FR3070827B1 - Procede de devitalisation des vegetaux - Google Patents

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Abstract

L'invention a pour objet un procédé de dévitalisation des végétaux, avantageusement ligneux, ayant un impact environnemental réduit et maitrisé voire nul, qui ne fait pas intervenir de produits phytopharmaceutiques et/ou leurs adjuvants interdits par les lois et règlements nationaux et/ou internationaux, et avantageusement qui ne fasse pas intervenir de moyens mécaniques de grande ampleur afin de conserver l'intégrité des sols et des ouvrages. Ledit procédé de dévitalisation s'adresse à un végétal préalablement desséché et/ou coupé, auquel on soumet les rejets apparus sur ledit végétal à une congélation.

Description

L'invention se place dans le domaine de la gestion des espaces végétalisés et particulièrement dans le domaine de l'éradication des végétaux indésirables. L’utilisation des pesticides s’est généralisée depuis de nombreuses années aussi bien en agriculture que pour maîtriser la végétation sur des surfaces non agricoles (jardins, parcs, infrastructures linéaires, etc.) où les enjeux ne sont plus vraiment sanitaires mais surtout paysagers et sécuritaires.
Le principal objectif devient alors l’éradication des végétaux implantés ponctuellement, par exemple le long des infrastructures linéaires (voiries, canaux, réseaux ferroviaires, etc.) et autres espaces verts.
Ainsi, les herbicides et autres produits dévitalisants ont été privilégiés aux méthodes plus rudimentaires pour leurs nombreux avantages (faible coût, facilité d’application, rapidité et efficacité).
La végétation en bord de cours d'eau, naturels ou aménagés par l'homme, peut à terme poser des problèmes tels la destruction des berges et la dégradation prématurée des ouvrages. Il est régulièrement nécessaire d'éradiquer ces végétaux afin de préserver l'intégrité des berges et des ouvrages.
Avec la montée de la prise de conscience de la dangerosité de certains produits phytopharmaceutiques les réglementations nationales se sont renforcées.
En France par exemple la parution de l’Arrêté du 12 septembre 2006 (NOR: AGRG0601345A), récemment remplacé par l’Arrêté du 4 mai 2017 relatif à la mise sur le marché et à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques et de leurs adjuvants visés à l’article L253-1 du code rural et de la pêche maritime (NOR: AGRG1632554A), interdit l'emploi de produits phytopharmaceutiques à moins de 5 mètres des cours d’eau.
Face aux végétaux en cours de développement, pouvant générer des risques, peu de solutions existent aujourd’hui.
La première solution envisagée par les gestionnaires est l’abattage des arbres. Cette méthode est la plus utilisée car elle ne nécessite pas de faire des travaux de réparation et n’entraine pas de coût trop élevé. Toutefois la simple coupe d’un arbre n’entraine pas toujours l’arrêt de sa croissance et sa mort. Certaines espèces sont connues pour se reproduire de manière végétative et une coupe renforce leur système racinaire. De nouveaux rejets issus de la souche et des drageons issus des racines risquent de faire leur apparition de manière plus ou moins fulgurante. Et dans le cas où l’arbre ne survit pas, la décomposition du système racinaire encore présent peut être à l’origine de dégâts encore plus importants et lourds de conséquence pour la sûreté des ouvrages hydrauliques. D'autres méthodes mettant en oeuvre des moyens mécaniques lourds comme le broyage des souches ou le dessouchage peuvent être envisagées.
Le broyage des souches aboutit à des résultats identiques à l’abattage voire plus néfastes. En effet, la souche devenue non-visible après son broyage est bien souvent oubliée lors des inspections visuelles, alors que les racines latérales intactes poursuivent leur développement dans l’ouvrage (apparition de drageons) ou bien se décomposent.
Le dessouchage reste la solution la plus efficace : la partie aérienne est d’abord coupée avant de procéder à l’extraction de l’ensemble du système racinaire. Mais encore une fois il est très important que toutes les racines soient enlevées car l’oubli d’une partie du système racinaire peut entraîner la croissance de nouvelles pousses (drageons) ou générer des risques d’érosion interne après décomposition. De plus cette technique nécessite souvent la mise en oeuvre de moyens mécaniques lourds qui génèrent des dégradations supplémentaires pouvant alors venir se surajouter aux problèmes posés par la présence des végétaux.
Par exemple dans le cas d’ouvrages hydrauliques dont les berges peuvent être constituées de revêtements rigides, cette méthode curative implique la réalisation de travaux de destruction puis de réparation importants afin de maintenir l’étanchéité des ouvrages. In-fine, les zones de réparation représentent par la suite des zones sensibles (joints) où la végétation se développera plus facilement par rapport à des linéaires homogènes.
On comprend de ce qui précède que les solutions existantes pour remplacer l'éradication chimique des végétaux sont peu efficaces et/ou génératrices d'autres conséquences pouvant rendre l'opération inefficace.
Il devient donc nécessaire de trouver de nouveaux procédés de destruction des végétaux et particulièrement des végétaux ligneux, ayant un impact environnemental réduit et maîtrisé voire nul, qui ne fassent pas intervenir de produits phytopharmaceutiques et/ou leurs adjuvants interdits par les lois et règlements nationaux et/ou internationaux, et avantageusement qui ne fassent pas intervenir de moyens mécaniques de grande ampleur afin de conserver l'intégrité des sols et des ouvrages. C'est un des objectifs de la présente invention que de proposer un tel procédé de dévitalisation des végétaux, particulièrement des végétaux ligneux.
Une manière élégante et non polluante d'obtenir le dessèchement d'un végétal, particulièrement un ligneux, est de maintenir sa frondaison dans l'obscurité jusqu'à son dessèchement apparent.
Pour maintenir ledit végétal à l'abri de la lumière une solution évidente peut être de l'envelopper à l'aide de matériaux ne laissant pas passer la lumière et de manière le plus hermétique possible. Les processus végétatifs induits par la lumière et conduisant au développement du végétal ne pourront plus se réaliser et le végétal arrêtera sa croissance, dépérira et finira par sécher.
Ledit matériau pourra être une toile une bâche, du bois, du métal ou tout autre matériaux ne laissant pas passer la lumière.
Mais un végétal peut aussi se dessécher à la suite d'autres causes comme par exemple une électrisation, une chaleur intense, un foudroyage, une attaque de castor ou d’insectes.
Cependant l'expérience montre que si la frondaison et le tronc hors sol dudit végétal apparaissent desséchés il s'avère que dans bien des cas la partie souterraine dudit végétal n'est pas complètement morte et permet alors l'émergence de rejet, particulièrement à la base de la partie aérienne desséchée.
On peut évidemment envisager de, de nouveau, occulter la zone où sont apparus les rejets et attendre leur dessèchement. Mais là encore la partie souterraine pourrait en pas être totalement morte et de nouveaux rejets pourraient encore apparaitre.
La présente invention vise à pallier ces inconvénients en proposant un moyen simple et non polluant d'éradiquer les rejets pouvant apparaitre sur un végétal préalablement desséché et/ou coupé.
Ainsi l'invention a pour objet premier un procédé de dévitalisation d'un végétal, avantageusement ligneux, préalablement desséché et/ou coupé, caractérisé en ce que la température des rejets apparus sur ledit végétal préalablement desséché et/ou coupé peut être abaissée à une température comprise entre -10°C et -50°C, préférentiellement entre -20°C et -40°C très préférentiellement entre -25°C et -35°C.
Par "préalablement desséché" on entend dans le présent texte que le végétal auquel le procédé selon l'invention va être appliqué présente un état sanitaire tel que la partie aérienne de l’arbre présente un feuillage mort et sec, un bois complètement déshydraté et cassant, éventuellement la présence de champignons filamenteux et duveteux. L'homme du métier n'a aucun mal à comprendre cette expression et à déterminer l'état sanitaire du végétal à traiter.
Par "préalablement coupé" on entend dans le présent texte que le végétal auquel le procédé selon l'invention va être appliqué a été coupé entre 0 et 1 m, préférentiellement entre 0 et 50 cm au-dessus de la surface du sol. Cette notion s'applique aussi bien au tronc dudit végétal qu'aux rejets ou drageons.
Selon l'invention lesdits rejets peuvent être idéalement conservé sur pied ou préalablement coupés, avantageusement au ras du tronc dudit végétal.
Préférentiellement selon l'invention lesdits rejets pourront ne pas être coupés.
Si l'élagage desdits rejets est choisi celui-ci peut être réalisé en coupant lesdits rejets au plus proche du tronc. Tout moyen connu peut être utilisé pour réaliser l'élagage, l'homme du métier n'aura aucun mal à déterminer le moyen le plus efficace adapté à la situation à laquelle il fait face, comme par exemple l'utilisation d'un sécateur ou d'une scie à bois.
Si lesdits rejets ne sont pas coupés ils peuvent être traités individuellement ou de manière groupée en un ou plusieurs bouquet(s). Préférentiellement selon l'invention lesdits rejets pourront être traités de manière groupée en un ou plusieurs bouquet(s).
Selon l'invention l'étape d'abaissement de la température pratiquée sur les rejets apparus sur ledit végétal préalablement desséché et/ou coupé peut être réalisée par tout moyen connu de l'homme du métier qui permette de maintenir la zone traitée à la température souhaitée pendant un temps suffisant.
Selon l'invention cette étape d'abaissement de la température peut être réalisée en une seule fois ou en plusieurs fois séparées par un temps de remontée en température compris entre 1 heure et 1 mois, préférentiellement 15 jours. Lorsque ladite étape d'abaissement de la température est réalisée en plusieurs fois séparées par un temps de remontée en température le nombre de fois durant lesquels le végétal peut être soumis au refroidissement peut être laissé à l'appréciation de l'homme du métier et être compris entre 2 et 10 fois. Mais avantageusement ce nombre de fois peut être compris entre 2 et 4 fois et très préférentiellement peut être de 2 fois.
On comprend que la durée de cette étape, qu'elle soit réalisée en une ou plusieurs fois, peut dépendre de l'espèce végétale considérée, de la taille dudit végétal et éventuellement des conditions environnementales subies.
Selon l'invention cette étape d'abaissement de la température peut être réalisée pendant un temps total compris entre 1 minute et 180 minutes, préférentiellement entre 10 minutes et 150 minutes, très préférentiellement entre 30 minutes et 120 minutes. On comprend donc que si ladite étape d'abaissement de la température est réalisée en plusieurs fois la durée de chaque sous étape sera compatible avec le fait que la somme des durées des sous-étapes d'abaissement de la température soit comprise entre 1 minutes et 180 minutes, préférentiellement entre 10 minutes et 150 minutes, très préférentiellement entre 30 minutes et 120 minutes. A titre d'exemple une sous-étape d'abaissement de la température peut avoir une durée de 1 à 60 minutes, préférentiellement de 10 à 45 minutes, très préférentiellement de 30 minutes. A titre d'exemple de moyen réalisé pour refroidir ladite zone on peut citer l'application de neige carbonique, d'azote liquide, ou encore à l'aide d'un appareil connu des plombiers sous la dénomination de gel-tube comme par exemple ceux de la marque ROTHENBERGER (France) ou de la marque RHEMS (Allemagne).
Préférentiellement selon l'invention l'étape d'abaissement de la température peut être réalisée à l'aide d'un gel-tube.
Ladite étape d'abaissement de la température des rejets apparus sur ledit végétal préalablement desséché et/ou coupé peut être réitérée autant de fois que l'homme du métier jugera utile de la reconduire. D'autres aspects de l'invention peuvent apparaître à la lecture des figures et des exemples suivants.
Exemple 1. Dévitalisation d'un robinier faux-acacia par gel :
Un robinier de 3 m de haut et de 15 cm de diamètre à sa base, préalablement desséché par occultation de la lumière dont la frondaison ne présente plus que quelques feuilles, un tronc et des branches sèches, présente à sa base, c’est-à-dire au ras du sol des rejet de diamètre compris entre 1mm et 2,5 cm.
Afin de les éradiquer, lesdits rejets sont enserrés dans la pince d'1 gel tube et la température desdits rejets (individuellement ou en bouquet) est abaissée à -35°C pendant 60 minutes. On laisse alors la température remonter pendant une semaine puis on abaisse de nouveau la température de la zone à -35°C pendant 60 minutes.
Un suivi visuel de l'état sanitaire de l'arbre est alors réalisé une fois par mois pendant une année à 2 années.
Au bout d’une année on constate que plus aucune feuille ni plus aucun rejet ou drageon ne sont apparus sur l'arbre. L'arbre est alors dévitalisé.
Exemple 2 :
Une procédure identique à celle de l'exemple 1 est réalisée sur un saule de 10 cm de diamètre et d'environ 2 m de haut ayant été coupé à la base. Le bouquet de rejet s’étant développé suite à la coupe est enserré dans la pince d'1 gel tube. La température desdits rejets (en bouquet) est abaissée à -35°C pendant 120 minutes.
La dévitalisation de l'arbre est constatée après 10 semaines de traitement.

Claims (6)

  1. Revendication 1. ) Procédé de dévitalisation d'un végétal, avantageusement ligneux, préalablement desséché et/ou coupé, caractérisé en ce que la température des rejets apparus sur ledit végétal préalablement desséché et/ou coupé est abaissée à une température comprise entre -10°C et -50°C, préférentiellement entre -20°C et -40°C très préférentiellement entre -25°C et -35°C.
  2. 2. ) Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que lesdits rejets non coupés sont traités individuellement ou de manière groupée en un ou plusieurs bouquet(s), préférentiellement selon l'invention de manière groupée en un ou plusieurs bouquet(s).
  3. 3. ) Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que l'étape d'abaissement de la température est réalisée en une seule fois ou en plusieurs fois séparées par un temps de remontée en température compris entre 1 heure et 1 mois, préférentiellement 15 jours.
  4. 4. ) Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que l'étape d'abaissement de la température est réalisée en plusieurs fois, le nombre de fois étant compris entre 2 et 10 fois, avantageusement entre 2 et 4 fois, préférentiellement 2 fois.
  5. 5. ) Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que l'étape d'abaissement de la température est réalisée un temps total compris entre 1 minute et 180 minutes, préférentiellement entre 10 minutes et 150 minutes, très préférentiellement entre 30 minutes et 120 minutes.
  6. 6. ) Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que l'étape d'abaissement de la température est réalisée pendant un temps compris entre 1 à 60 minutes, préférentiellement de 10 à 45 minutes, très préférentiellement de 30 minutes.
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