FR3049016A1 - Dispositif de fixation d'un soufflet sur un pommeau de levier de commande de boite de vitesses. - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif de fixation d'un soufflet (1) sur un pommeau (3) de levier de commande (2) d'une boîte de vitesses, comprenant une bague (40) avec deux bras rigides incurvés (41, 42) et des premiers et deuxièmes moyens de liaison (43, 45) adaptés pour solidariser les deux bras en regard l'un de l'autre au niveau de la première (41 a, 42a) et de la seconde (41 b, 42b) de leurs deux extrémités respectives et permettant à ladite bague d'occuper une position ouverte dans laquelle au moins l'une des premières et secondes extrémités respectives des deux bras sont écartées et une position fermée dans laquelle les premières et secondes extrémités respectives des deux bras sont reliées entre elles de façon à former une seule pièce rigide.

Description

Dispositif de fixation d’un soufflet sur un pommeau de levier de commande de boîte de vitesses L’invention concerne le domaine des équipements pour véhicule automobile et concerne plus particulièrement un dispositif de fixation d’un soufflet sur un pommeau de levier de commande d’une boîte de vitesses.

Les leviers de commande des boîtes de vitesses sont classiquement équipés à leur extrémité libre d’un pommeau permettant la manœuvre dudit levier.

Un soufflet est généralement fixé sur la base du pommeau et s’étend autour du levier depuis la base du pommeau, de façon à masquer la zone située entre le pommeau du levier de commande et le plancher ou la planche de bord. Un tel soufflet est généralement fixé par un joint torique disposé au sommet du soufflet, coopérant avec une gorge située sur la base du pommeau. Une telle fixation est soumise à des sollicitations lors de la manœuvre du levier pour le passage et la sélection des vitesses. Ces sollicitations peuvent entraîner une désolidarisation entre le soufflet et le pommeau. Par ailleurs, certaines interventions, qui requièrent un accès au levier de commande de boîte de vitesses ou à la partie supérieure de la boîte, nécessitent de procéder au retrait complet du soufflet, qui est rendu malaisé par la présence du joint.

On connaît du document US 5 150 503, un anneau de serrage, notamment pour la fixation de soufflets, constitué d’une bande plate dont les deux extrémités libres sont rapprochées et assemblées l’une à l’autre dans le plan de la bande au moyen de pattes de fermeture ayant des formes conjuguées, qui sont serties entre elles pour réaliser le serrage. Toutefois, les anneaux de serrage ainsi obtenus ne sont pas facilement démontables.

On connaît également du document EP 0 545 629, une bague de serrage sous forme d’une bande élastique destinée à serrer l’extrémité d’un soufflet de protection. La bague comporte deux parties d’extrémités libres se chevauchant, qui peuvent se déplacer relativement l’une à l’autre suivant la circonférence de la bague pour d’une part, permettre d’augmenter le diamètre interne de la bague afin de permettre à la bague d’être engagée axialement autour de l’extrémité de soufflet, la bague étant maintenu en place par l’élasticité de la bande et, d’autre part, permettre de diminuer le diamètre interne de la bague de façon à serrer l’extrémité de soufflet, les parties extrémités libres étant bloquées dans cette position de serrage au moyen d’un crochet porté par une partie d’extrémité libre coopérant avec un épaulement porté par l’autre partie d’extrémité libre. La bague de serrage est ainsi prévue pour s’engager axialement par rapport à l’extrémité du soufflet, ce qui peut rendre malaisé sa mise en place dans certaines configurations d’installation.

Il existe donc un besoin pour un dispositif de fixation fiable, qui permette un montage et un démontage aisés et rapides du soufflet. A cet effet, la présente invention propose un dispositif de fixation d’un soufflet sur un pommeau de levier de commande d’une boîte de vitesses, du type comprenant une bague destinée à être placée de manière amovible autour d’une périphérie du soufflet apte à couvrir une région d’extrémité du pommeau de forme générale cylindrique. Selon l’invention, ladite bague comporte deux bras rigides incurvés séparés par un plan diamétral et des premiers et deuxièmes moyens de liaison adaptés pour solidariser les deux bras en regard l’un de l’autre suivant le plan diamétral au niveau de la première et de la seconde de leurs deux extrémités respectives, lesdits premier et deuxième moyens de liaison étant conçus pour permettre à ladite bague d’occuper une position ouverte dans laquelle au moins l’une des premières et secondes extrémités respectives des deux bras sont écartées de telle sorte que ladite bague peut être placée ou retirée de ladite périphérie dudit soufflet par l’espace qui sépare les deux bras, et une position fermée dans laquelle les premières et secondes extrémités respectives des deux bras sont reliées entre elles de façon à former une seule pièce rigide apte à serrer ladite périphérie dudit soufflet sur ladite région d’extrémité.

Grâce à cet agencement, la bague de fixation selon l’invention simplifie le montage et le démontage des soufflets sur les pommeaux de levier de commande de boîte de vitesse. Ceci permet un gain de temps appréciable lors d’opérations nécessitant le retrait du soufflet.

Selon un premier mode de réalisation, les premiers moyens de liaison comportent une charnière d’articulation reliant mobiles en pivotement les deux bras l’un par rapport à l’autre à la première de leurs deux extrémités respectives, suivant un axe parallèle au plan diamétral, tandis les deuxièmes moyens de liaison comportent des moyens de montage amovible par encliquetage élastique des secondes extrémités respectives des deux bras.

Selon un deuxième mode de réalisation, les premiers et deuxièmes moyens de liaison comportent des moyens de montage amovible par encliquetage élastique respectivement des premières et secondes extrémités respectives des deux bras.

De préférence, les moyens de montage amovible par encliquetage élastique consistent en une cavité ménagée dans une des secondes extrémités respectives des deux bras, et s’étendant suivant la circonférence du bras, ladite cavité comportant un évidement de réception destinée à recevoir avec encliquetage élastique l’autre des secondes extrémités respectives des deux bras présentant un relief faisant saillie axialement et destiné à s’encliqueter dans ledit évidement de réception.

Avantageusement, les deux bras présentent une section transversale carrée ou rectangulaire.

Avantageusement, les deux bras présentent une surface cylindrique interne crantée. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront clairement de la description qui en est faite ci-après, à titre indicatif et nullement limitatif, en référence aux dessins annexés, dans lesquels: - la figure 1 est une vue en coupe longitudinale illustrant la zone de liaison d’un soufflet de levier de commande de boîte de vitesses au pommeau du levier de commande au moyen d’une bague de fixation conforme à l’invention, - la figure 2 est une vue en perspective de la bague de fixation selon un premier mode de réalisation de l’invention ; - la figure 3 est une vue de dessus de la bague de fixation selon un deuxième mode de réalisation de l’invention, - la figure 4 illustre une variante de réalisation de la figure 3

La figure 1 illustre un soufflet 1 monté autour d’un levier de commande de boîte de vitesses 2 sur la partie supérieure duquel est monté un pommeau 3 pour la manipulation du levier de commande 2. Le soufflet 1 est fixé au niveau de sa périphérie 10 sur la base cylindrique 30 du pommeau 3 au moyen d’une bague de fixation 4 amovible, destinée à serrer la périphérie 10 du soufflet 1 sur la base 30 du pommeau 3. Selon l’exemple de réalisation de la figure 1, l’aménagement réalisé sur la base 30 du pommeau 3 pour le montage amovible de la bague de fixation 4, comprend une gorge 31 dont l’orientation est essentiellement transversale à l’axe X du pommeau, pour une mise en place et un retrait de la bague 4 selon cette direction transversale.

La figure 2 illustre en détail un premier mode de réalisation de la bague de fixation. Selon ce premier mode de réalisation, la bague est réalisée en matière plastique et se présente sous la forme d’un anneau articulé 40 constitué en une seule partie. Plus précisément, l’anneau 40 comporte deux bras rigides 41 et 42 incurvés, embrassant chacun un angle d’environ 180°, formant ainsi deux demi-anneaux séparé par un plan diamétral. Les deux bras incurvés 41, 42 sont préférentiellement de section transversale carrée ou rectangulaire. Une charnière d’articulation 43 relie les deux bras 41, 42 l’un à l’autre par une première de leurs deux extrémités respectives, respectivement 41a et 42a. La charnière d’articulation 43 est réalisée sous la forme d’une mince bande de matière, qui relie les premières extrémités respectives 41a et 42a des deux bras 41,42 et qui permet de faire pivoter les deux bras l’un par rapport à l’autre autour d’un axe parallèle à l’axe de l’anneau, passant par cette bande mince, soit autour d’un axe parallèle au plan diamétral séparant les deux demi-anneaux.

Sur la figure 2, les deux bras 41, 42 sont pivotés autour de la charnière d’articulation 43 plaçant l’anneau 40 en position ouverte, dans laquelle les secondes extrémités respectives 41b, 42b des deux bras 41, 42, situées du côté opposé à la charnière d’articulation 43, sont écartées l’une de l’autre de part et d’autre du plan diamétral séparant les deux bras 41,42, définissant ainsi un espace 44 s’étendant entre les secondes extrémités respectives 41b et 42b des deux bras 41, 42, par lequel la bague peut être engagée autour de la périphérie 10 du soufflet 1 recouvrant la base du pommeau 3, suivant une orientation transversale d’engagement (par rapport à l’axe du pommeau). Ainsi, la bague peut être placée sur la périphérie du soufflet sans devoir être glissée autour du pommeau lors de la mise en place ou du retrait.

Suivant le mode de réalisation de la figure 2, l’anneau articulé 40 comporte aussi des moyens de montage amovible 45 par encliquetage élastique des secondes extrémités respectives 41b, 42b des deux bras 41 et 42, permettant de refermer l’anneau 40 avec un certain serrage autour de la périphérie 10 du soufflet 1 placée sur la base du pommeau 3. Ces moyens de montage amovible 45 permettent de relier entre elles les secondes extrémités respectives des deux bras 41, 42, qui sont conçues pour s’encliqueter élastiquement lorsque les deux bras 41,42 sont pivotés l’un vers l’autre autour de la charnière d’articulation 43 depuis la position ouverte de l’anneau articulée 40 vers une position fermée. Dans cette position fermée de l’anneau articulé 40, les secondes extrémités respectives 41 b, 42b des deux bras 41,42 sont reliées entre elles, et l’anneau 40 forme une pièce rigide apte à serrer la périphérie du soufflet sur la base du pommeau 3.

Selon l’exemple de réalisation de la figure 2, la seconde extrémité 41b du premier bras 41 est pourvue d’une cavité 45a, de dimension relativement réduite, s’étendant sensiblement suivant la circonférence du bras 41. Autrement dit, la cavité 45a ménagée au niveau de la seconde extrémité 41 b du bras 41 forme une encoche s’étendant dans le corps du bras 41 et qui est délimitée par les parois cylindriques interne et externe du bras 41. Cette cavité 45a comporte un évidement de réception 45b destinée à recevoir avec encliquetage élastique la seconde extrémité 42b du deuxième bras 42, lorsque cette dernière est engagée à travers la cavité 45a. Pour ce faire, la seconde extrémité 42b du deuxième bras 42 est munie d’un relief 45c faisant saillie axialement, et destiné à s’encliqueter dans l’évidement de réception 45b, permettant ainsi d’assurer un accrochage mutuel des secondes extrémités respectives 41b, 42b des deux bras 41,42. De la sorte, les deux bras 41,42 sont solidarisés en regard l’un de l’autre et viennent en engagement dans la gorge 31 ménagée sur la base du pommeau 3 pour serrer la périphérie du soufflet 1 sur la base du pommeau 3.

Comme illustré à la figure 2, les deux bras 41, 42 comportent préférentiellement une surface cylindrique interne crantée destinée à venir en appui contre la périphérie du soufflet, pour améliorer la tenue.

Les surfaces cylindriques externes des deux bras 41, 42 comportent préférentiellement des zones de préhension 41 v, 42c pour pince de serrage, par exemple des évidements dans lesquels viennent prendre appui les mâchoires d’une pince de serrage, pour permettre de refermer l’anneau autour du soufflet et partant, assurer le serrage.

La figure 3 illustre un deuxième mode de réalisation de la bague de fixation du soufflet. Selon ce deuxième mode de réalisation, la bague est réalisée en matière plastique et se présente sous la forme d’un anneau 400 constitué en deux parties, respectivement deux bras rigides 410 et 420 incurvés (deux demi-anneaux), permettant de couvrir chacun 180° de la circonférence de la périphérie du soufflet couvrant la base du pommeau. Ces deux bras sont conçus pour pouvoir être assemblés entre eux de manière amovible par l’intermédiaire de leurs premières et secondes extrémités respectives 410a et 420a, et 410b et 420b. Aussi, selon ce deuxième mode de réalisation, les premières extrémités respectives 410a et 420a des deux bras 410 et 420 et les secondes extrémités respectives 410b et 420b des deux bras 410 et 420 peuvent être assemblés et désassemblés entre elles. Lorsque les premières et secondes extrémités respectives des deux bras sont désassemblées, on dit que la bague est en position ouverte et les deux bras peuvent venir s’engager séparément autour de la périphérie du soufflet 1 suivant une orientation transversale d’engagement (par rapport à l’axe du pommeau), jusqu’à définir une position fermée de la bague dans laquelle les premières et secondes extrémités respectives des deux bras sont reliées entre elles de façon à former une seule pièce rigide, comme illustrée à la figure 3, apte à serrer la périphérie du soufflet sur la base du pommeau.

Pour ce faire, les deux bras 410, 420 comprennent des premiers moyens de montage amovible 450 par encliquetage élastique des premières extrémités respectives 410a et 420a des deux bras 410 et 420 et des deuxièmes moyens de montage amovibles 460 par encliquetage élastique des secondes extrémités respectives 410b et 420b des deux bras 410 et 420, permettant de constituer l’anneau fermé 400 tel qu’illustré à la figure 3.

Les premier et deuxième moyens de montage amovible par encliquetage élastique des extrémités respectives des deux bras sont du même type que les moyens de montage amovible par encliquetage élastique décrits en référence au premier mode de réalisation illustré à la figure 2. Ainsi, ils consistent en un relief agencée au niveau d’une des deux extrémités destinées à s’encliqueter, qui forme une partie mâle destinée à venir s’engager dans une cavité de réception agencée dans l’autre des deux extrémités et qui forme une partie femelle munie d’un évidement de réception de forme complémentaire au relief.

Ainsi, la première extrémité 420a du deuxième bras 420 forme un élément femelle dans lequel vient s’engager l’élément mâle formé par la première extrémité 410a du premier bras 410, et la seconde extrémité 410b du premier bras 410 forme un élément femelle dans lequel vient s’engager l’élément mâle formé par la seconde extrémité 420b du deuxième bras 420. À cette fin, la première extrémité 420a du deuxième bras 420, respectivement la seconde extrémité 410b du premier bras 410 est percée d’une cavité 460a, respectivement 450a et la première extrémité 410a du premier bras, respectivement la seconde extrémité 420b du deuxième bras 420 est pourvue d’un relief 460c, respectivement 450c faisant saillie axialement de l’extrémité.

Plus précisément, selon l’exemple de réalisation de la figure 3, ce relief se présente sous la forme d’un plot présentant une première section cylindrique et une extrémité de plus grand diamètre présentant une forme arrondie pour faciliter l’engagement du pivot dans la cavité correspondante. La cavité 450a, respectivement 460a, comporte une première section cylindrique, du côté tourné vers l’extérieur, suivie d’une seconde section 450b, respectivement 460b, du côté intérieur, formant un évidement de réception pour l’extrémité du plot 450c, respectivement 460c, séparée de la première section par une nervure intérieure circulaire formant un épaulement 450d, respectivement 460d. Ainsi, le plot 450c, respectivement 460c, est engagé dans la cavité de réception 450a, respectivement 460a, jusqu’à atteindre l’évidement de réception 450b, respectivement 460b, dans lequel son extrémité vient se loger, une face de son extrémité venant buter sur l’épaulement formé par la nervure 450d, respectivement 460d, et bloquant en position le plot dans la cavité de réception correspondante.

La figure 4 illustre une variante de réalisation des premier et deuxième moyens de montage amovible par encliquetage élastique des extrémités respectives des deux bras 410, 420. Suivant cette variante, le relief 460’c, respectivement 450’c faisant saillie axialement de la première extrémité 410a du premier bras 410, respectivement de la seconde extrémité 420b du deuxième bras 420 se présente sous la forme d’un crochet qui coopère avec un épaulement 460’d, respectivement 450’d, formé dans l’évidement de réception 450’b, respectivement 460’b, dans lequel l’extrémité du crochet est engagé.

La présente invention vise donc des bagues réalisées en plastique, de préférence réalisées dans une matière thermoplastique relativement rigide et élastique et qui présentent un montage définitif par encliquetage élastique.

La mise en place du soufflet, destiné à envelopper le levier de commande de la boîte de vitesse, est effectuée de la manière suivante.

Dans un premier temps, le soufflet est retourné de sorte que sa face interne se présente du côté extérieur visible. La périphérie du soufflet est maintenue dans la gorge ménagée sur la base du pommeau par l’intermédiaire de la bague amovible de fixation selon l’invention. La bague est montée sans jeu, de manière légèrement forcée, sur la périphérie du soufflet recouvrant la base du pommeau, assurant ainsi un serrage approprié du soufflet sur la base du pommeau. Puis, le soufflet est retourné par-dessus la bague de fixation de sorte à être positionné dans sa forme définitive, c’est-à-dire avec sa face externe se présentant du côté extérieur visible.

Comme indiqué plus haut, la section transversale de la bague est de préférence carrée ou rectangulaire. Aussi, la bague permet de former une structure de conformation du soufflet, qui épouse la forme extérieure de la bague une fois qu’il est repositionné dans sa forme définitive, ce qui donne au soufflet une forme extérieure parfaitement définie et calibrée dans la zone de liaison du soufflet au pommeau, adaptée en outre à bien correspondre aux surfaces adjacentes. Autrement dit, forme extérieure du soufflet est conditionnée dans la zone de liaison concernée par le volume et la forme extérieure de la bague de fixation.

Ainsi, la bague de fixation permet de fiabiliser l’assemblage et de garantir la reproductibilité de la mise en forme du soufflet dans la zone de liaison concernée et en particulier, au niveau de l’accostage entre le soufflet et le pommeau, en garantissant une maîtrise des jeux et des affleurements.

Claims (6)

1. REVENDICATIONS

   1. Dispositif de fixation d’un soufflet (1) sur un pommeau (3) de levier de commande (2) d’une boîte de vitesses, du type comprenant une bague (40, 400) destinée à être placée de manière amovible autour d’une périphérie (10) du soufflet (1) apte à couvrir une région d’extrémité du pommeau de forme générale cylindrique, caractérisé en ce que ladite bague comporte deux bras rigides incurvés (41, 42, 410, 420) séparés par un plan diamétral et des premiers et deuxièmes moyens de liaison (43, 45, 450, 460) adaptés pour solidariser les deux bras en regard l’un de l’autre suivant le plan diamétral au niveau de la première (41a, 42a, 410a, 420a) et de la seconde (41b, 42b, 410b, 420b) de leurs deux extrémités respectives, lesdits premier et deuxième moyens de liaison étant conçus pour permettre à ladite bague d’occuper une position ouverte dans laquelle au moins l’une des premières et secondes extrémités respectives des deux bras sont écartées de telle sorte que ladite bague peut être placée ou retirée de ladite périphérie dudit soufflet par l’espace qui sépare les deux bras, et une position fermée dans laquelle les premières et secondes extrémités respectives des deux bras sont reliées entre elles de façon à former une seule pièce rigide apte à serrer ladite périphérie dudit soufflet sur ladite région d’extrémité.
2. 2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que les premiers moyens de liaison comportent une charnière d’articulation (43) reliant mobiles en pivotement les deux bras (41,42) l’un par rapport à l’autre à la première de leurs deux extrémités respectives (41a, 42a), suivant un axe parallèle au plan diamétral, tandis les deuxièmes moyens de liaison comportent des moyens de montage amovible par encliquetage élastique (45) des secondes extrémités respectives des deux bras (41 b, 42b).
3. 3. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que les premiers et deuxièmes moyens de liaison comportent des moyens de montage amovible par encliquetage élastique (450, 460) respectivement des premières (410a, 420a) et secondes (410b, 420b) extrémités respectives des deux bras.
4. 4. Dispositif selon la revendication 2 ou 3, caractérisé en ce que les moyens de montage amovible par encliquetage élastique (45, 450, 460) consistent en une cavité (45a, 450a, 460a) ménagée dans une des secondes extrémités respectives des deux bras, et s’étendant suivant la circonférence du bras, ladite cavité comportant un évidement de réception (45b, 450b, 460b) destinée à recevoir avec encliquetage élastique l’autre des secondes extrémités respectives des deux bras présentant un relief (45c, 450c, 460c) faisant saillie axialement et destiné à s’encliqueter dans ledit évidement de réception.
5. 5. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les deux bras (41, 42, 410, 420) présentent une section transversale carrée ou rectangulaire.
6. 6. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les deux bras (41, 42, 410, 420) présentent une surface cylindrique interne crantée.