FR3041567A1 - Assemblage d'une roue et d'un enjoliveur - Google Patents

Abstract

L'invention se rapporte à un assemblage d'une roue (1) et d'un enjoliveur (11, 111) circulaire, ladite roue (1) comportant une structure (2) dotée d'une partie centrale (4) présentant un canal (10) cylindrique délimité par une paroi (9). La principale caractéristique d'un assemblage selon l'invention est que l'enjoliveur (111) possède un joint périphérique (117, 118, 119), et en ce que ledit enjoliveur (111) est inséré dans une gorge périphérique (120, 121, 122, 123) de ladite paroi (9), de sorte que ledit joint (117, 118, 119) se retrouve sous contrainte dans la gorge (120, 121, 122, 123) entre l'enjoliveur (111) et la paroi (9).

Description

ASSEMBLAGE D’UNE ROUE ET D’UN ENJOLIVEUR L’invention se rapporte à un assemblage d’une roue et d’un enjoliveur. Généralement, une roue possède une structure rigide souvent réalisée en métal et ayant une forme sensiblement cylindrique. Schématiquement, cette structure possède une partie centrale apte à recevoir un enjoliveur et une partie périphérique apte à recevoir un pneumatique, ladite partie centrale et ladite partie cylindrique étant reliées entre elles par des rayons.

Actuellement, l’enjoliveur comporte des pattes de fixation saillantes, destinées à être clippées dans la partie centrale de la roue. De telles pattes présentent une hauteur importante, entraînant un positionnement en saillie dudit enjoliveur par rapport à la structure de la roue. Or, cet élargissement artificiel de la roue a tendance à accroître significativement l’encombrement du véhicule, et également à nuire à son esthétique.

Un assemblage d’une roue et d’un enjoliveur selon l’invention, s’affranchit des inconvénients relevés dans l’état de la technique. L’invention a pour objet un assemblage d’une roue et d’un enjoliveur circulaire, ladite roue comportant une structure dotée d’une partie centrale présentant un canal cylindrique délimité par une paroi.

La principale caractéristique d’un assemblage selon l’invention est que l’enjoliveur possède un joint périphérique, ledit enjoliveur étant inséré dans une gorge périphérique de ladite paroi, de sorte que ledit joint se retrouve sous contrainte dans la gorge entre l’enjoliveur et la paroi. De cette manière, les pattes de fixation servant à fixer l’enjoliveur dans la structure de la roue, sont supprimées. L’enjoliveur dont le volume a été grandement diminué en raison de la suppression de ces pattes, vient se clipper non plus sur la structure de la roue, mais à l’intérieur de ladite structure. Il en résulte qu’un assemblage selon l’invention occupe un volume moins important que celui d’un assemblage existant, réalisé avec des pattes de fixation saillantes. La structure de la roue est rigide, et est préférentiellement réalisée en métal. Le joint est supposé se retrouver dans la gorge, entre un bord périphérique de l’enjoliveur et la paroi de la structure délimitant le canal. Il est supposé que l’insertion de l’enjoliveur dans la gorge nécessite un certain effort qui va se traduire par un écrasement du joint entre l’enjoliveur et ladite paroi. Dépourvue de ses pattes de fixation à la structure de la roue, l’enjoliveur est assimilable à une pièce plane et de faible épaisseur. Le rapport entre la longueur de l’enjoliveur, qui peut être son diamètre, et son épaisseur est supérieur à 7 et préférentiellement supérieur à 10. L’enjoliveur est placé dans la paroi de manière à obturer le canal.

De façon préférentielle, la paroi comporte deux extrémités délimitant le canal, la gorge étant située à proximité de l’une desdites extrémités de sorte que l’enjoliveur une fois monté dans la structure affleure ladite extrémité. Puisque l’enjoliveur est destiné à embellir l’aspect visuel de la roue, il vient obturer le canal de la structure de roue au niveau de son extrémité visible. La position de l’enjoliveur dans la structure de roue ne doit pas engendrer de cassure géométrique pour ne pas détériorer l’aspect visuel de la roue. Pour cette raison, l’enjoliveur se retrouve préférentiellement en léger retrait de la structure de roue, mais en continuité visuelle de celle-ci.

Selon un mode de réalisation préféré d’un assemblage selon l’invention, le joint est solidarisé à l’enjoliveur. Avantageusement, il est solidarisé au bord périphérique de l’enjoliveur et a tendance à accroître les dimensions dudit enjoliveur.

Selon un autre mode de réalisation préféré d’un assemblage selon l’invention, le joint est solidarisé à la structure de la roue, au niveau de la gorge. Pour cette configuration, le joint tapisse le fond de la gorge avec une possibilité de déborder de ladite gorge.

Préférentiellement le joint est collé à l’enjoliveur ou à la paroi délimitant le canal de la structure de roue.

Avantageusement, l’enjoliveur est une pièce plane, le plan de l’enjoliveur s’étendant perpendiculairement à l’axe du canal.

De façon préférentielle, l’enjoliveur une fois monté dans la structure se retrouve en retrait de certaines zones saillantes de ladite structure. De cette manière, il ne contribue pas à accroître les dimensions de la roue. Il embellit l’aspect de la roue sans augmenter son volume.

Préférentiellement, la structure de la roue est en aluminium.

De façon avantageuse, le joint est réalisé dans un matériau à choisir parmi un élastomère avec un insert métallique et un élastomère sans insert métallique. L’invention a pour autre objet un enjoliveur pour la réalisation d’un assemblage selon l’invention. L’invention a pour autre objet un procédé de montage d’un enjoliveur sur une roue pour obtenir un assemblage conforme à l’invention.

La principale caractéristique d’un procédé selon l’invention est qu’il comprend les étapes suivantes, une étape de solidarisation du joint sur l’un des deux éléments constitués par l’enjoliveur et la paroi délimitant le canal de la partie centrale de la structure de la roue, - une étape de réalisation d’une gorge dans la paroi délimitant le canal central, - une étape d’insertion de l’enjoliveur dans la gorge de ladite paroi entraînant un écrasement du joint entre ledit enjoliveur et ladite paroi.

Pour un tel procédé, la solidarisation du joint peut s’effectuer, soit sur un bord périphérique de l’enjoliveur, soit dans la gorge de la paroi délimitant le canal. Cette solidarisation est avantageusement réalisée par collage. L’insertion de l’enjoliveur dans la gorge s’effectue au prix d’un certain effort, accroissant ainsi les conditions de contact et de maintien entre ledit enjoliveur et ladite paroi.

Un assemblage selon l’invention présente l’avantage d’être de conception simple, grâce à une insertion de l’enjoliveur dans la structure de la roue et à la suppression des moyens de fixation entre ces deux éléments. Il a de plus l’avantage de mieux plaquer l’enjoliveur à la structure de roue, et donc de favoriser la réalisation d’un « tulipage » de la roue. Le tulipage consiste à courber légèrement les rayons de la roue de manière à ce que l’extrémité de chaque rayon qui est située au niveau de la partie centrale de roue, soit située en retrait de l’extrémité de chacun desdits rayons se raccordant à la jante périphérique de ladite roue. La roue acquiert ainsi l’aspect d’une fleur, les rayons étant assimilables aux pétales de ladite fleur.

On donne, ci-après, une description détaillée d’un mode de réalisation préféré d’un assemblage d’une roue et d’un enjoliveur selon l’invention en se référant aux figures suivantes : - La figure 1A est une vue de face d’une structure de roue, - La figure 1 B est une vue en perspective de la structure de roue de la figure 1 A, - Les figures 2A, 2B et 2C sont trois vues d’un enjoliveur d’un assemblage selon l’état de la technique, respectivement en perspective sous un premier angle, de côté, et en perspective sous un deuxième angle, - Les figures 3A, 3B et 3C sont trois vues d’un enjoliveur d’un assemblage selon l’invention, respectivement en perspective sous un premier angle, de côté, et en perspective sous un deuxième angle,

La figure 4 est une vue en coupe d’un premier mode de réalisation préféré d’une roue d’un assemblage selon l’invention,

La figure 5 est une vue en coupe d’un deuxième mode de réalisation préféré d’une roue d’un assemblage selon l’invention La figure 6 est une vue en coupe d’un troisième mode de réalisation préféré d’une roue d’un assemblage selon l’invention La figure 7 est une vue en coupe d’un quatrième mode de réalisation préféré d’une roue d’un assemblage selon l’invention, Les figures 8A, 8B et 8C sont trois vues de côté respectivement d’un premier, d’un deuxième et d’un troisième mode de réalisation préférés d’un enjoliveur d’un assemblage selon l’invention.

En se référant aux figures 1A et 1 B, une roue 1 de véhicule comprend une structure 2 en aluminium, comportant schématiquement une jante 3 périphérique annulaire, apte à recevoir un pneumatique, et une partie centrale 4 apte à recevoir un enjoliveur pour améliorer l’aspect visuel de ladite roue 1 et donc du véhicule. Cette jante 3 et cette partie centrale 4 sont reliées entre elles par des rayons 6 recourbés, de sorte que l’extrémité 7 de chacun de ces rayons située au niveau de la partie centrale 4 de la roue 1 soit située en retrait de l’extrémité 8 se raccordant à la jante périphérique 3. La partie centrale 4 de la roue 1 comporte une paroi 9 ménageant un canal central 10 cylindrique destiné à recevoir des moyens de transmission de la roue 1. Un enjoliveur circulaire vient coiffer la structure 2 de la roue 1au niveau de sa partie centrale 4 de manière à recouvrir le canal central 10 et les moyens de transmission logés à l’intérieur de ce canal 10. Cet enjoliveur est fixé à la roue I au niveau d’une face visible de ladite roue 1, une fois que celle-ci a été montée sur le véhicule. L’enjoliveur est destiné à améliorer l’aspect visuel de la roue 1.

En se référant aux figures 2A, 2B et 2C, un enjoliveur 11 de l’état de la technique est une pièce discoïdale plane, possédant deux faces circulaires 12, 13 en vis-à-vis et un bord périphérique 15.

En se référant à la figure 2A, une première face 12 comprend des pattes de fixation 14 en saillie, placées à la périphérie de ladite face 12 en étant régulièrement espacées le long de ladite périphérie. Chacune de ces pattes 14 présente une courbure assimilable à celle du bord périphérique 15 de l’enjoliveur 11. Chacune de ces pattes 14 présente une hauteur importante, de l’ordre de quelques centimètres. La hauteur représente la dimension de la patte 14 considérée selon une direction perpendiculaire au plan de la face 12 sur laquelle elle est implantée. Chacune de ces pattes 14 présente également une pliure ménageant une gorge 17, apte à recevoir un ressort commun à toutes les pattes 14, de manière à positionner correctement lesdites pattes 14 au moment de la fixation de l’enjoliveur 11 dans la roue 1. Ces pattes 14 servent à fixer l’enjoliveur 11 dans la roue 1.

En se référant à la figure 2C, une deuxième face 13 de l’enjoliveur 11 reçoit une paroi d’habillage 16 sur laquelle peut par exemple figurer un logo 5 représentatif de la marque du véhicule. Cette paroi 16 vient se fixer par clipsage sur cette deuxième face 13 de l’enjoliveur 11. L’enjoliveur 11 vient se clipper dans la partie centrale 4 de la roue 1 par l’intermédiaire des pattes 14 de fixation qui interagissent avec des reliefs complémentaires de ladite partie centrale 4. Comme l’indique clairement la figure 2B, l’épaisseur de l’enjoliveur II est importante notamment en raison des pattes de fixation 14 saillantes.

Une fois que ledit enjoliveur 11 a été fixé à la roue 1, il accroît significativement le volume de l’assemblage constitué par la roue 1 et ledit enjoliveur 11.11 empêche également l’effet de « tulipage >> de la roue 1.

En se référant aux figures 3A, 3B et 3C, l’enjoliveur 111 d’un assemblage selon l’invention, a été modifié de manière à diminuer le volume de cet assemblage. La principale modification de l’enjoliveur 111 réside en la suppression des pattes 14 de fixation à la structure 4 de la roue 1, afin de diminuer significativement son épaisseur. L’enjoliveur 111 est ainsi assimilable à un disque possédant deux faces 112, 113 circulaires planes et parallèles, délimitées par un bord périphérique 114 présentant une certaine épaisseur. Chacune desdites faces 112, 113 est lisse et l’une d’entre elles peut recevoir une paroi d’habillage, avec par exemple un logo représentatif de la marque du véhicule. L’enjoliveur 111 peut également présenter des pattes de fixation (non visibles sur les figures) pouvant servir à solidariser un joint. Ces pattes sont peu saillantes et n’accroissent pas significativement l’épaisseur de l’enjoliveur 111.

En se référant à la figure 3B, l’enjoliveur 111 d’un assemblage selon l’invention possède une épaisseur grandement diminuée par rapport à celle d’un enjoliveur 11 de l’état de la technique, comme par exemple celui qui est représenté à la figure 2B. Cette épaisseur correspond essentiellement à celle du bord périphérique 114.

En se référant aux figures 8A, 8B et 8C, un joint d’étanchéité 117, 118, 119 pouvant par exemple être en caoutchouc, est collé autour de l’enjoliveur 111, sur son bord périphérique 114, ledit joint 117, 118, 119 ayant tendance à accroître le diamètre de l’enjoliveur 111. Cette disposition du joint 117, 118, 119 en périphérie d’enjoliveur 111 résulte d’une volonté de ne pas augmenter l’épaisseur de l’enjoliveur 111.

En se référant à la figure 8A, selon un mode de réalisation préféré d’un assemblage selon l’invention, la section transversale du joint 117 est circulaire et est inférieure à l’épaisseur du bord périphérique 114 de l’enjoliveur 111.

En se référant à la figure 8B, selon un autre mode de réalisation préféré d’un assemblage selon l’invention, la section transversale du joint 118 est triangulaire et possède des dimensions inférieures à l’épaisseur du bord périphérique 114 de l’enjoliveur 111.

Pour ces deux modes de réalisation préférés, le joint 117, 118 est partiellement rentré dans une gorge de l’enjoliveur 111, qui est réalisée le long et au milieu du bord périphérique 114 dudit enjoliveur 111. De cette manière, lejoint 117, 118 déborde de façon limitée de l’enjoliveur 111.

En se référant à la figure 8C, selon un autre mode de réalisation préféré d’un assemblage selon l’invention, la section transversale du joint 119 est circulaire, ledit joint 119 venant enserrer le bord périphérique 114 de l’enjoliveur 111.

En se référant aux figures 4, 5, 6 et 7 l’enjoliveur 111 est inséré dans une gorge périphérique de la paroi 9 de la partie centrale 4 de la roue 1 délimitant le canal central 10. Cette gorge s’étend sur une circonférence de ladite paroi 9. Plus précisément, cette paroi 9 comprend une face interne délimitant le canal 10 central, et la gorge est réalisée dans cette face interne. Cette gorge est annulaire et s’étend sur 360° le long de cette face interne. Elle s’inscrit dans un plan qui est perpendiculaire à l’axe de révolution du canal central 10. Cette gorge est placée à proximité d’une extrémité 130 de la paroi 9 considérée le long de son axe de révolution, de sorte que l’enjoliveur 111, une fois qu’il est inséré dans la roue 1, vienne affleurer ladite extrémité 130. De cette manière, il apparaît en continuité de la structure 2 de la roue 1, harmonisant ainsi le rendu visuel de la face visible de la roue 1, une fois que celle-ci a été montée dans le véhicule. La forme de la section de la gorge dans laquelle est destiné à venir s’insérer l’enjoliveur 111 est adaptée à la forme du joint 117, 118, 119 entourant l’enjoliveur 111.

Ainsi, en se référant à la figure 4, si la section du joint 117 est circulaire et que ledit joint 117 est placé à une extrémité de la largeur du bord périphérique 114 de l’enjoliveur 111, la section de la gorge 120 sera en arc-de-cercle prolongée d’un seul côté par un bord droit.

En se référant à la figure 5, si la section du joint 117 est circulaire et que ledit joint 117 est placé au milieu de la largeur du bord périphérique 114 de l’enjoliveur 111, la section de la gorge 121 sera en arc-de-cercle, prolongée des deux côtés par un bord droit.

En se référant à la figure 6, si la section du joint 118 est triangulaire et que ledit joint 117 est placé à une extrémité de la largeur du bord périphérique 114 de l’enjoliveur 111, la section de la gorge 122 sera triangulaire et prolongée d’un seul côté par un bord droit.

En se référant à la figure 7, si la section du joint 118 est triangulaire et que ledit joint 118 est placé au milieu de la largeur du bord périphérique 114 de l’enjoliveur 111, la section de la gorge 123 sera triangulaire et prolongée des deux côtés par un bord droit.

Un procédé de montage d’un enjoliveur 111 sur une roue 1 pour obtenir un assemblage conforme à l’invention, comprend les étapes suivantes, - une étape de collage du joint 117, 118, 119 sur le bord périphérique 114 de l’enjoliveur 111, - une étape de réalisation d’une gorge 120, 121, 122, 123 dans la paroi 9 délimitant le canal cylindrique central 10, une étape d’insertion de l’enjoliveur 111 dans ladite gorge 120, 121, 122, 123 entraînant un écrasement du joint 117, 118, 119 entre ledit enjoliveur 111 et la face interne de ladite gorge 120, 121, 122, 123. Cette insertion s’effectue au prix d’un certain effort, de manière à accroître les conditions de contact entre l’enjoliveur 111 et la structure 2 de la roue 1 et assurer un positionnement stable dudit enjoliveur 111 au sein de ladite roue 1.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS

   1. Assemblage d’une roue (1 ) et d’un enjoliveur (11, 111) circulaire, ladite roue (1) comportant une structure (2) dotée d’une partie centrale (4) présentant un canal (10) cylindrique délimité par une paroi (9), caractérisé en ce que l’enjoliveur (111) possède un joint périphérique (117, 118, 119), et en ce que ledit enjoliveur (111) est inséré dans une gorge périphérique (120, 121, 122, 123) de ladite paroi (9), de sorte que ledit joint (117, 118, 119) se retrouve sous contrainte dans la gorge (120, 121, 122, 123) entre l’enjoliveur (111) et la paroi (9).
2. 2. Assemblage selon la revendication 1, caractérisé en ce que la paroi (9) comporte deux extrémités (130) délimitant le canal (10), et en ce que la gorge (120, 121, 122, 123) est située à proximité de l’une (130) desdites extrémités de sorte que l’enjoliveur (111) une fois monté dans la structure (2) affleure ladite extrémité (130).
3. 3. Assemblage selon l’une quelconque des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le joint (117, 118, 119) est solidarisé à l’enjoliveur (111).
4. 4. Assemblage selon l’une quelconque des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que le joint (117, 118, 119) est solidarisé à la structure (2) de la roue (1), au niveau de la gorge (120, 121, 122, 123).
5. 5. Assemblage selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que l’enjoliveur (111) est une pièce plane, et en ce que le plan de l’enjoliveur (111) s’étend perpendiculairement à l’axe du canal (10).
6. 6. Assemblage selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que l’enjoliveur (111) une fois monté dans la structure (2) se retrouve en retrait de certaines zones saillantes de ladite structure (2).
7. 7. Assemblage selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que la structure (2) de la roue (1) est en aluminium.
8. 8. Assemblage selon l’une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que le joint (117, 118, 119) est réalisé dans un matériau à choisir parmi un élastomère avec un insert métallique ou un élastomère sans insert métallique.
9. 9. Enjoliveur (111) pour la réalisation d’un assemblage conforme à l’une quelconque des revendications 1 à 8.
10. 10. Procédé de montage d’un enjoliveur (111) sur une roue (1 ) pour obtenir un assemblage conforme à l’une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce qu’il comprend les étapes suivantes, - une étape de solidarisation du joint (117, 118, 119) sur l’un des deux éléments constitués par l’enjoliveur (111) et la paroi (9) délimitant le canal (10) de la partie centrale (4) de la structure (2) de la roue (1 ), - une étape de réalisation d’une gorge (120, 121, 122, 123) dans la paroi (9) délimitant le canal central (10), - une étape d’insertion de l’enjoliveur (111) dans la gorge (120, 121, 122, 123) de ladite paroi (9) entraînant un écrasement du joint (117, 118, 119) entre ledit enjoliveur (111) et ladite paroi (9).