FR2916038A1 - Dispositif d'eclairage pour un vehicule, notamment pour un projecteur de vehicule automobile - Google Patents

Abstract

Dispositif d'éclairage pour un véhicule, notamment pour un projecteur de véhicule automobile, comprenant une source (3) lumineuse pour émettre de la lumière et un réflecteur (2) pour focaliser la lumière émise par la source (3) lumineuse, une ouverture (24) de réception d'une partie (29) de la source (3) lumineuse et un col (23) de réflecteur entourant l'ouverture (24) étant formés sur la face arrière du réflecteur (2), col sur lequel la source (3) lumineuse est fixée au moins indirectement en une position définie par rapport à une surface de réflexion du réflecteur (2), caractérisé en ce qu'il est monté sur le col (23) du réflecteur des moyens (20) de réception d'au moins une partie (29) de la source (3) lumineuse dans une direction sensiblement parallèle à un axe (10) optique du réflecteur (2) et de réalisation d'un guidage obligé de la source (3) lumineuse, de façon à ce qu'à un mouvement de rotation de la source (3) lumineuse autour de l'axe (10) optique du réflecteur (2) se superpose un mouvement (a) de translation transversalement à l'axe (10) optique.

Description

Dispositif d'éclairage pour un véhicule, notamment pour un projecteur de

véhicule automobile.

La présente invention concerne un dispositif d'éclairage pour un véhicule, notamment pour un projecteur de véhicule automobile. Le dispositif d'éclairage comprend une source lumineuse pour émettre de la lumière et un réflecteur pour focaliser la lumière émise par la source lumineuse. Sur la face arrière du réflecteur est formée une ouverture de réception d'au moins une partie de la source lumineuse et un col de réflecteur qui entoure l'ouverture et sur lequel la source lumineuse est fixée au moins indirectement en une position définie par rapport à une surface de réflexion du réflecteur. On connaît, dans l'état de la technique,un dispositif d'éclairage de ce genre sous des formes de réalisation très diverses. Comme source lumineuse, on peut utiliser une lampe à incandescence ou une lampe à décharge dans un gaz. La source lumineuse est fixée sur le col du réflecteur, de façon à ce qu'une ampoule en verre, ayant le filament lumineux ou l'arc électrique et introduite dans l'ouverture sur le côté arrière du réflecteur à l'intérieur du réflecteur, soit mise en une position définie par rapport à la surface de réflexion du réflecteur. Cela est nécessaire afin que le projecteur puisse produire une répartition de la lumière qui reste toujours la même. Si la source lumineuse est constituée sous la forme d'une lampe à décharge dans un gaz, la source lumineuse comprend aussi un appareil d'amorçage pour amorcer et maintenir l'arc électrique, l'appareil d'amorçage ayant un boîtier en un matériau conducteur. On connaît une source lumineuse de ce genre dans l'état de la technique, par exemple sous le nom de lampe Dl, Dl+ ou D3. Lorsque l'on utilise une source lumineuse de ce genre, outre la fixation mécanique de la source lumineuse au réflecteur, ménager une mise en contact conductrice de l'électricité entre le boîtier de l'appareil d'amorçage et le réflecteur, qui est constitué également dans ce cas en un matériau conducteur de l'électricité ou qui, du moins, en est revêtu, a aussi de l'importance. Par la liaison conductrice de l'électricité entre le boîtier de l'appareil d'amorçage et le réflecteur, on cherche à diminuer les effets du rayonnement électromagnétique produit par la lampe à décharge dans un gaz (provoqués notamment par l'amorçage de l'arc électrique à des tensions hautes) (compatibilité électromagnétique améliorée). Le rayonnement électromagnétique de la lampe à décharge dans un gaz doit être protégé dans des projecteurs de véhicule automobile le mieux possible vis-à-vis d'autres systèmes électroniques du véhicule. On connaît, dans l'état de la technique, des fixations très différentes de lampes Dl sur des réflecteurs, dans lesquelles la lampe est repoussée en y étant ainsi fixée par son culot dans un logement de lampe prismatique du col du réflecteur ou du siège de lampe du réflecteur.

Suivant une première possibilité connue dans l'état de la technique, il est monté, sur le côté arrière du réflecteur, une fixation de lampe, sur laquelle une lampe à décharge dans un gaz est fixée par son culot de lampe au moyen d'une bague d'un seul tenant qui peut être déformée. La lampe n'exécute pas un mouvement de rotation. Bien au contraire, la lampe est introduite depuis le côté arrière du réflecteur en direction axiale, sensiblement parallèlement à l'axe optique du réflecteur dans celui-ci et y est fixée au moyen d'un mouvement de rotation de la bague. Une protection de compatibilité électromagnétique est réalisée par plusieurs petits becs de contact d'une pièce en tôle supplémentaire. L'espace de construction supplémentaire que nécessite ce type de fixation de la lampe Dl est latéralement d'environ 10 mm afin de pouvoir prendre et actionner la bague déformable. Changer la lampe d'un projecteur monté dans le véhicule n'est pratiquement pas possible avec seulement une main, puisqu'il faut maintenir la lampe dans la fixation de lampe et en même temps déformer la bague.

Suivant une autre possibilité connue dans l'état de la technique, la lampe est fixée au moyen d'un ressort en forme d'étrier en fil métallique sur la face arrière du réflecteur. La lampe n'exécute pas un mouvement de rotation. Une protection de compatibilité électromagnétique est réalisée par un col de réflecteur sous la forme d'un cadre coulé sous pression en aluminium à ressort en fil métallique intégré, qui entoure dans une grande mesure la lampe. L'espace de construction supplémentaire que nécessite cette solution autour de la lampe Dl est latéralement d'environ 8 à 10 mm (lorsque le ressort en étrier en fil métallique est fermé) et derrière la lampe d'environ 15 mm (pour ouvrir le ressort en étrier). Le cadre coulé sous pression est fixé au réflecteur par trois vis. La solution dans son ensemble a un poids relativement grand et est constituée en tout de sept pièces. Changer la lampe alors que le projecteur est monté dans le véhicule n'est pas possible pratiquement avec seulement une main, puisqu'il faut maintenir la fixation de la lampe et l'assujettir en même temps avec l'étrier. Suivant encore une autre possibilité connue dans l'état de la technique, la fixation de la source lumineuse sur le réflecteur s'effectue au moyen d'une tôle de fixation distincte. La lampe n'exécute pas un mouvement de rotation. Une protection de compatibilité électromagnétique n'est pas assurée. Dans ce mode de réalisation connu, la lampe Dl est insérée dans un évidement en forme de U d'une tôle de fixation lâche et est fixée sur le réflecteur par deux vis. L'espace de construction supplémentaire nécessaire à cet effet autour de la lampe Dl est latéralement d'environ 10 à 12 mm. La solution dans son ensemble a certes un poids petit et n'est constituée que de trois pièces. Mais changer la lampe n'est possible qu'à l'aide d'un outil et ne peut pratiquement pas s'effectuer lorsque le projecteur est monté dans le véhicule, en tout cas pas seulement d'une main.

Suivant une dernière possibilité connue dans l'état de la technique, la source lumineuse est fixée sur le côté arrière du réflecteur au moyen d'une bague en matière plastique déformable en deux parties. Deux hémi-coquilles en matière plastique distinctes du réflecteur sont fixées d'abord par complémentarité de forme sur le culot de la lampe et forment une bague en matière plastique. On fixe ensuite la lampe Dl sur le réflecteur par une fermeture à baïonnette en déformant la bague en matière plastique. Une protection de compatibilité électromagnétique est réalisée par des tôles de contact se trouvant dans la bague de maintien. L'espace de construction supplémentaire autour de la lampe Dl que nécessite ce type de fixation est latéralement d'environ 5 à 7 mm. La solution dans son ensemble a un poids relativement petit et ne comporte que quatre pièces. Un remplacement complet de la lampe dans le véhicule est pratiquement impossible d'une main seulement, puisqu'il faut enlever d'abord les hémi-coquilles du culot de la lampe défectueuse et les fixer au culot de la lampe neuve. Ce n'est qu'après que la lampe peut être insérée dans le col et y être fixée au moyen de la bague de maintien. Les hémi-coquilles qui se perdent lors du changement de la lampe, puisque celles-ci doivent être retirées du réflecteur lorsque l'on change la lampe, posent un problème supplémentaire. C'est enfin aussi un inconvénient que la lampe soit mise en position avec précision seulement dans la direction axiale ; la mise en position dans la position radiale n'est pas particulièrement précise. En résumé, on ne connaît donc pas, dans l'état de la technique, de fixation d'une source lumineuse, de préférence d'une lampe à décharge dans un gaz, par exemple de ce que l'on appelle une lampe Dl, une lampe D1+ ou une lampe D3, dans un projecteur de véhicule automobile, qui soit simple, rapide et peu coûteuse à fabriquer, qui ait un poids petit, qui rende possible un remplacement simple et rapide de la lampe seulement d'une main et qui réalise aussi supplémentairement une protection de compatibilité électromagnétique. La présente invention vise à perfectionner un dispositif d'éclairage du type mentionné ci-dessus de façon à pouvoir fixer la source lumineuse sur la face arrière du réflecteur en une position définie à l'avance par rapport à la surface de réflexion du réflecteur au moyen d'une fixation de lampe qui a aussi peu de pièces que possible, notamment aussi peu de pièces distinctes que possible, et qui permet d'avoir une fixation simple, sûre et rapide de la source lumineuse sur le réflecteur d'un projecteur de véhicule automobile en s'aidant seulement d'une main. On y parvient, en partant du dispositif d'éclairage du type mentionné ci-dessus, par le fait qu'il est monté sur le col du réflecteur des moyens de réception d'au moins une partie de la source lumineuse dans une direction sensiblement parallèle à un axe optique du réflecteur et de réalisation d'un guidage obligé de la source lumineuse, de façon à ce qu'à un mouvement de rotation de la source lumineuse autour de l'axe optique du réflecteur se superpose un mouvement de translation transversalement à l'axe optique. Les moyens de réception et de guidage constituent un support de lampe en tant que partie d'une fixation de lampe qui est fixée sur la face arrière du réflecteur, de préférence sur le col du réflecteur. Suivant l'invention, on propose d'insérer la lampe en direction axiale, donc sensiblement parallèlement à l'axe optique du réflecteur dans celui-ci, puis de fixer la lampe au moyen d'un mouvement de rotation dans les moyens de réception et de guidage forcé sur le réflecteur. Par les moyens de réception et de guidage il est superposé au mouvement de rotation de la lampe autour de l'axe optique obligatoirement un mouvement de translation transversalement à l'axe optique. Une partie de la source lumineuse, par exemple le culot de la lampe, est déplacée ainsi dans un prisme de réception de lampe du col du réflecteur sur la face arrière du réflecteur et y est verrouillée. Ce mouvement combiné de coulissement et de rotation est commandé, de préférence, par une pièce mobile maintenue, sans possibilité de perte, dans les moyens de réception et de guidage.

Suivant un perfectionnement avantageux de la présente invention, il est proposé que la source lumineuse soit maintenue par une coopération du mouvement de rotation et du mouvement de translation dans la position définie par rapport à la surface de réflexion du réflecteur au moins indirectement sur celui-ci. La source lumineuse peut être maintenue directement sur le col du réflecteur sur le côté arrière du réflecteur, mais aussi indirectement, par exemple par les moyens de réception et de guidage, sur le col du réflecteur. En plus de la fonction de réception et de guidage des moyens de réception et de guidage, il revient donc également à ceux-ci une fonction de maintien. Il est particulièrement avantageux que les moyens de réception et de guidage aient un tronçon de collet dirigé radialement vers l'intérieur dans la direction de l'axe optique du réflecteur et à distance de la face arrière du réflecteur, la source lumineuse étant maintenue par le mouvement de translation au moins en partie, par exemple par son culot de lampe, entre la face arrière du réflecteur et le tronçon de collet. Suivant un mode de réalisation préféré de l'invention, il est proposé qu'un élément de serrage soit guidé sur les moyens de réception et de guidage en étant mobile autour de l'axe optique du réflecteur, l'élément de serrage suivant obligatoirement, après la réception d'au moins une partie de la source lumineuse dans les moyens de réception et de guidage, le mouvement de rotation venant ensuite de la source lumineuse et forçant ainsi, en ayant un angle de rotation croissant de la source lumineuse, celle-ci à effectuer le mouvement de translation transversalement à l'axe optique. L'élément mobile de serrage est, de préférence, maintenu, sans possibilité de se perdre, sur les moyens de réception et de guidage. L'élément de serrage reste ainsi, même lorsque la source lumineuse est déplacée ou retirée, maintenu sur les moyens de réception et de guidage. On est sûr ainsi que, lorsque l'on change la lampe aucune partie de la fixation de lampe ne se perd.

L'invention permet ainsi, en fait, une manipulation véritablement à une seule main lors d'un changement de lampe (ce que l'on appelle une fixation de lampe One-Touch). Avantageusement, l'élément de serrage s'appuie, d'une part, sur une surface périphérique intérieure des moyens de réception et de guidage et, d'autre part, sur la partie de la source lumineuse, par exemple sur le culot de la lampe, qui est reçue dans les moyens de réception et de guidage, la distance entre la surface périphérique intérieure des moyens de réception et de guidage et la partie reçue de la source lumineuse sur laquelle s'appuie l'élément de serrage étant diminuée au moins sur une partie de la plage angulaire du mouvement de rotation de la source lumineuse au fur et à mesure que l'angle de rotation augmente. Pour des raisons de stabilité, les moyens de réception et de guidage peuvent s'appuyer sur le col du réflecteur afin de pouvoir absorber mieux les forces agissant sur l'élément de serrage.

En variante, il est proposé que l'élément de serrage s'appuie, d'une part, sur une surface périphérique intérieure du col du réflecteur et, d'autre part, sur la partie de la source lumineuse (par exemple le culot de la lampe) qui est reçue par les moyens de réception et de guidage, la distance entre la surface périphérique intérieure du col du réflecteur et la partie reçue de la source lumineuse sur laquelle l'élément de serrage s'applique diminuant au moins sur une partie de la plage angulaire du mouvement de rotation de la source lumineuse au fur et à mesure que l'angle de rotation augmente. Suivant les deux variantes de réalisation mentionnées, l'élément de serrage est donc guidé de manière forcée sur un mouvement de rotation essentiellement autour de l'axe optique dans un espace intermédiaire compris entre une surface de contour intérieure du col du réflecteur ou des moyens de réception et de guidage, d'une part, et une surface de contour extérieure de la partie de la source lumineuse reçue par les moyens de réception et de guidage, par exemple le culot de la lampe, ayant une largeur libre qui diminue dans la direction du mouvement de rotation de la source lumineuse.

Par le mouvement de rotation imposé à la source lumineuse et ainsi également à l'élément de serrage, celui-ci est forcé dans l'espace intermédiaire et l'agrandit, au moins vers la fin du mouvement de rotation. La source lumineuse est ainsi repoussée latéralement en direction du côté de la source lumineuse, opposé à l'élément de serrage.

La distance, qui rotation autour de l'axe contour intérieure du col réception et de guidage, contour extérieure de la reçue, par exemple peut être réaliséediminue lors du mouvement de optique, entre la surface de du réflecteur ou des moyens de d'une part, et la surface de partie de la source lumineuse le culot de la lampe, d'autre part, de diverses façons. C'est ainsi, par exemple, que pour un culot de lampe ayant une section transversale circulaire, on peut donner au col du réflecteur et/ou aux moyens de réception et de guidage une forme ovale ou en ellipsoïde, la distance à partir du grand côté de l'ovale ou de l'ellipsoïde diminuant lors d'un mouvement de rotation de la source lumineuse de 45 jusqu'au petit côté de l'ovale ou de l'ellipsoïde. En variante, pour un culot de lampe de forme circulaire, le col du réflecteur ou les moyens de réception et de guidage peuvent être constitués aussi de façon polygonale, la distance à partir d'un sommet du polygone diminuant lors d'un mouvement de rotation jusqu'au centre d'un côté voisin du sommet. Le col du réflecteur ou les moyens de réception et de guidage peuvent être notamment triangulaires, quadrangulaires, hexagonaux, octogonaux ou être encore des polygones ayant un nombre de sommets plus grand. Suivant un mode de réalisation particulièrement préféré de la présente invention, il est proposé que l'élément de serrage soit cunéiforme, la branche du coin faisant un angle déterminé et que les moyens de réception et de guidage et/ou le col du réflecteur aient, au moins dans une partie sur laquelle l'élément de serrage s'appuie, deux surfaces latérales faisant un angle entre elles, l'angle intérieur des surfaces latérales correspondant sensiblement à l'angle de la branche de l'élément de serrage. Avantageusement, l'angle de la branche du coin et l'angle des surfaces latérales des moyens de réception et de guidage ou du col du réflecteur sont tous deux d'environ 135 . Suivant un autre perfectionnement de l'invention particulièrement avantageux, il est proposé que les moyens de réception et de guidage aient des moyens de maintien de la source lumineuse dans la position en rotation à la fin du mouvement de rotation autour de l'axe optique du réflecteur. Il est notamment proposé que les moyens de maintien coopèrent avec l'élément de serrage et maintiennent celui-ci en une position correspondant à la position en rotation de la source lumineuse à la fin du mouvement de rotation autour de l'axe optique du réflecteur. On obtient ainsi, lors de l'utilisation d'une lampe neuve, une information en retour détectable sur le moment où la lampe a atteint la position finale du mouvement de rotation autour de l'axe optique. Avantageusement, les moyens de maintien comprennent une languette élastique ayant une certaine étendue longitudinale et s'étendant dans la direction du pourtour à distance du pourtour intérieur des moyens de réception et de guidage. La surface de la languette élastique s'étend sensiblement parallèlement à l'axe optique du réflecteur. La languette élastique est fixée sur son côté transversal de manière à céder élastiquement sur le pourtour intérieur des moyens de réception et de guidage et pousse l'élément de serrage radialement vers l'extérieur sur le pourtour intérieur de l'élément de réception et de guidage ou du col du réflecteur. La languette élastique peut avoir, en outre, plusieurs cavités dirigées radialement vers l'intérieur en direction de l'axe optique du réflecteur, cavités dans lesquelles peut pénétrer une saillie correspondante de l'élément de serrage, dès que l'élément de serrage a atteint la bonne position en rotation. L'élément de serrage et ainsi également la lampe, assemblée sans possibilité de tourner à l'élément de serrage, est maintenu dans une ou plusieurs positions en rotation définie(s) par les cavités. Une position en rotation initiale de la lampe, dans laquelle la lampe est insérée en direction axiale dans les moyens de réception et de guidage, ainsi qu'une position en rotation finale de la lampe à la fin du mouvement de rotation, dans laquelle la lampe est mise en position d'une manière sûre et fiable dans la position prescrite par rapport à la surface de réflexion du réflecteur et est fixée au réflecteur, peuvent ainsi, par exemple, être définies par les cavités de la languette élastique. On a décrit jusqu'ici simplement qu'il est superposé au mouvement de rotation de la lampe dans les moyens de réception et de guidage un mouvement latéral transversalement à l'axe optique du réflecteur. Mais il est, en outre, également possible de superposer au mouvement de rotation de la lampe d'autres mouvements en translation dans diverses directions pour rendre ainsi possible une mise en position et une fixation particulièrement sûre, fiable, solide et définie de façon précise de la source lumineuse sur le réflecteur. Suivant un autre mode de réalisation avantageux de la présente invention, il est proposé à cet égard qu'il soit formé sur le col du réflecteur ou sur les moyens de réception et de guidage plusieurs éléments d'appui, qui sont répartis autour de l'ouverture du réflecteur et qui ont, respectivement, une surface de contact dirigée axialement vers l'arrière en direction de l'axe optique du réflecteur, surface sur laquelle s'appuie, à l'état monté, la partie de la source lumineuse, par exemple le culot de la lampe, qui est reçue dans les moyens de réception et de guidage. Avantageusement, les surfaces de contact des éléments d'appui ont un tracé incliné, les inclinaisons des surfaces de contact étant dirigées de façon à ce que les distances entre la face arrière du réflecteur et les surfaces de contact, après la réception d'au moins une partie de la source lumineuse dans les moyens de réception et de guidage, augmentent pendant le mouvement de rotation qui vient ensuite de la source lumineuse au moins sur une partie de la plage angulaire du mouvement de rotation au fur et à mesure que l'angle de rotation augmente. La source lumineuse se déplace donc sensiblement parallèlement à l'axe optique vers l'arrière, c'est-à-dire en s'éloignant du réflecteur. Le culot de la lampe peut ainsi être poussé sur le tronçon de collet des moyens de réception et de guidage et y être mis en contact.

Il est, en outre, proposé que les surfaces de contact des éléments d'appui coopèrent avec des points de contact de la partie de la source lumineuse, par exemple le culot de la lampe, reçue par les moyens de réception et de guidage, de sorte que le mouvement de rotation de la source lumineuse soit, après la réception de la partie de la source lumineuse dans les moyens de réception et de guidage, obligé de s'effectuer vers l'arrière dans la direction axiale de l'axe optique du réflecteur. Par les points de contact en saillie du reste de la surface du culot de la lampe, on rend possible d'avoir une mise en position très précise de la lampe par rapport au réflecteur dans la direction axiale. La lampe est ainsi forcée, au moins pendant une partie du mouvement de rotation, d'avoir un mouvement de translation vers l'arrière, donc parallèlement à l'axe optique du réflecteur, dans le sens opposé au sens d'introduction. Pour le mouvement axial de la lampe, on peut songer à ce que celle-ci soit fermée par une fermeture à baïonnette dans la direction axiale à la fin du mouvement de rotation. On peut à cet effet, prévoir, par exemple sur les surfaces de contact, des cavités dans lesquelles les points de contact du culot de la lampe sont reçus après que la lampe a atteint la position finale.

Suivant un autre perfectionnement avantageux de la présente invention, il est proposé que les moyens de réception et de guidage soient constitués sous la forme d'une pièce distincte de réflecteur et fixés au col du réflecteur. La fixation de ce qui sert à fixer la lampe sur le col du réflecteur peut s'effectuer au moyen de pattes de fixation pouvant se courber, qui sont courbées lorsque la fixation de la lampe est mise sur le col du réflecteur, de sorte qu'elles s'accrochent dans des contre-dépouilles correspondantes du col du réflecteur.

En variante, les moyens de réception et de guidage peuvent être fixés au réflecteur ou au col du réflecteur à l'aide d'autres moyens de fixation, par exemple à l'aide de vis. Constituer la fixation de lampe sous la forme d'une pièce distincte a l'avantage que l'on peut utiliser le même type de moyens de réception et de guidage pour des types de réflecteurs différents, ce qui permet de diminuer les coûts pour la fixation de la lampe dus à un nombre de pièces plus grand à la fabrication et à un stock plus petit.

De préférence, le col du réflecteur est constitué sous la forme d'une pièce distincte de réflecteur et fixé au réflecteur. A cet effet, le flan correspondant est découpé dans la tôle ou est coupé d'une autre façon et mis ensuite à la forme souhaitée des moyens de réception et de guidage, de préférence par cintrage. On peut songer, pour améliorer la stabilité de la pièce de tôle finie, à constituer certaines parties des moyens de réception et de guidage par plusieurs couches de tôle et/ou à raidir et à stabiliser d'une autre façon la pièce de tôle. Des moyens de réception et de guidage pour fixer la pièce de tôle au col de réflecteur ainsi que le moyen de maintien pour fixer l'élément de serrage peuvent faire partie intégrante de la fixation de la lampe et être découpés ensemble avec les moyens de réception et de guidage dans la même pièce de tôle. La fabrication du support de lampe de la fixation de lampe sous la forme d'une pièce de tôle découpée est simple, rapide et peu coûteuse. En fabricant la fixation de lampe en des pièces de tôle découpées, on peut réduire au minimum les coûts de la fixation de lampe. De préférence, le col du réflecteur est constitué en partie intégrante du réflecteur sur son côté arrière en entourant une ouverture pour la lampe. Mais on peut songer aussi à ce que le col du réflecteur soit constitué sous la forme d'une pièce distincte du réflecteur, qui est fixée sur le réflecteur. Le col du réflecteur peut former une pièce pouvant être manipulée séparément avec les moyens de réception et de guidage qui y sont fixés. Le col du réflecteur peut être fixé à la face arrière du réflecteur à l'aide de moyens de fixation appropriés, par exemple à l'aide de vis. Cela a l'avantage que l'on peut utiliser le même type de col de réflecteur pour des types de réflecteurs différents, de sorte que l'on peut diminuer les coûts par un plus grand nombre de pièces à la fabrication et en en tenant moins en stock. Les moyens de réception et de guidage décrits peuvent former une fixation de lampe tout à fait normale sans quelque mise en contact électrique que ce soit entre le boîtier d'un appareil d'amorçage de la lampe, d'une part, et le réflecteur, d'autre part, c'est-à-dire sans protection de compatibilité électromagnétique. Mais, suivant un mode de réalisation particulièrement préféré, il est proposé que les moyens de réception et de guidage comprennent une tôle de contact, qui ménage un contact conducteur de l'électricité entre un appareil d'amorçage de la source lumineuse et le réflecteur lorsque la source lumineuse est fixée au réflecteur.

La tôle de contact peut faire partie intégrante des moyens de réception et de guidage, c'est-à-dire être découpée ou estampée dans la même tôle que ceux-ci et être conformée d'un seul tenant avec ceux-ci. Mais on peut songer aussi, en variante, à ce que la tôle de contact soit constituée sous la forme d'une pièce distincte des moyens de réception et de guidage, qui est fixée aux moyens de réception et de guidage. On peut songer à cet effet à ce que la tôle de contact ait plusieurs pattes qui sont insérées dans des ouvertures correspondantes des moyens de réception et de guidage et qui sont recourbées ensuite pour la fixation sur les moyens de réception et de guidage. Il est, en outre, proposé que la tôle de contact disposée sur les moyens de réception et de guidage ait des becs de mise en contact cédant élastiquement, en saillie axialement vers l'arrière dans la direction de l'axe optique et entrant en contact avec un boîtier métallique de l'appareil d'amorçage lorsque la source lumineuse est fixée au réflecteur. De préférence, les becs de contact s'étendent de manière inclinée vers l'intérieur en direction de l'axe optique du réflecteur et vers l'arrière. Les becs de contact ont, de préférence, une certaine étendue longitudinale et sont fixés par une extrémité proximale à un bord extérieur dirigé vers l'arrière de la tôle de contact. Les becs de contact peuvent être pointus à leur extrémité distale, de sorte que, pendant le mouvement de rotation de la lampe dans les moyens de réception et deguidage ils raclent les parties oxydées ou salies de la surface du boîtier de l'appareil d'amorçage et on obtient ainsi toujours une mise en contact fiable avec l'appareil d'amorçage. La tôle de contact peut être mise en contact, directement par une liaison conductrice de l'électricité, avec le réflecteur ou avec le col du réflecteur. En variante, il est possible que la tôle de contact soit mise en contact, indirectement par l'intermédiaire des moyens de réception et de guidage, avec le réflecteur ou avec le col du réflecteur.

Pour permettre d'introduire la lampe ou le culot de la lampe dans les moyens de réception et de guidage seulement dans une position en rotation déterminée autour de l'axe optique du réflecteur et exclure ainsi un montage défectueux de la lampe sur le réflecteur, il est en outre proposé de former, sur le pourtour extérieur de la partie de la source lumineuse, par exemple le culot de la lampe, reçue par les moyens de réception et de guidage, au moins un évidement d'indexation et, sur le pourtour intérieur des moyens de réception et de guidage, au moins une saillie correspondante d'indexation dirigée radialement vers l'intérieur, de sorte que la réception de la source lumineuse dans les moyens de réception et de guidage n'est possible que dans une position en rotation déterminée autour de l'axe optique du réflecteur. Sur le culot de lampes Dl, D1+ et D3 connues il est déjà formé maintenant des évidements d'indexation correspondants de formes et de positions différentes. Pour utiliser les évidements d'indexation afin d'empêcher un montage défectueux, ces moyens de réception et de guidage sont munis de saillies d'indexation correspondantes, de sorte que seule une certaine lampe peut être introduite dans la position de rotation prévue à cet effet dans la fixation de lampe. Bien entendu, on pourrait songer aussi à former l'évidement sur le pourtour intérieur des moyens de réception et de guidage et la saillie correspondante sur le culot de la lampe. Avantageusement, il est formé sur le pourtour extérieur de la partie de la source lumineuse, par exemple le culot de la lampe, reçue par les moyens de réception et de guidage au moins deux évidements d'indexation à distance l'un de l'autre d'une distance angulaire déterminée et sur le pourtour intérieur des moyens de réception et de guidage au moins deux saillies d'indexation correspondantes dirigées radialement vers l'intérieur. Avantageusement, les évidements d'indexation ou les saillies d'indexation correspondantes sont de formes différentes. On explicite d'une manière plus précise dans ce 35 qui suit un exemple de réalisation préféré de l'invention en se reportant au dessin, dans lequel : la figure 1 représente un module lumineux d'un dispositif d'éclairage suivant l'invention en vue en perspective cavalière par l'avant ; la figure 2 représente un réflecteur, une lampe dans une position d'introduction et une fixation de lampe pour fixer et mettre en position la lampe sur le réflecteur dans une vue en perspective éclatée en vue cavalière par l'arrière . la figure 3 représente le réflecteur, la fixation de la lampe et la lampe de la figure 2 dans une position finale ; la figure 4 représente le réflecteur ainsi que 10 les diverses pièces de la fixation de lampe des figures 2 et 3 suivant une autre vue ; la figure 5a représente le réflecteur suivant une vue par l'arrière avec la lampe dans la position d'introduction ; 15 la figure 5b représente le réflecteur suivant une vue par l'arrière avec la lampe dans la position finale ; la figure 6a représente le réflecteur suivant une vue par l'avant avec la lampe dans la position d'introduction ; 20 la figure 6b représente le réflecteur suivant une vue par l'avant avec la lampe dans la position finale ; la figure 7a est une vue de côté du réflecteur avec la fixation de la lampe et la lampe dans la position finale ; 25 la figure 7b est une vue en plan du réflecteur avec la fixation de la lampe et la lampe de la figure 7a dans la position finale ; la figure 8a est une vue par l'arrière du col du réflecteur avec la fixation de lampe qui y est fixée 30 suivant une coupe le long de la ligne IXa de la figure 7a, toutefois avec la lampe dans la position d'introduction ; la figure 8b est une vue en coupe par l'arrière du col du réflecteur avec la fixation de la lampe 35 conformément à une coupe suivant la ligne IXb de la figure 7a, toutefois avec la lampe dans la position d'introduction ; la figure 8c est une vue en coupe par l'arrière du col du réflecteur avec la fixation de la lampe conformément à une coupe suivant la ligne IXc de la figure 7a, toutefois avec la lampe dans la position d'introduction ; la figure 9a est une vue par l'arrière du col du réflecteur avec la fixation de lampe qui y est fixée conformément à une coupe suivant la ligne IXa de la figure 7a ; la figure 9b est une vue en coupe par l'avant du col du réflecteur avec la fixation de lampe conformément à une coupe suivant la ligne IXb de la figure 7a ; la figure 9c est une vue en coupe par l'arrière du col du réflecteur avec la fixation de lampe conformément à une coupe suivant la ligne IXc de la figure 7a ; la figure 10 représente une partie X de la figure 8b qui représente en détail la partie inférieure de la fixation de la lampe ; la figure 11 représente un réflecteur avec la fixation de lampe qui y est fixée en vue en perspective 20 cavalière par l'arrière ; la figure 12 représente une partie XII de la figure 8b, toutefois sans le col du réflecteur, un élément de serrage de la fixation de la lampe étant représenté en détail dans la position d'introduction de 25 la lampe ; la figure 13a est une vue en coupe par l'avant du col du réflecteur avec la fixation de lampe conformément à une coupe suivant la ligne XIII de la figure 7a, toutefois avec la lampe et l'élément de serrage dans la 30 position d'introduction ; et la figure 13b est une vue en coupe par l'avant du col du réflecteur avec la fixation de la lampe conformément à une coupe suivant la ligne XIII de la figure 7a avec la lampe et l'élément de serrage dans la 35 position finale. A la figure 1, un module de lumière d'un projecteur de véhicule suivant l'invention est désigné dans sa totalité par le repère 1. Le module 1 de lumière est constitué sous la forme de ce que l'on appelle un module de système poly-ellipsoïde (PES). Le module PES 1 comprend un réflecteur 2 qui est en matière plastique ou en métal, par exemple en métal coulé sous pression. Pour une fabrication en matière plastique, un revêtement réfléchissant est déposé au moins dans la partie de la surface de réflexion du réflecteur 2. Le réflecteur est, de préférence, sous la forme d'un ellipsoïde ou il a une forme libre s'écartant peu de la forme de l'ellipsoïde. Le module 1 de lumière comprend, en outre, une lampe 3 qui, dans l'exemple de réalisation représenté, est constitué sous la forme d'une lampe à décharge dans un gaz, notamment sous la forme de ce que l'on appelle une lampe Dl. Un appareil 4 d'amorçage, qui sert à amorcer et à maintenir un arc électrique dans une ampoule 11 en verre de la lampe 3, fait partie intégrante de la lampe 3 à décharge dans un gaz. L'appareil 4 d'amorçage est notamment fixé sans possibilité de tourner par rapport à l'ampoule 1 en verre et par rapport à un culot 29 (voir la figure 2) de la lampe 3. L'arc électrique produit dans l'ampoule 11 en verre de la source 3 lumineuse est disposé, de préférence, dans la partie d'un premier foyer du réflecteur 2 en forme d'ellipsoïde ou de forme semblable à un ellipsoïde. La fixation de la lampe 3 sur la face arrière du réflecteur 2 s'effectue au moyen d'une fixation 5 de lampe qui sera expliquée d'une façon plus précise dans ce qui suit. Une ouverture avant de sortie de la lumière du réflecteur 2 est recouverte en partie par un diaphragme 6. Le diaphragme 6 comprend un bord 7 supérieur ayant un tracé dissymétrique, c'est-à-dire qu'une partie du bord 7 supérieur d'un côté d'un plan médian vertical passant par l'axe 10 optique du réflecteur 2 est plus haute ou plus basse que la partie du bord supérieur de l'autre côté du plan médian. Sur un bord avant du réflecteur 2 sont disposés des moyens 8 de fixation, qui maintiennent une lentille 9 de projection à une distance définie du réflecteur 2. Le bord 7 supérieur du diaphragme 6 est projeté par la lentille 9 de projection sous la forme d'une limite clair-obscur dissymétrique sur la chaussée devant le véhicule automobile. Dissymétrique signifie que la portée de la répartition de la lumière du côté de circulation proprement dit (pour une circulation à droite du côté droit de la chaussée) est plus grande que du côté opposé à la circulation (pour une circulation à droite du côté gauche de la chaussée). La limite clair-obscur dissymétrique de la répartition de la lumière peut être réalisée, par exemple, par une élévation de 15 ou par un palier du bord 7 supérieur du diaphragme 6. Le bord 7 supérieur du diaphragme 6 est disposé, de préférence, dans la partie du deuxième foyer du réflecteur 2. Le diaphragme 6 peut, pour faire varier la répartition de la lumière, être mobile. On peut songer, par exemple, à un rabattement de tout le diaphragme 6 autour d'un axe de rabattement s'étendant sensiblement horizontalement, transversalement à l'axe 10 optique du réflecteur. On pourrait songer aussi à ce que le diaphragme 6 ait un élément de diaphragme statique ainsi qu'au moins un élément de diaphragme mobile par rapport à l'élément statique, l'élément de diaphragme mobile pouvant être déplacé autour d'un axe de rotation s'étendant horizontalement sensiblement parallèlement à l'axe 10 optique. En rabattant tout le diaphragme 6 ou en déplaçant l'élément de diaphragme mobile, on élève ou on abaisse le bord 7 supérieur du diaphragme 6. En déplaçant le diaphragme 6 ou l'élément de diaphragme mobile, on peut faire varier la répartition de la lumière sortant du projecteur ou du module 1 de lumière en commutant d'une manière très simple entre les feux de code et les phares à longue portée, tandis que dans un autre cas on peut réaliser une répartition de lumière qui s'adapte, par exemple pour produire un éclairage d'autoroute, un éclairage sur route de campagne, un éclairage de ville, un éclairage par mauvais temps, etc. Pour déplacer le diaphragme 6 pour l'adaptation de la répartition de la lumière, il est prévu une unité 12 de réglage, qui peut être constituée sous la forme d'un moteur électrique, de préférence d'un moteur pas à pas ou sous la forme d'un électroaimant. Le diaphragme 6 peut avoir, en outre, un autre élément 13 de diaphragme mobile autour d'un axe de basculement s'étendant horizontalement sensiblement parallèlement à l'axe 10 optique du réflecteur 2 et servant à commuter la répartition de la lumière entre la circulation à droite et la circulation à gauche. Le module 1 de lumière est disposé, seul ou ensemble avec d'autres modules de lumière qui peuvent être constitués également sous la forme de module PES ou, par exemple, en module de réflexion, dans un boîtier de projecteur qui n'est pas représenté à la figure 1. Pour la réalisation du réglage de rayon d'éclairage, tout le module de lumière peut être monté basculant autour d'un axe 14 horizontal sensiblement perpendiculaire à l'axe 10 optique du réflecteur. En outre, le module 1 de lumière peut, pour réaliser une fonction dynamique de phare tournant, être monté dans le boîtier du projecteur de manière à pouvoir tourner par rapport a .un axe 15 de rotation sensiblement vertical et transversal à l'axe 10 optique du réflecteur 2. On n'expliquera pas davantage ici la fonction de réglage du rayon, la fonction de phare tournant ni non plus la répartition adaptative de lumière par déplacement du diaphragme 6. Au lieu de cela, on explicitera en détail dans ce qui suit la fixation de la lampe 3 sur le côté arrière du réflecteur 2 en une position définie au moyen de la fixation 5 de lampe. Au moyen des figures 2 et 3 on voit que la fixation 5 de lampe est constituée en tout de trois pièces, à savoir un support 20 de lampe, un élément 21 de serrage, qui y est retenu en étant mobile autour de l'axe 10 optique du réflecteur 2, ainsi qu'une tôle 22 de contact, qui est fixée sur le support 20 de lampe et qui sert à la mise en contact d'un boîtier de l'appareil 4 d'amorçage avec le réflecteur 2 pour la réalisation d'une protection contre le rayonnement électromagnétique. On peut renoncer à la tôle 22 de contact pour la réalisation d'une fixation 5 de lampe sans protection vis-à-vis du rayonnement électromagnétique, sans que pour autant les avantages de la présente invention soient perdus.

Le support 20 de lampe est adapté à la forme et à la dimension d'un col 23 de réflecteur constitué sur le côté arrière du réflecteur 2. Le col 23 du réflecteur entoure une ouverture 24 qui est formée dans la partie tournée vers l'arrière du réflecteur 2 et qui sert à recevoir l'ampoule 11 en verre de la lampe 3 à l'intérieur du réflecteur 2. Dans l'exemple de réalisation représenté, le col 23 du réflecteur fait partie intégrante du réflecteur 2, c'est-à-dire qu'il est fabriqué, par exemple, dans un procédé commun de coulée sous pression ensemble avec le réflecteur 2. En variante, le col 23 du réflecteur peut être constitué aussi sous la forme d'un élément distinct de réflecteur 2 qui est ensuite fixé au côté arrière du réflecteur 2, par exemple par vissage, par rivetage, par clipsage ou par collage. Le col 23 du réflecteur a, à la transition avec le réflecteur 2, une partie ayant une section transversale plus petite que la partie tournée vers l'arrière du col 23 du réflecteur. Cette partie à la transition entre le col 23 du réflecteur et le réflecteur forme une contre-dépouille dans laquelle des pattes 25 de fixation du support 20 de la lampe sont recourbées après que le support 20 de la lampe a été mis sur le col 23 du réflecteur, de manière à s'accrocher derrière la contre-dépouille et à fixer d'une manière sûre et solide le support 20 de la lampe au col 23 du réflecteur. A la figure 3, les pattes 25 de fixation du support 20 de lampe sont représentées dans un état monté qu'elles prennent lorsque le support 20 de lampe est mis sur le col 23 du réflecteur et lorsque les pattes 25 de fixation sont courbées dans la contre-dépouille. La forme et les dimensions de la tôle 22 de contact sont adaptées à celles du support 20 de lampe. Dans l'exemple de réalisation représenté, la tôle 22 de contact est emmanchée sur le support 20 de la lampe et est fixée au support 20 de la lampe au moyen de liaisons par encliquetage. Les liaisons par encliquetage comprennent, d'une part, des pattes 26 d'encliquetage qui sont réparties tout autour du pourtour de la tôle 22 de contact. Dans l'exemple de réalisation représenté, les pattes 26 d'encliquetage sont formées sur tous les huit côtés de la tôle 22 de contact. Lorsque l'on met la tôle 22 de contact sur le support 20 de la lampe, les pattes 26 d'encliquetage sont introduites dans des ouvertures 27 correspondantes d'encliquetage, qui sont formées sur les emplacements correspondants du côté du pourtour dans le support 20 de la lampe. Dès que la tôle 22 de contact est mise complètement sur le support 20 de lampe, une partie d'extrémité, recourbée radialement vers l'extérieur, des pattes 26 d'encliquetage sort vers l'extérieur des ouvertures 27 d'encliquetage. Cette partie d'extrémité courbée vers l'extérieur radialement des pattes 26 d'encliquetage s'applique au bord avant des parois latérales du support 20 de la lampe et assujettit ainsi la tôle 22 de contact d'une manière fiable au support 20 de la lampe. Plusieurs becs 28 de contact répartis sur tout le pourtour de la tôle 22 de contact sont formés sur le côté arrière de la tôle 22 de contact. On peut choisir à volonté le nombre, la forme et les dimensions des becs 28 de contact. Dans l'exemple de réalisation représenté, les becs 28 de contact ont sensiblement une forme triangulaire et il est réparti sur tout le pourtour tant de becs 28 de contact que ceux-ci sont voisins directement sans un intervalle entre eux. Les becs 28 de contact s'étendent sensiblement radialement vers l'intérieur dans la direction de l'axe 10 optique du réflecteur 2. Par leur extrémité proximale, les becs 28 de contact sont fixés de manière mobile, notamment en cédant élastiquement dans la direction axiale, aux parois latérales de la tôle 22 de contact. Lorsque la tôle 22 de contact est fixée sur le support 20 de lampe et celui-ci à son tour sur le col 23 du réflecteur, il est assuré par les becs 28 de contact, alors que la lampe 3 est insérée dans la fixation 5 de lampe, une mise en contact sûre et fiable du boîtier de l'appareil 4 d'amorçage avec le réflecteur 2 par l'intermédiaire du support 20 de la lampe et du col 23 du réflecteur et ainsi une protection fiable de compatibilité électromagnétique (voir la figure 7b). L'élément 21 de serrage est maintenu, sans possibilité de se perdre, sur le pourtour intérieur du support 20 de la lampe en étant mobile autour de l'axe 10 optique. Les trois éléments, à savoir le support 20 de la lampe, l'élément 21 de serrage mobile et la tôle 22 de contact, sont ainsi rassemblés en une unité pouvant être manipulée individuellement. Cette unité peut être fixée sur un col 23 constitué de manière correspondante de n'importe quel réflecteur 2 de n'importe quel dispositif d'éclairage. Une seule et même unité 5 de fixation de lampe peut ainsi être fixée sur des réflecteurs 2 différents.

La figure 4 représente encore une fois, suivant une autre vue en perspective cavalière par l'arrière et par le bas, le réflecteur 2 ainsi que les parties 20, 21, 22 individuelles de la fixation 5 de lampe. On y voit particulièrement bien qu'au-dessus, sur le pourtour intérieur du support 20 de la lampe, sont fixés des moyens de maintien sous la forme d'une languette 40 élastique qui cède élastiquement. La languette 40 élastique est représentée en détail à la figure 12. Elle s'étend sensiblement dans la direction du pourtour du support 20 de lampe et est fixée par son extrémité proximale (à la figure 4 du côté droit de la languette 40 élastique) à la face intérieure d'une paroi latérale du support 20 de la lampe. L'extrémité distale de la languette 40 élastique (à la figure 4, le côté gauche de la languette 40 élastique) est constituée de manière à céder élastiquement dans la direction radiale, de sorte qu'elle peut être élastique vers l'intérieur en direction de l'axe 10 optique du réflecteur 2. Les moyens 40 de maintien servent à maintenir, sans possibilité de se perdre, l'élément 21 de serrage mobile sur le support 20 de la lampe. L'élément 21 de serrage est poussé notamment par la languette 40 élastique radialement vers l'extérieur en direction de la face intérieure de la paroi du support 20 de la lampe.

Sur le côté arrière du support 20 de la lampe est formé un collet 41 dirigé radialement vers l'intérieur en direction de l'axe 10 optique. La languette 40 élastique, qui ne cède pratiquement pas dans la direction de l'axe 10 optique du réflecteur 2, maintient l'élément 21 de serrage, en outre, sur le collet 41. L'élément 21 de serrage est donc maintenu dans la direction axiale entre la languette 40 élastique et le collet 41. La languette 40 élastique a, en outre, deux cavités 42 et 43 qui sont dirigées radialement vers l'intérieur et par lesquelles l'élément 21 de serrage est maintenu pendant un mouvement de rotation autour de l'axe 10 optique du réflecteur 2 dans deux positions, à savoir, d'une part, par la cavité 12 dans une position 51 d'introduction (voir la figure 5a) qui, considéré. depuis la partie dirigée vers l'arrière du réflecteur 2, correspond à une position de rotation de la lampe .3 d'environ 22,5 par rapport à la verticale et, d'autre part, par la cavité 43 dans une position 52 finale (voir la figure 5b) qui, considéré à nouveau depuis le côté arrière du réflecteur 2, correspond à une position de rotation de la lampe 3 sensiblement à la verticale. La languette 40 élastique sert donc, d'une part, à maintenir sans possibilité de perte l'élément 21 de serrage dans le support 20 de la lampe et, d'autre part, à fixer des positions en rotation définies (position 51 d'introduction et position 52 finale) de l'élément 21 de serrage ou de la lampe 3 pendant le mouvement de rotation autour de l'axe 10 optique du réflecteur 2.

L'élément 21 de serrage est constitué, dans l'exemple de réalisation représenté, sensiblement sous la forme d'un coin ou sous la forme d'une flèche. Sur le côté avant de l'élément 21 de serrage (à la figure 4 en bas sur l'élément 21 de serrage) est formé un bec 44 d'encliquetage par lequel la languette 40 élastique entre en prise avec l'élément 21 de serrage. Le bec 44 d'encliquetage fait partie aussi de l'élément 21 de serrage et, lors d'un mouvement de rotation de l'élément 21 de serrage autour de l'axe 10 optique du réflecteur 2, glisse le long de la surface de la languette 40 élastique entre les cavités 42, 43. Dans les modes de réalisation représentés aux figures du dispositif d'éclairage suivant l'invention, le col 23 du réflecteur est formé sur le côté arrière du réflecteur 2 sous la forme d'un prisme octogonal. En conséquence, le support 20 de la lampe et la tôle 22 de contact ont aussi une forme de base octogonale. Les huit côtés du col 28 du réflecteur, du support 20 de la lampe et de la tôle 22 de contact sont de même longueur, la longueur des côtés du col 23 de réflecteur pouvant être différente de la longueur des côtés du support 20 de la lampe ou de l'élément 22 de contact. Deux parois latérales voisines l'une de l'autre ont entre elles un angle de 135 . Les branches 45 de l'élément 21 de serrage cunéiforme ont, en conséquence, un angle intérieur de 135 . Dans la position 51 d'introduction de la lampe 3 (voir la figure 5a), l'élément 21 de serrage est reçu dans un sommet intérieur du support 40 de la lampe, de sorte que la pointe de l'élément 21 de serrage cunéiforme est disposée exactement dans le sommet entre deux parois latérales du support 20 de la lampe et de sorte que les branches 45 de l'élément 21 de serrage s'étendent sensiblement parallèlement aux parois latérales du support 20 de la lampe des deux côtés du sommet intérieur (voir la figure 13a). La lampe 3 est reçue, de préférence, par son culot 29 de lampe en forme d'assiette (voir les figures 2 et 3) dans le support 20 de la lampe. Après un mouvement de rotation de la lampe 3 insérée dans le support 20 de la lampe, de la position 51 d'introduction (voir la figure 5a) à la position 52 finale (voir la figure Sb), la lampe 3 est fixée d'une manière sûre et fiable au support 20 de la lampe ou au col 23 du réflecteur au moyen du culot 29 de la lampe. Sur le pourtour extérieur du culot 29 de la lampe reçu par les moyens 20 de réception et de guidage sont formés deux évidements 80, 81 d'indexation qui sont à une certaine distance angulaire l'un de l'autre (voir la figure 8). L'évidement 80 d'indexation a une section transversale rectangulaire et l'évidement 81 d'indexation a une section transversale hémicirculaire. Sur le côté inférieur du support 20 de la lampe sont formées deux saillies 46, 47 d'indexation, de même constitution, distantes l'une de l'autre du même intervalle angulaire et dirigées radialement vers l'intérieur (voir la figure 4), la première saillie 46 d'indexation étant constituée, quand on la considère depuis le côté arrière du réflecteur 2, de façon rectangulaire et la deuxième saillie 47 d'indexation, de façon hémicirculaire. La coopération des évidements 80, 81 d'indexation sur le culot 29 de lampe avec les saillies 46, 47 d'indexation correspondantes sur le support de la lampe donne l'assurance que la lampe ne peut être insérée que dans une position en rotation bien déterminée dans le présent exemple de réalisation pour a = 22,5 d'écart à la verticale dans les moyens 20 de réception et de guidage. Cela est représenté d'une manière détaillée à la figure 8. Ensuite, il s'effectue un mouvement de rotation de la lampe 3 qui, considéré à partir de la partie tournée vers l'arrière du réflecteur 2, dans le sens des aiguilles d'une montre, est de -22,5 jusqu'à atteindre la position 52 finale. La position finale de la lampe 3 ou de l'élément 21 de serrage est représentée en détail à la figure 9. On voit nettement au moyen de la figure 8 qu'une distance entre le pourtour extérieur du culot 29 de la lampe et un sommet intérieur entre deux parois latérales du support 20 de la lampe (voir la position de l'élément 21 de serrage à la figure 8c) est plus grande que la distance entre le pourtour extérieur du culot 29 de la lampe et le centre de l'une des parois latérales adjacentes au sommet du support 20 de la lampe (voir la position de l'élément 21 de serrage de la figure 9c).

Pendant le mouvement de rotation de -22,5 à partir de la position d'introduction (voir la figure 8) pour venir dans la position finale (voir la figure 9), la distance libre entre le pourtour extérieur du culot 29 de la lampe et la face intérieure de la partie correspondante de la paroi latérale du support 20 de la lampe diminue donc. Le culot 29 de la lampe introduit dans les moyens 20 de réception et de guidage reçoit dans son évidement 80 rectangulaire d'indexation une pièce 48 de l'élément 21 de serrage cunéiforme. Dans la position d'introduction, la pièce 48 de l'élément 21 de serrage se trouve exactement en dessous de la saillie 46 rectangulaire d'indexation du support 20 de la lampe. En faisant tourner la lampe 3 et ainsi également le culot 29 de la lampe autour de l'axe 10 optique du réflecteur 2, on force par pénétration de la pièce 48 de l'élément 21 de serrage dans l'évidement 80 d'indexation également l'élément 21 de serrage à exécuter un mouvement de rotation correspondant autour de l'axe 10 optique. L'élément 21 de serrage est forcé, au fur et à mesure qu'augmente l'angle de rotation, à venir dans l'intervalle devenant de plus en plus étroit compris entre le pourtour extérieur du culot 29 de la lampe et la face intérieure de la paroi latérale du support 20 de la lampe. Le culot 29 de la lampe et avec lui toute la lampe 3 sont ainsi déplacés transversalement à l'axe 10 optique du réflecteur 2, dans l'exemple de réalisation de la figure 9 d'un trajet a d'environ 1,2 mm vers le bas.

Le culot 29 de la lampe inséré dans les moyens 20 de réception et de guidage s'appuie sur un côté, sensiblement opposé à l'élément 21 de serrage, du support 20 de la lampe sur des ressorts 82 et 83 d'appui (voir la figure 10). Les pattes 82, 83 d'appui sont constituées de manière à céder élastiquement radialement vers l'extérieur, transversalement à l'axe 10 optique du réflecteur 2. De préférence, les pattes 82, 83 d'appui font partie intégrante du support 20 de la lampe, c'est-à-dire qu'elles sont fabriquées ensemble avec le support 20 de la lampe dans la même tôle. Pendant le mouvement de rotation de la lampe 3 de la position 51 d'introduction (voir la figure 8) à la position 52 finale (voir la figure 9), le culot 29 de la lampe pousse les pattes 82, 83 d'appui qui, en conséquence, cèdent radialement vers l'extérieur. On voit nettement à la figure 9 que le culot 29 de la lampe, et ainsi toute la lampe 3, n'est en la position finale plus disposé exactement au milieu dans le support 20 de la lampe, mais en est décalé du montant a vers le bas. Par ce mouvement de translation du montant a, le culot 29 de la lampe est déplacé, au moins dans sa partie inférieure, pour venir sous le collet 4.1 du support 20 de la lampe et y est ainsi maintenu d'une manière sûre. Cela est représentéencore une fois d'une manière agrandie à la figure 10. La figure 11 représente un autre mode de réalisation d'un projecteur suivant l'invention, dans lequel le support 20 de la lampe n'est pas fixé au moyen de pattes de fixation mais au moyen de vis 110 sur le côté arrière du réflecteur 2. A cette fin, il est prévu sur le côté arrière du réflecteur 2 des barrettes 111 de montage appropriées et sur le côté extérieur du support 20 de la lampe, plusieurs pattes 112 de fixation s'étendant radialement vers l'extérieur. Dans les pattes 112 de fixation est ménagée une ouverture dans laquelle passe la vis 110 qui peut ensuite être serrée dans un trou correspondant dans la barrette 111 de montage. Au lieu de vis 110 on pourrait, bien entendu, utiliser aussi d'autres moyens de fixation appropriés comme, par exemple, des rivets ou analogues. Dans une autre variante de la présente invention, on peut songer à ce que le support 20 de la lampe ne soit pas fabriqué en une tôle métallique mais en matière plastique ou en un autre matériau, mais aussi par un autre procédé, par exemple par coulée de métal sous pression. On pourrait songer aussi à ce que le col 23 du réflecteur, le support 20 de la lampe ainsi que, si elle est présente, la tôle 22 de contact aient une forme autre qu'une forme octogonale. On pourrait songer à n'importe quelle autre forme dans laquelle, en raison d'un mouvement de rotation de la lampe 3 ou du culot 29 de la lampe, la distance entre un certain point sur le pourtour extérieur du culot 29 de la lampe et la face intérieure des moyens 20 réception et de guidage diminue. Pour un culot 29 de lampe ayant une section transversale circulaire, comme cela est habituel, on aurait pour la forme du col 23 du réflecteur, du support 20 de la lampe et de la tôle 22 de contact, par exemple, la forme d'un triangle, d'un quadrilatère ou de n'importe quel autre polygone. Une forme ovale ou une forme en hélice du col 23 du réflecteur, du support 20 de la lampe et de la tôle 22 de contact serait, en outre, imaginable. Pour une forme modifiée du col 23 du réflecteur, du support 20 de la lampe et de la tôle 22 de contact, il faut alors bien entendu adapter aussi la dimension de l'angle de rotation pour passer de la position 51 d'introduction (voir la figure 8) à la position 52 finale (voir la figure 9). Pour une forme ovale, une rotation de 90 serait, par exemple, sensée, pour un quadrilatère, une rotation de 45 , etc. Sur le côté frontal dirigé vers l'avant (dans la direction +z) du culot 29 de la lampe sont constitués plusieurs, de préférence trois points 84, 85, 86 (voir la figure 8b et les figures 13a et 13b) de contact équidistants les uns des autres dans la direction du pourtour et faisant saillie de la face frontale du culot 29. Les points 84 à 86 de contact coopèrent avec des éléments 49, 49' et 49" d'appui (voir la figure 4 ainsi que les figures 8b et 9b) constitués sur le côté arrière du réflecteur 2 à l'intérieur du col 23 du réflecteur. Dans l'exemple de réalisation représenté aux figures, les éléments 49 à 49" d'appui font partie intégrante du col 23 du réflecteur, c'est-à-dire qu'ils sont fabriqués dans une opération d'injection sous pression en même temps que le col 23 du réflecteur et, dans le cas où celui-ci fait partie intégrante du réflecteur 2, également avec le réflecteur 2. Mais, en variante on pourrait penser aussi à ce que les éléments 49 à 49" d'appui fassent partie du support 20 de la lampe, les éléments 49 à 49" d'appui pouvant alors s'appuyer, pour améliorer la stabilité sur le fond du col 23 du réflecteur, ou sur le côté arrière du réflecteur 2.

Du côté tourné vers l'arrière (dans la direction moins z), considéré dans la direction de l'axe 10 optique des éléments 49 à 49" d'appui est formée, respectivement une surface de contact pour les points 84 à 86 de contact du culot 29 de la lampe. Dans la position 51 d'introduction, la surface frontale, dirigée vers l'avant, du culot 29 de la lampe s'applique d'une manière lâche (voir la figure 8b) sur les surfaces de contact des éléments 49 à 49" d'appui. Les points 84 à 86 de contact pendent dans l'air. Par un mouvement de rotation du culot 29 de la lampe de l'angle a de la position 51 d'introduction à la position 52 finale (à la figure 8b dans le sens contraire au sens des aiguilles d'une montre), les points 84 à 86 de contact du culot 29 de la lampe sont tirés sur les surfaces de contact des éléments 49 à 49" d'appui, de sorte qu'ils viennent complètement en contact en la position finale de la lampe 3 sur les surfaces de contact (voir la figure 9b). Comme on le voit nettement aux figures 2 à 4, les surfaces de contact des éléments 49 à 49" d'appui sont subdivisées en deux parties. Elles comprennent, d'une part, une partie ascendante inclinée qui se transforme en une partie plane. Les points 84 à 86 de contact glissent, au moins pendant une partie du mouvement de rotation de la lampe 3 autour de l'axe 10 optique du réflecteur 2, sur les parties ascendantes des surfaces de contact jusqu'à venir en contact dans la position 52 finale de la lampe 3 sur les parties planes des surfaces de contact des éléments 49 à 49" d'appui. Par la coopération des éléments 49 à 49" d'appui ou de leurs surfaces de contact avec les points 84 à 86 de contact du culot 29 de la lampe il est superposé au mouvement de rotation de la lampe 3 ou du culot 29 de la lampe, outre le mouvement de translation vers le bas (dans la direction y moins), en outre, encore un autre mouvement de translation dans la direction axiale vers l'arrière (dans la direction z moins). Par ce mouvement de la lampe vers l'arrière, le culot 29 de la lampe est poussé sur le collet 41 du support 20 de la lampe.

Par les moyens 20 de réception et de guidage en coopération avec l'élément 21 de serrage, le culot 59 de la lampe et ainsi également toute la lampe 3 est fixé dans le plan x-y dans une position définie de façon précise sur le support 20 de la lampe et ainsi également sur le réflecteur 2. La définition de la position du culot 29 de la lampe dans le plan x-y s'effectue, d'une part, par les côtés dirigés radialement vers l'intérieur des branches 45 de l'élément 21 de serrage qui repousse le pourtour extérieur du culot 29 de la lampe dans une direction transversalement à l'axe 10 optique du réflecteur 2 et, d'autre part, par les deux pattes 82, 83 d'appui élastiques constituées sur le côté opposé du culot 29 de la lampe. En outre, le culot 29 de la lampe et ainsi également toute la lampe 3 est maintenu dans une position définie dans la direction z sur le support 20 de la lampe et ainsi sur le réflecteur 2. La définition de la position de la lampe 3 dans la direction z s'effectue comme on l'a dit par une coopération des surfaces de contact des éléments 49 à 49" d'appui et des points 84 à 86 de contact sur le côté frontal avant du culot 29 de la lampe. Au lieu de ce qui est représenté aux figures et décrit ci-dessus, la fixation 5 de lampe peut être insérée avec les moyens 20 de réception et de guidage, l'élément 21 de serrage et la tôle 22 de contact, non seulement pour fixer une lampe 3 à décharge dans un gaz sur un réflecteur 2 et un module 1 de lumière PES d'un projecteur de véhicule automobile. Bien plus, l'invention concerne tous types de dispositifs d'éclairage, une lampe 3 quelconque pouvant être fixée sur un réflecteur 2 quelconque d'un système d'éclairage lumineux constitué de façon quelconque dans une position définie par rapport au réflecteur et cela d'une manière simple et rapide à l'aide d'une seule main. La lampe 3 peut sans pièce ou moyen auxiliaire à y fixer supplémentairement être fixée à baïonnette directement sur le réflecteur 2 ou sur un col 23 de réflecteur. La lampe 3 exécute un mouvement de rotation et obligatoirement un mouvement de translation, le culot 29 de la lampe se déplaçant dans le prisme de réception de la lampe du col 23 du réflecteur et se verrouillant obligatoirement. Le mouvement combiné de rotation et de coulissement est réglé par _a pièce 21 mobile intégrée dans la fixation 5 de lampe. Le culot 29 de lampe en forme d'assiette est pris par l'arrière en plusieurs endroits, de préférence en trois endroits, par la fixation 9 de lampe et est maintenu ainsi sur le réflecteur 2. La prise par l'arrière du culot 29 de lampe est réalisée par un mouvement combiné de rotation et de coulissement de la lampe 3 dans le support 20 de la lampe. Le culot 29 de la lampe est introduit par les éléments 46, 47, 80, 81 d'indexation de la lampe à complémentarité de formes dans le support 20 de la lampe. Les axes médians de l'ouverture circulaire du support 20 de la lampe et du culot 29 de la lampe sont directement superposés. La lampe 3 est tournée après l'insertion dans le support 20 de la lampe, la lampe effectuant perpendiculairement à l'axe de rotation de l'assiette 29 du culot de lampe un mouvement obligatoire de translation. L'axe médian du culot 29 de la lampe se décale de l'axe médian de l'ouverture du support 20 de la lampe. L'assiette 29 du culot de lampe tourne et coulisse, d'une part, sous le collet 41 intérieur qui forme le bord de l'ouverture du support 20 de la lampe et, d'autre part, sous les saillies 46, 47 d'indexation du support 20 de la lampe. Les mouvements de rotation et de coulissement de la lampe 3 sont définis et limités par des butées dans la fixation de lampe. Lors du mouvement de rotation de la lampe 3, celle-ci parcourt par ses trois points 84, 85, 86 de contact faisant saillie du culot 29 de la lampe les trois éléments 49, 49', 49" d'appui qui sont désignés en tant que barrettes de mise en position de la lampe dans le col 23 du réflecteur. Il est produit ainsi une force de pression axiale par les contre-dépouilles produites ou par le collet 41 du support 20 de la lampe sur le réflecteur 2 par l'intermédiaire du culot 29 de la lampe.

La lampe 3 est ainsi mise en position d'une manière sûre et univoque tant axialement que radialement dans ou sur le réflecteur 2.5

Claims (24)

REVENDICATIONS

1. Dispositif d'éclairage pour un véhicule, notamment pour un projecteur de véhicule automobile, comprenant une source (3) lumineuse pour émettre de la lumière et un réflecteur (2) pour focaliser la lumière émise par la source (3) lumineuse, une ouverture (24) de réception d'une partie (29) de la source (3) lumineuse et un col (23) de réflecteur entourant l'ouverture (24) étant formés sur la face arrière du réflecteur (2), col sur lequel la source (3) lumineuse est fixée au moins indirectement en une position définie par rapport à une surface de réflexion du réflecteur (2), caractérisé en ce qu'il est monté sur le col (23) du réflecteur des moyens (20) de réception d'au moins une partie (29) de la source (3) lumineuse dans une direction sensiblement parallèle à un axe (10) optique du réflecteur (2) et de réalisation d'un guidage obligé de la source (3) lumineuse, de façon à ce qu'à un mouvement de rotation de la source (3) lumineuse autour de l'axe (10) optique du réflecteur (2) se superpose un mouvement (a) de translation transversalement à l'axe (10) optique.

2. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la source (3) lumineuse est maintenue par une coopération du mouvement (a) de rotation et du mouvement (a) de translation dans la position définie par rapport à la surface de réflexion du réflecteur (2) au moins indirectement sur celui-ci.

3. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 2, caractérisé en ce que les moyens (20) de réception et de guidage ont un tronçon (41) de collet dirigé radialement vers l'intérieur dans la direction de l'axe (10) optique du réflecteur et à distance de la face arrière du réflecteur (2), la source (3) lumineuse étant maintenue par le mouvement (a) de translation au moins en partie entre la face arrière du réflecteur (2) et le tronçon (41) de collet.

4. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu'un élément (21) de serrage est guidé sur les moyens (20) deréception et de guidage en étant mobile autour de l'axe (1C) optique du réflecteur (2), l'élément (21) de serrage suivant obligatoirement, après la réception d'au moins une partie (29) de la source (3) lumineuse dans les moyens (20) de réception et de guidage, le mouvement (a) de rotation venant ensuite de la source (3) lumineuse et forçant ainsi, en ayant un angle de rotation croissant de la source (3) lumineuse, celle-ci à effectuer le mouvement (a) de translation.

5. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 4, caractérisé en ce que l'élément (21) de serrage s'appuie, d'une part, sur une surface périphérique intérieure des moyens (20) de réception et de guidage et, d'autre part, sur la partie (29) de la source (3) lumineuse qui est reçue dans les moyens (20) de réception et de guidage, la distance entre la surface périphérique intérieure des moyens (20) de réception et de guidage et la partie (29) reçue de la source (3) lumineuse sur laquelle s'appuie l'élément (21) de serrage étant diminuée au moins sur une partie de la plage angulaire du mouvement (a) de rotation de la source (3) lumineuse au fur et à mesure que l'angle de rotation augmente.

6. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 4, caractérisé en ce que l'élément (21) de serrage s'appuie, d'une part, sur une surface périphérique intérieure du col (23) du réflecteur et, d'autre part, sur la partie (29) de la source (3) lumineuse qui est reçue par les moyens (20) de réception et de guidage, la distance, entre la surface périphérique intérieure du col (23) du réflecteur et la partie (29) reçue de la source (3) lumineuse sur laquelle l'élément (21) de serrage s'applique, diminuant au moins sur une partie de la plage angulaire du mouvement (a) de rotation de la source (3) lumineuse au fur et à mesure que l'angle de rotation augmente.

7. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 4 à 6, caractérisé en ce que l'élément (21) de serrage est cunéiforme, la branche (45) du coinfaisant un angle déterminé et en ce que les moyens (20) de réception et de guidage et/ou le col (23) du réflecteur a, au moins dans une partie sur laquelle l'élément (21) de serrage s'appuie, deux surfaces latérales faisant un angle entre elles, l'angle intérieur des surfaces latérales correspondant sensiblement à l'angle de la branche (45) de l'élément (21) de serrage.

8. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 7, caractérisé en ce que l'angle de la branche de l'élément (21) de serrage et l'angle des surfaces latérales des moyens (20) de réception et de guidage ou du col (23) du réflecteur sont tous deux d'environ 135 .

9. Dispositif d'éclairage suivant l'une des 15 revendications 4 à 8, caractérisé en ce que l'élément (21) de serrage est retenu, de manière imperdable, dans les moyens (20) de réception et de guidage.

10. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que les moyens 20 (20) de réception et de guidage ont des moyens (40) de maintien de la source (3) lumineuse dans la position (52) en rotation à la fin du mouvement (a) de rotation autour de l'axe (10) optique du réflecteur (2).

11. Dispositif d'éclairage suivant la 25 revendication 10, caractérisé en ce que les moyens (40) de maintien coopèrent avec l'élément (21) de serrage et maintiennent celui-ci en une position correspondant à la position (52) en rotation de la source (3) lumineuse à la fin du mouvement (a) de rotation autour de l'axe (10) 30 optique du réflecteur (2).

12. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 10 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de maintien comprennent une languette (40) élastique ayant une étendue longitudinale qui s'étend dans la 35 direction périphérique à une certaine distance du pourtour intérieur des moyens (20) de réception et de guidage, qui est fixée sur son côté transversal en cédant élastiquement sur le pourtour intérieur des moyens (20) de réception et de guidage et qui pousse l'élément (21)de serrage radialement vers l'extérieur sur le pourtour intérieur de l'élément (20) de réception et de guidage.

13. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 1 à 12, caractérisé en ce qu'il est formé sur le col (23) du réflecteur ou sur les moyens (20) de réception et de guidage plusieurs éléments (49, 49', 49") d'appui, qui sont répartis autour de l'ouverture (24) du réflecteur (2) et qui ont, respectivement, une surface de contact dirigée axialement vers l'arrière en direction de l'axe (10) optique du réflecteur, surface sur laquelle s'appuie, à l'état (52) monté, la partie (29) de la source (3) lumineuse qui est reçue dans les moyens (20) de réception et de guidage.

14. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 13, caractérisé en ce que les surfaces de contact des éléments (49, 49', 49") d'appui ont un tracé incliné, les inclinaisons des surfaces de contact étant dirigées de façon à ce que les distances entre la face arrière du réflecteur (2) et les surfaces de contact, après la réception (51) d'au moins une partie (29) de la source (3) lumineuse dans les moyens (20) de réception et de guidage, augmentent pendant le mouvement (a) de rotation qui vient ensuite de la source (3) lumineuse au moins sur une partie de la plage angulaire du mouvement (a) de rotation au fur et à mesure que l'angle de rotation augmente.

15. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 13 ou 14, caractérisé en ce que les surfaces de contact des éléments (49, 49', 49") d'appui coopèrent avec des points (84, 85, 86) de contact de la partie (29) de la source (3) lumineuse reçue par les moyens (20) de réception et de guidage, de sorte que le mouvement (a) de rotation de la source (3) lumineuse soit, après la réception de la partie (29) de la source (3) lumineuse dans les moyens (20) de réception et de guidage, obligé d'effectuer vers l'arrière un mouvement dans la direction axiale de l'axe (10) optique du réflecteur (2).

16. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 1 à 15, caractérisé en ce que les moyens (20) de réception et de guidage sont constitués sous la forme d'une pièce distincte de réflecteur (2) et fixés au col (23) du réflecteur.

17. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 1 à 16, caractérisé en ce que le col (23) du réflecteur est constitué sous la forme d'une pièce distincte de réflecteur (2) et fixée au réflecteur (2).

18. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 1 à 17, caractérisé en ce que les moyens (20) de réception et de guidage sont fabriqués en une tôle métallique.

19. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 1 à 18, caractérisé en ce que les moyens (20) de réception et de guidage comprennent une tôle (22) de contact, qui ménage un contact conducteur de l'électricité entre un appareil (4) d'amorçage de la source (3) lumineuse et le réflecteur (2) lorsque la source (3) lumineuse est fixée au réflecteur (2).

20. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 19, caractérisé en ce que la tôle (22) de contact est constituée sous la forme d'une pièce distincte des moyens (20) de réception et de guidage et fixée aux moyens (20) de réception et de guidage.

21. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 19 ou 20, caractérisé en ce que la tôle (22) de contact disposée sur les moyens (20) de réception et de guidage a des becs (28) de mise en contact cédant élastiquement, en saillie axialement vers l'arrière dans la direction de l'axe (10) optique et entrant en contact avec un boîtier métallique de l'appareil (4) d'amorçage lorsque la source (3) lumineuse est fixée au réflecteur (2).

22. Dispositif d'éclairage suivant l'une des revendications 1 à 21, caractérisé en ce qu'il est formé sur le pourtour extérieur de la partie (29) de la source (3) lumineuse reçue par les moyens (20) de réception et de guidage au moins un évidement (80, 81) d'indexationet, sur le pourtour intérieur des moyens (20) de réception et de guidage, au moins une saillie (46, 47) correspondante d'indexation dirigée radialement vers l'intérieur, de sorte que la réception de la source (3) lumineuse dans les moyens (20) de réception et de guidage n'est possible que dans une position en rotation déterminée autour de l'axe (10) optique du réflecteur (2).

23. Dispositif d'éclairage suivant la revendication 22, caractérisé en ce qu'il est formé sur le pourtour extérieur de la partie (29) de la source (3) lumineuse reçue par les moyens (20) de réception et de guidage au moins deux évidements (80,81) d'indexation à distance l'un de l'autre d'une distance angulaire déterminée et sur le pourtour intérieur des moyens (20) de réception et de guidage au moins deux saillies (46, 47) d'indexation correspondantes dirigées radialement vers l'intérieur.

24. Dispositif d'éclairage suivant la 20 revendication 23, caractérisé en ce que les évidements (80, 81) d'indexation et les saillies (46, 47) d'indexation correspondante sont de formes différentes.