FR3070856A1 - Produit de soin pour reduire les risques de survenance d'au moins une maladie ou un trouble de la sante - Google Patents

Produit de soin pour reduire les risques de survenance d'au moins une maladie ou un trouble de la sante Download PDF

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Abstract

Le produit de soin pour réduire les risques de survenance d'au moins une maladie ou un trouble de la santé, comporte du magnésium, sous la forme de chlorure de magnésium et/ou de glycérophosphate de magnésium, et de la bromélaïne. Le produit de soin permet de lutter contre l'inflammation systémique chronique de bas grade. Dans des modes de réalisation, le produit de soin prend la forme d'un complément alimentaire. Dans des modes de réalisation, le produit de soin comporte au moins 50 % de chlorure de magnésium sous forme hexahydraté (MgCl2.6H2O). Dans des modes de réalisation, le produit de soin est conditionné pour un apport de Magnésium journaliser supérieur ou égal à 80 mg, et préférentiellement 300 mg. Dans des modes de réalisation, le produit de soin est conditionné pour un apport journalier de bromélaïne compris entre 10 mg et 10.000 mg.

Description

DOMAINE TECHNIQUE DE L’INVENTION
La présente invention concerne un produit de soin, notamment un complément alimentaire, pour réduire les risques de survenance d’au moins une maladie ou un trouble de la santé, en améliorant le fonctionnement des cellules vivantes. Elle s’applique aux domaines du bien-être et de la prévention de dysfonctionnements cellulaires.
ETAT DE LA TECHNIQUE
Aujourd’hui, 3,1 milliards d’humains - soit presque une personne sur deux dans le monde - sont concernés par une maladie cardio-vasculaire, un cancer, un diabète, l’ostéoporose, ou la dépression... ou par une combinaison de ces maladies. Un chiffre en hausse permanente, comme le nombre de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, l’arthrose et de nombreuses autres maladies dégénératives ou liées au dysfonctionnement du système immunitaire.
Cet état des lieux démontre que l’humanité est menacée par des maladies devenues, au fil du temps, des pandémies.
En 2014, jamais l’homme n’a dû affronter de pandémies aussi nombreuses et aussi meurtrières. Ces menaces, ce sont, en premier lieu, les maladies cardio-vasculaires, le cancer et le diabète. Selon l’OMS, ces affections sont responsables aujourd’hui de 28 millions de décès par an et tueront 43,5 millions de personnes chaque année, dès 2030. Ces trois maladies représentent à elles seules près de la moitié des décès mondiaux annuels, toutes causes confondues.
Cœur, système immunitaire, système nerveux, glycémie, système osseux... Partout dans le monde, le corps humain fonctionne de moins en moins bien.
Les pandémies que nous avons évoquées ci-dessus sont donc très préoccupantes, mais d’autres brisent également des vies de façon irrémédiable. Il s’agit de la maladie d’Alzheimer, de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques, et de l’arthrose.
Nous assistons donc à une explosion pandémique globale, et contrairement à une idée reçue, la santé, qu’on nous présente comme un droit humain et pour laquelle les États dépensent globalement 10 000 milliards de dollars par an, se dégrade d’année en année.
Le bilan est clair, nous vivons de plus en plus longtemps... en mauvaise santé.
OBJET DE L’INVENTION
La présente invention vise à remédier à tout ou partie de ces inconvénients.
A cet effet, selon un premier aspect, la présente invention vise un produit de soin pour réduire les risques de survenance d’au moins une maladie ou un trouble de la santé, qui comporte
- du magnésium, sous la forme de chlorure de magnésium et/ou de glycérophosphate de magnésium et
- de la bromélaïne.
L’inventeur a, en effet, découvert et démontré que l’utilisation combinée du Magnésium et de la bromélaïne aidait à prévenir tout ou partie de maladies et troubles.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de l’invention comporte au moins 90 % de chlorure de magnésium et de bromélaïne.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin est configuré pour lutter contre l’inflammation systémique chronique de bas grade.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin pour réduire les risques de survenance d’au moins une des maladies ou un des troubles suivants, par amélioration de l’activité biochimique cellulaire :
maladies cardio-vasculaires, hypertension athérosclérose insuffisance cardiaque, accidents vasculaires cérébraux diabète, cancer, paludisme, dépression, troubles musculosquelettiques ostéoporose, arthrose, grippe, gastroentérite, maladies neurodégénératives maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson et sclérose en plaques, herpès génital et labial, inflammations chroniques, remontées gastro oesophagiennes troubles du sommeil et halitose.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention prend la forme d’un complément alimentaire.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention comporte au moins 50 % de chlorure de magnésium sous forme hexahydraté (MgCI2.6H2O).
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention est conditionné pour un apport journalier de chlorure de Magnésium hexahydraté supérieur ou égal à 1 gramme, et préférentiellement 2,5 grammes.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention prend la forme de liquide, de cristaux, de poudre, de gel ou de comprimés.
Dans des modes de réalisation, la poudre est issue d’une extraction dans une mine, sans adjonction de produit de coupage.
L’inventeur a découvert que ce type de complément alimentaire présente une absence d’arsenic, de plomb, de mercure, d’aluminium et possède un coût de revient limité.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention est conditionné pour un apport de Magnésium journaliser supérieur ou égal à 80 mg, et préférentiellement 300 mg.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin est conditionné pour un apport journalier de bromélaïne compris entre 10 mg et 10.000 mg.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention est conditionné pour plusieurs prises de doses de chlorure de Magnésium, chaque jour.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention comporte un mélange :
- de chlorure de magnésium et
- de glycérophosphate de magnésium.
L’inventeur a découvert que ce mélange pouvait prendre, selon les proportions des constituants et son séchage, la forme d’un gel, d’une pâte ou d’un solide qui peuvent être introduits dans de nombreux produits.
Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention comporte un agent de saveur.
Dans des modes de réalisation, l’agent de saveur donne une saveur sucrée au complément alimentaire.
Dans des modes de réalisation, le produit prend la forme d’un liquide et, préférentiellement, d’une boisson.
DESCRIPTION D’EXEMPLES DE REALISATION DE L’INVENTION
La santé est donc un processus de survie sur le long terme, créé par les cellules il y a plus de 3,5 milliards d’années. En passant de l’unicellulaire au pluricellulaire, les cellules ont également créé une version réseau de la santé. En effet, tout être pluricellulaire - dont nous sommes - est un assemblage de cellules autonomes, qui fonctionnent de manière coordonnée en échangeant des informations, constituant ainsi un réseau.
Le savoir-faire cellulaire s’étant amélioré et complexifié au fil de l’évolution, l’expertise cellulaire en matière de santé est unique et sans comparaison avec nos connaissances humaines actuelles. Chaque être humain est composé de 10 000 milliards de cellules connectées, expertes en santé, dont l’unique objectif est de maintenir la permanence de la santé.
Tout ce qui est vivant sur Terre est donc cellulaire, et chaque cellule, qui constitue l’unité de base de la matière vivante, est le siège d’une suite ininterrompue de réactions chimiques, que l’on appelle « réactions biochimiques >>. Du bon déroulement de l’ensemble de ces réactions biochimiques dépend notre santé.
La santé est un processus cellulaire intégré, créé et développé par les cellules dès leur apparition sur Terre pour assurer leur survie, et qui s’est complexifié durant toute l’évolution. Quand chaque cellule d’un organisme assure la totalité des réactions biochimiques dont elle à la charge, on parle d’Activité Biochimique Cellulaire Optimale (« ABCO >>). Quand des cellules ne parviennent pas à assurer la totalité des réactions biochimiques dont elles ont la charge, on parle de Déficit Biochimique Cellulaire. En cas de déficit biochimique cellulaire prolongé, la santé échoue. La maladie est alors inévitable, quelle que soit sa forme.
Pour assurer leur fonctionnement, les cellules doivent disposer de nutriments. Les nutriments sont les molécules directement utilisables par les cellules sans aucune modification chimique, le rôle de notre système digestif étant d'extraire les nutriments de notre alimentation afin de les mettre à disposition de nos cellules.
On distingue deux types de nutriments : les macronutriments et les micronutriments. Les macronutriments sont liés à la production d’énergie, et les micronutriments sont indispensables aux enzymes qui sont à l’origine de l’activité biochimique cellulaire. Sans micronutriment, pas d’activité biochimique cellulaire, et donc pas de vie.
Or, notre alimentation est trop riche en macronutriments et trop pauvre en micronutriments. Les conditions ne sont donc pas réunies pour que nos cellules fonctionnent correctement.
L’inventeur a découvert que, parmi les micronutriments, l’un d’eux est particulièrement intéressant. À lui seul, il est impliqué dans plus de trois cents réactions biochimiques indispensables. Un micronutriment qui, s’il était disponible en quantités suffisantes dans notre alimentation, permettrait d’assurer une prévention efficace des maladies cardio-vasculaires, du diabète, de l’ostéoporose et de la dépression nerveuse, bref, d’un ensemble des pandémies actuelles. Ce micronutriment c’est le magnésium.
Notre alimentation essentiellement composée d’aliments industriels ne nous apporte pas suffisamment de micronutriments et d’enzymes digestives, sachant que les micronutriments sont indispensables aux cellules pour fabriquer les enzymes métaboliques et les faire fonctionner, et que les enzymes digestives sont essentielles à la transformation des aliments en nutriments.
L’origine intestinale des maladies neurodégénératives que sont les maladies d’Alzheimer et de Parkinson, et qui attaquent les neurones intestinaux dix à vingt ans avant les premiers symptômes, est désormais reconnue. Le rôle des intestins ne s’arrête pas là. Ils sont également une des clés de notre immunité.
Selon Jean Fioramonti, directeur de recherche à l'unité de toxicologie alimentaire de l’Inra, « L’intestin regroupe 80 % des cellules immunitaires de l’organisme. » On imagine donc facilement l’impact d’un mauvais fonctionnement intestinal sur l’ensemble de notre santé. La mission des intestins est d’acheminer le bol alimentaire en analysant les aliments et en les triant, pour laisser passer dans le sang les nutriments dont l’organisme a besoin, et se débarrasser des bactéries pathogènes et des aliments non assimilables, qui seront éliminés par le côlon.
La flore intestinale a aussi une forte influence sur le fonctionnement du cerveau et du système nerveux. En pratique, cerveau et bactéries de la flore intestinale dialoguent en direct. Un échange rendu possible grâce au gigantesque réseau de 200 millions de neurones entourant l’intestin : le système nerveux entérique.
Gérer les 100 000 milliards de bactéries colonisant notre organisme est une affaire de spécialiste. Et c’est justement à un expert du contrôle bactérien, que revient cette tâche : le système immunitaire. C’est lui qui dialogue avec les bactéries, contrôle leur diversité et leur répartition, et maîtrise leur prolifération.
Aujourd’hui, on découvre le rôle essentiel des bactéries dans la protection de notre organisme, quand elles sont présentes en nombre, 100 000 milliards, et en variété, 1 000 espèces de bactéries différentes pour un adulte. S’il y a un déséquilibre dans cet écosystème, l’apparition de certaines maladies comme le diabète, l’obésité, l’asthme, la bronchite chronique, certaines allergies, l’emphysème, l’eczéma, les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, telle la maladie de Crohn... sont favorisés.
Or, certaines de nos habitudes quotidiennes menacent l’équilibre de notre microbiote. L’utilisation inconsidérée des antibiotiques ; l’emploi abusif des détergents en hygiène corporelle et en beauté, gels douche, shampoings, démaquillants... ; l’usage massif des gels antibactériens ; l’inhalation de diverses substances, tabac, désodorisants, insecticides... sont autant de gestes qui le détériorent. Déséquilibré, le microbiote ne peut plus assurer correctement ses fonctions immunitaires, la régulation du système nerveux, la synthèse des vitamines, des enzymes et des acides gras, et son dialogue avec le cerveau via le système nerveux entérique. Un déséquilibre qui menace notre santé.
La présente invention favorise la constitution ou la reconstitution d’un microbiote intestinale équilibré de qualité, compatible avec la maintenance de la santé et la prévention des maladies.
Comme nous venons de le voir, la santé est le résultat d’une activité biochimique cellulaire optimale, uniquement possible si l’apport alimentaire en micronutriments est suffisant.
Or la base de l’alimentation moderne, qui repose sur une surcharge en macronutriments et une carence en micronutriments, génère inévitablement un déficit biochimique cellulaire. Si l’organisme peut gérer le déficit biochimique cellulaire quelque temps, la santé finit malgré tout par échouer, et les maladies, quelque forme qu’elles prennent, ont le champ libre.
D’ailleurs, les démographes ont constaté un phénomène très inquiétant, directement lié à la qualité médiocre de notre alimentation : l’espérance de vie en bonne santé est de plus en plus courte, et c’est un phénomène mondial. Les conséquences économiques de ce problème sont importantes, car les systèmes de santé vont devoir assurer la prise en charge d’un nombre de plus en plus important de personnes souffrant, sur des périodes de plus en plus longues, d’un large éventail de maladies invalidantes :
- troubles musculosquelettiques comme l’arthrose et l’ostéoporose ;
- maladies cardio-vasculaires comme l’hypertension, l’insuffisance cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux ;
- cancers ;
- dépressions nerveuses et burn-out ;
- maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques.
Entre l’installation d’un déficit biochimique cellulaire et l’apparition d’une maladie, nous disposons d’un certain laps de temps. Prenons l’exemple du cancer. Il faut en moyenne dix ans pour diagnostiquer la maladie, c’est-à-dire dix ans entre l’apparition de la première cellule cancéreuse et l’épisode où la tumeur compte un milliard de cellules cancéreuses. En ce moment même, dans le monde, neuf cancéreux sur dix ignorent qu’ils sont porteurs d’un cancer ; en effet, avant un certain stade de développement, le cancer est silencieux et ne pose aucun problème au reste de l’organisme. Les personnes atteintes semblent en bonne santé, et ne manifestent aucun symptôme... Or, c’est quand la tumeur est constituée de quelques milliers ou quelques centaines de milliers de cellules qu’elle est vulnérable et que notre système immunitaire peut en venir à bout sans aucune conséquence personnelle, sociale ou économique. En diagnostiquant une tumeur vieille de dix ans, on arrive beaucoup trop tard, et les moyens à mettre en oeuvre doivent être importants, lourds de conséquences personnelles, sociales et économiques, sans garantie de survie ou de maintien de l’intégrité anatomique de la personne concernée.
D’autre part, le traitement intervient une fois la maladie déclarée, c’est-à-dire quand la santé a échoué, et ce traitement consiste généralement à administrer une molécule ayant une action spécifique sur cette maladie.
Or, il est avéré que cette action extérieure n’est pas sans effet néfaste pour l’organisme, l’action des médicaments n’étant pas automatiquement compensée par l’organisme, comme c’est la règle dans le cas d’une action engagée à l’initiative des cellules. Ceci explique que l’action chimique des médicaments génère de nombreux problèmes collatéraux, appelés « effets indésirables ». C’est là l’un des problèmes majeurs liés à l’utilisation des médicaments. Il est à noter que les effets indésirables listés pour chaque médicament - et qui, pour certains, font froid dans le dos - ne sont que la partie visible de l’iceberg. En effet notre connaissance encore limitée du fonctionnement cellulaire ne nous permet pas de mesurer toutes les conséquences à long terme de l’impact des médicaments sur les cellules.
La présente invention n’utilise pas de médicaments, elle favorise simplement l’expression de l’expertise cellulaire en matière de santé. À ce titre, son rôle principal est de prévenir les maladies, c’est-à-dire d’empêcher leur apparition, mais elle utilise également le savoir-faire cellulaire pour rétablir la santé, au sens de la présente invention, ou pour permettre une utilisation optimale des capacités restantes d’une fonction.
La santé n’est donc pas un état, mais un processus. Quand ce dernier fonctionne normalement, notre capacité à utiliser l’ensemble de nos fonctions est optimale, nous nous sentons bien, et nous ne tombons pas malades. Quand ce processus échoue, notre capacité à utiliser l’ensemble de nos fonctions nécessite plus d’efforts, notre structure biologique se fragilise, et la maladie s’impose d’une façon ou d’une autre. La santé, qui est un processus cellulaire, constitue la prévention la plus efficace contre l’ensemble des maladies connues.
Quand l’activité biochimique cellulaire d’un organisme est optimale, sa santé est assurée. Le complément alimentaire objet de la présente invention constitue un impératif en matière de lutte contre un ensemble des pandémies actuelles : maladies cardio-vasculaires, diabète, ostéoporose, dépression, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, arthrose...
La présente invention intervient en amont des maladies, avant qu’elles n’apparaissent, quand les choses sont encore simples, et qu’il suffit de fournir à nos milliards de cellules les micronutriments nécessaires à leur travail d’expert de la santé. Un travail invisible et impalpable d’une complexité et d’une précision qui dépasse, comme nous l’avons déjà dit, toutes les compétences technologiques humaines actuelles.
Les conséquences de la carence en magnésium sont significatives, en termes individuel, familial et économique, et les dépenses de santé liées à ce problème sont considérables, leur financement devenant un vrai casse-tête pour de nombreux pays.
Indispensable à l’activité biochimique cellulaire, le magnésium n’est pas produit par l’organisme. L’origine du déficit en magnésium est donc uniquement alimentaire et directement liée à l’industrialisation massive de notre alimentation.
Ce sont, plus précisément, les méthodes de production industrielle des aliments, qui génèrent ces carences en micronutriments, dont le magnésium. Or, il est clair que les méthodes de production industrielle et la politique du « toujours moins cher », orchestrées par la grande distribution, sont responsables d’un réel désastre en matière de santé. Celles-ci génèrent une carence de notre alimentation en micronutriments, et notamment une carence mondiale en magnésium.
Les cellules de tous les organismes vivants connus ont besoin de magnésium. Les processus dans lesquels le magnésium est impliqué concernent chacune de nos cellules sans exception. C’est pourquoi le magnésium nous est indispensable.
Essentiel à nos défenses immunitaires, à notre activité cardio-vasculaire, digestive, neuro-musculaire, endocrinienne, ostéoarticulaire, respiratoire et oculaire, le magnésium l’est également à tous les grands métabolismes : glucidique, protidique, lipidique, phosphocalcique. Sans magnésium, nos cellules ne peuvent fonctionner correctement. Ce micronutriment conditionne pas moins de trois cent trente réactions enzymatiques essentielles au maintien de la vie et de notre santé. Le magnésium intervient en effet dans les processus d’alimentation de nos cellules en énergie, dans leur division, dans la respiration cellulaire, dans la réparation de l’ADN, dans l’échange et le décodage des informations, dans la synthèse des protéines, dans l’élimination des déchets. Le magnésium est également très précieux pour ses effets anti-stress, anti-allergiques, anti-anaphylactiques, antioxydants, anti-inflammatoires.
Le magnésium est donc une substance absolument nécessaire, dont l’absence totale est incompatible avec la vie, et dont la carence est génératrice de pathologies. Le magnésium nous est essentiel. Voici quelques explications qui sauront vous en convaincre...
Toute cellule vivante a besoin d’énergie pour fonctionner. Ce carburant, c’est l’adénosine triphosphate (ATP). Pour être biologiquement active, la molécule d’ATP doit être liée à un ion magnésium. Sans magnésium pas d’énergie, et donc pas de fonctionnement cellulaire.
Voici ce que déclarait Joël de Rosnay, spécialiste des origines du vivant :
« ATP + magnésium = combustible universel de la vie. >>
Ainsi, sur le plan énergétique, quand nos cellules ne disposent pas de magnésium en quantité suffisante, elles ne fonctionnent pas, ou pas correctement.
L’ADN polymérase est un complexe enzymatique spécialisé dans la duplication et la réparation de IADN.
Le fonctionnement de IADN polymérase nécessite la présence impérative d’ions magnésium comme cofacteurs. Là encore, si nos cellules ne disposent pas de suffisamment de magnésium, leur duplication et la réparation de leur ADN se déroulent mal. Or, quand une cellule dupliquée comporte des erreurs dans le codage de son ADN et qu’il n’est pas possible de la réparer, cette cellule ne peut pas correctement assurer ses fonctions.
La fonction musculaire est essentielle. Parler, travailler, respirer... C’est elle qui nous permet d’interagir avec notre environnement. Or, cette fonction est très dépendante du magnésium. La contraction et le relâchement des muscles sont conditionnés par l’entrée et la sortie du calcium dans les cellules. Tel un portier, c’est le magnésium qui assure la régulation des entrées et des sorties de calcium.
Ce sont les ions magnésium qui régulent le transfert des ions calcium, sodium et potassium à travers les membranes cellulaires. Tonus vasculaire, vasomotricité, activités cardiaque et nerveuse sont autant de fonctions biologiques dépendant de ces mouvements ioniques. Des fonctions conditionnées par la présence de magnésium dans notre organisme.
Un des rôles du magnésium est de permettre à l’organisme de réparer les gènes endommagés, grâce à l’action de l’ADN polymérase. En cas de carence en magnésium, l’ADN polymérase ne peut assurer la réparation des gènes endommagés, et les cellules génétiquement altérées deviennent potentiellement cancéreuses.
L’inventeur a découvert que le magnésium est aussi un allié précieux dans la prévention des maladies cardio-vasculaires. Ainsi, parce qu’il favorise la solubilité du calcium dans le sang et qu’il élimine les dépôts calciques, le magnésium doit être privilégié pour prévenir les maladies cardio-vasculaires.
De plus, l’inventeur a découvert que le magnésium permet de réduire :
- le stress oxydatif, qui vieillit prématurément cellules et vaisseaux ;
- les phénomènes inflammatoires observés dans l’athérosclérose ;
- l’hypertension artérielle liée au resserrement des vaisseaux sanguins ;
- le durcissement des artères lié aux infiltrations de calcium dans les parois cellulaires artérielles ;
- de plus, il participe à la gestion des phénomènes de contraction-relaxation des cellules cardiaques, assurant ainsi le bon fonctionnement de la régulation du rythme cardiaque et des cellules musculaires lisses vasculaires, qui permettent la vasodilatation et la vasoconstriction des vaisseaux sanguins ;
- rappelons enfin que le muscle cardiaque est un grand consommateur d’énergie, donc d’ATP et par conséquent de magnésium indispensable à l’activation des molécules d’ATP.
Pour toutes ces raisons, on comprend qu’une carence prolongée en magnésium peut se révéler dévastatrice pour le système cardio-vasculaire.
L’inventeur a découvert que, grâce au magnésium, le calcium est moins soluble et donc mieux fixé dans la structure osseuse, qui conserve ainsi sa solidité.
Le magnésium permet à l’ensemble des cellules de l’organisme, et notamment aux cellules nerveuses, de passer en mode repos. À l’inverse, le déficit en magnésium empêche l’expression du mode repos : il place les cellules dans un état électrique proche du seuil d’excitabilité. Elles sont alors prêtes à répondre au moindre stimulus. Stress, irritabilité, anxiété, nervosité, picotements dans les pieds et les mains, sensibilité au bruit, à la lumière... sont caractéristiques du déficit en magnésium.
L’inventeur a découvert que le magnésium est impliqué dans la régulation de l’activité nerveuse chez l’homme.
Pour réduire les risques de survenance d’au moins une maladie ou un trouble de la santé, la présente invention vise un produit de soin qui comporte :
- du magnésium, sous la forme de chlorure de magnésium et/ou de glycérophosphate de magnésium et
- de la bromélaïne.
La broméline, ou bromélaïne, est une protéase à cystéine initialement extraite des tiges et racines fraîches de l'ananas. L'ananas est une broméliacée, d'où le nom donné à cette enzyme.
La broméline est utilisée dans l'industrie alimentaire, dans l'industrie textile, en cosmétologie, est à la base de certaines préparations pharmaceutiques, et est également utilisée en immunohématologie dans les techniques de recherches d'anticorps irréguliers.
Prise lors des repas, la broméline s'attaque aux protéines consommées, qu'elles soient d'origine animale ou végétale. La broméline agit au cours de la digestion en clivant les protéines en acides aminés. Elle limiterait ainsi les indigestions et brûlures d'estomac. Elle pourrait être utile pour l'organisme s'il ne produit pas assez d'enzymes digestives (problème pancréatique ou repas trop lourd à digérer) : les protéines mal digérées pourraient en effet causer des troubles tels que météorismes, flatulences, voire allergie (à certaines protéines) ou auto-intoxication (due à une putréfaction digestive)
Enzyme présente dans les tiges et les racines de l’ananas, la bromélaïne n’en finit pas de surprendre. D’abord utilisée dans le traitement des oedèmes post traumatiques, la bromélaïne fait l’objet de nombreuses recherches scientifiques notamment pour son action anticancéreuse. De nombreuses recherches ont aujourd’hui établi le bien-fondé de son utilisation dans le cancer. De plus, ses actions bénéfiques s’exercent pratiquement à tous les niveaux de la maladie cancéreuse.
Combinée avec le chlorure de magnésium ou le glycérophosphate de magnésium, la bromélaïne pourrait réduire les risques de survenance d’au moins une des maladies ou un des troubles suivants, par amélioration de l’activité biochimique cellulaire :
maladies cardio-vasculaires, hypertension athérosclérose insuffisance cardiaque, accidents vasculaires cérébraux diabète, cancer, paludisme, dépression, troubles musculosquelettiques ostéoporose, arthrose, grippe, gastroentérite, maladies neurodégénératives maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson et sclérose en plaques, herpès génital et labial, inflammations chroniques, remontées gastro oesophagiennes troubles du sommeil et halitose.
Préférentiellement, le produit de soin de l’invention prend la forme d’un complément alimentaire, par exemple sous forme de liquide, de cristaux, de poudre, de gel ou de comprimés. Dans la forme d’un liquide, le produit de soin est préférentiellement conditionné sous forme d’une boisson qui comporte de 0,8 gr à 25 gr par litre de chlorure de magnésium, et de 10 mg à 10.000 mg (préférentiellement entre 100 mg et 1.000 mg) par litre de Bromélaïne.
Dans une forme concentrée, le produit de soin comporte au moins 50 % de chlorure de magnésium sous forme hexahydraté (MgCI2.6H2O).
Il est conditionné, par exemple, pour un apport journalier de chlorure de Magnésium hexahydraté supérieur ou égal à 0,8 gramme, et préférentiellement à 2,5 grammes et pour un apport de Magnésium journaliser supérieur ou égal à 80 mg, et préférentiellement 300 mg.
Il est aussi conditionné pour un apport journalier de bromélaïne compris entre 10 mg et 10.000 mg et, préférentiellement, entre 100 mg et 1.000 mg.
La bromélaïne présente des intérêts de tout premier plan dans la maladie cancéreuse comme pour :
- l’action sur la douleur occasionnée par le cancer et ses traitements ;
- l’action sur l’inflammation péri tumorale ;
- la prévention des risques de thromboses ;
- la stimulation du système immunitaire ;
- l’aide à la cicatrisation après l’intervention chirurgicale ;
- la prévention des oedèmes et des lymphœdèmes.
Mode d’action sur la tumeur
Étant une enzyme protéolytique, la bromélaïne dégrade les grosses molécules de protéines permettant ainsi leur élimination. Par ce mécanisme, une cure de bromélaïne pourrait détruire les formations non indispensables de l’organisme : verrues, polypes, nodules, indurations... mais aussi tumeurs malignes. De plus, les cellules cancéreuses sont entourées d’une substance mucoïde qui les protège du système immunitaire et empêche l’action des NK (acronyme de Natural Killer pour tueur naturel) lymphocytes tueurs de cellules cancéreuses. La bromélaïne détruirait cette couche mucoïde exposant les cellules cancéreuses aux défenses immunitaires.
Taussig en 1985 et Maurer en 1988 suggèrent que la bromélaïne agit sur les cancers par :
- l’inhibition de la croissance tumorale. De plus, la bromélaïne diminue la capacité des cellules cancéreuses à migrer en tissu sain.
la stimulation du tumor necrosis factor alpha (TNF alpha). Une étude clinique réalisée sur des femmes atteintes de cancer du sein donne un éclairage sur le fait qu’elle agit en restaurant la cytotoxicité des monocytes contre les cellules cancéreuses, mais aussi en augmentant la production de cytotoxines comme le TNF alpha et certaines interleukines.
- la prévention des métastases. La bromélaïne diminue le nombre de métastases pulmonaires chez les souris. Il semblerait que la bromélaïne détruise une protéine (CD44) des cellules cancéreuses qui sont des molécules d’adhésion leur permettant de s’amarrer sur les parois des vaisseaux sanguins induisant ainsi de nouvelles métastases. Une autre étude montre que la bromélaïne réduit le nombre de métastases induites, mais aussi le volume des tumeurs de près de 65 %.
Aujourd’hui, la recherche a identifié d’autres mécanismes par lesquels la bromélaïne exprime son action anticancéreuse comme, entre autres :
- la stimulation des défenses immunitaires contre les cellules cancéreuses ;
- la désactivation du gène signal Nuclear factor Kappa-B (NF-Kappa-B) qui est proinflammatoire ;
- l’induction du processus d’apoptose (suicide des cellules cancéreuses).
L’action antitumorale, antileucémique et antimétastatique de la bromélaïne a également été démontrée in vivo, chez des souris atteintes de leucémies, de sarcomes, de cancers du poumon, de mélanomes, de cancers du sein et d’ascites cancéreuses. Il y a été noté un taux de survie nettement augmenté (sauf dans les mélanomes) ainsi qu’une diminution du nombre de métastases pulmonaires.
En outre, la bromélaïne présente une action directe sur les cellules cancéreuses, sur leur micro-environnement ainsi que sur la modulation des systèmes immunitaire et antiinflammatoire. La bromélaïne, avec son activité protéolytique, pourrait sans doute modifier la teneur en protéines de ce milieu micro-environnement favorisant ainsi la réparation ou la destruction des cellules cancéreuses.
Par ailleurs, deux molécules tirées de la bromélaïne sont très actives sur le cancer : La molécule CCZ qui stimule les défenses immunitaires contre le cancer notamment les lymphocytes T.
- La molécule CCS qui est capable de bloquer la prolifération cancéreuse.
Ces deux molécules sont des protéases. Et, selon le Dr Tracey Mynott, chercheuse à l’institut du Queensland (Australie), c’est la première fois qu’est mise en évidence l’action immunitaire de ce type d’enzymes. Selon elle, ces molécules peuvent « bloquer la croissance d’un large éventail de tumeurs, y compris celle du sein, des poumons, du côlon, des ovaires ou le mélanome ». Et elle a ajouté en 2005 que ces molécules « représenteront de fait une manière totalement nouvelle de traiter la maladie et potentiellement une catégorie entièrement nouvelle d’agents anticancéreux ».
La bromélaïne lutte contre l’inflammation systémique chronique de bas grade et, en conséquence, contre les maladies métaboliques, voire le cancer.
L'inflammation de bas grade / systémique : dans nos intestins, il existe à tout moment une inflammation de bas grade (IBG), comme un bruit inflammatoire utile. Grâce à cet état, l'organisme est prêt à combattre toute situation et à mobiliser au plus vite le système immunitaire si nécessaire. Cet état inflammatoire doit donc être en équilibre constant et est auto-entretenu.
La bromélaïne semble diminuer la couche de protection des amas cancéreux (posologie de l’ordre de 400 mg x 10 gélules par jour, préférentiellement entre 1.000 mg et 10.000 mg par jour). Ce qui permet aux NK d’attaquer les cellules tumorales.
Une réponse inflammatoire locale est la réponse des tissus à la blessure. C'est une réaction de défense rapide mais peu spécifique, sans mise en mémoire, dirigée contre toutes les agressions, infectieuses ou non. Elle a pour objet de diriger les molécules sériques et les cellules du système immunitaires vers le site de la lésion tissulaire.
Ainsi, il n'y a pas d'augmentation d'intensité lors d'un nouveau contact.
L'inflammation même est une réaction au niveau des tissus irrigués, autorisant l'accumulation du plasma et des cellules spécialisées au site de l'inflammation.
Avec une réponse inflammatoire, l'organisme essaie d'éliminer des toxines. La réaction inflammatoire, comme la fièvre, est un mécanisme de défense naturel. Elle ne représente pas le problème, mais la conséquence d'un problème sous-jacent. En créant une inflammation, l'organisme tend à résoudre ce problème. Les médicaments anti-inflammatoires ne forment donc pas la solution, bien qu'ils puissent en faire partie.
La réponse inflammatoire est une réaction naturelle et indispensable : il n’y a aucune guérison sans inflammation. En revanche, lorsque l'inflammation persiste, elle nuit. Des états inflammatoires systémiques soutenus sont source de beaucoup de maladies telles que : cancer, obésité, maladies cardiaques, asthme, allergie, maladies auto-immunes et de la plupart des autres maladies selon l'organe impliqué. Ils entraînent le syndrome de libération de cytokines, un ensemble de troubles comportementaux typiques. Ces états inflammatoires ont été mis en relation avec l'ingestion de : médicaments, additifs alimentaires (émulsifiants et stabilisateurs, colorants, agents conservateurs et aromatisants...), des grosses molécules d'origine alimentaire, fluorures, iodures, antibiotiques, sulfites...
L'inflammation de bas grade / systémique :
Dans nos intestins, il existe à tout moment une inflammation de bas grade (IBG), comme un bruit inflammatoire utile. Grâce à cet état, l'organisme est prêt à combattre toute situation et à mobiliser au plus vite le système immunitaire si nécessaire. Cet état inflammatoire doit donc être en équilibre constant et est auto-entretenu.
Comme les pro-oxydants et la formation de radicaux libres, les inflammations de bas grade peuvent être néfastes pour notre organisme. Mais ces deux processus assurent également la survie de l'organisme grâce à des mécanismes d'adaptation : en effet, les oxydations détruisent parasites, agents toxiques, déchets et cellules cancéreuses, tandis que les inflammations tissulaires permettront à l'organisme de mieux fonctionner. Toutefois, lorsque ces deux mécanismes dégénèrent, l'organisme devient de plus en plus malade, pour finalement mourir.
Toutefois, lorsqu'un déséquilibre apparaît (une réponse inflammatoire causée par un changement dans la flore intestinale avec, par exemple, des bactéries pathogènes dont Staphylococcus aureus et E. coli qui stimulent la production de cytokines inflammatoires par la masse adipeuse), une inflammation de bas grade systémique (IBGS) s'installe et entraîne le développement de diverses pathologies telles que obésité, diabète de type 2, troubles articulaires, maladies auto-immunes (rhumatisme...), athérosclérose, vieillissement prématuré, ostéoporose... Une inflammation systémique de bas grade modérée mais chronique (IBGSC) se trouve impliquée dans de nombreuses maladies cardiovasculaires et métaboliques (maladies de civilisation). Une inflammation dite métabolique caractérise la personne diabétique obèse.
En cas de détérioration cellulaire, les macrophages (système immunitaire inné) rentrent en contact avec des morceaux d'ADN, d'ARN et avec d'autres signaux de danger (appelés également motifs moléculaires associés aux dégâts cellulaires ou Damageassociated molecular pattern molécules (DAMPs)). Le contact des macrophages avec ces DAMPs lance deux processus cellulaires distincts : le premier accélère la production des molécules nécessaires à l'initiation de l'inflammation et le deuxième forme l'inflammasome. Cet inflammasome active brièvement les molécules inflammatoires fraîchement produites (en particulier les IL-1 béta et IL-18), qui sont ensuite libérées par le macrophage. Ces molécules de signalisation (cytokines) se dispersent dans les tissus et entraînent la production d'autres cytokines. Ces dernières stimulent la circulation sanguine locale, le recrutement d'autres cellules immunitaires et une série de modifications qui forment ensemble la réaction inflammatoire. En particulier les signaux d'intrusion (microbes) et de danger (en cas de détérioration tissulaire) incitent à la formation d'inflammasomes.
D'autres cellules immunitaires peuvent aussi produire des inflammasomes. D'autres cellules immunitaires peuvent aussi produire des inflammasomes. Certaines cellules intestinales produisent des inflammasomes qui libèrent des cytokines dont le rôle est généralement pro-inflammatoire. Qui plus est, des études montrent que des acides gras saturés, une consommation excessive d'hydrates de carbone et d'autres produits dans l'alimentation/digestion peuvent être considérés comme signaux de danger. Une suralimentation provoque ainsi un état inflammatoire (et ensuite obésité et stéatose hépatique), tandis que la sous-nutrition, le jeûne, les exercices physiques... induisent une action anti-inflammatoire. En effet, l'interaction entre des molécules ainsi formées (hydroxybutyrate et acide lactique) et les récepteurs sur la paroi des macrophages lance une série de réactions biochimiques qui déconnectent les gènes impliqués dans la formation d'inflammasomes.
D'autres signaux seront nécessaires pour maintenir l'action de l'inflammasome, comme dans le diabète et dans la stéatose hépatique. L'état inflammatoire systémique de bas grade modérée mais chronique est caractérisée par une augmentation d'autres molécules sécrétées lors de l'inflammation : IL-6, CRP us (protéine C-réactive ultrasensible), LDL oxydés (stress oxydant)... et se reflète dans les rapports AA/EPA et ω3 / ω6 (voir : Nutribilan), néoptérine (mesure de l'activité des macrophages, un type de globules blancs), KTR (le rapport kynurénine/tryptophane : en cas d'inflammations, le tryptophane est converti en kynurénine)...
La CRP (protéine C réactive) est une protéine de la phase aiguë : divers stimuli, par exemple des infections et des allergies, incitent les monocytes et les macrophages à produire des IL-6. Les IL-6 favorisent la synthèse de l'ARNm, augmentant ainsi la production des protéines de la phase aiguë. Ces protéines de la phase aiguë (CRP, IFN...) sont des protéines sériques dont la concentration s'élève rapidement en cas d'infection ou d'inflammation.
Chez l'Homme, sur chaque membrane cellulaire se trouvent des dérivés de sucre (acide sialique) qui jouent un rôle dans la communication cellule-cellule : des Neu5Ac. Ces structures attirent des bactéries spécifiques chez l'Homme, telles que des Bifido et des Lactobacilles. Chez les mammifères, des structures similaires (des Neu5Gc) se trouvent sur la paroi cellulaire. Elles attirent d'autres bactéries spécifiques aux mammifères (et étrangères pour l'Homme). Toutefois, lorsque nous consommons beaucoup de produits de mammifères (viande, lait...), nos cellules peuvent être atteintes en incorporant des Neu5Gc au lieu des Neu5Ac. Nous attirons à ce moment aussi des bactéries spécifiques aux mammifères, telles que Salmonella, E. coli (intestins), Streptococcus mutans (bouche, gorge) et le virus EpsteinBarr (Mononucléose infectieuse). Toutes ces bactéries peuvent provoquer des maladies chez l'Homme. Qui plus est, la présence de ces bactéries étrangères, attirées par les Neu5Gc, entraîne une activation chronique de notre système immunitaire - afin de combattre continuellement ces bactéries : une inflammation de bas grade systémique. Cette activation chronique nécessite beaucoup d'énergie et un apport suffisant de produits de base pour maintenir ce système activé en dégradant des organes et des muscles. Selon la personne, cette dégradation peut aussi provoquer des troubles au niveau des muqueuses : troubles intestinaux, de la peau, de la vessie, des voies respiratoires, cancer & ... En outre, ces bactéries sont également capables de se déplacer à travers la barrière hémato-encéphalique et peuvent contribuer au développement de crises d'angoisse, de migraine et même de dépression.
La consommation d’apports de magnésium constitue une solution efficace pour assurer une activité biochimique optimale chez la plupart des êtres humains peuplant la planète, et pourrait mettre un terme aux pandémies sans précédent de maladies cardiovasculaires, de cancer, de diabète, d’ostéoporose, de dépression, et permettre à notre système immunitaire de retrouver ses pleines capacités.
Il existe bien des appellations pour désigner le magnésium. Parmi elles, les sels de magnésium, les ions magnésium, le magnésium élément, Mg++, etc.
L’ion magnésium est la seule forme de magnésium qu’utilisent les cellules de tous les organismes vivants. L’ion magnésium est un atome de magnésium qui a perdu deux électrons. On l’appelle également Mg++, Mg2+ ou magnésium-élément.
Le magnésium étant très réactif, on ne le trouve qu'associé à d'autres éléments sous forme de sels. Les sels de magnésium associent des ions magnésium à d’autres ions, comme les chlorures, les sulfates, les carbonates, par exemple, pour former le chlorure de magnésium, le sulfate de magnésium ou le carbonate de magnésium.
Tous les sels de magnésium disponibles sur le marché sont supposés fournir à notre organisme des ions magnésium et alimenter ainsi nos cellules. Mais tous ne remplissent pas cette mission de la même façon.
Un sel de magnésium étant une association de deux éléments, la quantité d’ions magnésium dans ce sel dépendra donc de son pourcentage.
Le chlorure de magnésium hexahydraté (MgCI2, 6H2O) contient, en masse, 12% d’ions magnésium. 1 g contient donc 0,12 g d’ions magnésium, soit 120 mg. Le carbonate de magnésium, lui, contient 40 % d’ions magnésium. 1 g contient donc 0,400 g d’ions magnésium, soit 400 mg.
Toutefois, ce n’est pas parce qu’un sel contient beaucoup d’ions magnésium que sa biodisponibilité est bonne. C’est l’ion associé au magnésium qui détermine la biodisponibilité de l’ensemble et ses effets sur l’organisme. L’oxyde de magnésium est à ce titre un bon exemple. Malgré sa forte teneur en ions magnésium (60,3 %), sa biodisponibilité est mauvaise.
Des études ont été effectuées à propos de la biodisponibilité des sels de magnésium. Mais leur intérêt est limité. En effet, les méthodes utilisées, basées sur la capacité d’un sel à déclencher des diarrhées, ne permettent en aucune manière de mesurer sa biodisponibilité. C’est au contraire sur son action physiologique effective que la mesure de la biodisponibilité du magnésium doit être établie.
Par exemple, comparons l’action du chlorure de magnésium et du glycérophosphate de magnésium, deux sels de magnésium qui contiennent sensiblement les mêmes proportions d’ions magnésium.
La biodisponibilité du chlorure de magnésium est jugée bonne. Or, la prise orale de chlorure de magnésium en quantité suffisante permet de stopper une attaque virale ou microbienne, dès ses premiers signes, en moins de vingt minutes ou de diminuer considérablement ses conséquences. Ceci, grâce à son action immédiate sur l’activité biochimique cellulaire et par conséquent sur les performances du système immunitaire.
Concernant le glycérophosphate de magnésium, l’absorption des mêmes quantités de glycérophosphate de magnésium ne permet pas de stopper une attaque virale ou microbienne en moins de vingt minutes. Pourtant, leur pourcentage d’ions magnésium est quasi identique : 12,4 % et 12 %. En conclusion, la biodisponibilité du chlorure de magnésium devrait être qualifiée de très bonne, et celle du glycérophosphate de magnésium de moindre.
On note que le complément alimentaire objet de la présente invention n’agit ni sur les virus, ni sur les bactéries. Le complément alimentaire objet de la présente invention est une combinaison de micronutriments indispensables à l’activité biochimique optimale de nos cellules, permettant l’expression de leurs redoutables capacités de reconnaissance et de destruction des souches virales et bactériennes, de favoriser la résistance aux attaques de toute nature, et d’assurer une prévention efficace contre les pandémies de cancer, de maladies cardio-vasculaires, de diabète, d’ostéoporose, de dépression, de burn-out, de Parkinson, d’Alzheimer, et de sclérose en plaques et d’arthrose.
Le complément alimentaire objet de la présente invention permet d’améliorer le pH.
L’action du chlorure de magnésium sur l’activité biochimique cellulaire est rapide, de l’ordre d’une quinzaine de minutes, et mesurable grâce à la baisse du pH urinaire, ou à la diminution ou disparition des symptômes liés à une attaque virale ou bactérienne.
De tous les sels de magnésium, le chlorure de magnésium est celui qui présente le meilleur ratio efficacité/innocuité. Son champ d’action est très large. Microbiote, système nerveux, système immunitaire... Il restaure les équilibres et notamment l’équilibre acidobasique. Il assure la dissolution des calculs rénaux, régule les troubles de la prostate... et protège les cellules.
Immunostimulant de premier ordre, offrant une action globale sur la santé, le chlorure de magnésium dispose d’atouts majeurs. Grâce à son efficacité sur le système immunitaire et sur l’activité biochimique cellulaire, le chlorure de magnésium agit sur de nombreuses pathologies. En tête, de nombreuses maladies respiratoires : amygdalites, angines, bronchites, grippes, otites, sinusites, pharyngites. De même, des maladies infantiles comme la coqueluche, les oreillons, la rougeole, la rubéole, la scarlatine, la varicelle. Citons également : le chikungunya, les gastro-entérites ou la fièvre puerpérale. Le chlorure de magnésium est également actif sur l’herpès, l’hypertension, la mammite chronique, la poliomyélite, le rhume des foins, les allergies, le tétanos, la dépression, les calculs ou les troubles de la prostate. Son action est également bénéfique sur des pathologies du quotidien telles que la constipation, les courbatures, les crampes, les contractures, les troubles digestifs ou du sommeil, les remontées gastro oesophagiennes, l’halitose...
Le chlorure de magnésium renforce notre immunité. Il permet, moins de trente minutes après son administration in vivo - et non dans des tubes à essais -, d’augmenter jusqu’à 330 % la phagocytose des globules blancs. Ces chiffres sont considérables en matière immunologique.
Ainsi, quand il est administré dès les premiers symptômes en quantité suffisante, le chlorure de magnésium est capable de freiner ou stopper la grippe, la coqueluche, la poliomyélite, le tétanos, le chikungunya, la bronchite... Rappelons qu’aujourd’hui aucun antiviral n’offre une telle protection contre la grippe, pas même le Tamiflu ou le Relenza (marques déposées).
Le chlorure de magnésium n’a, en lui-même, aucune action sur la grippe ou sur toute autre infection. Il offre simplement à nos cellules, et sous une forme très assimilable, les ions magnésium dont elles ont impérativement besoin pour assurer une activité biochimique cellulaire optimale, « technologie cellulaire » la plus avancée et la plus efficace disponible en matière d’identification et de destruction des souches virales et microbiennes par le système immunitaire.
L’un des principaux avantages de cette « technologie cellulaire >> est de ne générer aucune résistance virale ou microbienne. Un atout supplémentaire, à l’heure où les problèmes de résistance aux antibiotiques inquiètent les plus hautes autorités médicales.
Les vertus du chlorure de magnésium sont donc clairement établies, pour la prévention comme pour le traitement de nombre de pathologies, mais également dans la lutte contre le développement mondial de l’antibiorésistance.
Carences en vitamines, intoxications, infections, cancérisation, allergies, infertilité... Les organismes magnésiés aux sels halogénés de magnésium résistent mieux que ceux qui ne le sont pas. Une résistance accrue, constatée chez l’homme, chez l’animal ainsi que chez les végétaux.
Parmi les consommateurs de sels halogénés de magnésium, un grand nombre de ceux qui sont atteints d’affections récidivantes - rhumes, angines, entérites, congestions hépatiques, cholécystites, cystites, herpès, mycoses... - les voient s’espacer ou disparaître. Ceux qui sont régulièrement touchés par des affections saisonnières -grippe, coryza, allergie - n’y sont plus sensibles, ou beaucoup moins.
Le chlorure de magnésium possède des propriétés exceptionnelles sur l’activité biochimique de nos cellules, et par conséquent sur notre système immunitaire. Si bien que ses quelques désagréments (légère amertume, effet laxatif les premiers temps) seront vite pardonnés et oubliés. Protéger en un simple geste, l’ensemble de son organisme et profiter d’une espérance de vie maximale en bonne santé est en soi une véritable motivation qui permet de passer ce cap avec facilité.
L’hémophilie constitue à ce jour la seule contre-indication justifiée à l’utilisation du chlorure de magnésium, dont l’action fluidifie le sang. Cette particularité, qui lui confère certaines propriétés en matière de santé, constitue jusqu’à preuve du contraire, un obstacle à son utilisation.
En cas d’attaque virale ou bactérienne de grande ampleur, le premier réflexe consiste à stopper l’attaque. Une tâche tout à fait à la portée de notre formidable arsenal biologique et des 3,5 milliards d’années d’expérience cellulaire en matière de guerre virale et bactérienne.
Mais, pour que cette force de frappe soit opérationnelle, nos cellules doivent disposer de ressources en magnésium, biodisponibles immédiatement, et en grandes quantités. Dans ce cas, le complément alimentaire objet de la présente invention répond à ce besoin.
Parallèlement, notre système intestinal doit pouvoir extraire ces micronutriments des aliments, et le magnésium contenu dans le complément alimentaire objet de la présente invention améliore le fonctionnement de notre microbiote, qui améliore le fonctionnement de nos intestins, qui améliore l’extraction intestinale des micronutriments contenus dans les aliments vivants.
Enfin, plus nous vieillissons et moins nous produisons d’enzymes digestives. C’est pourquoi les enzymes digestives contenues dans les aliments ont une importance croissante. La Bromélaïne intégrant la formule du complément alimentaire objet de la présente invention, constitue un élément de réponse à cette problématique
Comme nous l’avons vu, le complément alimentaire objet de la présente invention rétablit l’équilibre acido-basique de l’appareil digestif, et permet au microbiote d’être un écosystème équilibré. En favorisant les processus de fermentation, il protège notre organisme. De plus, simultanément, le complément alimentaire objet de la présente invention limite les processus de putréfaction, processus à l’origine de nombreuses pathologies et désordres intestinaux...
Par ailleurs, l’inventeur a découvert que, en mélangeant, pour réaliser un produit de soin objet de la présente invention :
- du chlorure de magnésium et
- du glycérophosphate de magnésium, on obtient différentes formes plus facilement utilisables et/ou assimilables d’ions magnésium.
En particulier, un gel est obtenu lorsque la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.
Ce gel présente des propriétés intéressantes lorsque la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à cinq fois la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.
Préférentiellement, la proportion, en masse, du chlorure de magnésium, du glycérophosphate de magnésium et d’eau est supérieure à 95 %. Par exemple, 2, 5 grammes de chlorure de magnésium hexahydraté et 2,5 grammes de glycérophosphate de magnésium sont mélangés dans 35 grammes d’eau. Le composé ainsi obtenu peut être nommé glycérochlorophosphate de magnésium.
Dans des applications où il est ingéré, par exemple sous forme de complément alimentaire, ce produit comporte préférentiellement un agent de saveur, ou arôme. Préférentiellement, l’agent de saveur donne une saveur sucrée au complément alimentaire. Le complément alimentaire peut ainsi ressembler à une confiture ou un yaourt.
Lorsque l’on laisse sécher ce gel, par exemple dans un moule, on obtient un solide qui peut servir de bonbon. Le gel peut aussi être intégré dans un shampoing, un savon, une crème pour la peau ou un dentifrice.

Claims (10)

  1. REVENDICATIONS
    1. Produit de soin pour réduire les risques de survenance d’au moins une maladie ou un trouble de la santé, qui comporte :
    - du magnésium, sous la forme de chlorure de magnésium et/ou de glycérophosphate de magnésium et
    - de la bromélaïne.
  2. 2. Produit de soin selon la revendication 1, pour lutter contre l’inflammation systémique chronique de bas grade.
  3. 3. Produit de soin selon l’une des revendications 1 ou 2, pour réduire les risques de survenance d’au moins une des maladies ou un des troubles suivants, par amélioration de l’activité biochimique cellulaire :
    maladies cardio-vasculaires, hypertension athérosclérose insuffisance cardiaque, accidents vasculaires cérébraux diabète, cancer, paludisme, dépression, troubles musculosquelettiques ostéoporose, arthrose, grippe, gastroentérite, maladies neurodégénératives maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson et sclérose en plaques, herpès génital et labial, inflammations chroniques, remontées gastro oesophagiennes troubles du sommeil et halitose.
  4. 4. Produit de soin selon l’une des revendications 1 à 3, qui prend la forme d’un complément alimentaire.
  5. 5. Produit de soin selon l’une des revendications 1 à 4, qui comporte au moins 50 % de chlorure de magnésium sous forme hexahydraté (MgCI2.6H2O).
  6. 6. Produit de soin selon la revendication 4, qui est conditionné pour un apport journalier de chlorure de Magnésium hexahydraté supérieur ou égal à 0,8 gramme, et préférentiellement à
    2,5 grammes et/ou pour un apport de Magnésium journaliser supérieur ou égal à 80 mg, et préférentiellement 300 mg.
  7. 7. Produit de soin selon l’une des revendications 1 à 6, qui prend la forme de liquide, de cristaux, de poudre, de gel ou de comprimés.
  8. 8. Produit de soin selon l’une des revendications 1 à 7, qui est conditionné pour un apport journalier de bromélaïne compris entre 10 mg et 10.000 mg.
  9. 9. Produit de soin selon l’une des revendications 1 à 8, qui prend la forme d’un liquide et, préférentiellement, d’une boisson.
  10. 10. Produit de soin selon la revendication 9, qui comporte de 0,8 gr à 25 gr par litre de chlorure de magnésium, et de 10 mg à 10.000 mg par litre de Bromélaïne.
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