FR2902776A3 - Centre a usage public pour la collecte selective des huiles vagetales epuisees - Google Patents

Abstract

La présente demande de brevet concerne un centre à usage public pour la collecte sélective des huiles végétales épuisées, caractérisé par le fait qu'il comporte un châssis métallique robuste en forme de portail (2) à fixer au sol, entre les montants duquel est fixé un réservoir (S) pour la collecte des huiles susmentionnées, substantiellement constitué d'un cadre (5), préférablement en polyéthylène, doté d'un couvercle escamotable respectif (8) et destiné à abriter un récipient cylindrique, préférablement en acier au carbone, lequel présente, par rapport à celui-ci, un volume sensiblement inférieur de façon à donner lieu à la formation, entre l'un et l'autre, d'un interstice de sécurité.

Description

CENTRE A USAGE PUBLIC POUR LA COLLECTE SELECTIVE DES HUILES VEGETALES

EPUISEES

La présente demande de brevet concerne un centre à usage public pour la collecte sélective des huiles végétales épuisées utilisées pour la cuisson des aliments. Il est notoire que, depuis quelque temps, les zones urbaines sont dotées de vrais et propres centres de collecte équipés de poubelles destinées au public, à utiliser pour la collecte sélective des déchets, collecte dont le but est leur recyclage. Ces centres, notamment, sont équipés de poubelles pour le tri sélectif du papier, des matières plastiques, de 15 l'aluminium et des piles épuisées. Il est également notoire que les zones industrielles, commerciales et portuaires sont équipées de poubelles à usage public destinées à la collecte des huiles épuisées utilisées pour la lubrification de machines de 20 tous genres. En revanche, à ce jour, il n'existe aucun centre à usage public destiné à la collecte des huiles végétales utilisées dans les processus de cuisson des aliments. Si l'on pense que, dans chaque famille, il arrive 25 souvent de devoir écouler des huiles végétales épuisées, on peut facilement comprendre combien le manque de centres publics de collecte prévus à cet effet est particulièrement grave car, à défaut desdits types de centres, la plupart des personnes déversent leurs propres huiles épuisées 30 directement dans les égouts. Il est évident qu'une telle pratique ne peut être que nuisible du fait que l'huile épuisée finit inévitablement par polluer le terrain et les cours d'eau.

L'invention a pour objet spécifique de pallier ce manque et donc d'offrir finalement à la collectivité la possibilité d'écouler ses propres huiles végétales épuisées selon des modalités écologiquement irréprochables.

Par ailleurs, le centre de collecte en objet est en mesure de se faire apprécier également pour sa totale sécurité d'emploi soit à l'égard des utilisateurs, soit à l'égard de l'environnement, grâce à sa capacité à prévenir tous risques de dispersion de l'huile épuisée pendant sa phase de remplissage, mais aussi en cas de heurts éventuels et fortuits, de tentatives d'effraction et même d'introduction de flammes libres. Une autre caractéristique avantageuse de l'invention est liée justement à son mode d'emploi simple et pratique qui rend vraiment très fonctionnelle et aisée la décharge de l'huile en son intérieur de la part de n'importe quel utilisateur. Finalement, il faut remarquer que le centre de collecte en objet se fait apprécier également pour le fait de pouvoir présenter une grande visibilité dans le cadre urbain, certainement tel à inciter les habitants à l'utiliser le plus possible. Pratiquement, ce nouveau centre de collecte est constitué d'un réservoir spécifique ancré de façon stable au centre d'un grand châssis métallique en forme de portail fixé au sol. Soit la fixation au sol dudit châssis, soit l'ancrage réciproque entre le châssis et le réservoir, sont de manière indéniable stables et robustes, ceci naturellement pour empêcher que le réservoir ne soit arraché ou renversé comme suite à des actes de vandalisme ou pour des raisons fortuites. On peut par ailleurs facilement comprendre comment ledit châssis à portail est également en mesure d'offrir une fonction protectrice (comme une sorte d'arceau de sécurité (roll-bar) d'automobile) à l'égard du réservoir même s'il est éventuellement heurté par un véhicule en cours de manœuvre. Il faut aussi souligner qu'un soin particulier a été dédié à la mise en oeuvre spécifique du réservoir même, lequel, en effet, présente des caractéristiques techniques et fonctionnelles significatives.

Dans ce sens, il faut signaler le fait qu'il tire profit d'un cadre externe réalisé en polyéthylène antichoc, fermé par un couvercle escamotable et apte à contenir dans son intérieur le récipient de l'huile épuisée, récipient préférablement réalisé en acier au carbone traité de manière à être protégé envers la corrosion. Notamment, ce récipient interne présente une forme cylindrique, fermée sur son sommet par un couvercle escamotable sur lequel un trou pour l'introduction de l'huile épuisée est réalisé.

Le volume du cadre externe et celui du récipient qui y est logé sont tels qu'entre l'un et l'autre se forme un grand interstice qui est normalement destiné à rester vide mais qui est en mesure, si malencontreusement les parois dudit récipient interne se cassent, de récolter toute l'huile qui se déverse à l'extérieur, en empêchant ainsi que l'huile ne se répande librement dans l'environnement. L'utilisateur effectue la vidange de l'huile épuisée dans le réservoir en objet en enlevant le bouchon appliqué sur le couvercle dudit récipient externe; l'enlèvement de ce bouchon permet d'accéder à un conduit en forme d'entonnoir dont l'extrémité inférieure fuselée est insérée dans le vrai trou de remplissage prévu sur le sommet dudit récipient interne. Par précaution, un clapet de retenue (donc doté de caractéristiques anti-débordement) est monté sur ledit trou de remplissage, ce clapet étant donc apte à empêcher que l'huile épuisée déjà versée dans ledit récipient ne déborde même lorsque ledit récipient doit être déplacé de sa position opérationnelle ou renversée. La vidange du récipient en objet doit périodiquement être effectuée par du personnel spécialisé qui utilise préférablement un tuyau à aspiration forcée à introduire dans le récipient interne après avoir soulevé le couvercle externe en polyéthylène et soulevé le couvercle métallique présent sur le sommet du récipient interne même. Toujours aux fins de rendre l'utilisation de l'appareillage en objet la plus sûre possible, on a prévu que le couvercle escamotable du cadre externe soit fixé avec un verrou (ou moyens équivalents) de manière que seulement le personnel préposé puisse effectuer les opérations nécessaires pour accéder au logement interne qui abrite le récipient de l'huile. On a déjà mentionné le fait que le centre de collecte en objet est en mesure de présenter une remarquable visibilité dans l'environnement urbain ; on a obtenu ce résultat non seulement en conférant une coloration particulièrement voyante au cadre externe dudit réservoir, mais en exploitant également ledit châssis de fixation en forme de portail pour monter à son sommet un panneau avec des indications bien visibles et éloquentes, en mesure donc de permettre aux utilisateurs d'identifier facilement ce type de centre de collecte. La présente invention a donc pour objet un centre à usage public pour la collecte sélective des huiles végétales épuisées, caractérisé par le fait qu'il comporte un châssis métallique robuste en forme de portail à fixer au sol, à l'intérieur duquel sont prévues, dans des positions exactement opposées, deux brides pour l'ancrage d'un réservoir, substantiellement constitué d'un cadre, préférablement en polyéthylène, doté d'un couvercle escamotable respectif et destiné à abriter un récipient cylindrique, préférablement en acier au carbone, fixé de manière rigide à son intérieur, lequel présente, par rapport à celui-ci, un volume sensiblement inférieur de façon à donner lieu à la formation, entre l'un et l'autre, d'un interstice de sécurité, étant prévu que ledit couvercle escamotable présente un trou, fermé par son bouchon respectif que l'on peut enlever, sur lequel est fixée la grande extrémité supérieure d'un conduit à entonnoir, dont l'extrémité inférieure est introduite dans le trou d'entrée prévu sur la paroi supérieure, ayant une structure pouvant être enlevée, dudit récipient interne, étant prévu que ce dernier trou de sommet du récipient interne soit doté d'un clapet.

Ledit centre peut comprendre, en correspondance avec ledit trou du couvercle, un indicateur de niveau qui coopère avec son flotteur respectif suspendu à un fil. Le châssis précité en forme de portail dudit centre peut être fixé au sol par le biais de deux plaques de stabilisation, chacune desquelles étant prévue à la base de l'un de ses montants respectifs. Ledit couvercle escamotable du cadre peut être doté de moyens qui en assurent la fixation stable, par rapport au cadre même, dans sa position de fermeture.

La fixation stable du récipient à l'intérieur du cadre peut s'effectuer par le biais de trois brides qui ont substantiellement le forme d'un "C", disposées à plat, qui coopèrent avec des vis respectives prévues avec un intervalle de 120 . Lesdites brides, prévues sur l'intérieur des montants du châssis portant, peuvent être disposées de chant et présentent une structure ayant substantiellement la forme d'un "C", de manière que les deux ailettes opposées d'extrémité, trouées au centre, de chacune desdites brides peuvent être respectivement fixées en butée contre l'un desdits montants et contre la surface externe du cadre, étant prévu que la vis enfilée dans l'ailette en butée contre le montant respectif est en mesure de faire prise directement sur ce dernier et que la vis enfilée dans l'ailette opposée ne fait que de traverser, grâce à un trou scellé prévu à cet effet, la surface dudit cadre pour ensuite s'engager dans un trou ultérieur réalisé sur l'ailette d'extrémité d'une desdites brides en forme de "C" disposées à plat, étant également prévu que l'ailette opposée de cette deuxième bride soit positionnée à proximité de la paroi externe dudit récipient en acier dans lequel elle est fixée de manière opportune par le biais d'une troisième vis. Ledit châssis en forme de portail peut soutenir vers son sommet un panneau indicateur transversal. Ledit clapet peut comprendre un flotteur sphérique contenu dans le segment inférieur de diamètre majeur, d'un tuyau vertical, plongeant dans la masse d'huile et terminant à son sommet par un segment plus petit ayant un diamètre mineur, relié au segment sous-jacent par le biais d'un goulot tronconique. Ledit clapet peut comprendre : une embouchure présentant un segment fileté apte à être enfilé dans le trou du couvercle du récipient ; un joint à manchon, entre ladite embouchure et le segment supérieur dudit tuyau. 6 15 Ces objets et avantages de l'invention ressortent de la description qui suit faisant référence aux dessins annexés à titre d'exemple non limitatif, où - la Figure 1 est une vue frontale du centre en objet, avec son réservoir en coupe dans un plan vertical passant par l'axe de l'entonnoir d'introduction de l'huile épuisée ; - la Figure 2 est un détail à plus grande échelle de la Figure 1 ;

- la Figure 3 est une vue latérale de la Figure 1 avec son réservoir en coupe dans un plan diamétral ; - la Figure 4 est la coupe de la Figure 3 dans le plan IV-IV;

- la Figure 5 est un détail à plus grande échelle de la 20 Figure 4 ;

- la Figure 6 est une coupe identique à celle de la Figure 3, en ayant enlevé le châssis portant ; et

25 - la Figure 7 est une vue frontale du seul châssis portant. Avec référence aux dessins annexés, on peut voir que le centre de collecte selon l'invention 1 comporte un châssis tubulaire métallique robuste 2, doté d'une 30 structure en forme de portail fixée au sol en correspondance de deux plaques de stabilisation 3 soudées à la base des deux montants 2a. Sur l'intérieur desdits montants 2a, deux brides opposées 4 sont fixées pour l'ancrage d'un réservoir (S) destiné à être positionné entre ces deux montants précités. Comme indiqué plus haut, ledit réservoir (S) est constitué d'un cadre 5 en polyéthylène qui abrite en son intérieur un récipient cylindrique 6 en acier au carbone, en fait pratiquement un fût, doté d'un volume sensiblement inférieur, de manière qu'un interstice de sécurité 7 se forme entre l'un et l'autre. Comme indiqué plus haut, ce récipient 6 est doté 10 d'un couvercle escamotable 6a sur lequel un trou d'introduction de l'huile 6b est réalisé. Ledit cadre 5 est doté d'un couvercle escamotable 8 en mesure, en position de fermeture, d'être fixé à l'aide d'un verrou 8a, ou moyens similaires, au cadre même 5. 15 Un trou fermé par son bouchon respectif que l'on peut enlever 8b est réalisé sur ledit couvercle ; sur ce trou, la grande extrémité supérieure d'un conduit en forme d'entonnoir 9 est exactement fixée, entonnoir où déverser directement l'huile épuisée et dont l'extrémité inférieure 20 est embrayée dans le trou 6b du couvercle 6a dudit récipient interne 6, tel que mis en évidence dans la Figure 2. Sur ledit trou d'introduction 6b du récipient interne 6, il y a également un clapet 10 qui empêche le 25 débordement accidentel de l'huile déjà contenue dans son intérieur, débordement qui pourrait se vérifier en présence d'un renversement fortuit du récipient même. Plus précisément, ledit clapet 10 est destiné : à empêcher que le récipient interne 6 ne soit rempli 30 d'huile au-dessus du niveau maximum pré-fixé ; à empêcher que l'huile contenue dans le récipient interne 6 ne déborde en cas de renversement accidentel du réservoir (S).

Ce clapet 10 n'utilise pas d'organes en mouvements, ni leviers, ni engrenages, ni composants à déclic ou mécanismes à contrepoids. Il s'agit d'un clapet statique qui adopte un flotteur sphérique 10a contenu dans le segment inférieur 10b de diamètre majeur d'un tuyau vertical (T), plongeant dans la masse de l'huile et terminant à son sommet par un segment plus petit 10c ayant un diamètre mineur, rattaché au segment sous-jacent 10b par le biais d'un goulot de forme tronconique 10d. Le flotteur sphérique 10a, préférablement en bois, présente un diamètre plus petit que celui du segment inférieur 10b, mais plus grand de celui du segment plus petit de sommet 10c.

A la base du segment inférieur 10b, une fiche diamétrale 10e est enfilée, ladite fiche ayant pour but d'empêcher que ledit flotteur sphérique 10a ne précipite au-delà du segment inférieur 10b. Pendant les phases d'introduction de l'huile dans le récipient 6 à travers l'entonnoir 9, le flotteur 10a stationne dans le segment inférieur 10b du tuyau et ne sera donc pas en mesure d'entraver la chute de l'huile le long du segment du tuyau 10b. Lorsque le niveau de l'huile à l'intérieur du récipient 6 remonte jusqu'audit goulot tronconique 10d, le flotteur sphérique 10a s'arrête contre les parois internes dudit goulot 10d, en assurant la fermeture du tuyau (T), apte à empêcher soit l'entrée, soit le débordement de l'huile.

En cas de renversement du réservoir (S), ledit flotteur 10a avance, par gravité ou parce que poussé par le courant de l'huile, vers ledit goulot 10d, contre lequel il s'arrête en butée en empêchant le débordement de l'huile à l'extérieur. Le clapet 10 comprend également : une embouchure (B), préférablement en PVC, présentant un segment fileté apte à être vissé dans le trou 6b du couvercle 6a du récipient 6 ; un joint à manchon (M), préférablement en PVC, entre ladite embouchure (B) et le segment superieur 10c dudit tuyau (T), lui aussi en PVC, préférablement. La fixation du réservoir (S) en objet au châssis portant relatif 2 s'effectue selon des modalités qui tiennent compte du fait que son cadre externe précité 5 est réalisé avec une mince couche de polyéthylène et que donc il ne pourrait pas, en tant que tel, constituer une surface valable d'ancrage solide.

Avec référence à ladite Figure 4, à ces fins, il est prévu que, sur l'intérieur des deux montants 2a dudit châssis 2, soient vissées les deux brides 4 précitées qui présentent une structure substantiellement en forme de "C" et qui sont destinées à être montées de chant.

De cette manière, les deux ailettes opposées d'extrémité 4a, 4b, trouées au centre, de chaque bride 4 peuvent respectivement être fixées en butée contre l'un desdits montants 2a et contre la surface externe du cadre 5.

Bien que la vis (V1) enfilée dans l'ailette 4a en butée contre le montant respectif 2a puisse directement faire prise sur la structure de ce dernier, néanmoins la vis (V2) enfilée dans l'ailette opposée 4b ne pourrait pas effectuer une prise solide, pour les motifs expliqués plus haut sur la surface en polyéthylène du cadre 5. Pour ce motif, il est prévu que ladite vis (V2) traverse uniquement, grâce à un trou scellé prévu à cet effet, la surface dudit cadre 5 pour ensuite s'engager dans un trou ultérieur réalisé sur l'ailette d'extrémité 40a sur une deuxième bride en forme de "C" 40, tout à fait identique à ladite première bride 4, avec la seule différence d'être montée à plat.

De son côté, l'ailette opposée 40b de cette deuxième bride 40 est positionnée à proximité de la paroi externe dudit récipient en acier 6, où elle est fixée de manière opportune par le biais d'une troisième vis (V3). Ce système particulier de fixation permet ainsi de faire le "by-pass" (dérivation) du cadre 5 et de réaliser une jonction rigide et efficace entre le récipient interne 6 et les montants 2a du châssis en forme de portail 2. En fait, cette même Figure 4 permet de vérifier comment, outre les deux secondes brides précitées 40 montées en position consécutive aux premières brides respectives 4 vissées sur les montants 2a du châssis tubulaire 2, l'utilisation d'une seconde bride ultérieure 40 pour la jonction exclusive et directe du cadre 5 et du récipient interne 6 est prévue. Cette même figure permet de vérifier comment les trois secondes brides précitées 40 sont prédisposées avec un intervalle de 120 . Il faut également préciser que ledit récipient 6 est doté, au-dessous de son trou supérieur d'introduction 6b, d'un clapet réducteur associé à un flotteur relatif 11 de trop plein ; inutile de dire que l'on obtient ainsi que le récipient même 6, lorsqu'un niveau déterminé de remplissage est atteint, n'est plus en mesure de consentir l'introduction ultérieure d'huile épuisée. Au-dessus dudit couvercle escamotable 8 du cadre 5, un indicateur de niveau 12 est par ailleurs prévu, lui aussi coopérant avec un second flotteur respectif 12a suspendu à un fil qui coopère avec l'indicateur même. La Figure 1 précitée permet enfin de vérifier la présence, en position intermédiaire desdits montants 2a dudit châssis en forme de portail 2, d'un grand panneau indicateur 12, qui est en mesure d'attirer l'attention des utilisateurs potentiels.

Claims (9)

REVENDICATIONS

1 - Centre à usage public pour la collecte sélective des huiles végétales épuisées, caractérisé par le fait qu'il comporte un châssis métallique robuste en forme de portail (2) à fixer au sol, à l'intérieur duquel sont prévues, dans des positions exactement opposées, deux brides (4) pour l'ancrage d'un réservoir (S), substantiellement constitué d'un cadre (5), préférablement en polyéthylène, doté d'un couvercle escamotable respectif (8) et destiné à abriter un récipient cylindrique (6), préférablement en acier au carbone, fixé de manière rigide à son intérieur, lequel présente, par rapport à celui-ci, un volume sensiblement inférieur de façon à donner lieu à la formation, entre l'un et l'autre, d'un interstice de sécurité (7), étant prévu que ledit couvercle escamotable (8) présente un trou, fermé par son bouchon respectif que l'on peut enlever (8b), sur lequel est fixée la grande extrémité supérieure d'un conduit à entonnoir (9), dont l'extrémité inférieure est introduite dans le trou d'entrée (6b) prévu sur la paroi supérieure (6a), ayant une structure pouvant être enlevée, dudit récipient interne (6), étant prévu que ce dernier trou de sommet (6b) du récipient interne (6) soit doté d'un clapet (10).

2 - Centre selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'il comprend, en correspondance avec ledit trou du couvercle (8), un indicateur de niveau (12) qui coopère avec son flotteur respectif (12a) suspendu à un fil.

3 - Centre selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que son châssis précité en forme de portail (2) est fixé au sol par le biais de deux plaques de stabilisation (3), chacune desquelles étant prévue à labase de l'un de ses montants respectifs (2a).

4 - Centre selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que ledit couvercle escamotable (8) du cadre (5) est doté de moyens (8a) qui en assurent la fixation stable, par rapport au cadre (5) même, dans sa position de fermeture.

5 - Centre selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que la fixation stable du récipient (6) à l'intérieur du cadre (5) s'effectue par le biais de trois brides qui ont substantiellement le forme d'un "C" (40), disposées à plat, qui coopèrent avec des vis respectives prévues avec un intervalle de 120 .

6 - Centre selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait que lesdites brides (4), prévues sur l'intérieur des montants (2a) du châssis portant (2), sont disposées de chant et présentent une structure ayant substantiellement la forme d'un "C", de manière que les deux ailettes opposées d'extrémité (4a, 4b), trouées au centre, de chacune desdites brides (4) peuvent être respectivement fixées en butée contre l'un desdits montants (2a) et contre la surface externe du cadre (5), étant prévu que la vis (V1) enfilée dans l'ailette (4a) en butée contre le montant respectif (2a) est en mesure de faire prise directement sur ce dernier et que la vis (V2) enfilée dans l'ailette opposee (4b) ne fait que de traverser, grâce à un trou scellé prévu à cet effet, la surface dudit cadre (5) pour ensuite s'engager dans un trou ultérieur réalisé sur l'ailette d'extrémité (40a) d'une desdites brides en forme de "C" (40) disposées à plat, étant également prévu que l'ailette opposée (40b) de cette deuxième bride (40) soit positionnée à proximité de la paroi externe dudit récipient en acier (6) dans lequel elle est fixée de manière opportune par le biais d'une troisième vis (V3).

7 - Centre selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que ledit châssis en forme de portail (2) soutient vers son sommet un panneau indicateur transversal (12).

8 - Centre selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que ledit clapet (10) comprend un flotteur sphérique (10a) contenu dans le segment inférieur (10b) de diamètre majeur, d'un tuyau vertical (T), plongeant dans la masse d'huile et terminant à son sommet par un segment plus petit (10c) ayant un diamètre mineur, relié au segment sous-jacent (10b) par le biais d'un goulot tronconique (10d).

9 - Centre selon la revendication 8, caractérisé par le fait que ledit clapet (10) comprend une embouchure (B) présentant un segment fileté apte à être enfilé dans le trou (6b) du couvercle (6a) du récipient (6) ; un joint à manchon (M), entre ladite embouchure (B) et le segment supérieur (10c) dudit tuyau (T).