture. Un élément de liaison (4) relie le premier et le deuxième élément (3, 20), le premier élément (3) comportant un premier bout (30) faisant face au deuxième élément (20), la charnière (1) comportant des moyens de guidage (5) comportant deux encoches (51, 52) portées par le premier bout (30), et deux arcs (53, 54) de l’élément de liaison (4) placés de part et d’autre du premier bout (30) et d’un plan de pivotement (P) et se logeant respectivement dans les encoches (51, 52), la charnière (1) comportant en outre des moyens de centrage (6) qui comportent une barre de pivot (60) de l’élément de liaison (4) s’étendant perpendiculairement au plan de pivotement (P) et un logement (61) du premier élément recevant la barre de pivot (60) pour guider l’élément de liaison (4) en pivotement lorsque les arcs (53, 54) glissent dans les encoches (51, 52). Figure pour l’abrégé : Fig. 1

Description

Charnière d’une monture de lunettes ayant une structure filaire

Domaine

L’invention concerne une charnière de lunettes comportant ayant une structure filaire.

Les montures de lunettes comportent en général une façade, destinée à supporter des verres correcteurs ou de protection solaire ou mécanique, et deux branches, chaque branche étant articulée sur la façade par une charnière. La charnière comporte la plupart du temps un premier et un deuxième élément formant respectivement un tenon et la branche ou au moins son amorce. Le tenon est relié de manière fixe à la façade alors que le deuxième élément est fixé à ou fait partie de la branche.

La charnière permet le pivotement de la branche par rapport à la façade entre une position repliée, dans laquelle la branche est sensiblement parallèle à la façade, et une position déployée dans laquelle la branche est sensiblement perpendiculaire à la façade. La position repliée permet le rangement des lunettes en limitant leur encombrement tandis que la position déployée est utilisée lorsque les lunettes sont portées par un utilisateur.

Classiquement, la charnière comporte un premier élément avec deux charnons et un deuxième élément avec un charnon inséré entre les deux charnons du premier élément. Une vis traverse deux des charnons et est vissée sur le troisième. Comme la vis sert de pivot, elle est sollicitée en pivotement et régulièrement on constate qu’elle se dévisse, voire qu’elle quitte complètement la charnière. Comme la vis est très petite, elle est ainsi souvent perdue et la branche est démontée jusqu’à ce qu’on puisse remplacer la vis par une nouvelle.

On a proposé dans le document US 5,894,336 une charnière sans vis dans laquelle le tenon et la branche sont formés à partir d’un fil métallique. Le tenon forme une boucle et reçoit un insert monté pivotant sur le fil du tenon. La branche se termine également par une boucle qui enserre l’insert pour s’y fixer. L’insert pivote avec la branche et une indexation est réalisée par l’insert qui appuie contre une portion du tenon.

L’invention vise à fournir une charnière alternative sans vis. C’est un autre objectif que la charnière permette d’indexer au moins l’une des positions d’ouverture et de fermeture.

Avec ces objectifs en vue, l’invention a pour objet une charnière d’une monture de lunettes destinée à relier une branche à une façade de manière articulée et comportant un premier élément et un deuxième élément formant respectivement un tenon et au moins une partie de la branche ou inversement, la charnière permettant le pivotement de la branche par rapport au tenon entre une position d’ouverture et une position de fermeture, caractérisée en ce qu’un élément de liaison relie le premier et le deuxième élément, le premier élément comportant un premier bout faisant face au deuxième élément, la charnière comportant des moyens de guidage comportant deux encoches portées par le premier bout, et deux arcs de l’élément de liaison placés de part et d’autre du premier bout et d’un plan de pivotement et se logeant respectivement dans les encoches, la charnière comportant en outre des moyens de centrage qui comportent une barre de pivot de l’élément de liaison s’étendant perpendiculairement au plan de pivotement et un logement du premier élément recevant la barre de pivot pour guider l’élément de liaison en pivotement lorsque les arcs glissent dans les encoches.

On réalise ainsi une charnière sans vis. La barre de pivot en coopérant avec le logement réalise un guidage de la branche en pivotement. Les arcs, logés dans les encoches, guident le premier élément en le retenant pour éviter qu’il se dégage, c’est-à-dire que la barre de pivot sorte du logement, même si le logement est ouvert. Cette fonction est réalisée quelle que soit la position du premier élément entre la position d’ouverture et la position de fermeture, puisque les encoches suivent la courbure des arcs.

Selon une caractéristique complémentaire, les arcs sont en rappel élastique l’un vers l’autre pour pincer le premier bout. Les arcs peuvent être mis en place par exemple par déformation élastique de l’élément de liaison qui peut autoriser un écartement élastique des arcs l’un de l’autre. De plus, ils peuvent exercer un serrage de manière à ajouter un frottement des arcs dans les encoches pour stabiliser la position de la branche par rapport au tenon.

Selon une disposition constructive, au moins l’un des arcs comporte une première cuvette pour indexer de manière élastique la position de fermeture. La forme en cuvette, combinée au rappel élastique, reçoit le premier élément en position de fermeture, de telle sorte que lorsque la branche quitte la position de fermeture, l’arc glisse dans l’encoche et doit se déplacer à l’encontre du rappel élastique, ce qui augmente l’effort de manœuvre. À l’inverse, dans le mouvement vers la position de fermeture, le premier élément va naturellement vers la cuvette. On réalise une indexation de la position de fermeture. Les deux arcs peuvent comporter une première cuvette.

Selon une autre disposition constructive, au moins l’un des arcs comporte une deuxième cuvette pour indexer de manière élastique la position d’ouverture. Le fonctionnement est similaire à celui décrit en lien avec la première cuvette, mais pour la position d’ouverture. Les deux arcs peuvent comporter une deuxième cuvette.

Selon une disposition constructive, les encoches sont reliées ensemble et forment ainsi une rainure. La réalisation des encoches en est facilitée puisque la rainure est continue sur toute la périphérie du premier bout.

Selon une disposition constructive, les arcs sont reliés par un cintre se logeant dans la rainure et formant butée dans la position d’ouverture. Le cintre permet de relier les deux arcs en leur conférant l’élasticité calibrée. De plus, en étant logé dans la rainure, il réalise la fonction de butée et ne fait que légèrement saillie du premier bout pour plus de discrétion visuelle.

Selon une disposition constructive, la barre de pivot est supportée par deux bras s’étendant parallèlement l’un à l’autre et reliant les extrémités de la barre de pivot à l’une des extrémités de chaque arc. Dans le cas où l’élément de liaison comporte un cintre, les bras se raccordent sur les arcs au même niveau que le cintre. Les bras assurent la liaison mécanique entre les arcs et la barre de pivot.

Selon un perfectionnement, l’élément de liaison comporte en outre une barre de liaison s’étendant depuis le milieu de la barre de pivot dans le plan de pivotement, le logement s’étendant dans le plan de pivotement pour loger la barre de liaison.

Selon une disposition constructive, la barre de liaison s’étend jusqu’au cintre. La barre de liaison permet de renforcer l’élément de liaison.

Selon une caractéristique complémentaire, l’élément de liaison est relié au deuxième élément de manière similaire à celle décrite précédemment.

Brève description des figures

L’invention sera mieux comprise et d’autres particularités et avantages apparaîtront à la lecture de la description qui va suivre, la description faisant référence aux dessins annexés parmi lesquels :

: la figure 1 est une vue de dessus d’une monture de lunettes comportant des charnières conforme à un mode de réalisation de l’invention, en position d’ouverture ;

: la figure 2 est une vue de côté de la monture de la figure 1 ;

: la figure 3 est une vue en perspective du détail III de la figure 1 ;

: la figure 4 est une vue similaire à la figure 3 dans une position intermédiaire de la branche ;

: la figure 5 est une vue similaire à la figure 3 dans une position de fermeture ;

: la figure 6 est une vue en coupe selon la ligne VI-VI de la figure 2 ;

: la figure 7 est une vue en perspective d’un élément de liaison de la charnière de la figure 1 ;

: la figure 8 est une vue similaire à la figure 3 sans l’élément de liaison ;

: la figure 9 est une vue d’une série de variantes de formes pour l’élément de liaison.

Description détaillée

Une monture de lunettes comportant deux charnières 1 conforme à un mode de réalisation de l’invention est montrée sur les figures 1 à 8. La monture comporte une façade 2, destinée à supporter des verres correcteurs ou de protection solaire ou mécanique, et deux branches 3, chaque branche 3 étant articulée sur la façade 2 par une charnière 1. La charnière 1 comporte un premier et un deuxième élément formant respectivement la branche 3 et un tenon 2a issu de la façade 2. Le tenon 2a est relié de manière fixe à la façade 2.

La charnière 1 permet le pivotement de la branche 3 par rapport à la façade 2 entre une position repliée, telle que montrée sur la figure 5, dans laquelle la branche 3 est sensiblement parallèle à la façade 2, et une position déployée, telle que montrée sur les figures 1 à 3 et 6, dans laquelle la branche 3 est sensiblement perpendiculaire à la façade 2. La position repliée permet le rangement des lunettes en limitant leur encombrement tandis que la position déployée est utilisée lorsque les lunettes sont portées par un utilisateur.

La charnière 1 comporte un élément de liaison 4 qui relie le premier et le deuxième élément, à savoir la branche 3 et le tenon 2a. La branche 3 comporte un premier bout 30 faisant face à un deuxième bout 20 du tenon 2a. Le premier et le deuxième bout 30, 20 sont cylindriques de même axe en position d’ouverture. Dans ce mode de réalisation, ce sont des pièces métalliques telles qu’en inox insérées dans des pièces en matière synthétique comme de l’acétate. La charnière 1 comporte des moyens de guidage 5 comportant deux encoches 51, 52 portées par le premier bout 30, et deux arcs 53, 54 de l’élément de liaison 4 placés de part et d’autre du premier bout 30 et d’un plan de pivotement P. Les encoches 51, 52 sont reliées ensemble et forment ainsi une rainure 55 s’étendant sur toute la périphérie du premier bout 30. La section de la rainure 55 est rectangulaire, mais elle pourrait aussi être demi-circulaire ou de toute autre forme. Les arcs 53, 54 se logent respectivement dans les encoches 51, 52, de part et d’autre du premier bout 30. Comme on peut le voir en particulier sur la figure 8, les encoches 51, 52 suivent une forme en arc en vue de dessus, c’est-à-dire en projection sur le plan de pivotement P. Ceci est souligné par le secteur S représenté sur la figure 8.

Les arcs 53, 54 sont en rappel élastique l’un vers l’autre pour pincer le premier bout 30. Pour réaliser ce rappel élastique, les arcs 53, 54 sont reliés par un cintre 56 se logeant dans la rainure 55 dans la position d’ouverture. Le cintre 56 forme également butée pour limiter l’ouverture de la branche 3. Les arcs 53, 54 comportent chacun une première cuvette 531, 541 pour indexer la position de fermeture en enserrant le premier bout 30 en combinaison avec le rappel élastique des arcs 53, 54 l’un vers l’autre. Les arcs 53, 54 comportent en outre chacun une deuxième cuvette 532, 542 pour indexer la position d’ouverture en enserrant le premier élément en combinaison avec le rappel élastique des arcs 53, 54 l’un vers l’autre.

La charnière 1 comporte en outre des moyens de centrage 6. Ceux-ci comportent une barre de pivot 60 de l’élément de liaison 4 s’étendant perpendiculairement au plan de pivotement P et un logement 61 du premier bout 30 recevant la barre de pivot 60 pour guider l’élément de liaison 4 en pivotement lorsque les arcs 53, 54 glissent dans les encoches 51, 52. Le logement 61 a la forme d’une fente s’étendant perpendiculairement au plan de pivotement P dans la direction longitudinale du premier bout 30.

La barre de pivot 60 est supportée par deux bras 41 s’étendant parallèlement l’un à l’autre, chaque bras 41 reliant l’une des extrémités de la barre de pivot 60 à l’une des extrémités de l’un des arcs 53, 54. L’élément de liaison 4 comporte en outre une barre de liaison 42 s’étendant depuis le milieu de la barre de pivot 60 dans le plan de pivotement P. La barre de liaison 42 s’étend jusqu’au cintre 56. Le logement 61 s’étend dans le plan de pivotement P pour loger la barre de liaison 42. Cette extension a la forme d’une fente 612 s’étendant dans le plan de pivotement P dans la direction longitudinale du premier bout 30. Ainsi, vu en bout, le premier bout 30 est fendu en croix.

Le deuxième bout 20 est symétrique au premier bout 30 et comporte ainsi un logement 202 symétrique à celui du premier bout 30 ainsi qu’une deuxième rainure 201 circonférentielle. L’élément de liaison 4 comporte une deuxième barre de pivot 60’ et des arcs 53’, 54’ se logeant dans la deuxième rainure 201 circonférentielle. La deuxième cuvette 532’, 542’ du côté du deuxième élément 20 est plus profonde que du côté du premier bout 30 pour maintenir l’élément de liaison 4 de manière plus ferme sur le deuxième élément 20.

Lorsque la branche 3 est en position d’ouverture, comme montré sur la figure 3, le premier bout 30 est en butée contre le cintre 56 et enserré dans la deuxième cuvette 532, 542 des arcs 53, 54, ce qui maintient cette position de manière indexée.

En repoussant la branche 3 vers la position de fermeture, le premier bout 30 se dégage des deuxièmes cuvettes 532, 542 en écartant élastiquement les arcs 53, 54 l’un de l’autre, pour atteindre une position intermédiaire, comme montré sur la figure 4. En continuant à repousser la branche 3 vers la position de fermeture, le premier bout 30 s’engage dans les premières cuvettes 531, 541, ce qui indexe la position de fermeture, comme montré sur la figure 5.

En repoussant la branche 3 vers la position d’ouverture, le premier bout 30 se dégage des premières cuvettes 531, 541 en écartant élastiquement les arcs 53, 54 l’un de l’autre, pour atteindre la position intermédiaire. En continuant à repousser la branche 3 vers la position d’ouverture, le premier bout 30 s’engage dans les deuxièmes cuvettes jusqu’à ce qu’il soit en butée contre le cintre 56, ce qui indexe la position d’ouverture.

L’élément de liaison est réalisé de préférence en métal, comme de l’inox ou un alliage de titane. Il est par exemple fabriqué de manière additive ou par pliage de fil et soudure, ou encore par moulage.

D’autres modes de réalisation de l’élément de liaison 4 sont montrés sur la figure 9, le côté du premier bout étant vers le haut de la figure.

L’élément 9a a une barre de liaison qui relie uniquement les cintres côté branche et côté tenon. L’élément de liaison n’a pas d’arc côté tenon, mais les arcs côté branche s’étendent jusqu’au cintre côté tenon sans y être liés. Les bras s’étendent d’un cintre à l’autre.

L’élément 9b se distingue de l’élément 9a en ce que les arcs sont attachés au cintre côté tenon.

L’élément 9c se distingue de l’élément 9b en ce que les bras s’étendent vers le côté tenon mais pas vers le côté branche.

L’élément 9d se distingue de l’élément 9b en ce que les bras s’étendent uniquement entre les barres de pivot et en ce que la barre de liaison s’étend aussi jusqu’à la barre de pivot.

L’élément 9e se distingue du mode de réalisation principal en ce que les arcs du côté tenon ne sont pas reliés au cintre et en ce que la barre de liaison relie uniquement les cintres côté branche et côté tenon.

L’élément 9f se distingue de l’élément 9e en ce que les arcs du côté tenon sont reliés au cintre.

L’élément 9g se distingue du mode de réalisation principal en ce que les bras s’étendent uniquement entre les barres de pivot.

L’élément 9h se distingue de l’élément 9a en ce que deux barres supplémentaires relient les bras aux arcs au niveau de la deuxième barre de pivot.

L’élément 9i se distingue de l’élément 9h en ce que les barres supplémentaires sont placées sensiblement au milieu de l’élément de liaison.

L’élément 9j se distingue de l’élément 9e en ce que deux barres supplémentaires relient les bras aux arcs au niveau de la deuxième barre de pivot.

L’élément 9k se distingue du mode de réalisation principal en ce que la barre de liaison s’étend uniquement entre les barres de pivot.

Claims

Charnière d’une monture de lunettes destinée à relier une branche (3) à une façade (2) de manière articulée et comportant un premier élément (3) et un deuxième élément (20) formant respectivement un tenon (2a) et au moins une partie de la branche (3) ou inversement, la charnière (1) permettant le pivotement de la branche (3) par rapport au tenon (2a) entre une position d’ouverture et une position de fermeture, caractérisée en ce qu’un élément de liaison (4) relie le premier et le deuxième élément (3, 2a), le premier élément (3) comportant un premier bout (30) faisant face au deuxième élément (2a), la charnière (1) comportant des moyens de guidage (5) comportant deux encoches (51, 52) portées par le premier bout (30), et deux arcs (53, 54) de l’élément de liaison (4) placés de part et d’autre du premier bout (30) et d’un plan de pivotement (P) et se logeant respectivement dans les encoches (51, 52), la charnière (1) comportant en outre des moyens de centrage (6) qui comportent une barre de pivot (60) de l’élément de liaison (4) s’étendant perpendiculairement au plan de pivotement (P) et un logement (61) du premier élément recevant la barre de pivot (60) pour guider l’élément de liaison (4) en pivotement lorsque les arcs (53, 54) glissent dans les encoches (51, 52).
Charnière selon la revendication 1, dans laquelle les arcs (53, 54) sont en rappel élastique l’un vers l’autre pour pincer le premier bout (30).
Charnière selon la revendication 2, dans laquelle au moins l’un des arcs (53, 54) comporte une première cuvette (531, 541) pour indexer de manière élastique la position de fermeture.
Charnière selon la revendication 2 ou 3, dans laquelle au moins l’un des arcs (53, 54) comporte une deuxième cuvette (532, 542) pour indexer de manière élastique la position d’ouverture.
Charnière selon l’une des revendications précédentes, dans laquelle les encoches (51, 52) sont reliées ensemble et forment ainsi une rainure (55).
Charnière selon la revendication 2 à 4 en combinaison avec la revendication 5, dans laquelle les arcs (53, 54) sont reliés par un cintre (56) se logeant dans la rainure (55) et formant butée dans la position d’ouverture.
Charnière selon l’une des revendications précédentes, dans laquelle la barre de pivot (60) est supportée par deux bras (41) s’étendant parallèlement l’un à l’autre, chaque bras (41) reliant l’une des extrémités de la barre de pivot (60) à l’une des extrémités de l’un des arcs (53, 54) .
Charnière selon l’une des revendications précédentes, dans laquelle l’élément de liaison (4) comporte en outre une barre de liaison (42) s’étendant depuis le milieu de la barre de pivot (60) dans le plan de pivotement (P), le logement (61) s’étendant dans le plan de pivotement (P) pour loger la barre de liaison (42).
Charnière selon les revendications 6 et 8 prises en combinaison, dans laquelle la barre de liaison (42) s’étend jusqu’au cintre (56).
Charnière selon l’une des revendications précédentes, dans laquelle l’élément de liaison (4) est relié au deuxième élément (20) de manière similaire à celle décrite pour le premier élément dans les revendications 1 à 9.