FR3085980A1 - Module de coffrage perdu, ensemble pret a monter pour realiser un coffrage perdu et procede d'edification d'un mur - Google Patents

Module de coffrage perdu, ensemble pret a monter pour realiser un coffrage perdu et procede d'edification d'un mur Download PDF

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Jean-Pierre Guibourg
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    • E04BUILDING
    • E04BGENERAL BUILDING CONSTRUCTIONS; WALLS, e.g. PARTITIONS; ROOFS; FLOORS; CEILINGS; INSULATION OR OTHER PROTECTION OF BUILDINGS
    • E04B2/00Walls, e.g. partitions, for buildings; Wall construction with regard to insulation; Connections specially adapted to walls
    • E04B2/84Walls made by casting, pouring, or tamping in situ
    • E04B2/86Walls made by casting, pouring, or tamping in situ made in permanent forms
    • E04B2/8623Walls made by casting, pouring, or tamping in situ made in permanent forms with spacers and at least one form leaf being monolithic
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Abstract

Le module de coffrage perdu 1 présente une forme parallélépipédique rectangle ouvert sur le haut OS et sur le bas OI, ainsi qu'aux extrémités latérales OL1, OL2. Deux parois principales 2, 3 se faisant face définissent entre elles un volume de remplissage. Deux barres transversales 4, 5 ; 6, 7 relient entre elles les deux parois principales à chacune de leurs extrémités latérales, l'une en partie haute et l'autre en partie basse. Une structure d'emboîtement 8 permet l'emboitement du module 1 sur un autre module identique. Le module 1 peut être réalisé économiquement en carton ondulé. Un coffrage perdu est créé en alignant et empilant plusieurs modules 1 que l'on solidarise entre eux par des épingles. Des entretoises de renfort peuvent être prévues. Un mur est ensuite édifié en remplissant les modules 1 au fur et à mesure de leur empilement avec des pierres ou des gravats et du mortier.

Description

MODULE DE COFFRAGE PERDU, ENSEMBLE PRET A MONTER POUR REALISER UN COFFRAGE PERDU ET PROCEDE D’EDIFICATION D’UN MUR
La présente invention concerne un module de coffrage perdu, ainsi qu’un ensemble prêt à monter pour réaliser un coffrage perdu d’érection de mur. Elle concerne aussi un procédé d’édification d’un mur mettant en œuvre une pluralité de modules de coffrage perdu selon l’invention.
Le but de la présente invention est de fournir une solution permettant d’édifier des murs de construction de façon simple et économique.
A cette fin, la présente invention propose module de coffrage perdu pour l’édification de mur, lequel module présente, le cas échéant après mise en volume aux fins d’utilisation de coffrage, une forme parallélépipédique rectangle ouverte sur le haut et sur le bas, ainsi qu’à deux extrémités latérales opposées, et comprenant :
- deux parois principales se faisant face et définissant entre elles un volume de remplissage ;
- deux barres transversales reliant entre elles les deux parois principales à chacune de leurs extrémités latérales, l’une de préférence au niveau du bord supérieur des parois et l’autre de préférence au niveau du bord inférieur ; et
- une structure d’emboîtement apte à permettre l’emboîtement du module sur un autre module identique.
Un tel module est particulièrement simple et économique à fabriquer. L’usage de tels modules permet aussi d’édifier des murs de manière simple et économique selon le procédé décrit plus bas.
Suivant des modes de réalisation préférés, le module de coffrage perdu selon l’invention comprend une ou plusieurs des caractéristiques suivantes :
le module est réalisé monobloc d’un seul tenant, le module est sous une présentation plane apte à être mise en volume sous la forme parallélépipédique rectangle par pliage, la structure d’emboîtement est apte à permettre l’emboîtement du module à cheval sur deux autre modules identiques agencés côte à côte en contact latéral, le module est réalisé en carton ondulé, le module est réalisé dans un matériau sous forme de plaque, et dans lequel, le cas échéant après mise en volume aux fins d’utilisation pour coffrage, le pourtour supérieur et le pourtour inférieur du module est renforcé
22FR-180918-Demande de brevet mécaniquement par pliage des bords correspondants du matériau sous forme de plaque, au moins l’une des parois principales est parée d’un matériau isolant.
Selon un autre aspect, l’invention propose un ensemble prêt à monter pour réaliser un coffrage perdu d’édification de mur, comprenant au moins un module de coffrage perdu selon l’invention, et comprenant en outre :
- au moins un élément de solidarisation tel qu’une clé ou une épingle pour, en cours de réalisation d’un coffrage, solidariser le module à un autre module placé sous lui ou à côté de lui en contact latéral ; et/ou
- au moins une entretoise destinée à être mise en place dans le module de manière à relier entre elles les parois principales du module, les parois principales étant préférentiellement pourvues d’au moins une ouverture destinée à recevoir l’entretoise.
Un tel ensemble prêt à monter permet d’édifier des murs de manière simple et économique, notamment selon le procédé décrit plus bas.
Suivant un mode de réalisation préféré, l’élément de solidarisation est prévu pour être accroché à l’entretoise mise en place dans le module pour solidariser le module à un autre module en cours de réalisation d’un coffrage.
Selon encore un autre aspect, l’invention propose un procédé d’édification d’un mur, comprenant les étapes consistant à :
- a) disposer sur un support une rangée de modules de coffrage perdu selon l’invention, sous leur forme parallélépipédique rectangle, en les plaçant côte à côte en contact latéral et en obturant éventuellement l’extrémité libre des modules d’extrémités ;
- b) optionnellement répéter au moins une fois l’étape a) en plaçant une rangée additionnelle de modules de coffrage perdu sur la rangée de modules précédente qui sert de support à la rangée additionnelle de modules ; puis
- c) mettre dans les modules des corps solides tel que des pierres, des morceaux de pierre ou des gravats de ciments, ainsi que du mortier.
Un tel procédé d’édification d’un mur est particulièrement simple et économique. En effet, il permet de recourir à des modules de coffrage perdu qui peuvent être réalisés de manière très économique. En particulier, la résistance mécanique d’un module, équipé le cas échéant d’accessoires de renfort, peut être juste suffisante pour maintenir efficacement les corps solides et le mortier qu’il contient, dès lors que l’on attend que le mortier ait suffisamment fait sa prise avant de placer et remplir un autre module audessus.
Par ailleurs, le procédé permet d’utiliser des corps solides de remplissage peu chers tels que des pierres ou morceaux de pierre quelconques ou des gravats de ciment, ce qui limite la quantité de mortier nécessaire.
Suivant des modes de réalisation préférés, le procédé selon l’invention comprend une ou plusieurs des caractéristiques suivantes :
l’étape a) comprend une sous-étape al) consistant à solidariser deux à deux les modules placés côte à côte à l’aide d’éléments de solidarisation tels que des clés ou des épingles, le procédé comprend, après l’étape c), une étape d) consistant à répéter au moins une fois l’étape a), optionnellement l’étape b), puis l’étape c), et dans lequel c’est soit la partie supérieure de la rangée de modules disposée lors de l’exécution de l’étape a) qui a précédée, soit la partie supérieure de la portion de mur résultant de l’exécution de l’étape c) qui a précédée, qui sert de support à la rangée de modules disposés lors de la répétition de l’étape a) en application de l’étape d), la répétition de l’étape c) en application de l’étape d) n’est exécutée qu’après écoulement d’un certain temps depuis l’exécution de l’étape c) qui précède pour assurer une prise du mortier dans les modules en-dessous de manière à exclure ou limiter sensiblement la pression sur leurs parois lors de la répétition de l’étape c), l’étape a) comprend une sous-étape a2) consistant à placer des entretoises dans les modules de manière à relier entre elles les parois principales des modules pour les supporter contre une déformation en direction de l’extérieur du module, en cas de répétition de l’étape a) en application de l’étape b) et/ou de l’étape d), l’étape a) comprend à chaque fois une sous-étape a3) consistant à solidariser les modules d’une nouvelle rangée aux modules de la rangée immédiatement en-dessous à l’aide d’éléments de solidarisation tels que des clés ou des épingles, dans le cas précédent, l’étape a3) peut comprendre l’accrochage d’un élément de solidarisation à au moins une dite entretoise mise en place dans l’un des modules pour le solidariser à un module immédiatement en-dessous.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à la lecture de la description qui suit d’un mode de réalisation de l'invention, donnée à titre d'exemple et en référence au dessin annexé.
La figure 1 représente une vue schématique en perspective, vue depuis le haut, d’un module de coffrage perdu selon le mode de réalisation de l’invention qui est décrit dans la suite.
La figure 2 représente une autre vue schématique en perspective du module de coffrage perdu, mais vue depuis le dessous.
La figure 3 représente une vue schématique du module coffrage perdu en configuration plane, c’est-à-dire avant mise en volume.
La figure 4 représente schématiquement une structure à plancher et poteaux avant édification d’un mur entre eux à l’aide de modules de coffrage perdu.
La figure 5 représente schématiquement la structure de la figure 4 pourvue de plusieurs modules de coffrage perdu.
La figure 6 représente schématiquement une vue en coupe verticale et transversale de plusieurs modules de coffrage perdu qui sont empilés.
La figure 7 est similaire à la figure 6, mais illustre en outre des accessoires de solidarisation et de rigidification en place dans un module de coffrage perdu.
La figure 8 est similaire à la figure 7, mais illustre en outre le remplissage d’un module avec des corps solides tels que des pierres, morceaux de pierre ou gravats de ciment.
La figure 9 représente schématiquement une coupe horizontale à travers des modules de coffrage perdu disposés côté à côte en enfilade et contenant des corps solides.
La figure 10 représente schématiquement une vue en coupe verticale et longitudinale à travers deux rangées superposées de modules de coffrage perdu.
Les figures 11 et 12 représentent respectivement une demi-broche vue en section longitudinale et une tige filetée servant à former ensemble avec deux demi-broches une entretoise prévue pour être placée entre les parois principales du module de coffrage perdu.
Les figures 13 A et 13B montrent respectivement une vue de face et une de côté d’une épingle servant à la solidarisation de deux modules de coffrage perdu superposés.
Les figures 14A et 14B montrent respectivement une vue de face et une de côté d’une épingle servant à la solidarisation de deux modules de coffrage perdu placés côte à côte.
La figure 15 représente une vue de face d’une structure à plancher et poteaux, similaire à celle de la figure 4 et pourvue de modules de coffrage perdu dont certains sont découpés aux fins d’ajustement en longueur.
La figure 16 représente une vue en coupe de dessus suivant les flèches A-A de la figure 15.
En référence aux figures, nous allons décrire ci-après un mode de réalisation d’un module de coffrage perdu selon l’invention lequel est référencé 1.
Les figures 1 et 2 montre le module 1 dans sa configuration dans laquelle il est utilisé pour réaliser un coffrage aux fins d’édification d’un mur conjointement avec d’autres modules 1. Dans cette configuration, le module 1 présente une forme parallélépipédique rectangle. Il est ouvert sur le haut - cf. ouverture OS - et sur le bas cf. ouverture 01 -, ainsi qu’à ses deux extrémités latérales : cf. ouvertures OL1 et OL2.
Il comprend deux parois principales 2, 3 identiques se faisant faces et définissant entre elles un volume de remplissage. Les bords supérieurs des deux parois principales 2, 3 sont de préférence rigidifiés pour augmenter la tenue mécanique des parois principales 2, 3. Cette rigidification peut être obtenue en agençant une barre tubulaire 11, 12 le long de chacun des bords supérieurs. Les bords inférieurs des deux parois principales 2, 3 sont de préférence aussi rigidifiés pour augmenter la tenue mécanique des parois principales 2, 3. Cette rigidification peut être réalisée différemment que pour les bords supérieurs comme nous le verrons plus loin
Deux barres transversales 4, 5 relient entre elles les deux parois principales 2, 3 à l’une de leurs extrémités latérales. Similairement, deux autres barres transversales 6, 7 - la barre 6 étants seule visible sur les figures 1 et 2 - relient entre elles les deux parois principales 2, 3 à l’autre extrémité latérale. Ces barres transversales 4 à 7, à chaque extrémité latérale des parois 2, 3, sont de préférence agencées l’une au niveau du bord supérieur des parois 2, 3 et l’autre au niveau du bord inférieur des parois 2, 3. De la sorte, ces barres 4 à 7 participent à rigidifier efficacement le module et peuvent également servir à définir une structure d’emboîtement permettant d’emboîter le module 1 sur un autre module 1. Les barres supérieures 5, 6 sont de préférence tubulaires.
Les bords latéraux des deux parois principales 2, 3 sont de préférence aussi rigidifiés pour augmenter la tenue mécanique des parois principales 2, 3. Cette rigidification peut être obtenue en agençant à angle droit un montant - cf. références 13 à 16 - le long de chaque bord latéral. Ces montants 13 à 16 peuvent être de section plate.
La structure d’emboîtement peut être définie par une collerette 8 agencée sous le module 1 en faisant saillie verticalement vers le bas. La collerette 8 est agencée en retrait par rapport au contour extérieur du module 1 et délimite l’ouverture inférieur 01 du module 1. Le pourtour de la collerette 8 correspond à l’ouverture supérieure OS, ce qui permet d’emboîter le module 1 dans un autre module 1 par insertion de la collerette 8 du premier dans l’ouverture supérieure OS du second. De plus, le pan de matériau horizontal 10 reliant la collerette 8 aux parois principales 2, 3 et aux barres transversales inférieures 4, 7, ensemble avec la collerette 8 rigidifient le bord inférieur des parois principales 2, 3.
Il est avantageux de prévoir une découpe 9 au milieu des pans 1 de la collerette 8 longeant en retrait les parois principales 2, 3 afin de permettre un emboîtement d’un module 1 à cheval sur deux modules 1 placés contigus comme illustré sur la figure 5.
Le module 1 peut avantageusement être réalisé monobloc d’un seul tenant. En particulier, il peut être réalisé à partir d’un matériau approprié se présentant sous forme de plaque. Il peut s’agir de carton ondulé, celui-ci ayant l’avantage d’être économique, pliable, donc facilement transportable, et éventuellement intéressant du point de vue écologique. En variante, d’autres matériaux peuvent être utilisés tels que du méthacrylate ou du bois type cagette à fruits.
La figure 3 illustre le module 1 à l’état déplié et plat, en étant réalisé en carton ondulé ou un autre matériau sous forme de plaque. Le module 1 sous la forme parallélépipédique rectangle représentée aux figures 1 et 2 - qui est sa forme aux fins d’utilisation pour réaliser un coffrage - est obtenu par pliage pour le mettre en volume à partir de la plaque plane découpée conformément à la figure 3. En particulier, les barres tubulaires 5, 6 et 11, 12 sont obtenues par pliage en forme de tube de pans de matériau correspondant 5’, 6’, 11’, 12’ du module 1 à l’état plat. La section tubulaire des barres 11 ,12 est visible en section sur la figure 6. Lors de sa fabrication, le module 1 peut être pourvue de lignes d’affaiblissement facilitant le pliage pour sa mise en volume, ce qui peut être réalisé classiquement par rainage.
Après mise en volume du module 1, un rabat 17 agencé le long du montant 13 est solidarisé dans la région du bord latéral 18 de la paroi principale 2. Cette solidarisation est réalisée par tout moyen approprié tel que collage, agrafage ou patte(s) de verrouillage agencée(s) sur l’un et venant s’insérer dans une fente (respective) agencée dans l’autre.
Du fait que le module 1 peut être réalisée sous forme de plaque avant mise en volume permet avantageusement de le livrer à plat, et donc avec un gain de place important.
Les figures 4 et 5 illustrent un procédé d’édification d’un mur à l’aide de modules 1 pour un exemple de structure à plancher ou dalle 100 et poteaux 101, 102. Comme visible sur la figure 5, des modules 1 sont placés sur le plancher 100 entre les poteaux 101, 102. Les modules 1 sont placés côte à côte de manière contiguë avec l’ouverture latérale OL1 d’un module 1 faisant face à l’ouverture latérale OL2 du module 1 suivant.
Il est préférable de solidariser entre eux les modules 1 contigus. Cela peut être réalisé par des épingles 50. Un exemple de structure d’épingle 50 est illustré aux figures 14A et 14B. Les épingles 50 sont prévues chacune pour pincer ensemble deux montants contigus 14, 15 ou 13, 16 de deux modules 1 contigus. Deux épingles 50 en place dans un module 1 sont visibles dans les coupes verticales transversales des figures 7 et 8. Elles sont visibles aussi - en coupe - dans la vue en coupe horizontale de la figure 9.
Les ouvertures latérales OL1 ou OL2 des modules 1 aux deux extrémités d’une rangée de modules 1 sont obturées. En l’occurrence, cette obturation est le fait des poteaux 101, 102. En l’absence de poteaux, elle pourrait être obtenue en plaçant une plaque aux dimensions appropriées à l’intérieur du module 1 contre les montants 13, 14 ou 15, 16 de l’ouverture latérale OL1, OL2 concernée. Lorsque l’écart entre poteaux ne permet pas d’y placer un nombre entier de modules 1 contigus dans une même rangée, il est possible de découper les modules aux extrémités d’une rangée, par exemple au cutter, pour les ajuster contre le poteau. Cette situation est illustrée par les figures 15 et 16 dans laquelle les modules la, 1b, le ont ainsi été découpés. Il est préférable de compenser la perte de rigidité des modules découpés la, 1b, le - qui tend à faire bailler leurs parois principales 2, 3 - en les supportant entre des planchettes 111 fixées de part et d’autre du poteau 102 adjacent.
On remplit les modules 1 avec des corps solides tels que des pierres, morceaux de pierre ou gravats de ciments de préférence au moins jusqu’à la moitié de la hauteur des modules 1. Ces corps solides sont illustrés symboliquement sur les figures 8 et 9 sous la forme de sphères. Ensuite ou concomitamment, on remplit les modules 1 sensiblement à la même hauteur avec du mortier suffisamment fluide pour colmater sensiblement les vides entre les corps solides.
Puis, on place une deuxième rangée de modules 1 - dont deux modules 1 sont illustrées sur la figure 5 - sur la première rangée de modules 1 en emboîtant leurs collerettes 8 dans l’ouverture supérieure OS des modules 1 en-dessous. Les modules 1 de la deuxième rangée peuvent être placées chacun à cheval sur deux modules 1 de la rangée en-dessous comme cela est visible sur la figure 5. Cela est possible grâce aux découpes 9 dans la collerette 8 dans lesquelles viennent se loger les barres transversales supérieures 5, 6 des modules 1 en-dessous. L’agencement à cheval assure une bonne stabilité aux modules 1 entre eux. Alternativement, les modules 1 de la deuxième rangée sont placés en concordance avec ceux en-dessous de manière à être chacun emboîté dans un seul module 1.
Comme pour la première rangée de modules 1, les modules 1 de la deuxième rangée sont solidarisés entre eux par des épingles 50.
Par ailleurs, il est préférable de solidariser aussi les modules 1 de la deuxième rangée aux modules 1 de la rangée en-dessous en plus de leur emboîtement, ce qui limite le risque de désemboîtement lors du remplissage des modules 1 avec les corps solides et le mortier. Cela peut être réalisé par la mise en place d’entretoises 60 dans chaque module 1 lesquelles servent de support d’accrochage à des épingles 70 : cf. figure 7.
A titre d’exemple, une entretoise 60 est constituée de deux demi-broches 61 et une tige 62 illustrés respectivement par les figures 11 et 12. Une demi-broche 61 présente à une extrémité 64 une tête élargie 62 et à son autre extrémité un trou taraudé 63. La tige 62 est filetée à chacune de ses extrémités pour pouvoir être vissée dans une demi-broche 61 respective.
Chaque entretoise 60 est mise en place dans le module 1 à travers un trou 20 ménagé à cet effet dans les parois principales 2, 3. Grâce à ses têtes 62, l’entretoise 60 peut avoir pour effet de supporter les parois principales 2, 3 contre une déformation en direction de l’extérieur du module 1 lors du remplissage avec les corps solides et le mortier.
Un exemple d’épingle 70 est illustré aux figures 13 A et 13B. Elle a deux branches reliées entre elles par une portion de courbe par laquelle l’épingle 70 est accrochée à une entretoise 60 en place dans le module 1. Les extrémités libres des deux branches de l’épingle 70 sont engagées dans des ouvertures 21 ménagées à cet effet dans chaque barre supérieure 11, 12 d’un module 1 immédiatement en-dessous. Les ouvertures 21 sont visibles sur la figure 3. Chaque entretoise 60 supporte avantageusement deux épingles 70, l’une s’engageant dans la barrel 1 et l’autre dans la barre 12 du module 1 en-dessous.
Le nombre d’entretoises 60 placées dans un module 1 est de préférence de deux, chacune vers une autre extrémité latérale des parois principales 2, 3. Mais le nombre d’entretoises 60 peut être augmenté notamment si les modules 1 ont une longueur et/ou une hauteur importante.
Les trous 20 et les ouvertures 21 sont de préférence agencées dans le module 1 de manière que les épingles 70 accrochées aux entretoises 60 permettent la solidarisation de modules 1 superposées, que ce soit en concordance l’un sur l’autre ou que ce soit l’un à cheval sur deux autres. En variante, des ouvertures 21 distinctes peuvent être prévues pour correspondre respectivement aux deux agencements en superposition des modules 1.
Une fois la deuxième rangée de modules 1 ainsi mis en place, on procède à leur remplissage avec des corps solides et du mortier similairement au cas de la première rangée. Lors de cette opération, le remplissage des modules 1 de la première rangée est complété le cas échéant à travers les modules 1 de la deuxième rangée.
On procède ensuite à la mise en place d’une troisième rangée de modules 1 sur la deuxième rangée et à leur remplissage, et ainsi de suite jusqu’à l’édification complète du mur.
Après séchage du mortier, on peut retirer les modules 1 - ou du moins leurs parois principales 2,3 et les barres longitudinales 11, 12 -, ce qui peut être facilité en les aspergeant d’eau dans le cas de modules 1 en carton ondulé. Les barres transversales 5, 6 peuvent éventuellement rester totalement ou partiellement dans le mur. Les trous correspondants dans le mur peuvent ensuite être colmatés, par exemple avec du mortier. Il en va de même des rainures laissées à la surface du mur par les barres supérieures 11, 12.
En variante, il est possible de disposer plusieurs rangées de modules 1 les unes sur les autres en solidarisant entre eux les modules 1 de la manière précédemment décrite, avant de procéder au remplissage partiel ou complet de leurs modules 1 avec des corps solides et du mortier. Dans ce cas, il est préférable de limiter une opération de remplissage à un certain nombre de rangées de modules 1 superposées qui est déterminé au regard de la résistance mécanique des modules 1 - complétés le cas échéant avec les entretoises 60 ou autres éléments de rigidification - à la pression exercée sur leurs parois principales 2, 3 lors du remplissage avec les corps solides et le mortier. Ensuite, une nouvelle opération de remplissage peut être effectuée après écoulement d’un certain temps depuis la précédente opération de remplissage pour permettre au préalable une prise du mortier suffisante dans la portion de mur sous-jacente et ainsi éviter ou limiter suffisamment une pression sur les modules 1 correspondant lors de la nouvelle opération de remplissage.
Lors de la mise en place d’une nouvelle rangée de modules 1 sur une rangée précédente de module, il est préférable que les modules 1 de la rangée précédente soient remplis au maximum à un niveau un peu inférieur à celui des barres supérieures 11, 12. En effet, cela facilite l’emboîtement de la collerette 8 des modules 1 de la nouvelle rangée dans l’ouverture supérieure OS des modules 1 de la rangée précédente, ainsi que la mise en place des épingles 70 dans les trous 21 des modules 1 de la rangée précédente, c’est-à-dire sans devoir pénétrer dans le mortier contenu dans les modules 1 de la rangée précédente.
L’on comprendra que les ouvertures aux extrémités latérales OL1, OL2 du module 1 sont définies suffisamment grandes pour permettre à des corps solides et au mortier de les traverser, ce qui procure une continuité du matériau constitutif du mur obtenu entre deux modules 1 contigus. Il en est de même des ouvertures supérieure et inférieure OS, OI pour ce qui concerne des modules 1 superposés.
Les dimensions du module 1 mis en volume sous la forme parallélépipédique rectangle correspondent de préférence sensiblement à un parpaing. A titre d’exemple, sa longueur est 40 cm, sa hauteur, ainsi que sa profondeur sont de 20 cm. L’on comprendra que la longueur du module 1 est par convention la distance entre les extrémités latérales du module 1 correspondant aux ouvertures OL1, OL2 tandis que sa hauteur est la distance entre le dessus du module 1 correspondant à l’ouverture OS et son dessous correspondant à l’ouverture 01, en excluant la partie saillante de la structure d’emboîtement, à savoir en l’occurrence la collerette 8. La profondeur est donc la dimension du module 1 dans la direction perpendiculaire aux parois principales 2 ,3. Le module 1 peut cependant être réalisé plus grand. L’on tiendra évidemment compte de la résistance du matériau constitutif du module 1 par rapport à la pression à contenir par les parois du module 1 lors de leur remplissage avec les corps solides et le mortier, ainsi que la facilité de mise en place manuelle des entretoises 60 et des épingles 70. Mais il est préférable que les dimensions maximales du module 1 soient 50 cm en hauteur, 250 cm en longueur et 50 cm de profondeur afin d’éviter que le transport et la manipulation ne deviennent trop fastidieux. Pour des modules 1 de grande taille, le nombre d’entretoises 60 peut bien entendu être supérieur à deux et réparti suivant la longueur du module 1 - et éventuellement aussi suivant sa hauteur - pour supporter les parois principales contre une déformation en direction de l’extérieur du module 1 lors du remplissage avec les corps solides et le mortier. A l’inverse, il est préférable que les dimensions minimales du module 1 soient 10 cm en hauteur, 15 cm en longueur et 8 cm de profondeur afin d’éviter de multiplier le nombre de modules 1 à installer pour ériger un mur. Si le module 1 est réalisé en carton ondulé, alors il est préférable de sélectionner à minima un carton double-cannelure de type BB (étant rappelé qu’une cannelure B mesure de manière standard de 2,5 mm à 3,5 mm).
Bien entendu, si le matériau choisi est du carton ondulé, on tiendra aussi compte de sa résistance à l’humidité qui doit être suffisante afin que le module 1 assure sa fonction de coffrage pendant le temps de prise du mortier jusqu’à auto-stabilisation de la portion de mur correspondante. Pour améliorer sa résistance à l’humidité, les parois intérieures du module 1 peuvent être enduites d’un vernis, par exemple de type uréthane.
Concernant la taille des corps solides de remplissage des modules 1, il est préférable de la définir suivant un compromis consistant à les choisir le plus gros possible pour permettre une mise en place rapide et facile dans les modules 1, mais en évitant de former des vides interstitiels trop grands car ceux-ci demandent une quantité de mortier importante, augmentant ainsi le coût d’édification du mur.
En pratique, il est avantageux qu’au moins une majorité des corps solides - par rapport au volume total de corps solides utilisés - puissent être chacun contenu dans une sphère fictive ayant un diamètre de 50 mm tout en étant trop grand pour être contenu dans une sphère fictive ayant un diamètre inférieur à 20 mm.
Le mortier est de préférence une base de sable et de ciment. Il comprend de préférence au moins 25kg de ciment pour 100 litres de sable. La quantité d’eau à ajouter
- environ 35 à 40 litres - dépend des conditions de température extérieure et de la proportion d’eau que contient déjà le sable. Il est avantageux que le mélange ait sensiblement la consistance de l’huile afin de pouvoir couler entre les corps solides, et ainsi combler les espaces interstitiels entre eux. Un plastifiant - de type classique existant dans le commerce - peut avantageusement être ajouté pour améliorer la viscosité du mortier, par exemple environ 5% environ du volume total. La viscosité du mortier peut aussi être améliorée par adjonction de fines calcaires, ce qui permet en outre de diminuer la proportion de ciment.
Pour améliorer la résistance de la structure globale résultante, notamment en zone sismique, il est préférable de lier le mur réalisé au moyen des modules 1 avec la structure recevant le mur à l’aide de fers en attente : cf. les fers en attente visibles sur la figure 4 (non représentés par commodité sur la figure 5).
Après édification du mur, les entretoises 60 - qui peuvent rester en place dans le mur - peuvent avantageusement servir à accrocher des éléments au mur, par exemple des éléments de parement. Pour cela, il est avantageux que les entretoises 60 présentent un trou axial débouchant à l’extérieur de leur tête 62 comme illustré sur la figure 11, ce qui permet par exemple d’y fixer une vis.
Suivant une option avantageuse, l’une des parois principales 2, 3 du module 1, ou les deux, sont parées d’un matériau isolant telle qu’une plaque de polystyrène ou d’une mousse de polyuréthane. Le matériau isolant peut être appliqué au choix du côté intérieur au module 1 ou du côté extérieur au module 1 ou sur les deux côtés de la paroi principale concernée. Le matériau isolant est de préférence fixé à la paroi principale concernée par tout moyen approprié, par exemple par collage. Les trous 20 traversent également le matériau isolant pour permettre la mise en place des entretoises 60. Cette option permet d’édifier un mur isolé sans main d’œuvre supplémentaire. Les entretoises 60 assurent avantageusement le maintien en position de la ou des parois principales 2, 3 parées avec le matériau isolant, sur le mur après son édification.
Bien entendu, la présente invention n'est pas limitée aux exemples et au mode de réalisation décrits et représentés, mais elle est susceptible de nombreuses variantes accessibles à l'homme de l'art.

Claims (16)

  1. REVENDICATIONS
    1. Module de coffrage perdu (1) pour l’édification de mur, lequel module présente, le cas échéant après mise en volume aux fins d’utilisation de coffrage, une forme parallélépipédique rectangle ouverte sur le haut (OS) et sur le bas (01), ainsi qu’à deux extrémités latérales opposées (OL1, OL2), et comprenant :
    deux parois principales (2, 3) se faisant face et définissant entre elles un volume de remplissage ;
    deux barres transversales (4, 5 ; 6, 7) reliant entre elles les deux parois principales à chacune de leurs extrémités latérales, l’une de préférence au niveau du bord supérieur des parois et l’autre de préférence au niveau du bord inférieur ; et
    - une structure d’emboîtement (8) apte à permettre l’emboîtement du module sur un autre module identique.
  2. 2. Module de coffrage perdu selon la revendication 1, lequel est réalisé monobloc d’un seul tenant.
  3. 3. Module de coffrage perdu selon la revendication 1 ou 2, lequel est sous une présentation plane apte à être mise en volume sous la forme parallélépipédique rectangle par pliage.
  4. 4. Module de coffrage perdu selon l’une quelconque des revendications 1 à 3, dans lequel la structure d’emboîtement (8) est apte à permettre l’emboîtement du module à cheval sur deux autre modules identiques agencés côte à côte en contact latéral.
  5. 5. Module de coffrage perdu selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, lequel est réalisé en carton ondulé.
  6. 6. Module de coffrage perdu selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, lequel est réalisé dans un matériau sous forme de plaque, et dans lequel, le cas échéant après mise en volume aux fins d’utilisation pour coffrage, le pourtour supérieur (5, 6, 11, 12) et le pourtour inférieur (4, 7, 8, 10) du module est renforcé mécaniquement par pliage des bords correspondants du matériau sous forme de plaque.
  7. 7. Module de coffrage perdu selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, dans lequel au moins l’une des parois principales (2, 3) est parée d’un matériau isolant.
  8. 8. Ensemble prêt à monter pour réaliser un coffrage perdu d’édification de mur, comprenant au moins un module de coffrage perdu (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 7, et comprenant en outre :
    au moins un élément de solidarisation (50 ; 70) tel qu’une clé ou une épingle pour, en cours de réalisation d’un coffrage, solidariser le module (1) à un autre module (1) placé sous lui ou à côté de lui en contact latéral ; et/ou au moins une entretoise (60) destinée à être mise en place dans le module de manière à relier entre elles les parois principales du module, les parois principales étant préférentiellement pourvues d’au moins une ouverture destinée à recevoir l’entretoise.
  9. 9. Ensemble prêt à monter selon la revendication 8, dans lequel, pour solidariser le module (1) à un autre module (1) en cours de réalisation d’un coffrage, l’élément de solidarisation (70) est prévu pour être accroché à l’entretoise (60) mise en place dans le module.
  10. 10. Procédé d’édification d’un mur, comprenant les étapes consistant à :
    a) disposer sur un support une rangée de modules de coffrage perdu (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 7 sous leur forme parallélépipédique rectangle en les plaçant côte à côte en contact latéral et en obturant éventuellement l’extrémité libre des modules d’extrémités ;
    - b) optionnellement répéter au moins une fois l’étape a) en plaçant une rangée additionnelle de modules de coffrage perdu (1) sur la rangée de modules précédente qui sert de support à la rangée additionnelle de modules ; puis c) mettre dans les modules (1) des corps solides tel que des pierres, des morceaux de pierre ou des gravats de ciments, ainsi que du mortier.
  11. 11. Procédé selon la revendication 10, dans lequel l’étape a) comprend une sous-étape consistant à :
    al) solidariser deux à deux les modules (1) placés côte à côte à l’aide d’éléments de solidarisation tels que des clés ou des épingles (50).
  12. 12. Procédé selon la revendication 10 ou 11, comprenant, après l’étape c), une étape d) consistant à :
    répéter au moins une fois l’étape a), optionnellement l’étape b), puis l’étape c), dans lequel c’est soit la partie supérieure de la rangée de modules (1) disposée lors de l’exécution de l’étape a) qui a précédée, soit la partie supérieure de la portion de mur résultant de l’exécution de l’étape c) qui a précédée, qui sert de support à la rangée de modules (1) disposés lors de la répétition de l’étape a) en application de l’étape d).
  13. 13. Procédé selon la revendication 12, dans laquelle la répétition de l’étape c) en application de l’étape d) n’est exécutée qu’après écoulement d’un certain temps depuis l’exécution de l’étape c) qui précède pour assurer une prise du mortier dans les modules (1) en-dessous de manière à exclure ou limiter sensiblement la pression sur leurs parois lors de la répétition de l’étape c).
  14. 14. Procédé selon l’une quelconque des revendications 10 à 13, dans lequel l’étape a) comprend une sous-étape consistant à :
    a2) placer des entretoises (60) dans les modules (1) de manière à relier entre elles les parois principales des modules pour les supporter contre une déformation en direction de l’extérieur du module.
  15. 15. Procédé selon l’une quelconque des revendications 10 à 14, dans lequel en cas de répétition de l’étape a) en application de l’étape b) et/ou de l’étape d), l’étape a) comprend à chaque fois une sous-étape consistant à :
    a3) solidariser les modules d’une nouvelle rangée aux modules de la rangée immédiatement en-dessous à l’aide d’éléments de solidarisation tels que des clés ou des épingles (70).
  16. 16. Procédé selon la revendication 15 en ce qu’elle dépend de la revendication 14, dans lequel l’étape a3) comprend l’accrochage d’un élément de solidarisation (70) à au moins une dite entretoise (60) mise en place dans l’un des modules pour le solidariser à un module immédiatement en-dessous.
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Citations (3)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP0206502A2 (fr) * 1985-05-06 1986-12-30 Sandsleeve (Proprietary) Limited Procédé et dispositif pour travail de construction
WO2005012663A2 (fr) * 2003-08-01 2005-02-10 Hugh Fisher Elements de construction
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