1 La présente invention concerne les dispositifs filaires de détection de tentative d'intrusion par porte d'entrée d'un logement, relatifs aux cas où il est fait usage de fausses clés, passes, actions de crochetage de verrou et serrure, ou encore de tentative d'enfoncement de la porte ainsi que l'utilisation d'objets métalliques ( tournevis, pied de biche...) introduits entre le chant de la porte et l'huisserie. La plupart des détecteurs d'ouverture de porte, comportent deux parties respectivement fixées sur le dormant pour l'une, et sur l'ouvrant pour l'autre, transmettent par voie filaire ou hertzienne une information à la centrale d'alarme dès lors que ces deux parties s'écartent l'une de l'autre, ce qui entraîne, passé un certain délai, l'activation du dispositif d'alerte par sirène, avec ou sans alerte téléphonique, en cas de tentative d'intrusion par un cambrioleur. Mais le réglage de ces détecteurs nécessite leur parfaite adéquation avec le bloc porte, car il faut tenir compte de l'état de la menuiserie, du jeu entre ouvrant et huisserie, de la présence éventuelle de matériau ferromagnétique à proximité du chant de la porte et sur l'huisserie, faute de quoi des déclenchements de l'alarme peuvent survenir lors de chocs accidentels sur la porte, fussent-ils de faible intensité. De plus, le paramétrage de la centrale d'alarme et la nécessaire temporisation de quelques secondes qui permettent à l'usager de pénétrer dans son logement sans déclencher l'alarme, l'obligent cependant à désactiver le dispositif de protection, une fois à l'intérieur, sans oublier de le rendre à nouveau opérationnel lorsqu'il quitte son domicile, ce qui finalement impose des contraintes qu'il est possible d'éviter lorsque la porte d'entrée du logement constitue le seul point de passage obligé pour un cambrioleur. Enfin, un détecteur de qualité coûte cher, et de surcroît, les défauts que peut présenter la porte, variant en fonction de la température, de l'humidité ambiante et des cycles ouvertures-fermetures, exigent des réglages contraignants au niveau de ces détecteurs, étant donné leur grande sensibilité. Il est connu de l'état de la technique un dispositif ayant fait l'objet d'une demande de Brevet 25 FR 257 6627 (Al) « Détecteur d'intrusion par protection intégrale de porte ». Ce dispositif, placé sur la porte, côté extérieur, présente les inconvénients suivants. --Son installation nécessite le percement de la porte, la pratique d'une saignée dans le chant de cette dernière, ce qui peut entraîner des dégâts conséquents, tant sur la porte que sur le détecteur en cas de tentative d'arrachement de ce dernier.
30 De plus, la sensibilité du système de détection est telle, qu'à l'ouverture de la porte par la personne autorisée, le déplacement de l'étrier (10), oblige cette dernière, d'aller rapidement inactiver le déclenchement de l'alarme sur le boîtier (17), ne pouvant entreprendre cette 3032823 2 manoeuvre de l'extérieur, avant tout déverrouillage des différents points de fermeture. Et ne pas oublier de «réarmer» le dispositif avant de quitter son appartement. --La nécessaire temporisation dans la conception de ce dispositif de détection présente aussi l'inconvénient de différer le déclenchement de l'alarme lors de toute tentative d'effraction, ce qui 5 peut être mis à profit par le cambrioleur pour défoncer par exemple la porte, et aller ensuite neutraliser le dispositif contenu dans le boîtier, même si entre temps, l'alarme se déclenche, mais dure trop peu, perdant ainsi de sa crédibilité pour peu que le dispositif ait déjà été l'objet de quelques déclenchements accidentels. Il est également connu de l'état de la technique un autre dispositif ayant fait l'objet d'une 10 demande de Brevet FR 242 1429 (Al) «Détecteurs de vibration et de magnétisme appliqués dans un circuit de détection d'intrusion». Dans ce dispositif, la sensibilité aux chocs est réglable, ce qui suppose un seuil en dessous duquel un choc ou des vibrations ne peuvent entraîner le déclenchement de l'alarme, avec cependant le risque que des chocs accidentels de moindre intensité, ou de vibrations générées par 15 des travaux dans l'immeuble, soient susceptibles d'induire des effets de vibrations forcées au niveau de la masse (2) fixée sur le support (3), ce qui provoquerait le contact de cette masse avec le trou (1 a), et par suite le déclenchement de l'alarme. Ici encore, la personne autorisée subit la contrainte de ne disposer que d'une certaine durée pour entrer ou sortir de son logement, ce qui nécessite la temporisation d'un relais, et ce, pour éviter le 20 déclenchement de l'alarme. De surcroît, pour cette personne , le moindre écart positionnel de l'aimant «clef» avec le «détecteur clef» (24) est également source de déclenchements d'alarme. Enfin, dans un mode de réalisation, il est envisagé le blocage des serrures, mais les modifications à apporter à ces points de fermeture sont impossibles à effectuer sur les serrures lardées qui équipent la majorité des portes d'entrée des appartements actuels. En envisageant même que le dispositif de blocage soit monté sur une serrure en «applique», un dysfonctionnement toujours possible dans le circuit de commande, pourrait empêcher la personne autorisée de déverrouiller la serrure pour pénétrer dans son logement. Le Brevet FR 2578061 (A1) « Perfection aux détecteurs d'intrusion» propose un dispositif de détection de chocs, comportant un contact à goutte de mercure, mais ici encore, la sensibilité du dispositif l'expose, à des déclenchements lors de chocs accidentels, sans rapport avec toute tentative d'intrusion. Un autre dispositif ayant fait l'objet d'une demande de Brevet FR 2575571 (Al) «Installation 3032823 3 de sécurité anti - intrusion» a pour but l'élimination de déclenchements intempestifs, mais présente l'inconvénient de faire intervenir un grand nombre de détecteurs, dont au moins deux doivent être activés et transmettent une information à une centrale d'alarme, qui juge de l'opportunité de déclencher les organes d'alerte, et impliquant donc des circuits complexes, avec 5 organes de temporisation, concentrateur, organes de liaison radio..., le risque de dysfonctionnements augmentant avec le nombre de composants du dispositif de détection. Le dispositif selon l'invention permet de surseoir aux inconvénients ci - dessus présentés. Il utilise les structures déjà existantes dans toute habitation: paumelles au niveau du bloc porte, serrure et verrou de sûreté, prises de courant murales sont associés aux trois types de 10 détection de tentative d'intrusion. L'intégration de ces structures dans le dispositif de détection permet une installation plus discrète, plus fiable, en éliminant quasiment les risques de pannes ou de dysfonctionnements. ---La jonction électrique entre l'ouvrant de la porte et l'huisserie est assurée par l'intermédiaire des paumelles, nécessairement métalliques, donc conductrices du courant électrique. 15 ---Associer les éléments de protection passive ( verrou, serrure) aux éléments de protection active constitués par les différents capteurs d'ouverture, augmente l'efficacité du dispositif ---Utiliser les bornes de terre de deux prises murales, bornes de terre déjà toutes reliées entre elles par les câbles de cuivre issus de la mise à la Terre de toute installation domestique, et constituant donc un excellent conducteur électrique, ce qui permet d'économiser quelques 20 mètres, voire quelques dizaines de mètres de fils entre la porte et le boîtier d'alarme situé à l'intérieur du logement, et éloigné de la porte d'entrée. Le dispositif suivant est insensible aux vibrations, aux chocs accidentels sur la porte, sources de déclenchements d'alarme intempestifs, il exclut toute temporisation, tant à l'entrée qu'à la sortie de la personne autorisée; la centrale d'alarme, de coût onéreux est remplacée par le boîtier 25 d'alarme à l'intérieur duquel, les composants, sollicités dès détection de tentative d'intrusion, déclencheront l'alerte sonore via la sirène, avec alerte téléphonique vers l'usager absent de son domicile, ou tout autre personne. La durée de l'alarme sonore, déclenchée lors d'une tentative d'intrusion, est simplement limitée par la capacité, en milliampère.heure ( inA.h), d'une pile convenablement choisie, et si besoin, 30 par deux, trois ou quatre piles identiques montées en parallèle ou par groupement mixte, en fonction des caractéristiques électriques de la sirène (5) et du relais électromécanique (2), de 3032823 4 manière à ce que cette durée soit de 5 à 10 minutes, ce qui évite l'utilisation d'un dispositif de temporisation pour la sirène. En période d'inactivité, le dispositif ne consomme aucune énergie électrique. La commande d'un interrupteur à coulisseau magnétique, fixé sur le côté intérieur de la porte 5 d'entrée est assurée, depuis l'extérieur ou l'intérieur du logement, par le déplacement d'un aimant en néodyme, inusable, aimant dont le déplacement programmé, est assuré par la personne autorisée, et remplaçant avantageusement un clavier de commande mural pouvant toujours être endommagé. Aucune télécommande n'est nécessaire à l'activation ou à la désactivation du dispositif de détection.
10 Ce qui suit, va décrire dans le détail, avec planches de dessins à l'appui, l'ensemble du dispositif selon l'invention. La Planche de dessins 1/7 représente le boîtier mural d'alarme (10) contenant la pile (1), la sirène (5), le relais électromécanique (2), l'interrupteur à coulisseau KI, une tirette t" fixée sur le noyau en fer (8) du relais (2), qui libère le corps (6), dans le tube (7) en vue d'activer le téléphone 15 portable (9), les points Q et G étant raccordés extérieurement aux différents circuits de détection. La figure 1 de la Planche 2/7 représente l'interrupteur de commande K2 à coulisseau magnétique c2, les figures 2 et 3 représentent les détecteurs d'ouverture de la serrure (21), la figure 4 représente un détecteur sensible à l'introduction d'un objet métallique entre le chant de la 20 porte (41) et l'huisserie (42), les figures 5 et 6 concernent les deux parties du détecteur sensible à des contraintes mécaniques importantes exercées sur le bloc porte. Les dessins de la Planche 3/7 représentent, sur le côté intérieur de la porte d'entrée, l'agencement des différents circuits sollicités qui détectent toute tentative d'intrusion. Pour des raisons de clarté, les dimensions relatives des interrupteurs K2 et K3 ainsi que la distance pouvant 25 les séparer, n'obéissent à aucune contrainte d'échelle. Les dessins de la Planche 4/7, représentent sur 3 côtés de l'huisserie (42), la disposition des détecteurs sensibles à l'introduction d'objets métalliques entre le chant de la porte et l'huisserie, ainsi que leurs connexions avec les conducteurs filaires issus de L' et T'. La figure 1 de la Planche 5/7 indique comment l'aimant en néodyme n doit être déplacé à 30 l'extérieur de la porte pour fermer l'interrupteur à coulisseau magnétique K2, la figure 2 indiquant le sens de déplacement pour ouvrir cet interrupteur. La Planche 6/7 (photo), représente l'intérieur du boîtier d'alarme (10) fixé sur le mur, les 3032823 5 connexions filaires extérieures issues des points Q et G, ainsi que le dispositif d'alerte téléphonique, lui même fixé sur le mur. La Planche 7/7 (photo), représente sur la même plaquette isolante fixée sur la porte d'entrée , à la fois l'interrupteur K3 dont le coulisseau c3 est fixé magnétiquement par l'une de ses 5 extrémités p, au pêne du verrou de sûreté V, et l'interrupteur K2 à coulisseau magnétique c2 Le dispositif selon l'invention comporte, représentés sur la ( Planche 1/7): --Un boîtier (10) à fixation murale à l'intérieur duquel, se trouvent fixés sur support isolant en plexiglas: -Une pile (1) 10 --Une sirène (5) --Un relais électromécanique (2) --Un interrupteur Ki, ces quatre composants électriques se répartissant dans deux circuits différents, montés en dérivation entre les pôles de la pile (1), l'un de ces circuits B(5)JME(3)(4)FG, contenant entre les pôles de la pile (1), la sirène (5), l'interrupteur KI, de sorte 15 que la fermeture de l'autre circuit, ABCDQG, contenant entre les pôles de la pile (1), le relais électromécanique (2), la jonction entre les points Q et G assurée par liaison conductrice extérieure au boîtier (10), via l'un ou l'autre des quatre détecteurs sollicités lors de toute tentative d'intrusion, entraînant le passage d'un courant électrique d'intensité II dans le relais électromécanique (2), dont le noyau (8) en fer se déplace alors vers la droite en venant heurter le 20 coulisseau cl, qui, se déplaçant à son tour, provoque la fermeture de l'interrupteur KI, ce qui provoque le passage d'un courant électrique d'intensité I2 dans la branche B(5) JMEtit2FG contenant la sirène (5) et l'interrupteur KI, ce qui déclenche l'alarme sonore, et l'alerte téléphonique, grâce au déplacement de la tirette t", que le noyau de fer (8) du relais électromécanique (2) déplace vers la droite, libérant la masse (6) contenue dans le tube vertical 25 (7), dont le support est fixé au mur (12), cette masse (6) en chute venant heurter la touche tactile du téléphone portable (9) en «attente» sur la partie horizontale du support du tube (7), l'intensité du courant 13 traversant la pile (1), vérifiant la relation: 13 = II + 12 ( loi des noeuds en B ou G). L'interrupteur KI est constitué par deux profilés en aluminium (3) et (4), en oméga, fixés sur plaquette isolante en plexiglas, et prenant respectivement en étau, un tube de laiton -Li dans le 30 profilé (3), et un tube en laiton t2 dans le profilé (4), ces deux tubes coaxiaux et de même 3032823 6 diamètre, dont les extrémités en regard sont séparées par une distance de quelques millimètres, le tube ti à l'intérieur duquel se trouve le coulisseau cl, coulisseau constitué par un troisième tube de laiton de diamètre extérieur immédiatement inférieur au diamètre intérieur des tubes ti et t2, ce troisième tube contenant une tige filetée en laiton occupant une partie de sa longueur, en laissant 5 libre sur une distance de un centimètre à partir de son extrémité, une cavité dans laquelle est insérée un aimant cylindrique en néodyme, de longueur un centimètre, bloqué dans ce tube, ce coulisseau cl dont la position détermine l'état électrique de l'interrupteur K1, et qui, à la fermeture de ce dernier vient contacter le tube t2, dont la partie droite, à partir de son extrémité est occupée par un petit cylindre creux en fer, dont le contact avec l'extrémité droite du coulisseau cl, 10 contenant l'aimant en néodyme, assure une solide fermeture de l'interrupteur K1, en cas de chocs répétés sur le boîtier (10), et provoqués par un cambrioleur qui n'aurait pas hésité à pénétrer dans le logement, malgré le déclenchement de l'alarme, qu'il est impossible de neutraliser par arrachement des fils conducteurs extérieurs au boîtier (10), et reliés aux points Q et G, intérieurs à ce boîtier et fixés eux mêmes sur même support isolant en plexiglas, le courant électrique 15 circulant alors seulement dans le circuit contenant la pile (1), la sirène (5) et l'interrupteurKi si cet arrachement a lieu. L'ouverture de l'interrupteur KI étant obtenue par l'introduction d'une fine tige de laiton dans le cylindre creux en fer, qui va repousser le coulisseau cl dans le tube ti. A partir du point D, sortie du relais électromécanique (2), relié au point Q, est établie une jonction filaire QL extérieure au boîtier (10), jonction qui va longer les plinthes et les 20 encadrements des portes de communication de l'appartement, avant d'arriver au point L', situé au bas du mur (12) qui encadre l'huisserie de la porte d'entrée, du côté de l'emplacement des points de fermeture, comme le montre la Planche 3/7, tandis qu'une seconde jonction filaire extérieure au boîtier (10), établie entre le point G relié au point F de l'interrupteur KI à coulisseau cl et la borne de Terre T d'une prise murale (11) située sous le boîtier mural (10), permet une liaison 25 directe avec la borne de Terre de n'importe quelle autre prise murale du logement, les bornes de Terre des prises murales présentes dans l'habitation étant déjà reliées entre elles, via la mise à la Terre de toute installation électrique domestique conforme aux normes de sécurité, ce qui permet d'utiliser une seconde prise murale la plus proche de la porte d'entrée du logement, et de relier, si nécessaire, un morceau de conducteur filaire à la borne de Terre de cette prise murale, l'extrémité 30 de cette jonction filaire étant fixée en un point T' du mur (12), proche du point L', ce procédé permettant de réaliser une économie importante de conducteur filaire extérieur au boîtier (10), remplacé par le câblage de cuivre déjà existant, reliant toutes les bornes de Terre des prises 3032823 7 murales situées à l'intérieur du logement. Afin de continuer à utiliser normalement les deux prises murales sollicitées, il suffit de placer sur chacune d'entre elles, un adaptateur multiprise pour trois appareils avec prises de Terre. La figure 1 de la Planche 2/7 est une vue en perspective de l'interrupteur de commande K2, qui 5 est constitué par deux profilés en aluminium (15) et (16), fixés sur une plaquette en plexiglas, collée ou vissée sur la porte d'entrée, côté intérieur, à un endroit choisi par la personne autorisée, le profilé (15) prenant en étau un tube de laiton t3, le profilé identique (16), prenant également en étau le tube de laiton ta, de même diamètre que le tube t3, ces tubes t3 et ta, étant coaxiaux, en position horizontale, et séparés par leurs extrémités en regard par une distance de quelques 10 millimètres, de telle sorte que le contact entre les tubes t3 et ta est assuré par un coulisseau magnétique c2, situé à l'intérieur du tube t3, coulisseau formé par deux d'aimants cylindriques en néodyme, reliés magnétiquement par contact entre pôles de noms opposés, ce coulisseau c2, de diamètre extérieur, légèrement inférieur au diamètre intérieur des tubes t3 et ta, assure par son déplacement vers la droite, la fermeture de l'interrupteur 1(2 en contactant à la fois les tubes t3 et 15 ta, ce déplacement du coulisseau c2 étant provoqué, depuis l'extérieur de la porte d'entrée, et dans une zone opposée à l'emplacement de la plaquette en plexiglas fixée sur la porte , côté intérieur, par le mouvement de translation horizontal d'un aimant parallélépipédique en néodyme n, que la personne autorisée déplace au contact de cette zone, dans un sens bien déterminé, lorsqu'elle quitte son domicile, et dans le sens opposé, quand cette personne veut ouvrir cet interrupteur K2, 20 afin de pénétrer dans son logement, sans déclencher l'alarme. Le déplacement du coulisseau c2 est limité par les butées (13) et (14). La Planche 5/7 représente sur le côté extérieur de la porte d'entrée, l'aimant en néodyme ri déplacé par la personne autorisée, et sur la zone opposée intérieure de cette porte , une vue en coupe verticale, des profilés (15) et (16) entre lesquels peut glisser le coulisseau magnétique c2, 25 via les tubes t3 et ta. L'aimant en néodyme ri doit être magnétisé dans le sens de la longueur, les pôles Nord (N) et Sud (S) sont situés sur les surfaces les plus faibles de cet aimant. La figure 1 de la Planche 5/7 montre dans quel sens [1] la personne autorisée doit déplacer cet aimant ri depuis l'extérieur de la porte pour fermer l'interrupteur K2. Et ce, en balayant de gauche à droite sur la porte, une étendue qui couvre l'emplacement des profilés (15) et (16) de 30 l'interrupteur K2 avec une tolérance de déplacement de l'aimant de 3 centimètres au dessus ou 3032823 8 en dessous des profilés (15) et (16), ce qui ne pose aucun problème à la personne autorisée pour procéder au déplacement de cet aimant, une fois repéré à l'intérieur, l'emplacement de l'interrupteur 1(2 La figure 2 de la Planche 5/7, montre dans quel sens [2] cette personne doit déplacer cet aimant ri 5 depuis l'extérieur de la porte pour ouvrir l'interrupteur 1(2, en balayant de droite à gauche sur la porte, une étendue couvrant l'emplacement des profilés (15) et (16) de l'interrupteur 1(2, avec la même tolérance pour le déplacement de l'aimant parallélépipédique Pour une meilleure maniabilité et afin d'éviter les risques de brisure de cet aimant en cas de chute, il doit être «enrobé» dans du polyéthylène lisse de 1 millimètre d'épaisseur, qui permet de 10 le déplacer sur la porte avec le minimum de frottements. La Planche 3/7 montre le circuit de détection de tentative d'ouverture par le verrou V. Ce circuit est constitué par deux profilés en aluminium (39) et (40), fixés sur support isolant en plexiglas, lui même collé ou vissé sur le côté intérieur de la porte d'entrée, le profilé (39) prenant en étau le tube en laiton t5, le profilé (40) prenant également en étau le tube en laiton t6, les tubes t5 et t6 15 étant de même diamètre, coaxiaux, en position horizontale, dont les extrémités qui se font face sont séparées par une distance de quelques millimètres, de manière à ce qu'un coulisseau c3, constitué d'un tube de laiton, de diamètre extérieur immédiatement inférieur au diamètre intérieur du tube t6, et situé à l'intérieur du tube t6 , coulisseau c3 à l'intérieur duquel un aimant g en néodyme, de longueur 2,6 millimètres, a été emboîté sur toute sa longueur, à partir de l'une de 20 ses extrémités située en face de la section du pêne perpendiculaire au plan de la porte, ce coulisseau e3 venant se fixer magnétiquement à la section du pêne du verrou V, par l'intermédiaire de cet aimant t, l'interrupteur 1(2 préalablement fermé lorsque la personne autorisée est hors de son domicile, (ou à l'intérieur si elle désire maintenir son dispositif de détection en alerte), tout déplacement du pêne du verrou V par utilisation de passe, fausse clé ou 25 action de crochetage, entraîne, dès les premiers millimètres de déplacement du coulisseau c3, réalisant ainsi la jonction électrique entre les tubes t6 et t5, donc la fermeture de l'interrupteur 1(3, et par suite, le passage d'un courant électrique empruntant la jonction électrique L'abc(paumelle 37)defghiklm(paumelle 36)nopT', les points L' et T' situés au bas du mur (12) encadrant l'huisserie de la porte d'entrée, ces points L et T' constituant les extrémités des 30 conducteurs filaires extérieurs, issus des points Q et G du boîtier mural (10), qui se trouvent alors indirectement reliés, ce qui déclenche l'alarme sonore et l'alerte téléphonique.
3032823 9 La détection peut être étendue à un second verrou, en installant un second interrupteur identique à K3 couplé de la même manière à ce verrou, le point w relié à l'un des profilés aluminium de ce second interrupteur, et le point x relié à l'autre profilé de ce même interrupteur (Planche 3/7). La Planche 3/7 représente le circuit de détection de la tentative d'ouverture de la serrure (21), 5 dont une partie périphérique y du pêne (22), sur une longueur de 1 centimètre, à partir de la têtière (19), a été recouverte d'un adhésif isolant électrique , type scotch, une fois la partie du pêne (22) sorti du boîtier de la serrure (21), comme le montre la figure 3 de la Planche 2/7, une boucle de fil d'acier de diamètre 0,5 millimètre, dont les extrémités (23) et (24) sont fixées sous la têtière (19) à l'aide de deux plaques métalliques (17) et (18), cette boucle déformée lors de la 10 pénétration du pêne (22), étant en contact avec la partie électriquement isolée y du pêne (22) lorsque la serrure (21) est complètement verrouillée, de sorte que le déplacement du pêne (22), sur une distance légèrement supérieure à 1 centimètre , en vue de l'ouverture de la serrure (21) , par passe, fausse clé ou crochetage, amène cette boucle d'acier au contact de la partie conductrice du pêne (22) , permettant alors, l'interrupteur K2 étant fermé, le passage d'un courant électrique 15 dans le circuit L'abc(paumelle37)deuvwxyzjkl(paumelle36)mnopT , comme le montre le circuit de la Planche 3/7, circuit qui comporte entre les points L' et T' au bas du mur (12) - entre lesquels existe un différence de potentiel électrique - l'interrupteur K2, la partie conductrice du pêne (22), le profilé (39) de l'interrupteur K3, les points w et x étant liés aux plaquettes métalliques (17) et (18) sous lesquelles sont fixées les extrémités des cordes d'acier (23) et (24), comme indiqué sur 20 la figure 2 de la Planche 2/7, ce qui déclenche l'alarme et l'alerte téléphonique, les points L' et T', se trouvant alors indirectement reliés via le circuit électrique décrit ci- dessus. Il importe que la surface métallique de la têtière (19) soit également recouverte, jusqu'au bec de cane (20), par une bande de scotch isolant électrique afm d'éviter toute connexion conductrice entre la boucle d'acier et le métal de la têtière. De même, la partie de la gâche faisant face à la têtière (19) de la 25 serrure (21) doit être recouverte par une bande du même scotch isolant, pour éviter que la jonction électrique accidentelle avec la boucle d'acier se réalise par l'intermédiaire de la gâche métallique de cette serrure. La Planche 4/7 représente le circuit de détection de tentative d'ouverture de la porte par introduction d'un objet métallique rigide, type tourne vis, pied de biche...entre le chant de la 30 porte et l'huisserie.
3032823 10 La jonction électrique entre les points L' et T', points situés au bas du mur (12), et présentant entre eux une différence de potentiel égale à la tension à vide de la pile (1), peut être réalisée par contact entre un ensemble de cordes d'acier, de diamètre 0,8 à 1 millimètres, disposées parallèlement entre deux barrettes de connexion électrique ( dominos), (25) et (26), collées ou 5 vissées sur les parties intérieures de l'huisserie parallèles au plan de la porte , les plus proches du chant de la porte, ces cordes étant équidistantes de 8 millimètres, le plan formé par ces cordes étant à une distance de 3 ou 4 millimètres des parties verticales ou horizontale supérieure de l'huisserie, comme on peut le voir sur les dessins de la Planche 4/7, et, comme le montre la figure 4 de la Planche 2/7, les segments supérieurs des cordes d'acier de numéro impair, pénètrent sans 10 la dépasser, dans la barrette (25), et sont bloqués ensuite, les segments inférieurs traversant de plusieurs millimètres la barrette (26), et sont bloqués ensuite, tandis que les cordes d'acier de numéro pair ont leurs segments supérieurs qui traversent de plusieurs millimètres la barrette (25), et sont bloqués ensuite, leurs segments inférieurs pénétrant sans la dépasser dans la barrette (26), et sont bloqués ensuite, celles des cordes de même parité ayant respectivement leurs extrémités 15 qui dépassent de ces barrettes, reliées aux plaquettes métalliques st et s2, elles mêmes collées ou vissées sur l'huisserie, la plaquette st étant filairement reliée à la jonction conductrice T'p qui s'étend le long du mur (12) ( Planche 4/7), la plaquette s2 filairement reliée à la jonction filaire L'a qui s'étend le long du même mur (12), et dès lors qu'un objet métallique, non isolé électriquement, est introduit entre le chant de la porte et l'huisserie, le contact entre cet objet et 20 les cordes d'acier provoque la fermeture du circuit entre les points L' et T', ce qui déclenche L'alarme sonore et l'alerte téléphonique, Dans le cas où l'objet métallique introduit entre le chant de la porte et l'huisserie serait recouvert de peinture ou de vernis électriquement isolants, il demeurerait possible d'établir la jonction électrique entre les points sous tension L 'et T', en collant sur l'huisserie et sous le plan des cordes 25 en acier, une bande adhésive ? en aluminium , bande reliée à la jonction L'a ou la jonction T'p, via l'une ou l'autre des plaquettes métalliques s2 ou st, de telle sorte que la contrainte subie par les cordes d'acier, lors du contact avec l'objet introduit, amène ces dernières au contact de la bande conductrice 1, fermant ainsi le circuit entre les points L' et T'. Sur la partie horizontale supérieure de l'huisserie, et sur la partie verticale du côté des paumelles, 30 les cordes d'acier obéissent au même mode de montage , comme le montrent encore les dessins de la Planche 4/7, les barrettes de connexion électrique, étant numérotées (27), (28), (29) et (30), et les plaquettes métalliques permettant la jonction entre les points L' et T' sont désignées par 3032823 11 s3,s4, s5, et s6. Toute tentative de dégondage de la porte par introduction d'un pied de biche entre le chant de la porte et l'huisserie, côté des paumelles, est détectée au niveau des cordes d'acier fixées sur les barrettes (29) et (30), cordes sous lesquelles se trouve la bande adhésive k3 en aluminium.
5 Le circuit de détection de tentative d'intrusion par introduction d'objet métallique entre le chant de la porte et l'huisserie est opérationnel en permanence, il n'exige aucune condition autre que la tension électrique entre les points L' et T' et ne dépend donc pas de l'état ouvert ou fermé de l'interrupteur K2, (dont la fermeture est obligatoire pour rendre opérationnelles les autres détections), de l'état ouvert ou fermé du verrou V, ou encore du verrouillage ou non de la serrure 10 (21) ( Planche 3/7). Ce qui permet à la personne autorisée, une fois à l'intérieur du logement, d'être toujours assurée par ce type de protection, tout ou partie des points de fermeture étant verrouillés, si elle ne manifeste pas le désir d'étendre la protection par les autres types de détection. Quelle que soit l'importance du jeu éventuel existant entre la porte et l'huisserie, un tel dispositif 15 ne peut donner lieu à déclenchements intempestifs d'alarme, dans la mesure où l'ouvrant n'est jamais en contact avec la région de l'huisserie sur laquelle se trouvent fixées les cordes en acier et les bandes en aluminium conductrice Xi, X2 et X3. Des plaques en aluminium ou en laiton, de 0,4 millimètres d'épaisseur, vissées sur les mêmes parties de l'huisserie (42), et sous le plan des cordes d'acier fixées aux barrettes (25),(26),(27),(28),(29) et 30, peuvent remplacer les bandes 20 adhésives d'aluminium X2, et X.3. La Planche 3/7 représente le circuit de détection de tentative d'intrusion par enfoncement du bloc porte, ou par déformation du dormant et de l'ouvrant sous l'effet de contraintes mécaniques. La jonction entre les points L' et T', sous tension, est assurée par l'intermédiaire une boucle rectangulaire (35 ) formée par des cordes en acier de diamètre 1 millimètre, dont les côtés 25 verticaux sont distants de 8 millimètres, cette boucle étant soudée à une plaque (34) en fer, comme le montre la figure 6 de la Planche 2/7, la plaque (34) étant vissée sur la partie supérieure de la porte (41), à une distance de 15 à 20 centimètres du chant vertical opposé aux paumelles, une partie de la boucle (35) verticale, évitant tout contact avec les cordes d'acier fixées aux barrettes (27) et (28), et dépassant de plusieurs centimètres le bord supérieur horizontal de 30 l'huisserie, comme indiqué sur la Planche 3/7, une vis filetée (31), de diamètre 1 centimètre (figure 5 de la Planche 2/7) , solidaire de la plaque en fer s7, fixée au mur (12), de telle sorte que 3032823 12 cette vis (31), perpendiculaire au plan du mur, puisse traverser, avec frottements, tant à l'ouverture de la porte, qu'à sa fermeture, l'espace compris entre les bords verticaux de la boucle (35), la vis filetée (31) étant électriquement isolée à partir de sa base par un morceau de tuyau souple en polyéthylène (33), au dessus duquel a été emboîté un manchon cylindrique de tuyau de 5 cuivre (32), de telle manière, qu'une fois la porte fermée, les bords verticaux de la boucle en acier (35), entrent en contact avec le tuyau isolant (33), et lors du début d'ouverture de la porte, ou de contraintes mécaniques importantes allant jusqu'à l'enfoncement de tout le bloc porte, la boucle d'acier (35) établissant le contact avec le manchon de cuivre (32), ce qui permet la jonction entre les points L' et T' (Planche 3/7), et par suite le passage d'un courant électrique dans 10 le circuit L'abcdefghig(34)r(boucle 35)s, pT', comprenant les deux parties de la paumelle (37), l'interrupteur K2 à l'état fermé, le profilé (40) de l'interrupteur K3 , profilé qui contient le coulisseau c3 dont une extrémité est magnétiquement solidaire du pêne du verrou V, et le support en fer s2, ce courant électrique traversant alors le relais électromécanique (2) ( Planche 1/7), accompagné de la fermeture de l'interrupteur KI contenu dans le boîtier (10), et par suite le 15 passage d'un courant d'intensité 12, qui traverse la sirène en déclenchant l'alarme et l'alerte téléphonique. Selon une variante de l'invention, et en conservant à l'identique la même structure pour tous les circuits électriques extérieurs au boîtier (10), on peut fixer sur une seule et même plaquette de plexiglas, l'interrupteur K2 commandé par le déplacement de l'aimant en néodyme il , et 20 l'interrupteur K3 couplé au verrou V, via le coulisseau c3. Les indications suivantes donnent les détails de construction des interrupteurs K2 et K3 . K2 est fixé sur plaquette plexiglas de 4 millimètres d'épaisseur, à l'aide de vis-écrous en laiton. Le profilé (15) en aluminium, de longueur 6 centimètres, prend en étau le tube t3 en laiton, de longueur 7 centimètres, de diamètre extérieur 9 millimètres, de diamètre intérieur 8,4 25 millimètres, à l'intérieur duquel peuvent coulisser deux aimants cylindriques en néodyme polarisés dans le sens de la longueur, de diamètre 8 millimètres, et de longueur 30 millimètres chacun, dont les pôles en contact sont de noms contraires, ces deux aimants formant le coulisseau c2, les bords des profilés (15) et (16) se faisant face étant distants de 1 centimètre, le profilé (16) mesurant 2,5 centimètres de longueur, et prenant en étau le tube t4 en laiton, coaxial 30 au tube t3 et de même diamètre, et de longueur 3,4centimètres, de sorte que les extrémités de ces 2 tubes qui se font face soient séparées par une distance de 2 millimètres, la distance entre les butées (13) et (14) limitant le déplacement du coulisseau magnétique e2, étant de 13,5 3032823 13 centimètres. En position ouverte de l'interrupteur K2 , l'extrémité droite du coulisseau c2 se trouve à 3 centimètres de l'extrémité droite du tube t3, ce qui interdit toute jonction entre les tubes en laiton, via le coulisseau c2 , même en cas de chocs accidentels sur la porte. La pression exercée sur les tubes en laiton identiques t3 et t4 par les deux aimants néodyme de 8 5 millimètres de diamètre, avec 8,4 millimètres pour diamètre intérieur de ces tubes, assure un excellent contact électrique entre ces deux aimants et ces tubes, rendant inutile, voire nuisible l'utilisation de tout produit commercialisé en vue d'améliorer les contacts entre conducteurs. L'interrupteur K3 qui peut être fixé sur la même plaquette en plexiglas que l'interrupteur 1(2, ou sur une plaquette distincte de même nature , est constitué par deux profilés (39) et (40), 10 identiques aux profilés (15) et (16) de l'interrupteur K2 mais l'aimant pi magnétiquement fixé sur la section du pêne du verrou V a un diamètre de 6 millimètres, une longueur de 2,6 centimètres ( en fait 2 aimants cylindriques de longueur 1,3 centimètres chacun), et se trouve immobilisé dans le coulisseau c3 en laiton ( ou en cuivre) de diamètre extérieur 8 millimètres, de diamètre intérieur 6 millimètres, pouvant glisser à l'intérieur du tube t6 , de diamètre extérieur 9 15 millimètres et de diamètre intérieur 8,1 millimètres, ce tube t6 étant pris en étau dans le profilé (40) de l'interrupteur K3 Le relais électromécanique (2) est constitué par un électroaimant «poussant» fonctionnant sous une tension continue de 12 Volts, délivrée par la pile (1). Mais, un relais électromécanique fonctionnant sous une tension continue de 24 Volts, et alimenté par piles de 12 Volts en montage 20 mixte, convient également. Le ressort de rappel de l'électroaimant «poussant» doit être supprimé, afin de ne pas s'opposer au déplacement du noyau (8) et de la tirette t". Les fils de connexions, de section 1 ou 1,5 mm2, gaine isolante comprise, et partant du boîtier (10) et arrivant sur la porte ne posent aucun problème de camouflage, vu leur diamètre. La plaquette support en plexiglas fixée sur la porte, et comportant les interrupteurs K2 et 1(3 a 25 pour dimensions 17 centimètres de longueur et 10,3 centimètres de largeur, les bords des profilés (39), (40) et (15) et (16) qui se font face sont distants de 3,2 centimètres. L'aimant T1 en néodyme a pour dimension en centimètres: 5x2,5x1 . Une fois recouvert de son capot en polyéthylène, et afin d'éviter tout contact direct avec une carte bancaire, cet aimant, après utilisation, doit être maintenu à l'intérieur d'un étui en PVC, à couvercle rabattable, de la 30 taille d'un paquet de 10 cigarettes, et dont les parois intérieures sont recouvertes par de fines tôles en acier, ou par des clinquants en acier, dont les feuilles de 0,3 millimètres d'épaisseur, forment des couches alternées avec du papier carton, de telle manière que le champ magnétique, à 3032823 14 l'extérieur de cet étui, soit, au plus, d'intensité égale au champ magnétique engendré par la fermeture par aimant, de nombreux sacs à mains. Cet étui en PVC pourra également trouver sa place dans la poche d'un vêtement, ou à l'intérieur d'une pochette...et ce, en toute sécurité. Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné aux appartements dont le matériau qui 5 constitue la porte d'entrée est du bois, ou panneau de particules, ou encore de PVC, l'épaisseur de la porte pouvant atteindre 45 millimètres pour du chêne massif... Il est adapté aussi bien pour les portes dont l'ouverture est à droite ( Planche 7/7), ou celles dont l'ouverture est à gauche. Tout ou partie des détecteurs peuvent être utilisés, sans pour autant nuire à la fiabilité du dispositif de détection. En particulier, si le verrouillage de la porte est exclusivement assuré par 10 une serrure multipoints, et qu'il a été fait le choix de disposer les interrupteurs 1(2 et K3 sur la même plaquette isolante en plexiglas, il suffit alors de retirer le coulisseau c3 de l'interrupteur K3. Les connexions filaires QL et GT partant des points Q et G, points situés sur le support en plexiglas solidaire du boîtier mural (10), ne doivent offrir que peu de résistance à l'arrachement, 15 afin de n'exercer aucune contrainte sur les connexions filaires DQ et FG, dont les extrémités Q et G sont solidement fixées sur la plaque de plexiglas, car c'est d'abord à ces connexions qu'un cambrioleur ayant pénétré dans le logement, malgré le déclenchement de l'alarme sonore, risque de s'attaquer en pensant neutraliser le dispositif, évidemment sans résultat, et le fait de la présence bien visible du téléphone portable (9), extérieur au boîtier (10), ayant des chances de le 20 dissuader à poursuivre sa besogne...ou d'en limiter fortement la durée. Le support isolant à l'intérieur du boîtier d'alarme (10), a pour dimensions 21centimètres de longueur et 13 centimètres de largeur. Les tubes de laiton ti et t2 pris en étau dans les profilés (3) et (4) ont pour diamètre extérieur 9 millimètres, et 8,4 millimètres de diamètre intérieur. Les extrémités de ces tubes qui se font face sont distantes de 3 millimètres, et le coulisseau cl a pour 25 diamètre extérieur 8 millimètres. La tirette en acier de diamètre 1 millimètre a pour longueur 9 centimètres. Un capot en aluminium ou en plastique, peut «coiffer» la plaquette sur laquelle se trouvent les interrupteur K2 et K3 ou chacune des plaquettes isolantes sur lesquelles sont fixés séparément les interrupteurs K2 , et K3 30 Outre le faible coût des composants du dispositif, son installation ne requiert aucune compétence dans le domaine de l'électricité, et peut donc être assurée, en quelques heures, par toute personne équipée d'un outillage basique.