FR3047692A1

FR3047692A1 - Enjoliveur de roue de chariot

Info

Publication number: FR3047692A1
Application number: FR1651246A
Authority: FR
Inventors: Francis Cadreils
Original assignee: ALTHOME FRANCE
Current assignee: Mnc Altona Fr
Priority date: 2016-02-16
Filing date: 2016-02-16
Publication date: 2017-08-18
Anticipated expiration: 2036-02-16
Also published as: FR3047692B1

Abstract

Enjoliveur comportant une calotte (5) formant un cache pour couvrir la partie centrale de la roue à jante en se fixant mécaniquement sur les rayons de la roue. La calotte reçoit l'arrière du disque de base (6) qui reçoit lui-même un disque de montage. Le disque de base (6) a des lumières (63) avec une entrée élargie se poursuivant par un couloir curviligne (632). Les lumières sont centrées sur le cercle de base (64). Le disque de montage (7) se fixe derrière le disque de base (6) par des agrafes (71) dont les pattes s'engagent dans les lumières (63) et viennent prendre derrière les bords du couloir (632) de façon que la branche centrale (73) se coince dans le couloir (632) dont la largeur radiale diminue. Le disque de montage a des pinces (76) pour se fixer sur les rayons de la roue.

Description

Domaine de l’invention

La présente invention se rapporte à un enjoliveur de roue à jante à rayons et moyeu de chariot tel que diable, fixé à la jante.

Etat de la technique

Il existe de multiples types d’enjoliveurs de roue de véhicule. Mais dans le cas de chariots tels que des diables ou autres petits chariots, les roues sont en général formées d’une jante avec un moyeu porté par un axe, par l’intermédiaire ou non d’un roulement à bille. La jante est munie d’un bandage ou d’un pneumatique. Ces roues en général de petites dimensions ont des jantes à rayons.

Les rayons se chargent de poussière et autres de sorte que leur aspect se détériore et donne un mauvais aspect à l’ensemble du chariot.

But de l’invention

La présente invention a pour but d’améliorer l’esthétique de roues de chariots de petites dimensions tels que des diables, chariots pour les courses ménagères ou autres chariots de ce type, de manière à en faciliter l’entretien et leur donner un aspect agréable les mettant en valeur.

Exposé et avantages de l’invention A cet effet, l’invention a pour objet un enjoliveur de roue à jante à rayons et moyeu de chariot tel que des diables pour être fixé aux rayons de la jante, ayant : une calotte formant un cache pour couvrir la partie centrale rayonnée de la roue jusqu’à la jante, recevant à l’arrière un disque de base fixé mécaniquement et recevant lui-même un disque de montage avec des pinces pour être installé et fixé sur les rayons de la roue, le disque de base de diamètre adapté au diamètre intérieur du bord de la calotte pour y être fixé, ayant, * des lumières avec une entrée élargie se poursuivant par un couloir curviligne, centré sur le cercle de base et ayant une largeur radiale allant en diminuant vers l’extrémité du couloir, et réparties de façon égale sur un cercle de base, le disque de montage, fixé à plat contre le disque de base, ayant : * un ensemble d’agrafes réparties de façon équidistante et de même nombre que celui des lumières du disque de base sur le cercle de base, * chaque agrafe cruciforme ayant deux pattes radiales, symétriques par rapport au cercle de base, découpées dans le disque de montage auquel elles restent reliées par la branche centrale en étant repoussées derrière le plan du disque de montage, * la branche centrale alignée sur le cercle de base ayant une largeur radiale légèrement inférieure à celle de l’entrée du couloir curviligne, * le disque de montage étant appliqué à plat contre le disque de base avec les pattes des agrafes passant dans l’entrée des lumières pour être pivotées derrière les bords des couloirs, les branches centrales s’engageant dans les couloirs par le mouvement de pivotement autour de l’axe (xx). L’enjoliveur de roue de chariot selon l’invention améliore considérablement l’aspect du chariot car il couvre les rayons et facilite l’entretien extérieur du chariot. Un simple coup de chiffon ou de balai permet de nettoyer facilement la partie la plus visible de la roue et qui en général attire l’œil. L’enjoliveur peut également porter des indications personnelles ou des marques de façon à identifier du premier coup d’œil, un chariot en attente. Dans le cas de chariots servant à faire les courses, qui, en général doivent rester en attente en amont de l’entrée proprement dite de magasins de grandes surfaces, la personnalisation du chariot facilite son identification et le protège contre le vol.

Il suffit en effet que l’enjoliveur soit personnalisé par exemple avec une indication et le cas échéant un numéro d’identification de sorte qu’en cas de contestation sur la propriété d’un chariot de course, son identification sera très facile.

Suivant une autre caractéristique, le disque de base a une ouverture centrale pour le passage du moyeu de la roue. Cela permet de réaliser un disque de base peu encombrant et qui, de plus, est tenu par le moyeu de la roue.

Suivant une autre caractéristique, les pinces sont découpées dans des fenêtres du disque de montage en étant décalées par rapport à la position circulaire des agrafes. Cette réalisation simplifie la fabrication de l’enjoliveur et de ses moyens de fixation.

Suivant une autre caractéristique, les découpes de l’agrafe cruciforme prolongent la branche centrale au-delà de la largeur des pattes dans la direction du cercle de base pour former une partie élastique permettant de repousser élastiquement les pattes derrière les bords du couloir de la lumière.

Suivant une autre caractéristique, la branche centrale de chaque agrafe cruciforme a une largeur radiale supérieure à la largeur radiale réduite du couloir de la lumière qui lui est associé.

Suivant une autre caractéristique, les lumières du disque de base sont de formes et de dimensions identiques et les agrafes cruciformes du disque de montage sont de formes et de dimensions identiques.

Enfin suivant une autre caractéristique, le disque de base a des encoches à sa périphérie et le disque de base a un rayon inférieur au rayon du disque de base pour laisser dégagées les encoches pour la mise en place et la fixation du disque de base.

Suivant une autre caractéristique, le disque de montage a des trous près de son bord pour l’engagement par pivotement des agrafes dans les lumières du disque de base.

Dessins

La présente invention sera décrite ci-après de manière plus détaillée à l’aide d’un exemple de réalisation d’un enjoliveur de roue à jante à rayons, représenté dans les dessins annexés dans lesquels : la figure IA est une vue en perspective d’une roue de chariot, à jante, sans l’enjoliveur, la figure IB est une vue en perspective analogue à celle de la figure IA avec la roue à jante équipée de l’enjoliveur selon l’invention, la figure 2, dans ses parties 2A, 2B, montre respectivement une vue de dessus et une vue de côté de la calotte de l’enjoliveur de roue, la figure 3 est une vue de dessus du disque de base de l’enjoliveur, la figure 4, dans ses parties 4A, 4B, montre respectivement une vue de dessous et une vue de côté de la calotte munie du disque de base, la figure 5, dans ses parties 5A, 5B, montre respectivement une vue de dessus et une vue de côté du disque de montage destiné à être assemblé au disque de base, la figure 6, dans ses parties 6A, 6B, montre respectivement une vue en coupe et une vue en plan d’une partie du disque de base au niveau d’une lumière, la figure 7, dans ses parties 7A, 7B, montre respectivement une vue en coupe radiale et une vue en plan d’une agrafe du disque de montage, la figure 8, dans ses parties 8A, 8B, montre respectivement une vue en coupe radiale et une vue en plan du disque de montage dans sa première position de mise en place sur le disque de base, la figure 9, dans ses parties 9A, 9B, montre respectivement une vue en coupe radiale et une vue en plan du disque de montage dont l’agrafe est engagée dans le couloir de la lumière du disque de montage, la figure 10 montre dans ses parties 10A, 10B une vue arrière de l’enjoliveur assemblé et une vue de côté de celui-ci, les figures 11A, 11B montrent respectivement une vue en perspective, côté arrière de l’enjoliveur et côté avant.

Description d’un mode de réalisation de l’invention

La figure IA est une vue en perspective d’une roue de chariot 100 tel qu’un diable ou un chariot de marché. La roue 100 est formée d’un moyeu 1 portant une jante 2 à rayons 21 et gorge 22 munie d’un bandage plein, ou d’un pneumatique à mousse ou d’un pneumatique gonflable 3. La roue 100 est emmanchée sur un axe non représenté sur lequel elle tourne soit directement, soit par l’intermédiaire d’un roulement à bille.

La figure IB montre la roue 100 de la figure IA munie de l’enjoliveur 4 selon l’invention.

Cet enjoliveur 4 fixé de manière amovible à des rayons 21 de la jante 2 couvre toute la partie centrale de la jante occupée par les rayons. L’enjoliveur 4 porte une indication 41 telle qu’une marque ou un élément décoratif d’identification ou de personnalisation. Comme l’enjoliveur 4 est amovible, il permet de personnaliser les roues de façon individuelle par chariot, alors que les roues ou les chariots équipés des roues sont fabriqués à l’identique en grande série. L’enjoliveur 4 couvre les rayons 21 pour améliorer l’esthétique, faciliter l’entretien et selon le cas, permettre d’identifier très rapidement le chariot par un numéro, une indication, une marque, une référence, par exemple dans le cas d’une série de chariots d’une entreprise. L’utilisateur auquel est attribué un chariot peut ainsi avoir son logo ou sa référence sur les roues.

Selon l’invention, l’enjoliveur 4 se compose d’une calotte 5 pour l’aspect extérieur de l’enjoliveur et d’un disque de base 6 recevant un disque de montage 7 pour sa fixation aux rayons de la jante de la roue comme cela sera décrit ci-après.

Dans les dessins et la description, le côté extérieur de l’enjoliveur 4 est le côté avant AV et le dos tourné contre la jante 2 est le côté arrière AR.

Les figures 2A, 2B montrent la calotte 5 de l’enjoliveur qui est une pièce métallique ou en plastique, creuse, ayant une forme de révolution autour de l’axe xx. Dans cet exemple, la section de cette forme de révolution est sensiblement celle d’une demi-ellipse aplatie, creuse, avec un bord 51 recevant par sertissage ou clipsage le disque de base 6 représenté à la figure 3.

Selon la figure 3, le disque de base 6 est une pièce en tôle ou en matière plastique, plane, ayant un bord circulaire 61 et une ouverture centrale 60 pour faciliter son montage sur un moyeu 1 de roue qui est, le cas échéant, en saillie par rapport au plan global de la jante ou encore de l’axe portant la roue et qui dépasse du moyeu 1.

Le disque de base 6 est représenté avec un repère d’orientation LO. Il a une forme d’anneau circulaire avec des lumières 63 identiques, réparties de façon égale sur un cercle de base 64. Les lumières 63 sont, dans cet exemple, au nombre de quatre et leur orientation est la même sur le cercle de base 64.

Les lumières 63 qui traversent le disque de base 6 sont formées d’une entrée 631 ayant une largeur radiale DI (mesurée suivant un rayon du disque). L’entrée 631 est symétrique en rotation par rapport au cercle de base ; ses bords 631a, 631b sont de part et d’autre, de façon équidistante du cercle de base 64. L’entrée 631 se poursuit par un couloir 632 lui aussi symétrique par rapport au cercle de base 64 et ayant une forme délimitée par des bords 632a, 632b dont la largeur va en diminuant jusqu’à l’extrémité du couloir.

Les lumières 63 laissent entre elles les parties pleines 65 dont le bord extérieur comporte des encoches 611 servant à tenir ou bloquer en rotation le disque de base 6 comme cela sera décrit ultérieurement.

Les figures 4A, 4B montrent le disque de base 6 fixé à l’entrée 52 de la calotte 5, du côté arrière (AR). Le bord 61 du disque 6 est fixé légèrement en retrait du plan du bord de la calotte 5 (figure 4B).

La figure 4A laisse apparaître les encoches 611 non couvertes par l’assemblage du disque 6 dans la calotte 5.

Les figures 5A, 5B montrent en plan et en vue de côté le disque de montage 7 présenté dans la même orientation autour de l’axe xx que le disque de base 6 de la figure 4A avec la ligne de repère LO.

Le rayon Rm du disque de montage 7 est légèrement inférieur à celui du disque de base 6 pour laisser les encoches 611 dégagées lorsque le disque de montage 7 est assemblé au disque de base 6 comme cela sera décrit.

Le disque de montage 7 comporte des agrafes cruciformes 71 réparties sur le cercle de base 64 qui a le même rayon Rb que le cercle de base 64 du disque de base 6.

Les agrafes 71 sont orientées radialement ; elles sont formées dans la matière du disque de montage 7 par deux découpes 71a, 71b en forme de chapeaux, symétriques par rapport au cercle de base 64 avec des pattes latérales 72 laissant subsister une branche centrale 73. Les pattes 72 sont déformées avec une partie repliée 74 et elles sont sorties du plan du disque 7 pour venir en saillie sur son côté arrière. Le disque de montage 7 comporte des pinces 76 découpées dans le disque et rabattues vers l’arrière (figure 5B) pour fixer le disque de montage aux rayons 21 de la roue d’un chariot.

Les pinces 76 sont découpées dans deux fenêtres 77 décalées par rapport à la position circulaire des agrafes 71 de manière à ne pas affaiblir le disque de montage.

Le centre du disque 7 a une ouverture centrale 78 pour le passage de l’axe qui est éventuellement en saillie.

En périphérie, le disque de montage 7 comporte des trous 79 permettant de manœuvrer le disque 7 pour le tourner autour de son axe (xx) et le verrouiller au disque de base 6, lui-même déjà assemblé à la calotte 5 comme cela sera vu ensuite.

Un exemple de lumière 63 du disque de base 6 et d’agrafe 71 du disque de montage 7 sera décrit de façon plus détaillée à l’aide respectivement de la figure 6 et de la figure 7 ; l’assemblage du disque de montage 7 au disque de base 6 sera décrit dans le cas d’une agrafe 71 et d’une lumière 63 à l’aide des figures 8 et 9.

Pour faciliter la compréhension de l’assemblage, les dessins des lumières du disque de base 6 et des agrafes 71 du disque de montage 7 sont présentés aux figures 7-9 sous une forme développée de sorte que le cercle de base 64 est représenté par une droite 64. Par cette convention de dessins, le pivotement du disque de montage 7 par rapport au disque de base 6 correspondra à une translation.

Selon les figures 6A, 6B, la lumière 63 se compose d’une entrée 631, ici en forme de rectangle symétrique par rapport au cercle de base 64 ; en réalité, il s’agit d’un secteur de cercle. Cette entrée 631 se poursuit par le couloir 632 dont la dimension radiale D2, D3 va en diminuant entre l’entrée 631 et l’extrémité du couloir 632.

La figure 7 montre la forme de l’agrafe cruciforme 71 découpée et emboutie dans le disque de montage 7. La découpe est délimitée en partie supérieure et en partie inférieure par une ligne de découpe 71a, 71b formant les pattes 72 qui dégagent l’agrafe cruciforme 71. Les deux pattes radiales 72 sont recourbées (partie repliée 74) et aplaties derrière le plan du disque de montage 7 à une distance (e) de préférence légèrement supérieure à l’épaisseur du disque de base 6. Après la mise en forme, la longueur radiale dl de l’agrafe 71 entre ses bords extérieurs et intérieurs, est inférieure à la dimension radiale Dl de l’entrée 631 d’une lumière 63. La largeur radiale d2 de la bande centrale 73 de l’agrafe cruciforme 71 est légèrement inférieure à la largeur radiale D2 de l’amorce du couloir 632 en restant supérieure à la largeur radiale D3 de l’extrémité du couloir.

Selon la figure 7B, la branche centrale 73 de l’agrafe cruciforme 7 est délimitée par les deux lignes de découpe 7 la,b se poursuivant au-delà des deux pattes 72 de façon à donner à l’agrafe une certaine élasticité dans la direction perpendiculaire au plan du disque de montage 7.

Grâce à cette élasticité, même si l’écart (e) des pattes 71 par rapport au plan de la face arrière du disque de montage 7 est égal ou inférieur à celui du disque de base 6, les pattes 71 pourront s’engager par un simple enfoncement sous le disque de base 6 et se retenir par un effet de serrage combiné à un effet de coincement de la branche centrale 73 dans la partie rétrécie (D3) du couloir 632 de la lumière 63.

La figure 8, dans ses parties 8A, 8B, montre le positionnement du disque de montage 7 avec son agrafe 71 face à l’entrée de la lumière 63 correspondante du disque de base 7 lorsque les lignes de repère LO coïncident. L’entrée 631 est en partie couverte par la découpe de l’agrafe 71 puisque celle-ci est plus petite que l’entrée 631 de sorte que les lignes de découpe 71a, 71b couvrent les extrémités radiales extérieure et intérieure de l’entrée 631 (figure 8B).

La figure 9, dans ses parties 9A, 9B, montre la position du disque de montage 7 qui a été pivoté dans le sens contraire des aiguilles d’une montre pour que les pattes 71 de l’agrafe 71 viennent derrière les bords 632a,b du couloir 632 du disque de base 6. Dans cette position et comme le montre la vue en coupe de la figure 9A, la branche centrale 73 de l’agrafe 71 est coincée contre les bords 632a,b allant en diminuant du couloir 632 de la lumière 63.

Comme les lumières 63 sont réparties de manière égale sur le cercle 64 de base et qu’il en est de même des agrafes 71 dont le nombre est égal à celui des lumières 63 du disque de base 6, le mouvement d’engagement par pivotement du disque de montage 7 sur le disque de base 6 et coaxialement à celui-ci se fait simultanément pour toutes les agrafes 71 dans toutes les entrées 631 des lumières 63 et dans les couloirs 632 jusqu’au coincement du disque de montage 7 au disque de base 6.

Pour faciliter le pivotement relatif des deux disques 6, 7, le disque de base 6 est bloqué en rotation par un outil venant prendre dans une ou plusieurs encoches 611 et le disque de montage 7 est pivoté par un outil venant prendre dans les trous 79.

Comme déjà indiqué ci-dessus, le disque de montage 7 a un nombre d’agrafes cruciformes 71 égal au nombre de lumières 63 du disque de base et les positions se correspondent, les lumières 63 et les agrafes 71 étant de préférence réparties de manière égale sur le cercle de base 64 qui est le même pour le disque de base 6 et le disque de montage 7.

Bien que les agrafes 71 et les lumières 63 aient des dimensions et des formes analogues et compatibles, il est avantageux pour ne pas différencier la position de rotation du disque de montage 7 par rapport au disque de base 6 autour de l’axe de rotation, que toutes les lumières 63 soient de même forme et que les agrafes 71 soient également de même forme. Dans ces conditions, peu importera la position de rotation dans laquelle le disque de montage sera présenté face au disque de base 6 pour engager les agrafes 71 dans les lumières 63, cet enfoncement étant suivi du pivotement comme cela a été décrit ci-dessus.

La figure 10, dans ses parties 10A, 10B, montre la position assemblée du disque de montage 7 au disque de base 6, lui-même assemblé à la calotte 5. Le pivotement de la droite de repère LO est figuré par la ligne L1 représentant la nouvelle position de la droite de repère LO lorsque le disque de montage 7 est pivoté par rapport au disque de base 6.

La figure 1 IA est une vue en perspective arrière laissant apparaître les griffes 76 du disque de montage 7 qui serviront à accrocher l’enjoliveur 4 à deux rayons 21 diamétraux de la jante 2 de la roue 100.

La figure 11B est une vue en perspective de l’avant de l’enjoliveur 4 montrant par exemple une indication 41 qui peut être portée sur celui-ci.

NOMENCLATURE 100 Roue de chariot 1 Moyeu 2 Jante 21 Rayon 22 Gorge 3 Bandage / pneumatique 4 Enjoliveur 41 Indication, référence, marque 5 Calotte 51 Bord 6 Disque de base 60 Ouverture centrale 61 Bord 611 Encoche 63 Lumière 630a Découpe 630b Découpe 631 Entrée 631a Bord 631b Bord 632 Couloir 632a Bord 632b Bord 64 Cercle de base 64’ Droite représentant le cercle de base développé 65 Partie pleine 7 Disque de montage 70 Ouverture centrale 71 Agrafe cruciforme 71a Découpe 71b Découpe 72 Patte 73 Branche centrale 74 Partie repliée 75 Découpe 76 Pince 77 Fenêtre 78 Ouverture centrale 79 Trou LO Droite de repère

Rm Rayon extérieur du disque de base

Rb Rayon du cercle de base D1 Largeur radiale de l’entrée de la lumière D1 Largeur radiale de l’amorce du couloir D3 Largeur radiale diminuée du couloir d 1 Largeur radiale hors tout des pattes de l’agrafe d2 Largeur de la branche centrale de l’agrafe

Claims

REVENDICATIONS 1°) Enjoliveur de roue à jante à rayons et moyeu de chariot tel que des diables pour être fixé aux rayons de la jante, ayant : une calotte (5) formant un cache pour couvrir la partie centrale rayonnée de la roue (100) jusqu’à la jante (2), recevant à l’arrière un disque de base (6) fixé mécaniquement et recevant lui-même un disque de montage (7) avec des pinces (76) pour être installé et fixé sur les rayons (21) de la roue, le disque de base (6) de diamètre adapté au diamètre intérieur du bord (51) de la calotte (5) pour y être fixé, ayant, * des lumières (63) avec une entrée élargie (631) se poursuivant par un couloir curviligne (632), centré sur le cercle de base (64) et ayant une largeur radiale (D2, D3) allant en diminuant vers l’extrémité du couloir (632) et réparties de façon égale sur un cercle de base (64), le disque de montage (7), fixé à plat contre le disque de base (6), ayant : * un ensemble d’agrafes (71) réparties de façon équidistante et de même nombre que celui des lumières (63) du disque de base (6), sur le cercle de base (64), * chaque agrafe cruciforme (71) ayant deux pattes radiales (72), symétriques par rapport au cercle de base (64), découpées dans le disque de montage (7) auquel elles restent reliées par une branche centrale (73) en étant repoussées derrière le plan du disque de montage (7), * la branche centrale (73) alignée sur le cercle de base (64) ayant une largeur radiale (d2) légèrement inférieure à celle (D3) de l’entrée du couloir curviligne (632), * le disque de montage (7) étant appliqué à plat contre le disque de base (6) avec les pattes (72) des agrafes (71) passant dans l’entrée (631) des lumières (63) pour être pivotées derrière les bords des couloirs (632a,b), les branches centrales (73) s’engageant dans les couloirs (632) par le mouvement de pivotement (L0-L1) autour de l’axe (xx).
2°) Enjoliveur de roue selon la revendication 1, caractérisé en ce que le disque de base (6) a une ouverture centrale (60) pour le passage du moyeu de la roue.
3°) Enjoliveur de roue selon la revendication 1, caractérisé en ce que les pinces (76) sont découpées dans les fenêtres (77) du disque de montage (7) en étant décalées par rapport à la position circulaire des agrafes (71) 4°) Enjoliveur de roue selon la revendication 1, caractérisé en ce que les découpes (7 la,b) de l’agrafe cruciforme (71) prolongent la branche centrale (73) au-delà de la largeur des pattes (72) dans la direction du cercle de base (64) pour former une partie élastique permettant de repousser élastiquement les pattes (72) derrière les bords (632a,b) du couloir (632) de la lumière (63). 5°) Enjoliveur de roue selon la revendication 1, caractérisé en ce que la branche centrale (73) de chaque agrafe cruciforme (71) a une largeur radiale (d2) supérieure à la largeur radiale (D3) réduite du couloir (632) de la lumière (63) qui lui est associée. 6°) Enjoliveur de roue selon la revendication 1, caractérisé en ce que les lumières (63) du disque de base (6) sont de formes et de dimensions identiques et les agrafes cruciformes (71) du disque de montage (7) sont de formes et de dimensions identiques. 7°) Enjoliveur de roue selon la revendication 1, caractérisé en ce que le disque de base (6) a des encoches (611) à sa périphérie (61) et le disque de montage (7) a un rayon (Rm) inférieur au rayon (Rb) du disque de base (6) pour laisser dégagées les encoches (611) pour la mise en place et la fixation du disque de base (6). 8°) Enjoliveur de roue selon les revendications 1 et 7, caractérisé en ce que le disque de montage (7) a des trous (79) près de son bord pour l’engagement par pivotement des agrafes (71) dans les lumières (63) du disque de base (6).