FR3005477A1 - Dispositif d'accrochage d'un pan de mur dans un abri de type tonnelle, tente pliante ou chapiteau - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif d'accrochage d'un pan de mur (3) d'un abri (1) de type tonnelle ou chapiteau, comprenant des attaches (5) régulièrement espacées le long d'un bord supérieur du pan de mur (3) et adaptées à être accrochées à un élément de suspension (6) solidaire d'un panneau de couverture (2) de l'abri. L'élément de suspension (6) comporte une première série de zones d'ancrage (8 ; 81) régulièrement espacées avec lesquelles coopèrent les attaches (5) du pan de mur (3), cette première série étant agencée de façon à disposer le pan de mur (3) dans une configuration déployée dans laquelle il s'étend sensiblement sur toute la longueur de l'élément de suspension (6). Une seconde série de zones d'ancrage (8 ; 82) régulièrement espacées le long d'une zone restreinte (Z) de l'élément de suspension (6) est prévue pour coopéreravecles attaches (5) du pan de mur (3) de façon à disposer celui-ci (3) dans une configuration ramassée sur un bord latéral d'une ouverture (9) donnant accès à l'intérieur de l'abri (1).

Description

Dispositif d'accrochage d'un pan de mur dans un abri de type tonnelle, tente pliante ou chapiteau.

Domaine de l'invention : La présente invention concerne un dispositif d'accrochage d'un pan de mur dans un abri de type tonnelle ou chapiteau. Dans le texte ci-après, les termes « tonnelle » et « chapiteau » doivent être compris au sens générique et non limitatif. Ils concernent tout type d'abri pourvu d'une structure porteuse rigide et d'une enveloppe externe comportant des panneaux de toiture et des pans de mur en matériau souple, typiquement en bâche ou toile. Etat de la technique : On connaît des tonnelles et chapiteaux dans lesquels les pans de mur sont fixés à une partie périphérique retombante du panneau de toiture par des moyens de fixations de type velcro 0. La fixation est continue sur la longueur horizontale du pan de mur. Ce mode de fixation simple et peu onéreux présente toutefois l'inconvénient de ne pas faciliter un changement de configuration du pan de mur. Il est en effet utile de pouvoir passer aisément d'une configuration déployée dans lequel le pan de mur s'étend horizontalement sur toute sa longueur, à une configuration ramassée, par exemple sur un bord latéral de l'ouverture afin de donner accès à l'intérieur de l'abri. Un tel changement impose en pratique de détacher le pan de mur sur toute sa longueur (décrochage complet du velcro 0), puis de l'accrocher à nouveau au panneau de toiture de façon aléatoire et peu commode. D'autres systèmes d'accrochage sont également connus. Le document FR 2 753 473 Al par exemple illustre un dispositif d'accrochage faisant coopérer des moyens de clippage en C prévus en partie supérieure du pan de mur, avec un bourrelet longitudinal porté par le panneau de couverture. Ces moyens d'accrochage font appel à des pièces spécifiques et onéreuses, typiquement en matière plastique et qui sont difficiles à remplacer ou réparer. Ce mode de fixation par clippage exige un effort de mise en place non négligeable, vers le haut et avec les bras levés, ce qui n'est pas ergonomique. Le changement de configuration évoqué ci-dessus nécessite de désolidariser chaque attache ce qui exige autant d'opérations de clippage avec des efforts correspondants. En outre, le bourrelet longitudinal a une longueur correspondant à la longueur d'accrochage d'un pan de mur. Cet élément rigide et encombrant ne permet pas de replier aisément l'abri avec ses pans de mur restant montés, lorsque cet abri est à structure repliable. Or on observe que les utilisateurs apprécient de pouvoir plier et déplier l'abri avec le minimum de manipulations. Ils ont ainsi tendance à laisser l'enveloppe souple avec ses accessoires sur la structure quelque soit la configuration rétractée ou déployée. But de l'invention : L'invention a pour but de pallier tout ou partie des inconvénients précédents.

Objet de l'invention : A cet effet, l'invention a pour objet un dispositif d'accrochage d'un pan de mur d'un abri de type tonnelle ou chapiteau, comprenant des attaches régulièrement espacées le long d'un bord supérieur du pan de mur et adaptées à être accrochées à un élément de suspension solidaire d'un panneau de couverture de l'abri, caractérisé en ce que l'élément de suspension comporte une première série de zones d'ancrage régulièrement espacées suivant une direction sensiblement horizontale le long de l'élément de suspension avec lesquelles coopèrent une à une les attaches du pan de mur, la première série de zones d'ancrage étant agencée de façon à disposer le pan de mur dans une configuration déployée dans laquelle il s'étend sensiblement sur toute la longueur de l'élément de suspension, l'élément de suspension comportant une seconde série de zones d'ancrage régulièrement espacées le long d'une zone restreinte de l'élément de suspension avec lesquelles coopèrent une à une les attaches du pan de mur de façon à disposer celui-ci dans une configuration ramassée sur un bord latéral d'une ouverture donnant accès à l'intérieur de l'abri.

Le dispositif d'accrochage de l'invention est d'une conception particulièrement astucieuse et robuste. Il fait appel à des moyens d'accrochage (attaches et zones d'ancrage) très robustes et facilement remplaçables ou réparables. La fabrication est peu onéreuse. Le dispositif offre une souplesse d'utilisation remarquable permettant de passer sans difficulté d'une configuration déployée horizontalement à une configuration ramassée sur un bord latéral de l'ouverture ainsi dégagée. Selon d'autres caractéristiques avantageuses de l'invention : - les attaches sont constituées de boucles de type crochets ou mousquetons enfilés dans des oeillets sertis sur le bord supérieur du pan de mur, - les zones d'ancrage sont réalisées sous la forme d'ceillets sertis sur l'élément de suspension, - la première série de zones d'ancrage et la seconde série de zones d'ancrage ont au moins deux zones d'ancrage en commun, - une première zone d'ancrage en commun est située à une extrémité de l'élément de suspension et une seconde zone d'ancrage en commun est, parmi les zones d'ancrage de la première série, celle qui est la plus proche de la première zone d'ancrage en commun, - la seconde série de zones d'ancrage est située dans la zone restreinte délimitée 20 par la première et la seconde zones d'ancrage en commun, - la première série de zones d'ancrage et la seconde série de zones d'ancrage comprennent chacune au moins quatre zone d'ancrage, - les zones d'ancrage de la première série sont régulièrement espacées avec un intervalle sensiblement égal à 50 cm tandis que les zones d'ancrage de la 25 seconde série sont régulièrement espacées avec un intervalle compris entre 15 et 18 cm, - l'élément de suspension est constitué d'une bavette repliée en deux sur elle-même suivant la direction longitudinale des zones d'ancrage.

L'invention a également pour objet un abri de type tonnelle ou un chapiteau comprenant un dispositif d'accrochage ayant tout ou partie des caractéristiques précédentes.

Exposé de l'invention : L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description suivante d'un exemple non limitatif de l'invention, et à la lumière des dessins annexés sur lesquels : - la figure 1 représente un abri suivant l'invention, - la figure 2 est une vue partielle depuis l'intérieur de l'abri de la figure 1, d'un dispositif d'accrochage suivant l'invention permettant de supporter un pan de mur en configuration déployée, - la figure 3 est une vue agrandie d'un détail du dispositif d'accrochage de l'invention de la figure 2, - la figure 4 est une vue partielle depuis l'intérieur de l'abri de la figure 1, représentant schématiquement le pan de mur en configuration ramassée, - les figures 5 et 6 sont des vues partielles de l'élément de suspension de l'invention, illustrant schématiquement les positions respectives des attaches sur les zones d'ancrage correspondant aux configurations déployée et ramassée du 20 pan de mur. On a représenté à la figure 1 un abri 1 conforme à l'invention. L'abri 1 illustré est typiquement une tonnelle, étant entendu que cet exemple est donné à titre non limitatif et que l'invention s'applique à de nombreux autres types de constructions 25 légères facilement démontables et transportables, par exemple des chapiteaux, des tentes etc. L'abri 1 comporte une structure (ou ossature) porteuse métallique ainsi qu'une enveloppe externe en matériau souple, par exemple en bâche ou toile enduite. La structure métallique (non représentée) peut être pliable, de façon à pouvoir ranger 30 et transporter l'abri dans un encombrement réduit, et à pouvoir l'installer en un minimum de temps, d'efforts et de manipulations. Cette structure porteuse est typiquement constituée d'un ensemble de poteaux, poutres et biellettes articulés entre eux et permettant un déploiement et une rétractation suivant une direction radiale par rapport à un axe central vertical fictif traversant l'abri 1 en son centre. L'enveloppe externe est constituée d'un panneau de couverture 2 ayant dans l'exemple de la figure 1 une forme générale pyramidale, et de pans de murs 3 verticaux aptes à fermer l'abri 1 de façon périphérique. Dans l'exemple, l'abri 1 a une forme générale carrée ou rectangulaire en vue de dessus. Au gré du besoin, on peut complètement déployer les pans de murs 3 sur une surface maximale de façon à empêcher l'accès à l'intérieur de l'abri ou à fermer toute communication visuelle. On peut dans d'autres cas ouvrir partiellement un ou plusieurs pans de mur 3 pour accéder à l'intérieur de l'abri 1. L'abri 1 peut être fermé sur un ou plusieurs côté(s) par un pan de mur unique fermant complètement le côté correspondant de l'abri 1. L'abri 1 peut également être fermé sur un ou plusieurs côtés par deux pans de murs ou même davantage, dont la position juxtaposée permet de fermer le côté correspondant. Chaque pan de mur 3 est typiquement relié à un bord périphérique 4 tombant du panneau de couverture 2. Suivant l'invention, un dispositif d'accrochage est prévu pour maintenir au moins un pan de mur 3 de l'abri 1 au bord périphérique 4 du panneau de couverture 2.

Le bord périphérique 4 forme une partie tombant verticalement dans le prolongement d'une partie centrale pyramidale. Le pan de mur 3 est suspendu de façon sensiblement verticale à ce bord périphérique 4. En référence aux figures 2 et 3, des attaches 5 régulièrement espacées le long du bord supérieur du pan de mur 3 sont adaptées pour être accrochées à un élément de suspension 6 solidaire du panneau de couverture 2. Les attaches 5 sont constituées de boucles de type crochets ou mousquetons enfilés dans des oeillets 7 sertis sur le bord supérieur du pan de mur 3. L'élément de suspension 6 est constitué d'une bavette repliée en deux sur elle-même suivant la direction longitudinale. L'épaisseur doublée de l'élément de 30 suspension 6 renforce la tenue mécanique en vue de supporter le pan de mur 3 sans risque d'arrachement. Dans une variante de réalisation non illustrée de l'invention l'élément de suspension peut fort bien être réalisée dans une épaisseur simple. L'élément de suspension 6 s'étend horizontalement sur toute la longueur du bord périphérique 4. En variante, l'élément de suspension 6 peut être constitué de plusieurs pièces alignées et juxtaposées le long du bord périphérique 4.

L'élément de suspension 6 est fixé à une face intérieure du bord périphérique 4, typiquement par soudage. Le terme « intérieur » s'entend comme étant tournée du côté intérieur de l'abri 1. Comme illustré aux figures 2 et 3, le dispositif d'accrochage comprend des zones d'ancrage 8 conformées sur l'élément de suspension 6 et adaptées pour l'accrochage des attaches 5. Ces zones d'ancrage 8 sont réalisées sous la forme d'ceillets sertis sur l'élément de suspension 6. En référence à la figure 4, l'élément de suspension 6 comporte une première série de zones d'ancrage 81 régulièrement espacées suivant une direction sensiblement horizontale, avec lesquelles coopèrent une à une les attaches 5 du pan de mur 3. La première série de zones d'ancrage 81 est agencée de façon à disposer le pan de mur 3 dans une configuration déployée, dans laquelle il s'étend sensiblement sur toute la longueur de l'élément de suspension 6. L'élément de suspension 6 comporte une seconde série de zones d'ancrage 82 régulièrement espacées le long d'une zone restreinte Z (figures 2, 4-6) de l'élément de suspension 6 avec lesquelles coopèrent également une à une les attaches 5 du pan de mur 3 de façon à disposer celui-ci dans une configuration ramassée sur un bord latéral d'une ouverture 9 donnant accès à l'intérieur de l'abri 1 (figures 1, 2, 4). Le choix est donc offert entre au moins ces deux configurations.

Les termes « zone restreinte » s'entendent de façon relative et limitée par rapport à la longueur totale de l'élément de suspension 6. La zone restreinte Z a une dimension mesurée horizontalement qui correspond à environ un tiers de la longueur totale sur laquelle s'étend la première série de zones d'ancrage 81. Ces zones d'ancrage 8 sont constituées de l'ensemble de la première 81 et de la 30 seconde 82 séries de zones d'ancrage.

Les termes « régulièrement espacées » signifient que les intervalles ou espaces entre deux zones d'ancrage adjacentes sont sensiblement égaux. Les termes « sensiblement égaux » indiquent qu'une tolérance de quelques millimètres est admise, par exemple une dizaine de millimètres de différence entre deux intervalles. La première série de zones d'ancrage 81 et la seconde série de zones d'ancrage 82 ont au moins deux zones d'ancrage en commun (figures 2, 4-6). Plus précisément, une première zone d'ancrage en commun 81-82 est située à une extrémité de l'élément de suspension 6. Une seconde zone d'ancrage en commun 81-82 est, parmi les zones d'ancrage 81 de la première série, celle qui est la plus proche de la première zone d'ancrage en commun. On note que la seconde série de zones d'ancrage 82 est située dans la zone restreinte Z délimitée par la première et la seconde zones d'ancrage 81-82 en commun.

Dans l'exemple illustré, la première série de zones d'ancrage 81 et la seconde série de zones d'ancrage 82 comprennent chacune au moins quatre zone d'ancrage. Ainsi la seconde série comprend deux zones d'ancrage 82 situées entre les deux zones d'ancrage en commun 81-82 de la première et de la seconde série.

Les zones d'ancrage de la première série 81 sont régulièrement espacées avec un intervalle el sensiblement égal à 50 cm (figure 5). Les zones d'ancrage de la seconde série 82 sont régulièrement espacées avec un intervalle e2 compris entre 15 et 18 cm (figure 5). Ces valeurs sont données à titre d'exemples non limitatifs. Le passage de la configuration déployée à la configuration ramassée s'effectue de façon aisée et intuitive. En référence à la figure 4 qui illustre par les flèches Fi, F2 et F3 le mode opératoire, les étapes sont les suivantes : l'attache 5 la plus à l'extrémité de l'élément de suspension 6 et qui est accrochée à la première zone d'ancrage de la première série 81 reste en place (on note que le pan de mur 3 reste toujours partiellement suspendu, ce qui facilite les manipulations), les attaches 5 accrochées aux autres zones d'ancrage de la première série 81 sont décrochées et de nouveau accrochées une par une aux zones d'ancrage de la seconde série 82, dans la zone restreinte Z.

Ces manipulations très simples permettent de ramasser le pan de mur 3 pour le disposer en drapé le long d'un bord latéral d'une ouverture 9 ainsi dégagée (figures 1 et 4). Le système de fixation par crochets ou mousquetons et oeillets est constitué de pièces métalliques extrêmement robustes et facilement réparables ou 10 remplaçables. La disposition régulièrement espacée des attaches 5 et des zones d'ancrage 8 est un guide pour la personne qui effectue les manipulations, qui ne risque pas ainsi de trop tendre ou de ne pas tendre suffisamment le pan de mur 3 suivant la direction horizontale. Cette disposition régulièrement espacée assure une 15 répartition harmonieuse des attaches sur les zones d'ancrage quelle que soit la configuration choisie. Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux modes ou variantes de réalisation décrits précédemment et comprends tous les équivalents techniques de ces 20 moyens.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS1. Dispositif d'accrochage d'un pan de mur (3) d'un abri (1) de type tonnelle ou chapiteau, comprenant des attaches (5) régulièrement espacées le long d'un bord supérieur du pan de mur (3) et adaptées à être accrochées à un élément de suspension (6) solidaire d'un panneau de couverture (2) de l'abri, caractérisé en ce que l'élément de suspension (6) comporte une première série de zones d'ancrage (8; 81) régulièrement espacées suivant une direction sensiblement horizontale le long de l'élément de suspension (6) avec lesquelles coopèrent une à une les attaches (5) du pan de mur (3), la première série de zones d'ancrage (8; 81) étant agencée de façon à disposer le pan de mur (3) dans une configuration déployée dans laquelle il s'étend sensiblement sur toute la longueur de l'élément de suspension (6), l'élément de suspension (6) comportant une seconde série de 15 zones d'ancrage (8; 82) régulièrement espacées le long d'une zone restreinte (Z) de l'élément de suspension (6) avec lesquelles coopèrent une à une les attaches (5) du pan de mur (3) de façon à disposer celui-ci (3) dans une configuration ramassée sur un bord latéral d'une ouverture (9) donnant accès à l'intérieur de l'abri (1). 20
2. 2. Dispositif d'accrochage selon la revendication 1, caractérisé en ce que les attaches (5) sont constituées de boucles de type crochets ou mousquetons enfilés dans des oeillets (7) sertis sur le bord supérieur du pan de mur (3). 25
3. 3. Dispositif d'accrochage selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les zones d'ancrage (8) sont réalisées sous la forme d'ceillets sertis sur l'élément de suspension (6).
4. 4. Dispositif d'accrochage selon l'une quelconque des revendications précédentes, 30 caractérisé en ce que la première série de zones d'ancrage (8; 81) et la seconde série de zones d'ancrage (8; 82) ont au moins deux zones d'ancrage en commun.
5. 5. Dispositif d'accrochage selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'une première zone d'ancrage en commun est située à une extrémité de l'élément de suspension (6) et une seconde zone d'ancrage en commun est, parmi les zones d'ancrage de la première série (8; 81), celle qui est la plus proche de la première zone d'ancrage en commun.
6. 6. Dispositif d'accrochage selon la revendication 5, caractérisé en ce que la seconde série de zones d'ancrage (8; 82) est située dans la zone restreinte (Z) 10 délimitée par la première et la seconde zone d'ancrage en commun.
7. 7. Dispositif d'accrochage selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la première série de zones d'ancrage (8; 81) et la seconde série de zones d'ancrage (8 ; 82) comprennent chacune au moins quatre zones 15 d'ancrage.
8. 8. Dispositif d'accrochage selon la revendication 7, caractérisé en ce que les zones d'ancrage de la première série (8; 81) sont régulièrement espacées avec un intervalle (el) sensiblement égal à 50 cm tandis que les zones d'ancrage de la 20 seconde série (8; 82) sont régulièrement espacées avec un intervalle (e2) compris entre 15 et 18 cm.
9. 9. Dispositif d'accrochage selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'élément d'accrochage (6) est constitué d'une bavette 25 repliée en deux sur elle-même suivant la direction longitudinale des zones d'ancrage (8).
10. 10. Abri (1) de type tonnelle ou un chapiteau, caractérisé en ce qu'il comprend un dispositif d'accrochage selon l'une quelconque des revendications précédentes. 30